Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1869-04-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 24 avril 1869 24 avril 1869
Description : 1869/04/24 (Numéro 2305). 1869/04/24 (Numéro 2305).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
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Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
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Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5903563
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/07/2008
n4T
Le Petit Journal
ETRANGER
v Un duel extraordinaire a eu lieu entre deux
indiens étaient au repos, lorsque l'un
&euï saisissant son recolver, se mit à en faire
La Déposition fut acceptée, et tout fut préparé
pour un duel. Sur ce, vingt guerriers choisirent
·un terrain et marquèrent une distance de quarante
s ieds qui devait séparer les deux adversaires.
ces préparatifs, les deux Indiens sem-
4la?en s'examiner avec une indiftérence stoique.
La foule attendait en silence le denoument.
Lorsque tout fut prêt, les adversaires prirent
̃*osU on dos à dos, l'un armé de son revolver et
¡J'autre de sa carabine; un des indigènes avait été
Choisi pour presser le duel.
J II prit position à quelque distance de la ligne
"'du feu puis brandit une lance ornée de peintu-
et de plumes deux ou trois fois au-dessus de
sa:, tète et donna le terrible signal. A l'instant
Jeiie les deux Indiens se retournèrent et ti-
^Tous deux tombèrent l'un avait reçu le coup
tête et l'autre dans le cœur.
Des aépêclies de San-Francisco annoncent
qu'un incendie a éclaté le 7 avril, au matin, dans
:les mines de Gold Hill (Nevada). Trente ou qua-
rante mineurs ont perdu la -vie.
-Les mine,s de Gold-Hill s'étendent à une gran-
de profondeur. Leurs galeries sont formées par
,un assemblag.e compliqué rie madriers de plan-
tes et d'autres matériaux très.inflammables.
Par suite de la profondeur de ces mines, la
ftemoératue y est très élevée; elle atteint 98 et
100 degrés Fahrenheit, et pour permettre aux ou-
vriers d'v travailler, il faut rafraîchir l'a'r artifi-
ciellement par de puissants courants d air.
On comprend que le feu, dont l'origine n'est-
pas encore connue, ait dû «se propager avec une
rapidité effrayante.
Au moment où il a éclaté, dans la Yellcw-
Jacket Mine, soixante mineurs étaient à l'ou-
We Str ce nombre, vingt-trois ont péri. L'in-
cendie s'est ensuite étendu aux mines de Ken-
tuclty. et de Crown Point, où treize autres mineurs
pnt perdu Ia vie.
Aux dernières nouvelles, on ne s'était pas en-
core rendu maître des flammes.
Cette catastrophe est la plus terrible qui ait ja-
mais éprouvé les districts miniers de le Nevada.
La Bourse de San Francisco a envoyé un don
de mille dollars aux familles des victimes.
Nous lisons dans le Messager Franco-Améri-
« Il existe en Californie une mine de savon.
Franchement, nous n'en savions rien. Mais il pa-
̃ ra'f que la fait est réel. Voici, du moins, ce que
nous trouvons à ce sujet dans le Démocratie
Banta-Rosa
« M. Benjamin Harrisson, qui prétend ayoir
découvert la mine de savon récemment trouvée à
cinq milles àefeébastopol.a a iait une autre décou-
verle de mérae nature.
La nouvelle mine est à environ six milles à
l'ouest de la première et à dix-huit milles de
cette ville. A'ixtat naturel, la pierre est de plu-
sieurs couleurs. Quand on la frotte sur une sur-
face dure, elle se polit comme un marbre; mais
en la broyant, on la réduit en une poudre aussi
blanche et aussi fine que la farine.
De la première, on tire un très bon savon pour
tous les besoinsordinaires du ménage; la seconde,
a.u contraire, fournit un excellent article Js toi-
lette, et pour la barbe. Ceci n'est pas une plair-
santerie. On peut voir dans nos bureaux des
̃échantillons des deux savons et de ia matière
première.
II ne reste plus à déceuvrir qu'une mine de
rasoirs. On y arrivera, espérons-le, ô mon Dieu!
'es et actions I lrtvo Préc. Dernier VALEURS Préc JDern.il AGRICULTURE. BiARcnÉ DU 2ÎAVRU
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SOUVENIRS JUDICIAIRES
AUGUSTE METTE
QUATRIÈME PARTIE
LA FORCE
II
Souper de fiançailles
Dès qu'ils furent entrés dans sa chambre,
Duplaindois battit le briquet; il alluma du
feu" dans la cheminée. Manette, transie,
mouillée, grelottante, soufflait dans ses
doigts; ses dents claquaient de froid.
Ce n'était plus la brune enfant du Tivoli
d'été; la misère avait, dans sa tenaille à
dents aiguës, meurtri les uancs de la malheu-
reuse Ses cheveux mal soignés retombaient
en mèches lourdes sur son front pâle, qu'une
ride précoce traversait; ses sourds, froncés
par finquiétude jetaient l'ombre sur ses
veux- son nez était plus pince la naissance
du cartilage la bouche serrée semblait plus
mince, on°y 'lisait moins l'irrésistible appé-
tit de la chair.
Ses eflets, limés par 1 usage, étaient lui-
sants, crevés aux coudes et aux genoux; son
linge était efdloqué.
Quand le feu pétilla dans l'âtre, que Du-
plaindois eut placé sur la table deux assiettes,
un seul verre, le morceau de viande et de
pain et le litre de-vin, il poussa la table près
de la cheminée.
Le Portugais était solide, nous l'avons dit,
aussi, ayant fait son petit ménage, sans dire
un mot, il vint derrière Manette et, prenant
la chaise où elle était assise par les bâtons,
il porta la fille, qui grelottait toujours, au
coin du feu.
Puis s'étant assis à ses pieds et s accoudant
sur ses genoux, il lui dit
Eh bien! ma Manon, qu as-tu donc?
Oh! j'ai froid. j'ai froid, va!
Et se ratatinant sur elle-même, elle se
rapprocha encore du feu.
Tu as froid parce que tu as faim.
Mange, mignonne.
Alors, la misérable mangea; lorsqu'elle
fut un peu réchauffée, plaçant une main
dans l'abondante chevelure de Duplaindois,
elle le considéra longuement, disant, éton-
née et comme malgré elle
Tu es donc bon, toi?
Maintenant, Manette, dis-moi, qu'as-tu
fait depuis deux mois?
Pourquoi me demandes-tu cela?
-Parce que je t'ai quittée briijaute, ri-
che, et que je te retrouve.
Pauvre, bien pauvre.
Pourquoi?
C'est une triste histoire, qui ne peut
t'intéresser et que je ne veux pas dire,
Un amour malheureux ?
-Oui. malheureux!
Tu vois, il n'y a que moi qui te sois
resté fidèle. Quand tu étais dure avec moi,
mon Dieu, je me disais: Laissons faire, c'est
une extravagante, qui ne sait pas la valeur
des choses; bientôt elle redeviendra comme
devant; ceux avec lesquels elle vit aujour-
d'hui seront ingrats. C'est humain l'ingra-
titude. Moi qui suis un vaurien, par cela
en dehors des lois sociales, je serai fidèle et
Manon me retrouvera. Eh bien I me voici,
ma mie.
Pauvre bon garçon
Buvons, Manon, à nos amours nou-
velles voici le verre.
Duplaindois emplit le verre d'un gros vin
rouge et le tendit à Manette; celle-ci y
trempa les lèvres. A son tour, le Portugais
reprit le verre et, cherchant l'endroit humi-
de des lèvres de sa compagne de malheur, il
y mit les siennes. j
Voyons, Manon, tu es jolie comme
tout avec ton petit costume d'homme; mais
écoute-moi si tu reviens franche et loyale
avec moi, il faut l'abandonner, nous quitte-
rons ce quartier inhabitable pour une fem-
me. raisonnable.
Ce Duplaindois avait despudeurs; il con-
tinua
J'ai une petite positipn maintenant.
Quefais-Ki?
Ceci est un secret. mais je n'en ai
pas pour toi.
Je suis agent politique.
Qu'est-ce que c'est que ça? fit la fille
en dressant l'oreille.
Je suis payé par le gouvernement poar
découvrir, surveiller, dénoncer .les agents
envoyés par l'étranger pour agir dans Paris.
Singulier et triste métier.
Triste, triste! mais c'est du patriotisme
au premier degré.
Comment agis-tu?
C'est bien simple je sais l'endroit où
ces gens-là se réunissent, j'y vais et j'écoute.
Et tu les fais arrêter?
Je les ferais arrêter, si j'en trouvais.
C'est une manie du gouvernement de croire
ça, moi, je vis de sa manie. Je vais toutes
les semaines au bureau. Je dis Je suis, je
crois, sur la piste d'un grand complot.
Ah! fait-on.
J'ai besoin d'argent.
Très bien on me signe un bon de
vingt-cinq francs; je le touche et j'en ai pour
huit jours. Comme ça n'est pas fatigant
pour moi, quand ils se lasseront, je cesserai.
Et tu es heureux?
Heureux comme tout, excepté au jeu.
et ça ne m'étonne pas, Manon, puisque tu es
revenue » Heureux au jeu, malheureux en
amour. » Va, nous allons savoir ce qu'est le
bonheur des pauvres, ma mie aimée.
Alors, tu me prends à tout jamais.
-C'est-à-dire que, si nous n'étions pas si
pauvres, je te prendrais la main pour aller
chez le maire.
Mon bon Jean.
Tu verras la petite vie agréable que
nous allons mener.
C'est bien sérieux?
Comme si le notaire y avait passé.
Manette ne grelottait plus, sa figure était
rassurée; elle se leva, et les deux mains sur
les épaules de Duplaindois, qui lui aussi était
debout, la tête un peu penchée, le regardant
amoureusement, elle dit
Ainsi, depuis quatre ans, je passe à côté
de ton cœur et je ne l'ai pas vu. Tu étais
bon, toi! et tu es le seul que je croyais
mauvais. Ah! si tu avais été riche!
Et Manette soupira; Duplaindois appuya
sa tête sur son épaule, et, l'embrassant, il dit
Assez de passé comme ça. on ne vit
pas avec les morts. le présent est plus gra-
cieux, mademoiselle Manette! 11 est six
heures du matin, il fait bien froid dehors et
bien chaud dans mon cœur nous avons eu
le même tort que la loi. Nous nous sommes
demandé Jean Bourry, dit Duplaindois, dit
lePortugais,prenez-vouspour femme Mlle An-
nette Bouhourt, dite Manette, dite Auguste,
et nous avons dit: oui. Nous ne devions nous
demander qu'une chose Jean, aimez-vous
Manette? et je réponds: oui! Manette,
aimez-vous Jean ?
Oh oui, va et les lèvres de Manette
firent franchement claquer un baiser sonore
sur les joues de Duplaindois
Au même moment la porto de la chambre
fut violemment heurtée.
Manette trembla.
Duplaindois dit
Qui est là?
Une voix terrible répondit
Au nom de la loi, ouvrez
(La suite cc demain.) ALEXIS BOUVIER.
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Le Petit Journal
ETRANGER
v Un duel extraordinaire a eu lieu entre deux
indiens étaient au repos, lorsque l'un
&euï saisissant son recolver, se mit à en faire
La Déposition fut acceptée, et tout fut préparé
pour un duel. Sur ce, vingt guerriers choisirent
·un terrain et marquèrent une distance de quarante
s ieds qui devait séparer les deux adversaires.
ces préparatifs, les deux Indiens sem-
4la?en s'examiner avec une indiftérence stoique.
La foule attendait en silence le denoument.
Lorsque tout fut prêt, les adversaires prirent
̃*osU on dos à dos, l'un armé de son revolver et
¡J'autre de sa carabine; un des indigènes avait été
Choisi pour presser le duel.
J II prit position à quelque distance de la ligne
"'du feu puis brandit une lance ornée de peintu-
et de plumes deux ou trois fois au-dessus de
sa:, tète et donna le terrible signal. A l'instant
Jeiie les deux Indiens se retournèrent et ti-
^Tous deux tombèrent l'un avait reçu le coup
tête et l'autre dans le cœur.
Des aépêclies de San-Francisco annoncent
qu'un incendie a éclaté le 7 avril, au matin, dans
:les mines de Gold Hill (Nevada). Trente ou qua-
rante mineurs ont perdu la -vie.
-Les mine,s de Gold-Hill s'étendent à une gran-
de profondeur. Leurs galeries sont formées par
,un assemblag.e compliqué rie madriers de plan-
tes et d'autres matériaux très.inflammables.
Par suite de la profondeur de ces mines, la
ftemoératue y est très élevée; elle atteint 98 et
100 degrés Fahrenheit, et pour permettre aux ou-
vriers d'v travailler, il faut rafraîchir l'a'r artifi-
ciellement par de puissants courants d air.
On comprend que le feu, dont l'origine n'est-
pas encore connue, ait dû «se propager avec une
rapidité effrayante.
Au moment où il a éclaté, dans la Yellcw-
Jacket Mine, soixante mineurs étaient à l'ou-
We Str ce nombre, vingt-trois ont péri. L'in-
cendie s'est ensuite étendu aux mines de Ken-
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Aux dernières nouvelles, on ne s'était pas en-
core rendu maître des flammes.
Cette catastrophe est la plus terrible qui ait ja-
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« Il existe en Californie une mine de savon.
Franchement, nous n'en savions rien. Mais il pa-
̃ ra'f que la fait est réel. Voici, du moins, ce que
nous trouvons à ce sujet dans le Démocratie
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« M. Benjamin Harrisson, qui prétend ayoir
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sieurs couleurs. Quand on la frotte sur une sur-
face dure, elle se polit comme un marbre; mais
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De la première, on tire un très bon savon pour
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• 'tfeXic-aîns6 0/0 Ï5 1/4 26.?. Prix extrêmes le sac de
Crédit mobilier espagnol.. 30875 310.. lombards: 229 89, Gaz central. 513 SO 510 .̃̃
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îaragosse 75.. 75.. 7S. Bons lom.1869 1 io
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SOUVENIRS JUDICIAIRES
AUGUSTE METTE
QUATRIÈME PARTIE
LA FORCE
II
Souper de fiançailles
Dès qu'ils furent entrés dans sa chambre,
Duplaindois battit le briquet; il alluma du
feu" dans la cheminée. Manette, transie,
mouillée, grelottante, soufflait dans ses
doigts; ses dents claquaient de froid.
Ce n'était plus la brune enfant du Tivoli
d'été; la misère avait, dans sa tenaille à
dents aiguës, meurtri les uancs de la malheu-
reuse Ses cheveux mal soignés retombaient
en mèches lourdes sur son front pâle, qu'une
ride précoce traversait; ses sourds, froncés
par finquiétude jetaient l'ombre sur ses
veux- son nez était plus pince la naissance
du cartilage la bouche serrée semblait plus
mince, on°y 'lisait moins l'irrésistible appé-
tit de la chair.
Ses eflets, limés par 1 usage, étaient lui-
sants, crevés aux coudes et aux genoux; son
linge était efdloqué.
Quand le feu pétilla dans l'âtre, que Du-
plaindois eut placé sur la table deux assiettes,
un seul verre, le morceau de viande et de
pain et le litre de-vin, il poussa la table près
de la cheminée.
Le Portugais était solide, nous l'avons dit,
aussi, ayant fait son petit ménage, sans dire
un mot, il vint derrière Manette et, prenant
la chaise où elle était assise par les bâtons,
il porta la fille, qui grelottait toujours, au
coin du feu.
Puis s'étant assis à ses pieds et s accoudant
sur ses genoux, il lui dit
Eh bien! ma Manon, qu as-tu donc?
Oh! j'ai froid. j'ai froid, va!
Et se ratatinant sur elle-même, elle se
rapprocha encore du feu.
Tu as froid parce que tu as faim.
Mange, mignonne.
Alors, la misérable mangea; lorsqu'elle
fut un peu réchauffée, plaçant une main
dans l'abondante chevelure de Duplaindois,
elle le considéra longuement, disant, éton-
née et comme malgré elle
Tu es donc bon, toi?
Maintenant, Manette, dis-moi, qu'as-tu
fait depuis deux mois?
Pourquoi me demandes-tu cela?
-Parce que je t'ai quittée briijaute, ri-
che, et que je te retrouve.
Pauvre, bien pauvre.
Pourquoi?
C'est une triste histoire, qui ne peut
t'intéresser et que je ne veux pas dire,
Un amour malheureux ?
-Oui. malheureux!
Tu vois, il n'y a que moi qui te sois
resté fidèle. Quand tu étais dure avec moi,
mon Dieu, je me disais: Laissons faire, c'est
une extravagante, qui ne sait pas la valeur
des choses; bientôt elle redeviendra comme
devant; ceux avec lesquels elle vit aujour-
d'hui seront ingrats. C'est humain l'ingra-
titude. Moi qui suis un vaurien, par cela
en dehors des lois sociales, je serai fidèle et
Manon me retrouvera. Eh bien I me voici,
ma mie.
Pauvre bon garçon
Buvons, Manon, à nos amours nou-
velles voici le verre.
Duplaindois emplit le verre d'un gros vin
rouge et le tendit à Manette; celle-ci y
trempa les lèvres. A son tour, le Portugais
reprit le verre et, cherchant l'endroit humi-
de des lèvres de sa compagne de malheur, il
y mit les siennes. j
Voyons, Manon, tu es jolie comme
tout avec ton petit costume d'homme; mais
écoute-moi si tu reviens franche et loyale
avec moi, il faut l'abandonner, nous quitte-
rons ce quartier inhabitable pour une fem-
me. raisonnable.
Ce Duplaindois avait despudeurs; il con-
tinua
J'ai une petite positipn maintenant.
Quefais-Ki?
Ceci est un secret. mais je n'en ai
pas pour toi.
Je suis agent politique.
Qu'est-ce que c'est que ça? fit la fille
en dressant l'oreille.
Je suis payé par le gouvernement poar
découvrir, surveiller, dénoncer .les agents
envoyés par l'étranger pour agir dans Paris.
Singulier et triste métier.
Triste, triste! mais c'est du patriotisme
au premier degré.
Comment agis-tu?
C'est bien simple je sais l'endroit où
ces gens-là se réunissent, j'y vais et j'écoute.
Et tu les fais arrêter?
Je les ferais arrêter, si j'en trouvais.
C'est une manie du gouvernement de croire
ça, moi, je vis de sa manie. Je vais toutes
les semaines au bureau. Je dis Je suis, je
crois, sur la piste d'un grand complot.
Ah! fait-on.
J'ai besoin d'argent.
Très bien on me signe un bon de
vingt-cinq francs; je le touche et j'en ai pour
huit jours. Comme ça n'est pas fatigant
pour moi, quand ils se lasseront, je cesserai.
Et tu es heureux?
Heureux comme tout, excepté au jeu.
et ça ne m'étonne pas, Manon, puisque tu es
revenue » Heureux au jeu, malheureux en
amour. » Va, nous allons savoir ce qu'est le
bonheur des pauvres, ma mie aimée.
Alors, tu me prends à tout jamais.
-C'est-à-dire que, si nous n'étions pas si
pauvres, je te prendrais la main pour aller
chez le maire.
Mon bon Jean.
Tu verras la petite vie agréable que
nous allons mener.
C'est bien sérieux?
Comme si le notaire y avait passé.
Manette ne grelottait plus, sa figure était
rassurée; elle se leva, et les deux mains sur
les épaules de Duplaindois, qui lui aussi était
debout, la tête un peu penchée, le regardant
amoureusement, elle dit
Ainsi, depuis quatre ans, je passe à côté
de ton cœur et je ne l'ai pas vu. Tu étais
bon, toi! et tu es le seul que je croyais
mauvais. Ah! si tu avais été riche!
Et Manette soupira; Duplaindois appuya
sa tête sur son épaule, et, l'embrassant, il dit
Assez de passé comme ça. on ne vit
pas avec les morts. le présent est plus gra-
cieux, mademoiselle Manette! 11 est six
heures du matin, il fait bien froid dehors et
bien chaud dans mon cœur nous avons eu
le même tort que la loi. Nous nous sommes
demandé Jean Bourry, dit Duplaindois, dit
lePortugais,prenez-vouspour femme Mlle An-
nette Bouhourt, dite Manette, dite Auguste,
et nous avons dit: oui. Nous ne devions nous
demander qu'une chose Jean, aimez-vous
Manette? et je réponds: oui! Manette,
aimez-vous Jean ?
Oh oui, va et les lèvres de Manette
firent franchement claquer un baiser sonore
sur les joues de Duplaindois
Au même moment la porto de la chambre
fut violemment heurtée.
Manette trembla.
Duplaindois dit
Qui est là?
Une voix terrible répondit
Au nom de la loi, ouvrez
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