Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-06-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 juin 1922 22 juin 1922
Description : 1922/06/22 (T21,N2085). 1922/06/22 (T21,N2085).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217051f
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
? MINISTÈRE
DES
tPPAII\£S ÉTRANGÈRES
N° 2085
Jeudi 22 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
p~j, ,
^•Ssir ALLEMANDE. — Le comité des garan-
hes à Berlin (Deutsche Allgemeine Zei-
tung). - Un article de M. Simons sur
l: réparations (Berliner Tageblatt). —
j conversation des premiers ministres
fi'a 2eUÇaiS et britannique (Frankjurter
ellung).
ANGLAISE. — L'admission de l'Alle-
rrwf6 dans la Société des nations
(ûtn News). - Les conversations des
Pferrr lefs ministres français et britan-
-
lque (Times). — Les divergences fran-
eO-b 'rltl%'nniques sur le Proche Orient
P (M • 1 son Harris dans Daily News).
zeF. ITALIE:\NF.. - Le voyage de M. Schan-
Id r à Londres (Francesoo Coppola dans
eu Nazionale).
v
—-—— ——————————
POLITIQUE GENERALE
LEs REPARATIONS
UJ} G&MITE DES GARANTIES A BER-
rQrQltti Depuis dimanche soir le comité des
e F'ranes est à Berlin. Il est présidé par
rn'ésentieais Mallclère ; l'Angleterre est re-
llrPd^tée Par Kcmblal Cook ; la Bretagne
Tnans : l'Italie par D'Amelio ;
t1/ ïriérique a Un représentant non officiel
iet)&a/l ; ït ? a en outre de nombreux experts
,Vr¡:¡;- aIres.
Y l(aires - -"YI V Ur",., .wn~t~t~~ e'
ul1 fi,lll le erit ces messieurs feront
vIsite officielle au dhanoelier,
>>^tîre d-es lnances. On parlera du pro-
le et
le et d Cours des négociations. Les
officielles commenceront sans
doute mercredi ^erçj. ~~- Conformément aux notes
toisées • Conformément aux notes
gées e 1 les s'étendront à ces trois
f5 ; coiitrA 6 des recettes et des dépen-
d p^e de,
tult d es. apl aux et statistique. On ne
h~~ le comité des garanties abor-
lvuU h, * e$suiet«
Du point de vue Pri'- lit Jets. allemand, voici ce que
t4.ut ire de ces négociations : pour le
d ili!lt e.des rftTe
~des recettes intn et des dépenses, il faut
a la souveraineté fiscale
et Vo On créerait une situation in-
611 Voni ar*t y porter atteinte. Il faut
Ce cas ne se produira pas. Mais
même dans le simple contrôle, le comité de-
vra procéder très prudemment. L'adminis-
tration allemande est un outil de précision,
comme il convient dans un grand Etat mo-
derne d'une culture politique et juridique
avancée. Une atteinte inopportune, venue
du dehors, à cet appareil compliqué aurait
les plus graves répercussions, aux dépens
de la faculté de paiement de l'Allemagne.
Il faut aussi maintenir le principe du se-
cret. fiscal pour les particuliers. C'est un
principe en vigueur dans tous les Etats mo-
dernes et défendu particulièrement par la
France. Il appartient au gouvernement de
le faire respecter.
Pour la fuite des capitaux, l'Allemagne a
déjà fait observer dans les notes échangées
que l'interdiction ne pouvait avoir de résul-
tat pratique si elle émanait d'un seul Etat ;
il faut la collaboration de tous. On peut s'at-
tendre que le gouvernement allemand fasse
des propositions en ce sens.
Pour la statistique, en Allemagne même
on souhaite vivement qu'elle retrouve le de-
gré d'exactitude qu'elle avait avant la
guerre. Si le comité des garanties fait des
propositions concrètes en ce sens, l'entente
se fera facilement.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
20.6, matin.
UN ARTICLE DE M. SIMONS. — Le
Dr Simons, ancien ministre des Affaires
étrangères, examine le problème des répa-
rations au moment où le Beichstag est ap-
pelé à ratifier l'accord de Wiesbaden.
L'échec de la conférence de Gênes et celui
de l'emprunt allemand ont compliqué la
situation en provoquant une nouvelle baisse
du mark.
L'emprunt ne peut constituer une aide
véritable pour l'Allemagne, ses créanciers
et l'ensemble de l'économie européenne que
s'il fait passer la dette allemande pour les
réparations du domaine de la politique dans
celui des finances, c'est-à-dire si elle est
fixée et déterminée de manière que le tria
vail du peuple allemand complété par le
secours de l'emprunt puisse, selon les pré-
visions humaines, l'amortir et l'acquitter
en un temps limité. Au lieu de ce grand
emprunt international des réparations, le
monde financier voulait nous offrir sim-
plement un petit emprunt servant de mo-
ratorium, un emprunt pour reprendre ha-
leine, c'est-à-dire un palliatif qui ne soi-
gnait pas le mal dans sa racine.
