Titre : Le Monde artiste : théâtre, musique, beaux-arts, littérature
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1876-01-29
Contributeur : Lemoine, Achille (1813-1895). Directeur de publication
Contributeur : Gourdon de Genouillac, Henri (1826-1898). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32818188p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 19764 Nombre total de vues : 19764
Description : 29 janvier 1876 29 janvier 1876
Description : 1876/01/29 (A14,N56)-1876/02/05. 1876/01/29 (A14,N56)-1876/02/05.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5787228t
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-1096
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
W ANNEE. — N° 36.
BUREAUX : 15, ME PIGALLE, 15
Y"'" î4ïnëkipiJ29 AU SAMEDI 5 FEVRIER 1876.
LE
THÉATKES j- W*SffQ.UE — BEAUX-ARTS — LITTERATURE
PUBLIÉ PAR MM^i^^LEMOINE, LÉON CRUS, E. LAVlGNE
RÉDACTEUR EN CHEF : H. GOURDON DE GENOUILLAC
; * PRIX DE L'ABONNEMENT SIMPLE :
UN AN. SIX MOIS.
Taris. ............. 20 fr. 12 fr.
'. 'Départements 24 » 14 »
. Un numéro : 30 centimes.
LE JOURNAL DONNE A SES ABONNÉS
CINQUANTE-DEUX NUMÉROS. DE MUSIQUE PAR AK
Un -numéro chaque semaine.
PRIX DE L'ABONNEMENT AVEC'MUSIQUE :
t UN AN. SIX MOIS,
Taris. 32 fr. ±8 fr.
Départements 40 » 22 »
Etranger, le port en ,sus.
" Les abonnés au texte et à la'musique rece-
vront,'avec ce numéro,
LE 'VOYAGE EN CHINE, fantaisie pour
piano, par J. Ch. HESS.
Puis viendra : ' .
LE TEMPLE, méditation religieuse, par J.
'LETBACH.
'AVIS IMPORTANT. — Tout abonné au
texteet à là musique peut remplacer l'envoi des
cinquante-deux morceaux de piano par la valeur
de 20 francs net prise dans les partitions piano
et chant et piano seul, dont MM. LEMOINE et
GRUS sont éditeurs-propriétaires.
Telles sont :'
GUILLAUME TELL. LA JUIVE.
LA FAVORITE. LA REINE DE CHYPRE.
CHARLES VI. LUCIE DE LAMMERMOOR. .
LE PRÉ AUX CLERCS. LE CHALET.
LÀ FILLE DU RÉGIMENT. LE VAL Û'ANDORRE.
LES MOUSQUETAIRES DE LA GALATHEE.
REINE. LES SAISONS,
LES NOCES DE JEANNETTE. LA FANCHONNETTE.
DON PASQUALE.- LE MAÇON,
L'ÉCLAIR. LE VOYAGE EN CHINE,
LA REINE TOPAZE. LE BILLET DE MARGUERITE,
QUENTIN DURWARD. LE CAPITAINE HENRIOT.
LA COUPE DU ROI DE THULÉ. LES SABOTS DE LA MAR-
LÉ DIABLE AU MOULIN. QUISE.
LA FÉE AUX ROSES. MASANIELLO.
GUIDO ET GINEVRA. LA CHANTEUSE VOILÉE, ETC.
Nous rappelons aux lecteurs que tous les mor-
ceaux de musique sont, comme édition, absolu-
ment les mêmes que ceux vendus chez les éditeurs :
même papier, même impression, même format.
FREDERICK-MAITRE
Après Dêjazet, Frederick!
Après la fée du rire et des chansons, après la grâce
et l'esprit, le Talma populaire, la puissance et la
force.
. Frédérick-Lemaître est mort mardi des suites d'un
cancer à la langue.
Voilà, à bien peu de distance, deux grandes gloires
du théâtre contemporain disparues.
