Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1868-03-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 28 mars 1868 28 mars 1868
Description : 1868/03/28 (Numéro 1913). 1868/03/28 (Numéro 1913).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k589963d
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/07/2008
4
Le Petit Journal
ÉTRANGER
On écrit de Naples
Le 13 mars, vers neuf heures du matin, on sut
que dans une petite masure peu éloignée d'Acqua-
ïondata,_ le bandit Pace s'était réfugié avec sa
troupe, à la suite d'une rencontre avec la force
publique sur le mont Cappa. La maison apparte-
:nait à M. Gabriel Manconi.
Le détachement de carabiniers'de Vitienze, fort
de trentE; hommes, commaudés par le capitaine
Fransani, se dirigea aussitôt vers le lieu indique.
Ils arrivèrent à la maaon du sieur Manconi et
l'entourèrent.
Un brigand avait été placé en vedette sur le
toit; il fit feu des deux coups, de son fusil, niais
sans atteindre personne.
Les autres bandits, au nombre de seize, s'élan-
cèrent par les fenètres en tirant sur la troupe
sans succès; au contraire, quatre d'entre eux
tombèrent mortellement frappes par les balles des
soldats.
Onze brigands, ayant Pace à leur tète, ont pu
s'échapper.
Un fait étrange s'est passé sur le champ de ba-
taille de Montanara, dit la Favilla de Mantoue.
Le général de Laugier, vénérable vieillard de 85
ans, qui commandait les Toscans en 1848 à Mon-
tanara, avec le grade de colonel, était venu avec
l'intention de mourir sur le théâtre de la plus
grande de ses gloires.
Arrivé de Florence à Mantoue, il prit une voi-
ture et se rendit à Montanara, où il remit au co-
cher une lettre pour le syndic de cette commune.
Il se dirigea ensuite vers le célèbre champ de ba-
taille, où il se tira trois coups de revolver à la
tète. Mais, heureusement l'arme ne partit pas. Le
général alla en chercher une meilleure à la Cur-
iatone, et, ne l'ayant pas trouvée, se rendit à Cas-
ïteliuecio. Cependant, le syndic de Curtatone ayant
reçu la lettre, en donna communication aux au-
torités. On se mit à la recherche du général et on
le surprit au moment où il achetait un autre pis-
tolet.
Trois jeunes gens de Genève avaient résolu der-
nièrement de faire ce que .nous appelons à Paris
fine bonne farce, à un de leurs amis appelé Mur-
rey, dont la crédulité naïve et la faible imagina-
tion avaient déjà donné lieu à plus d'une plaisan-
terie désagréable.
Ils se trouvaient donc dans un café, la semaine
dernière, quand l'un d'eux, feignant d'être blessé
par une remarque de Murrey, s'emporta avec vio-
lence contre lui, et finit par le provoquer en duel.
Les deux autres, au lieu de chercher à apaiser la
discussion, eurent l'air de prendre l'allaire au sé-
rieux, et ils firent si bien qu'il fut convenu qu'on
se battrait au pistolet le lendemain matin aux en-
virons de Genève.
Murrey arriva sur le terrain dans un état de
fièvre et de surexcitation impossible à décrire;
toute la nuit, il avait été tourmenté par la pensée
de ce duel et les visions les plus terribles étaient
venues frapper son imagination. Ses amis, en-
chantés de leur succès, jouaient admirablement
leur rôle et affectaient un calme empreint de di-
gnité et de tristesse; on se donna une poignée de
main silencieuse; on compta les pas, et les deux
adversaires se trouvèrent en présence. Inutile de
dire qu'à f.insu de Murrey, les pistolets avaient
été chargés à poudre seulement.
Enfin le signal est donné, les deux coups par-
tent et l'adversaire de Murrey tombe et reste im-
mobile comme s'il eùt été mortellement atteint.
