Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1867-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 01 février 1867 01 février 1867
Description : 1867/02/01 (Numéro 1453). 1867/02/01 (Numéro 1453).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k589543g
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/07/2008
̃»*
̃ An dernier bal masqué de t'Opéra da Vienne,
/àa demi lo noir poursuivait depuis plusieurs heu-
jires un couple qui cher hait en vain à se soustrai-
fjfc à cette persécution. Ils avaient beau dis-
Wra}tre parmi la foule, se réfugier dans les coins
¡les plus obscurs, te doiniao les retrouvait toujours.
l'indiquaient une personne de la bonne société, à la-
quelle appartenaient aussi tes deux autres.
j LfSS"S de cette obsession, ces dernières se déci-
jd&reut entin à quitter le üal. blaisà la porte de sor-
\tie, le domino se trouvait encore derrière elles; il
rapprocha du jeune homme, le fit pirouetter en lui
pfeuant le bras et lui lança à la figuré une fio'e
pleine d'unli>iuidecorro*if.°Le jeune homme poussé
des crL» n0'reux. sa compspne s'évanouit; quant au
domino, il les'a là. inmioLi!e et comme effrayé de.
Ce qu'il wn
Des agent» de police survinrent on arrêta le do-
ïmico lui ôta son masque.
A Quel fût l'étonnement des assistantst Le domino
t était une dcs plus grandes dames de Vienee fort
connue et la femme légitime du jeune homme
j qu'elle venaitde défigurer.
1 Ce qui est bien plus curieux, c'est que quelque
Ajouré auparavant elle a fait é;é, sur sa demande,
séparée judiciairement de son mari.
) Celui-ci a la figure horriblement brûlée, un oeil
est perdu l'autre a été préservé emme par oii-
Te'le avait été la précipitation du domino à "ac-
compl son acte de vengeance, qu'une partie du
liquide a atteint sa nwin droite et son avant-bras;
les médecins ont Jugé l'amputation nécessaire,
Dans les premiers jours de janvier, un train ex
press dú chemin de fer de Terre>Ha.te passait à
environ un tnille à l'est de Paris, de harisen Aîné
risque, bien entendu. Le convoi composé de si\ wa
goas, dont quatre de vova^urs. a déraillé par
suite de 1* rupture d'un rail. La locomotive et le
wagon des baaages ont pusse tans accident: le.wa-
1 0m suivmt, boudé d'érnigr»hts allemands, a et'-
culbué du haut d'un talus de trente pieds, et nii*
en pi -ces; la couverture et les parois sont tom-
bées eniièrement déiathéfs. au fond du précipice
Lestr.is anres wagons de voyageurs ont bu é
contre un c< n refort de la voie et se sont arrêté»
heureusement au bord du talus.
La uuit était terriblement froide, mnis la rigueur
de la température était oubliée en prrsencu de
l'horreur de la sA ène. Des cris latnentabtes partaient
de la masse humaine qui se débattait, au milieu
dd l'obscurité; daus une eff oyalile agonie. Tout Ie
monde s'est mis à l'aeuvre pour extraire les mal-
heureux des décombres. d'Où i,t ne paraissait guère
tpti.sibte qu'aucun pût être re'tiré vivant Par un
mazard miraculeux, un seut avait été tué sur 1
coup, c'était une femme qui tenait un en ant dans
ses liras, et dont le crâne avait été brisé à l'augle
/d'une pierre, dans la chn e du wagon.
On «ompte environ vingt persounes blessées
VARIÉTÉS (
(voir le Petit Journal depuis le 30 octobre.)
XCII
dise Faney était en grande toilette, avec une
(robe neuve, éclatante et tachée, une immense
cloche de dentelle et un chapeau invraisem-
'blable. Pourtant elle avait l'air misérable.
(Enfin elle était outrageusement u maquillée a,
toute barbouillée de rour;e, de blanc et de bleu,
ide ta min et de crème de perles.
