Titre : La Renaissance : politique, littéraire et artistique / dir. Henry Lapauze
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1914-01-10
Contributeur : Lapauze, Henry (1867-1925). Directeur de publication
Contributeur : Lapauze, Marie-Paule (1889-1975). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32850844w
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 8435 Nombre total de vues : 8435
Description : 10 janvier 1914 10 janvier 1914
Description : 1914/01/10 (A2,N2). 1914/01/10 (A2,N2).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k57030471
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, FOL-Z-1097
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
26
LA RENAISSANCE POLITIQUE, LITTÉRAIRE ET ARTISTIQUE
IVOL OtJLriositcb
Promenades ehes: l'Antiquaire
M. FRANÇOIS KLEINBERGER
Par qui commencer la tournée des antiquaires sinon
par l'habile homme à qui le Louvre doit d'avoir pu, en
quelques années, acquérir quatre de ses plus beaux primi-
tifs : Vllomme au verre de vin, la Vieille Femme de Meur-
ling, le Christ de Bellini et ce merveilleux triptyque
de Rogier Van cler Weyden, payé SOO.000 francs par les
musées nationaux, au mois de juillet dernier ?
Il y a plus de trente ans que M. Kleinberger est établi
clans nos murs ; dès 1880, il vendait des tableaux au baron
de Beurnonville, l'un des plus grands collectionneurs de
peintures que la France ait connus. Il se spécialisa bien-
tôt dans les oeuvres des écoles du nord et ne contribua
pas peu à former la précieuse galerie de néerlandais de
feu Adolphe Schloss.
Plus d'un musée lui doit de posséder des oeuvres impor-
tantes et il évalue à tout près de quarante le nombre de
Rembrandt qui lui ont passé par les mains.
-Au cours de ces dernières années, il a beaucoup vendu
en Amérique, notamment à M. Johnson de Philadelphie.
Il céda à Pierpont Morgan le Fra Angelico el le petit
Rembrandt du roi des Belges et à feu Altman, ses qua-
tre Memling, Un Bembrandt et un superbe Prans Hais.
Après avoir formé presque en entier la collection De
Ridder, M. Kleinberger vient de la rac-heler à la famille
de l'amateur décédé et en ce moment même, il la disperse
à New-York.
« Je voudrais, nous dit M. Kleinberger, en nous re-
cevant dans sa galerie de la rue de l'Echelle, pouvoir
vous montrer deux ou trois des tableaux que je viens d'en-
voyer en Amérique, un grand portrait d'homme par
Prans Hais que je viens de trouver à Vienne et surtout
un magnifique, portrait en pied par Murillo qui est une
des plus belles choses que l'on puisse imaginer. Mais,
ajoula-t-il en nous ouvrant une porte, voici de quoi satis-
faire votre curiosité- de chroniqueur ».
Et M. Kleinberger nous montra tour à tour quelques-
unes de ses dernières acquisilions. le Giovanni di Paolo
de la vente Aynard, le merveilleux Branwer payé un demi
million chez'Steengracht et le grand Bembrandt adjugé
pour le même prix à la vente Levaigneur.
Voici encore un Rembrandt, charmant portrait de fem-
me de sa jeunesse provenant de la collection Max von
Gutmann, de Vienne ; un imposant Inférieur de Pieter
de Hooch, qui fut longtemps chez la princesse de Broglie
née Say ; un remarquable portrait d'homme par Gérard
David, avec un fond de paysage d'une facture étonnante :
un Homme à la flèche enfin, par Memling, un des joyaux
du cabinet Oppenheini de Cologne.
Préférez-vous les dessins? Voici un beau Guardi et
deux Rembrandt bien authentiques dont l'un porte le ca-
chet de la vente Warwick où il figura avant de passer '
dans la collection Iïeselline.
M. Kleinberger compte publier ce printemps un nouvel
album de cent, cinquante peintures tirées de ses galeries.
Il aura, comme le premier, sa place indiquée dans toutes
les bibliothèques d'art.
* *
Son âge, sa naissance.— Il s'agit encore de Mona Lisa.
