Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1868-07-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 31 juillet 1868 31 juillet 1868
Description : 1868/07/31 (Numéro 2038). 1868/07/31 (Numéro 2038).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
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Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k590089b
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/07/2008
£e Petit Journal
s'exhalait dans les termes les plus injurieux.
Nous l'avons vu ensuite à l'audience faisant des
imprecations contre cette même dont la
conduite lui a été révélée par les dépositions des
témoins. J'ai passé avec lui les trois mortelles
heures pendant lesquelles le jury délibéra sur son
sort. Croit-on qu'il était alors abattu, préoccupé?
Pas le moins dn monde. Sa conversation ne rou-
lait que sur celte femme indigne qui l'avait trompé,
et une nouvelle passion avait soudainement rem-
placé l'ancienne. Une nouvelle idée fixe matri-
moniale s'était emparée de son cerveau, Il.ne.de-.
mandai qu'à épouseur le témoin Oitowy, une dame
galante de Vienne, qu'il avait connue autrefois et
qui avait dit catégoriquement et naïvement que si
elle avait beaucoup aime le comte Gustave; il n'a-
vait jamais cessé de lui inspirer de grandes ter-
rê'ûrs par ses actes insensés, furieux, et par ses
accès convulsifsi
"Voilà bien les transitions brusques et non mo-
que signalent les différenties phases de
l'existence et ces sortes d'insensés. Ils se font
non-seulement remarquer par la pauvreté de leur
intelligence et par ia fausseté de leurs idées,
quoique en apparence ils soient lucides et raison-
nons, mais les actes de la vie morale sont chez
eux en'tachés de folie. Ils manquent de pondéra-
tion et d'équilibre. Ils sont toujours dans les ex-
trêmes de l'excitation ou de la dépression. Ils ont
toujours vécu dans l'élément passionnel et comme
dans une atmosphère de folie. En un mot il leur a
manqué un but d'activité capable de féconder dans
te. sens de la morale et du devoir ce qui peut leur
rester de facultés affectives.
Jamais, chez eux aussi, la pensée n'est devenue
virile. Ils sont restés de grands enfants, comme
je le disais dans ma déposition, et les termes de
jol-ie morale (moral insanily), folie instinctive, fo-
lie lucide, circulaire, délire des actes, manie rai-
sonnante que l'on donne à cette situation ne sont
que les expressions à l'aide desquelles nous vou-
lons dire qu'il y a des insensés qui ont les appa-
rences de la raison et de la lucidité, mais qui, par
la nature d'un mal dent il faut parfois chercher
l'origine jusque dans l'ascendance des malades,
n'en sont pas moir.s privés de sens moral et
poussés instinctivement, périodiquement, à des
actes malfaisants, irréfléchis, irrésistibles et mar-
qués, dès la naissance, au coin de la fatalité ma-
On citera d'eux et de nombreux témoins ont
déposé dans ce sens à propos de Chorinski, on
citera d'eux des actes de courage, de bonté, des
actions héroïques, généreuses, mais le médecin
quia étudié l'évolution des maladies mentales ne
se laissera pas tromper par ces apparences. Il de-
vra non-seulement enregistrer les actes de ces in-
dividus, mais étudier la manière dbnt ces actes se
sont produits et L>s circonstances qui ont accom-
pagné leur pr pétration.
Pour nous maintenant, il ne reste aucun doute
sur lea relations qui existent entre l'état actuel du
comte Chorinski et les maladies nerveuses qui
font cruellement éprouvé sa première enfance et
cela au point de faire dire au célèbre professeur
Turkheim. médeéin. de la famille Cet enfant de-
vra être traité toute sa vie comme un aliéné. 11
était alors âgé de six ans et il avais déjà le tem-
!pérament propré aux épileptiques, sans compter
qu'une fièvre typhoïde grave avait fait disparaitre
!chez lui certaines dispositions artistiques instinc-
tives, la musique par exemple, pour laquelle il
avait les plus grandes dispositions innées, et qu'il
n'a pu réapprendre depuis.
