Titre : La France illustrée : journal littéraire, scientifique et religieux / directeur L. Roussel
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1910-07-23
Contributeur : Roussel, Louis (1825-1897). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32777792d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4328 Nombre total de vues : 4328
Description : 23 juillet 1910 23 juillet 1910
Description : 1910/07/23 (A37,N1860). 1910/07/23 (A37,N1860).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5764713m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, FOL-LC2-3595
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/01/2011
2Î5 JUILLET 1910
LA FRANCE ILLUSTREE
N° 1860 — 89
ombreux est le meilleur des trois ; celui du milieu
notamment, avec son eau métallique, est moins agréable
à l'oeil.
Avec M. Détaille, nous revenons à la décoration
guerrière. 11 nous mène d'abord rue du Petit-Pont, le
2o juillet i83o, au moment où le drapeau tricolore,
apparaissant au fond, du haut des tours de Notre-Dame,
annonce la fin de la lutte et la victoire des « défenseurs
de la liberté ». Ceux-ci sont très panachés ; l'épicier
du coin voisine avec le polytechnicien, le bourgeois avec
l'ouvrier, le représentant du peuple avec la harengère,
le gamin de Paris avec le garde national, etc., etc. Tous
les personnages sont volontairement divers et cela fait
une collection assez bizarre d'émeutiers autour de la
barricade. M. Détaille nous fait ensuite assister au ser-
vice funèbre du général Damrémont, célébré le 18 oc-
tobre 1837, devant la brèche de Constantine, le lende-
main de l'assaut. Les troupes formées en carré autour
de l'autel où le prêtre élève la sainte Hostie, les officiers
généraux groupés derrière le jeune prince victorieux,
les murs de la ville couverts de musulmans dont les
burnous blancs font des taches claires sous le soleil
africain, tout cela forme un ensemble imposant et gran-
diose.
Beaucoup moins heureux fut M. Jean-Paul Laurens
avec la Reddition de Yorkloion, destinée au Palais de
Justice de Baltimore. C'est une armée de soldats de
plomb dans un cadre monotone avec des détails presque
enfantins, comme les sentinelles qui se dressent sur
l'horizon, rigides et régulièrement espacées Heureuse-
ment, nous retrouvons le vrai Jean-Paul Laurens dans
une petite toile exquise où se sont déployées ses rares
qualités de composition, de couleur et d'expression.
C'est le Catéchisme qu'une jeune châtelaine fait à quel-
ques enfants de serfs réunis dans la salle gothique, sur
le banc qui court le long des boiseries sculptées. Le
pauvre petit qu'on interroge reste un peu interdit, et la
fillette qui est à côté de lui semble vouloir lui « souffler »
la réponse ; un autre est plongé dans ses réflexions, tel
autre est évidemment distrait ; cela forme un groupe
charmant.
Revenons à la grande peinture décorative et signalons
VHeure dorée de M. H.-E. Delacroix ; l'atmosphère est
jolie où s'ébattent des baigneuses d'un dessin très serré
et groupées heureusement. L'Enterrement dans les
Deux-Sèvres, de M. Gourdault, c'est celui d'une fillette;
la levée du corps est faite sur la place par le prêtre ; le
cercueil est entouré de petites filles en blanc et de la
famille endeuillée, accompagnée de tout le village. C'est
poignant de vérité vécue et de simplicité.
Ce n'est pas seulement à titre documentaire que nous
intéresse la grande toile de M" Boyer-Breton représen-
tant les Carmélites au choeur ; il y a là une bonne
peinture et une bonne traduction de l'atmosphère spé-
ciale, une opposition saisissante entre ces murs nus et
froids et cette jonchée de roses entourant le pupitre.
Dans Y Improvisation, M- Tessier a mis beaucoup de
poésie et de sentiment. Le paysage crépusculaire n'est
éclairé que par une lanterne vénitienne avec .laquelle
jouent des enfants, et dans la pénombre, s'érige la
silhouette élégante d'une violoniste dont on croit enten-
dre pleurer l'instrument, tant l'ambiance est harmonieuse
et calme. M. Louvet, en nous montrant la plaine Après
la Bataille a cherché à nous émouvoir, mais ces cada-
vres épars de chevaux nous laissent froids.
