Titre : France-Maroc : revue mensuelle illustrée : organe du Comité des foires du Maroc / directeur Alfred de Tarde
Auteur : Comité des foires du Maroc. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Rabat)
Date d'édition : 1922-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32777958s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6556 Nombre total de vues : 6556
Description : 01 février 1922 01 février 1922
Description : 1922/02/01 (A6,N63)-1922/02/28. 1922/02/01 (A6,N63)-1922/02/28.
Description : Collection numérique : Originaux conservés à... Collection numérique : Originaux conservés à l'INHA
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Zone géographique :... Collection numérique : Zone géographique : Afrique du Nord et Moyen-Orient
Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée Collection numérique : Thème : L'histoire partagée
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Arts Collection numérique : Arts
Description : Collection numérique : Littérature Collection numérique : Littérature
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k61202228
Source : Bibliothèque de l'INHA / coll. J. Doucet, 2010-103818
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/02/2011
58
LE MAROC ECONOMIQUE ET FINANCIER
boisés de la région des Zaers (Sibara, Oued el Ateuch, Oued
Drader) ont été poursuivies avec les autorités de contrôle.
Des fossés limites de bornage ont été ouverts dans les postes
des Achach et des M'Dakra.
Démasclages de chêne-liège. — La campagne de démasclage
de 1921 s'est effectuée dans de bonnes conditions: commencée
dans la 2° quinzaine de mai elle s'est prolongée pendant 3 mois-
Le nombre des arbres mis en valeur par voie de démasclage
pendant cette campagne a été le suivant :
Forêt de Mamora: 268.031 démasclés par la Société des Lièges
de la Mamora. 172.128 démasclés en régie par l'Etat.
Forêt de Camp-Boulhaut : 83.110 démasclés en régie par l'Etat.
Soit au total 577.171 arbres démasclés dont 440-159 pour la seule
Mamora.
Maisons forestières. — En Mamora la maison forestière du
Smennto-Nord est en voie d'achèvement, celle de Sidi Hamira
est terminée.
Dans les Zaers, le baraquement du poste de Fouzer a été
achevé. Les travaux de captage de la source, l'adduction d'eau
et la construction d'un réservoir ont été exécutés à la maison
forestière de Sidi Bettahe-
Dans la région de Fès, la maison forestière de Daïet Achlef es^
en voie d'achèvement. A Aïn Leuh il en est de même pour les
travaux d'amélioration des maisons déjà existantes.
Dans la région de Mogador la maison forestière de Bou Tazert
est en voie d'achèvement. La remise en état des immeubles
domaniaux affectés au service à Mogador et à Marrakech est sur
le point d'être terminée.
La récolte du Maroc en 1921
Les statistiques du Tertib pour l'année 1921 font ressortir une
production exceptionnelle de blé dur et tendre et d'orge. Elle
dépasse en quantité celle de 1918, la plus forte enregistrée à ce
jour.
Les surfaces ensemencées ont été: Blé dur, 772.755 hectares;
blé tendre, 20.296 h.; orge, 1.000.453 h. Les productions se
chiffrent ainsi: blé dur, 6.147.528 quint.; blé tendre, 179.870;
orge, 8.166.403.
Les rendements moyens à l'hectare sont estimés à 8 quintaux
pour le blé dur : 8 qtx 8 pour le blé tendre, et 8 qtx 1 pour l'orge.
Gomme sandaraque
Etant donné la valeur considérable de ce produit et le profit
que l'on peut en tirer pour la région marocaine, il serait intéres-
sant de veiller à la conservation et à l'accroissemennt des forêts
d'arar qui produisent cette résine comme celles des Haha-Chiadma
et M'Touga. La gomme sandaraque est recueillie à l'aide de moyens
routiniers et imparfaits qui une fois améliorés ou remplacés par
des procédés plus modernes en doubleraient le rendement.
Emprunts agricoles
A partir du Ier janvier 1922, une nouvelle législation concernant
l'immatriculation des immeubles entrera en vigueur. Cette mesure
permettra aux attributaires de contracter sur les lots de colonisation
des emprunts à long terme pour lesquels l'Etat cédera son rang
de créancier hypothécaire.
En outre, 1 Administration facilitera au moyen d'avenants aux
contrats, les opérations à prêts que les colons désireront réaliser
en ce qui touche les lots domaniaux
La Betterave sucrière
Depuis quelques années les fermes expérimentales créées au
Maroc ont fait des essais relativement à cette culture qui s'accom-
mode du climat marocain et dont les rendements obtenus ont atteint
24.000 kilogs à l'hectare, c'est-à-dire un rendement possible de
20.75 °/0 en sucre.