Lui aussi joua la comédie pendant plus de cin-
quante années, et son premier rôle, celui qu'il créa
aux Variétés amusantes, fut le rôle du lion dans le
mélodrame Pyrame et Thisbé.
— J'akappris au'Conservatoire le rôle d'Agamem-
. non-, le roi des rois,'disait le futur grand comédien,
en*acceptant ce rôle singulier, je' ne m'abaisse" do'nc-
i pas en jouant le roi des animaux. . '
; Loin de s'abaisser, il fut de ceux qui savent ennoblir
tout ce qu'ils touchent, et-je n'en" veux pour preuve
que la magistrale création qu'il sut faire d'un rôle
sans couleur et sans esprit, celui de Robert Macaire,
qu'il éleva à la hauteur d'un'type impérissable. - '
Il se trouvait engagé à l'Ambigu pour jouer ce rôle
dans l'Auberge des Adrets, en 1823, la pièce fut ou-
trageusement sifflée le premier soir; soudain, une.
idée nouvelle se fait jour dans l'esprit créateur du
jeune artiste, et du personnage sérieux de la-pièce,
il ébauche dans sa pensée le héros comique qui de-"
vait demeurer comme l'incarnation satirique la plus
parfaite de l'escroc cynique et railleur, et obtient un
succès qui, de prime saut, le classa au rang des pre-
miers artistes.
Au reste, c'était là, il faut le reconnaître, le côté
vraiment original du talent de Frederick, il créait au
gré de son inspiration ou de son caprice, et les au-
teurs qui savaient cela, le laissaient faire; on pouvait
se contenter de lui indiquer le rôle qu'il devait jouer
et le laisser absolument maître de l'interpréter à sa
guise, on était sûr qu'il en ferait quelque chose d'hu-
main et de vrai. Il pétrissait au gré de sa puissante
faculté la pensée de l'écrivain, en faisait jaillir des
étincelles et la traduisait toute palpitante sur la
scène, en y imprimant cette marque du génie qui
s'impose:
Faut-il rappeler Trente ans ou la Vie d'un Joueur,
Ruy-Blas, Bon César de Bazan, Kean, le Vieux Ca-
poral ?
. Que de splendides rayonnements projetés sur ces
drames par le talent de l'artiste chargé de créer le
rôle principal!
Frédérick-Lemaître et Mme Dorval réunis, c'était la
royauté du drame.
Quand la pauvre grande comédienne fut emportée
par une fièvre de misère et de douleur et que Frede-
rick dut abandonner la scène, le drame fut bien ma-
lade.
Ah ! c'est qu'à l'époque où tous deux tenaient le pu-
blic haletant sous le charme magique de leur grand
art, on demandait autre chose au drame que des pa-
noramas animés, des décorset des costumes; on vou-
lait que les dramaturges écrivissent avec leur coeur
et que les acteurs jouassent avec leur âme.
« Les autres sont des masques, a dit Théophile
Gautier en parlant de Frederick, Frederick est un
homme ! Il passera, dans son panthéisme intelligent,
de Ruy-Blas à Paris le bohémien, de Kean à don Cé-
sar de Bazan, de Robert Macaire à Paillasse, de Bu-
ridan au père Jean, laissant partout sa marque... » ,
«Il peut pousser le sarcasme et l'ironie jusqu'aux'
dernières limites; il sait saisir la vie dans son éner-
gie, et le cri dans son explosion.» .-•,...
Certes, la critique, — c'était plus que son droit,
c'était son devoir, — ne se gêna pas pour s'exercer
auxdépens du grand comédien : il n'est pas d'homme
de valeur, de génie même, qui soit sans défaut.
Mais ce n'est pas devant une tombe ouverte qu'il
convient de les rappeler, et devant la majesté de la
mort, on ne doit se souvenir de celui qui n'est plus,
que pour admirer ce qu'il y avait en lui de bon, de
noble et de grand.
Assez d'autres chercheront si l'homme fut toujours
à la hauteur de la réputation de l'artiste, ce n'est
point mon fait.
