Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-12-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 décembre 1920 16 décembre 1920
Description : 1920/12/16 (T16,N1627). 1920/12/16 (T16,N1627).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6215414x
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
u
MINISTERES
DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
Er DE LA GUERRE
1 | N° 1627
Jeudi 16 décembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
resumés. il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les Etats-Unis et
l'Allemagne (Deutsche Tageszeitung).
- L'ambassadeur d'Allemagne au
Japon (correspondance de Tokio au
Tag).
PnESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et la
Société des Nations : l'attitude du
nouveau gouvernement américain (an-
cien président Taft dans New York
Tribune). — La politique de la porte
ouverte (New York Tribune). — Les
Etats-Unis et le canal de Panama
(New York Tribune). — Le commerce
entre l'Irlande et les Etats-Unis (lVas.
hington Post).
^RESSE ANGLAISE. — Londres et Verdun
(Times). — La rivalité anglo-améri-
caine (Daily Chronicle). — Le « bill
d'hygiène » : rejet par la Chambre des
Lords (Times).
ESSE AUTRICHIENNE. — L'Entente et le
traité de Sèvres (Wiener Morgen-
zeztung).
PnESSE ESPAGNOLE. — France et Espagne :
la prorogation du prêt espagnol ; la
question, des tarifs douaniers (A B C).
PRESSE ITALIENNE. — La situation du minis-
tère Giolitti (G. Bevione dans Gazzetta
del Popolo).
,s SE SUISSE, - Bismarck et Guil-
laume II : le dernier volume des « Pen-
sées et Souvenirs » (Neue Zürcher
Zeitung).
finESSE TURQUE. — L'Entente et le traité de
Sèvres : les décisions de Londres :
Mustapha Kemal et le chef des Senous-
sis ; l'Arménie et M. Wilson (Vakit). x
----- --
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
FRANCE ET
GRANDE-BRETAGNE
t Londres ET VERDUN. — La Cité de
îaiïàres' en adoptant Verdun, ne pouvait
l'A)~ un plus juste choix ; la défaite de
l'AlUemagne f devant la vieille cité de la
k, le a été, en effet, un des événements
(j/ p*ifs de la guerre. L'Allemagne avait
s~~nt lancé contre elle toute la force de
trou Empire,, toute sa science militaire, ses
fOis Des les plus réputées et plus d'une
de i le kronprinz put croire que la route
ris était enfin ouverte. Les amis de
1$p !ra^ce se rendaient compte à ce rnn.
eit du danger, non seulement pour la
cUlce, mais pour l'alliance.
Heureusement, les poilus étaient là. Les
poilus, aussi bien que leurs chefs héroï-
ques : Pétain et Nivelle, avaient déclaré
que Verdun ne tomberait pas et par des
prodiges de courage et de ténacité, ils re-
poussèrent enfin l'envahisseur ; c'était en
1916 ! Jusqu'en 1918, la vieille cité fut à
l'épreuve.
Pourtant le drapeau tricolore ne cessa de
flotter sur la forteresse de Vauban ; mais
au prix de quels sacrifices, hélas ! puisque
600.000 hommes, dit-on, sont tombés pen-
dant l'offensive de printemps et d'été.
M. Lloyd George visita pour la première
fois Verdun pendant l'attaque, et, au cours
de cette visite, il n'hésita pas à proclamer,
tandis que le canon couvrait le bruit de
ses paroles « que l'Empire allemand s'é-
croulerait devant Verdun » et « que le
nom de la vieille cité serait immortel,
puisque c'est Verdun qui a sauvé la Fran-
ce. la cause des Alliés et de l'Humanité ! »
Verdun a donc bien mérité de la France
et de l'Angleterre, et l'Angleterre devait
lui rendre un hommage de reconnaissance
et d'admiration ! En adoptant Verdun, la
Cité de Londres exprime les sentiments de
toute la nation et de tout l'Empire. Il est
juste que la métropole de l'Empire, « la
vieille citadedle de l'ordre et de la liberté n.
commémore en France, à l'endroit où fut
le cœur de la lutte, les combats qui ont
sauvé la Liberté !
TIMES, 15.12.
L'ENTENTE ET LE
TRAITÉ DE SÈVRES
PRESSE TURQUE. — LES DÉCISIONS DE
LA CONFÉRENCE DE LONDRES ne nous ont pas
donné entière satisfaction. La situation
reste indécise et les Premiers ont résolu de
garder une attitude expeotante, jusqu'au
jour où il y aura du nouveau. Les Alliés
sont d'accord pour protester énergiquement
contre le retour éventuel de Constantin.
