Titre : Le Monde artiste : théâtre, musique, beaux-arts, littérature
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1876-01-08
Contributeur : Lemoine, Achille (1813-1895). Directeur de publication
Contributeur : Gourdon de Genouillac, Henri (1826-1898). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32818188p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 19764 Nombre total de vues : 19764
Description : 08 janvier 1876 08 janvier 1876
Description : 1876/01/08 (A14,N53)-1876/01/15. 1876/01/08 (A14,N53)-1876/01/15.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5787225k
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-1096
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
14e ANNEE. — N° 33
MHEAÏÏl:: 39, RUE DE CftATlAUDUN, 39
SAMEDI 8 AU SAMEDI 15 JANVIER 1876.
LE
THÉATJQS
PUBLIÉ PAR MUvT.y
RÉDACT:
ègtelQUE — BEAUX-ARTS — LITTÉRATURE
MEMOINE, LÉON CRUS, E. LAVIGNE
EN CHEF : H. GOURDON DE GENOUILLAC
PRIX DE L'ABONNEMENT SIMPLE :
UN AN. SIX MOIS'
Taris. . . . 20-/r.l2/r. .
'Départements . . 24v» 14 »' .;
Un numéro : 30 centimes.' v '
LE JOURNAL DONNE A SES ABONNÉS
CINQUANTE-DEUX NUMÉROS DE MUSIQUE PAR AN,
Un numéro chaque semaine.
PRIX DE L'ABONNEMENT AVEC MUSIQUE :
UN AN. SIX MOIS'
Taris 32 fr, 18 fr.'.".
'Départements 40 » 22 »
Etranger, le port en sus. ,
A partir du 45 janvier prochain, les bureaux
du journal LE MONDE ARTISTE seront transférés :
15, rue Pïgalle, 15
Les abonnés au texte et à la musique rece-
vront, avec ce numéro, \
DANSE GÉORGIENNE, par FR. HlTZ.
.Puis viendront successivement ;
BOHÉMA, caprice de concert, par E. KET-
TERER.
LUCIE DE LAMMERMOOR, fantaisie bril-
lante, par CH. NEUSTEDT.
AVIS IMPORTANT. — Tout abonné au
texte.et à la musique peut remplacer l'envoi des.
cinquante-deux,morceaux de piano par la valeur
de 20 francs net prise dans les partitions piano
et chant et piano seul, dont MM. LEMOINE et
GRUS sont éditeurs-propriétaires.
Telles sont :
GUILLAUME TELL.
LA FAVORITE.
CHARLES VI.
LE PRÉ AUX CLERCS.
LA FILLE DÛ RÉGIMENT.
LES MOUSQUETAIRES DE LA
REINE.
LES NOCES DE JEANNETTE.
DON PASQUALE.
L'ÉCLAIR.
LA REINE TOPAZE.
QUENTIN DURWARD.
LA COUPE DU ROI DE THULÉ.
LE DIABLE AU MOULIN.
LA FÉE AUX ROSES.
GUIDO ET GINEVRA.
LA JUIVE.
LA REINE DE CHYPRE.
LUCIE:DE LAMMERMOOR.
LE CHALET.
LE VAL D'ANDORRE.
GALATHÉE.
LES SAISONS.
LA FANCHONNETTE.
LE MAÇON.
LE VOYAGE EN CHINE.
LE BILLET DE MARGUERITE.
LE CAPITAINE HENRIQT.
LES SABOTS DE LA MAR-
QUISE.
MASANIELLO.
LA CHANTEUSE VOILEE, ETC.
Nous rappelons aux lecteurs que tous les mor-
ceaux de musique sont, comme édition, absolu-
ment les mêmes que ceux vendus chez les éditeurs :
même papier, même impression, même format.
SEMAINE THEATRALE
Comédie-Française. —JSsther.—' Le, Malade
imaginaire. Représentation dû premier mardi de
1876. — On sait que depuis deux ans le mardi est de-
venu le beau. Jour. à la Comédie-Française. Depuis
que l'Opéra est le théâtre de tout le monde et que le
.Théâtre-Italien n'est le théâtre de personne, la so-
ciété élégante de Paris se donne rendez-vous tous les
mardis dans la salle de la rue de Richelieu. On a sa
loge aux Français maintenant comme on l'avait na-
guère à Y Opéra et autrefois aux Bouffes.
