Titre : La Vigie d'Arcachon : journal des intérêts du littoral ["puis" organe des intérêts d'Arcachon et du littoral]
Éditeur : [s.n.] (Arcachon)
Date d'édition : 1890-01-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328896653
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 253 Nombre total de vues : 253
Description : 09 janvier 1890 09 janvier 1890
Description : 1890/01/09 (A3,N137)-1890/01/16. 1890/01/09 (A3,N137)-1890/01/16.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6117323x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-7893
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
l^iWft.— ''IPK7
le Wmm :£ !Ô ^f\mm
I -iSJwfcf tIM
NOTA. — Le tirage du journal a
été retardé de trois jours, la grippe
ayant sévi parmi ses typographes.
iiiiuiiifiL
Séance du 3 janvier 1S90
Etaient présents : MM. Ornières,
maire, Roumegous et Camus, adjoints,
Càxcaux, Expert, Boy. Nègre, Fouché.
Ravàux, Tisseyre, Million, Leys, Labey-
rie, Vessière, Richard, Duvaché.
La parole est à M.'.Expert pour la
lecture du procès-verbal, qv ^t lu et
M. Tisseyre. > •
— >[. Nègre est cm secrétaire pour
la séance.
— M.■Ro'uiïicg'ows d»r»»ude la parole.
M. lé Maire répond que la loi est for-
melle et qu'il ne' peut la lui accorder
qu'au sujet des affaires portées à l'ordre
du jour. Une discussion s'engage, à la-
quelle prennent part, MM, Roumegous.
Expert, Fouché. Million, qui manifes-
tent leur etonnemont de ce que les af-
faires laissées en suspens lors de la der-
nière session, ne soient pas portées en
tête de l'ordre du jour de la présente
séance. À la suite de cette discussion,
MM. Camus, Roumegous, Expert, Fou-
ché. Ravaux, Millieri, Leys, Richard,
quittent la salle.
Le Conseil, n'étant plus eu nombre
suffisant pour délibérer, la séance est
levée à six heures.
M. Roumegous . nous communique
l'ordre du jour suivant, qu'il avait l'in-
tention de proposer au vote du Conseil :
Le Conseil vote l'acquisition, au prix
de 40,OGO francs, des terrains offerts
par la Société Immobilière, et nomme
une Commission qui se mettra en rap-
port avec ladite Société, ci. pourvoira
aux voies et moyens pour prendre am-
ie budget le paiement des annuités de
la période de 14 années.
Par lettre en daie du 4 couvant. M.
le Préfet a accusé réception de la aé-
missio» de M. Deiavau, conseiller mu-
nicipal.
Al. Roumegous nous communique
l'arrêté suivant, qui lui a été notifié le
'7 courant : •
Le Maire d'Arcachon,
Vu 1 incompatibilité administrative
existant entre le Maire et M. Roume-
gous, premier adjoint ;
Considérant que l'état de choses 'ac-
tuel est nuisible au bon fonctionnement
de l'administration de la Ville d'Arca-
chon :
Arrête :
Article unique. — ïïa,i'rêté en date du
13 juin 1888, par lequel M. Roumegous
est délégué, à F état-ci vil. est rapporté.
Arcachon, le 6 janvier 1800.
Le Maire,
F. ORMJÈRES.
Aujourd'hui jeudi doit avoir lieu une
séance dont l'ordre du jour porte :
Budget 18S0.
Assurance du Casino.
. Placage Servat. ]A" '■'■'
Demande.Ri" 0 ""H.
Demande Se îeaud.
Instituteurs, institutrice.1-.
Demande Godefroy.
M. Ornières, maire d'Arcachon, nous
communique la note suivante, en nous
priant d'insérer :
Dans des articles où la mauvaise foi
perce tout entière, XAvenir élève, plu-
sieurs prêt enlions ;
F Que le Maire déclare vouloir la pla-
ce d'hiver et pense le contraire. M. le
Maire répond qu'il ne permet à personne
de suspecter sa manière de voir et de
faire : attendu qu'il n'aurait pas plus à
craindre M. le Direeti ur de X Avenir s'il
dist.il que le Maire est contraire à la
place: que le Conseil municipal lui-
même estime qu'il aurait le droit d'avoir
nue opinion personnelle, quand rnème
elle sertit confia;re à celle de ses col-
h*gu;s. Eu fait d'opinions, verra-t-on
que celles de MM. Expert, propriétaire
de la villa Yvonne; Deiavau, proprié-
taire des villas Neèkcr et Vaubau ; .Ri-
chard, propriétaire des villas Mourepos
Bagarclle, etc., touchant toutes la pla-
ce, puissent être aussi désintéressées
que celle de M. Ornières, propriétaire
dans la ville d'hiver ?
