Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1906-02-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 03 février 1906 03 février 1906
Description : 1906/02/03 (Numéro 15744). 1906/02/03 (Numéro 15744).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k617427z
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/10/2008
et Fernand • Labidoîs, ont été arrêtés, hier
après-midi, 1 ppur avoir dérobé des pièces d'op-
ievrerlexbez un fabricant de. la ru$ Béranger.
CHUTE D'UNE CORNICHE. — Une corni
che d'un®, longueur 4e- quatre mètres environ
s'est détachée, hier ïnatin, du troisième étage
de la maison 110, rue de Montreull, et s'est
brisée en tombant sur le trottoir. Fort heureu
sement, il n'y a pas. eu d'accident de person
nes. . . ' „
ÉCRASÉ PAR SQU' TOMBEREAU. — Un
charretier. Paul Michel, fige de quarante ans,
demeurant rue de l'Argonne, est tombé, .hier
matin, boulevard Davout, sous les roues d'un
tombereau qu'il conduisait. Relevé avec-1*
thorax broyé.-il n'a pas tardé à expirer.. >
ACHAT tris ch'er Diamants,p'erles.bijoux et
Recono.duM^Me--Piété.Lehpp,12 l r.L&lflUe
" A SAINT-DENIS :
et Cwigneit failliras
,.. ta cérémonie. annuelle du couronnement
des quatre, TCstè4-e» de Saint-Denis, a eu lieu
hier matin", ainsi que Je.Petit Journal l'â
annoncé. ' : ■-. ■ ;
Le» trois • rosières bénéficiaires du legs
Dojn Belloy de Francières : Mlles Lucie
Raschaert, Marie Pion,.iElvire Viellant,
charmantes dans leurs, robes .blanches ;
Mlle Joséphine Francq, bénéficiaire du legs
Fleury, dont .la robe est ceinte d'une échaav
pe de soie ibieuçi, qui, la différencie des au
tres, ouvrent la marche du cortège qui, dé
,1 * I. '< '-r, i- -•
ji(J ' ''ta. ADAM/fnalre tfeSalnt-DenT» -
J'hOpital-ho^pice, çe rend directement!
l'Hôtel de Ville, où le maire, Rfc' Adam, pro
cède àleur-Union. 1 • '-■ '. .
On se rend ensuite à la basilique, où le
marfagef reiiglçtfï èsjt célébré/ puis.l^n re
tourna de nouveau à l'flftel dé Ville pour
la remise, des dip^ia^ des.médaillçs et dg#
lcsrs» «V ^ '' '*
• Les trois /premières rosières Veôpivçnt
600 frànca chacun? ; .la quair jème 5QQ troncs,
puis 3ÛQ francs le 15, août prochain, joiir où
«lie.devra «imposer une epuronne d'immor-
telles sur là, tombe 4e son bienfaiteur;,
Adanv [prononce, ensuite,' un discours',
phaleureusément appliaudi, oi> il rend hom
mage 'au, mérite des quatre jeunes filles qué
leur travail,, leurbonne conduite J?nt dési
gnées .au? çuffr^g^^^u bureau «Je bienfai
sance, et il termine en leur adressât. 5 1
vo>ux.de «prospérité-et; de bonheur,, vceux
auxquels le Petit JmrmX >at heureux de
s'associer, . . ... . r-,. .
< "—.. •••, .' ■<, v'»; •», \ \
La santé -du g rand-duc de Luxembourg
\. Luxembourg,'2 Février. < -
te ^ôtrvero^ine'ntf'a ' teçw&a ehâteacp de
Hohenbourg la'commUnie'ation suivante -r
« Comme depuis plusieurs joufcsTaméiio-
.ration l'état de santé du grarid-dnc s'âc-
centue chaque jour, que les .forces revien
nent et que l'alimentation est satisfaisante,
on cessera de publier des bulletins de santé
régulier à. » . .- j !
ARMÉE ET MÂRINE
LES SOCIÉTÉS DE SEftURS I0TUELS EÉGHEETAIEES
* t)n sait quelés.statUts de$ futures Socié-
"tés régimenta.ires de secours mutuels ont
été approuvés par lea mihistrejs.de l'itaté-'i
rietir et" de. la guerre: v ' " j -
: M. Eugénè Etienne a i)et)sê'qii'iî impor
tait de prépare^, dM.maintenant, la mise,
en application éventuelle dé, çeà .statuts,;
afin que les' 'Sociétés militaires puissent
fonctionner des que le Parlement ayr4 voté
le' projet de loi actuellement déposé sur le
1 bureau de la Chambre des députés. ' , .
Ce projet a pour, but de consacrer '.l'es s
dérogations & la loi du 1-" avj'il 189# gur lesi
Sociétés de'Secours mutuels, dérogations
-côntemiés dans les statuts et rendues né-,
cessaires par J lés règles de la hiérarchiè et
de la discipline,. • '
Le miniswç de la. guerre. 0. déjè.enveyé
aux autorités ' militaires les '. statuts, des
Sociétés régimentftiçes. <.•
Ils devront être examinés et commentés'
Hans un rapport'qui'sera adressé bientôt
au ministre par.chaque corps, de troupë. -
De plus, M. Eugène Etienne à décidé
qu'une conférence 3ur. la Mutualité dans
l'armée serait faite dans chacune des.
écoles militaires d'officiers. , ;
Lorsque ces derniers prendront leur ser-;
vice dans les régiments, ils pourront ainsi
participer utilement- à l'organisation mu
tualiste qui sera .vraisemblablement «lors
en plein essor.
Enfin le ministre & invité le commandant
du Prytanée militaire et les commandants
des. écoles militaires -d'enfants de, troupe à
examiner s'il ne serait pas possible d!or-
ganiser, parmi les élèves, des Spciétés sco
laires, d'où'ils passèraiënt ensuite dans les
Sociétés régimentaires.,. , . < ;
Pendant ce temps, la section de l'a Mutua
lité, de nouvelle création au cabinet du irii-
nistre, et lai Cômbaïâs^ôn militaire de la Mu-
taalité préparent un r^'âihént-intëri'eur et j
Ain .commentaire des statuts.
AUTOUR_DE
SERTICS spécial »P Pe^it ^oiurijal/
Chamarande. — M, Théophilegendre,
rentier à Chamarande, s'est tiré trois .çoups
dé revolver-à la tempe et à;la poitrine.-.
'. La déflagration de la. poudre mit le; feu è
ses vêtements, ainsi qu'à, son; lit, ftt l'on
trouva le désespéré râlant au. milieu des
-flammes. ,t
- M. Legendre n'a pas tat;dé à succomber.
Agé de soixante-dix-huit ans, il paraissait,
depuis quelque temps, très affecté d'un pro
cès qu'il avait eu avec'les héritiers de. s»
-femme. < - ,*f .■,'--•.1 • ••■ .•
Essonne?. — Dans le coûtant d$ l'année
dernière,' un ébéniste, nommf ' Sfû&sot,
tuait,, à. coups de revolver; à Essonnes, un
boucher, M. lïénot, chez qui s^ femme était ;
caissière. ' . sI ' ' ' ■ , 4 ' ■ ;
Arrêté séance tenante, Saîuéot fut'échoué-
•â' la prison de Coïbeil et' M. Régfemanset, i
juge d'instrufctioïj, fut Hçhâirgé de l'énquêtê. •
' Au cours de çelle-ci, le défensètif» de l'in
culpé émit l'avis que son client ne jouissait
pas de toutes ses facultés et demàpda qu'il;
fût souiiiis à ùrt examen médical. = ■, ' <
" Comme l'a dit le'Petit Joûrnal, ce fut le
docteur VigouroukJ 'médecih éh chef de l'a-i
sile dé : Péray-V^uçlus^ 'qtii fut.chargé de"
cet examen.
Les conclusions "du "'médecin, qui déclare
Sâjçsot" Irresponsable, [qnV ,4etejiftii>'é îM.
Regismanset à rendre-une ordonnancé - de
non-ijeu en faveur, de Fincylpé. -, )
Fpntenay-8Qua-Boi9. Un pénible acci-i
dent S'est produit, hiçr-ma,thr, rn^, de, la
.Dîo^, 4 Fontçnay-soqsrBois, dans, une ing-i
.trtution de jeunes filles- ■• = . ■ -, 1
Deux domestiques, j 4© 1 l'ét^bliçsemen.t, (
Jwwe.fce Mua, ftg£e',de,dix-sept ans, et;
A ï B iq ,Joséphine Ludwig, âgée.-de.quarante-;
sept ans, étaient apeupées 4 préparer dej
l'encauBtiquei lorsque récipient qui conte-:
.«ait leur préparation fit explosion, ., - ' j
.. L'essence 3^ répandH eur le ^ovu-ne&u -et;
s'enflamma. . .... ,, - ■ ... » - !
- Les -deux- femmes,- affolées," -voulurenti
-étouffer les flanjmesj mais la feu se commu
niqua 4 leurs vêtçmçpta çt elles, firent très
.grièvement brûlées, avant qu'on pût venir
-à leur secoure j. ■ , • '. ; . ...
TwteSidflUS çnt été tonspoïtées à l'hô
pital Saint-Antoine,..dans un état-fort
grave,-. n
Le, «omm'enqernent ,d,!ip(Jenaîq( quï avait
suivi l'explosion - fut rapidement maîtrisé
par le personnel de"l'ét&Blisseçrient.
' Puteaux. ~ "tJn incendie s'est déclaré,
hier matini à Puteaux, dans la teinturerie
; HuI6t, : située 26y ru» des Pavillons,, et 27,
quai National, actuellement. dirigée pftr
MM. Ménager, Collinet et Chambaud. Le
feu s'est rapidement propagé dans -les M-
timçnt^jde lar teintur erie où sont situé» les J
Séchoirs, ét qyi sont' construits çn plançhea '
et '(ouvrant Une superficie de dçust cehts
mètres, envirom
^ Les pompiors de Puteaux ft' ceuxi des
communes environnantes i Stireanes, Nan-
terre^ . Colombes,.- Courbevoie, arrivèrent
sy? lçs lieu^ t jrpaiç lpurs efforts étant im
puissants, pn dut demander d$a secours à
ï'étàt-major .dés'port^pie^', d? Paris, qui
le Mil i 8à m Oad aine à Lyon
j Ion est à Lyon ^eiwis irôîsieôiSaines^ -s'ân#
/D#;ecÂé ,_(fe jàotiè.' correspondait) |
V-" *" : - î'Lyon*, 2 Février.y
^Vingt-ijuàtVe 'ftetfrès u rie Wét'aierit pas
écoulées depuis l'assassinat de l'infortunée
Mme ïSiponïtetîejuë iW^vait mis la mp,in
sur geS auteurs/ou'tout au ràoiris sur daux
hpmçjçs contre lesquels existent de graves
preçomptiohs de culpâbïlité. r '
; ,L$ service, de la st3(reté avait, àu' c'ô'urs
qui
envoya aussitôt -ûne "po'nipe ■' automobile'.
Lé sinistre prit bientôt ùpeHelle propor
tion qu'on dut se-borner à protéger lès
maisons voisines. A dix heures, les .pom
piers jetaient, maîtres du ,feu, mais 1 il-ne
restait p^yB des ; çtelier? incendiés qu'un
amas de décombres fumants qu'ils conti-
à «çyçr». ( ' ., . r . •;
j. L'eâ dégâts, .sont, çonsiderébles 'et sont
éyalues àûne çèntftine de milleifï'pirieSf '
™ 1 Suï*dnviron*deuîî cen$ r einqu sonate ouvrieirs
occupés dans l'usine, une centaine environ
devront chûâiec pendftnl'un imoiii; r --
) L'enquête fpite par Mi Apdrjeu, commis
saire de police sinistre était dû à une cause pnre«xept>ç-
^déntell§,,,r ;' v ;.
