Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1865-08-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 25 août 1865 25 août 1865
Description : 1865/08/25 (Numéro 937). 1865/08/25 (Numéro 937).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k589043x
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/07/2008
it P-
6 mois ITnaa.
liK
«.s;*
mois
̃ l Mandat* ou tlmbres-ppste
Numéro OS»' ̃.
Vcndrçd| 35 «août f8«M»
TIRAGE 0 >tï.l
i
TAW11MI-K A L'ÎHHPdMOJIKÎ'V
j'ai dit à M^Ai-nqulty 1©
directeur ;l<; l'Hippodrome, que son répen-
taira était usé comincv-un calembour -de vau-
devilliste.
Son Robert Macaire et son
suivis par le^ gendarmes sont d'un niecfiocrt1
intérêt,1 tant que
sa, pas un
Les guenonsà cheval sont do vieilles coa-
naissances.
Blondin dansant sur la bordclâisse', les
esprits froids elles t'Ouâ'désurticulés.
Le quadrille Louis. XV ës,t maigre; oh
plaint les amazones, .dont rbabii de pour a
perdu, sesj paillettes.
Tx'i animaux
avec leurs yeux tranquilles fi'x;és sur, lcipu-
blic. de calculer le montant de ta recette.
M A r n au 1 1 s'es t p igué d 'lïonnéur, Il a oh-
tenu l'autorisation d'ûfiqoriïb'atde taureaux.
Ce ne seront pas'des aniniaux. doux.
eoinnifi le. corf de 1 860. qui courait, après lés
chiens, ou bs vaches Landaises qui se lais-
saient traire- comme )es brebis de M' Des-
houl.ières,. ̃
Ce sontdes taureaux Véritables, d'une hu-
meur assez farouche, et déjà impatients du
lourde Paris.
Ils ont mugi d'une Saçon peu rassurante
dans les wagons, et on a été obligé de leur
intercepter la lumière pour les obliger à se
tenir plus convenablement en chemin de
fèrv ̃ .̃•̃̃ "•̃•-•̃;
Us sont jusqu'à présent au
tre dont ;yoi(?i les noms,:
ans.;
id. dedans,;
id. deftans.;
Ils ont été choisis par M. Mestro et sortent
de sa ttifinàda. Ils sont aussi sauvages
qu une, ^H do quatorze ans. et ont telle1;
.njëfit'ja tureiir de' là -'couleur rouge qu]on
prpH)tpour les gens. décores de- la Légion
l'^onr.cur.. >̃•̃̃ .̃'
̃̃̃; »** f -,•
Lu. courte de taureaux de l'IIipppdrQnjp ne
sçna; pas^absolument, cçiljes, de.
l'i:spii{2;ne.
Partons Madrid pour exemple.
Les Madrilènes préfèrent 'an
m J'à ro //<̃/ Prinâipr.:i\\j Teatrp de !d Crus,'
xa T"a'ro de Lope 'ou on Joue les opérellçs. Me. l.ieu'de délices
̃ que l'on nomme les Taras. '•"
C'est en que l'on construisit,, près, de
ia porte d-Alcala, la Phaza qui sert, encore
• aujourd'hui aux taureaux. C'est un cirque
énorme, qui n'a rien de-remarquable à l!ex-
FEUILLETON, DU.
bu 2o aoi't 1865
-LK 'DIAMANT DU
L'^rmirir1. qui marchait' à -pas lents, uiife li&-
<-ht» sur réniuHé;
un sourire narquois à!ux- lèvres; c'était maître^
Pàndrijle. • li .̃̃̃ f T_
•Le digne inlencinni que nous avons 1 tusse, si
fur wn'ii' des iiilô'f innés amoureuses de sto jeu-
ne inaîirc,
̃ quiétude la pfuS parfaite. "r •̃>) <1
il avafl
shaussé des
ne, et sa ('Ûle ùiait onsce d'ùà'gi-bs
tû diisliïié à ic iîroserver 'des rlmuiœ de ce.rj;
't'au. •̃̃̃:••'•' •
Loniaiset fin souiii-e touîà !a fois, sous le-
quel ecl intendant'
mdndo ta sùj)-
pasidoa1- qu'oui imiait pu; établir en le "voyant er1
désolée d'un cliâlcUiin avare et définit quirv;e-
ojanebis à \<\ eliaùx. ̃ ,̃
dans les rues, a la Cale de Carrées,
Contrairement à l'Hippodrome parisien
toutes les places: sont numérotées; on erttre 1
sepl^Cfc sans tumulte.
d'aptes sèn'billet.
L'arêr(èe?t ento.uree d'une barrière circu-
lai ré la: est en .'p'ançlies (h six.
ter tes animaux.
i Elle, est percéii de quatre portes pour le
service de la place, l'entrée des taureaux.
ëtil 'enlèvement des cadavres!
Cette première enceinte est entourée d'une
des, pour mettre les spectateurs à l'abri des
atteintes de certains taureaux, qui, dans t'ar-
deur de, l« poursuilo, escaladent quelquefois
\as tablas. ̃
,1 Le cirque contient 12,-OiK) -places,
On y remarque les gradins' découverts
pour les,
loges et parmi celles-ci, qu'on appelle, pat-
'bos, les loges de la Reine et de i'ayunta-
piiento, fermées par un large vitrage et ri-
bhement'décorées.. • ̃•>.
Les.élégautesde Madrid ont leur loge aua;
..Toros, comme lé g-ïand monde parisien, ses
loges aux Italiens.'
Les places à bon marché sont au soleil
Celles also' (au soleil) coûtent 4réaux;
i Celles à h sombm{h l'ombre) vaient de :6 a
^Qréa,ux.
̃̃
Alexandre iDnjn^.a raconté,, avec sa ver-
ye .inimitable, un .combat
drid.
Je résume son récit. #
L'alguazil de service donne au garçon du
cirque ta clé de la porte d'entrée.
Et tour h tour paraissent les. personnages
de la quadrille,.
Le pica loi; c cst-a,-cljrc l homme acheva),
qui, une lance à la main, attendra l'attaque
du taureau, 'cette,lance piqué la peau, de l,ay
pimal, l'excitse par la douleur; mais ne sau-
rait le tuer.Le picador, dit/Dumas, coua
deux dangers. celui d'être embroché par. te
'taureau, celui d'être écrase par son cheval.'
Le picador n'a pour se garantir que 'des
jambières iïi.i-cùîsse.
,Le çjiyip est.hoHimo 'qui.' un manteau de
îcou'.eur àla main, détourne' le taureau qui
va fondre sur un picador désarçonné, en at-'
'tirant sur lui-même son attention et sa cp-
Le banderillero a 'pour, mission de ne pas
laisser refroidir !a colè're du taureau quaiid,
'ébloui, lassé, il tourne sur lui-rmême. il .lui
planté dans lés deux épaules des bande-
rolles composées de papiers de' toutes cou-1
leurs.- '• • v;1' ̃
Le torero est le commandant du cirque. le
roi delà scène, nous apprend Alexandre D,u-
màs.Ceslle général qui dirige toute la ba-
taille, c'est le'çhef ,au ,ge,?.je duquel chacun
ohôilpassivèment; le taureau lui-même,- saas
point dé-
(jouvert ses trésors.. •-̃
gëiiuu'è' et dehoi1 riloi'qùi'ne laissfiil atiovin uoutc
sur la èoh're1
tu' :>̃• '•' :1-"1 V-'1"
Pftnd-ri.il avait seupé comme quatre et
,bp comme lmvailiM, fentcnips , toi lui-même, ̃> t
L'exécuieur tesu.inentajre-tle feu M le copf-
maiidëûr '^arrêta U)u,»j jtïs!eaj lalpl,a:œ'ôfl"MM:'die
Hâftëvèrt avaieril
s!5sit auprès^ f eu' soueieux de
n'avoir point un siège plus convenable/et fouil*-
relisons' cette lettre' de lç u ;Mi le
'Éi.PHiidrille tira de ce qu'il appe-
Jyil uiodësteinent une leltriîj et qjmi,aya^l eenen-
qui
n'éesiïn' beau projet! de mJStinoiiliOn' àl'ehdrôit
de MM. ses collatéraux, cousins et neveux: Mi le
avaik i;ru devoir
donner par cent sur
toliieslchuiibs, imsj.û,
fùn^uement tiyçc ^v" va Ici., "̃
fiàndriHè tourna les s art-
rêta ¡da auatrifeme'iJàari>. ̃ • '·
;en iiouler. estsomms à sa puissance • u îe ^ji
îo-hdu'it où ii veut à raide des-chubs. ̃ le
Tous ces.tuteurs du combat de taureaux G.
sont.- vêtus, avec une merveilleuse élégance, b
Leur, vestes sont éliùcelantes de broderies
J'or,- leurs gilets affectent les couleurs écla- h
|jn
le soie, leurs souliers lie s;itni. 1<
Les'cpr.nb.i;H!(s hp.TouL r.eitiMi-qwtH- ptlr la ̃
.'cbsiiovanfR epri^erec ienvs ila.nos.
Autour- de de ma-
driwrs ¡,le six piwls (i-'éluvalion appi'iée ïokro:
EJ lo a un rebord saillant. desiihé> à -servir
d'étrier aux chuios. banderil-'cros et toreros,
prè-^ p:i,r le taureau; c'est
pai':là'quïls s'élançenU par-dessus la bar* .g
rière. j"
de celle .première cloison j
celle bai'i-tère forment un couloir. C'est dans
ce couloir., que sautefltles chu tas et banderil-
leros poursuivis par le taureau, c'est là qiit-î
se 'tiennent lialguâzil lés picadors de 're-
change, le Oa-c!.etero, et les amateurs qui
ont leurs entrées,
Âlexunçin' Dumasexplique ce qu'est le Ca-
ché te. ro..
Le Cachctero est l'exécuteur des hautes
œuvres. Son office est -presque Infamant
quand le taureau est abattu par YàfSe du
torero, et que cependant il soulève encore sa
têto mugissante çt ensanglantés, le Gachclero
enjaiTibs la barrière, entre dans l'arène, se
le chat et le
chacal,, jusqu'à l'animal abattu, et là, traî-
treusement, par derrière, il lui donne le
coup de grâce. Ce coup'se donne, avec un
'poignard ayant là forme d'un `coeur il sé-
pare ordinairement la deuxième vertèbre du
coude la troisième, et le taureau iombecom-
me foudroyé.
Puis. cette exécution accomplie, le eacbe-
tero regagne toujours de son pas oblique le
rébbrdvfranchit la
La'musique est placée Juste au-dessus du
làt-Hf, endroit où on «fiferroe les. animaux.
;-̃•'̃'̃• ̃̃'̃̃̃.̃
Les taureaux, destiiiçs au combat retient
idpuze .heures sans nourriture. Pour les irri-
iter.i.à leur entrée enfance
ifer aiguisé en Hameçon, une touffe de rubans
taux couleurs de leur propriétaire.
Ge'ttif touffe <'a rubans est ,le but de l'am-
bition des picadors et dé.s chulos. C'est un
charmant cadeau a faire à une maîtresse que
de lui donner cette touffe de rubans.
Voici comment se passa le combat de tau-
reaux auquel assista Alexandre Dumas.
Le garçon du cirque ouvrit ta porte du;
toril et se rangea derrière cette porte.
pa's', s'arrêta court;, éblpuipaf la lumière.
étourdi parle bruit,
Il se précipita sur le premier picador.
I cplui-ci voulut /l'arrêter avec là lance. le
i^taurêfiu enfonça sa corne dans:le cheval.
Article troisièmes îu'-ii, question du dia-'i
Mon cher Paudi'Ule. disait te commandeur,
parents, 'neveux ct cousins, pendant, les trois
iVioisn'iii suivront ma mort et précédprqrit l'ou-
'àllécliés par le des^r
chvjidfesedKi'' ihoïii diamant et de se t'arracher' au
eux; s'égorgent! utv peu
moins siU-'ïèven'uivajil par ci^paV l;t:-Mondia-r|
muni .'doit .être la pomme; de disyorde .,qui me
jopiii'- cher Paniicilif tii pcrises'.>ien queje.s.e-
ràis désole cep'Miaïii qwe le diàtoant lut trouyô r
Ïjav'l'uVi 1).IL. lui sans bruit m
meuule à double fond; daûs-ee 'meuble est 'la
cjé^n souterrain où nous :j'"»iyous enfoui, et a'ia j
éjèrilfis de ràâ Bi;}irip,our que ces beaux»fiis par-
l'éirtrée duëbutenaïu. ce pas.,
àfàril ic oôUVÇt, mais non ? diamant;. Le dia-J
pottr sra éousyhe,
Pandrille s'arrêta et.tewHUjai-a sa lecture..
111110 semble que c'est assez elaH\ilil-Ui
vais faire est parfaitementfionfprine
se prit à rire
̃I, _ont-i!s couru après moi. ces beaux mes-
'I sieurs? si bien piétiné de ci'et
jusquau cœur. Le picador, n.eui que m
temps d'escalader la barrière. Le taureau
fit au cheval, qui essayait de se, relever, dix,
blessures nouvelles. <
Alors le deuxième, picador à cheval vint
lui en une seconde ce.deuxiÈ:me cheyal fuy.
renversé, et tomba de tojite sa pesanteur sur
la poitrine de son cavalier! •
Bravo, taureau! s'écria la foule.
Le célèbre Cucharès, qui était le torero de
cette course, fit Un signe en voyant que lE,
taureau clierc-bait'à tuer, sous le cheval,' le'
cavalier. Il était accompagnéd'un torero
néophyte. Luc"s Blanc®.
Les chulos agitèrent leurs capes pour dist
traire l'animal..
Il s'élança sur Lucas-Blanco, qui pirouett^
sur le talon avec une tranquillité infinie. le
taureau passa et" alla à la-poursuite des chu-
os, qui escaladèrent la barrière, il ne put
I qu'enfoncer ses cornes dans les planches de
'1 enceinte.
Lechulolui jeta son manteau €«r la -tète?.
et vit trois hommes qui 'tiraient le picadot,
renversé dessous son cheval. Le ï)icâdoi
était sanglant.
Letaureaus'élançasurcegi'bïipe; lestroig
porteurs, terrifiés, abandonnèrent le blessé
le blessé fit un geste suprême, il allait pépir.
quand le troisième picador se mit entre l'a-'<
riimal et son camarade moribond le taureatf
brava, pour la troisième fois, la lancée
renversa cheval et cavalier, et hésita s'if
deva i i éven trer l'homme, pu. le quadrapède.
Lucas Bianco lui offrittators)îe combat.. Lfe
i taureau «élança Lucasse jeta gracieusement
de côté. la bête se retrouva à dix pas !le!
Elle revint a hii tê|e baissée, Lucas lui
la pointe du pied entre les deux cornes et lu|
sauta pardessus la fôte. ̃
Bravo L Lucas s'écria la foule.
Le taureau revint, mais Lucas eut un ac,
cident. il g'issa sur un bouquet qu'on tui a.
vait jeté; il tomba; un grand cri sortit do
vingt mille bouches'
En ce montent dés Tatifares sonnèrent, c'é-
tailla reine qui entrait dans sa loge, et, que
safuait Lucas qui n'avait point de blessures.
;*par un miracle les cornes avaient passé de§
deux cotes de son corps.
Cuçharès apparut aMprs et souple .coou,
me un danseur, il tournoya autour de la bètft
folle et aveugle de rage.
Et finit par plonger, une épée qu'il ramas-
sa dans l'arène, la sienne s'étnit brisée ;h la
première passe, entre les deux, épaules dv
ta.H|;e|v:, que leÇa.ch^]ter^a,cIiey|i,
Vodà, en abrégé, les courses de taureaux?
de Madrid. L'autorité a imposé à M. ArnauFt
certaines modifications de'ÏSTid et de forme1
qui ont paru nécessitées par nos habitude!
phis réservées 'en matière de cirque quéla
célèbre tradition des arènes éspagnéles.
D'abord on-ne dira point courses do tau-
reaux, le mot faisant peur en raison de
chose sanglante qu'il désigne ordinaire-
ment: voilà pour là forme. Au'fond, nl n'y,
et de là, que leur cœur a -dû battre cent vingt
pulsations à la minute, juste le double de Fécat
normal.
terne "à1 tèVte,
liohs'ihaniïscKtes du commandeur et s'arma d#
sabêehe; s
MM; de Ma Itevert avaient simplifié la besogne
en remuant le sol une première Ms et en lui en-
le Oigne intendant eût mis. a..nu le joli cottret:
–Quel charmant biiovt murmura-t-il. Quano
on; songé1 que 'toutes les' limes du monde n'en'
feraient pas sauter la serrure. 'Et tes pau-
vres messieurs qui s'imaginaient qu'il n'y^avait
qu'use baisser pour .^voir Je diamant. Neimi.
nous avons des diamants, nous tes mêlions ex
sii'retë:Âli!'par exéniple! si'vous aviez eu de;
outils pour déceller le coffret, ohl aloiv.
PaùdriHe, ces mots, tira deux -pistoiuls de
sa:pocii<îi • •
Alors, mes maîtres, acheva-t-ii. je vous
envoyais tous tes deux ad patres, fct yous restiez
dans'lo souterrain où je vous aurais t:rJ erres.
Qui diable l'aurait' su?
L'intendant riai^^oujôurs en débitai}!, son bi-
zarre monblo'guê.
ii tira une clé de sa poche, une de uéflée.
mia;uorine et luisante.
Je suis persuadé, mes beaux seigneurs,
continua-t-il, que si vous eussiez su qr.o re I)i2»u
était en ma Dossessiori. vous m'auriez traite avec
6 mois ITnaa.
liK
«.s;*
mois
̃ l Mandat* ou tlmbres-ppste
Numéro OS»' ̃.
Vcndrçd| 35 «août f8«M»
TIRAGE 0 >tï.l
i
TAW11MI-K A L'ÎHHPdMOJIKÎ'V
j'ai dit à M^Ai-nqulty 1©
directeur ;l<; l'Hippodrome, que son répen-
taira était usé comincv-un calembour -de vau-
devilliste.
Son Robert Macaire et son
suivis par le^ gendarmes sont d'un niecfiocrt1
intérêt,1 tant que
sa, pas un
Les guenonsà cheval sont do vieilles coa-
naissances.
Blondin dansant sur la bordclâisse', les
esprits froids elles t'Ouâ'désurticulés.
Le quadrille Louis. XV ës,t maigre; oh
plaint les amazones, .dont rbabii de pour a
perdu, sesj paillettes.
Tx'i animaux
avec leurs yeux tranquilles fi'x;és sur, lcipu-
blic. de calculer le montant de ta recette.
M A r n au 1 1 s'es t p igué d 'lïonnéur, Il a oh-
tenu l'autorisation d'ûfiqoriïb'atde taureaux.
Ce ne seront pas'des aniniaux. doux.
eoinnifi le. corf de 1 860. qui courait, après lés
chiens, ou bs vaches Landaises qui se lais-
saient traire- comme )es brebis de M' Des-
houl.ières,. ̃
Ce sontdes taureaux Véritables, d'une hu-
meur assez farouche, et déjà impatients du
lourde Paris.
Ils ont mugi d'une Saçon peu rassurante
dans les wagons, et on a été obligé de leur
intercepter la lumière pour les obliger à se
tenir plus convenablement en chemin de
fèrv ̃ .̃•̃̃ "•̃•-•̃;
Us sont jusqu'à présent au
tre dont ;yoi(?i les noms,:
ans.;
id. dedans,;
id. deftans.;
Ils ont été choisis par M. Mestro et sortent
de sa ttifinàda. Ils sont aussi sauvages
qu une, ^H do quatorze ans. et ont telle1;
.njëfit'ja tureiir de' là -'couleur rouge qu]on
prpH)tpour les gens. décores de- la Légion
l'^onr.cur.. >̃•̃̃ .̃'
̃̃̃; »** f -,•
Lu. courte de taureaux de l'IIipppdrQnjp ne
sçna; pas^absolument, cçiljes, de.
l'i:spii{2;ne.
Partons Madrid pour exemple.
Les Madrilènes préfèrent 'an
m J'à ro //<̃/ Prinâipr.:i\\j Teatrp de !d Crus,'
xa T"a'ro de Lope 'ou on Joue les opérellçs. Me. l.ieu'de délices
̃ que l'on nomme les Taras. '•"
C'est en que l'on construisit,, près, de
ia porte d-Alcala, la Phaza qui sert, encore
• aujourd'hui aux taureaux. C'est un cirque
énorme, qui n'a rien de-remarquable à l!ex-
FEUILLETON, DU.
bu 2o aoi't 1865
-LK 'DIAMANT DU
L'^rmirir1. qui marchait' à -pas lents, uiife li&-
<-ht» sur réniuHé;
un sourire narquois à!ux- lèvres; c'était maître^
Pàndrijle. • li .̃̃̃ f T_
•Le digne inlencinni que nous avons 1 tusse, si
fur wn'ii' des iiilô'f innés amoureuses de sto jeu-
ne inaîirc,
̃ quiétude la pfuS parfaite. "r •̃>) <1
il avafl
shaussé des
ne, et sa ('Ûle ùiait onsce d'ùà'gi-bs
tû diisliïié à ic iîroserver 'des rlmuiœ de ce.rj;
't'au. •̃̃̃:••'•' •
Loniaiset fin souiii-e touîà !a fois, sous le-
quel ecl intendant'
mdndo ta sùj)-
pasidoa1- qu'oui imiait pu; établir en le "voyant er1
désolée d'un cliâlcUiin avare et définit quirv;e-
ojanebis à \<\ eliaùx. ̃ ,̃
dans les rues, a la Cale de Carrées,
Contrairement à l'Hippodrome parisien
toutes les places: sont numérotées; on erttre 1
sepl^Cfc sans tumulte.
d'aptes sèn'billet.
L'arêr(èe?t ento.uree d'une barrière circu-
lai ré la: est en .'p'ançlies (h six.
ter tes animaux.
i Elle, est percéii de quatre portes pour le
service de la place, l'entrée des taureaux.
ëtil 'enlèvement des cadavres!
Cette première enceinte est entourée d'une
des, pour mettre les spectateurs à l'abri des
atteintes de certains taureaux, qui, dans t'ar-
deur de, l« poursuilo, escaladent quelquefois
\as tablas. ̃
,1 Le cirque contient 12,-OiK) -places,
On y remarque les gradins' découverts
pour les,
loges et parmi celles-ci, qu'on appelle, pat-
'bos, les loges de la Reine et de i'ayunta-
piiento, fermées par un large vitrage et ri-
bhement'décorées.. • ̃•>.
Les.élégautesde Madrid ont leur loge aua;
..Toros, comme lé g-ïand monde parisien, ses
loges aux Italiens.'
Les places à bon marché sont au soleil
Celles also' (au soleil) coûtent 4réaux;
i Celles à h sombm{h l'ombre) vaient de :6 a
^Qréa,ux.
̃̃
Alexandre iDnjn^.a raconté,, avec sa ver-
ye .inimitable, un .combat
drid.
Je résume son récit. #
L'alguazil de service donne au garçon du
cirque ta clé de la porte d'entrée.
Et tour h tour paraissent les. personnages
de la quadrille,.
Le pica loi; c cst-a,-cljrc l homme acheva),
qui, une lance à la main, attendra l'attaque
du taureau, 'cette,lance piqué la peau, de l,ay
pimal, l'excitse par la douleur; mais ne sau-
rait le tuer.Le picador, dit/Dumas, coua
deux dangers. celui d'être embroché par. te
'taureau, celui d'être écrase par son cheval.'
Le picador n'a pour se garantir que 'des
jambières iïi.i-cùîsse.
,Le çjiyip est.hoHimo 'qui.' un manteau de
îcou'.eur àla main, détourne' le taureau qui
va fondre sur un picador désarçonné, en at-'
'tirant sur lui-même son attention et sa cp-
Le banderillero a 'pour, mission de ne pas
laisser refroidir !a colè're du taureau quaiid,
'ébloui, lassé, il tourne sur lui-rmême. il .lui
planté dans lés deux épaules des bande-
rolles composées de papiers de' toutes cou-1
leurs.- '• • v;1' ̃
Le torero est le commandant du cirque. le
roi delà scène, nous apprend Alexandre D,u-
màs.Ceslle général qui dirige toute la ba-
taille, c'est le'çhef ,au ,ge,?.je duquel chacun
ohôilpassivèment; le taureau lui-même,- saas
point dé-
(jouvert ses trésors.. •-̃
gëiiuu'è' et dehoi1 riloi'qùi'ne laissfiil atiovin uoutc
sur la èoh're1
tu' :>̃• '•' :1-"1 V-'1"
Pftnd-ri.il avait seupé comme quatre et
,bp comme lmvailiM, fentcnips ,
L'exécuieur tesu.inentajre-tle feu M le copf-
maiidëûr '^arrêta U)u,»j jtïs!eaj lalpl,a:œ'ôfl"MM:'die
Hâftëvèrt avaieril
s!5sit auprès^ f eu' soueieux de
n'avoir point un siège plus convenable/et fouil*-
relisons' cette lettre' de lç u ;Mi le
'Éi.PHiidrille tira de ce qu'il appe-
Jyil uiodësteinent une leltriîj et qjmi,aya^l eenen-
qui
n'éesiïn' beau projet! de mJStinoiiliOn' àl'ehdrôit
de MM. ses collatéraux, cousins et neveux: Mi le
avaik i;ru devoir
donner par cent sur
toliieslchuiibs, imsj.û,
fùn^uement tiyçc ^v" va Ici., "̃
fiàndriHè tourna les s art-
rêta ¡da auatrifeme'iJàari>. ̃ • '·
;en iiouler. estsomms à sa puissance • u îe ^ji
îo-hdu'it où ii veut à raide des-chubs. ̃ le
Tous ces.tuteurs du combat de taureaux G.
sont.- vêtus, avec une merveilleuse élégance, b
Leur, vestes sont éliùcelantes de broderies
J'or,- leurs gilets affectent les couleurs écla- h
|jn
le soie, leurs souliers lie s;itni. 1<
Les'cpr.nb.i;H!(s hp.TouL r.eitiMi-qwtH- ptlr la ̃
.'cbsiiovanfR epri^erec ienvs ila.nos.
Autour- de de ma-
driwrs ¡,le six piwls (i-'éluvalion appi'iée ïokro:
EJ lo a un rebord saillant. desiihé> à -servir
d'étrier aux chuios. banderil-'cros et toreros,
prè-^ p:i,r le taureau; c'est
pai':là'quïls s'élançenU par-dessus la bar* .g
rière. j"
de celle .première cloison j
celle bai'i-tère forment un couloir. C'est dans
ce couloir., que sautefltles chu tas et banderil-
leros poursuivis par le taureau, c'est là qiit-î
se 'tiennent lialguâzil lés picadors de 're-
change, le Oa-c!.etero, et les amateurs qui
ont leurs entrées,
Âlexunçin' Dumasexplique ce qu'est le Ca-
ché te. ro..
Le Cachctero est l'exécuteur des hautes
œuvres. Son office est -presque Infamant
quand le taureau est abattu par YàfSe du
torero, et que cependant il soulève encore sa
têto mugissante çt ensanglantés, le Gachclero
enjaiTibs la barrière, entre dans l'arène, se
le chat et le
chacal,, jusqu'à l'animal abattu, et là, traî-
treusement, par derrière, il lui donne le
coup de grâce. Ce coup'se donne, avec un
'poignard ayant là forme d'un `coeur il sé-
pare ordinairement la deuxième vertèbre du
coude la troisième, et le taureau iombecom-
me foudroyé.
Puis. cette exécution accomplie, le eacbe-
tero regagne toujours de son pas oblique le
rébbrdvfranchit la
La'musique est placée Juste au-dessus du
làt-Hf, endroit où on «fiferroe les. animaux.
;-̃•'̃'̃• ̃̃'̃̃̃.̃
Les taureaux, destiiiçs au combat retient
idpuze .heures sans nourriture. Pour les irri-
iter.i.à leur entrée enfance
ifer aiguisé en Hameçon, une touffe de rubans
taux couleurs de leur propriétaire.
Ge'ttif touffe <'a rubans est ,le but de l'am-
bition des picadors et dé.s chulos. C'est un
charmant cadeau a faire à une maîtresse que
de lui donner cette touffe de rubans.
Voici comment se passa le combat de tau-
reaux auquel assista Alexandre Dumas.
Le garçon du cirque ouvrit ta porte du;
toril et se rangea derrière cette porte.
pa's', s'arrêta court;, éblpuipaf la lumière.
étourdi parle bruit,
Il se précipita sur le premier picador.
I cplui-ci voulut /l'arrêter avec là lance. le
i^taurêfiu enfonça sa corne dans:le cheval.
Article troisièmes îu'-ii, question du dia-'i
Mon cher Paudi'Ule. disait te commandeur,
parents, 'neveux ct cousins, pendant, les trois
iVioisn'iii suivront ma mort et précédprqrit l'ou-
'àllécliés par le des^r
chvjidfesedKi'' ihoïii diamant et de se t'arracher' au
eux; s'égorgent! utv peu
moins siU-'ïèven'uivajil par ci^paV l;t:-Mondia-r|
muni .'doit .être la pomme; de disyorde .,qui me
jopiii'- cher Paniicilif tii pcrises'.>ien queje.s.e-
ràis désole cep'Miaïii qwe le diàtoant lut trouyô r
Ïjav'l'uVi 1).IL. lui sans bruit m
meuule à double fond; daûs-ee 'meuble est 'la
cjé^n souterrain où nous :j'"»iyous enfoui, et a'ia j
éjèrilfis de ràâ Bi;}irip,our que ces beaux»fiis par-
l'éirtrée duëbutenaïu. ce pas.,
àfàril ic oôUVÇt, mais non ? diamant;. Le dia-J
pottr sra éousyhe,
Pandrille s'arrêta et.tewHUjai-a sa lecture..
111110 semble que c'est assez elaH\ilil-Ui
vais faire est parfaitementfionfprine
se prit à rire
̃I, _ont-i!s couru après moi. ces beaux mes-
'I sieurs? si bien piétiné de ci'et
jusquau cœur. Le picador, n.eui que m
temps d'escalader la barrière. Le taureau
fit au cheval, qui essayait de se, relever, dix,
blessures nouvelles. <
Alors le deuxième, picador à cheval vint
lui en une seconde ce.deuxiÈ:me cheyal fuy.
renversé, et tomba de tojite sa pesanteur sur
la poitrine de son cavalier! •
Bravo, taureau! s'écria la foule.
Le célèbre Cucharès, qui était le torero de
cette course, fit Un signe en voyant que lE,
taureau clierc-bait'à tuer, sous le cheval,' le'
cavalier. Il était accompagnéd'un torero
néophyte. Luc"s Blanc®.
Les chulos agitèrent leurs capes pour dist
traire l'animal..
Il s'élança sur Lucas-Blanco, qui pirouett^
sur le talon avec une tranquillité infinie. le
taureau passa et" alla à la-poursuite des chu-
os, qui escaladèrent la barrière, il ne put
I qu'enfoncer ses cornes dans les planches de
'1 enceinte.
Lechulolui jeta son manteau €«r la -tète?.
et vit trois hommes qui 'tiraient le picadot,
renversé dessous son cheval. Le ï)icâdoi
était sanglant.
Letaureaus'élançasurcegi'bïipe; lestroig
porteurs, terrifiés, abandonnèrent le blessé
le blessé fit un geste suprême, il allait pépir.
quand le troisième picador se mit entre l'a-'<
riimal et son camarade moribond le taureatf
brava, pour la troisième fois, la lancée
renversa cheval et cavalier, et hésita s'if
deva i i éven trer l'homme, pu. le quadrapède.
Lucas Bianco lui offrittators)îe combat.. Lfe
i taureau «élança Lucasse jeta gracieusement
de côté. la bête se retrouva à dix pas !le!
Elle revint a hii tê|e baissée, Lucas lui
la pointe du pied entre les deux cornes et lu|
sauta pardessus la fôte. ̃
Bravo L Lucas s'écria la foule.
Le taureau revint, mais Lucas eut un ac,
cident. il g'issa sur un bouquet qu'on tui a.
vait jeté; il tomba; un grand cri sortit do
vingt mille bouches'
En ce montent dés Tatifares sonnèrent, c'é-
tailla reine qui entrait dans sa loge, et, que
safuait Lucas qui n'avait point de blessures.
;*par un miracle les cornes avaient passé de§
deux cotes de son corps.
Cuçharès apparut aMprs et souple .coou,
me un danseur, il tournoya autour de la bètft
folle et aveugle de rage.
Et finit par plonger, une épée qu'il ramas-
sa dans l'arène, la sienne s'étnit brisée ;h la
première passe, entre les deux, épaules dv
ta.H|;e|v:, que leÇa.ch^]ter^a,cIiey|i,
Vodà, en abrégé, les courses de taureaux?
de Madrid. L'autorité a imposé à M. ArnauFt
certaines modifications de'ÏSTid et de forme1
qui ont paru nécessitées par nos habitude!
phis réservées 'en matière de cirque quéla
célèbre tradition des arènes éspagnéles.
D'abord on-ne dira point courses do tau-
reaux, le mot faisant peur en raison de
chose sanglante qu'il désigne ordinaire-
ment: voilà pour là forme. Au'fond, nl n'y,
et de là, que leur cœur a -dû battre cent vingt
pulsations à la minute, juste le double de Fécat
normal.
terne "à1 tèVte,
liohs'ihaniïscKtes du commandeur et s'arma d#
sabêehe; s
MM; de Ma Itevert avaient simplifié la besogne
en remuant le sol une première Ms et en lui en-
le Oigne intendant eût mis. a..nu le joli cottret:
–Quel charmant biiovt murmura-t-il. Quano
on; songé1 que 'toutes les' limes du monde n'en'
feraient pas sauter la serrure. 'Et tes pau-
vres messieurs qui s'imaginaient qu'il n'y^avait
qu'use baisser pour .^voir Je diamant. Neimi.
nous avons des diamants, nous tes mêlions ex
sii'retë:Âli!'par exéniple! si'vous aviez eu de;
outils pour déceller le coffret, ohl aloiv.
PaùdriHe, ces mots, tira deux -pistoiuls de
sa:pocii<îi • •
Alors, mes maîtres, acheva-t-ii. je vous
envoyais tous tes deux ad patres, fct yous restiez
dans'lo souterrain où je vous aurais t:rJ erres.
Qui diable l'aurait' su?
L'intendant riai^^oujôurs en débitai}!, son bi-
zarre monblo'guê.
ii tira une clé de sa poche, une de uéflée.
mia;uorine et luisante.
Je suis persuadé, mes beaux seigneurs,
continua-t-il, que si vous eussiez su qr.o re I)i2»u
était en ma Dossessiori. vous m'auriez traite avec
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.21%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.21%.
- Collections numériques similaires Bengesco Georges Bengesco Georges /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Bengesco Georges" or dc.contributor adj "Bengesco Georges")Voltaire : bibliographie de ses oeuvres. Tome quatrième / par Georges Bengesco /ark:/12148/bpt6k23354v.highres Voltaire : bibliographie de ses oeuvres. IV. Orné d'un portrait de Voltaire gr. par Jeannin d'après... Largillière (La "Table de la Bibliographie de Voltaire par Bengesco", a été établie par Jean Malcolm, avec une préface de Theodore Besterman, Genève, Institut et Musée Voltaire, 1953 [8° Z. 32373 (1) / par Georges Bengesco /ark:/12148/bpt6k6460987v.highres
- Auteurs similaires Bengesco Georges Bengesco Georges /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Bengesco Georges" or dc.contributor adj "Bengesco Georges")Voltaire : bibliographie de ses oeuvres. Tome quatrième / par Georges Bengesco /ark:/12148/bpt6k23354v.highres Voltaire : bibliographie de ses oeuvres. IV. Orné d'un portrait de Voltaire gr. par Jeannin d'après... Largillière (La "Table de la Bibliographie de Voltaire par Bengesco", a été établie par Jean Malcolm, avec une préface de Theodore Besterman, Genève, Institut et Musée Voltaire, 1953 [8° Z. 32373 (1) / par Georges Bengesco /ark:/12148/bpt6k6460987v.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/4
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k589043x/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k589043x/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k589043x/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k589043x/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k589043x
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k589043x
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k589043x/f1.image × Aide