Ils sont d'accord pour prendre collective-
ment certaines mesures d'ordre financier
qui gêneront certainement les Grecs. Mais
de sanction immédiate et énergique, point.
Ce n'est pas les décisions concernant la
question grecque proprement dite, qui ne
nous satisfont pas : c'est plutôt le statu
quo maintenu quant à la question orientale
prise en bloc.
Cette attente des Alliés, nous expli-
quons, sans nous l'expliquer
1° Constantin n'est pas encore à .\th;,,-
nes. D'où, politique de prudence et de
temporisation.
2° Le gouvernement turc est en pour-
parlers avec celui d'Angora. Ici encore,
l'attente est tout indiquée : on attendra
pour agir, que la situation soit eclaircie et
nettement déterminée.
FAlOT. 6.12.
LES PARTISANS DE LA REVISION du traité de
Sèvres deviennent de plus en plus nom-
breux. Ceux qui ne veulent paS' entendre
parler de revision, présentent des objec-
tions qui méritent d'être discutées.
Ils disent en substance : « Si nous con-
sentons à la revision du traité de Sèvres,
il n'y a pas de raison pour qu'un jour ou
l'autre, nous ne soyons pas amenés à revi-
ser aussi le traité de Versailles, celui de
Saint-Germain, de Neuilly, etc. Pensez où
cela nous mènerait ! Il en résulterait un
bouleversement tel, qu'il serait téméraire
de le provoquer. »
Ce raisonnement nous semble mauvais.
Et d'abord, remarquons que la France, la
Puissance la plus directement intéressée
au maintien et à l'application intégrale du
traité de Versailles, est au contraire la
plus disposée à la revision du traité de
Sèvres. C'est donc qu'il n'existe aucune
corrélation entre les deux, traités, entre les
deux principes, entre les deux politiques.
Examinons maintenant l'objection : le
traité de Versailles a été dûment signé,
ratifié par toutes les Puissances civilisées
— l'Amérique exceptée — librement con-
senti, accepté et signé par les Allemands.
Son exécution suit un cours normal. Le
nouvel ordre établi sur des bases inébran-
lables, et composé de facteurs organiques
qui opèrent et se développent au mieux.
Chaque jour qui passe fortifie le traité de
Versailles, qui plonge ses racines dans le
cœur de l'Histoire. En est-il ainsi du traité
de Sèvres ? Non, cent fois non.
Le peuple turc n'a jamais consenti à se
séparer de Smyrne et de la Thrace. Damad
Férid, signataire impuissant, n'était pas
le mandataire de la nation, mais l'agent
ligotté et apeuré d'une puissance. La na-
tion turque n'a pas ratifié l'acte de Sèvres.
Le monde entier estime aujourd'hui que ce
traité est néfaste à la paix orientale et
partant, préjudiciable à la paix univer-
selle.
VAKIT, 7.12.
MUSTAPHA KEMAL ET LE CHEF DES SENOUS-
SIS. — Mustapha Kemal récemment arrivé
à Angora, après une longue tournée sur
tous les fronts, a offert un banquet au chef
des Senoussis, venant de Konia. Mustapha
Kemal a prononcé un long discours, dans
lequel il a fait appel à tous les musulmans
pour réparer « l'injustice commise envers
l'Islam ». Le chef des Senoussis a répondu
en des termes particulièrement bienveil-
lants.
VAKIT, 8.12.
L'ARMÉNIE ET M. WILSON. — La question
arménienne étant intimement liée à la ques-
tion turque, nous doutons que M. Wilson
puisse arriver à fixer les frontières de la
jeune république, sans bouleverser le traité
de Sèvres. Nous savons que la Conférence
ae la Paix, dans sa grande habileté, a cru
pouvoir détacher Je problème arménien du
statut oriental. Mais en fait, il est impos
sible de faire exécuter le Traité de Sèvres
sans secouer toute la politique orientale de
la Méditerranée au Caucase.
M. Wilson poursuit son idée. Il lui suf-
fit que l'Arménie veuille disposer d'elle-
même pour lui tendre la main. C'est bien.
Un mot encore. Pourquoi faut-il que des
principes wilsoniens soient appliqués lors-
qu'il s'agit de l'Arménie, et méconnus
quand il s'agit d'e statuer sur Smyrne et la
Thrace ?
