Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-06-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 juin 1922 27 juin 1922
Description : 1922/06/27 (T21,N2089). 1922/06/27 (T21,N2089).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217056h
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
"STÈRE
DBS
^étrangères
1
N° 2089
Mardi 27 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
■ SOMMAIRE
l'0p ALEMANDE- - France et Allemagne :
r('Paraf1011 et réconciliation (Frankfur-
kp Ze (
the 1 Una). - L'assassinat, de M. Ra-
'hena (DcU,(sche Tageszeitlling, Rhei-
e, Zeitwhg, Deutsche
ellle .Zeilit ng, Germania, Kúlnis-
l'iee \-(iSzeijllnûf: Berliner Börsen-Cou-
r'er> j'p,' \V oHf dans Berliner Tage-
Zeu (JCOl'g Bernhard dans Vossische
11 sel1 ko dans Berliner
ng, Vonrarts, Freiheit).
GLAISE- - Un ouvrage américain
sur les origines de Ja 8uerre (Nation). —
Les ( lVercr !la guerre (Na/MM ) —
î-es clivepences CT franco-britanniques sur
de lSer (1) d. ,. t
^n.gep unc^ay Times). — L'assassinat
Gazeti Ilathenau (Times, Westminster
i tte)
A'sE. — L'assassinat de M.
L~ellQU - ,
^al^&na| 7'cu,l'e Botterdamsche Cou-
b'd è). lgeliteen. lllUlllelsblad, Maas-
bode ) llandelsblad, Maas-
Ir I
ri ÎTAL LlfNE* — L'assassinat, de M. Ra-
thenau (Corriera della SC'ra).
délia Sera)
POLITIQUE GENERALE
-
£ *r^^SPq^SABILITÉS
b4 DE LA GUERRE
St'Jr: fGE AMERICAIN. - La
de signale la, ptiblicatioln
des origines de M. Frederick Bausman sur
ne (le la Guerre. « Let France
„ d l' n„ e la France s'explique » ],
Fige à la'r 6 d. - M. Bausman,
fait ,HUr suprême de l'Etat de
(dit le compte rendu) dans
cet ouvrage QJle le p77. °cès de ia politique fran-
caise de 1(t polilique li,iin-
lie Dit,
Il n'est pas a désormais de soutenir
!% tr a fait Iucùn délibérément la guerre,
chold pirl effort pour i'empêcher.
lq ^oij,nn x coupables furent Ber-
V et Yunouchkevitch. Ber-
~n'a pas tenu compte des remontrances
Q mm rapport .autrichien.
le rapport 'autrichien.
'11 .]^r^ tu , Une large mesure le gou-
b ; 1,ill'hiQle tOute complicité dans l'as-
tst i1 Uc. Les deux dusses ont menti
^'niA épris de son ordre exprès
qu'ils organisèrent la mobilisation russe qui pré-
céda et détermina la mobilisation allemande.
M. Bausman prétend reconnaître pour une bon-
ne part, dans ce dénouement précipité, l'œuvre
de la diplomatie française. La France, le plus
martial des Etats européens, a toujours caressé
une idée politique prédominante, l'organisation
de l'anarchie en Allemagne. Elle a poussé la
Russie à développer ses armements et a recher-
ché l'alliance anglaise. Dès 1914, les effectifs fran-
co-russes dépassaient ceux de l'Allemagne. Si
cette politique avait été couronnée de succès dès
les premières phases de la guerre, la. russifica-
tion, en d'autres termes le retour à la barbarie
de l'Europe orientale était accomplie. La bataille
de Tannenberg, la vraie bataille historique de la
guerre, a écarté cette calamité et sauvé l'Europe
du Slave.
D'après la Nation, c'est par la. méthode déduc-
tive que M. Bausman prétend établir la responsa-
bilité de la France. La crise de 1914 a surpris la
France et l'Allemagne au moment où se dérou-
lait dans chacun des deux pays, un conflit inté-
rieur entre Je militarisme et l'esprit civique, et
qui a abouti dans chaque cas au triomphe du
luMitarisme
NATION [de Londres], 24.6.
-go.
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
LES DIVERGENCES SUR TANGER. —
De Paris, 24 juin : On ne risque pas de se
tromper en disant que la plupart des Fran-
çais sont surpris de constater qu'il y a lieu
d'ajouter une question de Tanger à la liste
Vîéjà trop longue des problèmes qui divisent,
la France et la Grande-Bretagne.
Bien que l'opinion publique française té-
moigne à cet égard une indifférence com-
plète, les milieux officiels manifestent une
grande agitation au sujet des questions mi-
ses en jeu, qu'ils déclarent être d'une telle
importance que tout l'avenir de la France
au Maroc dépend de la conférence anglo-
franco-espagnole proposée par M. Poincaré
et par M. Lloyd George.