Une toile qui a fait sensation au Vernissage et qui
le méritait, c'est le Tyran de M. Lucien Jonas. On a
voulu y voir une page d'histoire, lorsque c'était pure
conception imaginative et prétexte à mouvement et à
couteur. Sur le quai près duquel s'abritent de nombreux
bateaux, à l'ombre imposante d'une cathédrale, une
statue équestre se dressait : celle du « tyran ». Il a suffi
de l'éloquence échevelée d'un monsieur en redingote et
cravaté de rouge, juché sur le socle, pour que la foule se
SAI.OS nu 1910. — « Au Carmel », par M" BOVF.K-BRETOM.
soit précipitée à l'assaut de ce tyran de bronze et l'ait
jeté par terre, à la joie de tous ces badauds. Une femme
a pris sur le cheval resté debout la place du déboulonné
qui git dans la boue, en butte aux outrages des énergu-
mènes des deux sexes et à l'insolente gouaillerie des en-
fants. Cette scène extraordinairement animée est peinte
avec sûreté et grandeur. Du même artiste, une Parade
joyeuse avec ses pitres et ses bonisseurs enfarinés.
11 y a des personnes qui aiment les bleus verts de
M. Paul Chabas ; il y là, ce me semble, trop de parti pris ;
cependant on ne peut nier la finesse du dessin et la trans-
parence des eaux du lac d'Annecy Sons les branches.
M. Cormon est un admirable metteur en scène. L'esquisse
d'aujourd'hui est bien petite pour que l'on puisse suivre
toute l'ampleur de ses pensées, mais elle suffit à nous
laisser espérer une oeuvre magistrale, lorsque le Maître
exécutera sur un vaste panneau cet épisode du XXI" livre
de VIliade : la bataille des dieux et le sillon d'Achille.
Non seulement M. Joseph Bail se cantonne dans ses
blancs d'ivoire et dans ses lumières dorées, mais il ne
quitte par l'hospice de Beaune, dont il a peint les
moindres recoins. Nous voici à la cuisine. 11 est vrai
que ce qu'il a trouvé dans ce vieil hospice de plus
curieux à reproduire, ce sont les servantes, si coquette-
ment proprettes et élégantes. Les Blanchisseuses dé
M. Jean Bedorez ne sont pas élégantes du tout, elles,
mais elles vivent et elles travaillent, sans crainte de
déranger leur chevelure. C'est de l'observation sans
vulgarité, digne du peintre qui expose encore une
superbe figure d'un modelé fort délicat et de belle pâte.
Nous avons plusieurs kermesses hollandaises cette
année, la plus curieuse est celle de M. Hanicotte ;
grouillante, réaliste à la Téniers, prise sur le vif par
un observateur vivant depuis longtemps au milieu des
pêcheurs néerlandais, cette étude de moeurs est super-
bement peinte, avec des hardiesses heureuses et tout à
fait sincères. Sincère aussi le calme crépusculaire qui
règne sur le Béguinage de Bruges à l'heure où M. Cassel
a vu sortir du salut les bonnes vieilles qui vont à petits
pas en devisant dans la nuit des arbres séculaires.
Il faudraitencoredécrire lesDanseurs delà Cathédrale
de Sévi/le de M. Zo, la Lessive en Bretagne de M. Vol-
lon, la Lande qu'on dé/riche de M. Demont, les Beaux
jours de M"' Demont-Breton, la Rentrée des Modèles à
l'Ecole des Beaux-Arts par M"" Rondenay ; l'exquise
Prise de voile par M. Renard, le Port de Pêche de
M. Désiré-Lucas, la Veillée de M. Descelles, le Recueil'
tentent de M. Maxence, Au Pays Flamand de M. Dilly,
Entre élèves de M"" Jeanne Maillart, la Tentation de
M. Diogène Maillart, l'Anse des Perles par M. DufTaud,
la Surprise de M" Delacroix-Garnier, Sous le Porche
de M. P.-H. Flandrin, Trianon de M. Paul Girardet,
Didou de M. Paul-Albert Laurens, Regard en arrière
de M. Laparra, les Roches d'Equiheu de M. Guillemet,
le Soir du naufrage de M. Tattegrain. Mais la place
m'est mesurée.
* *
Les Maîtres de la sculpture sont légion ; le hall du
Grand-Palais est vraiment le temple de la beauté. On ne
sait où donner de la tète, tant il faut admirer : le Cardi-
nal Richard, par M. Hippolyte Lefebvre, est frappant de
ressemblance, avec cette expression de bonté et de foi
qui le caractérisèrent ; le Carpeaux, de M. Félix Des-
ruelles, simple et décoratif; VEgalifas de M. Allouard,
statue de la Mort en marbre et pierre ; A la gloire des
Cuirassiers, de M. A. Cordonnier, avec une Renommée
casquée d'un élan superbe ; VEsprit d'imitation, par
M. V. Pavot, où un singe s'essaie à jouer sur la llùte de
son jeune maître qui s'en amuse beaucoup ; le Constant
Coquelin drapé de M. Antonin Mercié ; Après le grisou,
de M. Bailleul ; un vieux mineur a succombé et le sauve-
teur qui découvre le cadavre le soulève et le regarde
avec compassion, sinon avec tendresse, sous la voûte
menaçante de la mine.