M. Perrin a compris tout ce qu'il y avait, d'avanta-
geux pour son théâtre dans cette nouvelle coutume
du Mgh-life parisien ; aussi ses spectacles du mardi
sont-ds toujours composés avec un soin tout particu-
lier. Mardi dernier, l'habile directeur a songé aux
jeunes gens que les fêtes du premier de l'an avaient
ramenés dans leur famille, heureuse de les posséder
et en quête pour eux de plaisirs décents. Esther et
le Malade imaginaire étaient sur l'affiche. On ne
pouvait mieux choisir. La salle était-elle comble,
comble etisplendide.
Les loges et les galeries étaient resplendissantes
de diamants. Toutes les femmes s'étaient parées, et
les charmantes fillettes, qui montraient leur frais vi-
sage, n'étaient pas le moindre ornement de la salle,
qui vous avait un air de fête joyeuse plein de séduc-
tion.
Les vers harmonieux de Racine ont, je l'avoue,
pour moi un charme inexprimable; mais quand ils
sont murmurés, récités, déclamés, comme on déclame
à la Comédie-Française, ils deviennent une véritable
mélodie. La musique rimée de Racine ne saurait se
comparer à aucune autre, et quand elle s'échappe des
lèvres de Mmes Favart, Reichemberg, Tholer, Fleury,
elle cause un véritable ravissement. Les stances qui
terminent chaque acte, et qui sont un chef-d'oeuvre
de poésie lyrique, par la grandeur de la pensée,
comme par l'élégance de la forme, ont produit un
grand effet. Il est vraiment impossible de dire avec
une douceur plus ineffable que Mlle Reichemberg,
avec plus d'harmonie que Mme Favart, avec plus de
dignité que Mme Ponsin, avec plus de charme que
Mlle Tholer.
Mme Favart a été fort belle.et fort dramatique.
M. Maubant est un Mardochée plein d'ampleur, et
M. Laroche un Assuérus aux grandes allures. Le suc-
cès a été très-beau. :.
M. Thiron était chargé du rôle d'Argan dans le Ma-
lade imaginaire, rôle que tient avec tant d'autorité et
d'expérience M. Talbot. La tâche est lourde, il- nous .
en coûte de le dire, pour M. Thiron ; et il nous a paru,
ployer sous le faix! Jamais nous ne nous, étions fiL
guré un Argan aussi satisfait, aussi gai. Il .faut que
les remèdes de M. Purgon soient bien efficaces pour
ragaillardir, pour rajeunir ainsi ce quinteux, septua-
génaire. MIle Baretta est tout à fait charmante dans
le rôle d'Angélique, et Mme Jouassin, la perle des
duègnes, mervedleusement originale sous lés atours
de l'avide Beline. Mme Dina-Félix est encore ce que
nous avons dé plus fringant, de plus frétillant, de
plus alerte comme soubrette du, grand répertoire, et
nous souhaitons à^M" 6 Sâmary de - l'égaler un jour...
ou l'autre.
Opéra-Comique.— Reprise du Voyage en Chine,,,
opéra-comique en 3 actes de MM. Labiche et Delà-
cour, musique de F. Bazin, jeudi 6 janvier 1876.
La reprise de ce charmant ouvrage s'est effectuée
jeudi sous les meilleurs auspices. La nouvelle inter-
prétation en est excellente et a mis en lumièrélà
partie musicale qui, à la création, avait été un peu
sacrifiée. Ainsi, par exemple, le rôle de Pompéry était
plutôt joué que chanté par ce pauvre et regretté Cou-
derc. Ismaël, au contraire, a très-bien compris le
parti qu'on pouvait en tirer au point de vue vocal;
aussi le joli duo du second acte : Je suis Breton, qui
passait autrefois un peu inaperçu, a été jeudi une vé-
ritable révélation. Nous en dirons autant des cou-
plets Au Leverde l'aurore, qui commencent le 3e acte.
L'air des Cailloux, très-drôlement détadlé par Pon-
chard, et le fameux choeur du Cidre, ont été salués au
passage comme de vieilles connaissances qu'on est
heureux de retrouver. MUe Zina-Dalti a prêté le charme,
de sa jolie voix et de sa gracieuse personne au per-
sonnage de Marie, et M. Lhérie a joué et chanté fort
intelligemment le rôle de Henri de Kermoisau.