Saint-Denis. — TroÎ3 indiyidusr 'ôfit Es
sayé, la nuit dernière, de ' s'empare'r,' ave
nue de Paris,. d,'un.fût.de rhum olacé sur
Ûn"camion conduit' par le'' cocher Léon
Gollin. Celui-ci descendit de son siège'pour
iS'opposer -à- lai fuiteudes .volèurs. Il .reçut
un coup de tête dans la ppitrine et tombfy
îlse trouvait" sûr son hftquet et én àssenâ'un
coupeur la tête. d'W de ses .agresseurs qui
roula inanimé sur lé soL "Les deux "autres
malfaiteurs se ruèrent -sur lè cocher et bra-!
quèrént sur lui leur revolver. Léon Collin
s'enfuifc. Quand il revint, (quelques instants'
après,; sut l&itèy, de .la bag^rs?, açcpippa-
gné de- plueieura agents. ees. agresseurs, s'é-i
taient. .enfuis ■ et "av^içnt çmpoifté^e^r'' cft-,
^M.^È^^df'comSissàièé' s ïè < 'ptJllcè' ( '- ! Sfait|
rechér'cliei'les-auteurs de Cette agression. ' t
BagnèuX. ";Un Tarâinïer, ; iPife/fe" Hygonèt.i
jé de soixante-quatre ans, demeurant Tue de
la Mairie, >à> Bagneux, qui ^tait- occupé, hier
-après-midi, à faire brûler des débris.de, toutes,
sortes dans son Jardin, "est tombé ltf tete la*
première dans un tonneau fixé dans la terre
et contenant eftviron' 40'-centimètres d'eau; et
y a été asphyxié-
Bourg-1a-Reine.
Le Cœur, a été tamponné
Un habitant d? l'Hay, M.<
* *-*— sur îa'lié:
hier,
■ne
A'flon^me «n, Le corps a dû séjourner huit ou dix mçjs dans
es T luguWes l Testesi ont été transportés
lorsqu.—
vivre. Le corps du défiât a été transporté m
son domicile. ' ■■■"'.• -, » Jv . i
- Epinay. — Hiér matin, dçs mferfnièrs oftt re-;
tiré de la Seine, quai de.. Seiner,/.un, tronn'
-d'homme en..complet état,de décompgsitionj
Le corps' ** " ""
l'eau. -L
4 la Morgue,
Ivry/-^- Lés Jeunes filles désirant bénéficier
du legs Molet, Consistant .e« -une somme de-
621 francs, sont invitées.^ $e faire inscrire à
la mairie d'Ivjry Ju^qq'au 3 'mars..prochain,.
yinçettnes, -r- La, salte du- cpnséil de,Vinçeij-
ne$ où l'assembléé.municipale tjént §es séances
étant devenue trpp. petite, et pour ainsi'dire
inaccessible au 'public, un projet' dè - modifica
tions vient' d'être spumis aux- corisèiUers.' Il
ne s'agit pas, comme'on l'a ait/d'un agrandis-i
sement de la mairie, mois simplement d'amé- !
nager la salle 4ea lêtp» en salle du cqijseil. - -
v h .f • i- fttw Sl'MQNHJST " ' ;,?e ;
âe l'epquêt^ recueilli de la feouchë'^e? Çn-
fants Ajguillon,,dqnt la mèi^'est.-la sçeyr dé
-Mme -Êiraarçrîe V^u'renseignwtçri't' extréifté-
ment important,' " ,' J.
. L'un des petits'garçdns ,Rivait- dit' â I*ini-
pecteur principal Gphnard'que, la veille;,,"39,
mèjre,-'p,y4it".recu-la .visité'd'un certain Eu
gène Barlon, cousin de M. Simonnet' père,
et qui- prétendait être arrivé de-Villefran-
-çhç-sur-Saône le jour même. r
—'Je yiéns, ayait^il'dit, cijierfcher'dU trà-/
V^il .à Lyon, comme .mépaùicien,, rrrais, je 1
suis sans argent, ypudjri'ez-vous me prêter,
5 francs ? . <■, >. , 4 ' " , . „ ,-,l y
r j Mme Agiïillon consentit,mais en ajoutant, |
en raison des- liens de parenté qui 'unis
saient M. ! Simonnet à Barlon >•*')'
' p*' Ce n'est pas-4 moi .qiie Y0US J g.uïié? dù
yçus, ^dresser, mais A J»» scêur pyJà. so,û
ïfwwri» f >-. 1 ' *• 1, >i i- î*.- Û ■
,. Op ' recherchç • Barlon, qui, fut retrouvé
cette nuit?, en compagnie d'un nommé Fré
déric Sàuvinet,-dit « Qu'un œil », tous'les
deux, pçiginaires, de ^pint-Etienne, Icompie
^1, .Simonnet, ^
. Conduits,à lasûreté, ils furent interrogés;
.séparément,.et-bien,qu'ils niassent,/de tel
les contradictions furent relevées, ..leur
alibi était si imprécis, qu'on les 'fit exami
ner sur l'heure par le professeur-Bçyér. '.Ce-
jLu}-ç| çrpit-reconnaître "clf>e taches -de siàrig
.dans certaines, m'aculatuyes relevée^ suflep
manches du .veston-de Bftr Ion, p ■
:Çe matin, à huit-,heures,-jles-deux.jeunes
gens ont été conduits dans-' la chambre où
«ouchait Barlon, lequèl avàit récemment
jecueipi 'son compatriote Sàuvinet. 1 "
Les. recherches '^n'a^ppèrent pas,,1a r -dé-
JravaiJL .ni .ressources, pag -plus ,4u reste-
que Sàuvinet."""""" ' -. --a -...,»-,, --.-r—
. Détail assez plqyant,ipr.squ.'Qn- fouilla
les-deux homme^, aussitôt' aprèp leur ar
restation; on trouva'dans là ppchV.de l'un
une ordonnance, de. médecin/prescrivant
un baume et'urtç jominadç," " . , f
: - Vou^avez 'ét| malade; dit le chef ûk
la sÇreté T '
soSier."'—' P Tl '
- Les agents r^pvfèrent-d'abord de plu
3ieur3-pp,àce,mot',;pw'*cour£
se hiirent à touiller lë détenu:
' Enfin'il s'wt produit- dans la journée ! un
fait qui egt venu apporter contre lës incuï
jjés une charge écrasante t> • " ■ ■ '
- Un ami de Barlon et dé Sauvinét, en lf-
■santxjlans ies journaux lès détails du-crimè
t étaient les criminels. 'A ce moment, nous ne
"Savl&ns péfy., feoçorê rarrl^ïatiqp ' (|èS ' a s-
BSWÊÔI 3 PËVfaËa ÏÔ08
sagsioi
«Mi
m
Ma
kesiTseymw
-U-POJRÏOI SES AÏTIHUTiEBIBS
La f Cour de^ Cassation. % rejeté. hier le
•du crime était un niarteau, ses yeùx se
portèrent sur la place , où-il mettait d'ordi
naire, un petitimarteau nickelé; jadis con
iectionné.par l\ii. 1 • - < • '
Quelle, ne futpas pa stupéfaction en-ÇQntf-
■tatant que l'oljjet avait été récemment tou 1 -
chê- Lpjbois du manche portait'des tracés
évidentes de. lavagej X)n> trouva entk-e le
otanche~et-4a masse-' deux cheveux île "la
cçuleyrdde ceux.dQ=MmerSimonnet.'. .>
.fA- n'èn pas. ; doi4er-, lés 4 coupables, l'îqrai
igrifsrentf enedre t0ttçldês.o u ^èrte, ont pro
fité de l'absence de'leûr ca.rp.aradg.ppur #1-
■ler pMndre-cé ; -marteau'"gUi, selon la pit
toresque expressiàtf du. téirïbinj est un vlj}»
table, petit bijou. s
Çrt:aprës-midi,; l6 : prdfeBâôirf" Boyefl.fait
h l'ftHtppaie .duîfecad^vre ide
^nw,,$toïoiwet{ 1 LP médeetarelégistersii/fk
PU dire,: tant lpe.os'ide>ia-laceront broyés,
zambien, • coups de martsau a pu recef
?iPfiS -î ;i ,b : -3, -r-. hi V j
-•-if- • / "o ■■ 'i i •
i.) 'wr^'-Va.vav
■ Mme Simonnet a un frère à Paris,/M*
Eugène yaclç,7 ïjul^est'pouç-brigadier de
gardien? -de la, païj,^.u -.poste ,ce«t^,4u
douzième ^ondissémént,» rye,pigi?oî>r' ;
, ÎNPUS;ayops'pu,rei).p<)ntrer, jy(, T Vackche?
4Uki:m|àPle,y^, 4^
sait à, âjler. prendré^'l'e .tra^n ppur-, Lyon ; (,
iiM'àiujappri® llhorrlble nouvelle hier jSOiri
^par~unç - ■
:ïrère.;.C9
méd-iatëment a Lyon.-Je «uis allô aussitôt de
mander il mes chefs la^permission.de m*ab9en-
+ ■ * •' • ■
ièlïnQl
î'cdmp-
. _ lifrtifé Muy
fià' âépêohé* îS'hiéri sbir. Majs le
pauvre; homme, accabl^.par la doulçur,:nJaura
1 gas i su-,la I f9rçe,(l',écriM......
Ma p^uvr$ 'sçeur; étWVtrèS ^ouîffrante da-
,-puis'une,dizaine d'année^» 1 ; 'elle ne pouvait
mf/rnn LA f'CÎ 4. - 1 * *** - r± * ■■■*—' J -
UO VUM^VV «WW kvtuw
''.b i J ( i 1; r» n
,,iflU9 ; 3e .n&âuis alW
part, jq m'attendais à
presque -plus marcher ët'ne travaillait- que
Chez elle, (encore'étalt-eH*-obligée de.se faire
aiden. i-i- - . n u v- '-n ■
vifSLyfe » auatreasna..^^
.à,-Lyop .î depuis .monidépaTt.^ r- r ^ >r
apprendre la mort de ma .sœur, mais fétai^
loin'de penspr qu'elle serait assassinée •!
h » Le ménage''fie ^non' beau-trèrp était paiH
"faïtémént heureuï,''èt Simonnet 1 ,-avant d» tra<
-vâiller k son:atelier de- forgflt. a été 'inspec
teur dans un commissariat de police de Lyon,
i"').
Lè' cadavre dans la pièce # il k été, découvert., '
trpuvft -.çertai^i-papiei^ qui .vont' être. exa-
ri ,fr !
Eç.qiitrp, il. j^t;-établi qu'Eugène, gae-S
'1 r
sjtlc.c _ ( ^ t t , , ..
"'fJous avons pris tfongé de M. Vack -qui
oous « di^ ne,pas. pouyo.ir>supposer quels.