Fort remarquable aussi le buste du Capitaine Ferrer
LA FRANCE ILLUSTREE
N° 1860 — 89
ombreux est le meilleur des trois ; celui du milieu
notamment, avec son eau métallique, est moins agréable
à l'oeil.
Avec M. Détaille, nous revenons à la décoration
guerrière. 11 nous mène d'abord rue du Petit-Pont, le
2o juillet i83o, au moment où le drapeau tricolore,
apparaissant au fond, du haut des tours de Notre-Dame,
annonce la fin de la lutte et la victoire des « défenseurs
de la liberté ». Ceux-ci sont très panachés ; l'épicier
du coin voisine avec le polytechnicien, le bourgeois avec
l'ouvrier, le représentant du peuple avec la harengère,
le gamin de Paris avec le garde national, etc., etc. Tous
les personnages sont volontairement divers et cela fait
une collection assez bizarre d'émeutiers autour de la
barricade. M. Détaille nous fait ensuite assister au ser-
vice funèbre du général Damrémont, célébré le 18 oc-
tobre 1837, devant la brèche de Constantine, le lende-
main de l'assaut. Les troupes formées en carré autour
de l'autel où le prêtre élève la sainte Hostie, les officiers
généraux groupés derrière le jeune prince victorieux,
les murs de la ville couverts de musulmans dont les
burnous blancs font des taches claires sous le soleil
africain, tout cela forme un ensemble imposant et gran-
diose.
Beaucoup moins heureux fut M. Jean-Paul Laurens
avec la Reddition de Yorkloion, destinée au Palais de
Justice de Baltimore. C'est une armée de soldats de
plomb dans un cadre monotone avec des détails presque
enfantins, comme les sentinelles qui se dressent sur
l'horizon, rigides et régulièrement espacées Heureuse-
ment, nous retrouvons le vrai Jean-Paul Laurens dans
une petite toile exquise où se sont déployées ses rares
qualités de composition, de couleur et d'expression.
C'est le Catéchisme qu'une jeune châtelaine fait à quel-
ques enfants de serfs réunis dans la salle gothique, sur
le banc qui court le long des boiseries sculptées. Le
pauvre petit qu'on interroge reste un peu interdit, et la
fillette qui est à côté de lui semble vouloir lui « souffler »
la réponse ; un autre est plongé dans ses réflexions, tel
autre est évidemment distrait ; cela forme un groupe
charmant.
Revenons à la grande peinture décorative et signalons
VHeure dorée de M. H.-E. Delacroix ; l'atmosphère est
jolie où s'ébattent des baigneuses d'un dessin très serré
et groupées heureusement. L'Enterrement dans les
Deux-Sèvres, de M. Gourdault, c'est celui d'une fillette;
la levée du corps est faite sur la place par le prêtre ; le
cercueil est entouré de petites filles en blanc et de la
famille endeuillée, accompagnée de tout le village. C'est
poignant de vérité vécue et de simplicité.
Ce n'est pas seulement à titre documentaire que nous
intéresse la grande toile de M" Boyer-Breton représen-
tant les Carmélites au choeur ; il y a là une bonne
peinture et une bonne traduction de l'atmosphère spé-
ciale, une opposition saisissante entre ces murs nus et
froids et cette jonchée de roses entourant le pupitre.
Dans Y Improvisation, M- Tessier a mis beaucoup de
poésie et de sentiment. Le paysage crépusculaire n'est
éclairé que par une lanterne vénitienne avec .laquelle
jouent des enfants, et dans la pénombre, s'érige la
silhouette élégante d'une violoniste dont on croit enten-
dre pleurer l'instrument, tant l'ambiance est harmonieuse
et calme. M. Louvet, en nous montrant la plaine Après
la Bataille a cherché à nous émouvoir, mais ces cada-
vres épars de chevaux nous laissent froids.
Une toile qui a fait sensation au Vernissage et qui
le méritait, c'est le Tyran de M. Lucien Jonas. On a
voulu y voir une page d'histoire, lorsque c'était pure
conception imaginative et prétexte à mouvement et à
couteur. Sur le quai près duquel s'abritent de nombreux
bateaux, à l'ombre imposante d'une cathédrale, une
statue équestre se dressait : celle du « tyran ». Il a suffi
de l'éloquence échevelée d'un monsieur en redingote et
cravaté de rouge, juché sur le socle, pour que la foule se
SAI.OS nu 1910. — « Au Carmel », par M" BOVF.K-BRETOM.
soit précipitée à l'assaut de ce tyran de bronze et l'ait
jeté par terre, à la joie de tous ces badauds. Une femme
a pris sur le cheval resté debout la place du déboulonné
qui git dans la boue, en butte aux outrages des énergu-
mènes des deux sexes et à l'insolente gouaillerie des en-
fants. Cette scène extraordinairement animée est peinte
avec sûreté et grandeur. Du même artiste, une Parade
joyeuse avec ses pitres et ses bonisseurs enfarinés.