A quatorze ans, il a commencé cette vie aven-
'tureuse donquichotienne, qui a été une perpétuelle
oscillation entre deux passions qui /ont formé
'comme les deux pôles de son existence morale,
lamour subit, instantané, avec une idée fixe de
'se marier et menace de se suicider; la haine non
inoins subite, instantanée, non motivée de la
̃personne encore aimée la veille. On sait com-
ment cette existence est venue se dénouer devant
les assises de Munich. Là, nous avons vu un
'homme d'un caractère faible, d'une intelligence
restreinte, bon au fond, généreux même, cheva-
leresque à ses heures, mais gâtant ces dernières
qualités par la sauvage énergie de ses amours et
de ses haines.
Comment poétiser ou justifier les passions d'un
homme qui, dans des lettres de vingt pages où
pullulent les idées les plus excentriques, les plus
désordonnées, les plus folles et écrites dans le
même style à des femmes différentes par le ca-
ractère ou par leur position' sociale, leur envoie
les rognures de ses ongles, de sa barbe, des lam-
beaux desséchés de peau arrachée à sa poitrine?
Est-ce, assez insensé?' Le jour de son arrestation
Départ.Seine. 2.9..
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on l'a trouvé nanti d'un livre de messe,
d'un rosaire, d'une prière à la Vierge qui avait
été composée à son intention par Julie d'Eher-
et qu'il portait sur sa poitrine avec des
chiffons qui avaient appartenu à diverses femmes
qu'il avait aimées. Est-ce assez ridicule? Et ce-
pendant il a fallu pour le sauver de la peine de
mort toute l'éloquence d'une homme très jeune
encore, mais destiné à laire un jour la gloire du
barreau d'outre-Rhin.
A Vienne, j'ai pu, grâce à l'intervention du
célèbre médecin aliéniste, M. le baron de Mundy,
qui, le premier, a eu l'idée de porter l'attention
de l'autorité compétente sur l'état mental du
comte Chorinski, voir dans la prison de Neudorf
la trop célèbre Julie Ebergenyi. Sous son habit
de bure et avec ses. cheveux coupés, on reconnaî-
trait difficilement la femme qui a tant occupé de
sa personne le monde élégant de Vienne. Nous
n'étions pas venus dans un sentiment de curiosité
qui aurait été bien déplacé dans la circonstance.
Je voulais seulement savoir si les aveu de cette
femme concorderaient avec les dépositions des
témoins qui avaient connu l'accusé d'une manière
intime.
Mon savant ami, le docteur Mundy, a fait subir
à Julie d'Ëbergenyi un interrogatoire qui a été
pour nous un nouveau trait de lumière, une preuve
nouvelle à ajouter à nos convictions. Julie d'Eber-
genyi reconnaît toute la faiblesse intellectuelle de
son ancien amant. Elle nous fait part des doutes
quelle n'a cessé d'avoir sur la parfaite intégrité de
sa raison, et nous raconte avec détails, et les sin-
gulières excentricités de l'existence intime de
Gustave Chorinski et les terreurs que lui a plus
d'une fois inspirées cet homme aux passions dé-
sordonnées.
Nous sortimes de là avec la conviction que
Gustave Chorinski n'était pas l'instigateur et l'or-
donnateur du crime, et que dans tous les cas il
n'a pas eu la force morale nécessaire pour s'y op-
poser. C'est là l'idée que nous avions.cherché à
faire prévaloir en l'appuvant sur des considéra-
tions médicales et que le docteur Schauss a
soutenue avec un incontestable talent.