L'exemple de l'Autriche montre que ces pallia-
tifs sont inefficaces.
Mais, quel que soit le jugement que l'on
porte sur le projet d'emprunt, son échec
ramène au premier plan la question des
livraisons en nature. Nous sommes toujours
en présence de cette question : comment
répondre aux revendications présentées le
28 mars de cette année par la commission
des réparations, qui nous impose par an
le total énorme d'environ un milliard et
demi de livraisons en nature en plus d'un
paiement très considérable en valeurs or ?
La réponse du gouvernement allemand don-
nant satisfaction dans une large mesure
et bien accueillie pour ce motif à Paris,
n'est pas définitive : elle a été faite sous
réserve de la conclusion d'un emprunt à
des conditions acceptables. Il n'est pas
étonnant qu'après l'échec de l'emprunt on
ait éprouvé à Paris une vive inquiétude
touchant la conduite ultérieure du gouver-
nement allemand, inquiétude qui s'est ma-
nifestée comme d'habitude par des menaces
à l'Allemagne, tandis que du côté anglais
on a fait tout son possible pour calmer
cette agitation en soulignant la bonne vo-
lonté persistante du gouvernement alle-
mand. Cette bonne volonté existe sans au-
cun doute ; le gouvernement actuel, formé
pour exécuter le traité de Versailles et
l'ultimatum de Londres et fermement atta-
ché jusqu'ici à cette politique, ne peut que
faire encore tout son possible pour tenir
les engagements pris par l'Allemagne. Mais
on peut se demander si les limites du pos-
sible ne sont pas tellement proches que
même ce gouvernement sera forcé de ré-
sister à nos ennemis s'ils exigent la signa-
ture de traites impayables.
Tous les créanciers présents ou futurs de l'Al-
lemagne exigent que l'inflation fiduciaire soit
enrayée ; mais c'est impossible tant que Ion im-
pose à l'Allemagne des paiements en argent ou
en nature trop élevés.
LES LIVRAISONS EN NATURE. — Cela n'em-
pêche pas de reconnaître que l'idée de payer
la dette des réparations par des livraisons
en nature est raisonnable en soi, parce
qu'elle correspond le mieux à la situation
économique actuelle de l'Allemagne et
qu'elle contribuera au rétablissement des re-
lations commerciales entre les peuples que
la guerre a rendu ennemis. Tandis que les
rapports entre les créanciers non payés et
le débiteur surchargé de dettes perpétuent
la haine, ceux entre le consommateur et le
producteur des objets servant aux répara-
tions transporteraient cette haine dans l'at-
mosphère plus calme des relations d'affai-
res. Mais les accords sur les livraisons en
nature resteront des expédients insuffisants
tant que les clauses du traité de Versailles
concernant les réparations, n'auront pas été
revisées, que la dette de guerre allemande
— car c'est la véritable et la seule question
— n'aura pas été fixée à un total acceptable
et qu'un vaste emprunt international n'en
aura pas transféré le paiement du domaine
politique dans le domaine économique.
DES
tPPAII\£S ÉTRANGÈRES
N° 2085
Jeudi 22 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
p~j, ,
^•Ssir ALLEMANDE. — Le comité des garan-
hes à Berlin (Deutsche Allgemeine Zei-
tung). - Un article de M. Simons sur
l: réparations (Berliner Tageblatt). —
j conversation des premiers ministres
fi'a 2eUÇaiS et britannique (Frankjurter
ellung).
ANGLAISE. — L'admission de l'Alle-
rrwf6 dans la Société des nations
(ûtn News). - Les conversations des
Pferrr lefs ministres français et britan-
-
lque (Times). — Les divergences fran-
eO-b 'rltl%'nniques sur le Proche Orient
P (M • 1 son Harris dans Daily News).
zeF. ITALIE:\NF.. - Le voyage de M. Schan-
Id r à Londres (Francesoo Coppola dans
eu Nazionale).
v
—-—— ——————————
POLITIQUE GENERALE
LEs REPARATIONS
UJ} G&MITE DES GARANTIES A BER-
rQrQltti Depuis dimanche soir le comité des
e F'ranes est à Berlin. Il est présidé par
rn'ésentieais Mallclère ; l'Angleterre est re-
llrPd^tée Par Kcmblal Cook ; la Bretagne
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t1/ ïriérique a Un représentant non officiel
iet)&a/l ; ït ? a en outre de nombreux experts
,Vr¡:¡;- aIres.
