Titre : Les Annales politiques et littéraires : revue populaire paraissant le dimanche / dir. Adolphe Brisson
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1907-10-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34429261z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 42932 Nombre total de vues : 42932
Description : 20 octobre 1907 20 octobre 1907
Description : 1907/10/20 (A25,N1269,T49). 1907/10/20 (A25,N1269,T49).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5721944t
Source : Bibliothèque nationale de France, département Collections numérisées, 2009-34518
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2010
376
LES ANNALES
N° 1269
neur, et, loin de tout vain protocole, causer
librement avec eux. Il leur demanda de lon-
gues explications sur la Légion d'honneur,
sur son but, sa fondation, sur la manière de
la porter et sur les personnalités marquantes
auxquelles elle fut donnée depuis Napoléon.
Il déclara attacher un grand prix à ce nou-
veau témoignage de l'amitié française, et mon-
tra un réel plaisir de l'avoir reçu.
Dans une conversation des plus enjouées,
le sultan parla longuement de la France, de
Paris, qu'il déclara connaître presque aussi
bien que n'importe quel Français ou habi-
tant de la province.
« C'est au point, dit-il, que, si j'arrivais
à Paris incognito, je saurais me diriger où
je voudrais, sans avoir à demander aucun
renseignement. C'est une ville superbe, ajouta-
t-il, que j'aime et que je voudrais visiter,
que j'espère même, si les circonstances le
permettent, visiter un jour. »
Il n'ignore rien des grandes inventions nou-
velles, des automobiles, des dirigeables, et
s'est vivement intéressé à tout ce que lui di-
saient ses visiteurs.
Son attitude, pendant la réception officielle,
fut, elle-même, très éloignée des usages sé-
culaires de la Cour marocaine. C'est ainsi
qu'il voulut être debout pour recevoir nos
ambassadeurs, et ce fut debout aussi qu'il
écouta le discours prononcé à cette occasion
par M. Regnault et qu'il y répondit.
Ce discours du représentant de la France
est, d'ailleurs, assez effacé. Sauf trois ou quatre
mots, celui-ci a tenu le langage dont il se
fût servi s'il avait représenté notre pays dans
un pays d'Europe.
Après avoir rappelé les circonstances diffi-
ciles que traverse, en ce moment, l'empire
chérifien, M. Regnault a affirmé sa persua-
sion de voir le sultan rétablir, grâce à sa fer-
meté, l'ordre et la paix et assurer aux tran-
sactions commerciales la sécurité qui leur est
indispensable pour se développer, en mettant
à exécution les réformes prévues à l'acte d'Al-
gésiras et consenties par lui.
Le chérif s'est montré plus précis. Abd-el-
Aziz a déclaré qu'il espérait « notre aide pré-
cieuse », qu'il comptait sur notre « appui
bienveillant, sur notre collaboration sincère ».
Il n'a parlé du gouvernement français, enfin,
et de son ambassadeur qu'en les faisant suivre
du qualificatif respecté :.. « Le gouvernement
français respecté », « l'ambassadeur français
respecté ».
L'importance de l'ambassade française rési-
dait moins, d'ailleurs, dans le langage tenu
que dans elle-même, puisque la France y
a, en quelque sorte, pris parti pour Abd-el-
Aziz et contre son compétiteur.
Abd-el-Aziz a bien voulu aussi recevoir plu-
sieurs membres de la presse française qui lui
étaient officieusement présentés par M. Re-
gnault et il s'est montré, pour eux, d'une
grande affabilité. Un, qui déjà l'avait approché
il y a deux ans, l'a trouvé plus robuste et
moins insouciant.
« On sent immédiatement, dit-il, à deux an-
nées de distance, les traits nouveaux qu'ont
imprimés à son caractère les déceptions et
les tristesses dos événements qui se sont suc-
cédé dans son pays. Ses grands yeux noirs
et veloutés sont toujours pétillants de viva-
cité; mais leur expression mélancolique donne
un charme particulier à sa physionomie. »
Il a parlé avec beaucoup de liberté, et sans
amertume, des événements de Marrakech et de
Moulaï-Hafid.
« Mon frère, a-t-il déclaré, s'est toujours
conduit comme un prince fidèle à son suzerain.
