Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-07-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 juillet 1922 11 juillet 1922
Description : 1922/07/11 (T21,N2101). 1922/07/11 (T21,N2101).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217068q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
^ÏRES ÉTRANGÈRES
N° 2101
Mardi 11 juillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRï:Sç;r 1
ALLEMANDE. - La ch u le du mark
orivdrls, Frcihei).
nE:sSE ANGLAISE. — LA chulc du mark (Ti-
1hes, DaillJ Mail, Diiilij Express). -
l'ini et |a Grange-Brelague (Arthur
'tk|! o dans Times).
Politique GENERALE
LES REPARATIONS
U
IL4YT)I £ .G?UTE DU MARK. - PRESSE ALLE-
oi'warls ne dissimule pas
Veffondremcut du mark, la spé-
culation a e-¡nanLte a aidé la spéculation
étrangèr. Pour tenter de con jurer le dé-
^cllst)a>nk a jeté sur le marche
fs cieo/t !* ^TanJ(^res ; mais ces devises
Gllt alléePj'éïiséincnl en des mains qui
'Q.nd : à la baisse du change alle-
arid :
en l,
espace dc. temps qui nous sépare du
l'aile 1 ,e Rathenau le mark a perdu
rL - Si p illoitié de sa valeur internatio-
q cette i, op veut découvrir les causes
la. e, on doi L'hien se représenter
V la sn '^tion allemande a aidé la
C^ C e^aûgère. Des financiers aile-
ssi Peu lent à la monnaie allemand
de -conûance que l'étranger.
Wf y -, l3lU8 : Ja Reichsbank s'e-st op-
h Vague avec tous les moyens
SHelle di«P°Sait- D'énormes quantités de
,~ h '-le'
de reglement étrangers accumu-
lés pour acheter des denrées alimentaires,
les
de matières premières ou pour le service
Us furent jetées sur le mar-
ehé, t .out, la hausse continua. As-
c 8 stoèks de devises sont peu
•enCorT1Parai^on de ce que les
^tit °îis re,'clament de nous. Et ils ne
^rï6 Q;len !!'auIn^*eu d'1 marché des devi-
Ott Offr lIeu dn mardl(; dcs dcvI-
s'~ prcsqQC disparu et où la
v^ii,VJ6 s'es+ J^narrn,ém'Cnt accrue. Ces de-
} ^Wpa Cl^ fje leUx' que rien pour soutenir
S,imenj!'dc l'Allemagne, qui
VÏV!6 '«lctiC. lement dénuée de tout
S A6 ",g:lern
CN ïk.aK pOlll' payer les nou-
ees. (lps Réparations. Le mark
'I~ qh' es P
C* *5? les oni Personne ne sait si les
^em. ^Ma™aréos les rendront
l ,,-nell.t.' En tout cas, il n'en sera
..que les poincaristes, alliés
aux putschistes de notre pays, 'feront en
sorte que les possesseurs de valeurs étran-
gères continuent de favoriser ■ la dévalori-
sation du mark en dépit des. mesures du
gouvernement et des tentatives de solution
internationale du problème des répara-
tions.
il faut atteindre davantage encore par le moyen
de l'impôt, les gains de spéculation et les gains
réalisés sur l'exportation. e
Le comité des garanties séjourne en ce
moment à Berlin et s'occupe activement
du budget du Reich. Espérons que la lutte
silencieuse, mais âpre, que la Reichsbank
livre aux banques tentées de spéculer, ne
lui a pas échappé .; espérons aussi qu'il
- n'oublie pas les raisons de la catastro-
phe du mark. Si la conférence de Gênes
avait donné les résultats qu'on en pou-
vait attendre sans l'intervention de la
France, on eût pu construire sur les rui-
nes de la guerre et rassembler les peuples
pour l'oeuvre de reconstruction mondiale,
et tous ces derniers malheurs ne se se-
raient pas produits.
Mais l'Allemagne se trouve à nouveau
en présence des plus graves difficultés
pour l'exécution de ses prochains paie-
ments. Il serait à souhaiter que la com-
mission des réparations tirât les conclu-
sions de la situation et cherchât de toutes
ses forces et en toute hâte une solution
véritable du problème des réparations.
VORW AERTS, 8.7, matin.
- Sous le titre : « La chute du mark. -
Une arme des monarchistes », la Freiheit
écrit que l'effondrement est encore entouré
provisoirement d'une obscurité mystique.
Doit-on attribuer la baisse au paiement
que l'Allemagne doit effectuer le 15 juillet ?
Sans aucune hésitation, non.
La catastrophe du mark est-elle donc en
relation avec l'assassinat de Rathenau ? Elle
se prolonge trop longtemps après le crime.