VAKIT, 5.12.
MINISTERES
DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
Er DE LA GUERRE
1 | N° 1627
Jeudi 16 décembre 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
resumés. il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les Etats-Unis et
l'Allemagne (Deutsche Tageszeitung).
- L'ambassadeur d'Allemagne au
Japon (correspondance de Tokio au
Tag).
PnESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et la
Société des Nations : l'attitude du
nouveau gouvernement américain (an-
cien président Taft dans New York
Tribune). — La politique de la porte
ouverte (New York Tribune). — Les
Etats-Unis et le canal de Panama
(New York Tribune). — Le commerce
entre l'Irlande et les Etats-Unis (lVas.
hington Post).
^RESSE ANGLAISE. — Londres et Verdun
(Times). — La rivalité anglo-améri-
caine (Daily Chronicle). — Le « bill
d'hygiène » : rejet par la Chambre des
Lords (Times).
ESSE AUTRICHIENNE. — L'Entente et le
traité de Sèvres (Wiener Morgen-
zeztung).
PnESSE ESPAGNOLE. — France et Espagne :
la prorogation du prêt espagnol ; la
question, des tarifs douaniers (A B C).
PRESSE ITALIENNE. — La situation du minis-
tère Giolitti (G. Bevione dans Gazzetta
del Popolo).
,s SE SUISSE, - Bismarck et Guil-
laume II : le dernier volume des « Pen-
sées et Souvenirs » (Neue Zürcher
Zeitung).
finESSE TURQUE. — L'Entente et le traité de
Sèvres : les décisions de Londres :
Mustapha Kemal et le chef des Senous-
sis ; l'Arménie et M. Wilson (Vakit). x
----- --
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
FRANCE ET
GRANDE-BRETAGNE
t Londres ET VERDUN. — La Cité de
îaiïàres' en adoptant Verdun, ne pouvait
l'A)~ un plus juste choix ; la défaite de
l'AlUemagne f devant la vieille cité de la
k, le a été, en effet, un des événements
(j/ p*ifs de la guerre. L'Allemagne avait
s~~nt lancé contre elle toute la force de
trou Empire,, toute sa science militaire, ses
fOis Des les plus réputées et plus d'une
de i le kronprinz put croire que la route
ris était enfin ouverte. Les amis de
1$p !ra^ce se rendaient compte à ce rnn.
eit du danger, non seulement pour la
cUlce, mais pour l'alliance.
Heureusement, les poilus étaient là. Les
poilus, aussi bien que leurs chefs héroï-
ques : Pétain et Nivelle, avaient déclaré
que Verdun ne tomberait pas et par des
prodiges de courage et de ténacité, ils re-
poussèrent enfin l'envahisseur ; c'était en
1916 ! Jusqu'en 1918, la vieille cité fut à
l'épreuve.
Pourtant le drapeau tricolore ne cessa de
flotter sur la forteresse de Vauban ; mais
au prix de quels sacrifices, hélas ! puisque
600.000 hommes, dit-on, sont tombés pen-
dant l'offensive de printemps et d'été.
M. Lloyd George visita pour la première
fois Verdun pendant l'attaque, et, au cours
de cette visite, il n'hésita pas à proclamer,
tandis que le canon couvrait le bruit de
ses paroles « que l'Empire allemand s'é-
croulerait devant Verdun » et « que le
nom de la vieille cité serait immortel,
puisque c'est Verdun qui a sauvé la Fran-
ce. la cause des Alliés et de l'Humanité ! »
Verdun a donc bien mérité de la France
et de l'Angleterre, et l'Angleterre devait
lui rendre un hommage de reconnaissance
et d'admiration ! En adoptant Verdun, la
Cité de Londres exprime les sentiments de
toute la nation et de tout l'Empire. Il est
juste que la métropole de l'Empire, « la
vieille citadedle de l'ordre et de la liberté n.
commémore en France, à l'endroit où fut
le cœur de la lutte, les combats qui ont
sauvé la Liberté !
TIMES, 15.12.
L'ENTENTE ET LE
TRAITÉ DE SÈVRES
PRESSE TURQUE. — LES DÉCISIONS DE
LA CONFÉRENCE DE LONDRES ne nous ont pas
donné entière satisfaction. La situation
reste indécise et les Premiers ont résolu de
garder une attitude expeotante, jusqu'au
jour où il y aura du nouveau. Les Alliés
sont d'accord pour protester énergiquement
contre le retour éventuel de Constantin.
