fini, ataon', qu'est-ce que . j'aurais
pris par les critiques !... A qoii^la
fa/uta?... fMlate 'à, moi', pardi../'je
n'ai pu suiivre le stage de farïs,
' étant pris, de mon côté, par des
stages *— éreihtahts — à conduire,
(en province. Mais c'est une leçon 1
pour tnod!, emi même temps qu'un
avertissement.» ■
Chocat: % Non, je n'ai 'pas èn-
/Core nefraiwé ma cadence de Lou,
■ dires !... Et puis, il a .fallu ce mau-
dit, COUP de coude dans lés côtes
pour me couper définitivement la
respiration-Je me.rachèterai bien-
tôt, car la sadsicxn est [tangue !...'»
_Derency": «Quelle maudite an-
gine, elle m'a) yis-cooniplèteiinent à
plat. Dire que je. me rendais comp-
te que cela 1 m'aJUaàt pas, et j'espé-
rais toujours que la minute suivan-
te cela-irait mieux. » ^
Desaymonet : « 33s sont coriaces
les (Belges. A' mon actif, j'ai une
bévue de première. Vous avez vu
la passe que j'ai' mise dans les
mains de Meuris ?... Et foi'eni j'avais
tout simplement pris ce dernier —
à moitié caché — pour Chocat.
Aussi, vious parlez de ma déconve-
nue !... Surtout qu'uni,panier a ter-
miné cet exploit!...»
Ceux qui n'étaient pas
à Londres
Saligûon : « Bonne mère, que jë~
suis content !... C'est là le plus beau
jour de ma vie. Si j'étais confiant
en entrant sur le terrain ?; Bien:
sûr, ■ puisque, malgré-, nôtre ' retard-
à~JIa marque, Busnel-nous avait dit,
à Uessemme et à moi ; «Allez-y,
«maintenant vous gagnez»:„ Vous
avez vùi ?... » :
~ Dessemme : Moins bavard, le
montaginiairdi, mais -tout aussi con-
tent : «-J'ai été' servi dans de (bon-
nes conditions, alors, ."si" j'avais
manqué die telles occasions, mon
avenir était fichu. » r-, -
Szwidzinski : «.Je ne comprend
'.pas, tout allait--bien -a . li'eOEitraihe-
rnent,- je me sens en>- batihè -condi-
tion -piiysiiqu'e., et pan !.'.. il n'y a
rien à faire sur ce imaudit plancher.
Aurais-je une autre chance, .main-
tenant .?...>■ -, \\
Favory : «Eh ibien 1, non; je aie
suis pas content de moi. Je: n'étais
pas. dans le «couip»^. Il me faut,
c'est "certain, ibieo plus d'entraîne-
ment pour être en tCorme. » , ' '
Bressy >-« Je ne voudrais, pas
.avoir déçu- pour mes débuts. Mais
ayant été Critiqué avant le match,
j'ai peur «ue l'on soit injustement
sévère pour--tnoi. Mais, foi.de -Bresr
sy,. je /il'ai pas , dit mon,' dernier
■mot s> ''.
Quelques opinions... diverses
Meuris (Capitaine belge) .:., «E ",-
n'a pas> vidé soin surhotn- de « feu
follet » votre (Perrier. Car, jamais I
de ma vie, je n'ai tant couru. J*ai
/énormément, souffert ' au début, ' car
je .ne .pouvais-'trouver raon rythmev^
reàpiratoiré. »'
- Briot (manager belge) : « '-es
«neâlieuirs finisseurs ont' gagné!....;
fVEais, à M prochaine, â BruxeUeS. '
Je retiens votre ^cHronométreur; car
il nous a fruste sur 'le temps !... » .
M. Jones (Secrétaire gênerai de la
F.I.B..A.)V: s< Très bon match. Les |
Belges ont commis une erreur'en ç
demandant un temps mort alors
.qu'ils avaient l'avantage. Cela a pér-
mis aux Français de trouver la
cadence qu'ils n'avaient jamais eue » *
M. Pfeuti (arbitre suisse).'.— Je I
.n'en reviens pasencore de ce boute- j
versement final. Je n'aurais pas, à î
dix minutes de la fin, misé un franc
(suisse.) sûr les chances françaises » i
M. FoDati (arbitre italien) : ±
« 'Quel > joli! match. Mais surtout .",
quelle foule, quelle ambiance, quel '
public sportif .'C'est la première fois
que je vois cela dans ma carrière de
basketteur et d'arbitré,,». 1
\fiaM de ôotyti et d'Sqtôt...
...Qâàce au J-ud de $MiUd.