P.-S. En revenant,de Vienne à Munich, j'al-
tai voir le condamné, ainsi que j'en avais fait la
promesse à sa respectable famille. Il me reçut
avec eliusion, et sans me demander aucune nou-
velle des siens, me dit avec cet air mystérieux
que prennent certains hallucinés
Maintenant, je suis bien heureux. Tous les
soirs et soavent de grand matin des troupes de
jeunes filles, délicieusement mises, viennent chan-
ter sous mes fenêtres des airs ravissants.Quand
je ne les vois pas, je les entends. j'ai reconnu
la Ottowy. N'est-ce pas qu'elle viendra, avec moi
à Rosenberg? N'est-ce 'pas que mon père m'ac-
corde sa main ? »
Et puis bientôt, se reprenant avec-vivacité, il
dit
Non, je ne puis vivre ainsi; il me faut de
l'air, du mouvement. La prison me tue. Voyez,
je vous demande excuse, je ne puis rester en
place; il me faut de l'exercice, de l'activité, tou-
jours, toujours.
Et il fit cent fois le tour de sa chambre la
façon des maniaques, réclamant son père gar-
dien, comme il l'appelait, son père, son meilleur
ami.
C'est le même gardien de la prison qui fit, dans
une déposition des plus intéressantes, cet aveu
remarquable que. depuis quarante ans qu'il était
en fonctions, il n'avait jamais vu un homme aussi
excentrique, aussi extraordinaire. Dans maintes
circonstances, et alors qu'il se roulait par terre
dans ses crises de désespoir, dans ses convulsions
souvent suivies de syncopes, il le calmait avec
un mot, avec une bonne parole, par le seul fait
de sa présence.
C'est là ce qui fit dire à l'expert, M. le docteur
Sôlbrig, médecin de l'asile de Munich, que le
comte n'était pas aliéné, vu que l'on ne calme
pas ainsi subitement les aliénés M.
ÉTRANGER
Le Journal de Clearleroi (Belgique), publie la
lettre suivante, que lui a adressée, sous la date du
26, un sieur B.
M Je me trouvais hier soir sur le dernier train
de voyageurs du Centre, qui est arrivé à Charleroi
à minuit, après avoir échappé à une terrible .ca-
tastrophe.
VALEURS 30 JUILLET
Dr MOREL.
» Entra Morlamvek et Piéton, nous arrêtons
aussi subitement que possible, et tout de suite
nous rétrogradions à pleine vapeur. Il parait que
sans ce'mouvement rapide, nous allions nous
broyer contre une vingtaine de wagons charges.
échappés de Piéton et descendant à toute vitesse
sur notre voie. Notre positron était encore des
plus critiques; poursuivis par les wagons, où de-
vions-nous arrêter ? N'allions-nous pas bientôt
nous heurter contre un obstacle dans notre course
en arrière, nul ne sachant que nous revenions sur
nos pas.
» C'est dans cette idée qu'un jeune garde, au
risque de se casser le cou, s'est jeté en bas de no-
tre train, et entrant dans la station de Morlan-
welz, a eu juste le temps d'ouvrir un excentrique
et faire ainsi prendre une autre voie aux wagons
abandonnés à eux-mêmes. Le machiniste s'aper-
cevant que ces wagons avaient changé de voie a
ralenti et bientôt ils sont passés à côté de nous
avec une vitesse effrayante.
» Nous étions hors de danger. Il est a supposer
que le télégraphe aura alors pu prévenir un acci-
dent. La conduite du jeune garde qui a sauvé le
train de voyageurs, mérite les plus grands éloges,
et son action est digne de la plus belle récom-
pense. Il s'appelle Godefroid.
Tn épouvantable incendie éclaté le 25 juillet
à bamte-Marie, canton d'Etalle (Luxembourg),
En voici la nouvelle sommaire adressée à l'Echo
du Luxembourg par la voie télégraphique
Sainte-Marie, 4 h. après midi.
Aujourd'hui, samedi, horrible incen.di
8 heures, du matin.
Pas d'eau.
'il maisons brûlées.
Personne péri, ni bestiaux.
SOUVENIRS JUDICIAIRES
L'AFFAIRE HÂRCELLÂHGE
(Voir le Petit Journal depuis le 24 avril.)
LXXXV
LA COMPLICITÉ
Me Bac réplique alors par un long et admi-
rable plaidoyer, d'où nous extrayons deux
passages saisissants sur les deux points es-
sentiels de ce grave débat, l'alibi et le rôle des
damés de Chamblas dans le procès.