A cette vue Murrey est pris d'une attaque de nerfs
terrible; puis tout à coup il se met à chanter et à
gambader. Le malheureux était fou!
Ses amis désolés, mais trop tard, du résultat
inattendu de leur plaisanterie, essayent vaine-
ment de faire revenir le jeune homme lui-même
espérant que ce n'est qu'une crise passagère
leurs efforts sont superflus, et ils se voient obli-
gés de reconduire Murrey dans sa famille! dont on
peut aisément se figurer le désespoir à la nouvelle
de cette catastrophe.
On lit dans la Gazette russe
Il se pratique en ce moment, sur le chemin de
fer de Riazan à Kozlowsk, un vol d'un nouveau
genre, qui ne manque pas d'originalité. Les vo-
leurs s'attaquent aux sacs de blé, dont il se fait
un grand transport sur cette ligne, dans des wa-
gons découverts. Voici comment ils procèdent
au bout d'une perche, ils fixent un grappin de
fer; à l'autre bout ils assujettissent une corde as-
sez longue, à l'extrémité de laquelle ils attachent
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portugais ,j *i ..I o0 .,1 '̃ '̃̃«" en lame. à S »». ̃ M^es Clarisse Mirov, Alphonsin? «I Oesclauzas.
une petite ancre à trois bras de la forme des
crochets auxquels les bouchers suspendent la
Armé de cet engin, l'opérateur va se placer sur
la voie et attend le passage du train. 11 choisit de
1 préférence les montées, car alors le train va pius
I lentement. Inutile de dire que l'expédition se fait
toujours de nuit. Au moment où le train déiiie
devant lui, notre voleur jette le grapin sur un
sac, et làche en même temps la perche; alors
1 l'ar:cre qui est au bout de la corde est entraînée
I par le convoi et va s'engager dans les traverses de
j la voie, où elle reste accrochée; la corde se tend,
et le sac auquel est fixé le grappin est enlevé du
train et roule à terre.
Il arrive parfois que le bras de fancre se casse
et que le train emmène avec lui tout l'appareil
jusqu'à la station prochaine. Le 5 mars, un engin
de ce genre a été rapporté il la station par un
convoi de marchandises.
SOUVENIRS JUDICIAIRES
Si© C©wpri«p de ÎLy«si
(Voir le Petit Journal depuis le 5 février).
XLIX
LA HALTE DANGEREUSE
L'inconnu était un homme charmant.
Il s'appelait Maubert: il avait cinquante-
cinq ans à peine; une barbe épaisse rayée de
nombreux fils d'argent; des cheveux coupés
ras, l'ceil vif et rond, le nez un peu fort; il
portait comme signe distinctif une balafre
accentuée qui partageait la joue gauche en
deux parties égales.
Il n'était pas beau, mais il était aimable.
Sa voiture était faite de deux comparti-
ments.
Dans le premier, pouvaient tenir quatre
voyageurs; daiïs le second, étaient enfouies
les marchandises provenant de transactions
véreuses de la nature de celle qu'il avait pas-
sée avec Dubosc.
Les premiers jours s'écoulèrent dans un
enchantement sans nuages pour Maubert et
ses deux compagnons.
Maubert connaissait bon nombre d'histoi-
res plaisantes; et rien .ne charme un voyage
comme un récit fait avec esprit,
On avait passé la frontière, que c'est à peine
s'ils avaient eu le temps de s'en apercevoir,
Et puis, il faisait un temps superbe.
Tout le long de la route, c'était une végé-
tation prodigue, des senteurs embaumée,
quelque chose qui ressemblait à une fête de
la nature.
'Jamais Dubosc et Claudine ne s'étaient
tant aimés. Jamais, par conséquent, ils n'a-
vaient été si heureux.
Dubosc ne se réveilla que lorsqu'ils eurent
dépassé Perpignan.