Mais il a été égaré par des fauteurs de troubles
qui l'ont forcé à s'écarter du chemin droit. Je
le plains, parce qu'il est mon frère et que
je n'ai jamais, jusqu'à présent, rien eu à lui
reprocher. Je n'ai pas, d'ailleurs, grande in-
quiétude au sujet de cette incartade; avec
l'aide de Dieu, tout rentrera bientôt dans l'or-
dre et la légalité. »
A Oudjda
Un incident comme il s'en produit constam-
ment en pays arabe, et dont il convient, en
conséquence, de ne pas exagérer l'importance,
s'est produit à Oudjda. Lors de l'occupation
française, en mars dernier, la tribu des Beni-
Snassen, qui occupe le Riff, se divisa en deux
fractions: celle des Beni-Kaddour, qui nous
manifesta de vives sympathies, tandis que
l'autre, au contraire, s'abstenait et déclarait
frapper nos alliés d'amendes très fortes et les
menaçait d'aller les razzier s'ils ne payaient
pas. Ces jours-ci, en effet, les Beni-Snassen
prenaient les armes et se portaient sur les
Kaddour, dont le chef faisait passer sa smala
sur le territoire français et s'apprêtait lui-
même à faire parler la poudre. Mais l'autorité
française ne pouvait pas laisser attaquer des
gens dont le seul crime est de nous être
fidèles, et le commandant d'Oudjda envoya
aussitôt une forte colonne qui se rencontra
avec les Beni-Snassen dans la journée du
7 et leur infligea une sévère et sanglante leçon.
L'effervescence reste, cependant, assez grande
dans la région, et, à tout hasard, quelques
postes avancés ont été renforcés.
FRANCE
L'Eau Dévastatrice
Les inondations continuent. Après un mo-
ment d'arrêt, les eaux dévastatrices accumu-
lent, de nouveau, les pertes et prolongent la
catastrophe, déjà si grande, des départements
du Gard et de l'Hérault. Et ce n'est pas
seulement l'Hérault, ce n'est pas seulement
le Vidourle qui, de nouveau, inondent leurs
rives: à la suite de pluies torrentielles, la
Loire et le Rhône, et nombre de leurs af-
fluents, viennent de déborder, inondant, rava-
geant les plaines.
Le champ de foire de Beaucaire est sous
les eaux. La ville elle-même est menacée et,
de Nîmes, on est obligé d'envoyer du pain
aux malheureux habitants des communes envi-
ronnantes sur des prolonges d'artillerie. Dans
le Centre, la situation est encore plus criti-
que. Dans les plaines du Forez, la Loire
a brusquement monté de plusieurs mètres et
submergé des villages entiers. Entre Saint-
Etienne et le Pertuiset, toutes les rivières :
le Furens, la Bouzon, la Fouillouse, ont dé-
bordé. Les voies de chemins de fer sont cou-
pées de tous côtés par les eaux, des trains
sont bloqués. Les ruines sont incalculables,
les victimes nombreuses.
Le Congrès de Nancy
Comme il était Hors de doute, le Congrès
radical, réuni à Nancy sous la présidence
de M. Pelletan, a solennellement flétri les
doctrines abominables des antimilitaristes et
des sans-patrie. Il a été voté, à l'unanimité,
une motion dont la première partie est, en
effet, ainsi conçue:
« Le Congrès radical et radical socialiste,
ne séparant pas la patrie de la République,
impose à tous les adhérents du parti le devoir
de refuser leur suffrage à tout candidat
qui préconiserait la désorganisation des armées
de la République, soit par la désertion en
temps de paix, soit par l'insurrection et la
grève générale devant l'ennemi. »
M. Pelletan, le général Godard, M. Dumont,
se sont particulièrement élevés contre l' « her-
véisme ».
« L'antipatriotisme, a dit ce dernier, est un
danger, car il donne l'apparence d'une doc-
trine à ce qui se cachait, jadis, comme une
plaie honteuse et secrète.
» Il y a toujours eu des déserteurs et des
lâches. La loi les recherchait, les punissait,
et ils ne se vantaient pas de leur bassesse!
