Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1869-09-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 30 septembre 1869 30 septembre 1869
Description : 1869/09/30 (Numéro 2464). 1869/09/30 (Numéro 2464).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k590515z
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/07/2008
4
*je i*etit Journas
à rjiip'qufis pas à j c',m\ jusqu'à une sorte ,de!
poteau qu'en ériiw (l'habitude pour le cas, très
tare d'ailleurs, où le condamné ferait quelque
résistance et où l'on serait obligé de le mainte-
nir en repos.
De Paris étaient venus un chef d'escadron j
d'état-major, aide-de-camp du maréchal Canro-
bort, le greffier du conseil de guerre et un des
juge, qui ont condamné le criminel. Le Rreffier
lut la sentence, se hâtant pour faire durer le
moins longtemps possible le supplice du patient.
Puis celui-ci avant embiassé MM. les aumôniers,
l'un d'eux lui banda les yeux, Ronchon se mit à
genoux ayant encore assez de force pour se sou-
tenir, mais n'agissant plus que machinalement.
En face lui était un peloton de douze hommes
aux armes chargées quatre sous-officiers, qua-
tre caporaux et quatre soldats, tous les plus an-
ciens du régiment. Deux des sous-officiers se tin-
rent un peu en arrière du gros de ce peloton. Ils
étaient destinés, toujours d'après le reniement,
dans le cas où le condamné ne serait pas mort
par suite de la décharge générale, à l'achever d'un
coup de fusil tiré dans l'oreille, On vit Ranchon
déboutonner sa veste, en écarter les plastrons
pour offrir sa poitrine presque nue.
Les plastrons revinrent prendre leur place na-
turelle Ranchon les écarta encore, puis plaçant
sa main droite sur la hanche et la gauche dans la
ceinture de son pantalon, il attendit. Pendant ce
temps, le chef d'escadron détaché par le maré-
chal avait fait signe à l'adjudant (le plus ancien
du régiment) chargé de commander le feu. Celui-
ci, par un geste, fit mettre en joue. Le plus grand
silence régnait, et Ranchon no pouvait entendre
le mouvement des tireurs. Il le sentit toutefois,
probablement, bien qu'il ne parût plus avoir
grande conscience de ce qui se passait. Il jeta
nerveusement ses bras en l'air.
Au même instant, sur un second geste de l'ad-
judant, dix hommes faisaient feu sur lui. Il
reçut les dix balles neuf dans la poitrine; la
dixième lui traversa la main droite. Le médecin
du régiment s'approcha et constata la mort ins-
tantanée. Cependant il fit tirer par un des sous-
officiers restés en arrière un onzième coup de feu
dans l'oreille. Il était cinq heures trente-cinq
minutes. Immédiatement, suivant l'usage, le régi-
ment défila devant le cadavre; puis il rentra dans
les quartiers. »
ECONOME DOMESTIQUE
PETITE CUISINE
Menu du dîneur du jeudi SO septembre
CIVET DE LIÈVRE A LA CHARALES IX
Aujourd'hui, le douzième mois de ma Pe-
tite cuisine au Petit Journal prend fin.
La réimpression de ce consciencieux tra-
vail suit son cours. Je le complète par une
quantité de recettes de potages, sauces,
Sors-d'œuvre chauds et entremets, que, faute
d'espace, il ne m'a pas été possible d'interca-
ler dans mes articles journaliers. Pour ne
point tout-à-fait en priver mes lecteurs du
Petit Journal, en attendant que je recom-
mence une nouvelle série de renseignements
gastronomiques, je donnerai chaque jour ici
quelques-unes de ces recettes, mais sans
jommentaires aucuns.
Pour le bouquet, j'offre la préparation du
Civet de lièvre à la Charles IX, que je recom-
mande à mes frères. les chasseurs gour-
tnands.