Comme on le voit, il n'y a que des éloges à adresser
à tout le mondes et nul doute que cette reprise ne
soit fructueuse pour le théâtre. Voilà au moins un
poëmequi nous repose un peu des situations risquées
de Carmen et qui, quoique essentiellement bourgeois,
amuse d'un bout à l'autre. La musique, gracieuse et
facile, est toujours en situation et s'adapte admira-
blement aux paroles et, ma foi, par le temps qui
court, c'est un compliment qu'on ne peut pas adres-
ser à tout le monde.
Deux petites critiqués pour terminer. La première
s'adresse à ces. messieurs,des. choeurs, les ténors/
principalement,: qui se,pressaient un peu trop, et ont'
MHEAÏÏl:: 39, RUE DE CftATlAUDUN, 39
SAMEDI 8 AU SAMEDI 15 JANVIER 1876.
LE
THÉATJQS
PUBLIÉ PAR MUvT.y
RÉDACT:
ègtelQUE — BEAUX-ARTS — LITTÉRATURE
MEMOINE, LÉON CRUS, E. LAVIGNE
EN CHEF : H. GOURDON DE GENOUILLAC
PRIX DE L'ABONNEMENT SIMPLE :
UN AN. SIX MOIS'
Taris. . . . 20-/r.l2/r. .
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CINQUANTE-DEUX NUMÉROS DE MUSIQUE PAR AN,
Un numéro chaque semaine.
PRIX DE L'ABONNEMENT AVEC MUSIQUE :
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'Départements 40 » 22 »
Etranger, le port en sus. ,
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vront, avec ce numéro, \
DANSE GÉORGIENNE, par FR. HlTZ.
.Puis viendront successivement ;
BOHÉMA, caprice de concert, par E. KET-
TERER.
LUCIE DE LAMMERMOOR, fantaisie bril-
lante, par CH. NEUSTEDT.
AVIS IMPORTANT. — Tout abonné au
texte.et à la musique peut remplacer l'envoi des.
cinquante-deux,morceaux de piano par la valeur
de 20 francs net prise dans les partitions piano
et chant et piano seul, dont MM. LEMOINE et
GRUS sont éditeurs-propriétaires.
Telles sont :
GUILLAUME TELL.
LA FAVORITE.
CHARLES VI.
LE PRÉ AUX CLERCS.
LA FILLE DÛ RÉGIMENT.
LES MOUSQUETAIRES DE LA
REINE.
LES NOCES DE JEANNETTE.
DON PASQUALE.
L'ÉCLAIR.
LA REINE TOPAZE.
QUENTIN DURWARD.
LA COUPE DU ROI DE THULÉ.
LE DIABLE AU MOULIN.
LA FÉE AUX ROSES.
GUIDO ET GINEVRA.
LA JUIVE.
LA REINE DE CHYPRE.
LUCIE:DE LAMMERMOOR.
LE CHALET.
LE VAL D'ANDORRE.
GALATHÉE.
LES SAISONS.
LA FANCHONNETTE.
LE MAÇON.
LE VOYAGE EN CHINE.
LE BILLET DE MARGUERITE.
LE CAPITAINE HENRIQT.
LES SABOTS DE LA MAR-
QUISE.
MASANIELLO.
LA CHANTEUSE VOILEE, ETC.
Nous rappelons aux lecteurs que tous les mor-
ceaux de musique sont, comme édition, absolu-
ment les mêmes que ceux vendus chez les éditeurs :
même papier, même impression, même format.
SEMAINE THEATRALE
Comédie-Française. —JSsther.—' Le, Malade
imaginaire. Représentation dû premier mardi de
1876. — On sait que depuis deux ans le mardi est de-
venu le beau. Jour. à la Comédie-Française. Depuis
que l'Opéra est le théâtre de tout le monde et que le
.Théâtre-Italien n'est le théâtre de personne, la so-
ciété élégante de Paris se donne rendez-vous tous les
mardis dans la salle de la rue de Richelieu. On a sa
loge aux Français maintenant comme on l'avait na-
guère à Y Opéra et autrefois aux Bouffes.
M. Perrin a compris tout ce qu'il y avait, d'avanta-
geux pour son théâtre dans cette nouvelle coutume
du Mgh-life parisien ; aussi ses spectacles du mardi
sont-ds toujours composés avec un soin tout particu-
lier. Mardi dernier, l'habile directeur a songé aux
jeunes gens que les fêtes du premier de l'an avaient
ramenés dans leur famille, heureuse de les posséder
et en quête pour eux de plaisirs décents. Esther et
le Malade imaginaire étaient sur l'affiche. On ne
pouvait mieux choisir. La salle était-elle comble,
comble etisplendide.