» Nous ne devons même pas paraître pren-
dre pour une doctrine cette chose mons-
trueuse; je dis bien monstrueuse. Quoi! Alors
que tous, jeunes ou vieux, volontaires ou ap-
pelés, nous volerions à la frontière pour dé-
fendre notre sol et le sol de nos frères, il y
en a qui nous fusilleraient dans le dos et
qui incendieraient nos maisons! »
JACQUES LAUDY,
Le nouveau costume des étudiantes de l'Université de Bangow (Angl terre).
LES ANNALES
N° 1269
neur, et, loin de tout vain protocole, causer
librement avec eux. Il leur demanda de lon-
gues explications sur la Légion d'honneur,
sur son but, sa fondation, sur la manière de
la porter et sur les personnalités marquantes
auxquelles elle fut donnée depuis Napoléon.
Il déclara attacher un grand prix à ce nou-
veau témoignage de l'amitié française, et mon-
tra un réel plaisir de l'avoir reçu.
Dans une conversation des plus enjouées,
le sultan parla longuement de la France, de
Paris, qu'il déclara connaître presque aussi
bien que n'importe quel Français ou habi-
tant de la province.
« C'est au point, dit-il, que, si j'arrivais
à Paris incognito, je saurais me diriger où
je voudrais, sans avoir à demander aucun
renseignement. C'est une ville superbe, ajouta-
t-il, que j'aime et que je voudrais visiter,
que j'espère même, si les circonstances le
permettent, visiter un jour. »
Il n'ignore rien des grandes inventions nou-
velles, des automobiles, des dirigeables, et
s'est vivement intéressé à tout ce que lui di-
saient ses visiteurs.
Son attitude, pendant la réception officielle,
fut, elle-même, très éloignée des usages sé-
culaires de la Cour marocaine. C'est ainsi
qu'il voulut être debout pour recevoir nos
ambassadeurs, et ce fut debout aussi qu'il
écouta le discours prononcé à cette occasion
par M. Regnault et qu'il y répondit.
Ce discours du représentant de la France
est, d'ailleurs, assez effacé. Sauf trois ou quatre
mots, celui-ci a tenu le langage dont il se
fût servi s'il avait représenté notre pays dans
un pays d'Europe.
Après avoir rappelé les circonstances diffi-
ciles que traverse, en ce moment, l'empire
chérifien, M. Regnault a affirmé sa persua-
sion de voir le sultan rétablir, grâce à sa fer-
meté, l'ordre et la paix et assurer aux tran-
sactions commerciales la sécurité qui leur est
indispensable pour se développer, en mettant
à exécution les réformes prévues à l'acte d'Al-
gésiras et consenties par lui.
Le chérif s'est montré plus précis. Abd-el-
Aziz a déclaré qu'il espérait « notre aide pré-
cieuse », qu'il comptait sur notre « appui
bienveillant, sur notre collaboration sincère ».
Il n'a parlé du gouvernement français, enfin,
et de son ambassadeur qu'en les faisant suivre
du qualificatif respecté :.. « Le gouvernement
français respecté », « l'ambassadeur français
respecté ».
L'importance de l'ambassade française rési-
dait moins, d'ailleurs, dans le langage tenu
que dans elle-même, puisque la France y
a, en quelque sorte, pris parti pour Abd-el-
Aziz et contre son compétiteur.
Abd-el-Aziz a bien voulu aussi recevoir plu-
sieurs membres de la presse française qui lui
étaient officieusement présentés par M. Re-
gnault et il s'est montré, pour eux, d'une
grande affabilité. Un, qui déjà l'avait approché
il y a deux ans, l'a trouvé plus robuste et
moins insouciant.
« On sent immédiatement, dit-il, à deux an-
nées de distance, les traits nouveaux qu'ont
imprimés à son caractère les déceptions et
les tristesses dos événements qui se sont suc-
cédé dans son pays. Ses grands yeux noirs
et veloutés sont toujours pétillants de viva-
cité; mais leur expression mélancolique donne
un charme particulier à sa physionomie. »
Il a parlé avec beaucoup de liberté, et sans
amertume, des événements de Marrakech et de
Moulaï-Hafid.
« Mon frère, a-t-il déclaré, s'est toujours
conduit comme un prince fidèle à son suzerain.
