Presse et revues
22 pages
Titre : Les Spectacles : paraît tous les vendredis
Auteur : Syndicat des loueurs de films cinématographiques de la région du Nord. Auteur du texte
Auteur : Chambre syndicale des directeurs de salles de spectacles de Lille et de sa banlieue. Auteur du texte
Auteur : Caisse de compensation des groupements professionnels du spectacle de la région du Nord. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Lille)
Date d'édition : 1930-04-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32871596z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10416 Nombre total de vues : 10416
Description : 14 avril 1930 14 avril 1930
Description : 1930/04/14 (A7,N324). 1930/04/14 (A7,N324).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG59 Collection numérique : BIPFPIG59
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Nord-Pas-de-Calais
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k61239624
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-67107
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
LES SPECTACLES
leur en scène Seit-er qui travaille depuis
deux ans avec First- National. On sait que
ce film sera interprété par Corinne Grif-
fith, dont le charme prenant et l'expres-
sive beauté, ne sauraient; cesser de nous
émouvoir !...
Une bonne nouvelle !...
Le film sonore « Mannny », ia>vec Al
Jolson sera présenté au début du prin-
temps. P f1»*- inutile, de s'étendre sur l'ac-
cueil que fera le public à son grand fa-
vori !...
A propos de « The Âviator »
. ■« The Aviator », production Warner-
Bros First National et Vitaphone fut,
très bien accueilli par les critiques, lors
de sa présentation a Hollywood.
Protestation !...
Alice White est en train de mener une
campagne terrible contre les jupes lon-
gues qui font des ravages considérables,
.à Hollywood... Inutile de se demander si
les jambes de cette charmante vedette
sont parfaites-!...
| Maison LAMBERT I
= 2 bis, Rue des Jardins, LILLE §
| Téléphone: 39.13 |
| Pièces détachées PHTHÉ, GHDiWGNT |
r Pour la réparation dé vos appareils |
I un Recanicien-ÊlDctricien esl allachê à la maison =
DE FOX-FILM
Un nouveau procédé Fox
La Fox va mettre en pratique un nou-
veau procédé qui permettra, aux couleurs
d'être reproduites sur l'écran d'une ma-
nière parfaite. Ce sera la reproduction
exacte de la réalité. Quelles surprises ne
nous réserve pas une fois de plus le ciné-
ma ?
Ca vie en rose
Révélation de Ja.net Gaynor en tant que
danseuse et chanteuse de grand talent,
dont la voix claire s'allie' harmonieuse-
ment bien à celle de Charles Farrell. Ja-
nct Gaynor qui jusqu'alors avait fait vi-
brer les cordes les plus sensibles de notre
coeur, ne se transforme-t-elle pas, pour
notre plus grande surprise en un bon pe-
tit diable pétillant de bonne humeur et de
gaieté ! Comment ne pas aimer cette mer-
veilleuse petite fée tour à tour enjouée et
douloureuse !
Têtes brûlées
Qui. ne se réjouira pas de retrouver Vie
tor Me Laglen et Edmund Lowe, les deux
impayables soldats d' « Au Service de la
Gloire » encore une fois aux prises dans
« Têtes Brûlées », beau film de saveur
internationale, dont, la vedette est Lily
Da.mita, l'idole de l'écran européen ?
Mariés à Hollywood
Une musique d'un genre tout à fait nou-
veau, une histoire d'un grand intérêt, des
situations amusantes et d'autres pathéti-
ques, une interprétation de premier ordre,
de nouvelles vedettes, voilà, les raisons
qui fonl du film « Mariés à Hollywood »,
opérette d'Oscar Strauss, une oeuvre forte
et. belle.
L'Intruse
Lumières et ombres d'un drame poi-
gnant des grandes passions — passion
d'un jeune paysan à l'intelligence éveil-
lée, pour une séduisante fille de la ville
— passion de- cette femme pour la vie
paisible d'un calme coin de campagne,
loin des hommes qui l'ont toujours pour-
suivie—passion d'un père aux idées
étroites, aux principes rigides, pour la
terre nourricière. C'est un beau film sim-
ple et profondément humain.
Manuéllâ
Une palpitante romance d'amour à Rio
Grande, pays du rêve où les hommes
aiment avec fougue de séduisantes seno-
ritas. Des choeurs magnifiques de 40 exé-
cutants de'grand talent.. Rien de sembla-
ble n'a encore été obtenu en film sonore
jusqu'à ce jour et ceux qui entendront le
choeur des Vacquèros ne pourront jamais
l'oublier.
Frozen Justice
(Le titre français sera annoncé prochai-
nement).