2° La Vigie n'est nullement le journal
du Maire ni du Conseil municipal. Ce-
journal a passé un traité d'abonnements
dont ii remplit les clauses. L'Avenir
est le journal d'une coterie.
Pourquoi cette dernière feuille- dit-
elle que les correspondances delà Vigie
S'mt inspirées par le Maire? Nous lui
donnons, sur ce point, le démenti le plus
formel, et notre parole vaut m. sienne
et au-delà.
■V' En ce qui concerne le desideratum
de quelques membres; intéressés que
nous venons de citer et qui traînent à
leur remorque non pas contre le Maire,
mais contre M. Ornières (qui s'en mo-
que comme d'une guigne/, les méeon
tents de différents partis, correspon-
dants, au besoin, des journaux la Fran-
ce et Y Avenir ; en ce qui concerne,
disons-nous, le desideratum qui consiste
à vouloir voter l'acquisition d'une -place
sans être assuré des voies et moyens,
cette idée ne peut germer que dans la
tête de gens peu administrateurs", et.
dont le Maire ne consentira jamais à ,
épouser la tactique, qui lui ferait assu-
mer une redoulable responsabilité.
Le Maire ne mettra l'acquisition de
■ la place à l'ordre du jour, qu'au moment
de la confection du budget de 1891 ; à
moins que. conformément à la loi, cinq
membre? du Conseil demandent une
",r* '-aordiuaire pour cet objet,
'le résultat, prévu à. l'avance
..fera qu'après cou' atioii j
,ic"to... "-J6nsè'ïi.''U's abstiendra mi- '
.ne de voter : estimant toujours
ae c'e..t de l'enfantillage que de..voter,
pour lu quatrième ou cinquième fois,
l'acquisition de cette place, sans en
avoir étudié au préalable les voies et
moyens, et convaincu que l'Adminis-
tration "supérieure, ne donnerait aucune
suite, à ce vote.
4° Dans un article intitulé : S euh
XAvenir décalque et singe M. Graner,
propriétaire du Grand Hùtel deia Forêt
et correspondant du journal la F tance
à ses moments perdus, ignoble person-
nage qui fait de la politique malsaine
et dessert Arcachon pour servir s,->.
rancunes personnelles.
Il est dit dans l'article : Seu\ que ie
Maire, le jour de l'Au. n'a pas reçu la
visite des conseillers municipaux.
Qui donc a eu tort et n'a pas fait son
devoir dans cette circonstaiwe, ?
Le Maire, quel qu'il suit et tant eu'ii
l'est, se doit à ses fonctions et les rem-
plit, si pénibles quelquefois sont-elles.
11 doit en f-tre de même des eons.nl-
leivs municipaux., qui manquent sux
règles de la plus simple politesse, et à
leur devoir d'élus, en ne se rendant pas
à la maison commune un jour de.récep-
tion.
La place de la Ville d'hiver en est,
pour quelques-uns, le motif. Voilà le
comble du ridicule.
11 y a quelques mois, le Maire s'ab-
sente à l'occasion de l'Exposition : X A-
cev.ir le couvre d'injures. Aujourd'hui ii
fst à son poste, le. Conseil municipal
fait défaut: XAvenir continue à inju-ior
le Maire.
PAUVRE ARCACHON
Quand doue des journaux chargés de
faire de la 'publicité cesseront-ils de dé-
blatérer sans rime- ni raison, et do. porter
tort; au crédit et à la stabilité de. notre
ville'Mît, ii. un autre point de vue, pour-
quoi la France, et XAvenir, journaux
républicains, acceptent-ils des articles
que des journaux réactionnaires rougi-
raient d'insérer?
PAUVRE ARCAOHQN
Quand donc les édiles feront-ils taire -
leurs désirs personnels et viendront-ils
s'occuper des, affaires que réclame l'ad-
ministra t-ion de la commune?