« Cet alibi, nous avions cru sincèrement
qu'on y renoncerait. On a voulu le fortifier,
on l'a affaibli. Augmentez encore le nombre
de vos témoins; que le sonneur de la cathé-
drale, que le portier du séminaire, que tous
ces hommes arrivent, et d'autres avec eux, je
leur ferai à tous la même réponse. »
Que signifie votre long silence? Pourquoi,
quand un homme marchait à l'échafaud,
n'êtes-vous pas venus à son secours? Vous
vous êtes tus. Est-ce par ignorance? Non; la
ville du Puy était pleine du bruit de cette af-
faire. Plus vous serez nombreux, plus votre
silence sera inexplicable et tout le monde se
demandera comment cet alibi passé à l'état
dé notoriété publique n'a pas éclaté sur le
champ; comment, quand Besson a été arrêté
par la justice, la ville du Puy ne s'est pas
levée tout entière pour dire
Cet homme est innocent; à l'heure où se
commettait le crime, il était au milieu de
nous! Non, non, les alibi évidents comme
celui-là, publics comme celui-là, ne restent
das deux années dans l'ombre. Ils s'établis-
sent d'eux-mêmes, au moment où se produit
l'accusation. Ils sont pour l'accusé une si
puissante défense qu'elle se lève spontané-
ment entre eux et la justice. »
Jugeant ensuite les dames de Chamblas et
cherchant le secret de leur inexplicable con-
duite, il dit
« Voyez, messieurs, l'attitude de ces fem-
mes
Besson est accusé, on l'arrête, les dames
de Chamblas sont présentes et elles se taisent,.
Ah! mesdames, vous êtes pieuses; vous
voyez les charges les plus accablantes pesé:
sur un innocent; d'un mot vous pouvez 1<
sauver, et vous ne direz rien! rien! rienl
Dans quelques jours l'échafaud va se dres-
ser au milieu de la ville du Puy; cette tête
sanglante va rouler auprès de votre maison;
et vous la laisserez tomber, et vous garderez
dans votre cœur le secret de l'innocence Ah!
cela n'est pas possible.
Si vous saviez quelque chose, vous parle-
riez, si vous saviez surtout qu'à huit heures
du soir Besson était chez vous, vous le di-
riez.
Mais non, vous ne dites-rien.
Qu'en croirez-vous, messieurs? Avez-vous
besoin d'autres lumières? Ne comprenez-vous
pas la significatien de ce silence si timide-
ment gardé pendant deux ans et rompu tout
à coup par un audacieux mensongé?
Vous en savez assez sur Besson, n'en sa-
vez-vous pas trop sur d'autres personnes?
Si les dames de Chamblas ont altéré la vé-
rité, dans quel intérêt, dans quel but? Qui
peut porter des femmes si haut placées à faire
un faux témoignage en faveur de Jacques
Besson?
Sans doute, nous comprenons l'intérêt
qu'on porte à un ancien serviteur; mais cet
intérêt ira-t-il jusqu'au crime?
Oh il n'y avait qu'une seule chose qui pût
entraîner ces femmes à une complaisance
aussi coupable, à une aussi terrible impru-
dence, et qui ait pu enfanter la solidarité fa-
tale qui semblait les unir à Besson, une seule
chose
LA complicité (Mouvement prolongé).
Oui, la complicité Si les dames de Cham-
blas n'ont rien dit pendant deux ans, c est'
qu'elles ne savaient rien de favorable à 1 ac-
cusé si elles ont attesté l'innocence de Bes- #
son devant la cour d'assises de Riom, c'est
qu'elles y étaient contraintes, c'est qu elles
étaient ses complices! »
Après une réplique de M° Lachaud et un
résumé impartial de M. le président, le jury
se retire dans la salle de ses délibérations, et
rentre au bout de trente-cinq minutés.
Un silence profond s'établit aussitôt dans
l'immense salle, et à voir l'anxiété peinte sur
tous ces visages, on dirait que chacun des
assistants est menacé lui-même par 1 arrêt
qui va être prononcé.