çembre dçrpieP jbout' propagâpde antiRiJli-
tarjgtç par/voie dafflçhager - - r
■ : £,çs. moyens jnvoqué5;étaïçnt dy. r^te tous
enùre fornie.a f exception du pondàmn
dç, ,
yafoudi qui invoquait we erreur, de-
Xîédure, à savoir qt?s la ootifiçation'de '
ret de renivoi^dey^t la- coyr d'assises
avait ,été ?ajte, -en l'abèencç dç 'doiQiçiie
coripu, iu p^rqUet "et non à la Çôurse du
J ïy^ji; et que l'affichdgç àvèc lsl .fqrmule
ionformément A la loi ». ne précisait pas
A-,,- .M' ' r; 1. .-t «».*
>Ç
;uh
;CI J OTréSi)B,ÙI , AItîirB H0p?Rf--;
' Hier, à-dfeux'heures,' a-eu'lieu au .tribu»
nal de commerce ,-la «lôtusa des opérations
de Ja faillite Humbert, prononcée*le ,1^ mai
1902. La réalisation-î'.de- l'actif .-immobilier
et mobilferr» produit 5,272,&22 francs 15
poijir uà "fasgrf total 'admis.- de #1,351,801
francs ,Ç7, qui a""toTifihé"*un dividende de
2 fràrics iiï %. '<•' • ■ • ^ .c-i. <- f
/M. Lihol,""çontrôlè!UP f 'de la»vfaillite/ 'en
rappelant-l$fe circonstances de! cette retenf
tissante affaire, «'est fait l'écho de", tous
les çréancierg .pour- remercier ■ lai'justice
ftpnsùlaiyo 1 èn*. la-'perâonhai.du 'président
Laurent, > juge^ommissaire, v -et reconnais
tré'i;publiquement 1 -les -éfforts- du'■ syndic
Bohneaw pour ■ sauvegarder leurs intérêts
et les épaves de -la trop célèbre faiftiUe,
aont-'on-ïavait- clôturé, les' démêlés judi
ciaires.; ' -n ; i , , . ' • ■ ; ■). J: ■ ,
2^0UVELl^S > JU2)ÎClAiRES
prpnoncé,
tipns.,, „ „,. , A t w Bv ^^ % , fc ■
m n .1' m#i .11.1 I > >ft aaA.J
AU cirque d'Hiver, changenvent de spectacle
«t 'jiréjnièrgr wprésanUttion du 'Million de la
bîe&uï'^ re ' : P^ Rt0 P me T W| t VÉ! t ^ a ^î 1 deux ta
..Outra le,clown Çérp-d et. son Auguste, toui
deux, 'sL drôles * et- si. originaux, .'et la troupe
Donna-Manca, les renommés gymnastes ne
force',.-qui' ont-débntû, ■ hier et: avant-hier, eu
Nouveau-Cirque, se soir, samedi, auront lieu
les de.buts des fameux Lécusson,' les superbes
Jjçkeys," dont,les''éXerçiaea '4 -çhéval mt ,une
réputation.universell£,*COmtne on le Voit, : les
artistes, tousse «reqye*'«jrdre. se succèdent
Journellement, sur là piste du -coquet établis
sement de la-rue Saint-Hohoré: -•
pat
musante. - --opltate^fa-.'jxt»Ji Flirts*
* j -» v ,f»» ..-jr fi/6% < ■ 1
jf ce soir wmçdi.. au MpuliKu-Rougç, a lieu-la
?! grande lêtedp nuit.de la saison : grand bal
je, -bataille de fleurs, ' farandole çt Te-
tution des quadrilles de'-chioards. La
fOi.rée commencera $. 8 h. 1/2. A signaler.parmi
les attirions, la sup'érbé Lola JlaWthorne et
blés danseuses anglaises Jncompara»
• „ «Ci ' rJ
éh&z-lVlé^ano,.débuta*dePlaçfc and!
Wh^«5,. plO}vns, ; fnusicavuc t/ Le succès de là
voyante Mifoslca s'affirme à chaque représen.
mtion .} çn applaudit les autres attrâotions \
l?? gymnastes Roberts, au-tt'apèze volant ^ le»
éléphants -babies v les clowns si ,amusants d<
la compagnie de Boum-Boum* , ; . , '1
fi;jperaain, «dimanche, mêj«9. spectacjç A,1a pa>
t»ftéfe '..i 'h-im*.,». .•,/ou.fwt, » «
/■i
'ctvpA^p'ç:.
^ÂufVaudëvuie. SSrné _
tradition qu'il s'eçt toujours imposée au len-
premî^e fC^prel y^ pifiUre en
répétition, pow 4tr& .Jouée après U- Péril
*aune, une comédle-en-3 aotes, de M. Georges
• .«X^j^.'lntttuMe -, 1$ i-fiffurgtm, dont le ma*
nusçnt.. Complètement terminé,, vient, de lui
etïe remis, ■» *<■ ' - '1 (ui' - *
■ .r.o:'-!.'.'!',râ • .1 nv-.yv• ^ 4-. i
Aitthéâtre duPalais-Royal. îapéraie > st.!,la,j première représentation de «i
Le service • aè' ' s'ecbhde - ïéprêéfentattowvfiour
les Hannetons, 4 la r Renaissance,■•serà recu d&-
main, (litnanohei, ■, ^ ^
. M. .Claude Roland a réuni,. Ja uûït $rni&re,
restaurant: dp§-boulevards; ppur fêter
la Sut) 6 ' représentation, des Francs-Maèpns: les
directeurs; du; théâtre Cluny. 'le? créateurs 'de
la pièce, la plupart de-ses amis "«Mls soiU
nombreux... ' : ..-.V.: i!> !i ; ov
„ Tôslesoupèr, par petites taoie?è'dans'unê
salle, oùi 1 éclat des. lumières le .disputait'a -ca-
permis
dàpplaûdir Mlles, Eva Dupprret, Palba, M.
Leoni -et 'la fcompôsiteUf Varnej^ puis on a
dansé Jusqu'à six heures du matin, - '■ ^
î '. - •>.') ■ '. \VV , u'H't '•< •
soir 6 théatrp ' de ?- Yftttétéavétaij >ii,iête.4jier_
Le, total' des recette^ âxi BonHenr^ jnèsédmes J
dépassait le chiffre spléndide'dâ Ï59.00Q fràhpst
La salle était comble tet le public enthousiaste
cpmme aux premiers Jpurs. ' •> > 1
' Le cas est assez rari pour âtreicité. -que ce
lui de cette comédie dont un nombre, très-lie
mité de représentations est annoncé, et qui, :
4-la veillp de la 150», ^présentation, est encore
pleme.ypgup, ■
Demain dimânche, ft .8 heures précises,-deins
•la grande Salle j des Concerts du Conservatoire
dev musique,' première séance du ' Quatuor
Capet (MM; Capet, ïourret, Bailly et HasseV
mans). •„. »• . '
1 x ■„ •• v, \ - , 'WV î,
, AiTrianonfsilaidemand^aériéroiè. ion "dôa-
nefa, aujourd'hui, à 4,h. ,3/4, ; une.seconde au
dition des émbuVants Chût ifs, (U guerre\ d'A
lexandre. George: ; les chœurs seront dirigés
par l'auteur, lequél açeompagnéra' ses inter
prètes MM. Bureau-Berthelot," Georges Marty
en. tête, Le soir. continuatipn des dernières &a-,
présentations de la Botine, Qtlafaç,iV amusant'
vaudeyille„4' ( fîenrt Grèjois., ■ * ." ' ' ' j
s ■ V vi',.
;Le théâtré des Arts. gnplles. donne, < ce soit, à 8 h» 1/3. la-.première i
représentation du" Boi sans couronne,, ^>
L{f-tèrior HtUaws'f^ta- wi. 'dtmâôt'di*;
manche, à 2 heures, au théâtre du Jërdin d'Ao -i
climatatipnj danâ Guillaume Tell, -i \
' il 'chantera»4$'tôle ^'Arnold> et -les, autres!
rôles .seront 'tenus-- par-MM. Valdorv^CèbêS,
•Delbo? et Mmes Çalembièr et.de Palhen, l,es
ballets et divertissements 'ont été réglésv-par
Mlle.Charansonney. / " t- —
f- ,-■ ..^y^ - .
Deux excellents ar,
jp^ts. de. VOp
quei'Viennen
quelques-,uns.vde leurs ■ûamàr&dçs.'de très;
beaux,.^uccès. À chaque ' représentation de
cette saison- française' d'opéra, les ovations et
les rappels sacsuccèdentisana discdntihueï.
ii\ -W* ; 'Ixoïï
Dè notre■ correspondant de. Londres,; bïfé
vrier : - i, ■ ,,pn a joué.hier, au #ew f Fqyalty,Theater, |a
Petite Fonctionnaire, avec Galipaux'et Mlle
imÇijS J
Mme Bartholdi, ^veuve: -duigrand scfôlpi
teur, viant-de -verse» A-la-Société des Ar*
" ' * 1C9,
Ule
de
en
*s fc { 1 ,.
. 'péttè'soï^piè,; 'rervtfa^à fonder ^laPpriX
d'ujiei'vàfeur de lOO.Ïfenés'et 'destîné'^ ré-
cojftfignser' ahnuçllem'ent ! a;u Balén, -Uii' âr-
liste Irahç'aia Agé de moins -de trente-ans,
auteur d'vna, oguvre remarquable 'par lea
qualités d'inveption ou d'imagination dans
n'importé quelle." catégorie-'d'aVtr i : "î ' •
IlseraattribuéparlefconBeJîjJ'admliiiai
tration de 14 Société et décerné pour la pre-
rnièreifois'ieh 1906..L ".,'K ><• ' -t
■'Une élection .complémentaire pour 4a, «0?
minatioxk- de deux membres au jury-de
peintura, «n remplacement de MM- ;Bouguer
reau et Henner, décédés, aura lieu au. siège
ûe 'Ia'Société des ArtiitSS 'frangais^ ?Çrand-
Palais des ChampSiElyséefi, Cosrç-la-Rein»
(porter D)i le 'VendsediiîjHiftMv id» fieullwiu-
fes Aquatra'heure a._ 'ûs- : ;,î ,n-VrSi <
r ■ Af„ JïaussoullieT .aprésenfé^îçÀà' l'Aca-
dëmiédés inscriptions' et b'elle^-le.ttrea, trois
inscriptions ^recque^, inédites qui"proviens
nent des fouillas exécutées à Babylone.
dé ççs .inscriptions iat-le-palmarès
dUma uistcibutioa de prix>au gymnase.de
Babylone en l'an"-110-avant notre 'ère j ce8
documenta-, grecs, provenant '.de\ l'antique
capitale, «ont de^ j»1ujb rares, et là -plupart
qnTétérdécouverts pay les,Allemands.
- Pour :$onAèr' l'exemple;à.feê& confrères,
dont aucuA nè tfét&it'fait ingerirè 4 l'ordrê
du jouir, M: Cagnat, pré3ident; a présenté
Après ia' pièce, GalipaUx a dif ' ùn "jnono- J
logu^i-v , - :■•- 7. 1
MHSI®
■Ça soir V" i. * , - r t
A l'Olympia..répétition générale,A bureaux,
"èuveTts de Parh-Fêtarâ, fantaisie à grands
spectacle, en quatre tableaux,, de MM. Geor-,
' *' • ilnnnAé TtnniiAniifi mi»ha ■ ^ a 1
penda^t'îongténjps 1 on ! ivait'aoriné',' it cer
tains monuments ' déifpuVèrts, 'uôé destina
tion hypothétique, ^ sans.• sPngèr '. J qu'ils
avaient' pu renfeiroer letf' livres 1 -et ''docu-
jnents. Les niches"pratiquées dans les mu
railles-,-fet quefTdn~'avmtrt!TO a^oïr contenir
des statfips, .ètajent en vérité des-armoires,
dont les portes ont dispa ru,'.^" "
LiESSPORTS
[uêpêfhe de noPrç çnpoyè spêciaVy .
'■ -L.-"i-'-'u.-^v, 2 février.,
Lea poids du prix du Palais-driver.
granda eourse de baigs.r handicap, ^20,000
francs, 3,500 mètres enyiron, la seconde des
-grandes. épreuves 1.de la ; réunion ' paloise,
aui figura au programme de. la ioujfnée de
jeudi prochain, ont .été publiés Aujourd'hui
à midi, à Pau.'; y V .
1, Cinquante-six chevauchaient été,- enga-
KéSt JFrwdîand II, Grand-Puc,. Malgré-Tout,
Flâneur ^1, Mlla-Uollar, Aubade, Île-d'Elbe,
; Çondé rll, -.Erin' iH, ï ArbeoBt et Savarin, ont
■été: retirés avant,la publication des jpoids.
t-ii^J^arautercinq chevaux jpnt été handica
pés.'Eft voici la liste : • ^ -■ . ,
-Van, ?5 kil. 5 SamsaPvî* kit |,Intendant,
-60>Jk|l* {j; Sajute, -68 s • kil. -i-, ;. Cymbalier,
68 kil, $.;FplrAmou?,.68Jcn(} ; Pensa, ôfkil.:
.aicqut>t,_§6'.Wli i ; Satanella. ,66 kil. ; Va-
■ eW/itn, Kil- & Aristo,II,--65. ! kil, 4 j Port,
:manf<;65 kil. §. ;• Attila,. 65 kil. .i Adoration.
CK , l ' ' ^ 51 ÎT ' Çhilpéric'
. Serpentin
6f W1r »-'VSzU1, ' 63 ^iUr'.îi Gatano, ;^ kil|
kttilja. .......
