Titre : Le Monde artiste : théâtre, musique, beaux-arts, littérature
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1876-03-04
Contributeur : Lemoine, Achille (1813-1895). Directeur de publication
Contributeur : Gourdon de Genouillac, Henri (1826-1898). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32818188p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 19764 Nombre total de vues : 19764
Description : 04 mars 1876 04 mars 1876
Description : 1876/03/04 (A14,N61)-1876/03/11. 1876/03/04 (A14,N61)-1876/03/11.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k57872334
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-1096
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
14e ANNÉE. — N° 61.
BUREAUX : 15, ME PMALLE.fl
SAMEDI A MARS AULSAMEDI 11 MARS i876.
/STHEMmS — MUSIQUE —. BEAUX-ARTS — LITTERATURE
PUBLIÉ Wv'fe^A A. LEMOINE, LÉON GRUS, E. LAVIGNE
(•adresser correspondances et mandats
àZM.cd. LEMOINE
•Directeur du Journal.
RÉDACTEUR EN CHEF. : JULES RUELLE
// sera repdu compté des ouvrages
: . • ' dont deux exemplaires
seront adressés à l'Administration.
PRIX DE L'ABONNEMENT SIMPLE :
rai». SK MOIS.
Taris . . .-. 20fr. 12/r.
(Départements 24 » 14 »
Un numéro : 30 centimes.
LE JOURNAL DONNE A SES ABONNÉS
CINQUANTE-DEUX NUMÉROS DE MUSIQUE PAR AN
Un numéro chaque semaine.
PRIX DE, L'ABONNEMENT AVEC MUSIQUE :
trit m. six MOIS.
Taris . ... . ,. . . . . ... . . 32 fr. 18 fr.
, 'Départements ......... 40 » 22 »
Étranger, le port en sus.
Les abonnés au texte et à la musique rece-
vront, avec ce numéro,
LÉ MOIS DES ROSES, pastorale, chant, vio-
lon et piano, par AD. HERMAN
Puis viendra :
CANZONNETTA GIOCOSA pour le piano,
par THÉODORE LACK., Op. 10.
PARIS
Les jours gras sont passés ; tant mieux ! Ce
moment de l'année n'est plus gai et il n'a gardé, de
ses anciennes splendeurs, qu'un pâle reflet d'excen-
tricité ; c'est trop peu.
Que citer, en effet ; que célébrer parmi les détails
de ces dernières fêtes?... Le bal masqué de l'Opéra,
^eut-être ?... Non, les résultats n'ont pas répondu
aux espérances. Quatre-vingt-quatre mille francs de
recette, alors que l'on avait annoncé « qu'il ne
serait délivré que huit mille entrées, » ce n'est pas
suffisant, parce que ce nombre d'entrées prévu,
— on pourrait dire déterminé — faisait supposer
une recette de cent-vingt mille francs. Mais les bals
masqués sont en pleine décadence, à Paris, il faut
bien le reconnaître, et il faut s'en consoler aussi ;
car la saine gaieté gauloise n'a nul besoin de ces
étranges fêtes pour affirmer sa vitalité.
Nous né plaignons pas l'Opéra, malgré cela ; les
représentations de la huitaine, jointes au bal. de
samedi, doivent former un total de bénéfices très-
satisfaisant.
En ces jours de .liesse, il s'est produit deux faits
très-remarquables : le Voyage dans la Lune a trouvé
uûe troisième jeunesse dans l'organe de Mme Thé-
res& chantant les nouvelles mélodies du maestro
"flenbach, et la Fille de madame Angot, devenue
Peuvre classique, a donné lieu à une matinée chez
M-Cantin.
-i; ous espérons que, dans la prochaine matinée, il
p aura une conférence j>our accompagner cl célébrer
^chef-d'oeuvre. Paris se doit à la France, qui se
TOoitaux artistes qui l'illustrent. Or, les maîtres ayant
considérablement vieilli, il faut bien fêter la belle
jeunesse qui porte haut l'étendard musical français.
Qui parle d'Adam, aujourd'hui? qui se souvient
d'Auber ?... De celui-là on se souvient si peu qu'il
attend encore la tombe monumentale que lui doit
son pays. — Nous pensons qu'Auber, qui était un
véritable Français d'esprit, doit bien rire là-haut en
regardant son caveau provisoire !
Tout ce vieux monde est loin de nous ; ces ou-
vrages ont des cheveux blancs ; ■— ils n'ont même
plus de cheveux. Une aurore nouvelle a lui pour la
France : Clairette Angot ayant allumé sa lanterne,
nous sommes éblouis !
