Titre : Annales de la Société entomologique de France
Auteur : Société entomologique de France. Auteur du texte
Éditeur : Mequignon-Marvis (Paris)
Éditeur : F. G. LevraultF. G. Levrault (Paris)
Éditeur : Pitois-Levrault et CiePitois-Levrault et Cie (Paris)
Éditeur : Ch. PitoisCh. Pitois (Paris)
Éditeur : chez le trésorier de la Sociétéchez le trésorier de la Société (Paris)
Éditeur : au siège de la Sociétéau siège de la Société (Paris)
Éditeur : Le FrançoisLe François (Paris)
Éditeur : Masson & CieMasson & Cie (Paris)
Éditeur : Société entomologique de FranceSociété entomologique de France (Paris)
Date d'édition : 1989-07-01
Contributeur : Viette, Pierre (1921-2011). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34349289k
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Langue : anglais
Format : Nombre total de vues : 125079 Nombre total de vues : 125079
Description : 01 juillet 1989 01 juillet 1989
Description : 1989/07/01 (T25,N3)-1989/09/30. 1989/07/01 (T25,N3)-1989/09/30.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6141421d
Source : Muséum national d'histoire naturelle. Bibliothèques, 2008-139742
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/12/2010
ment arrondie de chaque côté; joues aiguës mais arrondies dans l'angle, débordant nettement les
yeux et réunies par une sinuosité plus ou moins forte aux marges latérales ; pourtour du clypéus
rebordé mais plus fortement le long de la marge antérieure ; suture frontale très finement sillonnée,
quelquefois imperceptiblement ; épistome faiblement gibbeux au milieu ; ponctuation râpeuse, sim-
ple, fine et assez dense partout, même sur les joues où elle est plus fine.
Scutellum triangulaire avec quelques points épars.
Élytres sans épine humérale; stries très fines, leurs points entament légèrement les bords
des interstries ; ceux-ci sont convexes et portent une petite ponctuation râpeuse sétigère plus ou moins
bisériée.
Éperon terminal des tibias antérieurs, vu de dessus, rectiligne et paraissant tronqué à l'apex ;
vu de profil, il est régulièrement acuminé et progressivement courbé vers le dessous jusqu'à l'apex ;
métatarse un peu plus long que le tibia, le premier article plus long que les trois suivants réunis.
Aire métasternale assez allongée, assez profondément fovéolée au milieu, à ponctuation fine,
râpeuse, sétigère, dense sur la moitié antérieure mais plus éparse sur l'autre moitié.
Femelle : identique au mâle mais la tête est moins large, la ponctuation est plus forte, assez
dense et non râpeuse ; épistome nettement saillant au milieu ; suture frontale visiblement sillonnée ;
aire métasternale convexe, longuement et étroitement fovéolée au milieu, à ponctuation identique
à celle du mâle, mais plus fine et beaucoup plus éparse.
Distribution géographique : Kenya : allotype et 10 paratypes : mêmes date, loca-
lité et récolteurs que l'holotype (RHN+CPB); 2 paratypes : Kuku Plains (2° 54 S, 37°
46 E), 5-XH.-1974, 900-1000 m « deciduous orthophyll savanna », bouses (Krikken et van
Berge Henegouwen) (RHN+CPB).
Aphodius (Trichaphodius) pseudohumilis, n. sp. (fig. 3, 8, 27)
Holotype mâle : Afrique du Sud : État libre d'Orange, Sasolburg, Müllerus Plot
12, 14-XI-1982 (D.M. Kroon) (TMP).
Longueur : 3,5 à 4,3 mm. — Espèce assez luisante ; tête et pronotum brun, marges latérales
de la tête et du pronotum et quelquefois la marge antérieure plus ou moins largement brun jaune;
élytres brun jaune avec une grande tache discale atteignant la base sur le 5e interstrie et l'apex plus
foncé ; une macule préapicale claire est limitée en avant et en arrière par deux fascies brun noir
plus ou moins nettes; pattes brun jaune.
Mâle : marge antérieure du clypéus rectiligne et largement arrondie de chaque côté ; joues
rectangulaires, arrondies dans l'angle, débordant un peu les yeux et réunies par une sinuosité plus
ou moins accentuée aux marges latérales ; pourtour du clypéus rebordé, un peu plus fortement sur
la marge antérieure ; suture frontale presque invisible ; épistome nettement gibbeux au milieu ; ponc-
tuation assez dense, assez forte et un peu râpeuse sauf sur les joues où les points sont plus petits
et simples.
Marges latérales du pronotum rectilignes ; angles postérieurs tronqués, rebord latéral faible,
s'étendant jusqu'au niveau du 3e ou du 4e interstrie élytral; ponctuation identique à celle de la tête
mais moins nettement râpeuse; le long de la marge antérieure, les points sont plus petits.
Scutellum avec quelques points sur le disque.
Élytres sans épine humérale; stries fines, les points entament nettement les bords des inter-
stries qui sont légèrement convexes et portent une ponctuation à peine râpeuse et bisériée sur les
interstries externes ; sur les deux ou trois premiers interstries cette ponctuation est identique mais
non alignée.