CIVET DE LIÉVAE A LA CHARLES IX. Couper un
beau levraut en morceaux présentables de même
grosseur; couper en dés du porc frais bien en-
trelardé; sauter ensemble sur un feu vif mor-
;eaux de lièvre et de lard pour qu'ils rissolent,
puis les saupoudrer de fleur de farine et les pous-
ser jusqu'au roux; mouiller alors avec moitié
souillon chaud et moitié bon vin rouge et assai-
sonner de poivre, quatre épices, bouquet garni et
Jemi-gousse d'ail.
Mettre cuire et ajouter successivement àu civet,
me douzaine de poires tapées, une dem-idou-
saine de prunes de brignoles, une douzaine de
champignons tournés, une douzaine de pruneaux
:ans noyau, une douzaine de beaux marrons
grillés, même quantité d'oignons blancs, et quel-
ques lames de bonnes truies si on a le bonheur
d'en avoir. Quand tout est cuit lier avec le foie,
la cervelle et le sang du lièvre, broyés et délayés
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fine tranche de jambon znise à suer dans un
poêle. La liaison fai'e, ne plus laisser bouillir et
servir chaudement.
Amen
Le Baron BmssE.
VARIÉTÉS
UBi «ÏÏQrtLTEÏJBt D'ORGUE
VI
Mais laissons là Flammèche. Je vécus donc
de cette existence vide, insensée, que mè-
nent à Paris quelques fils de famille naïfs et
quelques intrigants décorés d'ordres étran-
gers. Dépenser un louis au café Anglais, non
pas pour Lien dîner, mais pour faire de l'ef-
fet sur le garçon, qui vous estime fort avoir
de beaux chevaux attelés à un petit coupé
qui, derrière ces formidables animaux, a
l'air d'un hanneton, et cela, non pas pour le
plaisir assez mince de se faire traîner au
grand air, mais pour faire de l'effet sur quel-
que bon marchand qui passe et qui songe à
la cote du sucre, ou bien à des fins de mois
jeter des sommes folles à des actrices célè-
bres, non pas pour le bonheur de les aimer
mais pour faire de l'effet sur le commun des
martyrs, qui en sont réduits au pot-au-feu
conjugal étaler toutes sortes d'apparences
amples et soyeuses sur une réalité d'osier,
voilà quelle est ce,tte vie que j'enviais si fort.
Deux passions seulement me remuaient
un peu le cœur; j'aimais le jeu et le bal
masqué.
Une nuit que j'étais à l'Opéra, à moitié
ivre comme à l'ordinaire, je vis venir à moi
une femme enveloppée dans un ample do-
mino de satin noir. Je reculai de terreur;
derrière son masque, au lieu des yeux, on
ne voyait que deux flammes rougeâtres. Cette
femme posa son bras sur le mien, et je sentis
son souffle ardent qui me brûlait le visage.
Elle avait par dessus son gant un bracelet
représentant un serpent d'or, roulé sur lui-
même. Eh bien! ce que je vous dis là va
vous sembler étrange?. Le serpent était vi-
vant et se roulait sans cesse, et dardait sur
moi ses deux yeux verts et brillants comme
l'émeraude.
Cette femme, dès que sa main gantée eut
touché ma main, je fus à elle. Au frisson qui
courut par mes veines, on eût dit que sa vie
s'y infusait, et comme des peuplades asser-
vies, mes pensées cédèrent la place aux
siennes, son âme entra dans mon âme.
-Qui es-tu?. lui dis-je tout tremblant.
Je suis le Plaisir.
Le Plaisir sous ce masque sombre et
railleur?
Qu'est-ce que c'est que le plaisir, sinon
une raillerie?
Vrai Dieu tu fais de la philoso-
phie.
Je n'en sais rien.
Pourquoi tes yeux sont-ils de flam-
me ?.
Est-ce une galanterie?.
Que fais-tu, à ton bras, de ce serpent
qui se tord? t
Et le domino se mit à rire de ce rire
étrange qui m'avait deux fois épouvanté.
Au moins, ôte un instant ce masque
sous- lequel les femme', au milieu de cette
joyeuse foule, ont l'air de goules errantes.