Ces constatations encouragent la Direction générale de l'Agri-
culture pour entreprendre d'abord la création de distilleries
agricoles pour la production de l'alcool et ensuite de tenter
l'installation de une ou deux raffineries placées au centre d'environ
six sucreries qui travailleraient chacune à la récolte de 1.000 hec-
tares de betteraves-
Bien des difficultés restent encore à surmonter, néanmoins la
consommation du sucre étant considérable au Maroc, la création
de sucreries et de raffineries est un projet qui s'impose et dont la
réussite s'affirmera dans l'avenir.
ÉLEVAGE
Les laines
L'élevage des moutons au Maroc est encore, dans son ensemble,
et malgré des améliorations dues à la direction générale de
l'Agriculture ou à l'initiative de certains colons, des plus primitifs.
Pendant la période de sécheresse, les moutons laissés à l'abandon
dépérissent faute de nourriture. Beaucoup meurent de faim et,
seules les bêtes les plus résistantes peuvent atteindre la période
des pluies. Par contre, en hiver, les animaux, faute d'étables,
restent parfois de longs jours dans l'eau sans nourriture : d où
une grande mortalité. Enfin, au printemps, la maladie mal connue
et mal combattue chez les indigènes cause également de grands
ravages. , , v , -,
La qualité de la laine étant étroitement liée a la santé du
mouton, on s'explique que les laines marocaines ne puissent pas
encore lutter à égalité, avec les laines plus soignées provenant de
la République Argentine ou de l'Australie. Toutefois, prises en
leur ensemble, elles sont supérieures aux laines tunisiennes et
algériennes. Enfin, il faut considérer qu'elles sont susceptibles
d'amélioration très sensible par le perfectionnement des méthodes
d'élevage.
On distingue au Maroc trois sortes de laines-mères : la laine
Aboudia, qui est la meilleure, l'Urdighia, et la Beldia qui sont
d'une qualité moindre et d'un rendement moins élevé.
On remarque que la qualité des laines du Maroc suit une
progression décroissante à mesure que l'on avance du Nord vers
le Sud. Ce fait tient surtout à la richesse, à la qualité et à la
régularité des pâturages.
La tonte des moutons, qui ne porte que sur les animaux adultes,
a lieu une fois l'an. Les indigènes tondent avec des ciseaux
très grossiers ne permettant pas la tonte rase et régulière, —
d'où de sensibles pertes.
L'estimation de la quantité de laine produite par le Maroc tout
entier est assez difficile en raison de ce qu'une grande partie
de la production est absorbée par l'industrie locale. Cependant,
l'importance du cheptel ovin peut fournir un chiffre approximatif.
Ce cheptel varie de 5 à 7 millions de têtes ; en tenant compte
des qualités différentes des toisons, on peut estimer à 10 millions
de kilogrammes, bon an mal an, la production totale du Maroc;
sur cette quantité un quart seulement est livré à l'exportation.
C'est la France qui importe la plus grande quantité de laines
marocaines. Elle en a importé: en 1917, 2.300.000 kilos d'une
valeur de 5 millions; en 1918, 1.400.000 kilos d'une valeur de
3.230.000; en 1919, 1.435.000 kilos d'une valeur de 4.934.000; en
1920, 1.076.000 kilos d'une valeur de 5 millions 990.000 francs.
Après la France, vient actuellement la Belgique ; elle en a
importé en 1920, 400.000 kilos d'une valeur de 1 million 900.000 fr.
Le total des exportations de laines marocaines en 1920 est de
1.508000 kilos pour une valeur de 7.345.000 francs.
Etantl données les améliorations apportées sans cesse à l'élevage,
les soins et les conseils prodigués par le Service de l'Agriculture
et le Service vétérinaire il est permis d'espérer dans un avenir
prochain une augmentation et une amélioration croissantes de
la laine marocaine et par suite une augmentation des exportations.
COMMERCE ET INDUSTRIE
L'activité des Allemands
On a cru les Allemands évincés du marché marocain. En fait
ils n'ont jamais abandonné l'espoir de s'y implanter de nouveau,
et voici à l'appui de ce dire, une preuve que nous fournit la
Wolarchie elle-même, qui publie une note sur le commerce de
gros dans la confection au Maroc français, note dont nos propres
commerçants devraient bien s'inspirer. Cette note fait ressortir
que les acheteurs se recrutent jusqu'ici dans la population euro-
péenne. Peu à peu, l'indigène a pris nos habitudes. En 1913,
il a été importé des vêtements d'hommes confectionnés représen-
tant un poids total de 451.032 kilos pour 20-000 clients. En 1919,
le poids était de 290.000 kilos pour 26.000 personnes; en 1920,
de 241.500 kilos pour 35.000 hommes. La valeur de ces importa-
tions représentait 3.433.000 fr. en 1913; 6.419.000 francs en 1919
et 6.965.000 fr en 1920- Le prix moyen, qui était de 7 fr. 50 par
kilo en 1913, est passé à 29 fr. 50 en 1920, soit une augmentation
de 300 %.