Autre question. Le Maire avait laissé
à M. Roumegous la délégation de l'état-
civil que- lui avait donné son prédéces-
seur. Il avait également p^use donner
à Ai. Camus sa délégation pour les tra-
vaux publics. Par suite de l'attitude de :
ces -Messieurs, contre l'administration
du Maire,attitude prouvée dernièrement
par une lettre adressée clandestine-
ment à M. In Riv"i".^ "•fi î-ftifriclc; oVil
ne comprend pas plus au point dtf vue
admicistratif qu'au, point de vue per-
sonnel, le Maire se voit, a. regret, forcé
de reprendre lesdites délégations, pré-
férant travailler davantage que d'assu-
rer sur lui la. responsabilité- que lui
confère l'art. 8'idcla loi du 5 avril 3884.
Affaire ,--orvut. Le public apprendra
avec plaisir (pie l'affaire Sorvat qui avait
pris, sons la direction de M. Roume-
gous. adjoint en l'absence du Maire,
par défaut d'étude du tiaité. une ten-
dance à se transformer en affaire liti-
gieuse : vient d'être résolue par ia
fermeté du Maire. M. Servat a payé
son arriéré et reprend son service.
— Dernière heure. — Nous, appre-
nons que la séance du Conseil munici-
pal n'a pu avoir lieu ce soir, faute de
membres suffisants. Les seuls présents
étaient. : MM. Crinières maire, Camus
adjoint. B;>y. Duvaché, Cozcau, Poisson-
Borsot. Labeyrie. Les affaires munici-
uaies urgentes-sont encore renvoyées.
Eu égard à l'abstention systhématique
:e quelques-nus des absents les conseil-
lers présents ont. déposé entre les mains
uu maire, une demande signée par trois
d'entre eux : MM. Duvaché. Buy et
I.abevrie. v.-onr le prier de faire une
réunion sueciale et extraordinaire, dans
le plus bref délai, et relative à la
question : Place de la Ville d'hiver. M.
le Maire s'est empressé d'accorder une
demande aussi légitime, et a. immédia-
temciK convoqué à cet effet, Messieurs
les membres du Conseil pour mardi
pvoehaiu ceux heures.
Les auteurs de cette proposition pen-
sent faire cesser ainsi les divisions qui
existent dans le Conseil or arriver à
rfoccuper ennu de toutes les affaires eu
souffrance.
Une seconde convocation <\^ Conseil
a été faite a;i~--i par le Maire, p'mr
l'ordre du jour des affaires dont la solu-
le Wmm :£ !Ô ^f\mm
I -iSJwfcf tIM
NOTA. — Le tirage du journal a
été retardé de trois jours, la grippe
ayant sévi parmi ses typographes.
iiiiuiiifiL
Séance du 3 janvier 1S90
Etaient présents : MM. Ornières,
maire, Roumegous et Camus, adjoints,
Càxcaux, Expert, Boy. Nègre, Fouché.
Ravàux, Tisseyre, Million, Leys, Labey-
rie, Vessière, Richard, Duvaché.
La parole est à M.'.Expert pour la
lecture du procès-verbal, qv ^t lu et
M. Tisseyre. > •
— >[. Nègre est cm secrétaire pour
la séance.
— M.■Ro'uiïicg'ows d»r»»ude la parole.
M. lé Maire répond que la loi est for-
melle et qu'il ne' peut la lui accorder
qu'au sujet des affaires portées à l'ordre
du jour. Une discussion s'engage, à la-
quelle prennent part, MM, Roumegous.
Expert, Fouché. Million, qui manifes-
tent leur etonnemont de ce que les af-
faires laissées en suspens lors de la der-
nière session, ne soient pas portées en
tête de l'ordre du jour de la présente
séance. À la suite de cette discussion,
MM. Camus, Roumegous, Expert, Fou-
ché. Ravaux, Millieri, Leys, Richard,
quittent la salle.
Le Conseil, n'étant plus eu nombre
suffisant pour délibérer, la séance est
levée à six heures.
M. Roumegous . nous communique
l'ordre du jour suivant, qu'il avait l'in-
tention de proposer au vote du Conseil :
Le Conseil vote l'acquisition, au prix
de 40,OGO francs, des terrains offerts
par la Société Immobilière, et nomme
une Commission qui se mettra en rap-
port avec ladite Société, ci. pourvoira
aux voies et moyens pour prendre am-
ie budget le paiement des annuités de
la période de 14 années.
Par lettre en daie du 4 couvant. M.
le Préfet a accusé réception de la aé-
missio» de M. Deiavau, conseiller mu-
nicipal.
