Titre : France-Maroc : revue mensuelle illustrée : organe du Comité des foires du Maroc / directeur Alfred de Tarde
Auteur : Comité des foires du Maroc. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Rabat)
Date d'édition : 1922-05-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32777958s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6556 Nombre total de vues : 6556
Description : 01 mai 1922 01 mai 1922
Description : 1922/05/01 (A6,N66)-1922/05/31. 1922/05/01 (A6,N66)-1922/05/31.
Description : Collection numérique : Originaux conservés à... Collection numérique : Originaux conservés à l'INHA
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Zone géographique :... Collection numérique : Zone géographique : Afrique du Nord et Moyen-Orient
Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée Collection numérique : Thème : L'histoire partagée
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Arts Collection numérique : Arts
Description : Collection numérique : Littérature Collection numérique : Littérature
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6120241m
Source : Bibliothèque de l'INHA / coll. J. Doucet, 2010-103818
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/02/2011
LE MAROC ECONOMIQUE ET FINANCIER
153
La culture du maïs
Dans toute la zone côtière et grâce à l'humidité du climat qui
la caractérise, la culture du maïs est possible, en sec, et dans des
terrains très légers.
La préparation du sol reste, pour elle comme pour les autres
plantes, superficielle et imparfaite, souvent irrégulier. Le semis
est fait à la volée, à large espacement et à une densité qui ne
dépasse pas 20 à 25 kil. par hectare. Il n'existe guère qu'une variété
de graines plus ou moins jeunes et de dimensions moyennes, dite
« Maïs indigène » et qui ressemble quelque peu au « Quarantain ».
On le trouve parfois mélangé au type rouge et au type blan-
châtre, à épis cylindriques coniques, assez serrés. Le semis a
lieu, au début de printemps, dès le mois de mars et la récolte
ordinairement en juillet.
Des essais de variétés nouvelles, en particulier de « Maïs des
Landes » et de « Dent de Cheval », de « Hatel », etc., ont donné
de bons résultats, surtout lorsque la culture était faite dans un et
à raison de 60 à 80 kil. à l'hectare.
La culture du sorgho
Le sorgho appartient à plusieurs variétés indigènes qui se distin-
guent par la couleur et la grosseur de leurs graines ; la plus appré-
ciée, correspond au type blanc, appelé communément drâ. On
trouve parfois une forme voisine, mais de meilleure qualité et
de rendement élevé et que l'on désigne sous le nom de « Bechna ».
Sa farine est d'ailleurs très appréciée des indigènes qui consom-
ment sur place la totalité de la production. Celle-ci atteint, avec
celle du maïs, les quantités suivantes: 1920, 299.619 qtx ; 1921,
609.876 qtx.
La culture du sorgho existe principalement dans les régions
de l'intérieur. La préparation des terres est trop souvent insuffi-
sante. Le semis a lieu en avril, très clair et à la dose d'une dizaine
de kilos par hectare. La plante est parfois sarclée et est alors
considérée comme un bon précédent pour les cultures suivantes.
La récolte a lieu en août. Les rendements sont variables, surtout
en culture sèche, et subordonnés aux conditions pluviométriques ;
ils sont évalués en moyenne, à 5 ou 6 quintaux par hectare, mais
peuvent aisément être doublés et même triplés.
Des essais de variétés étrangères ont donné de bons résultats,
aussi bien pour la production de la graine — qui dépasse 20 que
à l'hectare, que pour celle du fourrage — 70 qtx. A Rabat, en
1920, des tiges de sorgho sucré ont accusé une richesse en sucre
très élevée et b.en supérieure à celle de la canne.
D autre part, les variétés à balai expérimentées ou cultivées
sur de petites surfaces dans quelques localités ont également donné
des résultats très satisfaisants. Les produits ont donné sur place
des débouchés immédiats.
Pendant la campagne 1919-1920, les surfaces ensemencées en
sorgho se sont élevées à 72.132 hectares, en 1921 elles ont atteint
100.999 hectares. La récolte de 1920 a été entièrement consom.
mée sur place.
EXPORTATION ET IMPORTATION
Les importations et les exportations
de Mazagan
Pendant le mois de février, les importations et les exportations
par le port de Mazagan ont atteint, le total de 5,280 tonnes, d'une
valeur de 6.329.576 francs se décomposant ainsi : importations,
1.526 tonnes valant 2.226.831 francs; exportations, 3.754 tonnes
valant 4.152.745 francs.
-auf pour les sucres, thés et cotonnades qui sont en augmen-
tation sur le mois de janvier, les autres articles d'importation de
première nécessité sont en baisse. Le sucre vient en tête avec
685 tonnes évaluées 1.153.289 francs.