Un émouvant thète d'amour et de haine,
de renoncement et de vengeance, est à la
hase de ce film, interprété par des hommes
du Nord, hardis, bea,ux et intrigants qui
n'hésitent pas à affronter la mort pour
gagner l'affection dô Talu, la séduisante
Lenora ' Ulric, aux yeux de flammes, aux
lèvres de glace, rendant esclaves ceux qui
osent l'approcher. Tous les conflits d'une
âme sauvage qui eut pour héritage les
. instincts de .deux races primitives mais
différentes, sont rendus par Lenofe Ulric
avec une rare maîtrise.
DE PARAMOUNT
La revanche d'Esculape
Quand Richard Dix eut passé ce qui, en
Amérique, équivaut au « bachot », sa. fa-
mille insista pour qu'il, fit sa médecine el,
devint chirurgien, suivant en cela l'exem-
ple de sort frère aîné. Assistant aux opé-
rations, son coeur se souleva de telle façon
à la vue du sang qu'il profita de cette fai-
blesse pour lâcher la médecine et se des-
tina au théâtre. Mais Esculape s'est,
vengé ! : ■'
Et dans le « Voleur .volé », nous voyons
Richard Dix dan,s un. sanatorium. Pris
- pour un nerveux, il est empoigné par les
infirmiers, allongé de force sur une table
de massage où les médecins lui font pas-
ser un vilain quart • d'heure. Le •« voleur
volé », une: production de Franck Tuttle,
avec Richard Dix et Nancy Carroll, passe
celte semaine dans les principaux cinémas
de Paris. C'est un film Paramount.
. Pourquoi rit-on ?
Le rire est généralement provoqué par'
la situation embarrassante, déplaisante,
ou ridicule dans laquelle se trouvent des
individus ; ou encore, par un accident
dont nous ne voyons d'abord, que le côté
grotesque, sans prendre le temps de réflé-
chir aux suites pénibles qu'il peut avoir.
Lorsque sur l'écran,..on voit, un jeune
papa, promener, pour le calmer, son bébé
sur le coup de trois heures du matin, on
rit... parce qu'on se rappelle des tas de
• choses. Quand on voit une femme irasci-
ble « pincer » son mari, sa dactylo sur
les genoux, on se tord... Quand une vieille
dame glisse sur une peau do banane
et, choit, ses jupes en désordre contrastant
avec son air respectable, on ne peut s'em-
pêcher d'en pouffer..'.
Si vous voulez rire, rire à vous dilater
la rate, allez voir Richard-Dix dans « Le
Voleur Volé ». C'est un film Paramount.
^tiiitilliillijiiiiidiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiftiiiiiiiiiitiliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiu^:
o eai ci ici ivAuiouu Juj-xinoJ^J\j
2 bis, Rue des Jardins, Lille j
que l'on trouve la fameuse lampe ''PH l LIPS " :
13 VOLTS SO AMPÈRES \
! son dispositif et son tableau ;
I A DES PRIX TRÈS AVANTAGEUX \
DE GAUMOMT
L'IDEAL-SONORE
Une révélation
Le Ciné-Opéra de Rouen venait à, peine
de terminer l'installation de l'Idéal-Sonorc
que le directeur d'une grande firme amé-
ricaine vint, au cours d'une séance, pour
se rendre compte ,.e son fonctionnement.
Les spectateurs, à leur insu, bénéficiè-
rent de cette visite car ils eurent le plaisir
de voir « Tango », le très joli film-attrac-
tion de la Paramount, qui n'était pas an-
noncé au programme.
Bien que le film ait été projeté sans au-
cun réglage préalable, la. représentation
fut parfaite.
La, clientèle du Ciné-Opéra prodigieuse-
ment intéressée par la révélation de ce
qu'était le film parlant, se promit de reve-
nir pour voir et- entendre - la .-« Chanson
de Paris ».
C'est un-succès pour le Ciné-Opéra, que
dirige M. Bott, avec une grande compé-
tence.
C'est le Camarade LAMBERT |
qui est le dépositaire des appareils - H
M. I. F». |
POUR LA RÉGION |
DE TOBIS
Sous les Toits de Paris
Au studio Tobis d'Epinay, René Clair
vient d'achever les intérieurs de son film
» Sous les Toits de Paris ». Deux ou trois
scènes d'extérieurs doivent être tournées
cette semaine et ce, film commencé le 10
janvier sera terminé le 10 mars, répon-
dant ainsi aux prévisions du tableau de
travail. Ce très court délai constitue un
record peut un film sonore et parlant de-
celte importance, ainsi qu'une belle réfé-
rence pour les appareils d'enregistrement
Tobis-Klnngfilm.
La Mélodie du Monde
Le grand film de Wallor Ruttman, « La
Mélodie du Monde », qui a obtenu u«
très grand succès dans les salles pari-
siennes, après son triomphe sur les bou-
levards, est projeté celte semaine à Mont-
pellier.