LE MAROC ECONOMIQUE ET FINANCIER
boisés de la région des Zaers (Sibara, Oued el Ateuch, Oued
Drader) ont été poursuivies avec les autorités de contrôle.
Des fossés limites de bornage ont été ouverts dans les postes
des Achach et des M'Dakra.
Démasclages de chêne-liège. — La campagne de démasclage
de 1921 s'est effectuée dans de bonnes conditions: commencée
dans la 2° quinzaine de mai elle s'est prolongée pendant 3 mois-
Le nombre des arbres mis en valeur par voie de démasclage
pendant cette campagne a été le suivant :
Forêt de Mamora: 268.031 démasclés par la Société des Lièges
de la Mamora. 172.128 démasclés en régie par l'Etat.
Forêt de Camp-Boulhaut : 83.110 démasclés en régie par l'Etat.
Soit au total 577.171 arbres démasclés dont 440-159 pour la seule
Mamora.
Maisons forestières. — En Mamora la maison forestière du
Smennto-Nord est en voie d'achèvement, celle de Sidi Hamira
est terminée.
Dans les Zaers, le baraquement du poste de Fouzer a été
achevé. Les travaux de captage de la source, l'adduction d'eau
et la construction d'un réservoir ont été exécutés à la maison
forestière de Sidi Bettahe-
Dans la région de Fès, la maison forestière de Daïet Achlef es^
en voie d'achèvement. A Aïn Leuh il en est de même pour les
travaux d'amélioration des maisons déjà existantes.
Dans la région de Mogador la maison forestière de Bou Tazert
est en voie d'achèvement. La remise en état des immeubles
domaniaux affectés au service à Mogador et à Marrakech est sur
le point d'être terminée.
La récolte du Maroc en 1921
Les statistiques du Tertib pour l'année 1921 font ressortir une
production exceptionnelle de blé dur et tendre et d'orge. Elle
dépasse en quantité celle de 1918, la plus forte enregistrée à ce
jour.
Les surfaces ensemencées ont été: Blé dur, 772.755 hectares;
blé tendre, 20.296 h.; orge, 1.000.453 h. Les productions se
chiffrent ainsi: blé dur, 6.147.528 quint.; blé tendre, 179.870;
orge, 8.166.403.
Les rendements moyens à l'hectare sont estimés à 8 quintaux
pour le blé dur : 8 qtx 8 pour le blé tendre, et 8 qtx 1 pour l'orge.
Gomme sandaraque
Etant donné la valeur considérable de ce produit et le profit
que l'on peut en tirer pour la région marocaine, il serait intéres-
sant de veiller à la conservation et à l'accroissemennt des forêts
d'arar qui produisent cette résine comme celles des Haha-Chiadma
et M'Touga. La gomme sandaraque est recueillie à l'aide de moyens
routiniers et imparfaits qui une fois améliorés ou remplacés par
des procédés plus modernes en doubleraient le rendement.
Emprunts agricoles
A partir du Ier janvier 1922, une nouvelle législation concernant
l'immatriculation des immeubles entrera en vigueur. Cette mesure
permettra aux attributaires de contracter sur les lots de colonisation
des emprunts à long terme pour lesquels l'Etat cédera son rang
de créancier hypothécaire.
En outre, 1 Administration facilitera au moyen d'avenants aux
contrats, les opérations à prêts que les colons désireront réaliser
en ce qui touche les lots domaniaux
La Betterave sucrière
Depuis quelques années les fermes expérimentales créées au
Maroc ont fait des essais relativement à cette culture qui s'accom-
mode du climat marocain et dont les rendements obtenus ont atteint
24.000 kilogs à l'hectare, c'est-à-dire un rendement possible de
20.75 °/0 en sucre.
Ces constatations encouragent la Direction générale de l'Agri-
culture pour entreprendre d'abord la création de distilleries
agricoles pour la production de l'alcool et ensuite de tenter
l'installation de une ou deux raffineries placées au centre d'environ
six sucreries qui travailleraient chacune à la récolte de 1.000 hec-
tares de betteraves-
Bien des difficultés restent encore à surmonter, néanmoins la
consommation du sucre étant considérable au Maroc, la création
de sucreries et de raffineries est un projet qui s'impose et dont la
réussite s'affirmera dans l'avenir.