Les exportations ont été supérieures à celles du mois précédent,
mais il y a eu baisse sur tous les articles notamment les oeufs et les
céréales. Les principaux articles exportés sont, par ordre d'impor-
tance: le maïs, 1.149 tonnes; l'orge, 1.147 tonnes; les oeufs,
561 tonnes; le blé, 294 tonnes.
En résumé, le trafic commercial de Mazagan a été, le mois
écoulé, supérieur d'environ 2.000 tonnes à celui du mois de jan-
vier et de 3.600 tonnes à celui du mois de février de l'année der-
nière. On remarque que l'augmentation de la valeur n'est pas
Proportionnée à celle du tonnage. Cette valeur pour les importa-
tions est, en effet, inférieure de 215.000 francs à celle de janvier,
bien qu'il y ait une augmentation de 75 tonnes. La différence est
encore plus accentuée sur les exportations puisqu'à un supplément
de 1.902 tonnes il n'y a qu'une augmentation de valeur de
672.825 francs.
Les denrées ont été tarifiées ainsi qu'il suit à compter du jeudi
9 mars :
Pommes de terre, 0 fr. 75 ; patates douces, 1 fr. 25 ; petits pois,
0 fr. 75 le kilo; choux, 0 fr. 75, 0 fr. 50, 0 fr. 25, suivant grosseur;
céleri, 0 fr. 25 le paquet; oranges, 1 franc, 0 fr. 75, 0 fr. 50 les
douze, suivant grosseur ; le lait, 1 fr. 20 le litre ; le pain de semoule,
0 fr. 50 et le pain de farine, 0 fr. 45 la livre de 500 grammes; les
fèves, 0 fr. 75 le kilo; le beurre frais du pays, 6 francs le kilo; le
miel, 5 francs le kilo.
COMMERCE ET INDUSTRIE
Le commerce des cuirs préparés importés
au Maroc
Le Maroc absorbe d'assez grandes quantités de cuirs d'importa-
tion. La clientèle est essentiellement européenne et comprend les
bourreliers-selliers, les cordonniers et les quincailliers. Les impor-
tations se font en majeure partie par Casablanca qui ravitaille
Marrakech et les ports du Sud. Cependant, les entrées par Kénitra
deviennent importantes. Ce port dessert la région de Meknès et
Rabat où les bateaux ne peuvent assez souvent être déchargés
pendant les mois d'hiver. L'importation porte surtout sur le cuir
tanné (peau de boeuf), servant à la confection sur place des gros '
harnachements européens et indigènes. Le cuir verni est très peu
employé.
Pour les quatre dernières années, on relève les chiffres suivants
aux entrées par le seul port de Casablanca: 1918: 31.366 kilos;
part de la France: 23.515 kilos; 1919: 43.290 kilos; part de la
France: 32.592 kilos; 1920: 81.301 kilos; part de la France:
78.654 kilos; 1921 (10 premiers mois): 52.020 kilos; part de la
France : 49.265 kilos.
L'importation de cuirs lissés intéresse essentiellement la popu-
lation européenne, les indgènes utilisant surtout le cuir de prépara-
tion marocaine.
Importation par le port de Casablanca: 1918: 57.644 kilos; part
la France: 72.523 kilos; 1919: 161.348 kilos; part de la France:
49.928 kilos; 1920: 164.184 kilos; part de la France: 133.123 kilos;
1921 (10 premiers mois) : 95.685 kilos; part de la France : 93.313 kil.
Importation par le port de Khénitra : 1918: 72.648 kilos; part de
la France: 72.528 Kilos; 1919: 161.348 kilos; part de la France:
161.076 kilos; 1920: 86.223 kilos; part de la France: 85.143 kilos.
L'importation des cuirs fabriqués pour sellerie et cordonnerie
porte surtout sur la peau de boeuf tannée et la vachette.
Quant aux courroies de transmission et autres ouvrages en cuir
pour machines, l'importation, presque exclusivement française,
comprend les courroies tout cuir de toute dimension, jusqu'à
250 mm. Relativement faible encore, elle s'accroîtra progressi-
vement avec le développement de l'industrie et suivra l'extension
de la force motrice au Maroc.
MINES
Les phosphates du Maroc
On signale le passage à Casablanca de M. Guérin, ancien direc-
teur des Chemins de fer de l'Etat-Algérien et directeur des Chemins
de fer à voie normale du Maroc, venu pour organiser un transport
rapide et à brève échéance des phosphates d'El-Bouroudj sur
Casablanca.
