P E R.
PERK OQUET, fe dit proverbialement de celui qui à
ap ris quelque chofe par coeur qu'il n'entend pas. . Il
parie comme un perroquet. Il faut accoutumer les gens
| réfléchir, afin a'en faire des hommes, Ôc non pas
desperroqtteis. L'AB. DE S. R. ^
PERROQUET, en termes de Marine, eft un petit mat
élevé fur les grands mâts Ôc fur les hunes. Dans ies
o-rands vaifleaux le grand mât, ôc celui de mizaine por-
tent des hunes, ôc fer les hunes font arborez les perro-
quets. Celui qui fe met fur le hunier du grand mât s'ap-
pelle le grand perroquet: ôc celui qui fe met fur le hu-
nier de mifaine s'appelle petit perroquet. Le beaupré ôc
l'artimon portent des perroquets fans hunes. Celui de
beaupré s'appelle toutmenttn, ôc celui d'artimon s'ap-
pelle perroquet de fougue. On donne auflî le nom de
perroquet aux petites voiles qu'on met aux deffus. des
huniers. On ne fe fert de perroquets que de beau
temps, qu'on appelle temps à perroquet, quand un
vent médiocre fouffle. On dit, Mettre le perroquet
en bannière, quand on lâche les écoutes de la voile de
perroquet, pour la laitier voltiger au gré du vent, pour
donner quelque lignai. A Marfeille on 1e nommepa-
pafique. - ■
P E R R o QJU ET, fe dit auffi d'une forte de chaife à dos
qui fe plie, ôcdont on fe fert ordinairement pouf la
table.
P E R R o Q,U ET, eft auffi le nom que quelques-uns don-
nent à la plante d'aloés.
PERRUQUE, f. f. Se difoit autrefois d'une longue
chevelure, ôc particulièrement de celle qu'on a foin
d'ajufter. La perruque d'Abfalom pefoit 20c ficles. Les
- Poètes parlant du Soleil, difent fa blonde perruque.
P E R R u QJU E ., fe dit auffi maintenant des cheveux pofii-
ches, qu'on appelloit autrefois fauffe perruque. L'ufa-
ge les a autorifez ôc rendus communs. Ce font des che-
veux frifez, bouclez, ôc attachez enfemble, qui repre-
■'Tentent la chevelure naturelle. Onfe fait rafer la tête
quand on prendla pcimpe. On fait desperruques de che-
veux vifs, de cheveux frifez qui imitent bien les naturels.
Voyez ce. Pocte.avec-fa perruque antique. Les vieillards
cachent leurs cheveux gris d'uneperrmjue blonde. On
. dit qu'un homme porte ;bien la perruque; pour dire,
qu'il a toujours de belles perruques-, Ôc qui viennent
bien à Pair de fon vifage. On fait aufli des perruques à
calote pour les Ecclefiaftiques, des perruques à plaque,
où il paroît une tonfure. Ménage croit que ce mot vient
•du Grec penibj, qui fignifie la même chofe.
On peut douter que l'ufage des perruques fût connu
des Anciens ; ils fe fervoient de cheveux poftiches,
ou empruntez. Martial & Tuvenal fc font moquez
des femmes qui fe rajeuniffoient par leurs faux che-
veux, & des hommes qui changeoient de couleurs
félon les faifons, ou des vicillars qui s'imaginoient
tromper la Parque par leur chevelure blonde. Mais
s'ils avoient des perruques elles étoient fort groflîe-
res. Elles croient tout au plus cornpofées de cheveux
peints Ôc collez enfemble, ôc rien n'eft'plus ridicule
que la defcription que fait Lampride de la perruque de
l'Empereur' Commode. Elle étoit poudrée avec de la
raclure d'or , ôc arrofée de parfums gluans aufquels
la poudre s'attachoit. Quoyqu'il en foit on peut dire
que l'année ICIQ. eft l'époque des longues perruques
en France. Pour les Ecclefiaftiques on prétend qu'ils
ne Pont, portée, que depuis l'année 16"6o. ôc que cette
coutume n'eft pas encore bien autorifée. 'Le Cardinal
. Grimaldi en 1684. ÔC'PEvêque deLavaur en-i-688.
ont fait "déftenfes à tous'Prêtres de porter la perru-
que fans difpenfe, & fans necefliré.- Mr. Thiers a fait
wi Traité exprès pour montrer que cette parure mon-
daine, eft indécente dans un Ecclcfiaftiquc, ôc qu'u-
ne perruque frifée, bouclée, Ôc poudrée,.eft dire&e-
P E R.
ment contre les décrets, Ôc les Canons des Conciles,,
La tete d'un Prêtre embellie d'une chevelure artificid-
le,. ôc ajliftée avec beaucoup aeçuriofité , lui paroît
un monftre dans TEglife, Ôc il ne trouve rien dé plus
fcandaleux qu'un Abbé avec un vifage fleuri, ôc relevé
d'une jolie perruque.