J'apprends que le Quai d Orsay prépare
une réponse à la récente note de Downing-
Street sur ce sujet. La France n'admet pas
le point de vue britannique suivant lequel
les droits du sultan, en matière de conces-
sions à Tanger, sont subordonnée aux dé-
cisions des trois puissances — Grande-Bre-
tagne France et Espagne. Elle prétend que
raccord tripartite rédigé avant la guerre et
qui sert de base à la llhèSle britannique, n'a
pas été ratifié et que par conséquent la
souveraineté du sultan demeure entière. En
d'autres termies, te France vise à mettre fin
au régime international à Tanger, en fa-
vieur d'un régime plus simple reconnaissant
au sultan l'autorité suprême, ce qui veut
dire, bien entendu, que le pouvoir de la
France est incontesté.
On fait état ici du fait que la Grande-Bre-
tagne n'a pas protesté lorsque la conces-
sion d'un port à Tanger a été accordée en
juin 1921, conformément aux stipulations du
traité franco-allemand de novembre 1911.
L'opinion des milieux officiels français ce
montre quelque peu froissée par l'attitude
britannique et on demande à ce propos ce
que dirait Londres, si en se fondant sur
les conventions qui ne sont pas encore dé-
noncées, la France demandait l'évacuation
immédiate du canal de Suez par les trou-
pes britanniques. On se plaint aussi que,
tandis que partout, en dehors de l'Europe,
la France soutient la Grande-Bretagne,
celle-ci fasse apposition aux intérêts fran-
çais au Maroc.
Je crois savoir que, contrairement aux in-
formations données par la presse, il est peu
probable que la conférence des trois puis-
sances se réunisse d'ici quelque temps. (Du
correspondant particulier.)
SUNDAY TIMES, 25.6.
——— ——
FRANCE ET ALLEMAGNE
REPARATION ET RECONCILIATION. —
L'accueil fait aux Allemands voyageant en
France indique, selon la Frankfurter Zei-
tung, que l'esprit de réconciliation est assez
répandu. Mais la politique gouvernemen-
tale reste sous l'influence des groupements
économiques dont les intérêts sont souvent
en contradiction avec ceux du pays.
Beaucoup d'Allemands voyageant en
France pour rendre visite à leurs relations
d'avant-guerre nous disent qu'ils sont re-
çus amicalement. Il ne s'agit pas d'une
courtoisie purement extérieure. Il ne s'agit
pas non plus exclusivement de Français
appartenant à des groupes de gauche ou
pacifistes. Entre quatre yeux on peut dis-
cuter calmement des rapports franco-alle-
mands, même avec un membre du bloc
national. Et dans des entretiens privés on
peut entendre même -des fonctionnaires dé-
sapprouver la politique officielle du gouver-
nement. Voilà des signes indiquant qu'en
France il y a des hommes de bonne vo-
lonté. Mais il faut que cette tendance se
manifeste dans les actes politiques, sinon
on ne verra jamais triompher dans les re-
lations franco-allemandes ce « bon sens »
que les Français considèrent si volontiers
comme leur apanage.
L'état d'esprit qui se manifeste en des
discours comme celui de l'ancien ministre
de la Guerre André Lefèvre a empêché jus-
qu'ici la solution du problème des répara-
tions. « Le droit de la France aux répara-
tions est absolu », disent les Français, et
si les Allemands leur montrent les impos-
sibilités économiques et les répercussions
terribles de la baisse du mark, ils prennent
ces raisons pour des défaites cachant une
DBS
^étrangères
1
N° 2089
Mardi 27 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
■ SOMMAIRE
l'0p ALEMANDE- - France et Allemagne :
r('Paraf1011 et réconciliation (Frankfur-
kp Ze (
the 1 Una). - L'assassinat, de M. Ra-
'hena (DcU,(sche Tageszeitlling, Rhei-
e, Zeitwhg, Deutsche
ellle .Zeilit ng, Germania, Kúlnis-
l'iee \-(iSzeijllnûf: Berliner Börsen-Cou-
r'er> j'p,' \V oHf dans Berliner Tage-
Zeu (JCOl'g Bernhard dans Vossische
11 sel1 ko dans Berliner
ng, Vonrarts, Freiheit).
GLAISE- - Un ouvrage américain
sur les origines de Ja 8uerre (Nation). —
Les ( lVercr !la guerre (Na/MM ) —
î-es clivepences CT franco-britanniques sur
de lSer (1) d. ,. t
^n.gep unc^ay Times). — L'assassinat
Gazeti Ilathenau (Times, Westminster
i tte)
A'sE. — L'assassinat de M.