(La suite à demain.) CONSTANT GUÉROULT,
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imprecations contre cette même dont la
conduite lui a été révélée par les dépositions des
témoins. J'ai passé avec lui les trois mortelles
heures pendant lesquelles le jury délibéra sur son
sort. Croit-on qu'il était alors abattu, préoccupé?
Pas le moins dn monde. Sa conversation ne rou-
lait que sur celte femme indigne qui l'avait trompé,
et une nouvelle passion avait soudainement rem-
placé l'ancienne. Une nouvelle idée fixe matri-
moniale s'était emparée de son cerveau, Il.ne.de-.
mandai qu'à épouseur le témoin Oitowy, une dame
galante de Vienne, qu'il avait connue autrefois et
qui avait dit catégoriquement et naïvement que si
elle avait beaucoup aime le comte Gustave; il n'a-
vait jamais cessé de lui inspirer de grandes ter-
rê'ûrs par ses actes insensés, furieux, et par ses
accès convulsifsi
"Voilà bien les transitions brusques et non mo-
que signalent les différenties phases de
l'existence et ces sortes d'insensés. Ils se font
non-seulement remarquer par la pauvreté de leur
intelligence et par ia fausseté de leurs idées,
quoique en apparence ils soient lucides et raison-
nons, mais les actes de la vie morale sont chez
eux en'tachés de folie. Ils manquent de pondéra-
tion et d'équilibre. Ils sont toujours dans les ex-
trêmes de l'excitation ou de la dépression. Ils ont
toujours vécu dans l'élément passionnel et comme
dans une atmosphère de folie. En un mot il leur a
manqué un but d'activité capable de féconder dans
te. sens de la morale et du devoir ce qui peut leur
rester de facultés affectives.
Jamais, chez eux aussi, la pensée n'est devenue
virile. Ils sont restés de grands enfants, comme
je le disais dans ma déposition, et les termes de
jol-ie morale (moral insanily), folie instinctive, fo-
lie lucide, circulaire, délire des actes, manie rai-
sonnante que l'on donne à cette situation ne sont
que les expressions à l'aide desquelles nous vou-
lons dire qu'il y a des insensés qui ont les appa-
rences de la raison et de la lucidité, mais qui, par
la nature d'un mal dent il faut parfois chercher
l'origine jusque dans l'ascendance des malades,
n'en sont pas moir.s privés de sens moral et
poussés instinctivement, périodiquement, à des
actes malfaisants, irréfléchis, irrésistibles et mar-
qués, dès la naissance, au coin de la fatalité ma-
On citera d'eux et de nombreux témoins ont
déposé dans ce sens à propos de Chorinski, on
citera d'eux des actes de courage, de bonté, des
actions héroïques, généreuses, mais le médecin
quia étudié l'évolution des maladies mentales ne
se laissera pas tromper par ces apparences. Il de-
vra non-seulement enregistrer les actes de ces in-
dividus, mais étudier la manière dbnt ces actes se
sont produits et L>s circonstances qui ont accom-
pagné leur pr pétration.
Pour nous maintenant, il ne reste aucun doute
sur lea relations qui existent entre l'état actuel du
comte Chorinski et les maladies nerveuses qui
font cruellement éprouvé sa première enfance et
cela au point de faire dire au célèbre professeur
Turkheim. médeéin. de la famille Cet enfant de-
vra être traité toute sa vie comme un aliéné. 11
était alors âgé de six ans et il avais déjà le tem-
!pérament propré aux épileptiques, sans compter
qu'une fièvre typhoïde grave avait fait disparaitre
!chez lui certaines dispositions artistiques instinc-
tives, la musique par exemple, pour laquelle il
avait les plus grandes dispositions innées, et qu'il
n'a pu réapprendre depuis.
A quatorze ans, il a commencé cette vie aven-
'tureuse donquichotienne, qui a été une perpétuelle
oscillation entre deux passions qui /ont formé
'comme les deux pôles de son existence morale,
lamour subit, instantané, avec une idée fixe de
'se marier et menace de se suicider; la haine non
inoins subite, instantanée, non motivée de la
̃personne encore aimée la veille. On sait com-
ment cette existence est venue se dénouer devant
les assises de Munich. Là, nous avons vu un
'homme d'un caractère faible, d'une intelligence
restreinte, bon au fond, généreux même, cheva-
leresque à ses heures, mais gâtant ces dernières
qualités par la sauvage énergie de ses amours et
de ses haines.
Comment poétiser ou justifier les passions d'un
homme qui, dans des lettres de vingt pages où
pullulent les idées les plus excentriques, les plus
désordonnées, les plus folles et écrites dans le
même style à des femmes différentes par le ca-
ractère ou par leur position' sociale, leur envoie
les rognures de ses ongles, de sa barbe, des lam-
beaux desséchés de peau arrachée à sa poitrine?
Est-ce, assez insensé?' Le jour de son arrestation
Départ.Seine. 2.9..
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1 (hors Paris).
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on l'a trouvé nanti d'un livre de messe,
d'un rosaire, d'une prière à la Vierge qui avait
été composée à son intention par Julie d'Eher-
et qu'il portait sur sa poitrine avec des
chiffons qui avaient appartenu à diverses femmes
qu'il avait aimées. Est-ce assez ridicule? Et ce-
pendant il a fallu pour le sauver de la peine de
mort toute l'éloquence d'une homme très jeune
encore, mais destiné à laire un jour la gloire du
barreau d'outre-Rhin.
A Vienne, j'ai pu, grâce à l'intervention du
célèbre médecin aliéniste, M. le baron de Mundy,
qui, le premier, a eu l'idée de porter l'attention
de l'autorité compétente sur l'état mental du
comte Chorinski, voir dans la prison de Neudorf
la trop célèbre Julie Ebergenyi. Sous son habit
de bure et avec ses. cheveux coupés, on reconnaî-
trait difficilement la femme qui a tant occupé de
sa personne le monde élégant de Vienne. Nous
n'étions pas venus dans un sentiment de curiosité
qui aurait été bien déplacé dans la circonstance.
Je voulais seulement savoir si les aveu de cette
femme concorderaient avec les dépositions des
témoins qui avaient connu l'accusé d'une manière
intime.
Mon savant ami, le docteur Mundy, a fait subir
à Julie d'Ëbergenyi un interrogatoire qui a été
pour nous un nouveau trait de lumière, une preuve
nouvelle à ajouter à nos convictions. Julie d'Eber-
genyi reconnaît toute la faiblesse intellectuelle de
son ancien amant. Elle nous fait part des doutes
quelle n'a cessé d'avoir sur la parfaite intégrité de
sa raison, et nous raconte avec détails, et les sin-
gulières excentricités de l'existence intime de
Gustave Chorinski et les terreurs que lui a plus
d'une fois inspirées cet homme aux passions dé-
sordonnées.
Nous sortimes de là avec la conviction que
Gustave Chorinski n'était pas l'instigateur et l'or-
donnateur du crime, et que dans tous les cas il
n'a pas eu la force morale nécessaire pour s'y op-
poser. C'est là l'idée que nous avions.cherché à
faire prévaloir en l'appuvant sur des considéra-
tions médicales et que le docteur Schauss a
soutenue avec un incontestable talent.
P.-S. En revenant,de Vienne à Munich, j'al-
tai voir le condamné, ainsi que j'en avais fait la
promesse à sa respectable famille. Il me reçut
avec eliusion, et sans me demander aucune nou-
velle des siens, me dit avec cet air mystérieux
que prennent certains hallucinés
Maintenant, je suis bien heureux. Tous les
soirs et soavent de grand matin des troupes de
jeunes filles, délicieusement mises, viennent chan-
ter sous mes fenêtres des airs ravissants.Quand
je ne les vois pas, je les entends. j'ai reconnu
la Ottowy. N'est-ce pas qu'elle viendra, avec moi
à Rosenberg? N'est-ce 'pas que mon père m'ac-
corde sa main ? »
Et puis bientôt, se reprenant avec-vivacité, il
dit
Non, je ne puis vivre ainsi; il me faut de
l'air, du mouvement. La prison me tue. Voyez,
je vous demande excuse, je ne puis rester en
place; il me faut de l'exercice, de l'activité, tou-
jours, toujours.
Et il fit cent fois le tour de sa chambre la
façon des maniaques, réclamant son père gar-
dien, comme il l'appelait, son père, son meilleur
ami.
C'est le même gardien de la prison qui fit, dans
une déposition des plus intéressantes, cet aveu
remarquable que. depuis quarante ans qu'il était
en fonctions, il n'avait jamais vu un homme aussi
excentrique, aussi extraordinaire. Dans maintes
circonstances, et alors qu'il se roulait par terre
dans ses crises de désespoir, dans ses convulsions
souvent suivies de syncopes, il le calmait avec
un mot, avec une bonne parole, par le seul fait
de sa présence.
C'est là ce qui fit dire à l'expert, M. le docteur
Sôlbrig, médecin de l'asile de Munich, que le
comte n'était pas aliéné, vu que l'on ne calme
pas ainsi subitement les aliénés M.
ÉTRANGER
Le Journal de Clearleroi (Belgique), publie la
lettre suivante, que lui a adressée, sous la date du
26, un sieur B.
M Je me trouvais hier soir sur le dernier train
de voyageurs du Centre, qui est arrivé à Charleroi
à minuit, après avoir échappé à une terrible .ca-
tastrophe.
VALEURS 30 JUILLET
Dr MOREL.
» Entra Morlamvek et Piéton, nous arrêtons
aussi subitement que possible, et tout de suite
nous rétrogradions à pleine vapeur. Il parait que
sans ce'mouvement rapide, nous allions nous
broyer contre une vingtaine de wagons charges.
échappés de Piéton et descendant à toute vitesse
sur notre voie. Notre positron était encore des
plus critiques; poursuivis par les wagons, où de-
vions-nous arrêter ? N'allions-nous pas bientôt
nous heurter contre un obstacle dans notre course
en arrière, nul ne sachant que nous revenions sur
nos pas.
» C'est dans cette idée qu'un jeune garde, au
risque de se casser le cou, s'est jeté en bas de no-
tre train, et entrant dans la station de Morlan-
welz, a eu juste le temps d'ouvrir un excentrique
et faire ainsi prendre une autre voie aux wagons
abandonnés à eux-mêmes. Le machiniste s'aper-
cevant que ces wagons avaient changé de voie a
ralenti et bientôt ils sont passés à côté de nous
avec une vitesse effrayante.
» Nous étions hors de danger. Il est a supposer
que le télégraphe aura alors pu prévenir un acci-
dent. La conduite du jeune garde qui a sauvé le
train de voyageurs, mérite les plus grands éloges,
et son action est digne de la plus belle récom-
pense. Il s'appelle Godefroid.
Tn épouvantable incendie éclaté le 25 juillet
à bamte-Marie, canton d'Etalle (Luxembourg),
En voici la nouvelle sommaire adressée à l'Echo
du Luxembourg par la voie télégraphique
Sainte-Marie, 4 h. après midi.
Aujourd'hui, samedi, horrible incen.di
8 heures, du matin.
Pas d'eau.
'il maisons brûlées.
Personne péri, ni bestiaux.
SOUVENIRS JUDICIAIRES
L'AFFAIRE HÂRCELLÂHGE
(Voir le Petit Journal depuis le 24 avril.)
LXXXV
LA COMPLICITÉ
Me Bac réplique alors par un long et admi-
rable plaidoyer, d'où nous extrayons deux
passages saisissants sur les deux points es-
sentiels de ce grave débat, l'alibi et le rôle des
damés de Chamblas dans le procès.