64 kll. t ; Duc-du-Maine, 64 kil- ; Serpentine,
64 kii."- j 'VazUl, ' 63 .kil,. t Catane, ;63 kil»
Novare/ ; 62Héra lli 61^kilj,j ï A^steiU, Cara
binier, .61 kil f i t Boi-d'Armes. 61 )fû.Bar-
bèr's-Pole,61 kil..} Moulin, 61 kil,^Mlle-de-
Machefoin. .61-,kil >1 iPolisson II, ,60 kil. 4 ;
EUpatetfBfcfcUnU Q^th«rG^eep,v60 MV * j
Monbrun^ 60 til. J;MiProbe, ÇO kil. f ;
Gratielia, 6Q:kil. i; Rosi» PÛ.kiL 4; Pékin II,
60 kil. ; Neuilly II, 60"kil. ; Flaur-d'Avril,
60:kll.'.î Juliac, :60 kil. :( Foscp, Ç0 kil,Pa-
-prikâ, £0 kiL, ; Royal-Oak II, §Q,kil. ; Diego,
£0 kil. ; Pervenchey-60 kil^ -.1 $»o1F-'«a» Vi Mb-«^ -1 itrv-.-lAMoM'ïB,-,,
l. i '-.:i - YÊLOCIPÉDIE
-..•Vélodrome-d'Hiver,?- Demain, au vélodro-
me d'HiVer, première Journée d'Un meeting
aa Gïand-Rrix., ^tuniqipal,.. pour.,lequel .,19
conseil municipal a donné Un prix superbe.
Lé pro'gïamm"e"Comporte~les-eHH| séries éli-
miittitoires, le repêchage en i séries .et une
finale du Prix Municipal ; une épreuve de 50
primes
coureurs, et une course de motocyclettes.
i ^ t % ^
o»i|é r^|sc^i&ilon Ipo^
Le PetiîJou rnal dans lesdépàftBments |
- (Télégrammes-de nos correspondants spéciaux). —- V endredi. â F ^yriéb<
, ' lf i / " 1 1 .1 i,1 ^^ . ' 1 î
eoy^iiïo.jP9,'r» lëâ
" rmàrch4ufî%^è|"i^ M l^r!
AMQOISE, — tin terrible accideiit s'est pro
duit àr Amboise, & l'usine Mabille, frères. Deux
ouvriers, Désiré Besnard; âgé de trente-cinq
ans, '.et Claude Cosnier, figé de auarante-cinq
ans, étaient occupés à- manipuler des vis de
pressoirs quand une jpilç de ces vis, du poids'
de 4,000 kilos, s'écroula sur eux.
Cosnier fut tué sur le coup, et Besnard,reçut
des blessures assez graves... . „
AVESNES (Nord), 7- La petite Emélie Bos
quet, figée "de* cinq ans, dont les parents ha
bitent Wignehies, jouant -avec des allumettes,'
mit ld feu À ses vetemeiits.; affolée, elle cou
rut dans la rue, où i«s. passants étou lièrent
les flammes, mais la pauvre enfant était mor
tellement brûléè.*^ 1
,.. BONE (Algérie). — Une violente bourrasque
> d'est abattue sur - la région. La mer est dé
montée.
Le brick-goélette italien Josefina, venant de
Gênes et d'Ajaccio, s'est éeboué dans le golfe,
& neuf kilomètres :de B0ne ; l'équipage a été
sauvé. ■ . ■ - ■ - ' .-i
La crue du Rhummel' a occasionné la' mort
de douze personnes, "■ • •
A Châteauduri^ l'hàbltatioA. d'un lnfligèpe# :
- u s ;--
pins, arrêté le lendemain du tripla assassinat
de Violaines comme auteur présumé-du' crime,:
vient d'être mis en liberté pajt îe Juge'd'ins -i
truction deBéthunei ■ >. |
c K nnes . — Le'roi fies Bfelges/dontîe yacht
l'Alberta .e&t toujours ancré en-rade de-Ville-'
franche, est venu ici en automobile-hier après-!
midi et a fait une promenade autour, de la
ville. •
Il a .rendu visite ensuite "âu prihee et i la
rée.
DtilOrt/ —'Voie! "dès détails «sur
qui a été commis, hier, & Perrigny-lèè-Dijon,
. La-victime, qui, comme Jrvous'f'âi dit, ha»
bitait ssule, est:une nommée Eléonore-Denisel
Bergeret, âgée de soixante-deux ans. ,
Elle avait l'habitude d'aller passeï" là soirée
chez son voisin, le vigneron Gay ; ce derniëij
ne l'ayant pas vue l'autre! soir, envoya soriJfllsj
hier, m^tin,-ypi6.ee au^Ue fftisaiti l'$nfa»t:l4
i'..".. .v*^ ' t , , .rt -st , ■('
trouva au milieurdé 'sâ ichambi^ ;à couoher,!
Daigqantdançiune mare de sang.
Les armoires avaient été fouillèeswOn a*re..;
trouvé: des .porte-monnaie vides/ ^Le -vo} est?
donc le mobile du crime. - -< ( ;,n?
. Les soupçpps se portent sur un -âpachë. di-
•jonnaig qti'on a. yu rodant .autour ,-,dô la
maison.-;--'" -■:; ■
* 'Lhfftté,;
îâyMrs^e,
naissance,~a été. pris par la courrôié d'uh rou-!
léau «t entraîné isflus celui-ci. La mort a été'
presque, instantanée. i
La-victime était mariée et père dé farfifllè,. f
'larcentière (Ardèche). ^-.Urt terrible Ht-f
cendie a complètement ravagé les" bois de -m.!
Guignon,,ancien.notaire, a Sanithao, au lieu
do •Biîlçoji.'.'- 1 j
,,Les plarifs. d'à quatre et 'cii>q' aps.'Wt été
détruits en'grand nombre et trente mille pinsf
ayant six et sept mètres 1 de hauteur ont pres-l
que lous'été carbonisés.
, LIMOl/X^rfi-M, :P^uf Roche, notaire, maire
d'Arqués; conseiller. général . du' canton de
1 Couiza, vice-président du consëU' général 1 , esï
*- décédé' 'hier, aî Page de ciaquante^ept .ans. t
louhans. —iM. Gelot-Simon, propriétaire
4.Château-Renaud» s'est-tu^ aqcidenteljement
feûrgté générale,-,-qu.Hui a remis des documénts,
itrès importants, concernant la banda des vo-
leurSjantei'nationaux. • , " . ,.», r , '
..Ces' documents cpnstituen'tiUn vérîtafele dos-
.sier de ; tpus les faits connus .de }a sûreté géné
rale et quï paraissient se rapporter à' l'aflalre
•dont est actuellement saisi le parquet de Mar-,
seille, Il y a là, paraît-il, des rapports àur des'
affaires-.de chantages"des vols àlatire et de,
Ifilouterift.au Jau^qui aont de véritables niâtes
id'aççusatipn,contre les àss.qciës dç ; iMirabel et
'de Guibar., ,'■ , 'V, ,- .''It !*.
"r 3 -Deu* commissaires de la sûreté 'éêûè-l
raie,: de passage à Marsèille, étant venus-
dans un café, y avaient remarqué la,présence,
de deux b.QOkmakers f ,de, .Paris, .Ceux-ci quittè
rent le café en compagnie de plusieurs amis,
mais, 'eif partant,- lalssèrent'par mégarde une
enveloppe contenant une liste de paria ; aux
jicourses que des Joueurs étaient venus leur ap-
porter. Quelques instants après,. M. David,
vice-nrésidçnt du ' conseil général, .yfht pour
rechercher la lettre perdue; ignorant sa qua-;
litér les-commissaires lé conauiaii'eiït- devant!
le chef de la sûreté où-procès-verbai-d'e lln-l
cldent lu 1 fut-, dressé pour, fitrq. .transmis au|
^Icâ incident a 'fâit graîid , ! bnjit a Marseljle.
hâncy. — 'On'craignait des troubles 4 Neu
ves-Maisons, où-'ïes mineurs' sont^n-grève-.
• '.Trois -batoillons, ^'infanterie., rctieri.'oompa-
en voulant tirer un,coup,dé fusil $ur son chien' i
qu'il-croyàit atteint dïiydroptiobie. , ' ' i
marseille. — M. Cavâillon s'est'èntreieriu j
3de nouveau, hier soir; très; longuement, - avea
:Mi AsctiwçndeOiT «omroissaira adjoint dç/W,
E' nie 4o chasseurs cyclistes, quqtre-vmgts gen-,
armes et trois esçadrons de Jiussards.aont ar--,
r rivés cette nuit, et ont . été ^partis sur "divers? 1
points, otfiy bivouaquent sous'unë pluie-fine. '
Mais lés grévistes sont calmes; Us se oonten- 1
tent.de.parcourir les ,,ruês av«c. le.drapeauji
ïjwgs «}• W efeaqla^la:$
.- On ne pense pas que les ,ouvriers métallur
gistes pactisént avec lés ouvriers mineurs. ;
. orléans.--r A Saint-Jean-da-la-Ruelle, da n s-
Ia nouvelle !église en construction, trpjs" ou
vriers 'maçons travaillaient aujourd'hui sur
un échafaudage, a six ' mitreâ* d$-hauteut,
ÎQrsquium manœuvre airiva. portant-un porte-
charge de :mortie|- ; l'échafaudage .se rompit
" * " des-quatre hommes et trois de
précipités & terre, pu .oh les re
leva ensanglantés. Ce sont le3 nommés ! Méro-
Mdi T JAMÂ «l'A 4-nn
f •■♦^V
spus .le poids
ceux-ci tu
Met.: 'âgé de trente:aii4 ;, Poirier,.- trente ans,
.maçons i et Moreau,-. dix^eufana, mançguvrq,
, Après avoir reçu les premiers, soins .dans
Imè maison''Voisine,- ils ont,été tranêportés à
l'hôpital. . . , . - • , — f , • r
Tous trois ont rèoa da nombreuses blessu
res,■ ,»ur la gravité desquelles- on ne peut en
core sjé;.prononcer.
poitiers. — Les obsèqués de- M: Férot;prpurçui» de- la République, dont le Petit Journal
a Signale la mort subite, ont été céléjbrées Au
jourd'hui,-à midf.'^'la cathédrale, ea prégence
d'une assistance éorisîdéràble. ' - '■ ' < '1
. -. Aa cimetière -deux discours, «nt été prontin-
«éç .par MM. Morellet,, procureur, général, et
ffinftçk, piëside^t du . tribunal s ' , ^ '
PONTIVY. — Le Petit journal a signalé la
disparition, -. à ; B^tud.. ;des -.frères ^lagueresse
dont l'un sourd-muet, était âgé de seize ans; et
•pautrè, de -huit ans: Le cadavre du dernier a
été trouvé dans la rivière d'Etel. On .avait cru
& une mort, accidentelle de» deux frères, -mais
certains bruits prétendant qu'il" y aurait qri-
%ë,-lè parquet de Pontivy s'est, rendu .à Baud.
RE^IREMO^,
ont passé ce matto, pendant une heure, Ici,
venant des régions montagneuses, . où la neii
U„$ud.
roanne. -i-^n'^élaïu^mun llatray
.jooda
prison, à Lyon, ^our fabrication de fausse
36 ans, de
Jamné à
iy, âgé de
o ans. de
Roanne. ..ce
^ngu»,. m» on» ^our iuvii^awuu uo nnussti
monnaie, et qu{-av£lit Jété.'sûnené à Roanne
pour faire opposition & un jugement,. a< ce
matin, ayant été .puni de. huit îoûrfe de. Cellule
par- le 'gardien chef de la maison d'arrêt,, M.
couenne, porté à celui-ci trois coups dji cou
teau; li u i- '' iJ : " - - : ' '
M. Couenne a été grièvement blessé air
visage.-.; . •>,. . . •
romôrantin. rv- Lés fêpbux Fésneau, qui
»nt .de iélébfer le cm»
" *" let
habitent poings, viennçn'
liesse. Seul. M. Fesneau-à travaillé ce Jour>là.
J1 .est porteur du P?tU,Jçurnal depuis de Ion
gues années et il-n'a pàS 'vouiù Intel
sa besogne quotidienne
Interrompra
c'est ainsi qu'on a
toulouse. — Hier epir, un nommé Pierre
Concuiret, cantonnier Bé -la Compagnie du
Midt, e® voulant- accrocher une plate-farme &
una maûhine a'été pris-entre deux tampons
et a eu la téte proyéeVj -.-.î . , . v . ;
tour».— Le, caporal clairon Manaury, dt
^d'Iufantçrie. en garnison ^ Tpurs, s'est fra
cassé le crâné en tombant dans un escaller.