11 y a des personnes qui aiment les bleus verts de
M. Paul Chabas ; il y là, ce me semble, trop de parti pris ;
cependant on ne peut nier la finesse du dessin et la trans-
parence des eaux du lac d'Annecy Sons les branches.
M. Cormon est un admirable metteur en scène. L'esquisse
d'aujourd'hui est bien petite pour que l'on puisse suivre
toute l'ampleur de ses pensées, mais elle suffit à nous
laisser espérer une oeuvre magistrale, lorsque le Maître
exécutera sur un vaste panneau cet épisode du XXI" livre
de VIliade : la bataille des dieux et le sillon d'Achille.
Non seulement M. Joseph Bail se cantonne dans ses
blancs d'ivoire et dans ses lumières dorées, mais il ne
quitte par l'hospice de Beaune, dont il a peint les
moindres recoins. Nous voici à la cuisine. 11 est vrai
que ce qu'il a trouvé dans ce vieil hospice de plus
curieux à reproduire, ce sont les servantes, si coquette-
ment proprettes et élégantes. Les Blanchisseuses dé
M. Jean Bedorez ne sont pas élégantes du tout, elles,
mais elles vivent et elles travaillent, sans crainte de
déranger leur chevelure. C'est de l'observation sans
vulgarité, digne du peintre qui expose encore une
superbe figure d'un modelé fort délicat et de belle pâte.
Nous avons plusieurs kermesses hollandaises cette
année, la plus curieuse est celle de M. Hanicotte ;
grouillante, réaliste à la Téniers, prise sur le vif par
un observateur vivant depuis longtemps au milieu des
pêcheurs néerlandais, cette étude de moeurs est super-
bement peinte, avec des hardiesses heureuses et tout à
fait sincères. Sincère aussi le calme crépusculaire qui
règne sur le Béguinage de Bruges à l'heure où M. Cassel
a vu sortir du salut les bonnes vieilles qui vont à petits
pas en devisant dans la nuit des arbres séculaires.
Il faudraitencoredécrire lesDanseurs delà Cathédrale
de Sévi/le de M. Zo, la Lessive en Bretagne de M. Vol-
lon, la Lande qu'on dé/riche de M. Demont, les Beaux
jours de M"' Demont-Breton, la Rentrée des Modèles à
l'Ecole des Beaux-Arts par M"" Rondenay ; l'exquise
Prise de voile par M. Renard, le Port de Pêche de
M. Désiré-Lucas, la Veillée de M. Descelles, le Recueil'
tentent de M. Maxence, Au Pays Flamand de M. Dilly,
Entre élèves de M"" Jeanne Maillart, la Tentation de
M. Diogène Maillart, l'Anse des Perles par M. DufTaud,
la Surprise de M" Delacroix-Garnier, Sous le Porche
de M. P.-H. Flandrin, Trianon de M. Paul Girardet,
Didou de M. Paul-Albert Laurens, Regard en arrière
de M. Laparra, les Roches d'Equiheu de M. Guillemet,
le Soir du naufrage de M. Tattegrain. Mais la place
m'est mesurée.
* *
Les Maîtres de la sculpture sont légion ; le hall du
Grand-Palais est vraiment le temple de la beauté. On ne
sait où donner de la tète, tant il faut admirer : le Cardi-
nal Richard, par M. Hippolyte Lefebvre, est frappant de
ressemblance, avec cette expression de bonté et de foi
qui le caractérisèrent ; le Carpeaux, de M. Félix Des-
ruelles, simple et décoratif; VEgalifas de M. Allouard,
statue de la Mort en marbre et pierre ; A la gloire des
Cuirassiers, de M. A. Cordonnier, avec une Renommée
casquée d'un élan superbe ; VEsprit d'imitation, par
M. V. Pavot, où un singe s'essaie à jouer sur la llùte de
son jeune maître qui s'en amuse beaucoup ; le Constant
Coquelin drapé de M. Antonin Mercié ; Après le grisou,
de M. Bailleul ; un vieux mineur a succombé et le sauve-
teur qui découvre le cadavre le soulève et le regarde
avec compassion, sinon avec tendresse, sous la voûte
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