Titre : Le Ménestrel : journal de musique
Éditeur : Heugel (Paris)
Date d'édition : 1925-05-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344939836
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 44462 Nombre total de vues : 44462
Description : 29 mai 1925 29 mai 1925
Description : 1925/05/29 (A87,N22)-1925/06/04. 1925/05/29 (A87,N22)-1925/06/04.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k57948161
Source : Bibliothèque nationale de France, TOL Non conservé au département des périodiques
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2010
LE • MENESTREL
sélection habilement composée du Missel chantant de La-
parra, qui alla aux nues.
M. Francell, très acclamé, dut ajouter à son programme
d'assez nombreux morceaux, et notamment « La Vieille
maison grise » du Fortunio d'André Messager, qui lui valut
autrefois son premier grand succès à l'Opéra-Comique. Il
sortait alors du Conservatoire où il avait eu la bonne fortune
d'être l'élève de Mme Rose Caron, dont le grand nom
rayonne sur notre art lyrique et dont tant' d'artistes en vue
s'empressent encore aujourd'hui, pour leur plus grand
bien, de solliciter les conseils. Comme beaucoup d'autres,
M. Francell lui est redevable d'une part de ce talent qui
fait de lui un des meilleurs et des plus clairvoyants inter-
prètes des oeuvres de nos musiciens modernes, dont il se
fait, au cours de ses nombreuses et triomphales tournées
à l'étranger, le plus,ardent protagoniste.
Mme Francell-Fernet accompagna |ces deux progrzmmes
avec une maîtrise singulière, affirmant une fois de plus
un talent de pianiste et de musicienne hors de pair.
P. B.
Concert Marguerite Long. — L'oeuvre pianistique de
Gabriel Fauré a toujours trouvé en Mme Marguerite Long
une interprète d'élite, La séance .donnée le 19 mai à la
salle Érard en fournit un nouveau et éclatant témoignage.
On ne pouvait souhaiter hommage plus fervent rendu à ce
grand musicien que cette prestigieuse exécution de. la Bal-
lade, des Nocturnes, des Impromptus et des Barcarolles.
Mme Long y fit preuveune fois de plus non seulement d'une
maîtrise technique incomparable, mais aussi d'une intelli-
gence éblouissante, d'un sens pénétrant du style fauréen, de
ses subtilités harmoniques, de sa souplesse ondulante, de la
séduction infinie de ses sonorités enveloppantes et apaisées,
Le succès de la grande artiste fut considérable. Mais,
malgré la vive insistance du public nombreux qui l'accla-
mait, Mmo Long ne crut devoir ajouter aucun morceau à.
son programme, fort court mais merveilleusement équilibré.
Elle rendit ainsi un ultime et délicat hommage à la mé-
moire d'un maître qui posséda à un degré exceptionnel le
don de la mesure et de l'élégance discrète.
M, Roger-Ducasse exécuta sur un second piano la réduc-
tion de l'accompagnement d'orchestre de la Ballade. Il le
fit avec un soin pieux et mérita une part du succès.
P. B.
Au Caméléon. — Soirée Silvio Lqtfari. -r- M. Silvio Laz-
zari est surtout connu comme musicien dramatique. Sa
Lépreuse et son Sauteriot sont au répertoire de l'Opéra-
Comique et comptent parmi les oeuvres les plus solides de
ces cinquante dernières années. On reproche quelquefois à
M. Lazzari-, c'est d'ailleurs le seul reproche qu'on lui puisse,
faire, d'être triste en ses conceptions. Il est exact que la
Lépreuse et* le Sauteriot ne sont point par leur livret des
sujets distrayants. Ceci ne veut pas dire que le musicien ne
sache exprimer la.joie de vivre, l'élan fécond de la jeu-
nesse, sa musique de concert en est un témoin. Sa Sonate
est pleine de mouvement, ses mélodies : te, Cavalier d'OI--
rnedo, Sur l'Eau, la Chanson du Meunier, sa Rapsodie, pour
violon ont une robustesse, une allure de fraîche santé sur
lesquelles la mélancolie n'a point de prisé.
Dans toutes ces oeuvres M. Silvio Lazzari conserve trace
dé son tempérament dramatique : il sait, au cours de ses .
développements, tenir éveillée l'attention de l'auditeur.'
Dès interprètes de M. Lazzari mettons en vedette Mme An-
drée Arnoult qui'donne à la partie de piano des oeuvres
interprétées toute sa valeur, tâche difficile, car pour deux
d'entre elles, je crois, elle devait évoquerl'impression d'or-
chestre, ce qu'elle fit d'ailleurs avec beaucoup de tact.