Mais il a été égaré par des fauteurs de troubles
qui l'ont forcé à s'écarter du chemin droit. Je
le plains, parce qu'il est mon frère et que
je n'ai jamais, jusqu'à présent, rien eu à lui
reprocher. Je n'ai pas, d'ailleurs, grande in-
quiétude au sujet de cette incartade; avec
l'aide de Dieu, tout rentrera bientôt dans l'or-
dre et la légalité. »
A Oudjda
Un incident comme il s'en produit constam-
ment en pays arabe, et dont il convient, en
conséquence, de ne pas exagérer l'importance,
s'est produit à Oudjda. Lors de l'occupation
française, en mars dernier, la tribu des Beni-
Snassen, qui occupe le Riff, se divisa en deux
fractions: celle des Beni-Kaddour, qui nous
manifesta de vives sympathies, tandis que
l'autre, au contraire, s'abstenait et déclarait
frapper nos alliés d'amendes très fortes et les
menaçait d'aller les razzier s'ils ne payaient
pas. Ces jours-ci, en effet, les Beni-Snassen
prenaient les armes et se portaient sur les
Kaddour, dont le chef faisait passer sa smala
sur le territoire français et s'apprêtait lui-
même à faire parler la poudre. Mais l'autorité
française ne pouvait pas laisser attaquer des
gens dont le seul crime est de nous être
fidèles, et le commandant d'Oudjda envoya
aussitôt une forte colonne qui se rencontra
avec les Beni-Snassen dans la journée du
7 et leur infligea une sévère et sanglante leçon.
L'effervescence reste, cependant, assez grande
dans la région, et, à tout hasard, quelques
postes avancés ont été renforcés.
FRANCE
L'Eau Dévastatrice
Les inondations continuent. Après un mo-
ment d'arrêt, les eaux dévastatrices accumu-
lent, de nouveau, les pertes et prolongent la
catastrophe, déjà si grande, des départements
du Gard et de l'Hérault. Et ce n'est pas
seulement l'Hérault, ce n'est pas seulement
le Vidourle qui, de nouveau, inondent leurs
rives: à la suite de pluies torrentielles, la
Loire et le Rhône, et nombre de leurs af-
fluents, viennent de déborder, inondant, rava-
geant les plaines.
Le champ de foire de Beaucaire est sous
les eaux. La ville elle-même est menacée et,
de Nîmes, on est obligé d'envoyer du pain
aux malheureux habitants des communes envi-
ronnantes sur des prolonges d'artillerie. Dans
le Centre, la situation est encore plus criti-
que. Dans les plaines du Forez, la Loire
a brusquement monté de plusieurs mètres et
submergé des villages entiers. Entre Saint-
Etienne et le Pertuiset, toutes les rivières :
le Furens, la Bouzon, la Fouillouse, ont dé-
bordé. Les voies de chemins de fer sont cou-
pées de tous côtés par les eaux, des trains
sont bloqués. Les ruines sont incalculables,
les victimes nombreuses.
Le Congrès de Nancy
Comme il était Hors de doute, le Congrès
radical, réuni à Nancy sous la présidence
de M. Pelletan, a solennellement flétri les
doctrines abominables des antimilitaristes et
des sans-patrie. Il a été voté, à l'unanimité,
une motion dont la première partie est, en
effet, ainsi conçue:
« Le Congrès radical et radical socialiste,
ne séparant pas la patrie de la République,
impose à tous les adhérents du parti le devoir
de refuser leur suffrage à tout candidat
qui préconiserait la désorganisation des armées
de la République, soit par la désertion en
temps de paix, soit par l'insurrection et la
grève générale devant l'ennemi. »
M. Pelletan, le général Godard, M. Dumont,
se sont particulièrement élevés contre l' « her-
véisme ».
« L'antipatriotisme, a dit ce dernier, est un
danger, car il donne l'apparence d'une doc-
trine à ce qui se cachait, jadis, comme une
plaie honteuse et secrète.
» Il y a toujours eu des déserteurs et des
lâches. La loi les recherchait, les punissait,
et ils ne se vantaient pas de leur bassesse!
» Nous ne devons même pas paraître pren-
dre pour une doctrine cette chose mons-
trueuse; je dis bien monstrueuse. Quoi! Alors
que tous, jeunes ou vieux, volontaires ou ap-
pelés, nous volerions à la frontière pour dé-
fendre notre sol et le sol de nos frères, il y
en a qui nous fusilleraient dans le dos et
qui incendieraient nos maisons! »
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