Son état^iUégespéré»,,,i. 4
après-midi, 1 ppur avoir dérobé des pièces d'op-
ievrerlexbez un fabricant de. la ru$ Béranger.
CHUTE D'UNE CORNICHE. — Une corni
che d'un®, longueur 4e- quatre mètres environ
s'est détachée, hier ïnatin, du troisième étage
de la maison 110, rue de Montreull, et s'est
brisée en tombant sur le trottoir. Fort heureu
sement, il n'y a pas. eu d'accident de person
nes. . . ' „
ÉCRASÉ PAR SQU' TOMBEREAU. — Un
charretier. Paul Michel, fige de quarante ans,
demeurant rue de l'Argonne, est tombé, .hier
matin, boulevard Davout, sous les roues d'un
tombereau qu'il conduisait. Relevé avec-1*
thorax broyé.-il n'a pas tardé à expirer.. >
ACHAT tris ch'er Diamants,p'erles.bijoux et
Recono.duM^Me--Piété.Lehpp,12 l r.L&lflUe
" A SAINT-DENIS :
et Cwigneit failliras
,.. ta cérémonie. annuelle du couronnement
des quatre, TCstè4-e» de Saint-Denis, a eu lieu
hier matin", ainsi que Je.Petit Journal l'â
annoncé. ' : ■-. ■ ;
Le» trois • rosières bénéficiaires du legs
Dojn Belloy de Francières : Mlles Lucie
Raschaert, Marie Pion,.iElvire Viellant,
charmantes dans leurs, robes .blanches ;
Mlle Joséphine Francq, bénéficiaire du legs
Fleury, dont .la robe est ceinte d'une échaav
pe de soie ibieuçi, qui, la différencie des au
tres, ouvrent la marche du cortège qui, dé
,1 * I. '< '-r, i- -•
ji(J ' ''ta. ADAM/fnalre tfeSalnt-DenT» -
J'hOpital-ho^pice, çe rend directement!
l'Hôtel de Ville, où le maire, Rfc' Adam, pro
cède àleur-Union. 1 • '-■ '. .
On se rend ensuite à la basilique, où le
marfagef reiiglçtfï èsjt célébré/ puis.l^n re
tourna de nouveau à l'flftel dé Ville pour
la remise, des dip^ia^ des.médaillçs et dg#
lcsrs» «V ^ '' '*
• Les trois /premières rosières Veôpivçnt
600 frànca chacun? ; .la quair jème 5QQ troncs,
puis 3ÛQ francs le 15, août prochain, joiir où
«lie.devra «imposer une epuronne d'immor-
telles sur là, tombe 4e son bienfaiteur;,
Adanv [prononce, ensuite,' un discours',
phaleureusément appliaudi, oi> il rend hom
mage 'au, mérite des quatre jeunes filles qué
leur travail,, leurbonne conduite J?nt dési
gnées .au? çuffr^g^^^u bureau «Je bienfai
sance, et il termine en leur adressât. 5 1
vo>ux.de «prospérité-et; de bonheur,, vceux
auxquels le Petit JmrmX >at heureux de
s'associer, . . ... . r-,. .
< "—.. •••, .' ■<, v'»; •», \ \
La santé -du g rand-duc de Luxembourg
\. Luxembourg,'2 Février. < -
te ^ôtrvero^ine'ntf'a ' teçw&a ehâteacp de
Hohenbourg la'commUnie'ation suivante -r
« Comme depuis plusieurs joufcsTaméiio-
.ration l'état de santé du grarid-dnc s'âc-
centue chaque jour, que les .forces revien
nent et que l'alimentation est satisfaisante,
on cessera de publier des bulletins de santé
régulier à. » . .- j !
ARMÉE ET MÂRINE
LES SOCIÉTÉS DE SEftURS I0TUELS EÉGHEETAIEES
* t)n sait quelés.statUts de$ futures Socié-
"tés régimenta.ires de secours mutuels ont
été approuvés par lea mihistrejs.de l'itaté-'i
rietir et" de. la guerre: v ' " j -
: M. Eugénè Etienne a i)et)sê'qii'iî impor
tait de prépare^, dM.maintenant, la mise,
en application éventuelle dé, çeà .statuts,;
afin que les' 'Sociétés militaires puissent
fonctionner des que le Parlement ayr4 voté
le' projet de loi actuellement déposé sur le
1 bureau de la Chambre des députés. ' , .
Ce projet a pour, but de consacrer '.l'es s
dérogations & la loi du 1-" avj'il 189# gur lesi
Sociétés de'Secours mutuels, dérogations
-côntemiés dans les statuts et rendues né-,
cessaires par J lés règles de la hiérarchiè et
de la discipline,. • '
Le miniswç de la. guerre. 0. déjè.enveyé
aux autorités ' militaires les '. statuts, des
Sociétés régimentftiçes. <.•
Ils devront être examinés et commentés'
Hans un rapport'qui'sera adressé bientôt
au ministre par.chaque corps, de troupë. -
De plus, M. Eugène Etienne à décidé
qu'une conférence 3ur. la Mutualité dans
l'armée serait faite dans chacune des.
écoles militaires d'officiers. , ;
Lorsque ces derniers prendront leur ser-;
vice dans les régiments, ils pourront ainsi
participer utilement- à l'organisation mu
tualiste qui sera .vraisemblablement «lors
en plein essor.
Enfin le ministre & invité le commandant
du Prytanée militaire et les commandants
des. écoles militaires -d'enfants de, troupe à
examiner s'il ne serait pas possible d!or-
ganiser, parmi les élèves, des Spciétés sco
laires, d'où'ils passèraiënt ensuite dans les
Sociétés régimentaires.,. , . < ;
Pendant ce temps, la section de l'a Mutua
lité, de nouvelle création au cabinet du irii-
nistre, et lai Cômbaïâs^ôn militaire de la Mu-
taalité préparent un r^'âihént-intëri'eur et j
Ain .commentaire des statuts.
AUTOUR_DE
SERTICS spécial »P Pe^it ^oiurijal/
Chamarande. — M, Théophilegendre,
rentier à Chamarande, s'est tiré trois .çoups
dé revolver-à la tempe et à;la poitrine.-.
'. La déflagration de la. poudre mit le; feu è
ses vêtements, ainsi qu'à, son; lit, ftt l'on
trouva le désespéré râlant au. milieu des
-flammes. ,t
- M. Legendre n'a pas tat;dé à succomber.
Agé de soixante-dix-huit ans, il paraissait,
depuis quelque temps, très affecté d'un pro
cès qu'il avait eu avec'les héritiers de. s»
-femme. < - ,*f .■,'--•.1 • ••■ .•
Essonne?. — Dans le coûtant d$ l'année
dernière,' un ébéniste, nommf ' Sfû&sot,
tuait,, à. coups de revolver; à Essonnes, un
boucher, M. lïénot, chez qui s^ femme était ;
caissière. ' . sI ' ' ' ■ , 4 ' ■ ;
Arrêté séance tenante, Saîuéot fut'échoué-
•â' la prison de Coïbeil et' M. Régfemanset, i
juge d'instrufctioïj, fut Hçhâirgé de l'énquêtê. •
' Au cours de çelle-ci, le défensètif» de l'in
culpé émit l'avis que son client ne jouissait
pas de toutes ses facultés et demàpda qu'il;
fût souiiiis à ùrt examen médical. = ■, ' <
" Comme l'a dit le'Petit Joûrnal, ce fut le
docteur VigouroukJ 'médecih éh chef de l'a-i
sile dé : Péray-V^uçlus^ 'qtii fut.chargé de"
cet examen.
Les conclusions "du "'médecin, qui déclare
Sâjçsot" Irresponsable, [qnV ,4etejiftii>'é îM.
Regismanset à rendre-une ordonnancé - de
non-ijeu en faveur, de Fincylpé. -, )
Fpntenay-8Qua-Boi9. Un pénible acci-i
dent S'est produit, hiçr-ma,thr, rn^, de, la
.Dîo^, 4 Fontçnay-soqsrBois, dans, une ing-i
.trtution de jeunes filles- ■• = . ■ -, 1
Deux domestiques, j 4© 1 l'ét^bliçsemen.t, (
Jwwe.fce Mua, ftg£e',de,dix-sept ans, et;
A ï B iq ,Joséphine Ludwig, âgée.-de.quarante-;
sept ans, étaient apeupées 4 préparer dej
l'encauBtiquei lorsque récipient qui conte-:
.«ait leur préparation fit explosion, ., - ' j
.. L'essence 3^ répandH eur le ^ovu-ne&u -et;
s'enflamma. . .... ,, - ■ ... » - !
- Les -deux- femmes,- affolées," -voulurenti
-étouffer les flanjmesj mais la feu se commu
niqua 4 leurs vêtçmçpta çt elles, firent très
.grièvement brûlées, avant qu'on pût venir
-à leur secoure j. ■ , • '. ; . ...
TwteSidflUS çnt été tonspoïtées à l'hô
pital Saint-Antoine,..dans un état-fort
grave,-. n
Le, «omm'enqernent ,d,!ip(Jenaîq( quï avait
suivi l'explosion - fut rapidement maîtrisé
par le personnel de"l'ét&Blisseçrient.
' Puteaux. ~ "tJn incendie s'est déclaré,
hier matini à Puteaux, dans la teinturerie
; HuI6t, : située 26y ru» des Pavillons,, et 27,
quai National, actuellement. dirigée pftr
MM. Ménager, Collinet et Chambaud. Le
feu s'est rapidement propagé dans -les M-
timçnt^jde lar teintur erie où sont situé» les J
Séchoirs, ét qyi sont' construits çn plançhea '
et '(ouvrant Une superficie de dçust cehts
mètres, envirom
^ Les pompiors de Puteaux ft' ceuxi des
communes environnantes i Stireanes, Nan-
terre^ . Colombes,.- Courbevoie, arrivèrent
sy? lçs lieu^ t jrpaiç lpurs efforts étant im
puissants, pn dut demander d$a secours à
ï'étàt-major .dés'port^pie^', d? Paris, qui
le Mil i 8à m Oad aine à Lyon
j Ion est à Lyon ^eiwis irôîsieôiSaines^ -s'ân#
/D#;ecÂé ,_(fe jàotiè.' correspondait) |
V-" *" : - î'Lyon*, 2 Février.y
^Vingt-ijuàtVe 'ftetfrès u rie Wét'aierit pas
écoulées depuis l'assassinat de l'infortunée
Mme ïSiponïtetîejuë iW^vait mis la mp,in
sur geS auteurs/ou'tout au ràoiris sur daux
hpmçjçs contre lesquels existent de graves
preçomptiohs de culpâbïlité. r '
; ,L$ service, de la st3(reté avait, àu' c'ô'urs
qui
envoya aussitôt -ûne "po'nipe ■' automobile'.
Lé sinistre prit bientôt ùpeHelle propor
tion qu'on dut se-borner à protéger lès
maisons voisines. A dix heures, les .pom
piers jetaient, maîtres du ,feu, mais 1 il-ne
restait p^yB des ; çtelier? incendiés qu'un
amas de décombres fumants qu'ils conti-
à «çyçr». ( ' ., . r . •;
j. L'eâ dégâts, .sont, çonsiderébles 'et sont
éyalues àûne çèntftine de milleifï'pirieSf '
™ 1 Suï*dnviron*deuîî cen$ r einqu sonate ouvrieirs
occupés dans l'usine, une centaine environ
devront chûâiec pendftnl'un imoiii; r --
) L'enquête fpite par Mi Apdrjeu, commis
saire de police
^déntell§,,,r ;' v ;.