Or ça, dit-il un matin à Maubert, vous
êtes un fort aimable compagnon, et je serai
désolé le jour où je me verrai forcé de vous
quitter
Y songez-vous donc déjà? demanda
Maubert avec une pointe de tristesse.
Nous ne pouvons pas cependant vivre
ainsi éternellement sans travailler.
Où voulez-vous aller?
Où allez-vous vous même ?
Moi, je vais à Paris. Seulement, je fais
un détour, et je compte visiter quelques foi-
res importantes du Midi.
Et combien mettez-vous de temps à ces
voyages ?
Deux mois à peine.
C'est beaucoup.
Maubert haussa les épaules.
Voyous, dit-il en se penchant à l'oreille
le son interlocuteur; je ne puis pas certes
vous retenir de force, mais je puis vous dire
lue si vous me quittez vous manquez une
ière occasion.
Que voulez-vous dire?
Je veux dire que j'avais déjà bâti mon
plan, et qu'à Paris nous aurions _pu nous
Dam! je ne suis pas né d'aujour-
d'hui, voyez-vous. J'habitais la capitale au
plus fort de la révolution. J'ai vu partir bien
des nobles, et je pourrais indiquer plus d'une
cachette où se trouvent enterrés des trésors
considérables.
Vraiment! firent Dubosc et Claudine.
C'est comme je vous le dis.
Mais, ne pourrions-nous pas nous don-
ner rendez-vous à Paris?
,Sans doute. seulement. on sait quand
on se quitté on ne sait pas quand on se re-
trouve.
Ah vous me tentez.
Croyez-moi. c'est une occasion comme
il ne s'en présente pas souvent. et si vous
la négligez.
Ma foi. j'accepte. interrompit Du-
bosc. Nous passons un engagement, et
nous ne vous quitterons qu'une fois à Paris.
Ils continuèrent donc leur voyage dans les
mômes conditions; rien ne se trouva changé
à l'itinéraire. Et pendant les deux mois qui
suivirent, on les vit s'acheminer de bourgade
en bourgade et remonter vers Lyon; puis,
de là, reprendre à petites journées la direc-
tion de Paris.
Dubosc et Claudine revoyaient bien des
lieux qu'ils avaient traversés souvent; mais
ils semblaient absorbés l'un et l'autre par
d'autres pensées, et ils ne s'arrêtaient
guère à contempler les paysages qui se dé-
roulaient sous leurs yeux.
Généralement, ils arrivaient le soir, ha-
rassés de fatigue, aveuglés par la poussière
de la route, accablés par la chaleur du jour.
et ils n'avaient pas d'autre souci, après sou-
per, que d'aller chercher un repos dont ils
avaient besoin.
Et puis, à mesure qu'ils approchaient delà
capitale, ils se sentaient plus avides et plus
empressés, et ils ne subissaient plus en quel-
que sorte qu'une seule préoccupation, celle
d'arrivar au plus tôt dans ce Paris, dont ils
étaient éloignés depuis si longtemps.
Un soir, ils venaient d'arriver dans un pe-
tit pays que l'obscurité les avait empêchés de
remarquer, et ils étaient, comme les jours
précédentes, descendus dans la meilleure au-
berge de la localité.
Dubosc s'était fait servir à souper dans sa
chambre, et il attendait Claudine qui était
sortie sous un prétexte quelconque, en le
priant de commencer toujours son repas, si
elle tardait à rentrer.
Depuis quelques jours, Dubosc avait cru
apercevoir quelque chose d'étrange et d'inu-
sité dans l'allure de Claudine. Mais elle
était ainsi parfois, et elle n'aimait pas que
l'on y prit garde.
Dubosc attendit donc quelques instants,
puis, il se mit à table.
Il avait à peine déplié sa serviette, quand
Claudine entra.
Elle était sombre. un pli profond creu-
sait son front: et ses sourcils étaient con-
tractés.
Dubosc se leva, et alla vivement à elle..
