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quand ils semblent écrits d'hier Grognards et
Poilus, ils se valaient.
Notre confrère Mireur n'a de commun avec
son grand-oncle que son goût pour la médecine,
goût à vrai dire plus profond et plus fidèle, car il
décida dé sa vocation et le conduisît à une haute
situation professionnelle. Si nous trouvons Mireur,
en 1870, major de la 3e légion de mobilisés, dans
le service des varioleux au camp des Alpines, puis
au fort de Sainte-Foy, près de Lyon, c'est qu'il
payait à là patrie, pendant ces jours douloureux,
son tribut de dévouement. Mireur fut ayant tout
médecin et spécialiste éminent. Après des études
classiques chez les Jésuites d'Avignon, ou il avait
eu pour condisciple l'explorateur Soleillet, il vint
faire ses études de médecine à Paris. Il prenait
pension, nous disent ses biographes, chez la veuve
Amiot, rue de l'Ancienne-Comédie, où il tréquentait
Gambetta, Camescasse, Me Lachaud, Barrême. A
26 ans, il passait sa thèse et venait s'installer à Mar-
seille en 1868.
Les études de Mireur le destinaient à la spécialité.
Tout en embrassant, comme on fait en France,
l'ensemble des connaissances générales,Mireur,
presque dès le début de ses études et sous des maîtres
éminents, comme Langlebert, dont il avait été le
chef de clinique, Mireur s'était; tourné vers une
branche de la pathologie qu'il avait approfondie.
Sous le couvert de cette culture générale, la spé-
cialisation contre laquelle on a beaucoup parlé, est
justifiée et nécessaire. Elle était rare à l'époque où
Mireur abordait la pratique de notre art. On avait
bien connu dans notre ville quelques spécialistes
célèbres, comme Daviel, Ollion, fameux oculistes
des siècles précédents, mais le XIXe siècle à son début;
avait marqué comme un pas en arrière. Il n'avait
même pas conservé la distinction séculaire entre les
médecins et les chirurgiens. On ne s'explique pas
quand ils semblent écrits d'hier Grognards et
Poilus, ils se valaient.
Notre confrère Mireur n'a de commun avec
son grand-oncle que son goût pour la médecine,
goût à vrai dire plus profond et plus fidèle, car il
décida dé sa vocation et le conduisît à une haute
situation professionnelle. Si nous trouvons Mireur,
en 1870, major de la 3e légion de mobilisés, dans
le service des varioleux au camp des Alpines, puis
au fort de Sainte-Foy, près de Lyon, c'est qu'il
payait à là patrie, pendant ces jours douloureux,
son tribut de dévouement. Mireur fut ayant tout
médecin et spécialiste éminent. Après des études
classiques chez les Jésuites d'Avignon, ou il avait
eu pour condisciple l'explorateur Soleillet, il vint
faire ses études de médecine à Paris. Il prenait
pension, nous disent ses biographes, chez la veuve
Amiot, rue de l'Ancienne-Comédie, où il tréquentait
Gambetta, Camescasse, Me Lachaud, Barrême. A
26 ans, il passait sa thèse et venait s'installer à Mar-
seille en 1868.
Les études de Mireur le destinaient à la spécialité.
Tout en embrassant, comme on fait en France,
l'ensemble des connaissances générales,Mireur,
presque dès le début de ses études et sous des maîtres
éminents, comme Langlebert, dont il avait été le
chef de clinique, Mireur s'était; tourné vers une
branche de la pathologie qu'il avait approfondie.
Sous le couvert de cette culture générale, la spé-
cialisation contre laquelle on a beaucoup parlé, est
justifiée et nécessaire. Elle était rare à l'époque où
Mireur abordait la pratique de notre art. On avait
bien connu dans notre ville quelques spécialistes
célèbres, comme Daviel, Ollion, fameux oculistes
des siècles précédents, mais le XIXe siècle à son début;
avait marqué comme un pas en arrière. Il n'avait
même pas conservé la distinction séculaire entre les
médecins et les chirurgiens. On ne s'explique pas
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