Il faut espérer qtfe, dans un, temps prochain, il y
y aura à Paris des Matinées classiques où l'on exé-
cutera aussi Orphée aux Enfers, la Timbale d'argent
et le céleste OEil crevé. Seulement, nous réclame-
rons énergiquement des conférences sur ces classi-
ques partitions.
Suivant le cours de ces pensées, nous arrivons
tout droit à l'OpérarComique ; car nous ne pouvons
songer aux empiétements de l'opérette, sans nous
dire que l'Opéra-Comique, s'il avait maintenu son
véritable répertoire, aurait pu opposer une barrière
à ces empiétements. Mais un tel sujet doit être
traité seul et longuement.
L'heure serait mal choisie, du reste, pour récri-
miner. M. Du Locle, fatigué, gravement malade
même, est contraint de céder momentanément son
administration. Quoi qu'il advienne et quels que
soient les griefs des amis de l'Opéra-Comique contre
le directeur, il faut rendre à M. Du Locle une jus-
tice: c'est un artiste et un parfait honnête homme.
Son idéal artistique était faux au point de vue de
l'entreprise, nous le croyons du moins, mais nous
rendons hommage aux grandes qualités de l'homme
qui s'est usé au travail.
On a fait courir beaucoup de bruits et nous pour-
rions raconter bien des histoires inédites au sujet
du départ de M. Du Locle pour l'Egypte. Mais
nous n'aimons pas nous faire l'écho de ces sortes
de bruits. La situation est grave pour notre seconde
scène lyrique ; cette situation exige qu'on soit cir-
conspect, et qu'on donne à celle scène toutes les
marques d'intérêt. La meilleure, c'est de dire que
M. Perrin a consenti à administrer l'Opéra-Comique
en l'absence deM.DuLocle; nulle nouvelle ne saurait
mieux rassurer les artistes et le public. M. Perrin
connaît à fond ce théâtre, qu'il a plus d'une fois
relevé. On ne doit rien craindre tant qu'il tiendra
le gouvernail. ;
Nos lecteurs trouveront plus loin deux correspon-
dances qui peut-être les intéresseront, celle de Pé-
tersbourg et celle de Londres; ils y liront des
détails artistiques qui méritent l'attention des musi-
ciens.
Du reste, comme nous l'avons déjà dit, nos cor-
respondances provinciales et étrangères, écrites à un
point de vue fort indépendant, deviendront, nous
l'espérons, une source de renseignements précieux,
non-seulement pour lès artistes théâtrals, mais
encore pour les véritables amis des arts et du théâtre.
A quelques colloborateurs français et étrangers
nous demandons seulement un peu plus de zèle.
Inutile de les nommer, la rareté de leurs corres-
pondances les désigne suffisamment.
Allons, un bon mouvement ! c'est au nom du
journal que le demande leur tout dévoué
JULES RUELLE.
REVUE THEATRALE
Comédie-Française. — La Comédie-Française
vient de céder au courant qui a poussé successive-
ment tous les théâtres à donner des matinées < r
matiques. L'honorable M. Perrin a profité de l'occa-
sion des jours gras pour inaugurer la série des
représentations diurnes sur la scène de la rue Ri-
chelieu. Tout naturellement, c'est au répertoire
classique qu'il a demandé les éléments de son
programme: le Menteur, de Corneille, le Malade
imaginaire, avec la cérémonie traditionnelle, et
les Femmes savantes, ont été offerts à ce pu-
blic spécial, et, avons-nous besoin de le dire, inter-
prétés avec un ensemble merveilleux qu'-ôn ne ren-
contre que sur notre première scène. Les spectateurs
ont fait un accueil chaleureux aux éminents artistes.
Si c'e&t nue épreuve, elle a été décisive, et nous
félicitons hautement M. Perrin de l'avoir tentée.
BUREAUX : 15, ME PMALLE.fl
SAMEDI A MARS AULSAMEDI 11 MARS i876.
/STHEMmS — MUSIQUE —. BEAUX-ARTS — LITTERATURE
PUBLIÉ Wv'fe^A A. LEMOINE, LÉON GRUS, E. LAVIGNE
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LÉ MOIS DES ROSES, pastorale, chant, vio-
lon et piano, par AD. HERMAN
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CANZONNETTA GIOCOSA pour le piano,
par THÉODORE LACK., Op. 10.
PARIS
Les jours gras sont passés ; tant mieux ! Ce
moment de l'année n'est plus gai et il n'a gardé, de
ses anciennes splendeurs, qu'un pâle reflet d'excen-
tricité ; c'est trop peu.