Que voulez-vous dire? je l'ignore. A
quoi vous servira de m'avoir vue? Vous
m'oublierez aussi. Cependant, vous le vou-
lez.
Et le domino retira son masque. Stupéfait,
je reconnus Geneviève.
Vous ici, vous, Geneviève! Vous qui, il
y a quelques mois, viviez si saintement au-
près de votre mère.
fille, puis elle secoua la tête, et répondit
-Ah! tantpis! cela m'ennuyait trop. J'ai
fait comme vous. mon cher!
Mais vous n'étiez encore qu'une enfant,
maintenant.
Une enfant! Voilà bien les hommes!
parce qu'une fille baisse le nez, et dit par-ci
par-là deux mots d'un air hébété.
Emu de pitié, je ne pus m'empêcher de lui
dire vous vous perdez, Geneviève.
Ah encore des niaiseries Voilà
ce qu'ils chantent tous! C'est bête
comme une oie Voyons, raisonnons une
fois pour toutes. Se lever toute grelottante
avant le jour, s'habiller de mauvaises loques
humides et déteintes, s'asseoir sur une chaise
bien dure, la tête lourde, les yeux tires, les
pieds sur une chaufferette qui vous asphyxie;
et les mains violettes de froid; ue plus
bouger pendant de longues heures, rester là
ployée en deux, à tirer une aiguille toujours,
toujours, toujours.. ne pouvoir trouver un
seui instant de relâche. entendre au de-
hors les autres vivre et agir. voir le soleil
tout pâle qui marche lentement sur le car-
reau, puis qui gagne la mut aille, puis qui
monte, puis qui devient comme un point de
lumière et s'efface. Et travailler encore!
quand la nuit arrive, quand les oiseaux
chantent sur le toits, quand les bruits
de la rue vous viennent plus joyeux, quand
la main retombe pesante et qu'on a un
brouillard devant les yeux. travailler
encore. puis se lever pour allumeur
quelque lampe chétive et se rasseoir bien
vite. et reprendre son ouvrage. en-
tendre peu à peu les boutiques qui se fer-
ment, les pas des passants qui deviennent
plussonores. A cet affreux métier amasser
peut-être quelque misérable somme qui tan-
te un ouvrier. Se laisser séduire par une
grossière apparence d'amour. Dépenser
en un jour à la barrière les économies de
tant d'années, et se trouver sans un sou dans
son ménage, avec un mari ivrogne, qui vous
bat et un tas d'enfants qui crèvent de faiml
Ten^z. vous n'êtes qu'un niais! Allez
épouser votre belle Agathe, qui vous bro-
dera l'existence de magnifiques reprises.
Laissez-moi tranquille et bonjour!
L'infernale créature savait bien, en me
donnant ma liberté, que c'était dire à la
feuille morte qui roule dans le torrent, re-
monte et, en vériié, j'étais entraîné vers
elle avec plus de force encore.,
Que vous dirai-je. Cette femme fut ma
perte. J'en suis à comprendre l'empire qu'el-
le avait sur moi. Certes, je ne manque pas
de couraôe plus d'une fois je me suis battu
pour un regard qui me déplaisait, ou un
coude qui me gênait. Quelquefois un sou-
rire seul, où je crois voir percer l'ironie,
suffit pour soulever en moi d'effroyables
tempêtes; eh bien, cett-i femme me mépri-
sait, m'insultait, me trompait sans pudeur,
et, agenouillé à ses pieds, je souffrais to;.t,
je demandais grâce. Elle osait me frapper,
et je baisais ses mains mutinées contre moi.
Une fois, j'eus la preuve de sa perfidie; ce-
lui que je surpris près d'elle était un de mes
amis; je le souffletai, et nous nous envoyâ-
mes des témoins eh bien 1. elle me dé-
fendit de me battre, et je ne me battis pas.