Le Cabaret des Coeurs Pendus
Au studio Tobis d'Epinay, les films de
Kerven ont, tourné dernièrement la, partie
synchrone du « Cabaret des Coeurs Pen-
dus », a.vec Loulou Hegobùru et, Habeb
Benglia, entourés d'artistes de Montpar-
nasse.
Romance
Au studio Tobis d'Epinay, Eisensiein et
Alexancli'off oui, complètement terminé
« Romance », film sonore et chantant in-
terprété par M ara. Griy.
(Voir suite page 14) .
leur en scène Seit-er qui travaille depuis
deux ans avec First- National. On sait que
ce film sera interprété par Corinne Grif-
fith, dont le charme prenant et l'expres-
sive beauté, ne sauraient; cesser de nous
émouvoir !...
Une bonne nouvelle !...
Le film sonore « Mannny », ia>vec Al
Jolson sera présenté au début du prin-
temps. P f1»*- inutile, de s'étendre sur l'ac-
cueil que fera le public à son grand fa-
vori !...
A propos de « The Âviator »
. ■« The Aviator », production Warner-
Bros First National et Vitaphone fut,
très bien accueilli par les critiques, lors
de sa présentation a Hollywood.
Protestation !...
Alice White est en train de mener une
campagne terrible contre les jupes lon-
gues qui font des ravages considérables,
.à Hollywood... Inutile de se demander si
les jambes de cette charmante vedette
sont parfaites-!...
| Maison LAMBERT I
= 2 bis, Rue des Jardins, LILLE §
| Téléphone: 39.13 |
| Pièces détachées PHTHÉ, GHDiWGNT |
r Pour la réparation dé vos appareils |
I un Recanicien-ÊlDctricien esl allachê à la maison =
DE FOX-FILM
Un nouveau procédé Fox
La Fox va mettre en pratique un nou-
veau procédé qui permettra, aux couleurs
d'être reproduites sur l'écran d'une ma-
nière parfaite. Ce sera la reproduction
exacte de la réalité. Quelles surprises ne
nous réserve pas une fois de plus le ciné-
ma ?
Ca vie en rose
Révélation de Ja.net Gaynor en tant que
danseuse et chanteuse de grand talent,
dont la voix claire s'allie' harmonieuse-
ment bien à celle de Charles Farrell. Ja-
nct Gaynor qui jusqu'alors avait fait vi-
brer les cordes les plus sensibles de notre
coeur, ne se transforme-t-elle pas, pour
notre plus grande surprise en un bon pe-
tit diable pétillant de bonne humeur et de
gaieté ! Comment ne pas aimer cette mer-
veilleuse petite fée tour à tour enjouée et
douloureuse !
Têtes brûlées
Qui. ne se réjouira pas de retrouver Vie
tor Me Laglen et Edmund Lowe, les deux
impayables soldats d' « Au Service de la
Gloire » encore une fois aux prises dans
« Têtes Brûlées », beau film de saveur
internationale, dont, la vedette est Lily
Da.mita, l'idole de l'écran européen ?
Mariés à Hollywood
Une musique d'un genre tout à fait nou-
veau, une histoire d'un grand intérêt, des
situations amusantes et d'autres pathéti-
ques, une interprétation de premier ordre,
de nouvelles vedettes, voilà, les raisons
qui fonl du film « Mariés à Hollywood »,
opérette d'Oscar Strauss, une oeuvre forte
et. belle.
L'Intruse
Lumières et ombres d'un drame poi-
gnant des grandes passions — passion
d'un jeune paysan à l'intelligence éveil-
lée, pour une séduisante fille de la ville
— passion de- cette femme pour la vie
paisible d'un calme coin de campagne,
loin des hommes qui l'ont toujours pour-
suivie—passion d'un père aux idées
étroites, aux principes rigides, pour la
terre nourricière. C'est un beau film sim-
ple et profondément humain.
Manuéllâ
Une palpitante romance d'amour à Rio
Grande, pays du rêve où les hommes
aiment avec fougue de séduisantes seno-
ritas. Des choeurs magnifiques de 40 exé-
cutants de'grand talent.. Rien de sembla-
ble n'a encore été obtenu en film sonore
jusqu'à ce jour et ceux qui entendront le
choeur des Vacquèros ne pourront jamais
l'oublier.
Frozen Justice
(Le titre français sera annoncé prochai-
nement).
Un émouvant thète d'amour et de haine,
de renoncement et de vengeance, est à la
hase de ce film, interprété par des hommes
du Nord, hardis, bea,ux et intrigants qui
n'hésitent pas à affronter la mort pour
gagner l'affection dô Talu, la séduisante
Lenora ' Ulric, aux yeux de flammes, aux
lèvres de glace, rendant esclaves ceux qui
osent l'approcher. Tous les conflits d'une
âme sauvage qui eut pour héritage les
. instincts de .deux races primitives mais
différentes, sont rendus par Lenofe Ulric
avec une rare maîtrise.