Qu'as-tu donc, Claude. lui demanda-
t-'il; et que se passe-t-il? la
Claudine tordit ses bras avec violence.
Ah!, cela devait arriver! dit-elle,
comme se parlant à elle-même.
Quoi donc?
Tu ne sais donc pas où nous sommes?
Où sommes-nous?
Tu n'as, donc rien vu. ni l'hôte, ni
l'auberge. ni les'servantes?
Dubosc allait répondre, Claudine lui prit
le bras et l'entraîna jusqu'à la fenêtre ou-
verte.
Regarde! dit-elle d'une voix fébrile.
Et pendant que Dubos,c se penchait pour
voir
Ceci, continua-t-elle du même ton, es
l'enseigne de Saint-Nicolas. Devant l'au
berge, passe la route de Paris à; Lyon; i
deux pas, voici le relai de poste, et là-bas
plus loin, ce bouquet d'arbres que tu peu2
encore distinguer, c'est le pont de Pouilly«
Comprends-tu?. le pont de Pouilly.
Dubosc frissonna.
Nous sommes donc à Lieursaint! dit-i
en pâlissant.
Oui, à Lieursaint, répondit Claudine;
Lieursaint où l'on t'a vu, à Lieursaint ot
l'on peut te reconnaître.
Mais il faut fuir-
Si on nous en laisse le temps.
Maubert ne se doute de rien.
Qui sait.
As-tu des soupçons sur lui ?
Depuis quelques jours.
Quel indice?
Un seul.
Parle. alors. parle. C'est notre
vie à tous deux qui est ici en jeu.
Au lieu de répondre, Claudine avait subi-
tement porté la main à son front, et elle s'é-
tait assise défaillante sur une chaise.
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Le Petit Journal
ÉTRANGER
On écrit de Naples
Le 13 mars, vers neuf heures du matin, on sut
que dans une petite masure peu éloignée d'Acqua-
ïondata,_ le bandit Pace s'était réfugié avec sa
troupe, à la suite d'une rencontre avec la force
publique sur le mont Cappa. La maison apparte-
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de trentE; hommes, commaudés par le capitaine
Fransani, se dirigea aussitôt vers le lieu indique.
Ils arrivèrent à la maaon du sieur Manconi et
l'entourèrent.
Un brigand avait été placé en vedette sur le
toit; il fit feu des deux coups, de son fusil, niais
sans atteindre personne.
Les autres bandits, au nombre de seize, s'élan-
cèrent par les fenètres en tirant sur la troupe
sans succès; au contraire, quatre d'entre eux
tombèrent mortellement frappes par les balles des
soldats.
Onze brigands, ayant Pace à leur tète, ont pu
s'échapper.
Un fait étrange s'est passé sur le champ de ba-
taille de Montanara, dit la Favilla de Mantoue.
Le général de Laugier, vénérable vieillard de 85
ans, qui commandait les Toscans en 1848 à Mon-
tanara, avec le grade de colonel, était venu avec
l'intention de mourir sur le théâtre de la plus
grande de ses gloires.
Arrivé de Florence à Mantoue, il prit une voi-
ture et se rendit à Montanara, où il remit au co-
cher une lettre pour le syndic de cette commune.
Il se dirigea ensuite vers le célèbre champ de ba-
taille, où il se tira trois coups de revolver à la
tète. Mais, heureusement l'arme ne partit pas. Le
général alla en chercher une meilleure à la Cur-
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crochets auxquels les bouchers suspendent la
Armé de cet engin, l'opérateur va se placer sur
la voie et attend le passage du train. 11 choisit de
1 préférence les montées, car alors le train va pius
I lentement. Inutile de dire que l'expédition se fait
toujours de nuit. Au moment où le train déiiie
devant lui, notre voleur jette le grapin sur un
sac, et làche en même temps la perche; alors
1 l'ar:cre qui est au bout de la corde est entraînée
I par le convoi et va s'engager dans les traverses de
j la voie, où elle reste accrochée; la corde se tend,
et le sac auquel est fixé le grappin est enlevé du
train et roule à terre.
Il arrive parfois que le bras de fancre se casse
et que le train emmène avec lui tout l'appareil
jusqu'à la station prochaine. Le 5 mars, un engin
de ce genre a été rapporté il la station par un
convoi de marchandises.
SOUVENIRS JUDICIAIRES
Si© C©wpri«p de ÎLy«si
(Voir le Petit Journal depuis le 5 février).
XLIX
LA HALTE DANGEREUSE
L'inconnu était un homme charmant.
Il s'appelait Maubert: il avait cinquante-
cinq ans à peine; une barbe épaisse rayée de
nombreux fils d'argent; des cheveux coupés
ras, l'ceil vif et rond, le nez un peu fort; il
portait comme signe distinctif une balafre
accentuée qui partageait la joue gauche en
deux parties égales.
Il n'était pas beau, mais il était aimable.
Sa voiture était faite de deux comparti-
ments.
Dans le premier, pouvaient tenir quatre
voyageurs; daiïs le second, étaient enfouies
les marchandises provenant de transactions
véreuses de la nature de celle qu'il avait pas-
sée avec Dubosc.
Les premiers jours s'écoulèrent dans un
enchantement sans nuages pour Maubert et
ses deux compagnons.
Maubert connaissait bon nombre d'histoi-
res plaisantes; et rien .ne charme un voyage
comme un récit fait avec esprit,
On avait passé la frontière, que c'est à peine
s'ils avaient eu le temps de s'en apercevoir,
Et puis, il faisait un temps superbe.
Tout le long de la route, c'était une végé-
tation prodigue, des senteurs embaumée,
quelque chose qui ressemblait à une fête de
la nature.
'Jamais Dubosc et Claudine ne s'étaient
tant aimés. Jamais, par conséquent, ils n'a-
vaient été si heureux.
Dubosc ne se réveilla que lorsqu'ils eurent
dépassé Perpignan.
Or ça, dit-il un matin à Maubert, vous
êtes un fort aimable compagnon, et je serai
désolé le jour où je me verrai forcé de vous
quitter
Y songez-vous donc déjà? demanda
Maubert avec une pointe de tristesse.
Nous ne pouvons pas cependant vivre
ainsi éternellement sans travailler.
Où voulez-vous aller?
Où allez-vous vous même ?
Moi, je vais à Paris. Seulement, je fais
un détour, et je compte visiter quelques foi-
res importantes du Midi.
Et combien mettez-vous de temps à ces
voyages ?
Deux mois à peine.
C'est beaucoup.
Maubert haussa les épaules.
Voyous, dit-il en se penchant à l'oreille
le son interlocuteur; je ne puis pas certes
vous retenir de force, mais je puis vous dire
lue si vous me quittez vous manquez une
ière occasion.
Que voulez-vous dire?
Je veux dire que j'avais déjà bâti mon
plan, et qu'à Paris nous aurions _pu nous
Dam! je ne suis pas né d'aujour-
d'hui, voyez-vous. J'habitais la capitale au
plus fort de la révolution. J'ai vu partir bien
des nobles, et je pourrais indiquer plus d'une
cachette où se trouvent enterrés des trésors
considérables.
Vraiment! firent Dubosc et Claudine.
C'est comme je vous le dis.
Mais, ne pourrions-nous pas nous don-
ner rendez-vous à Paris?
,Sans doute. seulement. on sait quand
on se quitté on ne sait pas quand on se re-
trouve.
Ah vous me tentez.
Croyez-moi. c'est une occasion comme
il ne s'en présente pas souvent. et si vous
la négligez.
Ma foi. j'accepte. interrompit Du-
bosc. Nous passons un engagement, et
nous ne vous quitterons qu'une fois à Paris.