La. confiance de l'étranger a-t-elle été
ébranlée par les manifestations des masses
prolétaires pour là défense de la Républi-
que ? Non, la confiance de l'étranger croit à
mesure que le gouvernement allemand agit
plus émergiquement pour défendre la Répu-
blique de la rage des bandes d'assassins
monarchistes. Raison de Plus pour les gens
qui ont à redouter l'affermissement, du gou-
vernement républicain, appuyé sur les forces
des masses du prolétariat pour discréditer
ce gouvernement et lui rendre l'existence
impossible en le plongeant dans des diffi-
ciles financières insurmontables.
Les bruits absurdes de catastrophe ac-
ceptés volontiers errépandus avec zèle par
les spéculateurs intéressés à la chute du
mark ne constituent pas non plus une expli-
cation suffisante. Si cette explication était
vraie, il y eut eu une demande fantastique et
aucune offre. Or, c'est le contraire qui s'est
produit. D'après le Vorwärts l'offre a dis-
paru et la demande a énormément monté ;
en.d'autres termes : le bond fait par les de-
vises subitement le 29, presque une semaine
après l'assassinat de Rathenau, a été pro-
voqué par une mise en réserve préméditée
des moyens de règlement étrangers. Il est
clair qu'un coup de ce genre n'a pu être
exécuté que par des milieux disposant de
capitaux très importants.
On peut dire avec une vraisemblance qui
confine à la certitude que la direction de la
Deutsche Bank, dont on connaît les idées
réactionnaires ainsi que l'étroite intimité
avec M. Helfferich, à' entrepris, lors du
putsch de Kapp, une série d'opérations des-
tinées à donner au gouvernement Kapp-
Lüttwitz un crédit qu'il ne méritait pas.
Cette fois encore, les grandès banques et la
grande industrie ont agi en vue de ruiner le
crédit de la République.
La dévalorisation du mark constitue la -
contre-offensive de la réaction contre le pro-
létariat. Elle provoque parmi les masses une
détresse indicible qui s'accroîtra encore si
l'Entente découvre les véritables responsa-
bles de la catastrophe du mark.
FREIHEIT, 9.7.
PRESSE ANGLAISE. - Le Times s'attache.
aux causes et aux conséquences de l'effron-
drement. Depuis l'assassinat de M. Rathe-
nau il s'est accentué. Mais, il tient avant
tout aux achats de valeurs étrangères par
les Allemands désireux de sauver leur for-
tune. Les prix ont augmenté et en l'absence
de journaux, les imprimeurs étant en grève,
des rumeurs alarmistes se sont propagées,
si bien que le gouvernement, un peu conso-
lidé par ses décrets énergiques, est de nou-
veau pJfaibli. Une autre conséquence, c'est
la demande d'un nouveau moratorium et
d'un paiement entièrement en nature pour
la prochaine échéance.
C'est une affirmation de bon sens qu'une
certaine partie prévoyante et entreprenante
du peuple allemand, surtout un groupe d'in-
dustriels et de financiers, ont établi leurs
plans dans l'espoir de profiter d'un déclin
habilement ménagé de la valeur d'échange-
du mark. Ils ont calculé l'étendue d'une
chute qui leur serait profitable, qui leur per-
mettrait d'établir l'industrie allemande sur
une base solide pendant une période de
vente au rabais par rapport à leurs concur-
rents sur le marché mondial, et qui ferait
également disparaître l'opposition des gou-
vernements à une modification im-
portante. du projet des réparations.. Dans
toutes les discussions sur la situation ac-
tuelle de l'Allemagne, ce but délibéré d'un
DES
^ÏRES ÉTRANGÈRES
N° 2101
Mardi 11 juillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRï:Sç;r 1
ALLEMANDE. - La ch u le du mark
orivdrls, Frcihei).
nE:sSE ANGLAISE. — LA chulc du mark (Ti-
1hes, DaillJ Mail, Diiilij Express). -
l'ini et |a Grange-Brelague (Arthur
'tk|! o dans Times).
Politique GENERALE
LES REPARATIONS
U
IL4YT)I £ .G?UTE DU MARK. - PRESSE ALLE-
oi'warls ne dissimule pas
Veffondremcut du mark, la spé-
culation a e-¡nanLte a aidé la spéculation
étrangèr. Pour tenter de con jurer le dé-
^cllst)a>nk a jeté sur le marche
fs cieo/t !* ^TanJ(^res ; mais ces devises
Gllt alléePj'éïiséincnl en des mains qui
'Q.nd : à la baisse du change alle-
arid :
en l,
espace dc. temps qui nous sépare du
l'aile 1 ,e Rathenau le mark a perdu
rL - Si p illoitié de sa valeur internatio-
q cette i, op veut découvrir les causes
la. e, on doi L'hien se représenter
V la sn '^tion allemande a aidé la
C^ C e^aûgère. Des financiers aile-
ssi Peu lent à la monnaie allemand
de -conûance que l'étranger.