Saint-Denis. — TroÎ3 indiyidusr 'ôfit Es
sayé, la nuit dernière, de ' s'empare'r,' ave
nue de Paris,. d,'un.fût.de rhum olacé sur
Ûn"camion conduit' par le'' cocher Léon
Gollin. Celui-ci descendit de son siège'pour
iS'opposer -à- lai fuiteudes .volèurs. Il .reçut
un coup de tête dans la ppitrine et tombfy
îlse trouvait" sûr son hftquet et én àssenâ'un
coupeur la tête. d'W de ses .agresseurs qui
roula inanimé sur lé soL "Les deux "autres
malfaiteurs se ruèrent -sur lè cocher et bra-!
quèrént sur lui leur revolver. Léon Collin
s'enfuifc. Quand il revint, (quelques instants'
après,; sut l&itèy, de .la bag^rs?, açcpippa-
gné de- plueieura agents. ees. agresseurs, s'é-i
taient. .enfuis ■ et "av^içnt çmpoifté^e^r'' cft-,
^M.^È^^df'comSissàièé' s ïè < 'ptJllcè' ( '- ! Sfait|
rechér'cliei'les-auteurs de Cette agression. ' t
BagnèuX. ";Un Tarâinïer, ; iPife/fe" Hygonèt.i
jé de soixante-quatre ans, demeurant Tue de
la Mairie, >à> Bagneux, qui ^tait- occupé, hier
-après-midi, à faire brûler des débris.de, toutes,
sortes dans son Jardin, "est tombé ltf tete la*
première dans un tonneau fixé dans la terre
et contenant eftviron' 40'-centimètres d'eau; et
y a été asphyxié-
Bourg-1a-Reine.
Le Cœur, a été tamponné
Un habitant d? l'Hay, M.<
* *-*— sur îa'lié:
hier,
■ne
A'flon^me «n, Le corps a dû séjourner huit ou dix mçjs dans
es T luguWes l Testesi ont été transportés
lorsqu.—
vivre. Le corps du défiât a été transporté m
son domicile. ' ■■■"'.• -, » Jv . i
- Epinay. — Hiér matin, dçs mferfnièrs oftt re-;
tiré de la Seine, quai de.. Seiner,/.un, tronn'
-d'homme en..complet état,de décompgsitionj
Le corps' ** " ""
l'eau. -L
4 la Morgue,
Ivry/-^- Lés Jeunes filles désirant bénéficier
du legs Molet, Consistant .e« -une somme de-
621 francs, sont invitées.^ $e faire inscrire à
la mairie d'Ivjry Ju^qq'au 3 'mars..prochain,.
yinçettnes, -r- La, salte du- cpnséil de,Vinçeij-
ne$ où l'assembléé.municipale tjént §es séances
étant devenue trpp. petite, et pour ainsi'dire
inaccessible au 'public, un projet' dè - modifica
tions vient' d'être spumis aux- corisèiUers.' Il
ne s'agit pas, comme'on l'a ait/d'un agrandis-i
sement de la mairie, mois simplement d'amé- !
nager la salle 4ea lêtp» en salle du cqijseil. - -
v h .f • i- fttw Sl'MQNHJST " ' ;,?e ;
âe l'epquêt^ recueilli de la feouchë'^e? Çn-
fants Ajguillon,,dqnt la mèi^'est.-la sçeyr dé
-Mme -Êiraarçrîe V^u'renseignwtçri't' extréifté-
ment important,' " ,' J.
. L'un des petits'garçdns ,Rivait- dit' â I*ini-
pecteur principal Gphnard'que, la veille;,,"39,
mèjre,-'p,y4it".recu-la .visité'd'un certain Eu
gène Barlon, cousin de M. Simonnet' père,
et qui- prétendait être arrivé de-Villefran-
-çhç-sur-Saône le jour même. r
—'Je yiéns, ayait^il'dit, cijierfcher'dU trà-/
V^il .à Lyon, comme .mépaùicien,, rrrais, je 1
suis sans argent, ypudjri'ez-vous me prêter,
5 francs ? . <■, >. , 4 ' " , . „ ,-,l y
r j Mme Agiïillon consentit,mais en ajoutant, |
en raison des- liens de parenté qui 'unis
saient M. ! Simonnet à Barlon >•*')'
' p*' Ce n'est pas-4 moi .qiie Y0US J g.uïié? dù
yçus, ^dresser, mais A J»» scêur pyJà. so,û
ïfwwri» f >-. 1 ' *• 1, >i i- î*.- Û ■
,. Op ' recherchç • Barlon, qui, fut retrouvé
cette nuit?, en compagnie d'un nommé Fré
déric Sàuvinet,-dit « Qu'un œil », tous'les
deux, pçiginaires, de ^pint-Etienne, Icompie
^1, .Simonnet, ^
. Conduits,à lasûreté, ils furent interrogés;
.séparément,.et-bien,qu'ils niassent,/de tel
les contradictions furent relevées, ..leur
alibi était si imprécis, qu'on les 'fit exami
ner sur l'heure par le professeur-Bçyér. '.Ce-
jLu}-ç| çrpit-reconnaître "clf>e taches -de siàrig
.dans certaines, m'aculatuyes relevée^ suflep
manches du .veston-de Bftr Ion, p ■
:Çe matin, à huit-,heures,-jles-deux.jeunes
gens ont été conduits dans-' la chambre où
«ouchait Barlon, lequèl avàit récemment
jecueipi 'son compatriote Sàuvinet. 1 "
Les. recherches '^n'a^ppèrent pas,,1a r -dé-
JravaiJL .ni .ressources, pag -plus ,4u reste-
que Sàuvinet."""""" ' -. --a -...,»-,, --.-r—
. Détail assez plqyant,ipr.squ.'Qn- fouilla
les-deux homme^, aussitôt' aprèp leur ar
restation; on trouva'dans là ppchV.de l'un
une ordonnance, de. médecin/prescrivant
un baume et'urtç jominadç," " . , f
: - Vou^avez 'ét| malade; dit le chef ûk
la sÇreté T '
soSier."'—' P Tl '
- Les agents r^pvfèrent-d'abord de plu
3ieur3-pp,àce,mot',;pw'*cour£
se hiirent à touiller lë détenu:
' Enfin'il s'wt produit- dans la journée ! un
fait qui egt venu apporter contre lës incuï
jjés une charge écrasante t> • " ■ ■ '
- Un ami de Barlon et dé Sauvinét, en lf-
■santxjlans ies journaux lès détails du-crimè
t étaient les criminels. 'A ce moment, nous ne
"Savl&ns péfy., feoçorê rarrl^ïatiqp ' (|èS ' a s-
BSWÊÔI 3 PËVfaËa ÏÔ08
sagsioi
«Mi
m
Ma
kesiTseymw
-U-POJRÏOI SES AÏTIHUTiEBIBS
La f Cour de^ Cassation. % rejeté. hier le
•du crime était un niarteau, ses yeùx se
portèrent sur la place , où-il mettait d'ordi
naire, un petitimarteau nickelé; jadis con
iectionné.par l\ii. 1 • - < • '
Quelle, ne futpas pa stupéfaction en-ÇQntf-
■tatant que l'oljjet avait été récemment tou 1 -
chê- Lpjbois du manche portait'des tracés
évidentes de. lavagej X)n> trouva entk-e le
otanche~et-4a masse-' deux cheveux île "la
cçuleyrdde ceux.dQ=MmerSimonnet.'. .>
.fA- n'èn pas. ; doi4er-, lés 4 coupables, l'îqrai
igrifsrentf enedre t0ttçldês.o u ^èrte, ont pro
fité de l'absence de'leûr ca.rp.aradg.ppur #1-
■ler pMndre-cé ; -marteau'"gUi, selon la pit
toresque expressiàtf du. téirïbinj est un vlj}»
table, petit bijou. s
Çrt:aprës-midi,; l6 : prdfeBâôirf" Boyefl.fait
h l'ftHtppaie .duîfecad^vre ide
^nw,,$toïoiwet{ 1 LP médeetarelégistersii/fk
PU dire,: tant lpe.os'ide>ia-laceront broyés,
zambien, • coups de martsau a pu recef
?iPfiS -î ;i ,b : -3, -r-. hi V j
-•-if- • / "o ■■ 'i i •
i.) 'wr^'-Va.vav
■ Mme Simonnet a un frère à Paris,/M*
Eugène yaclç,7 ïjul^est'pouç-brigadier de
gardien? -de la, païj,^.u -.poste ,ce«t^,4u
douzième ^ondissémént,» rye,pigi?oî>r' ;
, ÎNPUS;ayops'pu,rei).p<)ntrer, jy(, T Vackche?
4Uki:m|àPle,y^, 4^
sait à, âjler. prendré^'l'e .tra^n ppur-, Lyon ; (,
iiM'àiujappri® llhorrlble nouvelle hier jSOiri
^par~unç - ■
:ïrère.;.C9
méd-iatëment a Lyon.-Je «uis allô aussitôt de
mander il mes chefs la^permission.de m*ab9en-
+ ■ * •' • ■
ièlïnQl
î'cdmp-
. _ lifrtifé Muy
fià' âépêohé* îS'hiéri sbir. Majs le
pauvre; homme, accabl^.par la doulçur,:nJaura
1 gas i su-,la I f9rçe,(l',écriM......
Ma p^uvr$ 'sçeur; étWVtrèS ^ouîffrante da-
,-puis'une,dizaine d'année^» 1 ; 'elle ne pouvait
mf/rnn LA f'CÎ 4. - 1 * *** - r± * ■■■*—' J -
UO VUM^VV «WW kvtuw
''.b i J ( i 1; r» n
,,iflU9 ; 3e .n&âuis alW
part, jq m'attendais à
presque -plus marcher ët'ne travaillait- que
Chez elle, (encore'étalt-eH*-obligée de.se faire
aiden. i-i- - . n u v- '-n ■
vifSLyfe » auatreasna..^^
.à,-Lyop .î depuis .monidépaTt.^ r- r ^ >r
apprendre la mort de ma .sœur, mais fétai^
loin'de penspr qu'elle serait assassinée •!
h » Le ménage''fie ^non' beau-trèrp était paiH
"faïtémént heureuï,''èt Simonnet 1 ,-avant d» tra<
-vâiller k son:atelier de- forgflt. a été 'inspec
teur dans un commissariat de police de Lyon,
i"').
Lè' cadavre dans la pièce # il k été, découvert., '
trpuvft -.çertai^i-papiei^ qui .vont' être. exa-
ri ,fr !
Eç.qiitrp, il. j^t;-établi qu'Eugène, gae-S
'1 r
sjtlc.c _ ( ^ t t , , ..
"'fJous avons pris tfongé de M. Vack -qui
oous « di^ ne,pas. pouyo.ir>supposer quels.