¡,' 'Elle paraissait fort en colère.
x-^ Voilà une idée, s'écria-t-elle dès le seuil
BOURSE. Rentes tl attisas. B£S«tt «" g » d BOURSE. Rentes et Actions. DmiER a H aciiucixïxbi!. marchés DU 30 jumsa. réeéquestreetcomique
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sans songer a saluer personne, cela a-t-il le
sens commun- de mVnvaypr chercher ai»?i,
pr^ s [t'p <)> fO'<'P. p»1 une ili'moist'lle qui « s'de
la ii«Tinèir "•̃
Mais M"10 Gliai mau s'était élancée vers son
ancienne cliente, l'avait embrassée bon gré mal
gré et la pressait sur son cœur.
Comment, chère petite, disait-elle, vous
vous fâchez lorsque je comptais que vous alliez
être ravie et me remercier bien gentiment.
Aloi 1 Pourquoi?,
Parce que, belle mignonne, j'ai voulu
vous réserver une bonne surprise, Ah je ne
suis pas ingrate, moi. Vous êtes venue hier ré-
gler votre petit compte, je veut aujourd'hui
même vous eu i écompeaser.- Allons, vite, Souf-
riez, vous allez pn-fiterr! :me occasion magni-
fique, j'ai en ce morawit ,\u velours en grande
C'était bien la p«*'ie dé me déranger!
Tout soie, ma ch^e, i vrente francs le mè-
tre. Hein! est-ce assez inouï, assez invraisem-
blable, assez.
Eh je me soucie bien de votre .occasion! 1
Du velours au mois de juillet, vous moquez-
vous de moi? <
Laissez-moi vous le montrer.
Jamais. On m'attend pour aller [dîner à
Asnièret, siû-i.
Elle allait se retirer en dépit des efforts très
sincères de Mm* Charman, qui se proprosait
peut-être de faire d'une pierre deux coups. M.
Lecoq jugea qu'il était temps d'intervenir.
Mais je ne me trompe pas, s'écria-t-il
avec des mines de vieux roquentin énviustillé,
c'est bien miss Jenny Fancy que j'ai le bonheur
de revoir.
Elle le toisa d'un air moitié fâché,' moitié
surpris, en disant
Oui, c'est moi. Après?
Quoi 1 vous êtes oublieuse a ce pointl
Vous ne me reconnaissez pas?
Non, pas du tout.
J'étais cependant un de vos admirateurs,
ma belle enfant, et j'ai eu le plaisir de déjeuner
chez vous quand vou- demeuriez près de 1aMa-
deleine c'était du temps du comte.
Il retira ses lunettes, comme pour en essuyer
les verres, mais en réalité pour lanëer un re-
gard furibond à Mme Charman, qui, n'osant ré-
slster, battit secrètement en retraite.
J'étais assez bien avec Trémorel autrefois,
reprit M. Lecoq. Et, à ce propos, y a-t-it long-
temps que vous n'avez eu de ses nouvelles?
-.le l'ai vu il y a huit jours.
tiens, tiens, tiens Alors vous connaissez
son horrible affaire.
Non. Qu'y a-t-il donc?
Vrai, vous ne savez pas? Vous n« lisez
donc pas les journaux ? Mais c'est une abomi-
nable histoire, ma chère enfant, et on ne parle
que de cela dans Paris depuis quarante-huit
heures. •
Dites vite.
Vous savez qu'après son plongeon il a
ouçé la veuve d'un de ses amis. On le croyait
éft rt heureu^ en ménage. Pas du tout, il a as-
sassiué su femmes à coups de couteau.
Miss Fancy pâlit sous sa couche épaisse de
peinture.
Est-ce possible bitbutia-t-elle.
Elle disait « Est-ce pos-ible 1 mais si elle
était très émue, à coup sûr elle n'était pas ex-
trêmement surprise. M. Lecoq le remarqua très
bien.
C'est si possible, répondit*il, qu'à cette
heure il est en prison, qu'il passera en cour
d'assises et que très certainement il sera con-
damné.
Le père Plantât observait curieusement Jen-
ny. Il s'aUfeidait à une explosion rie riOBeppoir,
de ne ris j our le iuoii! iineur.
Fancy en était .venue à détester Trtmord.