ÉLEVAGE
Les laines
L'élevage des moutons au Maroc est encore, dans son ensemble,
et malgré des améliorations dues à la direction générale de
l'Agriculture ou à l'initiative de certains colons, des plus primitifs.
Pendant la période de sécheresse, les moutons laissés à l'abandon
dépérissent faute de nourriture. Beaucoup meurent de faim et,
seules les bêtes les plus résistantes peuvent atteindre la période
des pluies. Par contre, en hiver, les animaux, faute d'étables,
restent parfois de longs jours dans l'eau sans nourriture : d où
une grande mortalité. Enfin, au printemps, la maladie mal connue
et mal combattue chez les indigènes cause également de grands
ravages. , , v , -,
La qualité de la laine étant étroitement liée a la santé du
mouton, on s'explique que les laines marocaines ne puissent pas
encore lutter à égalité, avec les laines plus soignées provenant de
la République Argentine ou de l'Australie. Toutefois, prises en
leur ensemble, elles sont supérieures aux laines tunisiennes et
algériennes. Enfin, il faut considérer qu'elles sont susceptibles
d'amélioration très sensible par le perfectionnement des méthodes
d'élevage.
On distingue au Maroc trois sortes de laines-mères : la laine
Aboudia, qui est la meilleure, l'Urdighia, et la Beldia qui sont
d'une qualité moindre et d'un rendement moins élevé.
On remarque que la qualité des laines du Maroc suit une
progression décroissante à mesure que l'on avance du Nord vers
le Sud. Ce fait tient surtout à la richesse, à la qualité et à la
régularité des pâturages.
La tonte des moutons, qui ne porte que sur les animaux adultes,
a lieu une fois l'an. Les indigènes tondent avec des ciseaux
très grossiers ne permettant pas la tonte rase et régulière, —
d'où de sensibles pertes.
L'estimation de la quantité de laine produite par le Maroc tout
entier est assez difficile en raison de ce qu'une grande partie
de la production est absorbée par l'industrie locale. Cependant,
l'importance du cheptel ovin peut fournir un chiffre approximatif.
Ce cheptel varie de 5 à 7 millions de têtes ; en tenant compte
des qualités différentes des toisons, on peut estimer à 10 millions
de kilogrammes, bon an mal an, la production totale du Maroc;
sur cette quantité un quart seulement est livré à l'exportation.
C'est la France qui importe la plus grande quantité de laines
marocaines. Elle en a importé: en 1917, 2.300.000 kilos d'une
valeur de 5 millions; en 1918, 1.400.000 kilos d'une valeur de
3.230.000; en 1919, 1.435.000 kilos d'une valeur de 4.934.000; en
1920, 1.076.000 kilos d'une valeur de 5 millions 990.000 francs.
Après la France, vient actuellement la Belgique ; elle en a
importé en 1920, 400.000 kilos d'une valeur de 1 million 900.000 fr.
Le total des exportations de laines marocaines en 1920 est de
1.508000 kilos pour une valeur de 7.345.000 francs.
Etantl données les améliorations apportées sans cesse à l'élevage,
les soins et les conseils prodigués par le Service de l'Agriculture
et le Service vétérinaire il est permis d'espérer dans un avenir
prochain une augmentation et une amélioration croissantes de
la laine marocaine et par suite une augmentation des exportations.
COMMERCE ET INDUSTRIE
L'activité des Allemands
On a cru les Allemands évincés du marché marocain. En fait
ils n'ont jamais abandonné l'espoir de s'y implanter de nouveau,
et voici à l'appui de ce dire, une preuve que nous fournit la
Wolarchie elle-même, qui publie une note sur le commerce de
gros dans la confection au Maroc français, note dont nos propres
commerçants devraient bien s'inspirer. Cette note fait ressortir
que les acheteurs se recrutent jusqu'ici dans la population euro-
péenne. Peu à peu, l'indigène a pris nos habitudes. En 1913,
il a été importé des vêtements d'hommes confectionnés représen-
tant un poids total de 451.032 kilos pour 20-000 clients. En 1919,
le poids était de 290.000 kilos pour 26.000 personnes; en 1920,
de 241.500 kilos pour 35.000 hommes. La valeur de ces importa-
tions représentait 3.433.000 fr. en 1913; 6.419.000 francs en 1919
et 6.965.000 fr en 1920- Le prix moyen, qui était de 7 fr. 50 par
kilo en 1913, est passé à 29 fr. 50 en 1920, soit une augmentation
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