Dans ces lignes, jetées comme elles viennent sur
le papier, j'ai voulu rendre hommage à un valeureux
lutteur qui sut s'élever à des hauteurs inconnues dans
un genre spécial, le drame, et qui contribua puissam-
ment à lui donner un développement énorme.
' Hugo a dit avec une grande vérité : « Le caractère
du drame est le réel ; le réel résulte de la combinai-
son toute naturelle de deux types, le sublime et le
grotesque, qui se croisent dans le drame, comme ils
se croisent dans la vie et dans la création. Tout ce
qui est' dans la nature est dans l'art. »
Mais à Shakespeare, à Calderon, à Goethe, à Schil-
ler, à Byron, — ces maîtres du drame, — il faut des
vulgarisateurs capables de servir d'intermédiaires
entre eux et le public.
Frédérick-Lemaître en fut un.
Combien en avons-nous encore?
Je laisse à d'autres le soin de répondre.
. H. GOURDON DE GENOUILLAC.
MUSIQUE
Nous avons assisté, il y a quelques jours, à une
audition des élèves de l'Institut musical.
Les exécutantes, car, sauf une exception, toutes
formaient un charmant essaim de jeunes filles et
jeunes femmes, se sont succédé devant le clavier et
ont fait valoir les excellentes méthodes de leurs pro-
fesseurs MM. Emile Artaud et Marmontel. Nous vou-
drions pouvoir citer tous les noms de ces artistes de
l'avenir appelées, à n'en pas douter, à remporter plus
tard de grands succès dans les concerts ou dans les
salons.
BUREAUX : 15, ME PIGALLE, 15
Y"'" î4ïnëkipiJ29 AU SAMEDI 5 FEVRIER 1876.
LE
THÉATKES j- W*SffQ.UE — BEAUX-ARTS — LITTERATURE
PUBLIÉ PAR MM^i^^LEMOINE, LÉON CRUS, E. LAVlGNE
RÉDACTEUR EN CHEF : H. GOURDON DE GENOUILLAC
; * PRIX DE L'ABONNEMENT SIMPLE :
UN AN. SIX MOIS.
Taris. ............. 20 fr. 12 fr.
'. 'Départements 24 » 14 »
. Un numéro : 30 centimes.
LE JOURNAL DONNE A SES ABONNÉS
CINQUANTE-DEUX NUMÉROS. DE MUSIQUE PAR AK
Un -numéro chaque semaine.
PRIX DE L'ABONNEMENT AVEC'MUSIQUE :
t UN AN. SIX MOIS,
Taris. 32 fr. ±8 fr.
Départements 40 » 22 »
Etranger, le port en ,sus.
" Les abonnés au texte et à la'musique rece-
vront,'avec ce numéro,
LE 'VOYAGE EN CHINE, fantaisie pour
piano, par J. Ch. HESS.
Puis viendra : ' .
LE TEMPLE, méditation religieuse, par J.
'LETBACH.
'AVIS IMPORTANT. — Tout abonné au
texteet à là musique peut remplacer l'envoi des
cinquante-deux morceaux de piano par la valeur
de 20 francs net prise dans les partitions piano
et chant et piano seul, dont MM. LEMOINE et
GRUS sont éditeurs-propriétaires.
Telles sont :'
GUILLAUME TELL. LA JUIVE.
LA FAVORITE. LA REINE DE CHYPRE.
CHARLES VI. LUCIE DE LAMMERMOOR. .
LE PRÉ AUX CLERCS. LE CHALET.
LÀ FILLE DU RÉGIMENT. LE VAL Û'ANDORRE.
LES MOUSQUETAIRES DE LA GALATHEE.
REINE. LES SAISONS,
LES NOCES DE JEANNETTE. LA FANCHONNETTE.
DON PASQUALE.- LE MAÇON,
L'ÉCLAIR. LE VOYAGE EN CHINE,
LA REINE TOPAZE. LE BILLET DE MARGUERITE,
QUENTIN DURWARD. LE CAPITAINE HENRIOT.