M. Roger Debonnet a un tempérament généreux, M1Ie Cour-
batier a une voix extrêmement agréable qu'elle manie avec
' sûreté; elle dit fort bien. P. DE L.
Concert Roger-Miclos. — Mme Roger-Miclos continue son
oeuvre de propagande pour les auteurs contemporains. Elle
qui fut une interprété si parfaite des classiques et des ro-
mantiques' se plié avec une souplesse extraordinaire aux
thèmes souvent heurtés et dissociés de la musique moderne
Mais, en même temps, elle leur donne cette élégance cette
impression de construction qu'elle a recueillie de la grande
tradition classique. '■:'■"'■
Parmi les oeuvres exécutées signalons Préludi ÂutumMU
de Mahpiero et A Bruges de M.Marc Delmas dont c'était la
première audition. Deux Bagatelles {de M. Tcherepnine'et
Baigneuses au Soleil des- Déodat de Séverae. Chaque style
fut exprimé avec une grâce infinie. R §•
Premier Concert Jascha Heifetz. =- M. Jascha Heifetz est
incontestablement un des meilleurs virtuoses du violon •
un son toujours plein, harmonieux, jamais grinçant, une
attaque franche, une netteté complète de touche ; des. effets
obtenus sans effort : c'est vraiment au point de vue tech-
nique la perfection.. Il a joué le Rondo capriccioso de Sàint-
Saëns avec une aisance et une élégance à nulle autre pa-
reille. De même pour la Sonate de Grieg, pittoresque et
charmante. Délicieux aussi apparut le si aérien Cortège de
Lili Boulanger qu'on lui fit bisser; mais tout cela ne nous
présenta guère qu'un côté du talent de M. Heifetz : la vir-
tuosité. Son second programme paraît mieux conçu : Beefr
hoven et Bach lui donneront sans doute le moyen de
montrer plus d'ampleur et d'émotion que son premier pro-
gramme rie le comportait. P. DE L.
Récital M. Meyer (ig niai). — Très beau, programme où
figuraient notamment une Partita en si bémol majeur de
J.-S. Bach et une des premières oeuvres de Brahms, la So,-
nate en fa mineur, pp. 5, mais exécution faible, due aune
technique encore bien inhabile. A. S.
Concert Riss-Arbeau -{a3 mai). — Concert très varié,
presque trop même, tant y voisinaient les oeuvres les.moins
propres à être rapprochées. On remarqua surtout la sou-
plesse avec laquelle Mme Riss-Arbeau exécuta les Inter-
mefâi si peu joués de Schumann et une Valse de Fauré. Et
c'est avec beaucoup de délicatesse que M 110 Marguerite Riss^
Arbeau chanta des mélodies de Schumann et de Fauré.
; ■-. B. N.
Concert Georges Enesco-Henri Etlin (14 niai). — Ce fut
une magnifique séance que celle où deux artistes comme
Enesco et Henri Etlin consacrèrent leur talent à la gloire
de Fauré. Combien apparurent dans leur claire beauté les
deux Sonates -pour piano et violon! Une salle comble fil à
Enesco et à Henri Etlin une ovation sans fin. '
Le Mouvement musical en Province
Angers. — Concert Enesco..— Si la salle.du .Çirqu;e--
Théàtre se prête assez bien aux auditions avec orchestre,
. son volume, de respectable importance, et la pauvreté de
ses murs ternes semblaient moins désignés pour y recevoir
un hôte de l'envergure de Georges Enesco. ..
Et pourtant c'est là que nous l'avons applaudi sans
réserve; c'est là qu'indifférents ; aux' choses nous avons
écouté dans le recueillement les sonorités; magiques,.^
élans passionnés, le lyrisme éblouissàntde ce grand-prêt _
du violon. A peine l'archet a-t-il touché Vies.cordes que ^
communion entre l'artiste et l'auditoire est. compieie_
c'est ainsi que jusqu'au bout .de la soirée nous ayons ^
le charme des textes qu'il développa à. s *™Wl<*e^„-
que toujours il sut envelopper d'une émotion proqig ..
ment humaine. ; ■ : ■-:f';t cari
. Le plaisir des yeux est aussi largement-satisfait, .^.--
beauté d'une attitude quand elleest au service de 1 ,..^.
fait que le magnifier et l'ennoblir..-. ' ■ rpnaif là
Le programme, d'une-réelle, impomnce^çpmprw^
majestueuse Sonate en la majeur, de Hoendel. ira j,^
ment suivie de la Pre'ctewse de Coûperjn-Kreisier, _ ^^^:
de Bach, qui, n'étant étranger pour personne,.Jut p ....
une révélation, et le Menuet de Porpora-Kreisier, .-,.