çembre dçrpieP jbout' propagâpde antiRiJli-
tarjgtç par/voie dafflçhager - - r
■ : £,çs. moyens jnvoqué5;étaïçnt dy. r^te tous
enùre fornie.a f exception du pondàmn
dç, ,
yafoudi qui invoquait we erreur, de-
Xîédure, à savoir qt?s la ootifiçation'de '
ret de renivoi^dey^t la- coyr d'assises
avait ,été ?ajte, -en l'abèencç dç 'doiQiçiie
coripu, iu p^rqUet "et non à la Çôurse du
J ïy^ji; et que l'affichdgç àvèc lsl .fqrmule
ionformément A la loi ». ne précisait pas
A-,,- .M' ' r; 1. .-t «».*
>Ç
;uh
;CI J OTréSi)B,ÙI , AItîirB H0p?Rf--;
' Hier, à-dfeux'heures,' a-eu'lieu au .tribu»
nal de commerce ,-la «lôtusa des opérations
de Ja faillite Humbert, prononcée*le ,1^ mai
1902. La réalisation-î'.de- l'actif .-immobilier
et mobilferr» produit 5,272,&22 francs 15
poijir uà "fasgrf total 'admis.- de #1,351,801
francs ,Ç7, qui a""toTifihé"*un dividende de
2 fràrics iiï %. '<•' • ■ • ^ .c-i. <- f
/M. Lihol,""çontrôlè!UP f 'de la»vfaillite/ 'en
rappelant-l$fe circonstances de! cette retenf
tissante affaire, «'est fait l'écho de", tous
les çréancierg .pour- remercier ■ lai'justice
ftpnsùlaiyo 1 èn*. la-'perâonhai.du 'président
Laurent, > juge^ommissaire, v -et reconnais
tré'i;publiquement 1 -les -éfforts- du'■ syndic
Bohneaw pour ■ sauvegarder leurs intérêts
et les épaves de -la trop célèbre faiftiUe,
aont-'on-ïavait- clôturé, les' démêlés judi
ciaires.; ' -n ; i , , . ' • ■ ; ■). J: ■ ,
2^0UVELl^S > JU2)ÎClAiRES
prpnoncé,
tipns.,, „ „,. , A t w Bv ^^ % , fc ■
m n .1' m#i .11.1 I > >ft aaA.J
AU cirque d'Hiver, changenvent de spectacle
«t 'jiréjnièrgr wprésanUttion du 'Million de la
bîe&uï'^ re ' : P^ Rt0 P me T W| t VÉ! t ^ a ^î 1 deux ta
..Outra le,clown Çérp-d et. son Auguste, toui
deux, 'sL drôles * et- si. originaux, .'et la troupe
Donna-Manca, les renommés gymnastes ne
force',.-qui' ont-débntû, ■ hier et: avant-hier, eu
Nouveau-Cirque, se soir, samedi, auront lieu
les de.buts des fameux Lécusson,' les superbes
Jjçkeys," dont,les''éXerçiaea '4 -çhéval mt ,une
réputation.universell£,*COmtne on le Voit, : les
artistes, tousse «reqye*'«jrdre. se succèdent
Journellement, sur là piste du -coquet établis
sement de la-rue Saint-Hohoré: -•
pat
musante. - --opltate^fa-.'jxt»Ji Flirts*
* j -» v ,f»» ..-jr fi/6% < ■ 1
jf ce soir wmçdi.. au MpuliKu-Rougç, a lieu-la
?! grande lêtedp nuit.de la saison : grand bal
je, -bataille de fleurs, ' farandole çt Te-
tution des quadrilles de'-chioards. La
fOi.rée commencera $. 8 h. 1/2. A signaler.parmi
les attirions, la sup'érbé Lola JlaWthorne et
blés danseuses anglaises Jncompara»
• „ «Ci ' rJ
éh&z-lVlé^ano,.débuta*dePlaçfc and!
Wh^«5,. plO}vns, ; fnusicavuc t/ Le succès de là
voyante Mifoslca s'affirme à chaque représen.
mtion .} çn applaudit les autres attrâotions \
l?? gymnastes Roberts, au-tt'apèze volant ^ le»
éléphants -babies v les clowns si ,amusants d<
la compagnie de Boum-Boum* , ; . , '1
fi;jperaain, «dimanche, mêj«9. spectacjç A,1a pa>
t»ftéfe '..i 'h-im*.,». .•,/ou.fwt, » «
/■i
'ctvpA^p'ç:.
^ÂufVaudëvuie. SSrné _
tradition qu'il s'eçt toujours imposée au len-
premî^e fC^prel y^ pifiUre en
répétition, pow 4tr& .Jouée après U- Péril
*aune, une comédle-en-3 aotes, de M. Georges
• .«X^j^.'lntttuMe -, 1$ i-fiffurgtm, dont le ma*
nusçnt.. Complètement terminé,, vient, de lui
etïe remis, ■» *<■ ' - '1 (ui' - *
■ .r.o:'-!.'.'!',râ • .1 nv-.yv• ^ 4-. i
Aitthéâtre duPalais-Royal. îa
Le service • aè' ' s'ecbhde - ïéprêéfentattowvfiour
les Hannetons, 4 la r Renaissance,■•serà recu d&-
main, (litnanohei, ■, ^ ^
. M. .Claude Roland a réuni,. Ja uûït $rni&re,
restaurant: dp§-boulevards; ppur fêter
la Sut) 6 ' représentation, des Francs-Maèpns: les
directeurs; du; théâtre Cluny. 'le? créateurs 'de
la pièce, la plupart de-ses amis "«Mls soiU
nombreux... ' : ..-.V.: i!> !i ; ov
„ Tôslesoupèr, par petites taoie?è'dans'unê
salle, oùi 1 éclat des. lumières le .disputait'a -ca-
permis
dàpplaûdir Mlles, Eva Dupprret, Palba, M.
Leoni -et 'la fcompôsiteUf Varnej^ puis on a
dansé Jusqu'à six heures du matin, - '■ ^
î '. - •>.') ■ '. \VV , u'H't '•< •
soir 6 théatrp ' de ?- Yftttétéavétaij >ii,iête.4jier_
Le, total' des recette^ âxi BonHenr^ jnèsédmes J
dépassait le chiffre spléndide'dâ Ï59.00Q fràhpst
La salle était comble tet le public enthousiaste
cpmme aux premiers Jpurs. ' •> > 1
' Le cas est assez rari pour âtreicité. -que ce
lui de cette comédie dont un nombre, très-lie
mité de représentations est annoncé, et qui, :
4-la veillp de la 150», ^présentation, est encore
pleme.ypgup, ■
Demain dimânche, ft .8 heures précises,-deins
•la grande Salle j des Concerts du Conservatoire
dev musique,' première séance du ' Quatuor
Capet (MM; Capet, ïourret, Bailly et HasseV
mans). •„. »• . '
1 x ■„ •• v, \ - , 'WV î,
, AiTrianonfsilaidemand^aériéroiè. ion "dôa-
nefa, aujourd'hui, à 4,h. ,3/4, ; une.seconde au
dition des émbuVants Chût ifs, (U guerre\ d'A
lexandre. George: ; les chœurs seront dirigés
par l'auteur, lequél açeompagnéra' ses inter
prètes MM. Bureau-Berthelot," Georges Marty
en. tête, Le soir. continuatipn des dernières &a-,
présentations de la Botine, Qtlafaç,iV amusant'
vaudeyille„4' ( fîenrt Grèjois., ■ * ." ' ' ' j
s ■ V vi',.
;Le théâtré des Arts.
représentation du" Boi sans couronne,, ^>
L{f-tèrior HtUaws'f^ta- wi. 'dtmâôt'di*;
manche, à 2 heures, au théâtre du Jërdin d'Ao -i
climatatipnj danâ Guillaume Tell, -i \
' il 'chantera»4$'tôle ^'Arnold> et -les, autres!
rôles .seront 'tenus-- par-MM. Valdorv^CèbêS,
•Delbo? et Mmes Çalembièr et.de Palhen, l,es
ballets et divertissements 'ont été réglésv-par
Mlle.Charansonney. / " t- —
f- ,-■ ..^y^ - .
Deux excellents ar,
jp^ts. de. VOp
quei'Viennen
quelques-,uns.vde leurs ■ûamàr&dçs.'de très;
beaux,.^uccès. À chaque ' représentation de
cette saison- française' d'opéra, les ovations et
les rappels sacsuccèdentisana discdntihueï.
ii\ -W* ; 'Ixoïï
Dè notre■ correspondant de. Londres,; bïfé
vrier : - i, ■
Petite Fonctionnaire, avec Galipaux'et Mlle
imÇijS J
Mme Bartholdi, ^veuve: -duigrand scfôlpi
teur, viant-de -verse» A-la-Société des Ar*
" ' * 1C9,
Ule
de
en
*s fc { 1 ,.
. 'péttè'soï^piè,; 'rervtfa^à fonder ^laPpriX
d'ujiei'vàfeur de lOO.Ïfenés'et 'destîné'^ ré-
cojftfignser' ahnuçllem'ent ! a;u Balén, -Uii' âr-
liste Irahç'aia Agé de moins -de trente-ans,
auteur d'vna, oguvre remarquable 'par lea
qualités d'inveption ou d'imagination dans
n'importé quelle." catégorie-'d'aVtr i : "î ' •
IlseraattribuéparlefconBeJîjJ'admliiiai
tration de 14 Société et décerné pour la pre-
rnièreifois'ieh 1906..L ".,'K ><• ' -t
■'Une élection .complémentaire pour 4a, «0?
minatioxk- de deux membres au jury-de
peintura, «n remplacement de MM- ;Bouguer
reau et Henner, décédés, aura lieu au. siège
ûe 'Ia'Société des ArtiitSS 'frangais^ ?Çrand-
Palais des ChampSiElyséefi, Cosrç-la-Rein»
(porter D)i le 'VendsediiîjHiftMv id» fieullwiu-
fes Aquatra'heure a._ 'ûs- : ;,î ,n-VrSi <
r ■ Af„ JïaussoullieT .aprésenfé^îçÀà' l'Aca-
dëmiédés inscriptions' et b'elle^-le.ttrea, trois
inscriptions ^recque^, inédites qui"proviens
nent des fouillas exécutées à Babylone.
dé ççs .inscriptions iat-le-palmarès
dUma uistcibutioa de prix>au gymnase.de
Babylone en l'an"-110-avant notre 'ère j ce8
documenta-, grecs, provenant '.de\ l'antique
capitale, «ont de^ j»1ujb rares, et là -plupart
qnTétérdécouverts pay les,Allemands.
- Pour :$onAèr' l'exemple;à.feê& confrères,
dont aucuA nè tfét&it'fait ingerirè 4 l'ordrê
du jouir, M: Cagnat, pré3ident; a présenté
Après ia' pièce, GalipaUx a dif ' ùn "jnono- J
logu^i-v , - :■•- 7. 1
MHSI®
■Ça soir V" i. * , - r t
A l'Olympia..répétition générale,A bureaux,
"èuveTts de Parh-Fêtarâ, fantaisie à grands
spectacle, en quatre tableaux,, de MM. Geor-,
' *' • ilnnnAé TtnniiAniifi mi»ha ■ ^ a 1
penda^t'îongténjps 1 on ! ivait'aoriné',' it cer
tains monuments ' déifpuVèrts, 'uôé destina
tion hypothétique, ^ sans.• sPngèr '. J qu'ils
avaient' pu renfeiroer letf' livres 1 -et ''docu-
jnents. Les niches"pratiquées dans les mu
railles-,-fet quefTdn~'avmtrt!TO a^oïr contenir
des statfips, .ètajent en vérité des-armoires,
dont les portes ont dispa ru,'.^" "
LiESSPORTS
[uêpêfhe de noPrç çnpoyè spêciaVy .
'■ -L.-"i-'-'u.-^v, 2 février.,
Lea poids du prix du Palais-driver.
granda eourse de baigs.r handicap, ^20,000
francs, 3,500 mètres enyiron, la seconde des
-grandes. épreuves 1.de la ; réunion ' paloise,
aui figura au programme de. la ioujfnée de
jeudi prochain, ont .été publiés Aujourd'hui
à midi, à Pau.'; y V .
1, Cinquante-six chevauchaient été,- enga-
KéSt JFrwdîand II, Grand-Puc,. Malgré-Tout,
Flâneur ^1, Mlla-Uollar, Aubade, Île-d'Elbe,
; Çondé rll, -.Erin' iH, ï ArbeoBt et Savarin, ont
■été: retirés avant,la publication des jpoids.
t-ii^J^arautercinq chevaux jpnt été handica
pés.'Eft voici la liste : • ^ -■ . ,
-Van, ?5 kil. 5 SamsaPvî* kit |,Intendant,
-60>Jk|l* {j; Sajute, -68 s • kil. -i-, ;. Cymbalier,
68 kil, $.;FplrAmou?,.68Jcn(} ; Pensa, ôfkil.:
.aicqut>t,_§6'.Wli i ; Satanella. ,66 kil. ; Va-
■ eW/itn, Kil- & Aristo,II,--65. ! kil, 4 j Port,
:manf<;65 kil. §. ;• Attila,. 65 kil. .i Adoration.
CK , l ' ' ^ 51 ÎT ' Çhilpéric'
. Serpentin
6f W1r »-'VSzU1, ' 63 ^iUr'.îi Gatano, ;^ kil|
kttilja. .......