LA COUPE DU ROI DE THULÉ. LES SABOTS DE LA MAR-
LÉ DIABLE AU MOULIN. QUISE.
LA FÉE AUX ROSES. MASANIELLO.
GUIDO ET GINEVRA. LA CHANTEUSE VOILÉE, ETC.
Nous rappelons aux lecteurs que tous les mor-
ceaux de musique sont, comme édition, absolu-
ment les mêmes que ceux vendus chez les éditeurs :
même papier, même impression, même format.
FREDERICK-MAITRE
Après Dêjazet, Frederick!
Après la fée du rire et des chansons, après la grâce
et l'esprit, le Talma populaire, la puissance et la
force.
. Frédérick-Lemaître est mort mardi des suites d'un
cancer à la langue.
Voilà, à bien peu de distance, deux grandes gloires
du théâtre contemporain disparues.
Lui aussi joua la comédie pendant plus de cin-
quante années, et son premier rôle, celui qu'il créa
aux Variétés amusantes, fut le rôle du lion dans le
mélodrame Pyrame et Thisbé.
— J'akappris au'Conservatoire le rôle d'Agamem-
. non-, le roi des rois,'disait le futur grand comédien,
en*acceptant ce rôle singulier, je' ne m'abaisse" do'nc-
i pas en jouant le roi des animaux. . '
; Loin de s'abaisser, il fut de ceux qui savent ennoblir
tout ce qu'ils touchent, et-je n'en" veux pour preuve
que la magistrale création qu'il sut faire d'un rôle
sans couleur et sans esprit, celui de Robert Macaire,
qu'il éleva à la hauteur d'un'type impérissable. - '
Il se trouvait engagé à l'Ambigu pour jouer ce rôle
dans l'Auberge des Adrets, en 1823, la pièce fut ou-
trageusement sifflée le premier soir; soudain, une.
idée nouvelle se fait jour dans l'esprit créateur du
jeune artiste, et du personnage sérieux de la-pièce,
il ébauche dans sa pensée le héros comique qui de-"
vait demeurer comme l'incarnation satirique la plus
parfaite de l'escroc cynique et railleur, et obtient un
succès qui, de prime saut, le classa au rang des pre-
miers artistes.
Au reste, c'était là, il faut le reconnaître, le côté
vraiment original du talent de Frederick, il créait au
gré de son inspiration ou de son caprice, et les au-
teurs qui savaient cela, le laissaient faire; on pouvait
se contenter de lui indiquer le rôle qu'il devait jouer
et le laisser absolument maître de l'interpréter à sa
guise, on était sûr qu'il en ferait quelque chose d'hu-
main et de vrai. Il pétrissait au gré de sa puissante
faculté la pensée de l'écrivain, en faisait jaillir des
étincelles et la traduisait toute palpitante sur la
scène, en y imprimant cette marque du génie qui
s'impose:
Faut-il rappeler Trente ans ou la Vie d'un Joueur,
Ruy-Blas, Bon César de Bazan, Kean, le Vieux Ca-
poral ?
. Que de splendides rayonnements projetés sur ces
drames par le talent de l'artiste chargé de créer le
rôle principal!
Frédérick-Lemaître et Mme Dorval réunis, c'était la
royauté du drame.
Quand la pauvre grande comédienne fut emportée
par une fièvre de misère et de douleur et que Frede-
rick dut abandonner la scène, le drame fut bien ma-
lade.
Ah ! c'est qu'à l'époque où tous deux tenaient le pu-
blic haletant sous le charme magique de leur grand
art, on demandait autre chose au drame que des pa-
noramas animés, des décorset des costumes; on vou-
lait que les dramaturges écrivissent avec leur coeur
et que les acteurs jouassent avec leur âme.