240
sélection habilement composée du Missel chantant de La-
parra, qui alla aux nues.
M. Francell, très acclamé, dut ajouter à son programme
d'assez nombreux morceaux, et notamment « La Vieille
maison grise » du Fortunio d'André Messager, qui lui valut
autrefois son premier grand succès à l'Opéra-Comique. Il
sortait alors du Conservatoire où il avait eu la bonne fortune
d'être l'élève de Mme Rose Caron, dont le grand nom
rayonne sur notre art lyrique et dont tant' d'artistes en vue
s'empressent encore aujourd'hui, pour leur plus grand
bien, de solliciter les conseils. Comme beaucoup d'autres,
M. Francell lui est redevable d'une part de ce talent qui
fait de lui un des meilleurs et des plus clairvoyants inter-
prètes des oeuvres de nos musiciens modernes, dont il se
fait, au cours de ses nombreuses et triomphales tournées
à l'étranger, le plus,ardent protagoniste.
Mme Francell-Fernet accompagna |ces deux progrzmmes
avec une maîtrise singulière, affirmant une fois de plus
un talent de pianiste et de musicienne hors de pair.
P. B.
Concert Marguerite Long. — L'oeuvre pianistique de
Gabriel Fauré a toujours trouvé en Mme Marguerite Long
une interprète d'élite, La séance .donnée le 19 mai à la
salle Érard en fournit un nouveau et éclatant témoignage.
On ne pouvait souhaiter hommage plus fervent rendu à ce
grand musicien que cette prestigieuse exécution de. la Bal-
lade, des Nocturnes, des Impromptus et des Barcarolles.
Mme Long y fit preuveune fois de plus non seulement d'une
maîtrise technique incomparable, mais aussi d'une intelli-
gence éblouissante, d'un sens pénétrant du style fauréen, de
ses subtilités harmoniques, de sa souplesse ondulante, de la
séduction infinie de ses sonorités enveloppantes et apaisées,
Le succès de la grande artiste fut considérable. Mais,
malgré la vive insistance du public nombreux qui l'accla-
mait, Mmo Long ne crut devoir ajouter aucun morceau à.
son programme, fort court mais merveilleusement équilibré.
Elle rendit ainsi un ultime et délicat hommage à la mé-
moire d'un maître qui posséda à un degré exceptionnel le
don de la mesure et de l'élégance discrète.
M, Roger-Ducasse exécuta sur un second piano la réduc-
tion de l'accompagnement d'orchestre de la Ballade. Il le
fit avec un soin pieux et mérita une part du succès.
P. B.
Au Caméléon. — Soirée Silvio Lqtfari. -r- M. Silvio Laz-
zari est surtout connu comme musicien dramatique. Sa
Lépreuse et son Sauteriot sont au répertoire de l'Opéra-
Comique et comptent parmi les oeuvres les plus solides de
ces cinquante dernières années. On reproche quelquefois à
M. Lazzari-, c'est d'ailleurs le seul reproche qu'on lui puisse,
faire, d'être triste en ses conceptions. Il est exact que la
Lépreuse et* le Sauteriot ne sont point par leur livret des
sujets distrayants. Ceci ne veut pas dire que le musicien ne
sache exprimer la.joie de vivre, l'élan fécond de la jeu-
nesse, sa musique de concert en est un témoin. Sa Sonate
est pleine de mouvement, ses mélodies : te, Cavalier d'OI--
rnedo, Sur l'Eau, la Chanson du Meunier, sa Rapsodie, pour
violon ont une robustesse, une allure de fraîche santé sur
lesquelles la mélancolie n'a point de prisé.
Dans toutes ces oeuvres M. Silvio Lazzari conserve trace
dé son tempérament dramatique : il sait, au cours de ses .
développements, tenir éveillée l'attention de l'auditeur.'
Dès interprètes de M. Lazzari mettons en vedette Mme An-
drée Arnoult qui'donne à la partie de piano des oeuvres
interprétées toute sa valeur, tâche difficile, car pour deux
d'entre elles, je crois, elle devait évoquerl'impression d'or-
chestre, ce qu'elle fit d'ailleurs avec beaucoup de tact.
M. Roger Debonnet a un tempérament généreux, M1Ie Cour-
batier a une voix extrêmement agréable qu'elle manie avec
' sûreté; elle dit fort bien. P. DE L.