Je lui avais loué un petit hôtel au fond de
la Chaussée-d'Antin elle avait grand train
de maison, une livrée nombreuse, des che-
vaux superbes. Calèches et coupés lui dé-
plaisaient au bout d'un mois, et elle en chan-
geait elle ne dépensait pas l'argent, elle ne
le jetait pas par la fenêtre, comme on dit
vulgairement; toutes ces expressions don-
nent encore l'idée d'une certaine lenteur
dans le gaspillage elle l'engloutissait.
Vous pensez bien que depuis lonntemps,
ma fortune était dévorée. J'étais sous la dent
des usuriers. Dlon père, vous le savez, avait'
cent mille francs de rente. J'avais introduit
les rats dans l'édifice de la fortune pater-
nelle.
(La suite à demain). wilhem tenint.
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poteau qu'en ériiw (l'habitude pour le cas, très
tare d'ailleurs, où le condamné ferait quelque
résistance et où l'on serait obligé de le mainte-
nir en repos.
De Paris étaient venus un chef d'escadron j
d'état-major, aide-de-camp du maréchal Canro-
bort, le greffier du conseil de guerre et un des
juge, qui ont condamné le criminel. Le Rreffier
lut la sentence, se hâtant pour faire durer le
moins longtemps possible le supplice du patient.
Puis celui-ci avant embiassé MM. les aumôniers,
l'un d'eux lui banda les yeux, Ronchon se mit à
genoux ayant encore assez de force pour se sou-
tenir, mais n'agissant plus que machinalement.
En face lui était un peloton de douze hommes
aux armes chargées quatre sous-officiers, qua-
tre caporaux et quatre soldats, tous les plus an-
ciens du régiment. Deux des sous-officiers se tin-
rent un peu en arrière du gros de ce peloton. Ils
étaient destinés, toujours d'après le reniement,
dans le cas où le condamné ne serait pas mort
par suite de la décharge générale, à l'achever d'un
coup de fusil tiré dans l'oreille, On vit Ranchon
déboutonner sa veste, en écarter les plastrons
pour offrir sa poitrine presque nue.
Les plastrons revinrent prendre leur place na-
turelle Ranchon les écarta encore, puis plaçant
sa main droite sur la hanche et la gauche dans la
ceinture de son pantalon, il attendit. Pendant ce
temps, le chef d'escadron détaché par le maré-
chal avait fait signe à l'adjudant (le plus ancien
du régiment) chargé de commander le feu. Celui-
ci, par un geste, fit mettre en joue. Le plus grand
silence régnait, et Ranchon no pouvait entendre
le mouvement des tireurs. Il le sentit toutefois,
probablement, bien qu'il ne parût plus avoir
grande conscience de ce qui se passait. Il jeta
nerveusement ses bras en l'air.
Au même instant, sur un second geste de l'ad-
judant, dix hommes faisaient feu sur lui. Il
reçut les dix balles neuf dans la poitrine; la
dixième lui traversa la main droite. Le médecin
du régiment s'approcha et constata la mort ins-
tantanée. Cependant il fit tirer par un des sous-
officiers restés en arrière un onzième coup de feu
dans l'oreille. Il était cinq heures trente-cinq
minutes. Immédiatement, suivant l'usage, le régi-
ment défila devant le cadavre; puis il rentra dans
les quartiers. »
ECONOME DOMESTIQUE
PETITE CUISINE
Menu du dîneur du jeudi SO septembre
CIVET DE LIÈVRE A LA CHARALES IX
Aujourd'hui, le douzième mois de ma Pe-
tite cuisine au Petit Journal prend fin.
La réimpression de ce consciencieux tra-
vail suit son cours. Je le complète par une
quantité de recettes de potages, sauces,
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d'espace, il ne m'a pas été possible d'interca-
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point tout-à-fait en priver mes lecteurs du
Petit Journal, en attendant que je recom-
mence une nouvelle série de renseignements
gastronomiques, je donnerai chaque jour ici
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jommentaires aucuns.