Wf y -, l3lU8 : Ja Reichsbank s'e-st op-
h Vague avec tous les moyens
SHelle di«P°Sait- D'énormes quantités de
,~ h '-le'
de reglement étrangers accumu-
lés pour acheter des denrées alimentaires,
les
de matières premières ou pour le service
Us furent jetées sur le mar-
ehé, t .out, la hausse continua. As-
c 8 stoèks de devises sont peu
•enCorT1Parai^on de ce que les
^tit °îis re,'clament de nous. Et ils ne
^rï6 Q;len !!'auIn^*eu d'1 marché des devi-
Ott Offr lIeu dn mardl(; dcs dcvI-
s'~ prcsqQC disparu et où la
v^ii,VJ6 s'es+ J^narrn,ém'Cnt accrue. Ces de-
} ^Wpa Cl^ fje leUx' que rien pour soutenir
S,imenj!'dc l'Allemagne, qui
VÏV!6 '«lctiC. lement dénuée de tout
S A6 ",g:lern
CN ïk.aK pOlll' payer les nou-
ees. (lps Réparations. Le mark
'I~ qh' es P
C* *5? les oni Personne ne sait si les
^em. ^Ma™aréos les rendront
l ,,-nell.t.' En tout cas, il n'en sera
..que les poincaristes, alliés
aux putschistes de notre pays, 'feront en
sorte que les possesseurs de valeurs étran-
gères continuent de favoriser ■ la dévalori-
sation du mark en dépit des. mesures du
gouvernement et des tentatives de solution
internationale du problème des répara-
tions.
il faut atteindre davantage encore par le moyen
de l'impôt, les gains de spéculation et les gains
réalisés sur l'exportation. e
Le comité des garanties séjourne en ce
moment à Berlin et s'occupe activement
du budget du Reich. Espérons que la lutte
silencieuse, mais âpre, que la Reichsbank
livre aux banques tentées de spéculer, ne
lui a pas échappé .; espérons aussi qu'il
- n'oublie pas les raisons de la catastro-
phe du mark. Si la conférence de Gênes
avait donné les résultats qu'on en pou-
vait attendre sans l'intervention de la
France, on eût pu construire sur les rui-
nes de la guerre et rassembler les peuples
pour l'oeuvre de reconstruction mondiale,
et tous ces derniers malheurs ne se se-
raient pas produits.
Mais l'Allemagne se trouve à nouveau
en présence des plus graves difficultés
pour l'exécution de ses prochains paie-
ments. Il serait à souhaiter que la com-
mission des réparations tirât les conclu-
sions de la situation et cherchât de toutes
ses forces et en toute hâte une solution
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VORW AERTS, 8.7, matin.
- Sous le titre : « La chute du mark. -
Une arme des monarchistes », la Freiheit
écrit que l'effondrement est encore entouré
provisoirement d'une obscurité mystique.
Doit-on attribuer la baisse au paiement
que l'Allemagne doit effectuer le 15 juillet ?
Sans aucune hésitation, non.
La catastrophe du mark est-elle donc en
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se prolonge trop longtemps après le crime.
La. confiance de l'étranger a-t-elle été
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que ? Non, la confiance de l'étranger croit à
mesure que le gouvernement allemand agit
plus émergiquement pour défendre la Répu-
blique de la rage des bandes d'assassins
monarchistes. Raison de Plus pour les gens
qui ont à redouter l'affermissement, du gou-
vernement républicain, appuyé sur les forces
des masses du prolétariat pour discréditer
ce gouvernement et lui rendre l'existence
impossible en le plongeant dans des diffi-
ciles financières insurmontables.
Les bruits absurdes de catastrophe ac-
ceptés volontiers errépandus avec zèle par
les spéculateurs intéressés à la chute du
mark ne constituent pas non plus une expli-
cation suffisante. Si cette explication était
vraie, il y eut eu une demande fantastique et
aucune offre. Or, c'est le contraire qui s'est
produit. D'après le Vorwärts l'offre a dis-
paru et la demande a énormément monté ;
en.d'autres termes : le bond fait par les de-
vises subitement le 29, presque une semaine
après l'assassinat de Rathenau, a été pro-
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capitaux très importants.
On peut dire avec une vraisemblance qui
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Deutsche Bank, dont on connaît les idées
réactionnaires ainsi que l'étroite intimité
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Lüttwitz un crédit qu'il ne méritait pas.
Cette fois encore, les grandès banques et la
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crédit de la République.
La dévalorisation du mark constitue la -
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létariat. Elle provoque parmi les masses une
détresse indicible qui s'accroîtra encore si
l'Entente découvre les véritables responsa-
bles de la catastrophe du mark.
FREIHEIT, 9.7.
PRESSE ANGLAISE. - Le Times s'attache.
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drement. Depuis l'assassinat de M. Rathe-
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les Allemands désireux de sauver leur for-
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la demande d'un nouveau moratorium et
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C'est une affirmation de bon sens qu'une
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dustriels et de financiers, ont établi leurs
plans dans l'espoir de profiter d'un déclin
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du mark. Ils ont calculé l'étendue d'une
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vente au rabais par rapport à leurs concur-
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également disparaître l'opposition des gou-
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