Ils continuèrent donc leur voyage dans les
mômes conditions; rien ne se trouva changé
à l'itinéraire. Et pendant les deux mois qui
suivirent, on les vit s'acheminer de bourgade
en bourgade et remonter vers Lyon; puis,
de là, reprendre à petites journées la direc-
tion de Paris.
Dubosc et Claudine revoyaient bien des
lieux qu'ils avaient traversés souvent; mais
ils semblaient absorbés l'un et l'autre par
d'autres pensées, et ils ne s'arrêtaient
guère à contempler les paysages qui se dé-
roulaient sous leurs yeux.
Généralement, ils arrivaient le soir, ha-
rassés de fatigue, aveuglés par la poussière
de la route, accablés par la chaleur du jour.
et ils n'avaient pas d'autre souci, après sou-
per, que d'aller chercher un repos dont ils
avaient besoin.
Et puis, à mesure qu'ils approchaient delà
capitale, ils se sentaient plus avides et plus
empressés, et ils ne subissaient plus en quel-
que sorte qu'une seule préoccupation, celle
d'arrivar au plus tôt dans ce Paris, dont ils
étaient éloignés depuis si longtemps.
Un soir, ils venaient d'arriver dans un pe-
tit pays que l'obscurité les avait empêchés de
remarquer, et ils étaient, comme les jours
précédentes, descendus dans la meilleure au-
berge de la localité.
Dubosc s'était fait servir à souper dans sa
chambre, et il attendait Claudine qui était
sortie sous un prétexte quelconque, en le
priant de commencer toujours son repas, si
elle tardait à rentrer.
Depuis quelques jours, Dubosc avait cru
apercevoir quelque chose d'étrange et d'inu-
sité dans l'allure de Claudine. Mais elle
était ainsi parfois, et elle n'aimait pas que
l'on y prit garde.
Dubosc attendit donc quelques instants,
puis, il se mit à table.
Il avait à peine déplié sa serviette, quand
Claudine entra.
Elle était sombre. un pli profond creu-
sait son front: et ses sourcils étaient con-
tractés.
Dubosc se leva, et alla vivement à elle..
Qu'as-tu donc, Claude. lui demanda-
t-'il; et que se passe-t-il? la
Claudine tordit ses bras avec violence.
Ah!, cela devait arriver! dit-elle,
comme se parlant à elle-même.
Quoi donc?
Tu ne sais donc pas où nous sommes?
Où sommes-nous?
Tu n'as, donc rien vu. ni l'hôte, ni
l'auberge. ni les'servantes?
Dubosc allait répondre, Claudine lui prit
le bras et l'entraîna jusqu'à la fenêtre ou-
verte.
Regarde! dit-elle d'une voix fébrile.
Et pendant que Dubos,c se penchait pour
voir
Ceci, continua-t-elle du même ton, es
l'enseigne de Saint-Nicolas. Devant l'au
berge, passe la route de Paris à; Lyon; i
deux pas, voici le relai de poste, et là-bas
plus loin, ce bouquet d'arbres que tu peu2
encore distinguer, c'est le pont de Pouilly«
Comprends-tu?. le pont de Pouilly.
Dubosc frissonna.
Nous sommes donc à Lieursaint! dit-i
en pâlissant.
Oui, à Lieursaint, répondit Claudine;
Lieursaint où l'on t'a vu, à Lieursaint ot
l'on peut te reconnaître.
Mais il faut fuir-
Si on nous en laisse le temps.
Maubert ne se doute de rien.
Qui sait.
As-tu des soupçons sur lui ?
Depuis quelques jours.
Quel indice?
Un seul.
Parle. alors. parle. C'est notre
vie à tous deux qui est ici en jeu.
Au lieu de répondre, Claudine avait subi-
tement porté la main à son front, et elle s'é-
tait assise défaillante sur une chaise.
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D. Cassigneul. Imprimerie du .Petit Journal.
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