L~ellQU - ,
^al^&na| 7'cu,l'e Botterdamsche Cou-
b'd è). lgeliteen. lllUlllelsblad, Maas-
bode ) llandelsblad, Maas-
Ir I
ri ÎTAL LlfNE* — L'assassinat, de M. Ra-
thenau (Corriera della SC'ra).
délia Sera)
POLITIQUE GENERALE
-
£ *r^^SPq^SABILITÉS
b4 DE LA GUERRE
St'Jr: fGE AMERICAIN. - La
de signale la, ptiblicatioln
des origines de M. Frederick Bausman sur
ne (le la Guerre. « Let France
„ d l' n„ e la France s'explique » ],
Fige à la'r 6 d. - M. Bausman,
fait ,HUr suprême de l'Etat de
(dit le compte rendu) dans
cet ouvrage QJle le p77. °cès de ia politique fran-
caise de 1(t polilique li,iin-
lie Dit,
Il n'est pas a désormais de soutenir
!% tr a fait Iucùn délibérément la guerre,
chold pirl effort pour i'empêcher.
lq ^oij,nn x coupables furent Ber-
V et Yunouchkevitch. Ber-
~n'a pas tenu compte des remontrances
Q mm rapport .autrichien.
le rapport 'autrichien.
'11 .]^r^ tu , Une large mesure le gou-
b ; 1,ill'hiQle tOute complicité dans l'as-
tst i1 Uc. Les deux dusses ont menti
^'niA épris de son ordre exprès
qu'ils organisèrent la mobilisation russe qui pré-
céda et détermina la mobilisation allemande.
M. Bausman prétend reconnaître pour une bon-
ne part, dans ce dénouement précipité, l'œuvre
de la diplomatie française. La France, le plus
martial des Etats européens, a toujours caressé
une idée politique prédominante, l'organisation
de l'anarchie en Allemagne. Elle a poussé la
Russie à développer ses armements et a recher-
ché l'alliance anglaise. Dès 1914, les effectifs fran-
co-russes dépassaient ceux de l'Allemagne. Si
cette politique avait été couronnée de succès dès
les premières phases de la guerre, la. russifica-
tion, en d'autres termes le retour à la barbarie
de l'Europe orientale était accomplie. La bataille
de Tannenberg, la vraie bataille historique de la
guerre, a écarté cette calamité et sauvé l'Europe
du Slave.
D'après la Nation, c'est par la. méthode déduc-
tive que M. Bausman prétend établir la responsa-
bilité de la France. La crise de 1914 a surpris la
France et l'Allemagne au moment où se dérou-
lait dans chacun des deux pays, un conflit inté-
rieur entre Je militarisme et l'esprit civique, et
qui a abouti dans chaque cas au triomphe du
luMitarisme
NATION [de Londres], 24.6.
-go.
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
LES DIVERGENCES SUR TANGER. —
De Paris, 24 juin : On ne risque pas de se
tromper en disant que la plupart des Fran-
çais sont surpris de constater qu'il y a lieu
d'ajouter une question de Tanger à la liste
Vîéjà trop longue des problèmes qui divisent,
la France et la Grande-Bretagne.
Bien que l'opinion publique française té-
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grande agitation au sujet des questions mi-
ses en jeu, qu'ils déclarent être d'une telle
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J'apprends que le Quai d Orsay prépare
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sions à Tanger, sont subordonnée aux dé-
cisions des trois puissances — Grande-Bre-
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raccord tripartite rédigé avant la guerre et
qui sert de base à la llhèSle britannique, n'a
pas été ratifié et que par conséquent la
souveraineté du sultan demeure entière. En
d'autres termies, te France vise à mettre fin
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au sultan l'autorité suprême, ce qui veut
dire, bien entendu, que le pouvoir de la
France est incontesté.
On fait état ici du fait que la Grande-Bre-
tagne n'a pas protesté lorsque la conces-
sion d'un port à Tanger a été accordée en
juin 1921, conformément aux stipulations du
traité franco-allemand de novembre 1911.
L'opinion des milieux officiels français ce
montre quelque peu froissée par l'attitude
britannique et on demande à ce propos ce
que dirait Londres, si en se fondant sur
les conventions qui ne sont pas encore dé-
noncées, la France demandait l'évacuation
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çais au Maroc.
Je crois savoir que, contrairement aux in-
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correspondant particulier.)
SUNDAY TIMES, 25.6.
——— ——
FRANCE ET ALLEMAGNE
REPARATION ET RECONCILIATION. —
L'accueil fait aux Allemands voyageant en
France indique, selon la Frankfurter Zei-
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répandu. Mais la politique gouvernemen-
tale reste sous l'influence des groupements
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en contradiction avec ceux du pays.
Beaucoup d'Allemands voyageant en
France pour rendre visite à leurs relations
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courtoisie purement extérieure. Il ne s'agit
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manifeste dans les actes politiques, sinon
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que les Français considèrent si volontiers
comme leur apanage.
L'état d'esprit qui se manifeste en des
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si les Allemands leur montrent les impos-
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