64 kll. t ; Duc-du-Maine, 64 kil- ; Serpentine,
64 kii."- j 'VazUl, ' 63 .kil,. t Catane, ;63 kil»
Novare/ ; 62
binier, .61 kil f i t Boi-d'Armes. 61 )fû.Bar-
bèr's-Pole,61 kil..} Moulin, 61 kil,^Mlle-de-
Machefoin. .61-,kil >1 iPolisson II, ,60 kil. 4 ;
EUpatetfBfcfcUnU Q^th«rG^eep,v60 MV * j
Monbrun^ 60 til. J;MiProbe, ÇO kil. f ;
Gratielia, 6Q:kil. i; Rosi» PÛ.kiL 4; Pékin II,
60 kil. ; Neuilly II, 60"kil. ; Flaur-d'Avril,
60:kll.'.î Juliac, :60 kil. :( Foscp, Ç0 kil,Pa-
-prikâ, £0 kiL, ; Royal-Oak II, §Q,kil. ; Diego,
£0 kil. ; Pervenchey-60 kil^ -.1 $»o1F-'«a» Vi Mb-«^ -1 itrv-.-lAMoM'ïB,-,,
l. i '-.:i - YÊLOCIPÉDIE
-..•Vélodrome-d'Hiver,?- Demain, au vélodro-
me d'HiVer, première Journée d'Un meeting
aa Gïand-Rrix., ^tuniqipal,.. pour.,lequel .,19
conseil municipal a donné Un prix superbe.
Lé pro'gïamm"e"Comporte~les-eHH| séries éli-
miittitoires, le repêchage en i séries .et une
finale du Prix Municipal ; une épreuve de 50
primes
coureurs, et une course de motocyclettes.
i ^ t % ^
o»i|é r^|sc^i&ilon Ipo^
Le PetiîJou rnal dans lesdépàftBments |
- (Télégrammes-de nos correspondants spéciaux). —- V endredi. â F ^yriéb<
, ' lf i / " 1 1 .1 i,1 ^^ . ' 1 î
eoy^iiïo.jP9,'r» lëâ
" rmàrch4ufî%^è|"i^ M l^r!
AMQOISE, — tin terrible accideiit s'est pro
duit àr Amboise, & l'usine Mabille, frères. Deux
ouvriers, Désiré Besnard; âgé de trente-cinq
ans, '.et Claude Cosnier, figé de auarante-cinq
ans, étaient occupés à- manipuler des vis de
pressoirs quand une jpilç de ces vis, du poids'
de 4,000 kilos, s'écroula sur eux.
Cosnier fut tué sur le coup, et Besnard,reçut
des blessures assez graves... . „
AVESNES (Nord), 7- La petite Emélie Bos
quet, figée "de* cinq ans, dont les parents ha
bitent Wignehies, jouant -avec des allumettes,'
mit ld feu À ses vetemeiits.; affolée, elle cou
rut dans la rue, où i«s. passants étou lièrent
les flammes, mais la pauvre enfant était mor
tellement brûléè.*^ 1
,.. BONE (Algérie). — Une violente bourrasque
> d'est abattue sur - la région. La mer est dé
montée.
Le brick-goélette italien Josefina, venant de
Gênes et d'Ajaccio, s'est éeboué dans le golfe,
& neuf kilomètres :de B0ne ; l'équipage a été
sauvé. ■ . ■ - ■ - ' .-i
La crue du Rhummel' a occasionné la' mort
de douze personnes, "■ • •
A Châteauduri^ l'hàbltatioA. d'un lnfligèpe# :
- u s ;--
pins, arrêté le lendemain du tripla assassinat
de Violaines comme auteur présumé-du' crime,:
vient d'être mis en liberté pajt îe Juge'd'ins -i
truction deBéthunei ■ >. |
c K nnes . — Le'roi fies Bfelges/dontîe yacht
l'Alberta .e&t toujours ancré en-rade de-Ville-'
franche, est venu ici en automobile-hier après-!
midi et a fait une promenade autour, de la
ville. •
Il a .rendu visite ensuite "âu prihee et i la
rée.
DtilOrt/ —'Voie! "dès détails «sur
qui a été commis, hier, & Perrigny-lèè-Dijon,
. La-victime, qui, comme Jrvous'f'âi dit, ha»
bitait ssule, est:une nommée Eléonore-Denisel
Bergeret, âgée de soixante-deux ans. ,
Elle avait l'habitude d'aller passeï" là soirée
chez son voisin, le vigneron Gay ; ce derniëij
ne l'ayant pas vue l'autre! soir, envoya soriJfllsj
hier, m^tin,-ypi6.ee au^Ue fftisaiti l'$nfa»t:l4
i'..".. .v*^ ' t , , .rt -st , ■('
trouva au milieurdé 'sâ ichambi^ ;à couoher,!
Daigqantdançiune mare de sang.
Les armoires avaient été fouillèeswOn a*re..;
trouvé: des .porte-monnaie vides/ ^Le -vo} est?
donc le mobile du crime. - -< ( ;,n?
. Les soupçpps se portent sur un -âpachë. di-
•jonnaig qti'on a. yu rodant .autour ,-,dô la
maison.-;--'" -■:; ■
* 'Lhfftté,;
îâyMrs^e,
naissance,~a été. pris par la courrôié d'uh rou-!
léau «t entraîné isflus celui-ci. La mort a été'
presque, instantanée. i
La-victime était mariée et père dé farfifllè,. f
'larcentière (Ardèche). ^-.Urt terrible Ht-f
cendie a complètement ravagé les" bois de -m.!
Guignon,,ancien.notaire, a Sanithao, au lieu
do •Biîlçoji.'.'- 1 j
,,Les plarifs. d'à quatre et 'cii>q' aps.'Wt été
détruits en'grand nombre et trente mille pinsf
ayant six et sept mètres 1 de hauteur ont pres-l
que lous'été carbonisés.
, LIMOl/X^rfi-M, :P^uf Roche, notaire, maire
d'Arqués; conseiller. général . du' canton de
1 Couiza, vice-président du consëU' général 1 , esï
*- décédé' 'hier, aî Page de ciaquante^ept .ans. t
louhans. —iM. Gelot-Simon, propriétaire
4.Château-Renaud» s'est-tu^ aqcidenteljement
feûrgté générale,-,-qu.Hui a remis des documénts,
itrès importants, concernant la banda des vo-
leurSjantei'nationaux. • , " . ,.», r , '
..Ces' documents cpnstituen'tiUn vérîtafele dos-
.sier de ; tpus les faits connus .de }a sûreté géné
rale et quï paraissient se rapporter à' l'aflalre
•dont est actuellement saisi le parquet de Mar-,
seille, Il y a là, paraît-il, des rapports àur des'
affaires-.de chantages"des vols àlatire et de,
Ifilouterift.au Jau^qui aont de véritables niâtes
id'aççusatipn,contre les àss.qciës dç ; iMirabel et
'de Guibar., ,'■ , 'V, ,- .''It !*.
"r 3 -Deu* commissaires de la sûreté 'éêûè-l
raie,: de passage à Marsèille, étant venus-
dans un café, y avaient remarqué la,présence,
de deux b.QOkmakers f ,de, .Paris, .Ceux-ci quittè
rent le café en compagnie de plusieurs amis,
mais, 'eif partant,- lalssèrent'par mégarde une
enveloppe contenant une liste de paria ; aux
jicourses que des Joueurs étaient venus leur ap-
porter. Quelques instants après,. M. David,
vice-nrésidçnt du ' conseil général, .yfht pour
rechercher la lettre perdue; ignorant sa qua-;
litér les-commissaires lé conauiaii'eiït- devant!
le chef de la sûreté où-procès-verbai-d'e lln-l
cldent lu 1 fut-, dressé pour, fitrq. .transmis au|
^Icâ incident a 'fâit graîid , ! bnjit a Marseljle.
hâncy. — 'On'craignait des troubles 4 Neu
ves-Maisons, où-'ïes mineurs' sont^n-grève-.
• '.Trois -batoillons, ^'infanterie., rctieri.'oompa-
en voulant tirer un,coup,dé fusil $ur son chien' i
qu'il-croyàit atteint dïiydroptiobie. , ' ' i
marseille. — M. Cavâillon s'est'èntreieriu j
3de nouveau, hier soir; très; longuement, - avea
:Mi AsctiwçndeOiT «omroissaira adjoint dç/W,
E' nie 4o chasseurs cyclistes, quqtre-vmgts gen-,
armes et trois esçadrons de Jiussards.aont ar--,
r rivés cette nuit, et ont . été ^partis sur "divers? 1
points, otfiy bivouaquent sous'unë pluie-fine. '
Mais lés grévistes sont calmes; Us se oonten- 1
tent.de.parcourir les ,,ruês av«c. le.drapeauji
ïjwgs «}• W efeaqla^la:$
.- On ne pense pas que les ,ouvriers métallur
gistes pactisént avec lés ouvriers mineurs. ;
. orléans.--r A Saint-Jean-da-la-Ruelle, da n s-
Ia nouvelle !église en construction, trpjs" ou
vriers 'maçons travaillaient aujourd'hui sur
un échafaudage, a six ' mitreâ* d$-hauteut,
ÎQrsquium manœuvre airiva. portant-un porte-
charge de :mortie|- ; l'échafaudage .se rompit
" * " des-quatre hommes et trois de
précipités & terre, pu .oh les re
leva ensanglantés. Ce sont le3 nommés ! Méro-
Mdi T JAMÂ «l'A 4-nn
f •■♦^V
spus .le poids
ceux-ci tu
Met.: 'âgé de trente:aii4 ;, Poirier,.- trente ans,
.maçons i et Moreau,-. dix^eufana, mançguvrq,
, Après avoir reçu les premiers, soins .dans
Imè maison''Voisine,- ils ont,été tranêportés à
l'hôpital. . . , . - • , — f , • r
Tous trois ont rèoa da nombreuses blessu
res,■ ,»ur la gravité desquelles- on ne peut en
core sjé;.prononcer.
poitiers. — Les obsèqués de- M: Férot;pr
a Signale la mort subite, ont été céléjbrées Au
jourd'hui,-à midf.'^'la cathédrale, ea prégence
d'une assistance éorisîdéràble. ' - '■ ' < '1
. -. Aa cimetière -deux discours, «nt été prontin-
«éç .par MM. Morellet,, procureur, général, et
ffinftçk, piëside^t du . tribunal s ' , ^ '
PONTIVY. — Le Petit journal a signalé la
disparition, -. à ; B^tud.. ;des -.frères ^lagueresse
dont l'un sourd-muet, était âgé de seize ans; et
•pautrè, de -huit ans: Le cadavre du dernier a
été trouvé dans la rivière d'Etel. On .avait cru
& une mort, accidentelle de» deux frères, -mais
certains bruits prétendant qu'il" y aurait qri-
%ë,-lè parquet de Pontivy s'est, rendu .à Baud.
RE^IREMO^,
ont passé ce matto, pendant une heure, Ici,
venant des régions montagneuses, . où la neii
U„$ud.
roanne. -i-^n'^élaïu^mun llatray
.jooda
prison, à Lyon, ^our fabrication de fausse
36 ans, de
Jamné à
iy, âgé de
o ans. de
Roanne. ..ce
^ngu»,. m» on» ^our iuvii^awuu uo nnussti
monnaie, et qu{-av£lit Jété.'sûnené à Roanne
pour faire opposition & un jugement,. a< ce
matin, ayant été .puni de. huit îoûrfe de. Cellule
par- le 'gardien chef de la maison d'arrêt,, M.
couenne, porté à celui-ci trois coups dji cou
teau; li u i- '' iJ : " - - : ' '
M. Couenne a été grièvement blessé air
visage.-.; . •>,. . . •
romôrantin. rv- Lés fêpbux Fésneau, qui
»nt .de iélébfer le cm»
" *" let
habitent poings, viennçn'
liesse. Seul. M. Fesneau-à travaillé ce Jour>là.
J1 .est porteur du P?tU,Jçurnal depuis de Ion
gues années et il-n'a pàS 'vouiù Intel
sa besogne quotidienne
Interrompra
c'est ainsi qu'on a
toulouse. — Hier epir, un nommé Pierre
Concuiret, cantonnier Bé -la Compagnie du
Midt, e® voulant- accrocher une plate-farme &
una maûhine a'été pris-entre deux tampons
et a eu la téte proyéeVj -.-.î . , . v . ;
tour».— Le, caporal clairon Manaury, dt
^d'Iufantçrie. en garnison ^ Tpurs, s'est fra
cassé le crâné en tombant dans un escaller.
Son état^iUégespéré»,,,i. 4
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