Pour le bouquet, j'offre la préparation du
Civet de lièvre à la Charles IX, que je recom-
mande à mes frères. les chasseurs gour-
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CIVET DE LIÉVAE A LA CHARLES IX. Couper un
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grosseur; couper en dés du porc frais bien en-
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puis les saupoudrer de fleur de farine et les pous-
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souillon chaud et moitié bon vin rouge et assai-
sonner de poivre, quatre épices, bouquet garni et
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Mettre cuire et ajouter successivement àu civet,
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poêle. La liaison fai'e, ne plus laisser bouillir et
servir chaudement.
Amen
Le Baron BmssE.
VARIÉTÉS
UBi «ÏÏQrtLTEÏJBt D'ORGUE
VI
Mais laissons là Flammèche. Je vécus donc
de cette existence vide, insensée, que mè-
nent à Paris quelques fils de famille naïfs et
quelques intrigants décorés d'ordres étran-
gers. Dépenser un louis au café Anglais, non
pas pour Lien dîner, mais pour faire de l'ef-
fet sur le garçon, qui vous estime fort avoir
de beaux chevaux attelés à un petit coupé
qui, derrière ces formidables animaux, a
l'air d'un hanneton, et cela, non pas pour le
plaisir assez mince de se faire traîner au
grand air, mais pour faire de l'effet sur quel-
que bon marchand qui passe et qui songe à
la cote du sucre, ou bien à des fins de mois
jeter des sommes folles à des actrices célè-
bres, non pas pour le bonheur de les aimer
mais pour faire de l'effet sur le commun des
martyrs, qui en sont réduits au pot-au-feu
conjugal étaler toutes sortes d'apparences
amples et soyeuses sur une réalité d'osier,
voilà quelle est ce,tte vie que j'enviais si fort.
Deux passions seulement me remuaient
un peu le cœur; j'aimais le jeu et le bal
masqué.
Une nuit que j'étais à l'Opéra, à moitié
ivre comme à l'ordinaire, je vis venir à moi
une femme enveloppée dans un ample do-
mino de satin noir. Je reculai de terreur;
derrière son masque, au lieu des yeux, on
ne voyait que deux flammes rougeâtres. Cette
femme posa son bras sur le mien, et je sentis
son souffle ardent qui me brûlait le visage.
Elle avait par dessus son gant un bracelet
représentant un serpent d'or, roulé sur lui-
même. Eh bien! ce que je vous dis là va
vous sembler étrange?. Le serpent était vi-
vant et se roulait sans cesse, et dardait sur
moi ses deux yeux verts et brillants comme
l'émeraude.
Cette femme, dès que sa main gantée eut
touché ma main, je fus à elle. Au frisson qui
courut par mes veines, on eût dit que sa vie
s'y infusait, et comme des peuplades asser-
vies, mes pensées cédèrent la place aux
siennes, son âme entra dans mon âme.
-Qui es-tu?. lui dis-je tout tremblant.
Je suis le Plaisir.
Le Plaisir sous ce masque sombre et
railleur?
Qu'est-ce que c'est que le plaisir, sinon
une raillerie?
Vrai Dieu tu fais de la philoso-
phie.
Je n'en sais rien.
Pourquoi tes yeux sont-ils de flam-
me ?.
Est-ce une galanterie?.
Que fais-tu, à ton bras, de ce serpent
qui se tord? t
Et le domino se mit à rire de ce rire
étrange qui m'avait deux fois épouvanté.
Au moins, ôte un instant ce masque
sous- lequel les femme', au milieu de cette
joyeuse foule, ont l'air de goules errantes.
Que voulez-vous dire? je l'ignore. A
quoi vous servira de m'avoir vue? Vous
m'oublierez aussi. Cependant, vous le vou-
lez.
Et le domino retira son masque. Stupéfait,
je reconnus Geneviève.
Vous ici, vous, Geneviève! Vous qui, il
y a quelques mois, viviez si saintement au-
près de votre mère.
fille, puis elle secoua la tête, et répondit
-Ah! tantpis! cela m'ennuyait trop. J'ai
fait comme vous. mon cher!
Mais vous n'étiez encore qu'une enfant,
maintenant.
Une enfant! Voilà bien les hommes!
parce qu'une fille baisse le nez, et dit par-ci
par-là deux mots d'un air hébété.
Emu de pitié, je ne pus m'empêcher de lui
dire vous vous perdez, Geneviève.
Ah encore des niaiseries Voilà
ce qu'ils chantent tous! C'est bête
comme une oie Voyons, raisonnons une
fois pour toutes. Se lever toute grelottante
avant le jour, s'habiller de mauvaises loques
humides et déteintes, s'asseoir sur une chaise
bien dure, la tête lourde, les yeux tires, les
pieds sur une chaufferette qui vous asphyxie;
et les mains violettes de froid; ue plus
bouger pendant de longues heures, rester là
ployée en deux, à tirer une aiguille toujours,
toujours, toujours.. ne pouvoir trouver un
seui instant de relâche. entendre au de-
hors les autres vivre et agir. voir le soleil
tout pâle qui marche lentement sur le car-
reau, puis qui gagne la mut aille, puis qui
monte, puis qui devient comme un point de
lumière et s'efface. Et travailler encore!
quand la nuit arrive, quand les oiseaux
chantent sur le toits, quand les bruits
de la rue vous viennent plus joyeux, quand
la main retombe pesante et qu'on a un
brouillard devant les yeux. travailler
encore. puis se lever pour allumeur
quelque lampe chétive et se rasseoir bien
vite. et reprendre son ouvrage. en-
tendre peu à peu les boutiques qui se fer-
ment, les pas des passants qui deviennent
plussonores. A cet affreux métier amasser
peut-être quelque misérable somme qui tan-
te un ouvrier. Se laisser séduire par une
grossière apparence d'amour. Dépenser
en un jour à la barrière les économies de
tant d'années, et se trouver sans un sou dans
son ménage, avec un mari ivrogne, qui vous
bat et un tas d'enfants qui crèvent de faiml
Ten^z. vous n'êtes qu'un niais! Allez
épouser votre belle Agathe, qui vous bro-
dera l'existence de magnifiques reprises.
Laissez-moi tranquille et bonjour!
L'infernale créature savait bien, en me
donnant ma liberté, que c'était dire à la
feuille morte qui roule dans le torrent, re-
monte et, en vériié, j'étais entraîné vers
elle avec plus de force encore.,
Que vous dirai-je. Cette femme fut ma
perte. J'en suis à comprendre l'empire qu'el-
le avait sur moi. Certes, je ne manque pas
de couraôe plus d'une fois je me suis battu
pour un regard qui me déplaisait, ou un
coude qui me gênait. Quelquefois un sou-
rire seul, où je crois voir percer l'ironie,
suffit pour soulever en moi d'effroyables
tempêtes; eh bien, cett-i femme me mépri-
sait, m'insultait, me trompait sans pudeur,
et, agenouillé à ses pieds, je souffrais to;.t,
je demandais grâce. Elle osait me frapper,
et je baisais ses mains mutinées contre moi.
Une fois, j'eus la preuve de sa perfidie; ce-
lui que je surpris près d'elle était un de mes
amis; je le souffletai, et nous nous envoyâ-
mes des témoins eh bien 1. elle me dé-
fendit de me battre, et je ne me battis pas.
Je lui avais loué un petit hôtel au fond de
la Chaussée-d'Antin elle avait grand train
de maison, une livrée nombreuse, des che-
vaux superbes. Calèches et coupés lui dé-
plaisaient au bout d'un mois, et elle en chan-
geait elle ne dépensait pas l'argent, elle ne
le jetait pas par la fenêtre, comme on dit
vulgairement; toutes ces expressions don-
nent encore l'idée d'une certaine lenteur
dans le gaspillage elle l'engloutissait.
Vous pensez bien que depuis lonntemps,
ma fortune était dévorée. J'étais sous la dent
des usuriers. Dlon père, vous le savez, avait'
cent mille francs de rente. J'avais introduit
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