Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1868-03-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 19 mars 1868 19 mars 1868
Description : 1868/03/19 (Numéro 1904). 1868/03/19 (Numéro 1904).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k589954f
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/07/2008
4
C'est alors qu'il revient avec M. Ledain qui, lui
aussi, croit à un empoisonnement. Il
Dans cette situation, quel était, le devoir des mé-
decins ? 11 v avait Ià un empoisonnement qui se
continuait.* En présence de cette constatation, un
devoir de conscience et de légalité leur comman
àait d'avertir la justice. Néanmoins, on prétend
que les médecins ont hésité à accomplir ieur de-
veir.
Effectivement, messieurs, il était cruel pour un
médecin, al rs qu'on pouvait combattre ier.corôj
l'intox cation, de révéler au malade à quel ma! il
était en proie il était cruel, alors qu'on pouvait
lui éviter la présence des p;enda.-mes de lui inlli-
ger le supplice d'une descente de justice, et l'on
comprend les hésitations et les des:
Mais, plus tard, la position changeait et Jeve-
liait menaçante l'état de Pierre Texier empirait"
et tes funestes conséquences ce cet;e situation s.
montraient déjà. La vindicte publique exigeait j
que l'on pariât.
Quant à M. Garnie, on comprend nlns particu-
lièrôir.eat encore pour lui
réputation de science, l'autorité dont il jouit,
comme médecin légiste, lui p.vsr.rivaier.t la pru-
dence. Depuis plus de vingt ans, c'est à ses :n-;
vestisaticns savantes que la justice doit d'avoir.
découvert bien des méfaits, sans compter ceux!
de Martin Réau, et il ne pouva.t a;nr à la lé-
Il vaudrait, mieux mil'e fois qu'un assassinat'
n'eût point été commis, c'est l'avis de M. Garnie,
mal-ré la .calomn e de Mm- Texier qui l'accuse de
fonder sa candidature à la décoration sur ls nom-
bre des» condamnations qu'il aura fait prononcer.
Loin de moi, la pensée de méconnaître l'ingra-
titude qu'ou recueille de ces services, M. Canne!
en fait aujourd'hui la triste e;périence. Mais on
ne base pas les récompenses sur le nombre des
condamnations et M. 'Ganne le sait miea. que
personnes.
Donc, il a du hésiter. Qu'auraient dit,
Texier et ses amis, qu'aurait dit M. Pierre Texier
lui-même, si M. Canne avait révélé tout de suite
l'état de cet infortuné?
On aurait dit que M. Ganne avait la monoma-
nie de l'empoisonnement.
Aussi n'a-t-il appelé la justice que l'orsqu'il ne
pouvait plus temporiser.
M. Ganne prévoyait-il alors que sa vie serait
passée au crible de la malveillance, et qu'on ten-
terait de le jeter aux gémonies!
Non! Aussi ai-ie été' heureux de lui entendre
dire dans cette enceinte Si j'avais encore un
parti à prendre, c'est celui-là que je prendrais en-
core »
On doit le remercier de cette noble fermeté, et
je n'nésite pas à le faire au nom de la société, et
de lui dire M. Gar.ne, je vous félicite, et je
vous remercie. (Mouvement.)
Vous faut-il encore une preuve de cet empoi-
sonnement, on n'a qu'à se souvenir de la dècla-
ration du défunt aux magistrats.
Ici, M. l'avocat-^énérai donne Jecture de cette
déclaration, que nos lecteurs connaissent déjà.
Nous avons, continue l'organe du ministère pu-
blic, enfin, l'autopsie et^'anajyse chimique comme
dernières preuves de la'réalité de cet empoisonne-
ment.
Je sais bien que les constatations de l'autopsie
Ont été combattues par M. le docteur Morin, mais
je ne sache pas, sans subalterniser la science de
M. Morin à celle de M. Ganne, que M. Morin ait
détruit la réponse que lui a faite M. Ganne, au
sujet de son diagnostic de cancer à l'estomac"
rendu impossible par la forte constitution de
M. Texier.
M. l'avocat général, passe en revue l'expertise
chimique et continue en ces termes
Donc, M. Texier est mort empoisonné par l'ar-
senic, qu'il a pris par doses successives. Quel peut
être l'auteur d'un crime pareil ?
Et M. l'avocat général n'hésite pas à y recon-
'paître Mme Texier.
•< M. l'avocat-général démontre cette proposition
par l'intérêt que Mme Texier avait à la mort de
son beau-frère dont la fortune devait lui revenir.
et qu'elleavaitconstamment lacraintede perdre.
M. l'avocat général maintient donc énergique-
ment, à l'égard de Mme Texier, les conclusions de
l'accusation, tout en ne s'opposant pas cependant
à l'admission des circonstances atténuantes,
Il abandonne l'accusation en ce qui touche
Françoise Richard et M. Charlot.
Le réquisitoire qui a duré quatre heures a pro-
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Victor- Emmanuel 38.. ilLuleî aveo le= suri.aei de Bari. Nord Qn 1" qté 7S liai et juin""
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Portugais J 48 Ï5J ,.J 4S 75 i i
duit une v ive impression sur l'auditoire il est très j
remarquable par la clarté et l'élévation des idées
et par les mouvements oratoires.
Vers 7 heures, l'audience est levée et renvoçée
à demain, dix heures et demie, pour les plai-
VICTOR COCHINAT.
ÉTRANGER
On écrit de Brûrm (Autriche) au Fremdenhlatt: j
Celte nuit est arrivé un terrible malheur. Dans
l'auberge de la Rosé, la vcùte, entre le premier
étage et le rez-de-chaussée s'est effondrée, et les
personnes qui s'y trouvaient ont été ensevelies
dans les décombres. Cette auberge servait de git3!
aux compagnons ouvriers qui arrivaient de tienne
à Briinn et à d'autres pauvres cens pour Sr passer
ia nuit à bon marche. L'aubergiste et une fille de
service couchaient, au premier étage, e', tous deux j
son. tombés; la fille est morte, l'aubergiste ibruj-
ment contusionné.
D'après les derrières nonveî'es, le déb'aiementi
est terminé. Oa a retira morts et 3 blesses,
Un enfant a été miraculeusement sauvé, ildor-j
sur un di;an au premier étage tandis que
la (il le. qui dormait dans la même pièce, a uié j
tuée, l'enfanta a été trouvé sous le en sorte
que- ce ui-ci formait voûte et a servi d'aMi l'en-
i'anî. Dans cette auberge couchaient, 30 individus,
dont 1: qui étaient placés prés des murs, ont put
se sauver dans les embrasures des fenêtres.
SOUVENIRS JUDICIAIRES
(Voir le Petit Journal iopuis le février).
Depuis vendredi ,dernier, nous avons dû sus- j
pendre n publication du Courrier de Lyon à
cause de l'importance des compte-rendus de l'ai-
,faire de la Mrilleraye.. j
Nous avons laissé Dubosc à l'infirmerie de la
nrison de itlelun, avec une Jambe cassée. Il était
sous le coup d'une accusation capitale, comme
l'un des auteurs de l'arrestation de la malle-poste
et du meurtre d'Excofibn on le considérait com-
me le principal auteur du crime, au lieu et place
de Lesurqnes.
I?is qu il pourrait se lever, il passerait en ju-'
gement; mais le médecin venait de le quitter,
lui recommandant le repos le plus absolu.
Nous reprenons aujourd'hui notre récit
XL
Pour ne rien celer-au lecteur, nous devons
lui confier que depuis plusieurs jours déjà
Dubosc avait essaie é cette jambe qu'on lui
conseillait de tenir en repos.
Et à vrai dire, il avait été content d'elle.
La comédie était bonne.
Si bonne que, grâce à son état, la surveil-
lance s'était relâchée autour de lui. et que
les gardiens allaient et venaient sans s'occu- j
per de ce qu'il faisait,
Quelques esprits mieux avisés avaient bien
appelé sur ce point l'attention du méde^
Mais ce dernier s'était contenté de hausser
les épaules.
Laissez, laissez répondait-il d'un air
docte. Ah je déposerai ce soir, si vous le
voulez, toutes les clefs de la prison sous son
oreiller, et vous verrez demain ce qu'il en
aura pu faire.
On ne poussa pas la bienveillance jusqu'à;
tenter l'essai proposé par le citoyen Duclos
mais Dubosc n'avait pas besoin non plus
qu'on y mît tant de complaisance.
Une nuit donc, il quitta le lit sur lequel il
reposait depuis plusieurs mois. s'habilla à la
hâte, traversa les salles sous un costume pré-
paré d'avance et descendit prendre l'air dans
les cours désertes.
Puis, familier avec les détours du sinistre
établissement, il gagna la porte dru bâtiment
dans lequel étaient enfermées les femmes, et
alla chercher Claudine qui l'attendait.
Claudine s'était fait écrouer pour lui; il ne
voulait pas partir sans elle.
Le lendemain, ou battait toutes les routes,
on rutilait tous les coins de la capitale, on
mettait sur pied toutes les brigades de la sur-
veillance active, sans parvenir à trouver la
moindre trace des deux fugitifs.
Cela tenait au prodige. Le citoyen Duclos
n'en revenait pas.
Il s'était presque attaché à son malade, et
il n'était pas très éloigné de voir dans le fait
de l'évasion de Dubosc une inconvenance à
son adresse.
Duoosc le comprit-il ainsi? Nous ne sau- j
rions lé dire.
Seulement, ce que nous pouvons ajouter,
c'est que quinze jours après sa disparition, la
poste de Paris apporta au citoyen Duclos'une
lettre d'une écriture inconnue, qu'il s'em-
La lettre était de Dabosc, et ne contenait
que ces lignes
« L'artiste inestimable qui conserve les
membres les plus précieux à l'existence oous j
rend, selon moi,- un service infiniment plua
grand que nos pères qui, en nons donnant le
jour, ne suivent que l'instinct et la routine
commune à tous les animaux. »
Le citoyen Duclos ne fut pas, du reste, le
seul qui reçut des nouvelles de Dubosc.
Le juge Daubenton eut, paraît-il, la même
faveur, et des lettres lui parvinrent dans les-
quelles les plus épouvantables menaces lui
étaient adressées. 1.
Nous avons dit qu'une idée horrible était
venue à Dubosc, et qu'il avait formé un in
projet.
Le misérable forçat ne s'était pas trompé
sur la cause de l'acharnement que l'on met-
tait à le poursuivre, et, dans son rêve de
vengeance, c'est à la veuve de Lesurques
qu'il s'en prenait surtout!
Dès qu'il fut libre, il n'eut pas de repos
qu'il n'eût mis v exécution le projet qu'il
avait conçu.
Mais il fallait concilier l'audace que récla-
2.lait l'exécution, avec la prudence à laquelle
l'obligeaient les recherches dont il était l'ob-
jet.
Pinçard, l'agent du citoyen Eymery, s'é-
tait remis en campagne, et il serrait de près
naient chaque soir lui rendre compte des in-
vestigations de la journée, et, bien que jus-
qu'alors, aucun indice certain n'eût été dé-
couvert, cependant on était sur les traces du
bandit, et l'on pouvait espérer qu'avant peu
on parviendrait à s'en emparer de nouveau.
Une nuit, Pinçard était dans son cabinet,
lorsque l'un dé ses subalternes demanda à
lui parler pour affaire urgente.
On le fit entre.
en Ah! ah! c'est toi, Firmin? dit Pinçard
neuf?
Pas grand'chose, citoyen Pinçard, ré-
pondit l'agent; seulement, je crois être sur la j
Vraiment.
Depuis cette nuit!
Et qui te le fait supposer?, |
Firmin se rapprocha de Pinçard.
Voici, dit-il, cette nuit, vers deux heu-
res du matin, je rôdais dans la rue de Cha-
ronne, auprès de la maison qui porte le
n° 95.
Pourquoi faire?
Une idée, il me semblait que j'appren-
drais quelque chose de ce côté.
Et qu'as-tu appris.
La maison se compose d'un corps de bâti-
ment qui donne sur la rue et d'un jardin en-
touré de murs, dont la contenance peut at-
teindre un arpent.
Après. après.
J'étais donc, depuis un quart d'heure,
caché dans l'ombre de la porte d'une maison
voisine, quand un particulier pagsa près de
moi, sans m'apercevoir.
Quel était (-,et
-Seul?
D'abord, mais cinq minutes apyres,
quelqu'un vint le rejoindre.
Toujours!
Ehf. que venaient-ils faire là. a
cette heure.
Je ne le leur, ai pas demandé, répondit
ironiquement Firmin, car il n'eût pas été
prudent de me montrer; mais c'est un ren-
seignement que l'on pourra obtenir ce soir
même.
Ils doivent donc y retourner.
Du moins s'y sont-ils donné rendez-
vous.
Dans quel but?
Je crois l'avoir deviné.
Et quel est-il?
Firmin se pencha à l'oreille de Pincard et
lui dit à voix basse quelques mois qui firent
frémir l'agent secret.
EU. quoi! s'écria-t-il l'assassiner!
elle. ce serait horrible
Croyez-vous qu'ils n'en soient pas ca-
pables.
Tu as raison. mais nous sommes pré-
venus, et il sera facile d'aviser. Voyons,
tu vas convoquer toute ta brigade, et ce soir,.
à la tombée de la nuit, je distribuerai à c_#
cun le rôle qu'il devra remplir.
A ce soir alors, M. Pinçard.
Oui, a ce soir. à cj soir.
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7 1/4. Français. Paul Forestier.
7 Opéra-Comique. Représentation extraordinaire,
8 Odéon. Kean ou Désordre et Génie.
8 Lyrique. Rigoletto, Richard Cœur-de-Lion,
8 Renaissance. Faust.
8 1/2. Châtelet. Le Vengeur.
7 »/». Vaudeville. Les Faux Bonshommes,
7 1/2. Variétés. La Grande-Duchesse de Gérolsteia.
7 »/». Gymnase, Les Grandes Demoiselles.
7 1/2. Palais-Royal. La Vie parisienne.
Bouffes-Parisiens. Paul Faut-rester, les Lutteuses.
8 Athénée. L'Amour et son carquois.
6 3/4. Gaîté. La Reine Margot.
7 »/>'• Porte-St-ïïartin. Glcnarvon.
7 Ambigu. Le Grime de Paverne.
7 3/i. FoHes-3ramat;çues. L'OEU creyêj
7 3/4. Cii-ny. Les Sceptiques.
8 o/». Far.t.Paris onnes. Roger Bontemps.
7 3'jazct. Genièvre de Brébant, Kean deFavernSt'
7 MîaaE-Pîaisirs. Geneviève de Brahant.
8 »/"̃ Pr'nos-sugcnc. Valentin et Vul'.Hitine.
8 Foliec-iSarigny. L:i Bonne aventure.
7 1/2. Nouveautés. Bien des choses chez vous.
7 t/2. Beaumarchais. M.irc le Créole.
7 o/i. La Fayetce. Les Cai'riiires d'Amérique.
»/i\ Cirque Napoléon. Exercices équestres.
Demain jeudi, au théâtre de la Gaité, denx représenta-
tions de la Heine Margot, à iniiii et un quart et à siX
heures trois-quai-ts.
Demain soir, à l'Eivsée-jIontrnartïe, bal masqué de !a
Mi-Carême.
A Pilorîo, demain soir, bal masqué de la Mi-CsrêTie.
Au cirque Napoléon, demain jeudi, à deux heures
1 grande matinée enf'antine, daus laquelle paraîtra Avolo.
C'est alors qu'il revient avec M. Ledain qui, lui
aussi, croit à un empoisonnement. Il
Dans cette situation, quel était, le devoir des mé-
decins ? 11 v avait Ià un empoisonnement qui se
continuait.* En présence de cette constatation, un
devoir de conscience et de légalité leur comman
àait d'avertir la justice. Néanmoins, on prétend
que les médecins ont hésité à accomplir ieur de-
veir.
Effectivement, messieurs, il était cruel pour un
médecin, al rs qu'on pouvait combattre ier.corôj
l'intox cation, de révéler au malade à quel ma! il
était en proie il était cruel, alors qu'on pouvait
lui éviter la présence des p;enda.-mes de lui inlli-
ger le supplice d'une descente de justice, et l'on
comprend les hésitations et les des:
Mais, plus tard, la position changeait et Jeve-
liait menaçante l'état de Pierre Texier empirait"
et tes funestes conséquences ce cet;e situation s.
montraient déjà. La vindicte publique exigeait j
que l'on pariât.
Quant à M. Garnie, on comprend nlns particu-
lièrôir.eat encore pour lui
réputation de science, l'autorité dont il jouit,
comme médecin légiste, lui p.vsr.rivaier.t la pru-
dence. Depuis plus de vingt ans, c'est à ses :n-;
vestisaticns savantes que la justice doit d'avoir.
découvert bien des méfaits, sans compter ceux!
de Martin Réau, et il ne pouva.t a;nr à la lé-
Il vaudrait, mieux mil'e fois qu'un assassinat'
n'eût point été commis, c'est l'avis de M. Garnie,
mal-ré la .calomn e de Mm- Texier qui l'accuse de
fonder sa candidature à la décoration sur ls nom-
bre des» condamnations qu'il aura fait prononcer.
Loin de moi, la pensée de méconnaître l'ingra-
titude qu'ou recueille de ces services, M. Canne!
en fait aujourd'hui la triste e;périence. Mais on
ne base pas les récompenses sur le nombre des
condamnations et M. 'Ganne le sait miea. que
personnes.
Donc, il a du hésiter. Qu'auraient dit,
Texier et ses amis, qu'aurait dit M. Pierre Texier
lui-même, si M. Canne avait révélé tout de suite
l'état de cet infortuné?
On aurait dit que M. Ganne avait la monoma-
nie de l'empoisonnement.
Aussi n'a-t-il appelé la justice que l'orsqu'il ne
pouvait plus temporiser.
M. Ganne prévoyait-il alors que sa vie serait
passée au crible de la malveillance, et qu'on ten-
terait de le jeter aux gémonies!
Non! Aussi ai-ie été' heureux de lui entendre
dire dans cette enceinte Si j'avais encore un
parti à prendre, c'est celui-là que je prendrais en-
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On doit le remercier de cette noble fermeté, et
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de lui dire M. Gar.ne, je vous félicite, et je
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Ont été combattues par M. le docteur Morin, mais
je ne sache pas, sans subalterniser la science de
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Donc, M. Texier est mort empoisonné par l'ar-
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être l'auteur d'un crime pareil ?
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duit une v ive impression sur l'auditoire il est très j
remarquable par la clarté et l'élévation des idées
et par les mouvements oratoires.
Vers 7 heures, l'audience est levée et renvoçée
à demain, dix heures et demie, pour les plai-
VICTOR COCHINAT.
ÉTRANGER
On écrit de Brûrm (Autriche) au Fremdenhlatt: j
Celte nuit est arrivé un terrible malheur. Dans
l'auberge de la Rosé, la vcùte, entre le premier
étage et le rez-de-chaussée s'est effondrée, et les
personnes qui s'y trouvaient ont été ensevelies
dans les décombres. Cette auberge servait de git3!
aux compagnons ouvriers qui arrivaient de tienne
à Briinn et à d'autres pauvres cens pour Sr passer
ia nuit à bon marche. L'aubergiste et une fille de
service couchaient, au premier étage, e', tous deux j
son. tombés; la fille est morte, l'aubergiste ibruj-
ment contusionné.
D'après les derrières nonveî'es, le déb'aiementi
est terminé. Oa a retira morts et 3 blesses,
Un enfant a été miraculeusement sauvé, ildor-j
sur un di;an au premier étage tandis que
la (il le. qui dormait dans la même pièce, a uié j
tuée, l'enfanta a été trouvé sous le en sorte
que- ce ui-ci formait voûte et a servi d'aMi l'en-
i'anî. Dans cette auberge couchaient, 30 individus,
dont 1: qui étaient placés prés des murs, ont put
se sauver dans les embrasures des fenêtres.
SOUVENIRS JUDICIAIRES
(Voir le Petit Journal iopuis le février).
Depuis vendredi ,dernier, nous avons dû sus- j
pendre n publication du Courrier de Lyon à
cause de l'importance des compte-rendus de l'ai-
,faire de la Mrilleraye.. j
Nous avons laissé Dubosc à l'infirmerie de la
nrison de itlelun, avec une Jambe cassée. Il était
sous le coup d'une accusation capitale, comme
l'un des auteurs de l'arrestation de la malle-poste
et du meurtre d'Excofibn on le considérait com-
me le principal auteur du crime, au lieu et place
de Lesurqnes.
I?is qu il pourrait se lever, il passerait en ju-'
gement; mais le médecin venait de le quitter,
lui recommandant le repos le plus absolu.
Nous reprenons aujourd'hui notre récit
XL
Pour ne rien celer-au lecteur, nous devons
lui confier que depuis plusieurs jours déjà
Dubosc avait essaie é cette jambe qu'on lui
conseillait de tenir en repos.
Et à vrai dire, il avait été content d'elle.
La comédie était bonne.
Si bonne que, grâce à son état, la surveil-
lance s'était relâchée autour de lui. et que
les gardiens allaient et venaient sans s'occu- j
per de ce qu'il faisait,
Quelques esprits mieux avisés avaient bien
appelé sur ce point l'attention du méde^
Mais ce dernier s'était contenté de hausser
les épaules.
Laissez, laissez répondait-il d'un air
docte. Ah je déposerai ce soir, si vous le
voulez, toutes les clefs de la prison sous son
oreiller, et vous verrez demain ce qu'il en
aura pu faire.
On ne poussa pas la bienveillance jusqu'à;
tenter l'essai proposé par le citoyen Duclos
mais Dubosc n'avait pas besoin non plus
qu'on y mît tant de complaisance.
Une nuit donc, il quitta le lit sur lequel il
reposait depuis plusieurs mois. s'habilla à la
hâte, traversa les salles sous un costume pré-
paré d'avance et descendit prendre l'air dans
les cours désertes.
Puis, familier avec les détours du sinistre
établissement, il gagna la porte dru bâtiment
dans lequel étaient enfermées les femmes, et
alla chercher Claudine qui l'attendait.
Claudine s'était fait écrouer pour lui; il ne
voulait pas partir sans elle.
Le lendemain, ou battait toutes les routes,
on rutilait tous les coins de la capitale, on
mettait sur pied toutes les brigades de la sur-
veillance active, sans parvenir à trouver la
moindre trace des deux fugitifs.
Cela tenait au prodige. Le citoyen Duclos
n'en revenait pas.
Il s'était presque attaché à son malade, et
il n'était pas très éloigné de voir dans le fait
de l'évasion de Dubosc une inconvenance à
son adresse.
Duoosc le comprit-il ainsi? Nous ne sau- j
rions lé dire.
Seulement, ce que nous pouvons ajouter,
c'est que quinze jours après sa disparition, la
poste de Paris apporta au citoyen Duclos'une
lettre d'une écriture inconnue, qu'il s'em-
La lettre était de Dabosc, et ne contenait
que ces lignes
« L'artiste inestimable qui conserve les
membres les plus précieux à l'existence oous j
rend, selon moi,- un service infiniment plua
grand que nos pères qui, en nons donnant le
jour, ne suivent que l'instinct et la routine
commune à tous les animaux. »
Le citoyen Duclos ne fut pas, du reste, le
seul qui reçut des nouvelles de Dubosc.
Le juge Daubenton eut, paraît-il, la même
faveur, et des lettres lui parvinrent dans les-
quelles les plus épouvantables menaces lui
étaient adressées. 1.
Nous avons dit qu'une idée horrible était
venue à Dubosc, et qu'il avait formé un in
projet.
Le misérable forçat ne s'était pas trompé
sur la cause de l'acharnement que l'on met-
tait à le poursuivre, et, dans son rêve de
vengeance, c'est à la veuve de Lesurques
qu'il s'en prenait surtout!
Dès qu'il fut libre, il n'eut pas de repos
qu'il n'eût mis v exécution le projet qu'il
avait conçu.
Mais il fallait concilier l'audace que récla-
2.lait l'exécution, avec la prudence à laquelle
l'obligeaient les recherches dont il était l'ob-
jet.
Pinçard, l'agent du citoyen Eymery, s'é-
tait remis en campagne, et il serrait de près
naient chaque soir lui rendre compte des in-
vestigations de la journée, et, bien que jus-
qu'alors, aucun indice certain n'eût été dé-
couvert, cependant on était sur les traces du
bandit, et l'on pouvait espérer qu'avant peu
on parviendrait à s'en emparer de nouveau.
Une nuit, Pinçard était dans son cabinet,
lorsque l'un dé ses subalternes demanda à
lui parler pour affaire urgente.
On le fit entre.
en Ah! ah! c'est toi, Firmin? dit Pinçard
neuf?
Pas grand'chose, citoyen Pinçard, ré-
pondit l'agent; seulement, je crois être sur la j
Vraiment.
Depuis cette nuit!
Et qui te le fait supposer?, |
Firmin se rapprocha de Pinçard.
Voici, dit-il, cette nuit, vers deux heu-
res du matin, je rôdais dans la rue de Cha-
ronne, auprès de la maison qui porte le
n° 95.
Pourquoi faire?
Une idée, il me semblait que j'appren-
drais quelque chose de ce côté.
Et qu'as-tu appris.
La maison se compose d'un corps de bâti-
ment qui donne sur la rue et d'un jardin en-
touré de murs, dont la contenance peut at-
teindre un arpent.
Après. après.
J'étais donc, depuis un quart d'heure,
caché dans l'ombre de la porte d'une maison
voisine, quand un particulier pagsa près de
moi, sans m'apercevoir.
Quel était (-,et
-Seul?
D'abord, mais cinq minutes apyres,
quelqu'un vint le rejoindre.
Toujours!
Ehf. que venaient-ils faire là. a
cette heure.
Je ne le leur, ai pas demandé, répondit
ironiquement Firmin, car il n'eût pas été
prudent de me montrer; mais c'est un ren-
seignement que l'on pourra obtenir ce soir
même.
Ils doivent donc y retourner.
Du moins s'y sont-ils donné rendez-
vous.
Dans quel but?
Je crois l'avoir deviné.
Et quel est-il?
Firmin se pencha à l'oreille de Pincard et
lui dit à voix basse quelques mois qui firent
frémir l'agent secret.
EU. quoi! s'écria-t-il l'assassiner!
elle. ce serait horrible
Croyez-vous qu'ils n'en soient pas ca-
pables.
Tu as raison. mais nous sommes pré-
venus, et il sera facile d'aviser. Voyons,
tu vas convoquer toute ta brigade, et ce soir,.
à la tombée de la nuit, je distribuerai à c_#
cun le rôle qu'il devra remplir.
A ce soir alors, M. Pinçard.
Oui, a ce soir. à cj soir.
PIERRE ZACCOKE.1
(La suite à demain.)
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SPECTACLES DU MERCREDI 18 MARS
8 «/"• Opéra. Hamlet.
7 1/4. Français. Paul Forestier.
7 Opéra-Comique. Représentation extraordinaire,
8 Odéon. Kean ou Désordre et Génie.
8 Lyrique. Rigoletto, Richard Cœur-de-Lion,
8 Renaissance. Faust.
8 1/2. Châtelet. Le Vengeur.
7 »/». Vaudeville. Les Faux Bonshommes,
7 1/2. Variétés. La Grande-Duchesse de Gérolsteia.
7 »/». Gymnase, Les Grandes Demoiselles.
7 1/2. Palais-Royal. La Vie parisienne.
Bouffes-Parisiens. Paul Faut-rester, les Lutteuses.
8 Athénée. L'Amour et son carquois.
6 3/4. Gaîté. La Reine Margot.
7 »/>'• Porte-St-ïïartin. Glcnarvon.
7 Ambigu. Le Grime de Paverne.
7 3/i. FoHes-3ramat;çues. L'OEU creyêj
7 3/4. Cii-ny. Les Sceptiques.
8 o/». Far.t.Paris onnes. Roger Bontemps.
7 3'jazct. Genièvre de Brébant, Kean deFavernSt'
7 MîaaE-Pîaisirs. Geneviève de Brahant.
8 »/"̃ Pr'nos-sugcnc. Valentin et Vul'.Hitine.
8 Foliec-iSarigny. L:i Bonne aventure.
7 1/2. Nouveautés. Bien des choses chez vous.
7 t/2. Beaumarchais. M.irc le Créole.
7 o/i. La Fayetce. Les Cai'riiires d'Amérique.
»/i\ Cirque Napoléon. Exercices équestres.
Demain jeudi, au théâtre de la Gaité, denx représenta-
tions de la Heine Margot, à iniiii et un quart et à siX
heures trois-quai-ts.
Demain soir, à l'Eivsée-jIontrnartïe, bal masqué de !a
Mi-Carême.
A Pilorîo, demain soir, bal masqué de la Mi-CsrêTie.
Au cirque Napoléon, demain jeudi, à deux heures
1 grande matinée enf'antine, daus laquelle paraîtra Avolo.
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