Que citer, en effet ; que célébrer parmi les détails
de ces dernières fêtes?... Le bal masqué de l'Opéra,
^eut-être ?... Non, les résultats n'ont pas répondu
aux espérances. Quatre-vingt-quatre mille francs de
recette, alors que l'on avait annoncé « qu'il ne
serait délivré que huit mille entrées, » ce n'est pas
suffisant, parce que ce nombre d'entrées prévu,
— on pourrait dire déterminé — faisait supposer
une recette de cent-vingt mille francs. Mais les bals
masqués sont en pleine décadence, à Paris, il faut
bien le reconnaître, et il faut s'en consoler aussi ;
car la saine gaieté gauloise n'a nul besoin de ces
étranges fêtes pour affirmer sa vitalité.
Nous né plaignons pas l'Opéra, malgré cela ; les
représentations de la huitaine, jointes au bal. de
samedi, doivent former un total de bénéfices très-
satisfaisant.
En ces jours de .liesse, il s'est produit deux faits
très-remarquables : le Voyage dans la Lune a trouvé
uûe troisième jeunesse dans l'organe de Mme Thé-
res& chantant les nouvelles mélodies du maestro
"flenbach, et la Fille de madame Angot, devenue
Peuvre classique, a donné lieu à une matinée chez
M-Cantin.
-i; ous espérons que, dans la prochaine matinée, il
p aura une conférence j>our accompagner cl célébrer
^chef-d'oeuvre. Paris se doit à la France, qui se
TOoitaux artistes qui l'illustrent. Or, les maîtres ayant
considérablement vieilli, il faut bien fêter la belle
jeunesse qui porte haut l'étendard musical français.
Qui parle d'Adam, aujourd'hui? qui se souvient
d'Auber ?... De celui-là on se souvient si peu qu'il
attend encore la tombe monumentale que lui doit
son pays. — Nous pensons qu'Auber, qui était un
véritable Français d'esprit, doit bien rire là-haut en
regardant son caveau provisoire !
Tout ce vieux monde est loin de nous ; ces ou-
vrages ont des cheveux blancs ; ■— ils n'ont même
plus de cheveux. Une aurore nouvelle a lui pour la
France : Clairette Angot ayant allumé sa lanterne,
nous sommes éblouis !
Il faut espérer qtfe, dans un, temps prochain, il y
y aura à Paris des Matinées classiques où l'on exé-
cutera aussi Orphée aux Enfers, la Timbale d'argent
et le céleste OEil crevé. Seulement, nous réclame-
rons énergiquement des conférences sur ces classi-
ques partitions.
Suivant le cours de ces pensées, nous arrivons
tout droit à l'OpérarComique ; car nous ne pouvons
songer aux empiétements de l'opérette, sans nous
dire que l'Opéra-Comique, s'il avait maintenu son
véritable répertoire, aurait pu opposer une barrière
à ces empiétements. Mais un tel sujet doit être
traité seul et longuement.
L'heure serait mal choisie, du reste, pour récri-
miner. M. Du Locle, fatigué, gravement malade
même, est contraint de céder momentanément son
administration. Quoi qu'il advienne et quels que
soient les griefs des amis de l'Opéra-Comique contre
le directeur, il faut rendre à M. Du Locle une jus-
tice: c'est un artiste et un parfait honnête homme.
Son idéal artistique était faux au point de vue de
l'entreprise, nous le croyons du moins, mais nous
rendons hommage aux grandes qualités de l'homme
qui s'est usé au travail.
On a fait courir beaucoup de bruits et nous pour-
rions raconter bien des histoires inédites au sujet
du départ de M. Du Locle pour l'Egypte. Mais
nous n'aimons pas nous faire l'écho de ces sortes
de bruits. La situation est grave pour notre seconde
scène lyrique ; cette situation exige qu'on soit cir-
conspect, et qu'on donne à celle scène toutes les
marques d'intérêt. La meilleure, c'est de dire que
M. Perrin a consenti à administrer l'Opéra-Comique
en l'absence deM.DuLocle; nulle nouvelle ne saurait
mieux rassurer les artistes et le public. M. Perrin
connaît à fond ce théâtre, qu'il a plus d'une fois
relevé. On ne doit rien craindre tant qu'il tiendra
le gouvernail. ;
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tersbourg et celle de Londres; ils y liront des
détails artistiques qui méritent l'attention des musi-
ciens.
Du reste, comme nous l'avons déjà dit, nos cor-
respondances provinciales et étrangères, écrites à un
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A quelques colloborateurs français et étrangers
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matiques. L'honorable M. Perrin a profité de l'occa-
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chelieu. Tout naturellement, c'est au répertoire
classique qu'il a demandé les éléments de son
programme: le Menteur, de Corneille, le Malade
imaginaire, avec la cérémonie traditionnelle, et
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