Parfois, elle, si impatiente de mépris jadis, elle
sentait le poids de ses hontes, et c'est Hector
que, bien injustement, elle accusait de son
ignominie présente. Elle le haïssait bassement,
comme haïssent les filles, lui souriant quand
elieJe voyait, tirant de lui le plus d'argent
possible, et lui souhaitant toutes sortes de
Loin de fondre én larmes, Jenny Fancy eut
un éclat de rire stupide, •
C'est bien fait pour Trémorel, dit-elle;
pourquoi m'a-t-il quittée ? C'est bien fait pour
elle a;issi.
Comment, pour elle aussi?
.Bien sûr 1 Pourquoi trompait-elle ?on mari,
un charmant garçon C'est elle qui m'a enlevé
Hector. Une femmé marinée, et riche 1 Hector
n'est qu'un misérable,·je l'ai toujours dit.
Franchement,c'étaitaussimonavis. Quand
un homme, voyez-vous, se condwi comme Tré-
moret s'est conduit avec voua, w't jugé.
N'est-ce pas
Parbleu! Aussi ne suis-je pas surpris de
sa conduite. Car, sachez-le, avoir'assassiné sa
femme est le moindre de ses crimes. Ne voilà-
t-il pas qu'il essaye de rejeter ces faits sur un
autre l
Cela ne m'étonne pas,
-Il accuse un pauvrediable, innocent, dit-
on, comme vous et moi, et qui cependant sera
peut-être condamné à mort faute. de pouvoir
dire où i! a passé la soirée et la nuit de mer-
credi à jeudi.
M, Lecoq avait prononcé cette phrase d'un
ton léger, mais avec une lenteur calculée,
afin dé-bien juger de l'impression qu'elle pro
duiraitsur Fancy. L'effet fut si terrible qu'elle
chancela.
Saxez-vous quel est cet homme? demanr
da-t-elle d'une voix tremblante.
-Les journaux disent que c'est un pauvre
garçon qui était jardinier chez lui.
Un petit, n'est-pas? maigre, très brun a-
vec des cheveux noirs et plats 1
Précisément.
Et qui s'appelle. attendez donc. qui
s'appetle. Guestpin?
j-f;Ah çà, vous le connaissez donc
Miss Fancy hésitait. Elle était fort tremblan-
te,;on voyait qu'elle regrettait de s'être tant a-
Bah fit-elle enfin, je ne vois pas pour-
quoi je ne dirais pas ce que je sais. Je suis une
honnête fille, moi, si Trémorel est un 'coquin,
et je ne veux pas qu on coupe le cou d'un pau-
vre diable qui est innocent.
La suite à demain. éjiile gabobuc.
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laire. Sarcey, A. Dumas fils. Le Père prodigue.
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/àa demi lo noir poursuivait depuis plusieurs heu-
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l'indiquaient une personne de la bonne société, à la-
quelle appartenaient aussi tes deux autres.
j LfSS"S de cette obsession, ces dernières se déci-
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\tie, le domino se trouvait encore derrière elles; il
rapprocha du jeune homme, le fit pirouetter en lui
pfeuant le bras et lui lança à la figuré une fio'e
pleine d'unli>iuidecorro*if.°Le jeune homme poussé
des crL» n0'reux. sa compspne s'évanouit; quant au
domino, il les'a là. inmioLi!e et comme effrayé de.
Ce qu'il wn
Des agent» de police survinrent on arrêta le do-
ïmico lui ôta son masque.
A Quel fût l'étonnement des assistantst Le domino
t était une dcs plus grandes dames de Vienee fort
connue et la femme légitime du jeune homme
j qu'elle venaitde défigurer.
1 Ce qui est bien plus curieux, c'est que quelque
Ajouré auparavant elle a fait é;é, sur sa demande,
séparée judiciairement de son mari.