Sohs prèlexte que son nom de jeune fille était Gherardini,
on en avait fait un rejelnn de la famille napolitaine de
ce nom. Nous avons changé tout cela : grâce à M. Poggi,
directeur des Offices, qui "a mis le nez dans les registres
de l'état civil aux archives toscanes, nous apprenons au-
jourd'hui que Lisa était'Florentine, bien Florentine. Elle
naquit sur" les rives de l'Arno en 1479. Quand Giocondo
l'épousa elle avait juste seize ans, mais quand elle posa
devant Léonard (1503) elle en avait, vingt-quatre. Les
séances de pose, on le sait, s'espacèrent sur quatre an-
nées successives. Comme Miintz aurait été joyeux de cette
découverte, lui qui perdit six mois (et pour cause) à cher-
cher, aux archives de Naples, l'acle de naissance de la
Joconde.
Une victoire de M. Bode. — L'Allemagne triomphé dans
la mémorable affaire du primitif de Monforte.. L'admi-
rable Adoration des Mages, par Hugo van der Goês, a
quitté la petite ville espagnole pour les bords moins sau-
vages de la Sprée. L'Espagne fit tout pour garder le ta-
bleau ; mais l'empereur avait jeté son glaive dans la
balance et le Prado dut céder le pas devant le Kaiser
Friedrich Muséum. 11 ne resle de celte histoire aux habi-
tants de Monforte qu'un cuisant, souvenir... et douze cents
billets de mille francs qui panseront bien des blessures.
Un nouveau Léonard. — Les peintures authentiques
de Léonard de Vinci peuvent se compter sur les dix
doigts ; aussi n'csl-ce pas un mince exploit pour un con-
servateur de musée que d'en ajouter un aux trésors con-
fiés à sa garde. C'est pourtant ce que vient d'accomplir
M. de Liphart, l'éminent conservateur de l'Ermitage
impérial de Saint-Pétersbourg. Il y a trois ans il découvrit
chez un amateur de la capitale russe, Mme Benois, femme
de l'architecte bien connu, une exquise Madone dans là-
quelle il reconnut avec une rare sagacité une oeuvre de
la première jeunesse du grand maître. Son jugement a
été confirmé par les critiques les plus sévères et M. de
Liphart n'a pas encore rencontré de contradicteur. Que
dis-je, un savant anglais a retrouvé au British Muséum,
le croquis original du tableau russe.
L'an dernier je fis le pèlerinage de Saint-Pétersbourg
pour aller admirer la Madone de Mme Benois. M. de
Liphart me fil port, et de son désir de l'acquérir et de sa
crainte perpétuelle qu'elle ne lui échappât. Ses craintes
étaient vaines ; malgré le prix énorme que lui en offraient,
les Duveen, Mme Benois a préféré en demander au Tsar
un modeste demi-million. El l'Ermitage compte un trésor
de plus.
L'Oiseau mort. -- Lundi et mardi, M" Marcel Walter
a dispersé les bijoux, fourrures, robes et meubles « dé-
pendant de la succession de. Mademoiselle P..., dite
Pierrette Fleury. Un public très mêlé fut attiré à cette
vente par une curiosité plus ou moins malsaine » et où
les sentiments esthétiques entraient, pour fort peu de
chose. Bien de plus attristant, au resle, que ce funèbre
déballage de jupons en soie, de peignoirs en crêpe dé
Chine et de frêles robes qu'un soir l'on trouva si jolies.
Les dernières ventes de l'année. — Ce sont celles du samedi
27 et du lundi 29 décembre. La première nous présenta, ali-
gnées, Ireize peintures de Guillaumin que les amateurs pré-
sents, M. Orosdi, M. Pierre Decourcelle, le Dr Gautier et
M. Pierre Goujon se disputèrent avec la dernière énergie. Qua-
tre tableaux ont alteinl ou dépassé quinze cenls francs. Ce
•n'est pas un record, comme l'assurnil un quotidien (car on a
.payé jusqu'à trois mille francs en venle un Guillattmin), mais
ce n'en est pas moins un heureux symptôme de hausse sur
■les oeuvres d'un grand et hnnnôle artiste.
A la même vacation, deux Picasso ont fait mille francs pièce,
mais les Seyssand se sont médiocrement Vendus. Lé tout ap-
partenait à un homme de lettres bien connu.
Le surlendemain, M" Tixier et M. Bine ont vendu environ
. deux cenls dessins et peintures de: toute espèce et de toute
qualité. Dans cette vacation très mélangée, les habiles ont fait
•leur choix et à bon compte. Un marchand a obtenu pour huit
.francs un croquis de-David qui pourrait bien être authentique.
Les dessins de Guys^ comme toujours, sont très disputés et
un cadre qui en renfermait trois trouve sans peine preneur à
4(50 [rancs.
En ce mois de janvier, l'hôtel Drouot va faire relâché, ou à
•peu près ; pour la dernière semaine^ Cependant, on nous pro-
met au moins une belle vente..
SEYMOUR DE RI CCI
SU
LA RENAISSANCE POLITIQUE, LITTÉRAIRE ET ARTISTIQUE
IVOL OtJLriositcb
Promenades ehes: l'Antiquaire
M. FRANÇOIS KLEINBERGER
Par qui commencer la tournée des antiquaires sinon
par l'habile homme à qui le Louvre doit d'avoir pu, en
quelques années, acquérir quatre de ses plus beaux primi-
tifs : Vllomme au verre de vin, la Vieille Femme de Meur-
ling, le Christ de Bellini et ce merveilleux triptyque
de Rogier Van cler Weyden, payé SOO.000 francs par les
musées nationaux, au mois de juillet dernier ?
Il y a plus de trente ans que M. Kleinberger est établi
clans nos murs ; dès 1880, il vendait des tableaux au baron
de Beurnonville, l'un des plus grands collectionneurs de
peintures que la France ait connus. Il se spécialisa bien-
tôt dans les oeuvres des écoles du nord et ne contribua
pas peu à former la précieuse galerie de néerlandais de
feu Adolphe Schloss.
Plus d'un musée lui doit de posséder des oeuvres impor-
tantes et il évalue à tout près de quarante le nombre de
Rembrandt qui lui ont passé par les mains.
-Au cours de ces dernières années, il a beaucoup vendu
en Amérique, notamment à M. Johnson de Philadelphie.
Il céda à Pierpont Morgan le Fra Angelico el le petit
Rembrandt du roi des Belges et à feu Altman, ses qua-
tre Memling, Un Bembrandt et un superbe Prans Hais.
Après avoir formé presque en entier la collection De
Ridder, M. Kleinberger vient de la rac-heler à la famille
de l'amateur décédé et en ce moment même, il la disperse
à New-York.
« Je voudrais, nous dit M. Kleinberger, en nous re-
cevant dans sa galerie de la rue de l'Echelle, pouvoir
vous montrer deux ou trois des tableaux que je viens d'en-
voyer en Amérique, un grand portrait d'homme par
Prans Hais que je viens de trouver à Vienne et surtout
un magnifique, portrait en pied par Murillo qui est une
des plus belles choses que l'on puisse imaginer. Mais,
ajoula-t-il en nous ouvrant une porte, voici de quoi satis-
faire votre curiosité- de chroniqueur ».
Et M. Kleinberger nous montra tour à tour quelques-
unes de ses dernières acquisilions. le Giovanni di Paolo
de la vente Aynard, le merveilleux Branwer payé un demi
million chez'Steengracht et le grand Bembrandt adjugé
pour le même prix à la vente Levaigneur.
Voici encore un Rembrandt, charmant portrait de fem-
me de sa jeunesse provenant de la collection Max von
Gutmann, de Vienne ; un imposant Inférieur de Pieter
de Hooch, qui fut longtemps chez la princesse de Broglie
née Say ; un remarquable portrait d'homme par Gérard
David, avec un fond de paysage d'une facture étonnante :
un Homme à la flèche enfin, par Memling, un des joyaux
du cabinet Oppenheini de Cologne.
Préférez-vous les dessins? Voici un beau Guardi et
deux Rembrandt bien authentiques dont l'un porte le ca-
chet de la vente Warwick où il figura avant de passer '
dans la collection Iïeselline.
M. Kleinberger compte publier ce printemps un nouvel
album de cent, cinquante peintures tirées de ses galeries.
Il aura, comme le premier, sa place indiquée dans toutes
les bibliothèques d'art.
* *
Son âge, sa naissance.— Il s'agit encore de Mona Lisa.
Sohs prèlexte que son nom de jeune fille était Gherardini,
on en avait fait un rejelnn de la famille napolitaine de
ce nom. Nous avons changé tout cela : grâce à M. Poggi,
directeur des Offices, qui "a mis le nez dans les registres
de l'état civil aux archives toscanes, nous apprenons au-
jourd'hui que Lisa était'Florentine, bien Florentine. Elle
naquit sur" les rives de l'Arno en 1479. Quand Giocondo
l'épousa elle avait juste seize ans, mais quand elle posa
devant Léonard (1503) elle en avait, vingt-quatre. Les
séances de pose, on le sait, s'espacèrent sur quatre an-
nées successives. Comme Miintz aurait été joyeux de cette
découverte, lui qui perdit six mois (et pour cause) à cher-
cher, aux archives de Naples, l'acle de naissance de la
Joconde.
Une victoire de M. Bode. — L'Allemagne triomphé dans
la mémorable affaire du primitif de Monforte.. L'admi-
rable Adoration des Mages, par Hugo van der Goês, a
quitté la petite ville espagnole pour les bords moins sau-
vages de la Sprée. L'Espagne fit tout pour garder le ta-
bleau ; mais l'empereur avait jeté son glaive dans la
balance et le Prado dut céder le pas devant le Kaiser
Friedrich Muséum. 11 ne resle de celte histoire aux habi-
tants de Monforte qu'un cuisant, souvenir... et douze cents
billets de mille francs qui panseront bien des blessures.
Un nouveau Léonard. — Les peintures authentiques
de Léonard de Vinci peuvent se compter sur les dix
doigts ; aussi n'csl-ce pas un mince exploit pour un con-
servateur de musée que d'en ajouter un aux trésors con-
fiés à sa garde. C'est pourtant ce que vient d'accomplir
M. de Liphart, l'éminent conservateur de l'Ermitage
impérial de Saint-Pétersbourg. Il y a trois ans il découvrit
chez un amateur de la capitale russe, Mme Benois, femme
de l'architecte bien connu, une exquise Madone dans là-
quelle il reconnut avec une rare sagacité une oeuvre de
la première jeunesse du grand maître. Son jugement a
été confirmé par les critiques les plus sévères et M. de
Liphart n'a pas encore rencontré de contradicteur. Que
dis-je, un savant anglais a retrouvé au British Muséum,
le croquis original du tableau russe.
L'an dernier je fis le pèlerinage de Saint-Pétersbourg
pour aller admirer la Madone de Mme Benois. M. de
Liphart me fil port, et de son désir de l'acquérir et de sa
crainte perpétuelle qu'elle ne lui échappât. Ses craintes
étaient vaines ; malgré le prix énorme que lui en offraient,
les Duveen, Mme Benois a préféré en demander au Tsar
un modeste demi-million. El l'Ermitage compte un trésor
de plus.
L'Oiseau mort. -- Lundi et mardi, M" Marcel Walter
a dispersé les bijoux, fourrures, robes et meubles « dé-
pendant de la succession de. Mademoiselle P..., dite
Pierrette Fleury. Un public très mêlé fut attiré à cette
vente par une curiosité plus ou moins malsaine » et où
les sentiments esthétiques entraient, pour fort peu de
chose. Bien de plus attristant, au resle, que ce funèbre
déballage de jupons en soie, de peignoirs en crêpe dé
Chine et de frêles robes qu'un soir l'on trouva si jolies.
Les dernières ventes de l'année. — Ce sont celles du samedi
27 et du lundi 29 décembre. La première nous présenta, ali-
gnées, Ireize peintures de Guillaumin que les amateurs pré-
sents, M. Orosdi, M. Pierre Decourcelle, le Dr Gautier et
M. Pierre Goujon se disputèrent avec la dernière énergie. Qua-
tre tableaux ont alteinl ou dépassé quinze cenls francs. Ce
•n'est pas un record, comme l'assurnil un quotidien (car on a
.payé jusqu'à trois mille francs en venle un Guillattmin), mais
ce n'en est pas moins un heureux symptôme de hausse sur
■les oeuvres d'un grand et hnnnôle artiste.
A la même vacation, deux Picasso ont fait mille francs pièce,
mais les Seyssand se sont médiocrement Vendus. Lé tout ap-
partenait à un homme de lettres bien connu.
Le surlendemain, M" Tixier et M. Bine ont vendu environ
. deux cenls dessins et peintures de: toute espèce et de toute
qualité. Dans cette vacation très mélangée, les habiles ont fait
•leur choix et à bon compte. Un marchand a obtenu pour huit
.francs un croquis de-David qui pourrait bien être authentique.
Les dessins de Guys^ comme toujours, sont très disputés et
un cadre qui en renfermait trois trouve sans peine preneur à
4(50 [rancs.
En ce mois de janvier, l'hôtel Drouot va faire relâché, ou à
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