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- TABLE DES MATIERES.
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- BARSANTI-MASPERO. Fouilles autour de la Pyramide d'Ounas (1900-1901) VIII. Tombeau de Péténéit:
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- AHMED BEY KAMAL. Rapport sur les fouilles exécutées à Deïr-el-Barshé, en janvier, février, mars 1901.......... Page(s) .......... 206-222
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RENSEIGNEMENTS
SUR LES PARAGES DE L'ANCIENNE BÉRÉNICE
PAR
M. NICOUR BEY.
En 1895, Nicour bey, alors Ingénieur en chef de la Voie et des Travaux des Chemins
de fer de l'Etat, résuma dans un rapport les études qu'il avaitentrepris de concert avec
plusieurs des ingénieurs placés sous ses ordres, en vue de l'établissement d'une ligne
ferrée entre Kéneh et la Mer Rouge. Ce rapport, imprimé par les soins de l'Administration
à laquelle il avait été adressé, n'a jamais été mis dans le commerce, et il est demeuré
inconnu aux archéologues. J'ai pensé qu'il serait utile d'en extraire les passages relatifs
à la station antique de Bérénice et aux causes naturelles qui ont ruiné ce port si
florissant à l'époque gréco-romaine. Les savants qui s'occupent de l'histoire du com-
merce antique, et des questions que soulève l'étude des Périjjlcs de la Mer Rouge, y
trouveront certainement leur profit. — G. M.
A trois cents kilomètres au Sud de Kosséir, on rencontre l'importante
presqu'île que termine à l'Est le Ras-Benas. Elle forme, presque normalement
à la côte, un promontoire d'une largeur moyenne de huit kilomètres, qui
s'étend de l'Ouest à l'Est sur une longueur de trente-cinq kilomètres en-
viron. De nombreux récifs, en grande partie composés de coraux, bordent
le littoral et s'avancent jusqu'à dix kilomètres en haute mer. Ces coraux,
qui rendent les abords de la côte très dangereux pour un navire, se présentent
tantôt sous forme de bancs d'étendue très variable, généralement parallèles
au littoral, tantôt sous forme d'ilôts parsemés ça et là sans ordre apparent,
mais qui, au fond, obéissent à la loi de formation circulaire des madrépores
et finissent par se rejoindre. Par temps calme, la distance à laquelle on
peut signaler ces dangereux bancs de coraux varie en raison directe de la
hauteur à laquelle se trouve l'observateur au-dessus du niveau de la mer.
On les reconnaît alors à la couleur vert-émeraude de l'eau qui les recouvre.
Bien som'ent, jusqu'au moment où le soleil est très haut au-dessus de
l'horizon, surtout si l'on se dirige vers l'Est, le miroitement sur la surface
de la mer est tel, qu'au moment où l'on parvient à distinguer les coraux,
SUR LES PARAGES DE L'ANCIENNE BÉRÉNICE
PAR
M. NICOUR BEY.
En 1895, Nicour bey, alors Ingénieur en chef de la Voie et des Travaux des Chemins
de fer de l'Etat, résuma dans un rapport les études qu'il avaitentrepris de concert avec
plusieurs des ingénieurs placés sous ses ordres, en vue de l'établissement d'une ligne
ferrée entre Kéneh et la Mer Rouge. Ce rapport, imprimé par les soins de l'Administration
à laquelle il avait été adressé, n'a jamais été mis dans le commerce, et il est demeuré
inconnu aux archéologues. J'ai pensé qu'il serait utile d'en extraire les passages relatifs
à la station antique de Bérénice et aux causes naturelles qui ont ruiné ce port si
florissant à l'époque gréco-romaine. Les savants qui s'occupent de l'histoire du com-
merce antique, et des questions que soulève l'étude des Périjjlcs de la Mer Rouge, y
trouveront certainement leur profit. — G. M.
A trois cents kilomètres au Sud de Kosséir, on rencontre l'importante
presqu'île que termine à l'Est le Ras-Benas. Elle forme, presque normalement
à la côte, un promontoire d'une largeur moyenne de huit kilomètres, qui
s'étend de l'Ouest à l'Est sur une longueur de trente-cinq kilomètres en-
viron. De nombreux récifs, en grande partie composés de coraux, bordent
le littoral et s'avancent jusqu'à dix kilomètres en haute mer. Ces coraux,
qui rendent les abords de la côte très dangereux pour un navire, se présentent
tantôt sous forme de bancs d'étendue très variable, généralement parallèles
au littoral, tantôt sous forme d'ilôts parsemés ça et là sans ordre apparent,
mais qui, au fond, obéissent à la loi de formation circulaire des madrépores
et finissent par se rejoindre. Par temps calme, la distance à laquelle on
peut signaler ces dangereux bancs de coraux varie en raison directe de la
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On les reconnaît alors à la couleur vert-émeraude de l'eau qui les recouvre.
Bien som'ent, jusqu'au moment où le soleil est très haut au-dessus de
l'horizon, surtout si l'on se dirige vers l'Est, le miroitement sur la surface
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