Recherches de mines au Maroc
Il a été accordé pendant le mois de mars des permis de recher-
ches à M. Girard, d'Oran, pour la région d'Oudjda (plomb,
cuivre) ; à M. Suraqui, de Casablanca, pour la région d'Ouimès
(fer, plomb, cuivre, zinc et connexes) ; à la Société des Mines de
l'Oranie, à Paris, pour la légion d'Oudjda (plomb, zinc, fer et
connexes) ; à M. Busset, de Casablanca, pour les régions de
Demmat, Marrakech (cuivre) ; à MM. Black-Hawkins et Nigel,
de Casablanca, pour la région de Marrakech (cuivre).
153
La culture du maïs
Dans toute la zone côtière et grâce à l'humidité du climat qui
la caractérise, la culture du maïs est possible, en sec, et dans des
terrains très légers.
La préparation du sol reste, pour elle comme pour les autres
plantes, superficielle et imparfaite, souvent irrégulier. Le semis
est fait à la volée, à large espacement et à une densité qui ne
dépasse pas 20 à 25 kil. par hectare. Il n'existe guère qu'une variété
de graines plus ou moins jeunes et de dimensions moyennes, dite
« Maïs indigène » et qui ressemble quelque peu au « Quarantain ».
On le trouve parfois mélangé au type rouge et au type blan-
châtre, à épis cylindriques coniques, assez serrés. Le semis a
lieu, au début de printemps, dès le mois de mars et la récolte
ordinairement en juillet.
Des essais de variétés nouvelles, en particulier de « Maïs des
Landes » et de « Dent de Cheval », de « Hatel », etc., ont donné
de bons résultats, surtout lorsque la culture était faite dans un et
à raison de 60 à 80 kil. à l'hectare.
La culture du sorgho
Le sorgho appartient à plusieurs variétés indigènes qui se distin-
guent par la couleur et la grosseur de leurs graines ; la plus appré-
ciée, correspond au type blanc, appelé communément drâ. On
trouve parfois une forme voisine, mais de meilleure qualité et
de rendement élevé et que l'on désigne sous le nom de « Bechna ».
Sa farine est d'ailleurs très appréciée des indigènes qui consom-
ment sur place la totalité de la production. Celle-ci atteint, avec
celle du maïs, les quantités suivantes: 1920, 299.619 qtx ; 1921,
609.876 qtx.
La culture du sorgho existe principalement dans les régions
de l'intérieur. La préparation des terres est trop souvent insuffi-
sante. Le semis a lieu en avril, très clair et à la dose d'une dizaine
de kilos par hectare. La plante est parfois sarclée et est alors
considérée comme un bon précédent pour les cultures suivantes.
La récolte a lieu en août. Les rendements sont variables, surtout
en culture sèche, et subordonnés aux conditions pluviométriques ;
ils sont évalués en moyenne, à 5 ou 6 quintaux par hectare, mais
peuvent aisément être doublés et même triplés.
Des essais de variétés étrangères ont donné de bons résultats,
aussi bien pour la production de la graine — qui dépasse 20 que
à l'hectare, que pour celle du fourrage — 70 qtx. A Rabat, en
1920, des tiges de sorgho sucré ont accusé une richesse en sucre
très élevée et b.en supérieure à celle de la canne.
D autre part, les variétés à balai expérimentées ou cultivées
sur de petites surfaces dans quelques localités ont également donné
des résultats très satisfaisants. Les produits ont donné sur place
des débouchés immédiats.
Pendant la campagne 1919-1920, les surfaces ensemencées en
sorgho se sont élevées à 72.132 hectares, en 1921 elles ont atteint
100.999 hectares. La récolte de 1920 a été entièrement consom.
mée sur place.
EXPORTATION ET IMPORTATION
Les importations et les exportations
de Mazagan
Pendant le mois de février, les importations et les exportations
par le port de Mazagan ont atteint, le total de 5,280 tonnes, d'une
valeur de 6.329.576 francs se décomposant ainsi : importations,
1.526 tonnes valant 2.226.831 francs; exportations, 3.754 tonnes
valant 4.152.745 francs.
-auf pour les sucres, thés et cotonnades qui sont en augmen-
tation sur le mois de janvier, les autres articles d'importation de
première nécessité sont en baisse. Le sucre vient en tête avec
685 tonnes évaluées 1.153.289 francs.
Les exportations ont été supérieures à celles du mois précédent,
mais il y a eu baisse sur tous les articles notamment les oeufs et les
céréales. Les principaux articles exportés sont, par ordre d'impor-
tance: le maïs, 1.149 tonnes; l'orge, 1.147 tonnes; les oeufs,
561 tonnes; le blé, 294 tonnes.
En résumé, le trafic commercial de Mazagan a été, le mois
écoulé, supérieur d'environ 2.000 tonnes à celui du mois de jan-
vier et de 3.600 tonnes à celui du mois de février de l'année der-
nière. On remarque que l'augmentation de la valeur n'est pas
Proportionnée à celle du tonnage. Cette valeur pour les importa-
tions est, en effet, inférieure de 215.000 francs à celle de janvier,
bien qu'il y ait une augmentation de 75 tonnes. La différence est
encore plus accentuée sur les exportations puisqu'à un supplément
de 1.902 tonnes il n'y a qu'une augmentation de valeur de
672.825 francs.
Les denrées ont été tarifiées ainsi qu'il suit à compter du jeudi
9 mars :
Pommes de terre, 0 fr. 75 ; patates douces, 1 fr. 25 ; petits pois,
0 fr. 75 le kilo; choux, 0 fr. 75, 0 fr. 50, 0 fr. 25, suivant grosseur;
céleri, 0 fr. 25 le paquet; oranges, 1 franc, 0 fr. 75, 0 fr. 50 les
douze, suivant grosseur ; le lait, 1 fr. 20 le litre ; le pain de semoule,
0 fr. 50 et le pain de farine, 0 fr. 45 la livre de 500 grammes; les
fèves, 0 fr. 75 le kilo; le beurre frais du pays, 6 francs le kilo; le
miel, 5 francs le kilo.
COMMERCE ET INDUSTRIE
Le commerce des cuirs préparés importés
au Maroc
Le Maroc absorbe d'assez grandes quantités de cuirs d'importa-
tion. La clientèle est essentiellement européenne et comprend les
bourreliers-selliers, les cordonniers et les quincailliers. Les impor-
tations se font en majeure partie par Casablanca qui ravitaille
Marrakech et les ports du Sud. Cependant, les entrées par Kénitra
deviennent importantes. Ce port dessert la région de Meknès et
Rabat où les bateaux ne peuvent assez souvent être déchargés
pendant les mois d'hiver. L'importation porte surtout sur le cuir
tanné (peau de boeuf), servant à la confection sur place des gros '
harnachements européens et indigènes. Le cuir verni est très peu
employé.
Pour les quatre dernières années, on relève les chiffres suivants
aux entrées par le seul port de Casablanca: 1918: 31.366 kilos;
part de la France: 23.515 kilos; 1919: 43.290 kilos; part de la
France: 32.592 kilos; 1920: 81.301 kilos; part de la France:
78.654 kilos; 1921 (10 premiers mois): 52.020 kilos; part de la
France : 49.265 kilos.
L'importation de cuirs lissés intéresse essentiellement la popu-
lation européenne, les indgènes utilisant surtout le cuir de prépara-
tion marocaine.
Importation par le port de Casablanca: 1918: 57.644 kilos; part
la France: 72.523 kilos; 1919: 161.348 kilos; part de la France:
49.928 kilos; 1920: 164.184 kilos; part de la France: 133.123 kilos;
1921 (10 premiers mois) : 95.685 kilos; part de la France : 93.313 kil.
Importation par le port de Khénitra : 1918: 72.648 kilos; part de
la France: 72.528 Kilos; 1919: 161.348 kilos; part de la France:
161.076 kilos; 1920: 86.223 kilos; part de la France: 85.143 kilos.
L'importation des cuirs fabriqués pour sellerie et cordonnerie
porte surtout sur la peau de boeuf tannée et la vachette.
Quant aux courroies de transmission et autres ouvrages en cuir
pour machines, l'importation, presque exclusivement française,
comprend les courroies tout cuir de toute dimension, jusqu'à
250 mm. Relativement faible encore, elle s'accroîtra progressi-
vement avec le développement de l'industrie et suivra l'extension
de la force motrice au Maroc.
MINES
Les phosphates du Maroc
On signale le passage à Casablanca de M. Guérin, ancien direc-
teur des Chemins de fer de l'Etat-Algérien et directeur des Chemins
de fer à voie normale du Maroc, venu pour organiser un transport
rapide et à brève échéance des phosphates d'El-Bouroudj sur
Casablanca.
Recherches de mines au Maroc
Il a été accordé pendant le mois de mars des permis de recher-
ches à M. Girard, d'Oran, pour la région d'Oudjda (plomb,
cuivre) ; à M. Suraqui, de Casablanca, pour la région d'Ouimès
(fer, plomb, cuivre, zinc et connexes) ; à la Société des Mines de
l'Oranie, à Paris, pour la légion d'Oudjda (plomb, zinc, fer et
connexes) ; à M. Busset, de Casablanca, pour les régions de
Demmat, Marrakech (cuivre) ; à MM. Black-Hawkins et Nigel,
de Casablanca, pour la région de Marrakech (cuivre).
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