DE PARAMOUNT
La revanche d'Esculape
Quand Richard Dix eut passé ce qui, en
Amérique, équivaut au « bachot », sa. fa-
mille insista pour qu'il, fit sa médecine el,
devint chirurgien, suivant en cela l'exem-
ple de sort frère aîné. Assistant aux opé-
rations, son coeur se souleva de telle façon
à la vue du sang qu'il profita de cette fai-
blesse pour lâcher la médecine et se des-
tina au théâtre. Mais Esculape s'est,
vengé ! : ■'
Et dans le « Voleur .volé », nous voyons
Richard Dix dan,s un. sanatorium. Pris
- pour un nerveux, il est empoigné par les
infirmiers, allongé de force sur une table
de massage où les médecins lui font pas-
ser un vilain quart • d'heure. Le •« voleur
volé », une: production de Franck Tuttle,
avec Richard Dix et Nancy Carroll, passe
celte semaine dans les principaux cinémas
de Paris. C'est un film Paramount.
. Pourquoi rit-on ?
Le rire est généralement provoqué par'
la situation embarrassante, déplaisante,
ou ridicule dans laquelle se trouvent des
individus ; ou encore, par un accident
dont nous ne voyons d'abord, que le côté
grotesque, sans prendre le temps de réflé-
chir aux suites pénibles qu'il peut avoir.
Lorsque sur l'écran,..on voit, un jeune
papa, promener, pour le calmer, son bébé
sur le coup de trois heures du matin, on
rit... parce qu'on se rappelle des tas de
• choses. Quand on voit une femme irasci-
ble « pincer » son mari, sa dactylo sur
les genoux, on se tord... Quand une vieille
dame glisse sur une peau do banane
et, choit, ses jupes en désordre contrastant
avec son air respectable, on ne peut s'em-
pêcher d'en pouffer..'.
Si vous voulez rire, rire à vous dilater
la rate, allez voir Richard-Dix dans « Le
Voleur Volé ». C'est un film Paramount.
^tiiitilliillijiiiiidiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiftiiiiiiiiiitiliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiu^:
o eai ci ici ivAuiouu Juj-xinoJ^J\j
2 bis, Rue des Jardins, Lille j
que l'on trouve la fameuse lampe ''PH l LIPS " :
13 VOLTS SO AMPÈRES \
! son dispositif et son tableau ;
I A DES PRIX TRÈS AVANTAGEUX \
DE GAUMOMT
L'IDEAL-SONORE
Une révélation
Le Ciné-Opéra de Rouen venait à, peine
de terminer l'installation de l'Idéal-Sonorc
que le directeur d'une grande firme amé-
ricaine vint, au cours d'une séance, pour
se rendre compte ,.e son fonctionnement.
Les spectateurs, à leur insu, bénéficiè-
rent de cette visite car ils eurent le plaisir
de voir « Tango », le très joli film-attrac-
tion de la Paramount, qui n'était pas an-
noncé au programme.
Bien que le film ait été projeté sans au-
cun réglage préalable, la. représentation
fut parfaite.
La, clientèle du Ciné-Opéra prodigieuse-
ment intéressée par la révélation de ce
qu'était le film parlant, se promit de reve-
nir pour voir et- entendre - la .-« Chanson
de Paris ».
C'est un-succès pour le Ciné-Opéra, que
dirige M. Bott, avec une grande compé-
tence.
C'est le Camarade LAMBERT |
qui est le dépositaire des appareils - H
M. I. F». |
POUR LA RÉGION |
DE TOBIS
Sous les Toits de Paris
Au studio Tobis d'Epinay, René Clair
vient d'achever les intérieurs de son film
» Sous les Toits de Paris ». Deux ou trois
scènes d'extérieurs doivent être tournées
cette semaine et ce, film commencé le 10
janvier sera terminé le 10 mars, répon-
dant ainsi aux prévisions du tableau de
travail. Ce très court délai constitue un
record peut un film sonore et parlant de-
celte importance, ainsi qu'une belle réfé-
rence pour les appareils d'enregistrement
Tobis-Klnngfilm.
La Mélodie du Monde
Le grand film de Wallor Ruttman, « La
Mélodie du Monde », qui a obtenu u«
très grand succès dans les salles pari-
siennes, après son triomphe sur les bou-
levards, est projeté celte semaine à Mont-
pellier.
Le Cabaret des Coeurs Pendus
Au studio Tobis d'Epinay, les films de
Kerven ont, tourné dernièrement la, partie
synchrone du « Cabaret des Coeurs Pen-
dus », a.vec Loulou Hegobùru et, Habeb
Benglia, entourés d'artistes de Montpar-
nasse.
Romance
Au studio Tobis d'Epinay, Eisensiein et
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