Éperon terminal des tibias antérieurs régulièrement courbé vers l'extérieur et acuminé à l'apex;
premier article métatarsal plus long que les trois articles suivants réunis.
Aire métasternale plane, légèrement et largement fovéolée au milieu, à ponctuation sétigère
dense sur le tiers antérieur mais éparse sur le restant de la surface.
Femelle : identique au mâle mais la tête est plus étroite, l'épistome nettement plus gibbeux,
la ponctuation plus dense et non râpeuse ; ponctuation pronotale plus forte et plus dense ; aire méta-
sternale un peu convexe avec une petite fovéole sur la moitié antérieure et à ponctuation moins dense
mais de même forme et répartition.
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yeux et réunies par une sinuosité plus ou moins forte aux marges latérales ; pourtour du clypéus
rebordé mais plus fortement le long de la marge antérieure ; suture frontale très finement sillonnée,
quelquefois imperceptiblement ; épistome faiblement gibbeux au milieu ; ponctuation râpeuse, sim-
ple, fine et assez dense partout, même sur les joues où elle est plus fine.
Scutellum triangulaire avec quelques points épars.
Élytres sans épine humérale; stries très fines, leurs points entament légèrement les bords
des interstries ; ceux-ci sont convexes et portent une petite ponctuation râpeuse sétigère plus ou moins
bisériée.
Éperon terminal des tibias antérieurs, vu de dessus, rectiligne et paraissant tronqué à l'apex ;
vu de profil, il est régulièrement acuminé et progressivement courbé vers le dessous jusqu'à l'apex ;
métatarse un peu plus long que le tibia, le premier article plus long que les trois suivants réunis.
Aire métasternale assez allongée, assez profondément fovéolée au milieu, à ponctuation fine,
râpeuse, sétigère, dense sur la moitié antérieure mais plus éparse sur l'autre moitié.
Femelle : identique au mâle mais la tête est moins large, la ponctuation est plus forte, assez
dense et non râpeuse ; épistome nettement saillant au milieu ; suture frontale visiblement sillonnée ;
aire métasternale convexe, longuement et étroitement fovéolée au milieu, à ponctuation identique
à celle du mâle, mais plus fine et beaucoup plus éparse.
Distribution géographique : Kenya : allotype et 10 paratypes : mêmes date, loca-
lité et récolteurs que l'holotype (RHN+CPB); 2 paratypes : Kuku Plains (2° 54 S, 37°
46 E), 5-XH.-1974, 900-1000 m « deciduous orthophyll savanna », bouses (Krikken et van
Berge Henegouwen) (RHN+CPB).
Aphodius (Trichaphodius) pseudohumilis, n. sp. (fig. 3, 8, 27)
Holotype mâle : Afrique du Sud : État libre d'Orange, Sasolburg, Müllerus Plot
12, 14-XI-1982 (D.M. Kroon) (TMP).
Longueur : 3,5 à 4,3 mm. — Espèce assez luisante ; tête et pronotum brun, marges latérales
de la tête et du pronotum et quelquefois la marge antérieure plus ou moins largement brun jaune;
élytres brun jaune avec une grande tache discale atteignant la base sur le 5e interstrie et l'apex plus
foncé ; une macule préapicale claire est limitée en avant et en arrière par deux fascies brun noir
plus ou moins nettes; pattes brun jaune.
Mâle : marge antérieure du clypéus rectiligne et largement arrondie de chaque côté ; joues
rectangulaires, arrondies dans l'angle, débordant un peu les yeux et réunies par une sinuosité plus
ou moins accentuée aux marges latérales ; pourtour du clypéus rebordé, un peu plus fortement sur
la marge antérieure ; suture frontale presque invisible ; épistome nettement gibbeux au milieu ; ponc-
tuation assez dense, assez forte et un peu râpeuse sauf sur les joues où les points sont plus petits
et simples.
Marges latérales du pronotum rectilignes ; angles postérieurs tronqués, rebord latéral faible,
s'étendant jusqu'au niveau du 3e ou du 4e interstrie élytral; ponctuation identique à celle de la tête
mais moins nettement râpeuse; le long de la marge antérieure, les points sont plus petits.
Scutellum avec quelques points sur le disque.
Élytres sans épine humérale; stries fines, les points entament nettement les bords des inter-
stries qui sont légèrement convexes et portent une ponctuation à peine râpeuse et bisériée sur les
interstries externes ; sur les deux ou trois premiers interstries cette ponctuation est identique mais
non alignée.
Éperon terminal des tibias antérieurs régulièrement courbé vers l'extérieur et acuminé à l'apex;
premier article métatarsal plus long que les trois articles suivants réunis.
Aire métasternale plane, légèrement et largement fovéolée au milieu, à ponctuation sétigère
dense sur le tiers antérieur mais éparse sur le restant de la surface.
Femelle : identique au mâle mais la tête est plus étroite, l'épistome nettement plus gibbeux,
la ponctuation plus dense et non râpeuse ; ponctuation pronotale plus forte et plus dense ; aire méta-
sternale un peu convexe avec une petite fovéole sur la moitié antérieure et à ponctuation moins dense
mais de même forme et répartition.
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