Ils sont d'accord pour prendre collective-
ment certaines mesures d'ordre financier
qui gêneront certainement les Grecs. Mais
de sanction immédiate et énergique, point.
Ce n'est pas les décisions concernant la
question grecque proprement dite, qui ne
nous satisfont pas : c'est plutôt le statu
quo maintenu quant à la question orientale
prise en bloc.
Cette attente des Alliés, nous expli-
quons, sans nous l'expliquer
1° Constantin n'est pas encore à .\th;,,-
nes. D'où, politique de prudence et de
temporisation.
2° Le gouvernement turc est en pour-
parlers avec celui d'Angora. Ici encore,
l'attente est tout indiquée : on attendra
pour agir, que la situation soit eclaircie et
nettement déterminée.
FAlOT. 6.12.
LES PARTISANS DE LA REVISION du traité de
Sèvres deviennent de plus en plus nom-
breux. Ceux qui ne veulent paS' entendre
parler de revision, présentent des objec-
tions qui méritent d'être discutées.
Ils disent en substance : « Si nous con-
sentons à la revision du traité de Sèvres,
il n'y a pas de raison pour qu'un jour ou
l'autre, nous ne soyons pas amenés à revi-
ser aussi le traité de Versailles, celui de
Saint-Germain, de Neuilly, etc. Pensez où
cela nous mènerait ! Il en résulterait un
bouleversement tel, qu'il serait téméraire
de le provoquer. »
Ce raisonnement nous semble mauvais.
Et d'abord, remarquons que la France, la
Puissance la plus directement intéressée
au maintien et à l'application intégrale du
traité de Versailles, est au contraire la
plus disposée à la revision du traité de
Sèvres. C'est donc qu'il n'existe aucune
corrélation entre les deux, traités, entre les
deux principes, entre les deux politiques.
Examinons maintenant l'objection : le
traité de Versailles a été dûment signé,
ratifié par toutes les Puissances civilisées
— l'Amérique exceptée — librement con-
senti, accepté et signé par les Allemands.
Son exécution suit un cours normal. Le
nouvel ordre établi sur des bases inébran-
lables, et composé de facteurs organiques
qui opèrent et se développent au mieux.
Chaque jour qui passe fortifie le traité de
Versailles, qui plonge ses racines dans le
cœur de l'Histoire. En est-il ainsi du traité
de Sèvres ? Non, cent fois non.
Le peuple turc n'a jamais consenti à se
séparer de Smyrne et de la Thrace. Damad
Férid, signataire impuissant, n'était pas
le mandataire de la nation, mais l'agent
ligotté et apeuré d'une puissance. La na-
tion turque n'a pas ratifié l'acte de Sèvres.
Le monde entier estime aujourd'hui que ce
traité est néfaste à la paix orientale et
partant, préjudiciable à la paix univer-
selle.
VAKIT, 7.12.
MUSTAPHA KEMAL ET LE CHEF DES SENOUS-
SIS. — Mustapha Kemal récemment arrivé
à Angora, après une longue tournée sur
tous les fronts, a offert un banquet au chef
des Senoussis, venant de Konia. Mustapha
Kemal a prononcé un long discours, dans
lequel il a fait appel à tous les musulmans
pour réparer « l'injustice commise envers
l'Islam ». Le chef des Senoussis a répondu
en des termes particulièrement bienveil-
lants.
VAKIT, 8.12.
L'ARMÉNIE ET M. WILSON. — La question
arménienne étant intimement liée à la ques-
tion turque, nous doutons que M. Wilson
puisse arriver à fixer les frontières de la
jeune république, sans bouleverser le traité
de Sèvres. Nous savons que la Conférence
ae la Paix, dans sa grande habileté, a cru
pouvoir détacher Je problème arménien du
statut oriental. Mais en fait, il est impos
sible de faire exécuter le Traité de Sèvres
sans secouer toute la politique orientale de
la Méditerranée au Caucase.
M. Wilson poursuit son idée. Il lui suf-
fit que l'Arménie veuille disposer d'elle-
même pour lui tendre la main. C'est bien.
Un mot encore. Pourquoi faut-il que des
principes wilsoniens soient appliqués lors-
qu'il s'agit de l'Arménie, et méconnus
quand il s'agit d'e statuer sur Smyrne et la
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