Concert Roger-Miclos. — Mme Roger-Miclos continue son
oeuvre de propagande pour les auteurs contemporains. Elle
qui fut une interprété si parfaite des classiques et des ro-
mantiques' se plié avec une souplesse extraordinaire aux
thèmes souvent heurtés et dissociés de la musique moderne
Mais, en même temps, elle leur donne cette élégance cette
impression de construction qu'elle a recueillie de la grande
tradition classique. '■:'■"'■
Parmi les oeuvres exécutées signalons Préludi ÂutumMU
de Mahpiero et A Bruges de M.Marc Delmas dont c'était la
première audition. Deux Bagatelles {de M. Tcherepnine'et
Baigneuses au Soleil des- Déodat de Séverae. Chaque style
fut exprimé avec une grâce infinie. R §•
Premier Concert Jascha Heifetz. =- M. Jascha Heifetz est
incontestablement un des meilleurs virtuoses du violon •
un son toujours plein, harmonieux, jamais grinçant, une
attaque franche, une netteté complète de touche ; des. effets
obtenus sans effort : c'est vraiment au point de vue tech-
nique la perfection.. Il a joué le Rondo capriccioso de Sàint-
Saëns avec une aisance et une élégance à nulle autre pa-
reille. De même pour la Sonate de Grieg, pittoresque et
charmante. Délicieux aussi apparut le si aérien Cortège de
Lili Boulanger qu'on lui fit bisser; mais tout cela ne nous
présenta guère qu'un côté du talent de M. Heifetz : la vir-
tuosité. Son second programme paraît mieux conçu : Beefr
hoven et Bach lui donneront sans doute le moyen de
montrer plus d'ampleur et d'émotion que son premier pro-
gramme rie le comportait. P. DE L.
Récital M. Meyer (ig niai). — Très beau, programme où
figuraient notamment une Partita en si bémol majeur de
J.-S. Bach et une des premières oeuvres de Brahms, la So,-
nate en fa mineur, pp. 5, mais exécution faible, due aune
technique encore bien inhabile. A. S.
Concert Riss-Arbeau -{a3 mai). — Concert très varié,
presque trop même, tant y voisinaient les oeuvres les.moins
propres à être rapprochées. On remarqua surtout la sou-
plesse avec laquelle Mme Riss-Arbeau exécuta les Inter-
mefâi si peu joués de Schumann et une Valse de Fauré. Et
c'est avec beaucoup de délicatesse que M 110 Marguerite Riss^
Arbeau chanta des mélodies de Schumann et de Fauré.
; ■-. B. N.
Concert Georges Enesco-Henri Etlin (14 niai). — Ce fut
une magnifique séance que celle où deux artistes comme
Enesco et Henri Etlin consacrèrent leur talent à la gloire
de Fauré. Combien apparurent dans leur claire beauté les
deux Sonates -pour piano et violon! Une salle comble fil à
Enesco et à Henri Etlin une ovation sans fin. '
Le Mouvement musical en Province
Angers. — Concert Enesco..— Si la salle.du .Çirqu;e--
Théàtre se prête assez bien aux auditions avec orchestre,
. son volume, de respectable importance, et la pauvreté de
ses murs ternes semblaient moins désignés pour y recevoir
un hôte de l'envergure de Georges Enesco. ..
Et pourtant c'est là que nous l'avons applaudi sans
réserve; c'est là qu'indifférents ; aux' choses nous avons
écouté dans le recueillement les sonorités; magiques,.^
élans passionnés, le lyrisme éblouissàntde ce grand-prêt _
du violon. A peine l'archet a-t-il touché Vies.cordes que ^
communion entre l'artiste et l'auditoire est. compieie_
c'est ainsi que jusqu'au bout .de la soirée nous ayons ^
le charme des textes qu'il développa à. s *™Wl<*e^„-
que toujours il sut envelopper d'une émotion proqig ..
ment humaine. ; ■ : ■-:f';t cari
. Le plaisir des yeux est aussi largement-satisfait, .^.--
beauté d'une attitude quand elleest au service de 1 ,..^.
fait que le magnifier et l'ennoblir..-. ' ■ rpnaif là
Le programme, d'une-réelle, impomnce^çpmprw^
majestueuse Sonate en la majeur, de Hoendel. ira j,^
ment suivie de la Pre'ctewse de Coûperjn-Kreisier, _ ^^^:
de Bach, qui, n'étant étranger pour personne,.Jut p ....
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