Al. Roumegous nous communique
l'arrêté suivant, qui lui a été notifié le
'7 courant : •
Le Maire d'Arcachon,
Vu 1 incompatibilité administrative
existant entre le Maire et M. Roume-
gous, premier adjoint ;
Considérant que l'état de choses 'ac-
tuel est nuisible au bon fonctionnement
de l'administration de la Ville d'Arca-
chon :
Arrête :
Article unique. — ïïa,i'rêté en date du
13 juin 1888, par lequel M. Roumegous
est délégué, à F état-ci vil. est rapporté.
Arcachon, le 6 janvier 1800.
Le Maire,
F. ORMJÈRES.
Aujourd'hui jeudi doit avoir lieu une
séance dont l'ordre du jour porte :
Budget 18S0.
Assurance du Casino.
. Placage Servat. ]A" '■'■'
Demande.Ri" 0 ""H.
Demande Se îeaud.
Instituteurs, institutrice.1-.
Demande Godefroy.
M. Ornières, maire d'Arcachon, nous
communique la note suivante, en nous
priant d'insérer :
Dans des articles où la mauvaise foi
perce tout entière, XAvenir élève, plu-
sieurs prêt enlions ;
F Que le Maire déclare vouloir la pla-
ce d'hiver et pense le contraire. M. le
Maire répond qu'il ne permet à personne
de suspecter sa manière de voir et de
faire : attendu qu'il n'aurait pas plus à
craindre M. le Direeti ur de X Avenir s'il
dist.il que le Maire est contraire à la
place: que le Conseil municipal lui-
même estime qu'il aurait le droit d'avoir
nue opinion personnelle, quand rnème
elle sertit confia;re à celle de ses col-
h*gu;s. Eu fait d'opinions, verra-t-on
que celles de MM. Expert, propriétaire
de la villa Yvonne; Deiavau, proprié-
taire des villas Neèkcr et Vaubau ; .Ri-
chard, propriétaire des villas Mourepos
Bagarclle, etc., touchant toutes la pla-
ce, puissent être aussi désintéressées
que celle de M. Ornières, propriétaire
dans la ville d'hiver ?
2° La Vigie n'est nullement le journal
du Maire ni du Conseil municipal. Ce-
journal a passé un traité d'abonnements
dont ii remplit les clauses. L'Avenir
est le journal d'une coterie.
Pourquoi cette dernière feuille- dit-
elle que les correspondances delà Vigie
S'mt inspirées par le Maire? Nous lui
donnons, sur ce point, le démenti le plus
formel, et notre parole vaut m. sienne
et au-delà.
■V' En ce qui concerne le desideratum
de quelques membres; intéressés que
nous venons de citer et qui traînent à
leur remorque non pas contre le Maire,
mais contre M. Ornières (qui s'en mo-
que comme d'une guigne/, les méeon
tents de différents partis, correspon-
dants, au besoin, des journaux la Fran-
ce et Y Avenir ; en ce qui concerne,
disons-nous, le desideratum qui consiste
à vouloir voter l'acquisition d'une -place
sans être assuré des voies et moyens,
cette idée ne peut germer que dans la
tête de gens peu administrateurs", et.
dont le Maire ne consentira jamais à ,
épouser la tactique, qui lui ferait assu-
mer une redoulable responsabilité.
Le Maire ne mettra l'acquisition de
■ la place à l'ordre du jour, qu'au moment
de la confection du budget de 1891 ; à
moins que. conformément à la loi, cinq
membre? du Conseil demandent une
",r* '-aordiuaire pour cet objet,
'le résultat, prévu à. l'avance
..fera qu'après cou' atioii j
,ic"to... "-J6nsè'ïi.''U's abstiendra mi- '
.ne de voter : estimant toujours
ae c'e..t de l'enfantillage que de..voter,
pour lu quatrième ou cinquième fois,
l'acquisition de cette place, sans en
avoir étudié au préalable les voies et
moyens, et convaincu que l'Adminis-
tration "supérieure, ne donnerait aucune
suite, à ce vote.
4° Dans un article intitulé : S euh
XAvenir décalque et singe M. Graner,
propriétaire du Grand Hùtel deia Forêt
et correspondant du journal la F tance
à ses moments perdus, ignoble person-
nage qui fait de la politique malsaine
et dessert Arcachon pour servir s,->.
rancunes personnelles.
Il est dit dans l'article : Seu\ que ie
Maire, le jour de l'Au. n'a pas reçu la
visite des conseillers municipaux.