Les loges et les galeries étaient resplendissantes
de diamants. Toutes les femmes s'étaient parées, et
les charmantes fillettes, qui montraient leur frais vi-
sage, n'étaient pas le moindre ornement de la salle,
qui vous avait un air de fête joyeuse plein de séduc-
tion.
Les vers harmonieux de Racine ont, je l'avoue,
pour moi un charme inexprimable; mais quand ils
sont murmurés, récités, déclamés, comme on déclame
à la Comédie-Française, ils deviennent une véritable
mélodie. La musique rimée de Racine ne saurait se
comparer à aucune autre, et quand elle s'échappe des
lèvres de Mmes Favart, Reichemberg, Tholer, Fleury,
elle cause un véritable ravissement. Les stances qui
terminent chaque acte, et qui sont un chef-d'oeuvre
de poésie lyrique, par la grandeur de la pensée,
comme par l'élégance de la forme, ont produit un
grand effet. Il est vraiment impossible de dire avec
une douceur plus ineffable que Mlle Reichemberg,
avec plus d'harmonie que Mme Favart, avec plus de
dignité que Mme Ponsin, avec plus de charme que
Mlle Tholer.
Mme Favart a été fort belle.et fort dramatique.
M. Maubant est un Mardochée plein d'ampleur, et
M. Laroche un Assuérus aux grandes allures. Le suc-
cès a été très-beau. :.
M. Thiron était chargé du rôle d'Argan dans le Ma-
lade imaginaire, rôle que tient avec tant d'autorité et
d'expérience M. Talbot. La tâche est lourde, il- nous .
en coûte de le dire, pour M. Thiron ; et il nous a paru,
ployer sous le faix! Jamais nous ne nous, étions fiL
guré un Argan aussi satisfait, aussi gai. Il .faut que
les remèdes de M. Purgon soient bien efficaces pour
ragaillardir, pour rajeunir ainsi ce quinteux, septua-
génaire. MIle Baretta est tout à fait charmante dans
le rôle d'Angélique, et Mme Jouassin, la perle des
duègnes, mervedleusement originale sous lés atours
de l'avide Beline. Mme Dina-Félix est encore ce que
nous avons dé plus fringant, de plus frétillant, de
plus alerte comme soubrette du, grand répertoire, et
nous souhaitons à^M" 6 Sâmary de - l'égaler un jour...
ou l'autre.
Opéra-Comique.— Reprise du Voyage en Chine,,,
opéra-comique en 3 actes de MM. Labiche et Delà-
cour, musique de F. Bazin, jeudi 6 janvier 1876.
La reprise de ce charmant ouvrage s'est effectuée
jeudi sous les meilleurs auspices. La nouvelle inter-
prétation en est excellente et a mis en lumièrélà
partie musicale qui, à la création, avait été un peu
sacrifiée. Ainsi, par exemple, le rôle de Pompéry était
plutôt joué que chanté par ce pauvre et regretté Cou-
derc. Ismaël, au contraire, a très-bien compris le
parti qu'on pouvait en tirer au point de vue vocal;
aussi le joli duo du second acte : Je suis Breton, qui
passait autrefois un peu inaperçu, a été jeudi une vé-
ritable révélation. Nous en dirons autant des cou-
plets Au Leverde l'aurore, qui commencent le 3e acte.
L'air des Cailloux, très-drôlement détadlé par Pon-
chard, et le fameux choeur du Cidre, ont été salués au
passage comme de vieilles connaissances qu'on est
heureux de retrouver. MUe Zina-Dalti a prêté le charme,
de sa jolie voix et de sa gracieuse personne au per-
sonnage de Marie, et M. Lhérie a joué et chanté fort
intelligemment le rôle de Henri de Kermoisau.
Comme on le voit, il n'y a que des éloges à adresser
à tout le mondes et nul doute que cette reprise ne
soit fructueuse pour le théâtre. Voilà au moins un
poëmequi nous repose un peu des situations risquées
de Carmen et qui, quoique essentiellement bourgeois,
amuse d'un bout à l'autre. La musique, gracieuse et
facile, est toujours en situation et s'adapte admira-
blement aux paroles et, ma foi, par le temps qui
court, c'est un compliment qu'on ne peut pas adres-
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