) Celui-ci a la figure horriblement brûlée, un oeil
est perdu l'autre a été préservé emme par oii-
Te'le avait été la précipitation du domino à "ac-
compl son acte de vengeance, qu'une partie du
liquide a atteint sa nwin droite et son avant-bras;
les médecins ont Jugé l'amputation nécessaire,
Dans les premiers jours de janvier, un train ex
press dú chemin de fer de Terre>Ha.te passait à
environ un tnille à l'est de Paris, de harisen Aîné
risque, bien entendu. Le convoi composé de si\ wa
goas, dont quatre de vova^urs. a déraillé par
suite de 1* rupture d'un rail. La locomotive et le
wagon des baaages ont pusse tans accident: le.wa-
1 0m suivmt, boudé d'érnigr»hts allemands, a et'-
culbué du haut d'un talus de trente pieds, et nii*
en pi -ces; la couverture et les parois sont tom-
bées eniièrement déiathéfs. au fond du précipice
Lestr.is anres wagons de voyageurs ont bu é
contre un c< n refort de la voie et se sont arrêté»
heureusement au bord du talus.
La uuit était terriblement froide, mnis la rigueur
de la température était oubliée en prrsencu de
l'horreur de la sA ène. Des cris latnentabtes partaient
de la masse humaine qui se débattait, au milieu
dd l'obscurité; daus une eff oyalile agonie. Tout Ie
monde s'est mis à l'aeuvre pour extraire les mal-
heureux des décombres. d'Où i,t ne paraissait guère
tpti.sibte qu'aucun pût être re'tiré vivant Par un
mazard miraculeux, un seut avait été tué sur 1
coup, c'était une femme qui tenait un en ant dans
ses liras, et dont le crâne avait été brisé à l'augle
/d'une pierre, dans la chn e du wagon.
On «ompte environ vingt persounes blessées
VARIÉTÉS (
(voir le Petit Journal depuis le 30 octobre.)
XCII
dise Faney était en grande toilette, avec une
(robe neuve, éclatante et tachée, une immense
cloche de dentelle et un chapeau invraisem-
'blable. Pourtant elle avait l'air misérable.
(Enfin elle était outrageusement u maquillée a,
toute barbouillée de rour;e, de blanc et de bleu,
ide ta min et de crème de perles.
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x-^ Voilà une idée, s'écria-t-elle dès le seuil
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sens commun- de mVnvaypr chercher ai»?i,
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la ii«Tinèir "•̃
Mais M"10 Gliai mau s'était élancée vers son
ancienne cliente, l'avait embrassée bon gré mal
gré et la pressait sur son cœur.
Comment, chère petite, disait-elle, vous
vous fâchez lorsque je comptais que vous alliez
être ravie et me remercier bien gentiment.
Aloi 1 Pourquoi?,
Parce que, belle mignonne, j'ai voulu
vous réserver une bonne surprise, Ah je ne
suis pas ingrate, moi. Vous êtes venue hier ré-
gler votre petit compte, je veut aujourd'hui
même vous eu i écompeaser.- Allons, vite, Souf-
riez, vous allez pn-fiterr! :me occasion magni-
fique, j'ai en ce morawit ,\u velours en grande
C'était bien la p«*'ie dé me déranger!
Tout soie, ma ch^e, i vrente francs le mè-
tre. Hein! est-ce assez inouï, assez invraisem-
blable, assez.
Eh je me soucie bien de votre .occasion! 1
Du velours au mois de juillet, vous moquez-
vous de moi? <
Laissez-moi vous le montrer.
Jamais. On m'attend pour aller [dîner à
Asnièret, siû-i.
Elle allait se retirer en dépit des efforts très
sincères de Mm* Charman, qui se proprosait
peut-être de faire d'une pierre deux coups. M.
Lecoq jugea qu'il était temps d'intervenir.
Mais je ne me trompe pas, s'écria-t-il
avec des mines de vieux roquentin énviustillé,
c'est bien miss Jenny Fancy que j'ai le bonheur
de revoir.
Elle le toisa d'un air moitié fâché,' moitié
surpris, en disant
Oui, c'est moi. Après?
Quoi 1 vous êtes oublieuse a ce pointl
Vous ne me reconnaissez pas?
Non, pas du tout.
J'étais cependant un de vos admirateurs,
ma belle enfant, et j'ai eu le plaisir de déjeuner
chez vous quand vou- demeuriez près de 1aMa-
deleine c'était du temps du comte.
Il retira ses lunettes, comme pour en essuyer
les verres, mais en réalité pour lanëer un re-
gard furibond à Mme Charman, qui, n'osant ré-
slster, battit secrètement en retraite.
J'étais assez bien avec Trémorel autrefois,
reprit M. Lecoq. Et, à ce propos, y a-t-it long-
temps que vous n'avez eu de ses nouvelles?
-.le l'ai vu il y a huit jours.
tiens, tiens, tiens Alors vous connaissez
son horrible affaire.
Non. Qu'y a-t-il donc?
Vrai, vous ne savez pas? Vous n« lisez
donc pas les journaux ? Mais c'est une abomi-
nable histoire, ma chère enfant, et on ne parle
que de cela dans Paris depuis quarante-huit
heures. •
Dites vite.
Vous savez qu'après son plongeon il a
ouçé la veuve d'un de ses amis. On le croyait
éft rt heureu^ en ménage. Pas du tout, il a as-
sassiué su femmes à coups de couteau.
Miss Fancy pâlit sous sa couche épaisse de
peinture.
Est-ce possible bitbutia-t-elle.
Elle disait « Est-ce pos-ible 1 mais si elle
était très émue, à coup sûr elle n'était pas ex-
trêmement surprise. M. Lecoq le remarqua très
bien.
C'est si possible, répondit*il, qu'à cette
heure il est en prison, qu'il passera en cour
d'assises et que très certainement il sera con-
damné.
Le père Plantât observait curieusement Jen-
ny. Il s'aUfeidait à une explosion rie riOBeppoir,
de ne ris j our le iuoii! iineur.
Fancy en était .venue à détester Trtmord.
Parfois, elle, si impatiente de mépris jadis, elle
sentait le poids de ses hontes, et c'est Hector
que, bien injustement, elle accusait de son
ignominie présente. Elle le haïssait bassement,
comme haïssent les filles, lui souriant quand
elieJe voyait, tirant de lui le plus d'argent
possible, et lui souhaitant toutes sortes de
Loin de fondre én larmes, Jenny Fancy eut
un éclat de rire stupide, •
C'est bien fait pour Trémorel, dit-elle;
pourquoi m'a-t-il quittée ? C'est bien fait pour
elle a;issi.
Comment, pour elle aussi?
.Bien sûr 1 Pourquoi trompait-elle ?on mari,
un charmant garçon C'est elle qui m'a enlevé
Hector. Une femmé marinée, et riche 1 Hector
n'est qu'un misérable,·je l'ai toujours dit.
Franchement,c'étaitaussimonavis. Quand
un homme, voyez-vous, se condwi comme Tré-
moret s'est conduit avec voua, w't jugé.
N'est-ce pas
Parbleu! Aussi ne suis-je pas surpris de
sa conduite. Car, sachez-le, avoir'assassiné sa
femme est le moindre de ses crimes. Ne voilà-
t-il pas qu'il essaye de rejeter ces faits sur un
autre l
Cela ne m'étonne pas,
-Il accuse un pauvrediable, innocent, dit-
on, comme vous et moi, et qui cependant sera
peut-être condamné à mort faute. de pouvoir
dire où i! a passé la soirée et la nuit de mer-
credi à jeudi.
M, Lecoq avait prononcé cette phrase d'un
ton léger, mais avec une lenteur calculée,
afin dé-bien juger de l'impression qu'elle pro
duiraitsur Fancy. L'effet fut si terrible qu'elle
chancela.
Saxez-vous quel est cet homme? demanr
da-t-elle d'une voix tremblante.
-Les journaux disent que c'est un pauvre
garçon qui était jardinier chez lui.
Un petit, n'est-pas? maigre, très brun a-
vec des cheveux noirs et plats 1
Précisément.
Et qui s'appelle. attendez donc. qui
s'appetle. Guestpin?
j-f;Ah çà, vous le connaissez donc
Miss Fancy hésitait. Elle était fort tremblan-
te,;on voyait qu'elle regrettait de s'être tant a-
Bah fit-elle enfin, je ne vois pas pour-
quoi je ne dirais pas ce que je sais. Je suis une
honnête fille, moi, si Trémorel est un 'coquin,
et je ne veux pas qu on coupe le cou d'un pau-
vre diable qui est innocent.
La suite à demain. éjiile gabobuc.
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laire. Sarcey, A. Dumas fils. Le Père prodigue.
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