« Cet alibi, nous avions cru sincèrement
qu'on y renoncerait. On a voulu le fortifier,
on l'a affaibli. Augmentez encore le nombre
de vos témoins; que le sonneur de la cathé-
drale, que le portier du séminaire, que tous
ces hommes arrivent, et d'autres avec eux, je
leur ferai à tous la même réponse. »
Que signifie votre long silence? Pourquoi,
quand un homme marchait à l'échafaud,
n'êtes-vous pas venus à son secours? Vous
vous êtes tus. Est-ce par ignorance? Non; la
ville du Puy était pleine du bruit de cette af-
faire. Plus vous serez nombreux, plus votre
silence sera inexplicable et tout le monde se
demandera comment cet alibi passé à l'état
dé notoriété publique n'a pas éclaté sur le
champ; comment, quand Besson a été arrêté
par la justice, la ville du Puy ne s'est pas
levée tout entière pour dire
Cet homme est innocent; à l'heure où se
commettait le crime, il était au milieu de
nous! Non, non, les alibi évidents comme
celui-là, publics comme celui-là, ne restent
das deux années dans l'ombre. Ils s'établis-
sent d'eux-mêmes, au moment où se produit
l'accusation. Ils sont pour l'accusé une si
puissante défense qu'elle se lève spontané-
ment entre eux et la justice. »
Jugeant ensuite les dames de Chamblas et
cherchant le secret de leur inexplicable con-
duite, il dit
« Voyez, messieurs, l'attitude de ces fem-
mes
Besson est accusé, on l'arrête, les dames
de Chamblas sont présentes et elles se taisent,.
Ah! mesdames, vous êtes pieuses; vous
voyez les charges les plus accablantes pesé:
sur un innocent; d'un mot vous pouvez 1<
sauver, et vous ne direz rien! rien! rienl
Dans quelques jours l'échafaud va se dres-
ser au milieu de la ville du Puy; cette tête
sanglante va rouler auprès de votre maison;
et vous la laisserez tomber, et vous garderez
dans votre cœur le secret de l'innocence Ah!
cela n'est pas possible.
Si vous saviez quelque chose, vous parle-
riez, si vous saviez surtout qu'à huit heures
du soir Besson était chez vous, vous le di-
riez.
Mais non, vous ne dites-rien.
Qu'en croirez-vous, messieurs? Avez-vous
besoin d'autres lumières? Ne comprenez-vous
pas la significatien de ce silence si timide-
ment gardé pendant deux ans et rompu tout
à coup par un audacieux mensongé?
Vous en savez assez sur Besson, n'en sa-
vez-vous pas trop sur d'autres personnes?
Si les dames de Chamblas ont altéré la vé-
rité, dans quel intérêt, dans quel but? Qui
peut porter des femmes si haut placées à faire
un faux témoignage en faveur de Jacques
Besson?
Sans doute, nous comprenons l'intérêt
qu'on porte à un ancien serviteur; mais cet
intérêt ira-t-il jusqu'au crime?
Oh il n'y avait qu'une seule chose qui pût
entraîner ces femmes à une complaisance
aussi coupable, à une aussi terrible impru-
dence, et qui ait pu enfanter la solidarité fa-
tale qui semblait les unir à Besson, une seule
chose
LA complicité (Mouvement prolongé).
Oui, la complicité Si les dames de Cham-
blas n'ont rien dit pendant deux ans, c est'
qu'elles ne savaient rien de favorable à 1 ac-
cusé si elles ont attesté l'innocence de Bes- #
son devant la cour d'assises de Riom, c'est
qu'elles y étaient contraintes, c'est qu elles
étaient ses complices! »
Après une réplique de M° Lachaud et un
résumé impartial de M. le président, le jury
se retire dans la salle de ses délibérations, et
rentre au bout de trente-cinq minutés.
Un silence profond s'établit aussitôt dans
l'immense salle, et à voir l'anxiété peinte sur
tous ces visages, on dirait que chacun des
assistants est menacé lui-même par 1 arrêt
qui va être prononcé.
(La suite à demain.) CONSTANT GUÉROULT,
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