« Les autres sont des masques, a dit Théophile
Gautier en parlant de Frederick, Frederick est un
homme ! Il passera, dans son panthéisme intelligent,
de Ruy-Blas à Paris le bohémien, de Kean à don Cé-
sar de Bazan, de Robert Macaire à Paillasse, de Bu-
ridan au père Jean, laissant partout sa marque... » ,
«Il peut pousser le sarcasme et l'ironie jusqu'aux'
dernières limites; il sait saisir la vie dans son éner-
gie, et le cri dans son explosion.» .-•,...
Certes, la critique, — c'était plus que son droit,
c'était son devoir, — ne se gêna pas pour s'exercer
auxdépens du grand comédien : il n'est pas d'homme
de valeur, de génie même, qui soit sans défaut.
Mais ce n'est pas devant une tombe ouverte qu'il
convient de les rappeler, et devant la majesté de la
mort, on ne doit se souvenir de celui qui n'est plus,
que pour admirer ce qu'il y avait en lui de bon, de
noble et de grand.
Assez d'autres chercheront si l'homme fut toujours
à la hauteur de la réputation de l'artiste, ce n'est
point mon fait.
Dans ces lignes, jetées comme elles viennent sur
le papier, j'ai voulu rendre hommage à un valeureux
lutteur qui sut s'élever à des hauteurs inconnues dans
un genre spécial, le drame, et qui contribua puissam-
ment à lui donner un développement énorme.
' Hugo a dit avec une grande vérité : « Le caractère
du drame est le réel ; le réel résulte de la combinai-
son toute naturelle de deux types, le sublime et le
grotesque, qui se croisent dans le drame, comme ils
se croisent dans la vie et dans la création. Tout ce
qui est' dans la nature est dans l'art. »
Mais à Shakespeare, à Calderon, à Goethe, à Schil-
ler, à Byron, — ces maîtres du drame, — il faut des
vulgarisateurs capables de servir d'intermédiaires
entre eux et le public.
Frédérick-Lemaître en fut un.
Combien en avons-nous encore?
Je laisse à d'autres le soin de répondre.
. H. GOURDON DE GENOUILLAC.
MUSIQUE
Nous avons assisté, il y a quelques jours, à une
audition des élèves de l'Institut musical.
Les exécutantes, car, sauf une exception, toutes
formaient un charmant essaim de jeunes filles et
jeunes femmes, se sont succédé devant le clavier et
ont fait valoir les excellentes méthodes de leurs pro-
fesseurs MM. Emile Artaud et Marmontel. Nous vou-
drions pouvoir citer tous les noms de ces artistes de
l'avenir appelées, à n'en pas douter, à remporter plus
tard de grands succès dans les concerts ou dans les
salons.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96.43%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96.43%.
- Collections numériques similaires Arts de la marionnette Arts de la marionnette /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Pam1"The Romanic review : a quarterly journal devoted to research, the publications of texts and documents, critical discussions, notes, news and comment, in the field of the romance languages and literatures / edited by Henry Alfred Todd and Raymond Weeks /ark:/12148/bpt6k119586.highres Bibliothèque de l'École des Chartes /ark:/12148/bpt6k12501c.highres
- Auteurs similaires Lemoine Achille Lemoine Achille /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Lemoine Achille" or dc.contributor adj "Lemoine Achille")36 exercices - études pour piano faisant suite au "Guide du lecteur" de J. B. Duvernoy /ark:/12148/bpt6k310295f.highres Vacanes champêtres : 12 petites pièces de genre pour piano : Op. 80 / par Albert Landry ; hommage très affectueux à Mr. Achille Lemoine ; L. Denis, dessinateur /ark:/12148/btv1b525005973.highresGourdon de Genouillac Henri Gourdon de Genouillac Henri /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Gourdon de Genouillac Henri" or dc.contributor adj "Gourdon de Genouillac Henri")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k5787228t/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k5787228t/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k5787228t/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k5787228t/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k5787228t
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k5787228t
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k5787228t/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest