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- TABLE DES ARTICLES CONTENUS DANS LE SEPTIEME VOLUME.
- QUADRUPEDES (art de conserver les formes des oiseaux, des insectes, des poissons & des petits).
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- RAFLE DE RAISIN.
ibid. - .......... Page(s) .......... 33
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- Fin de la table des articles du septième Volume.
SE M : O I R- (Art du)
V/N a inventé des semoirs de différentes fortes.
Le mérite de ces ""machines est de réunir à une
construction .facile la sûreté de ses effes ; l'objet
qu'on se propose est d'économiser Sc dé distribuer
.également les graines dont on ensemence les terres,
8c d'obtenir des récoltes plus abon.-an.tes. . ■>
Le semoir ordinaire est Composé d'un cylfodre,
dont la surface est entaillée de plusieurs cellules
où le grain fe place , & dans lesquelles il est en-
. levé à mesure que ce cylindre tourne pour être
versé dans les sillons que les socs , dont cet instru-
ment est armé , ont tracés dans la terie précédem-
ment ameublie par les labours ordinaires, où il
est auffi-tót recouvert par des herses , ensorte qu'il
ne devient point la proie des oiseaux.
Dans un semoir tout monté on remarque deux
brancards, les deux traverses qui les assemblent ,
les mancherons assemblés dans _les extrémités des
brancards 8c reliés ensemble par une entre-toise.
Les deux brancards sont traversés par J'effieu
des roues qui a la liberté de tourner avec une
d'elles, à laquelle -il est fixé par une cheville de
fer.
Sur les bouts antérieurs dès brancards sont fixés
plusieurs crochets de fer ; aux uns ou aux autres
desquels on attache les traits du cheval qui -tire
- cette machine, selon que l'on veut qu'elle chargé
plus ou mpitls en arrière fur les brancards,
Ëntre les mancherons 8c les roues , est fixé soli- '.
dément un coffre de bois , dans lequel est renfermé:
le cylindre dont on voit un des tourillons dans les
faces latérales du coffre, qui font fortifiées en cet;
endroit par une pièce de bois circulaire, dont le
tourillon occupe le centre.
Au-dessous des brancards Sc du coffre, est fixée
solidement urié forte planche à laquelle font afa-
chés six socs, tous les six disposés en échiquier Sc
espacés, de manière que les sillons.qu'ils tracent
parallèlement fur le terrein sont éloignés les uns
des autres de six pouces..
Les dents de la herse tracent d'autres siíloris qui
servent à combler les premiers après que la se-
mence y est tombée par les entonnoirs ou couloirs
qui. sont placés derrière les socs. Chaque dent de
herse remplit à la fois deux sillons, ensorte que
tout le grain que cette machine a répandu est entié-
lemént recouvert.
Le coffre qui contientie cylindre est divisé par
dix cloisons parallèles entr'elles 8c aux faces laté-
rales du coffrev -, ' . ■ ,
Les espaces intermédiaires sont feulement occu-
pés par Paxe ou corps du cylindre, d'un'moindre
diamètre que la surface cellulaire.
Les cloisons s'applsquent exactement par leur
plan contre "les balès des différentes tranches cy-
lindriques j auffi-bien que les deux faces inté-'-
rieures des côtés du coffre ; elles s'appliquent aussi
par leur parrie cintrée fur le'corps du cylindre.
Chacune des cloisons peut se placer ou se dé-
placer à volonté , étant mobiles , entre deux
petites tringles de bois qui leur servent de cou-
lisses , lesquelles sont placées contre les longs
côtés du coffre.
Au milieu du cylindre on voit une poulie po-
lygone qui y est fixée , auffibien qu'une semblable
poulie appartenante à Feffieu des roues.
Les nombres des côtés de ces polygones doivent
être pairs Sc occupés alternativement par des che-
villes de fer de forme pyramidale quadrangulaire
tronquée. •
Ces éminences servent à retenir la;chaîne sans
-fin qui embrasse les deux poulies, par le moyen
de laquelle le mouvement communiqué à Paxe
des roues est transmis au cylindre que le coffre
renferme. _
La face antérieure du coffre est percée de deux
ouvertures inférieures pour laisser entrer lá chaîne,
Sc la supérieure pour la laisser sortir. »
Une des principales pièces de cette machine est
un verrou qui glisse fur la partie quarrée de
Taxe Sc qu'on fait avancer ou reculer a volonté ,
par le moyen d'un gouvernail, Sc dont Fefset est
de fermer ou d'ouvrir le couvercle de la trémie où.
le grain est'renfermé.
Charrue-semoir par M. Brun de Condamìné.
Les pièces qui composent cette charrue-semoir
sont : . t
i°. Une roue de charrues ordinaires à laquelle
on a fait adapter des dents dont on verra bientôt
Pufage.
z°. Un petit effieu de bois portant à fa partie
fopérieure un entonnoir qui rassemblé la semence
Sc l'empêche de se porter plutôt d'un côté que
d'un autre ; ce qui est indispensable pour semer
régulièrement. Ce même effieu porte une palette
qui aboutit sur les dents .de-la roue.
I 3°, Petite espèce de crible qui est placé au-.
V/N a inventé des semoirs de différentes fortes.
Le mérite de ces ""machines est de réunir à une
construction .facile la sûreté de ses effes ; l'objet
qu'on se propose est d'économiser Sc dé distribuer
.également les graines dont on ensemence les terres,
8c d'obtenir des récoltes plus abon.-an.tes. . ■>
Le semoir ordinaire est Composé d'un cylfodre,
dont la surface est entaillée de plusieurs cellules
où le grain fe place , & dans lesquelles il est en-
. levé à mesure que ce cylindre tourne pour être
versé dans les sillons que les socs , dont cet instru-
ment est armé , ont tracés dans la terie précédem-
ment ameublie par les labours ordinaires, où il
est auffi-tót recouvert par des herses , ensorte qu'il
ne devient point la proie des oiseaux.
Dans un semoir tout monté on remarque deux
brancards, les deux traverses qui les assemblent ,
les mancherons assemblés dans _les extrémités des
brancards 8c reliés ensemble par une entre-toise.
Les deux brancards sont traversés par J'effieu
des roues qui a la liberté de tourner avec une
d'elles, à laquelle -il est fixé par une cheville de
fer.
Sur les bouts antérieurs dès brancards sont fixés
plusieurs crochets de fer ; aux uns ou aux autres
desquels on attache les traits du cheval qui -tire
- cette machine, selon que l'on veut qu'elle chargé
plus ou mpitls en arrière fur les brancards,
Ëntre les mancherons 8c les roues , est fixé soli- '.
dément un coffre de bois , dans lequel est renfermé:
le cylindre dont on voit un des tourillons dans les
faces latérales du coffre, qui font fortifiées en cet;
endroit par une pièce de bois circulaire, dont le
tourillon occupe le centre.
Au-dessous des brancards Sc du coffre, est fixée
solidement urié forte planche à laquelle font afa-
chés six socs, tous les six disposés en échiquier Sc
espacés, de manière que les sillons.qu'ils tracent
parallèlement fur le terrein sont éloignés les uns
des autres de six pouces..
Les dents de la herse tracent d'autres siíloris qui
servent à combler les premiers après que la se-
mence y est tombée par les entonnoirs ou couloirs
qui. sont placés derrière les socs. Chaque dent de
herse remplit à la fois deux sillons, ensorte que
tout le grain que cette machine a répandu est entié-
lemént recouvert.
Le coffre qui contientie cylindre est divisé par
dix cloisons parallèles entr'elles 8c aux faces laté-
rales du coffrev -, ' . ■ ,
Les espaces intermédiaires sont feulement occu-
pés par Paxe ou corps du cylindre, d'un'moindre
diamètre que la surface cellulaire.
Les cloisons s'applsquent exactement par leur
plan contre "les balès des différentes tranches cy-
lindriques j auffi-bien que les deux faces inté-'-
rieures des côtés du coffre ; elles s'appliquent aussi
par leur parrie cintrée fur le'corps du cylindre.
Chacune des cloisons peut se placer ou se dé-
placer à volonté , étant mobiles , entre deux
petites tringles de bois qui leur servent de cou-
lisses , lesquelles sont placées contre les longs
côtés du coffre.
Au milieu du cylindre on voit une poulie po-
lygone qui y est fixée , auffibien qu'une semblable
poulie appartenante à Feffieu des roues.
Les nombres des côtés de ces polygones doivent
être pairs Sc occupés alternativement par des che-
villes de fer de forme pyramidale quadrangulaire
tronquée. •
Ces éminences servent à retenir la;chaîne sans
-fin qui embrasse les deux poulies, par le moyen
de laquelle le mouvement communiqué à Paxe
des roues est transmis au cylindre que le coffre
renferme. _
La face antérieure du coffre est percée de deux
ouvertures inférieures pour laisser entrer lá chaîne,
Sc la supérieure pour la laisser sortir. »
Une des principales pièces de cette machine est
un verrou qui glisse fur la partie quarrée de
Taxe Sc qu'on fait avancer ou reculer a volonté ,
par le moyen d'un gouvernail, Sc dont Fefset est
de fermer ou d'ouvrir le couvercle de la trémie où.
le grain est'renfermé.
Charrue-semoir par M. Brun de Condamìné.
Les pièces qui composent cette charrue-semoir
sont : . t
i°. Une roue de charrues ordinaires à laquelle
on a fait adapter des dents dont on verra bientôt
Pufage.
z°. Un petit effieu de bois portant à fa partie
fopérieure un entonnoir qui rassemblé la semence
Sc l'empêche de se porter plutôt d'un côté que
d'un autre ; ce qui est indispensable pour semer
régulièrement. Ce même effieu porte une palette
qui aboutit sur les dents .de-la roue.
I 3°, Petite espèce de crible qui est placé au-.
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