Qui donc a eu tort et n'a pas fait son
devoir dans cette circonstaiwe, ?
Le Maire, quel qu'il suit et tant eu'ii
l'est, se doit à ses fonctions et les rem-
plit, si pénibles quelquefois sont-elles.
11 doit en f-tre de même des eons.nl-
leivs municipaux., qui manquent sux
règles de la plus simple politesse, et à
leur devoir d'élus, en ne se rendant pas
à la maison commune un jour de.récep-
tion.
La place de la Ville d'hiver en est,
pour quelques-uns, le motif. Voilà le
comble du ridicule.
11 y a quelques mois, le Maire s'ab-
sente à l'occasion de l'Exposition : X A-
cev.ir le couvre d'injures. Aujourd'hui ii
fst à son poste, le. Conseil municipal
fait défaut: XAvenir continue à inju-ior
le Maire.
PAUVRE ARCACHON
Quand doue des journaux chargés de
faire de la 'publicité cesseront-ils de dé-
blatérer sans rime- ni raison, et do. porter
tort; au crédit et à la stabilité de. notre
ville'Mît, ii. un autre point de vue, pour-
quoi la France, et XAvenir, journaux
républicains, acceptent-ils des articles
que des journaux réactionnaires rougi-
raient d'insérer?
PAUVRE ARCAOHQN
Quand donc les édiles feront-ils taire -
leurs désirs personnels et viendront-ils
s'occuper des, affaires que réclame l'ad-
ministra t-ion de la commune?
Autre question. Le Maire avait laissé
à M. Roumegous la délégation de l'état-
civil que- lui avait donné son prédéces-
seur. Il avait également p^use donner
à Ai. Camus sa délégation pour les tra-
vaux publics. Par suite de l'attitude de :
ces -Messieurs, contre l'administration
du Maire,attitude prouvée dernièrement
par une lettre adressée clandestine-
ment à M. In Riv"i".^ "•fi î-ftifriclc; oVil
ne comprend pas plus au point dtf vue
admicistratif qu'au, point de vue per-
sonnel, le Maire se voit, a. regret, forcé
de reprendre lesdites délégations, pré-
férant travailler davantage que d'assu-
rer sur lui la. responsabilité- que lui
confère l'art. 8'idcla loi du 5 avril 3884.
Affaire ,--orvut. Le public apprendra
avec plaisir (pie l'affaire Sorvat qui avait
pris, sons la direction de M. Roume-
gous. adjoint en l'absence du Maire,
par défaut d'étude du tiaité. une ten-
dance à se transformer en affaire liti-
gieuse : vient d'être résolue par ia
fermeté du Maire. M. Servat a payé
son arriéré et reprend son service.
— Dernière heure. — Nous, appre-
nons que la séance du Conseil munici-
pal n'a pu avoir lieu ce soir, faute de
membres suffisants. Les seuls présents
étaient. : MM. Crinières maire, Camus
adjoint. B;>y. Duvaché, Cozcau, Poisson-
Borsot. Labeyrie. Les affaires munici-
uaies urgentes-sont encore renvoyées.
Eu égard à l'abstention systhématique
:e quelques-nus des absents les conseil-
lers présents ont. déposé entre les mains
uu maire, une demande signée par trois
d'entre eux : MM. Duvaché. Buy et
I.abevrie. v.-onr le prier de faire une
réunion sueciale et extraordinaire, dans
le plus bref délai, et relative à la
question : Place de la Ville d'hiver. M.
le Maire s'est empressé d'accorder une
demande aussi légitime, et a. immédia-
temciK convoqué à cet effet, Messieurs
les membres du Conseil pour mardi
pvoehaiu ceux heures.
Les auteurs de cette proposition pen-
sent faire cesser ainsi les divisions qui
existent dans le Conseil or arriver à
rfoccuper ennu de toutes les affaires eu
souffrance.
Une seconde convocation <\^ Conseil
a été faite a;i~--i par le Maire, p'mr
l'ordre du jour des affaires dont la solu-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 65.89%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 65.89%.
- Collections numériques similaires Bibliographie de la presse française politique et d'information générale Bibliographie de la presse française politique et d'information générale /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BIPFPIG00"Fonds régional : Aquitaine Fonds régional : Aquitaine /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Aquit1"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/4
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6117323x/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6117323x/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6117323x/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6117323x/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6117323x
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6117323x
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6117323x/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest