Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1869-03-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 01 mars 1869 01 mars 1869
Description : 1869/03/01 (Numéro 2251). 1869/03/01 (Numéro 2251).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k590302v
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/07/2008
4
Le Petit Journal
SOUVENIRS JUDICIAIRES
AUGUSTE METTE
DEUXIÈME PARTIE
L'ASSASSINAT DE U RUE SAKTE-HYACKTHE
Changements & vue
Manette se leva, suivit en courant la longue
avenue et rencontra, venant au devant
d'elle celui duquel nous disions au commen-
cernent de cette seconde partie
Un grand et beau garçon que nous vous
présenterons tout à l'heure.
Voyez si nous avions raison
Antô ne-François Prévost, bijoutier en
acier, était un jeune et beau gaillard de
vingt-trois à vingt-quatre ans. 11 avait 1 air
un peu gauche dans ses habits du dimanche,
mais le visage était franc et bon; le dessin
dû nez était pur, la bouche bien arquée, la
moustache fine et rousse seyait assez au
teint un peu mat de sa peau; 1 œil vif brillait
sous les cils, les paupières un peu lourdes
donnaient aux yeux un charme étrange.
Ah ca! d'où viens-tu? fit-il à Manette.
De me reposer dans la balançoire.
|Je n'en pouvais plus.
Mais c'est la valse que tu m'as promise.
La valse, allons.
Elle se jeta dans ses bras, et la tête pen-
| chée sur son épaule, les yeux dans les yeux,
confondant leur haleine, les deux jolis en-
fants se perdirent dans les tourbillons de
valseurs.
i* A cette heure, Javal, qui avait besoin
d'air pour sa poitrine trop gonflée songeait
en marchant vite et se disant
Elle n'a osé me l'avouer, mais je l'ai
'.VU, elle m'aime.
Qui donc a dit
En amour, plus les cens ont d'esDrit plus
ils sont bêtes?
Quelques jours après la fête du Tivoli,
Mlle Manette pendue au bras de François
Prévost, suivait la rue des Fossés-Saint-
Qui donc est venu frapper chez toi tout
l'heure? demandait Manette.
C'est Devilleneuve.
Qui est-ce ça?
C'est un commissaire-priseur, un ami
de la famille; il venait me parler de la suc-
cession de mon père.
Ah Quand finis-tu?
Je pense toucher après demain. De-
main matin, j'irai à dix heures chez Deville-
neuve, je lui donnerai les dernières signa-
tures et le lendemain j'aurai l'argent.
Est-ce que tu garderas cet argent-là
chez toi?
Deux ou troisjours, le temps de trouver
un placement. Je laisserai même peut-être
faire tout ça par Devilleneuve.
Voilà qui serait bête.
Pourquoi? j'ai toute confiance en M.
'Devilleneuve.
Oui, mais.il te placera tes fonds de fa-
çon à ce que tu n'en sois pas maître. Si tu
trouves un jour une affaire, tu seras sous sa
tutelle.
Oui, c'est vrai.
Au reste, ajouta Manette, ça ne me re-
garde pas. Je dis ça pour toi. je sais qu'à
BOURSE Samedi Sameai i J^TJE!£j Samedi Samedi VALIDES Sm^ Samedi
r d'une sEMAiNE L'AUTO SOtév. 2ÏFÉV.' Hausse Baisse! OBLIGATIONS | M. diverses
',0,0 ~™IÔ 40 iô! Défiart.Selnç.' J -1
3U/0Empr.6Sl/10p.inesc. 71 20 Ville 185ÎO 0/0 | •• 5lJ!Emp. tunisien 151 (
^o,o-r^: I50 i«« •̃
teotfeanee:S::ï|;« î?aji M: iS:: ^g* »». »»
Crédit agricole fi M h*- 1O« 30/0.
Dépôts et Comptes-cour. 5«a -• &<* | Communal. 4^j UaiTqTteôttoia. 5C5 5:0
Victor-Emmanuel. 53 50j i« 2S ̃̃ï .V Upma^s. |. 12) 50, .12, .S?c.ete wiero^.O
2*5
îirio-ns'îp 8' M' Î-'O 2Î0 lions. lom.iRl!!)' 51!».. SvIj..
ta place j'aimerais mieux avoir mon argent
dans les mains.
Je prendrai toujours l'argent, tu com-
prends, et, s'il le place, il faudra qu'il m'ex-
plique sur quelle valeur.
Pardi, ça vaut mieux, tu n'es pas pres
sé de le placer!
Non.
11 se fit quelques minutes de silence, au
bout desquelles Manette reprit
Est-ce qu'il sait que j'étais chez toi ?
Qui?
-Ce monsieur Devilleneuve.
Non, fit en riant Prévost, j'ai dit que
j'étais avec un camarade.
]U'a cru?
C'est-à-dire, que comme je l'ai laissé
frapper sans ouvrir, et que je suis descendu
lui parler quand il m'a app-lé dans la cour,
il m'a un peu plaisanté.
Voyez-vous ça.
Mais je lui ai dit que je ne laisserais ja-
mais voir à personne.si j'avais une maîtres-
se que si j'en avais une, je l'obligerais il
s'habiller en homme, etla ferais passer pour
un de mes amis.
Manette s'arrêta et dit, en montrant une
porte d'allée
Nous sommes arrivés.
C'est là que tu restes? Fais-moi voir ta
chambre.
Non! dans le jour; mais, à cette heure-
ci, on ferait des cancans sur moi. et je
passe pour une ouvrière tranquille. je suis
très bien avec le concierge.
Eh bien! au revoir. Demain, je ne
te verrai pas.
Non. Fais tes afîaires.
Oui. après-demain! nous sommes
le 25, le 26. Eh bien le 27, au tantôt, vers
cinq heures, à la place Dauphine.
Oui. tu m emmèneras amer:
Si j'ai touché. et nous ferons un dî-
ner à se manger les dqig'.s jusqu'au coude.
Faudra-t-il se faire belle?
Ne viens pas comme ça. nous cour-
rons les cafés.
de mettrai mon costume. au revoir.
Un double baiser s'échangea, Prévost re-
mon;a la rue des Fossés-Saint-Victor, tourna
la rue Clovis et gagna bientôt le numéro 5
de la rue Sainte-Hyacinthe, où il occupait
une chambre au premier.
Dès que Manette fut seule, elle ne frappa
pas. Elle tira de sa poche un passe-partout,
ouvrit la porte, la ferma sans bruit, et reti-
rant ses chaussures, troussant ses jupes jus- j
qu'aux genoux, prestement elle s'engagea
dans l'allée, grimpa l'escalier, et entra chez
elle, sans que l'ouïe la plus fine ait pu devi-
ner sa présence.
elle battit le briquet, alluma sa chan-
delle et se déshabilla. Les beaux cheveux
dont les boucles frisées encadraient si bien
sa tête, tombèrent. D'un coup de peigne,
elle fut coiffée à la Titus, la grande mode de
l'époque. Sa jambe fine dessina ses gracieux
contours dans une culotte collante grise.
Elle se vctit d'une redingote brun-clair à
collet de velours noir, est se ^couvrit la tête
d'un petit chapeau loni; puis, après avoir
éteint sa lumière avec Kuspskue promptitude
et sans plus de bruit, et se
trouva dans la rue.
Là, Manette se dirigea d'un pas pressé
vers le vieux Louvre. arrivée en face les
Tuileries, elle alla frappsï une des bara-
ques que la construction»!! nouveau Louvre
a fait abattre.
Elle frappa deux fois.
Un sifflement répondit.
C'est Auguste, fit Manette.
La porte s'ouvrit, et le petitAuguste entra..
Une heure du matin sonnait Saint-Ger-
main-l'Auxerrois.
(La suite à demain.) ALEXIS bouvier.
(HALLES ET marchés)
Grains et graine. Dans toutes les régions, à
l'exception de celle du sud-est, il y a eu cette se-
maine un peu de hausse sur les blés, hausse fort
l.etite, d'ailleurs, en moyenne, ainsi qu'on le
verra en comparant le tableau ci-dessous avec
lité, par la faiblesse des apports aux marches.
Cette faiblesse a permis aux vendeurs de tenir
assez fermement leurs prix; mais nous pensons
que, pour peu que les cultivateurs abordent les
balles avec une ceriaine quantité de marchandi-
ses, ils se trouveront bientôt obligés, pour ven-
dre, d'abandonner leurs prétentions, qui sont
toutes il la hausse.
En effet, les meuniers n'ont aucun besoin, au
contraire; ils restreignent leur fabrication parce
qu'ils ne trouvent pas d'écoulement a leurs pro-
duits. M dans les ports français, ni dans les villes
et ports de l'étranger, où se fuit sur une grande
échelle le commerce des blés, il n'y a pas de tran-
sactions enfin les apparences de la réco;te en
terre sont extrêmement satisfaisantes. L'on con-
tinua bien à se ulaindre un peu des herbues para-
sites, mais, quoiqu'il en soit, tous nos correspon-
dants s'accordent à dire que pourvu qu'il n'arrive
pas un de ces accidentes climaténqucs, que 1 on ne
peut prévoir, la récolte sera fort belle.
Les menus ;:rains sont sans affaires. Les avoi-
nes sont plus ôilertes que demandées.
̃^TABLEAU- DES CÉRÉALES
Par 100 kil. sur les marchés français de l'intérieur
IUGIOV DU:, SEIGLES ORGLS AVOINES
N.-Est. 21 Si 17 SI 18 23 18
Ouest. 54 22 /"o 16
Centre. ̃• ?? à
Suil-O.. :0 Si 2; 17 25 18 75 ÏS
Sud-E.. 21 iO £1 17 21 17 21 50 lt) i*
Farines. -Les aualres en larlnes un suni paa
meilleures que les affaires en blé. Quoique nous
soyons à la fin du mou, les mouvements de
cette semaine ont été insignifiants.
La spéculation hésitante n'a engagé et n'en-
gage que fort peu d'affaires; on sorte qu'il n'y a
pas de découvert, et que, par conséquent, les
quelques acheteurs qui ont besoin de se liquider
trouvent facilement des vendeurs.
Il est vrai de dire cependant qu'en farines su-
périeures, les époques rapprochées ont trouvé
uns faveur suffisante poar aborder les cours des
huit-marques qu'elles n'atteignent pas habituelle-
ment. Les époques éloignées, au contraire, con-
servent entre elles un écart fit les mêmes époques
des huit-marques.
Quant aux farines de consommation, la bou-
langerie refuse d'acheter aux cours actuels et
la meuneric, de son coté, voyant que les cul-
tivateurs ne veulent pas baisser le prix des blés,
restreint sa fabrication.
PRIX EXTRÊMES DE LA SEMAINE
Huit marques, le sac de 157 Ml. net
Lundi, 22 février » Samedi, 50 » 27 fév.
Prochain 5G 50 » » » » »
Mars et avril. 75 » » 5G 25 56 50
Il mois do mars.. » » » » » »
Mai et juin 57 50 » » 57 » 57 »
4 mois lle mai. 58 » 59 » 57 50 57 75
Façiges supérieures et sept marques,
'\v- le sae de kil. net
Lundi, 22 février Samedi, 27 fcv.
Courant. à 5G » à » »
Prochain » » » »
Mars et avril. » 5(:25 » »
Mai et juin 57 » » 5G 75 57 »
4 mois de mai. » » » » 57 25
Huiles. Les plaintes qui étaient venues de la
Hollande durant la semaine dernière, relative-
ment au mauvais-état des colzas en terre se sont
renouvelées cette semaine et même avec aggrava-
tion, car l'on ajoute que, dans le nord de la France,
quelques cultivateurs ont vu leurs plantations si
maltraitées qu'ils ont été obligés de les retourner.
Le mal est-il aussi grande qu'on le dit? nous ne
saurions le garantir. Quoiqu'il en soit, c'est spé-
cialement sur la foi de ces nouvelles qu'il a été
fait de la hausse cette semaine sur les huiles de
colza.
Les huiles de lin sont toujours l'objet d'une pe-
tite demande, mais elles se sont ratiermies.
VALEURS EN BANQUE D'coura VALEURS EN BANQUE B^" VALEURS EN BANQUE |b^ow
d'Xtnt Mines Huelvajouissance o™ • • Ru_ses 407
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PRIX EXTRÊMES DE LA SEMAINE
Paris. Huiles de colza, les 100 kil.
Lundi, 22 février Samedi, 27 fév.
Disponible et cou° 80 50 à » » 81 » a » »,
Prochain 81 » » » 81 »
Avril. 82 a » 81 25 »
Mai et juin. » 82 50 »
Juillet d'août. 84 ;,0 » 84 50 n
4 derniers 87 » SG M »•
4 premiers 1870.. S8 » » 87 50
Paris. Huile de lin, les 100 lril.
Lundi, 22 février Samedi, 27 Céa
Disponible 81 à' » » 82 » »
Courant du mois. 8150 » 8i » » »
Prochain » » » »
Mars ei avril. 81 50 » » 82 50
Mai en août 85 50 » 8a 50 »
4 derniers »
Spiritueux. La consommation n'achète tou-
jours pas et la spéculation met en magasin les
livraisons qui lui sont faites par la fabrique; la-
quelle, dit-on, a à peu près terminé son tra-
vail. Les affaires de la semaine ont été sans
importance; cependant, ces derniers jours, les
prix se sont ratfermis et, au moins les époques
éloignée, tenûent à se raffermir encore davan-
PRIX EXTRÊMES DE LA SEMAINE
Paris. S/G fin, betterave, Ire qualité, 90 c. l'hecl.
Lundi, 22 février Samedi. 27 fév.
Disponible G9 » à » C8 50 a » »
Courant du mois. 69 » G0 50 68 25 » »
Prochain » » »
Mars et avril. CS 50 » » 50 n
Mai en août 69 69 50 69
4 derniers mois.. Cb
Sucres. 11 y a eu encore une petite hausse
sur les sucres bruts- dans le courant de la semai-
ne, mais les besoins de la liquidation ont amené
des offres, d'où une baisse. Les nouvelles de
Cuba ne sont pas meilleures; il pourrait donc
se Caire que cette baisse fut reconquise la semaine
prochaine. Cependant, la raifinerie refuse d'ache-
ter aus prit actuels de la spéculation, qui détient
l'article, et, d'un autre côté, la consommation
trouve exorbitant le prix du sucre raffiné et ne
veut pas l'aborder.
PRIX EXTRÊMES DE LA SEMAINE
Paris. Les Ml.
Lundi, 22 février Samedi, 20 fev.
Titre 83°
DUp etc. du mois 6S «à » il 67 »
Mois prochains.. 50 » » 68 »
Blancs, n° 3
Di^p etc. du mois 78 » » » 77 50 »
Mois prochains.. 78 50 » »
Raf. suiv, mérite. » » » 13f »
Suifs
Suifs. Les affaires ont été sans animation.
Au dernier marché, la note ofticielle a été baissée
de 0 iï. 25 c. En fermeture, l'on a acheté, dit-on.
Les kil. hors Pans.
Dispon. et courant, 108 25|Mars et avril, 108 fr. 50.
Mars et avril, 109 f. |Mai en
SPECTACLES DU DIMANCHE FÉVRIER
7 Fr?n-ai£. Le Cœur et la Dot. Bataille de Daaics.
G 3j4. Opéra-Comique. Le Chalet, Mignon.
7 1/2. Odèon. Mademoiselle la Marquise.
̃? 3/4 Lvrinue. Don Juan.
G 3/4. Vaudeville. Petit voyage, Multon, le Sacrifice.
7 Gymnase. Séraphine.
7 variétés. Mot de la fin, Chambres de bonnes-
7 »/»'. Chàtclct. Théoiloros.
7 3/4 Mais-Royal. Carnaval d un Merle blanc.
7 Bo'illes-Paiislons. Représentation extraordinaire.
8 Calté. Prince Toto, Courrier de Lyon.
8 Pottc-St-Kartin. Dame de Monsoreau.
7 «/». Ambigu. Famille (les Gueux.
Prince-Impérial. Forçats du Mariage.
S Pantaisies-îaTisienne. Gille, Bonsoir, voisin.
7 1/2. Clur.y. Les Inutiles.
7 »/». Bcjazet. Gaulois-Revue.
7 l'/2 FoHos-Karigtry. A la barque! à la barque/
7 1 n. Dslass.-Gomiqaes. Hannetons do l'a::née.
8 1/4. Beaumarchais. La Revennte.
7 3/4. HoUcre. Paris- Vélocipède.
7 »/n. La Fayette. Affaire de la rue du Chaudrons
G Bouffes-Saint-Antoine. le Mousse.
7 3'4. La Valette. La Vénitienne et le Bravo.
8 »/». Bellcville. Bergère des Alpss, Ici l'on nse.
Pour tous les articles non signes A. Duban.
D. Cassigneul. –Imprimerie du Patit Journal
Rue da La Fayette,
Le Petit Journal
SOUVENIRS JUDICIAIRES
AUGUSTE METTE
DEUXIÈME PARTIE
L'ASSASSINAT DE U RUE SAKTE-HYACKTHE
Changements & vue
Manette se leva, suivit en courant la longue
avenue et rencontra, venant au devant
d'elle celui duquel nous disions au commen-
cernent de cette seconde partie
Un grand et beau garçon que nous vous
présenterons tout à l'heure.
Voyez si nous avions raison
Antô ne-François Prévost, bijoutier en
acier, était un jeune et beau gaillard de
vingt-trois à vingt-quatre ans. 11 avait 1 air
un peu gauche dans ses habits du dimanche,
mais le visage était franc et bon; le dessin
dû nez était pur, la bouche bien arquée, la
moustache fine et rousse seyait assez au
teint un peu mat de sa peau; 1 œil vif brillait
sous les cils, les paupières un peu lourdes
donnaient aux yeux un charme étrange.
Ah ca! d'où viens-tu? fit-il à Manette.
De me reposer dans la balançoire.
|Je n'en pouvais plus.
Mais c'est la valse que tu m'as promise.
La valse, allons.
Elle se jeta dans ses bras, et la tête pen-
| chée sur son épaule, les yeux dans les yeux,
confondant leur haleine, les deux jolis en-
fants se perdirent dans les tourbillons de
valseurs.
i* A cette heure, Javal, qui avait besoin
d'air pour sa poitrine trop gonflée songeait
en marchant vite et se disant
Elle n'a osé me l'avouer, mais je l'ai
'.VU, elle m'aime.
Qui donc a dit
En amour, plus les cens ont d'esDrit plus
ils sont bêtes?
Quelques jours après la fête du Tivoli,
Mlle Manette pendue au bras de François
Prévost, suivait la rue des Fossés-Saint-
Qui donc est venu frapper chez toi tout
l'heure? demandait Manette.
C'est Devilleneuve.
Qui est-ce ça?
C'est un commissaire-priseur, un ami
de la famille; il venait me parler de la suc-
cession de mon père.
Ah Quand finis-tu?
Je pense toucher après demain. De-
main matin, j'irai à dix heures chez Deville-
neuve, je lui donnerai les dernières signa-
tures et le lendemain j'aurai l'argent.
Est-ce que tu garderas cet argent-là
chez toi?
Deux ou troisjours, le temps de trouver
un placement. Je laisserai même peut-être
faire tout ça par Devilleneuve.
Voilà qui serait bête.
Pourquoi? j'ai toute confiance en M.
'Devilleneuve.
Oui, mais.il te placera tes fonds de fa-
çon à ce que tu n'en sois pas maître. Si tu
trouves un jour une affaire, tu seras sous sa
tutelle.
Oui, c'est vrai.
Au reste, ajouta Manette, ça ne me re-
garde pas. Je dis ça pour toi. je sais qu'à
BOURSE Samedi Sameai i J^TJE!£j Samedi Samedi VALIDES Sm^ Samedi
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',0,0 ~™IÔ 40 iô! Défiart.Selnç.' J -1
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Dépôts et Comptes-cour. 5«a -• &<* | Communal. 4^j UaiTqTteôttoia. 5C5 5:0
Victor-Emmanuel. 53 50j i« 2S ̃̃ï .V Upma^s. |. 12) 50, .12, .S?c.ete wiero^.O
2*5
îirio-ns'îp 8' M' Î-'O 2Î0 lions. lom.iRl!!)' 51!».. SvIj..
ta place j'aimerais mieux avoir mon argent
dans les mains.
Je prendrai toujours l'argent, tu com-
prends, et, s'il le place, il faudra qu'il m'ex-
plique sur quelle valeur.
Pardi, ça vaut mieux, tu n'es pas pres
sé de le placer!
Non.
11 se fit quelques minutes de silence, au
bout desquelles Manette reprit
Est-ce qu'il sait que j'étais chez toi ?
Qui?
-Ce monsieur Devilleneuve.
Non, fit en riant Prévost, j'ai dit que
j'étais avec un camarade.
]U'a cru?
C'est-à-dire, que comme je l'ai laissé
frapper sans ouvrir, et que je suis descendu
lui parler quand il m'a app-lé dans la cour,
il m'a un peu plaisanté.
Voyez-vous ça.
Mais je lui ai dit que je ne laisserais ja-
mais voir à personne.si j'avais une maîtres-
se que si j'en avais une, je l'obligerais il
s'habiller en homme, etla ferais passer pour
un de mes amis.
Manette s'arrêta et dit, en montrant une
porte d'allée
Nous sommes arrivés.
C'est là que tu restes? Fais-moi voir ta
chambre.
Non! dans le jour; mais, à cette heure-
ci, on ferait des cancans sur moi. et je
passe pour une ouvrière tranquille. je suis
très bien avec le concierge.
Eh bien! au revoir. Demain, je ne
te verrai pas.
Non. Fais tes afîaires.
Oui. après-demain! nous sommes
le 25, le 26. Eh bien le 27, au tantôt, vers
cinq heures, à la place Dauphine.
Oui. tu m emmèneras amer:
Si j'ai touché. et nous ferons un dî-
ner à se manger les dqig'.s jusqu'au coude.
Faudra-t-il se faire belle?
Ne viens pas comme ça. nous cour-
rons les cafés.
de mettrai mon costume. au revoir.
Un double baiser s'échangea, Prévost re-
mon;a la rue des Fossés-Saint-Victor, tourna
la rue Clovis et gagna bientôt le numéro 5
de la rue Sainte-Hyacinthe, où il occupait
une chambre au premier.
Dès que Manette fut seule, elle ne frappa
pas. Elle tira de sa poche un passe-partout,
ouvrit la porte, la ferma sans bruit, et reti-
rant ses chaussures, troussant ses jupes jus- j
qu'aux genoux, prestement elle s'engagea
dans l'allée, grimpa l'escalier, et entra chez
elle, sans que l'ouïe la plus fine ait pu devi-
ner sa présence.
elle battit le briquet, alluma sa chan-
delle et se déshabilla. Les beaux cheveux
dont les boucles frisées encadraient si bien
sa tête, tombèrent. D'un coup de peigne,
elle fut coiffée à la Titus, la grande mode de
l'époque. Sa jambe fine dessina ses gracieux
contours dans une culotte collante grise.
Elle se vctit d'une redingote brun-clair à
collet de velours noir, est se ^couvrit la tête
d'un petit chapeau loni; puis, après avoir
éteint sa lumière avec Kuspskue promptitude
et sans plus de bruit, et se
trouva dans la rue.
Là, Manette se dirigea d'un pas pressé
vers le vieux Louvre. arrivée en face les
Tuileries, elle alla frappsï une des bara-
ques que la construction»!! nouveau Louvre
a fait abattre.
Elle frappa deux fois.
Un sifflement répondit.
C'est Auguste, fit Manette.
La porte s'ouvrit, et le petitAuguste entra..
Une heure du matin sonnait Saint-Ger-
main-l'Auxerrois.
(La suite à demain.) ALEXIS bouvier.
(HALLES ET marchés)
Grains et graine. Dans toutes les régions, à
l'exception de celle du sud-est, il y a eu cette se-
maine un peu de hausse sur les blés, hausse fort
l.etite, d'ailleurs, en moyenne, ainsi qu'on le
verra en comparant le tableau ci-dessous avec
lité, par la faiblesse des apports aux marches.
Cette faiblesse a permis aux vendeurs de tenir
assez fermement leurs prix; mais nous pensons
que, pour peu que les cultivateurs abordent les
balles avec une ceriaine quantité de marchandi-
ses, ils se trouveront bientôt obligés, pour ven-
dre, d'abandonner leurs prétentions, qui sont
toutes il la hausse.
En effet, les meuniers n'ont aucun besoin, au
contraire; ils restreignent leur fabrication parce
qu'ils ne trouvent pas d'écoulement a leurs pro-
duits. M dans les ports français, ni dans les villes
et ports de l'étranger, où se fuit sur une grande
échelle le commerce des blés, il n'y a pas de tran-
sactions enfin les apparences de la réco;te en
terre sont extrêmement satisfaisantes. L'on con-
tinua bien à se ulaindre un peu des herbues para-
sites, mais, quoiqu'il en soit, tous nos correspon-
dants s'accordent à dire que pourvu qu'il n'arrive
pas un de ces accidentes climaténqucs, que 1 on ne
peut prévoir, la récolte sera fort belle.
Les menus ;:rains sont sans affaires. Les avoi-
nes sont plus ôilertes que demandées.
̃^TABLEAU- DES CÉRÉALES
Par 100 kil. sur les marchés français de l'intérieur
IUGIOV DU:, SEIGLES ORGLS AVOINES
N.-Est. 21 Si 17 SI 18 23 18
Ouest. 54 22 /"o 16
Centre. ̃• ?? à
Suil-O.. :0 Si 2; 17 25 18 75 ÏS
Sud-E.. 21 iO £1 17 21 17 21 50 lt) i*
Farines. -Les aualres en larlnes un suni paa
meilleures que les affaires en blé. Quoique nous
soyons à la fin du mou, les mouvements de
cette semaine ont été insignifiants.
La spéculation hésitante n'a engagé et n'en-
gage que fort peu d'affaires; on sorte qu'il n'y a
pas de découvert, et que, par conséquent, les
quelques acheteurs qui ont besoin de se liquider
trouvent facilement des vendeurs.
Il est vrai de dire cependant qu'en farines su-
périeures, les époques rapprochées ont trouvé
uns faveur suffisante poar aborder les cours des
huit-marques qu'elles n'atteignent pas habituelle-
ment. Les époques éloignées, au contraire, con-
servent entre elles un écart fit les mêmes époques
des huit-marques.
Quant aux farines de consommation, la bou-
langerie refuse d'acheter aux cours actuels et
la meuneric, de son coté, voyant que les cul-
tivateurs ne veulent pas baisser le prix des blés,
restreint sa fabrication.
PRIX EXTRÊMES DE LA SEMAINE
Huit marques, le sac de 157 Ml. net
Lundi, 22 février » Samedi, 50 » 27 fév.
Prochain 5G 50 » » » » »
Mars et avril. 75 » » 5G 25 56 50
Il mois do mars.. » » » » » »
Mai et juin 57 50 » » 57 » 57 »
4 mois lle mai. 58 » 59 » 57 50 57 75
Façiges supérieures et sept marques,
'\v- le sae de kil. net
Lundi, 22 février Samedi, 27 fcv.
Courant. à 5G » à » »
Prochain » » » »
Mars et avril. » 5(:25 » »
Mai et juin 57 » » 5G 75 57 »
4 mois de mai. » » » » 57 25
Huiles. Les plaintes qui étaient venues de la
Hollande durant la semaine dernière, relative-
ment au mauvais-état des colzas en terre se sont
renouvelées cette semaine et même avec aggrava-
tion, car l'on ajoute que, dans le nord de la France,
quelques cultivateurs ont vu leurs plantations si
maltraitées qu'ils ont été obligés de les retourner.
Le mal est-il aussi grande qu'on le dit? nous ne
saurions le garantir. Quoiqu'il en soit, c'est spé-
cialement sur la foi de ces nouvelles qu'il a été
fait de la hausse cette semaine sur les huiles de
colza.
Les huiles de lin sont toujours l'objet d'une pe-
tite demande, mais elles se sont ratiermies.
VALEURS EN BANQUE D'coura VALEURS EN BANQUE B^" VALEURS EN BANQUE |b^ow
d'Xtnt Mines Huelvajouissance o™ • • Ru_ses 407
6 0/OHtats-Uuis, 1E62 92 1/2 Z itoltoïpriVileqièël. 2B0 Méridionaux!
GS 66. Villr-bœuf (i0 Ouest-Suisse w
3 0/0 Intérieur Espagne 29. Mon'tclmnin '̃. 350 ..Franco-Suisse. 2G
Extérieur Espagne 32. Silésie..?. 320 ..Illainaut et Mandrc
Pacarès iXeros • J"
paiiubic'n 88. Oblig. Chemins nutriclucns J£
^« ̃• Petites voitures }f ̃ ̃ Lérida à Iteuss
Propriété loncicre Ansart 3oO 1>ort tle î[avssiUe ̃? « il.
Magasins Gêner. (Bordeaux). loO Qnartier Luxemljourg J°ï • • Cordoite h SMUe 30.
Canal de 1 Ebre 40. Unkm des Gaz, 2i a
Touape-Contlans '5 • Gaz du Crédit ei Espagne 30 Blvcra
Petit-Poulvey (armements) 300 --|satlionay }|»-- Ville de Païenne 405.
btearinorie parisienne J20 ̃ • Moteur Lcnoir
Imprimerie Duumsson fao.. n-inn fl'p Iï (îuadelO'tDe 310.
Paul Dupont 500.. 360
LiuVo™iE0nWl6my 0 Urbaine (Emission, 1000 fr.). "00 .1 Gaz de 375
T w, M° riv 500 Nationale 1000 fr.). JJ • • Glaces de Montluçon
Ba.^uedeA.gene. 1100^ Gc;n,rale(Emissioi!i 5000 f,,). Glacières de Paris
PRIX EXTRÊMES DE LA SEMAINE
Paris. Huiles de colza, les 100 kil.
Lundi, 22 février Samedi, 27 fév.
Disponible et cou° 80 50 à » » 81 » a » »,
Prochain 81 » » » 81 »
Avril. 82 a » 81 25 »
Mai et juin. » 82 50 »
Juillet d'août. 84 ;,0 » 84 50 n
4 derniers 87 » SG M »•
4 premiers 1870.. S8 » » 87 50
Paris. Huile de lin, les 100 lril.
Lundi, 22 février Samedi, 27 Céa
Disponible 81 à' » » 82 » »
Courant du mois. 8150 » 8i » » »
Prochain » » » »
Mars ei avril. 81 50 » » 82 50
Mai en août 85 50 » 8a 50 »
4 derniers »
Spiritueux. La consommation n'achète tou-
jours pas et la spéculation met en magasin les
livraisons qui lui sont faites par la fabrique; la-
quelle, dit-on, a à peu près terminé son tra-
vail. Les affaires de la semaine ont été sans
importance; cependant, ces derniers jours, les
prix se sont ratfermis et, au moins les époques
éloignée, tenûent à se raffermir encore davan-
PRIX EXTRÊMES DE LA SEMAINE
Paris. S/G fin, betterave, Ire qualité, 90 c. l'hecl.
Lundi, 22 février Samedi. 27 fév.
Disponible G9 » à » C8 50 a » »
Courant du mois. 69 » G0 50 68 25 » »
Prochain » » »
Mars et avril. CS 50 » » 50 n
Mai en août 69 69 50 69
4 derniers mois.. Cb
Sucres. 11 y a eu encore une petite hausse
sur les sucres bruts- dans le courant de la semai-
ne, mais les besoins de la liquidation ont amené
des offres, d'où une baisse. Les nouvelles de
Cuba ne sont pas meilleures; il pourrait donc
se Caire que cette baisse fut reconquise la semaine
prochaine. Cependant, la raifinerie refuse d'ache-
ter aus prit actuels de la spéculation, qui détient
l'article, et, d'un autre côté, la consommation
trouve exorbitant le prix du sucre raffiné et ne
veut pas l'aborder.
PRIX EXTRÊMES DE LA SEMAINE
Paris. Les Ml.
Lundi, 22 février Samedi, 20 fev.
Titre 83°
DUp etc. du mois 6S «à » il 67 »
Mois prochains.. 50 » » 68 »
Blancs, n° 3
Di^p etc. du mois 78 » » » 77 50 »
Mois prochains.. 78 50 » »
Raf. suiv, mérite. » » » 13f »
Suifs
Suifs. Les affaires ont été sans animation.
Au dernier marché, la note ofticielle a été baissée
de 0 iï. 25 c. En fermeture, l'on a acheté, dit-on.
Les kil. hors Pans.
Dispon. et courant, 108 25|Mars et avril, 108 fr. 50.
Mars et avril, 109 f. |Mai en
SPECTACLES DU DIMANCHE FÉVRIER
7 Fr?n-ai£. Le Cœur et la Dot. Bataille de Daaics.
G 3j4. Opéra-Comique. Le Chalet, Mignon.
7 1/2. Odèon. Mademoiselle la Marquise.
̃? 3/4 Lvrinue. Don Juan.
G 3/4. Vaudeville. Petit voyage, Multon, le Sacrifice.
7 Gymnase. Séraphine.
7 variétés. Mot de la fin, Chambres de bonnes-
7 »/»'. Chàtclct. Théoiloros.
7 3/4 Mais-Royal. Carnaval d un Merle blanc.
7 Bo'illes-Paiislons. Représentation extraordinaire.
8 Calté. Prince Toto, Courrier de Lyon.
8 Pottc-St-Kartin. Dame de Monsoreau.
7 «/». Ambigu. Famille (les Gueux.
Prince-Impérial. Forçats du Mariage.
S Pantaisies-îaTisienne. Gille, Bonsoir, voisin.
7 1/2. Clur.y. Les Inutiles.
7 »/». Bcjazet. Gaulois-Revue.
7 l'/2 FoHos-Karigtry. A la barque! à la barque/
7 1 n. Dslass.-Gomiqaes. Hannetons do l'a::née.
8 1/4. Beaumarchais. La Revennte.
7 3/4. HoUcre. Paris- Vélocipède.
7 »/n. La Fayette. Affaire de la rue du Chaudrons
G Bouffes-Saint-Antoine. le Mousse.
7 3'4. La Valette. La Vénitienne et le Bravo.
8 »/». Bellcville. Bergère des Alpss, Ici l'on nse.
Pour tous les articles non signes A. Duban.
D. Cassigneul. –Imprimerie du Patit Journal
Rue da La Fayette,
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