3tm £e& câiff,%e&
; LIE larMAYCii If IKANCIE^lBEieiCUIC
, , A 12 Novembre 1948
^ -■ • X - < '- - "- . - '■-/■■
™^™. """ ' KANIEBS COUPS FRANCS Fautes Total des noints
EQUIPE DE FRANCE '-r — . ^ -r-' ■.——— ■—■- • **ZZ? ^5™,,S?
tentés ' réussis tentés réussis, I"*son. mwixies
J. aPERRIER' ..'. 11+. 9 = 20 1 + 4= 5 -Il 5"'-■ - 3 '-'"/ 5 + 10 = 15
R. CHOCAT......... ' 9+ C=13 3 + 1= 4 ' Z 1 » 6+3 = ^9
J. SAUJGNON. 0+ 5= 5' 0 + 2= 2 1 ■'-r 1 ~ 1- 0+5= 5
,J. DESSEMME....... 0+5= 5 0+2= 2 ......... 0 0+ 4= 4
- A. BUFFIERE (Cap.) 2+ 0= 2~ . 1 + 0 ==/1 -.. ..\;.... . .'. >0\ 2+0= 2-
R. DERENCY 5+1=. 6 1 + 0= 1 J. 0 ■ -■ 1 2+ 0= 2
M. DE.SAYMONNET. 0+ 2 = >2 1 1 2 1+ 0= 1
J. SZWHJZINSKI... 3+ 1= 4' 2
J. BRESSY .......... 0+2=2 ....i .'..; « v '.
J. FAVORY ..'...:.. ......... 0 .... r. 1. ..^.v...
' - -.«__«._ —_.——_ - i^.—^_»
___-_I_^ _.._.-...:.. 30+;29 = 59 6 + 9 = 15 16 .:.-..'■ 8 , 11^ S 16'+ 22\i 38?;
!■■■■■■«■■■■■ ■■■^«■B !■■■■■■■■>■■■■&■■■■■ ■■■■■■■■■■■~; !■■■■■■■■■■■ I«P1«B«"""P; IV M M pli ■■««■■■■■■■■MS '
EQUIPE DE BELGI- -v' '.''.-- ' i^''.
QTJE 31 + 27 = 58 6 + 6 = 12 v 13> 6 13 16 + 14 = 30
.-' _ ' ^ . ' v , c ■-'..' v '■-. - :-; i,;.-.'.--'\. ■
' . Points marques: Meuris (Cap.) : 6; Baert : 6; Verméulen: 5; Steurbaut : 5; Depauw : 4;
rîu, - Ange Hollanders : 3; Bernaer: 1. ■ ".-, :-^--:
1 ,i i .^J^^_ ' ■. '" ' .: ! :. ' ■■■■ • _____^________ - "'■ - ' '. 'f. .-/-■'
Réalisé par Louis DUXINde^ïâ Commission, de Propagande .
^_ /T j>otée depuis 1925 d'une CAISSE AUT&NOMÊ MUT^AMSTEV ■
'' ife^ M MUTUELLE NATIONALE DES SPORTS j
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'"""--r-^ '.'r* * , des -iprestatioins - qÀitoriaèes par la f^uxuALÉRE .^8
^Frais mêdiomx, phmtnarcetitiqttes, Qhimgi£mx^Ù'hm0ciisation. S
^Lçs inmlictités depuis le \ev degré sur 300.000^00.000 et A .600.000 francs. V \J I
Les décès à 50^000/100.000, ! 100.000/20010001 150.000/300:000/ronca. \. "" Vif
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L
E franc-par 1er, c'est se permet-
tre de 'dire toute la vérité, tan-
dis, que la franchise est une
qualité d'homme- loyal et sincère.
Ici,'il ne s'agit pas de commettre
une action qui mérite d'être blâmée
en faisant ^allusion à une'question
délicate posée .a'J dernier Connité de
Direction plënier.- La discussion n'a
pas été inutile. ,ët'la conclusion fut
heureuse. C'est (l'essentiel !
H ne s'agit pas non plus de vouloir
faire un récit circonstancié des iri-,
terventions, d'a^nalyser les faits qui
avaient motivé certains actes, ou...
de .chercher 1» pierre philosophale.
. Disons, simplement : « Tout_est
bien qui finit bien !» .
Ainsi, il est -vrai que les vieux Ca-
marades sportif s .-ne peuvent pas
s'aubMer et que les expériences vé-
cues de part et d'autre, ne peuvent
pas — même ne doivent .pas — se
perdre dans les affreux remous
d'une gueire froide oui dans les gouf-
fres d'un grand silence.
.Ceux que le'destin n'a d'abord
que rapprochés par un idéal, se dé-
couvrent peu à peu, se trouvent et
s'attachent par les indestructibles
.Mtens que. tisse la grande amitié.
C'est cela qu'il faut essayer de dé-
gager de la confoiitration d'hommes
que quelque, chose oppose, mais qui
sont conduits' à s'estimer par le mys-
térieux cheminement des faits, et
bien 'des fois, par les mystérieuses
forces qui nous dépassent.
Toute cohvictiqn sincère mérite le
respect ! '•"• -
^ Soyons donc toujours de bons ca-
marades ou autrement dit : d'excel-
lents compagnons de'travail agissant
en toute circonstance, en faveur du
Baske^ et de notre Fédération.
Aussi cultivons fermement la
très belle chose qu'est'l'amitié, cet^-
affection pure, mêlée d'estime.
Philippe G. WALTER,
Vice-Président de la F.FsB.B.,
"s Présidépi de la Ligue d'Alsace
■■■■■■■■■■^■■■■■■■iÉafÈiiHipaïaa^aiMaM"1^1"^. 1
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