Y l(aires - -"YI V Ur",., .wn~t~t~~ e'
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vIsite officielle au dhanoelier,
>>
le et
le et d Cours des négociations. Les
officielles commenceront sans
doute mercredi ^erçj. ~~- Conformément aux notes
toisées • Conformément aux notes
gées e 1 les s'étendront à ces trois
f5 ; coiitrA 6 des recettes et des dépen-
d p^e de,
tult d es. apl aux et statistique. On ne
h~~ le comité des garanties abor-
lvuU h, * e$suiet«
Du point de vue Pri'- lit Jets. allemand, voici ce que
t4.ut ire de ces négociations : pour le
d ili!lt e.des rftTe
~des recettes intn et des dépenses, il faut
a la souveraineté fiscale
et Vo On créerait une situation in-
611 Voni ar*t y porter atteinte. Il faut
Ce cas ne se produira pas. Mais
même dans le simple contrôle, le comité de-
vra procéder très prudemment. L'adminis-
tration allemande est un outil de précision,
comme il convient dans un grand Etat mo-
derne d'une culture politique et juridique
avancée. Une atteinte inopportune, venue
du dehors, à cet appareil compliqué aurait
les plus graves répercussions, aux dépens
de la faculté de paiement de l'Allemagne.
Il faut aussi maintenir le principe du se-
cret. fiscal pour les particuliers. C'est un
principe en vigueur dans tous les Etats mo-
dernes et défendu particulièrement par la
France. Il appartient au gouvernement de
le faire respecter.
Pour la fuite des capitaux, l'Allemagne a
déjà fait observer dans les notes échangées
que l'interdiction ne pouvait avoir de résul-
tat pratique si elle émanait d'un seul Etat ;
il faut la collaboration de tous. On peut s'at-
tendre que le gouvernement allemand fasse
des propositions en ce sens.
Pour la statistique, en Allemagne même
on souhaite vivement qu'elle retrouve le de-
gré d'exactitude qu'elle avait avant la
guerre. Si le comité des garanties fait des
propositions concrètes en ce sens, l'entente
se fera facilement.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
20.6, matin.
UN ARTICLE DE M. SIMONS. — Le
Dr Simons, ancien ministre des Affaires
étrangères, examine le problème des répa-
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pelé à ratifier l'accord de Wiesbaden.
L'échec de la conférence de Gênes et celui
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situation en provoquant une nouvelle baisse
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L'emprunt ne peut constituer une aide
véritable pour l'Allemagne, ses créanciers
et l'ensemble de l'économie européenne que
s'il fait passer la dette allemande pour les
réparations du domaine de la politique dans
celui des finances, c'est-à-dire si elle est
fixée et déterminée de manière que le tria
vail du peuple allemand complété par le
secours de l'emprunt puisse, selon les pré-
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en un temps limité. Au lieu de ce grand
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plement un petit emprunt servant de mo-
ratorium, un emprunt pour reprendre ha-
leine, c'est-à-dire un palliatif qui ne soi-
gnait pas le mal dans sa racine.
L'exemple de l'Autriche montre que ces pallia-
tifs sont inefficaces.
Mais, quel que soit le jugement que l'on
porte sur le projet d'emprunt, son échec
ramène au premier plan la question des
livraisons en nature. Nous sommes toujours
en présence de cette question : comment
répondre aux revendications présentées le
28 mars de cette année par la commission
des réparations, qui nous impose par an
le total énorme d'environ un milliard et
demi de livraisons en nature en plus d'un
paiement très considérable en valeurs or ?
La réponse du gouvernement allemand don-
nant satisfaction dans une large mesure
et bien accueillie pour ce motif à Paris,
n'est pas définitive : elle a été faite sous
réserve de la conclusion d'un emprunt à
des conditions acceptables. Il n'est pas
étonnant qu'après l'échec de l'emprunt on
ait éprouvé à Paris une vive inquiétude
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nement allemand, inquiétude qui s'est ma-
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mand. Cette bonne volonté existe sans au-
cun doute ; le gouvernement actuel, formé
pour exécuter le traité de Versailles et
l'ultimatum de Londres et fermement atta-
ché jusqu'ici à cette politique, ne peut que
faire encore tout son possible pour tenir
les engagements pris par l'Allemagne. Mais
on peut se demander si les limites du pos-
sible ne sont pas tellement proches que
même ce gouvernement sera forcé de ré-
sister à nos ennemis s'ils exigent la signa-
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Tous les créanciers présents ou futurs de l'Al-
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enrayée ; mais c'est impossible tant que Ion im-
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LES LIVRAISONS EN NATURE. — Cela n'em-
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la dette des réparations par des livraisons
en nature est raisonnable en soi, parce
qu'elle correspond le mieux à la situation
économique actuelle de l'Allemagne et
qu'elle contribuera au rétablissement des re-
lations commerciales entre les peuples que
la guerre a rendu ennemis. Tandis que les
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le débiteur surchargé de dettes perpétuent
la haine, ceux entre le consommateur et le
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res. Mais les accords sur les livraisons en
nature resteront des expédients insuffisants
tant que les clauses du traité de Versailles
concernant les réparations, n'auront pas été
revisées, que la dette de guerre allemande
— car c'est la véritable et la seule question
— n'aura pas été fixée à un total acceptable
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aura pas transféré le paiement du domaine
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