PERRUQUIER, IERE. f. m. ôc f. Celui ou
celle qui fait des perruques , des coins dé cheveux, ôc
autres ehofes qui fervent à coiffer les hommes ôc les
femmes. On a établi depuis peu en Corps de mé-
tier les Perruquiers fous le titre de Maîtres Barbiers Per-
ruquiers & Etuviftes, qui font diftingupz des autres
Barbiers , parceque leurs enfeignes font des baffins de
fer blanc.
P E R S , ERSE. adj. Vieux mot qui fignifie, Qui eft
de couleur bleue , ou tirant fur le bleu. Homère
appelle fouvent Minerve aux yeux pers. La couleur
perfe eft agréable à la vue. Le fil pers eft celui qu'on
appelle vulgairement fil à marquer, qui eft teint avec
de l'indigo. C'eft un azur couvert Ôc obfcur qu'on
prétend être venu de Perfe,. pu d'une couleur de pêche
Perfienne. .
Ménage tient quece mot yient du Grec perkos ouperkjios,
fignifiant- fubniger ; ou de prafinus.
PERSAN. Nom que fes Architectes donnent,à tpur
tes les ftatuës d'iiommes quiporterit des .entablenvens.
P E R S E A. f. -m. Arbre qui eft femblable à ,un poi-
rier, grand ôc toujours vert. Ses rameaux font d'un
vert-pâle. Ses feuilles reffemblent à celles du laurier à
larges feuilles, vertes par deffus, de couleus cendrée
par deflous , fermes, ayant quelques nerfs qui traver-
fent obliquement, d'une odeur ôç d'un goût agréa-
bles , piquant la langue avec affliction. Ses fleurs font
en grand nombre, prefque femb.labl.es à celles du lau-
rier , ramaffees en grappe, pâles, cornpofées de fix
petites feuilles. Son fruit reffemble au commencement
à une prune, puis il devient Longcomme uneppire,
noir ôc de bon goût ; il cpntientiun noyau qui a la figu-
re du coeur, ôclcsoût covrimccelui des.ehâteieviés ou
des aniandes.douces: En Latinip^rfea, G. B A UH.
P E R S E C U T A.N.T , A N T E. adj. Importun ,
■incommode, qui fait delà peine aux autres. Cet
homme a.des.creanciersfort pcrftçutans, qui Iepreffent
trop. Les emprunteurs , les écornifîeurs , les faifeurs
de cjucftions., les Poètes qui .recitent leurs vers.,-, les
plaideurs qui content-leurs procès., font des gens fort
importuns ôc perfecutans.
PERSECUTER, y. act.. Tourmenter, affliger
les gens. Les anciens Tyrans,ont inhumainement per-
fe cillé les Chrétiens; ils ont fait beaucoup de Martyrs.
Les Chrétiens du. quatrième fiecle trouvèrent bon de
perfecuter dès qu'ils.curent le^lagiftrat de-leur côté,
BEN. Un bonMagiftrat ne doit perfecuter que le vice,
ôc les perfonnes de mauvaifes moeurs. On.ne doit
perfecuter perfonne .pour la .Religion.; elle doit être
libre.
P E R s E c U TE R , ' fignifie auffi, .Importuner, incom-
moder quelcun ; le pourfuivre. Un chicaneurperfecute
fes voifins en- leur faifant des. proc es. iUri ufurier. per/e-
cute fes débiteurs pour être payé à jour précis. Ce mé-
chant Poète me perfecute, m'aflaflîne de fes vers. -Un
Juge eft perfecute de prières , de follicitatipns-.
P E R s E c u TER , ;fe dit: figurement .cri Morale. Le re-
mords de confidence perfecute les meçhans jufqu'au
tombeau. Il y a des gens qui nous perfecutent par leur
amitié , comme .d'autres, par-leur-haine. .Quand la
Fortune fe met àperfecuter les gens, il n'y .a point de
fermeté dont elle ne vienne à bput.H.-S.priM. H
faut que la: Fortune vous ait bien perfecute pour vpus Fat—
. re tant haïr le monde. M. Se.
PERSECUTEUR, f m. Celui qui..tourmente,
qui
PERK OQUET, fe dit proverbialement de celui qui à
ap ris quelque chofe par coeur qu'il n'entend pas. . Il
parie comme un perroquet. Il faut accoutumer les gens
| réfléchir, afin a'en faire des hommes, Ôc non pas
desperroqtteis. L'AB. DE S. R. ^
PERROQUET, en termes de Marine, eft un petit mat
élevé fur les grands mâts Ôc fur les hunes. Dans ies
o-rands vaifleaux le grand mât, ôc celui de mizaine por-
tent des hunes, ôc fer les hunes font arborez les perro-
quets. Celui qui fe met fur le hunier du grand mât s'ap-
pelle le grand perroquet: ôc celui qui fe met fur le hu-
nier de mifaine s'appelle petit perroquet. Le beaupré ôc
l'artimon portent des perroquets fans hunes. Celui de
beaupré s'appelle toutmenttn, ôc celui d'artimon s'ap-
pelle perroquet de fougue. On donne auflî le nom de
perroquet aux petites voiles qu'on met aux deffus. des
huniers. On ne fe fert de perroquets que de beau
temps, qu'on appelle temps à perroquet, quand un
vent médiocre fouffle. On dit, Mettre le perroquet
en bannière, quand on lâche les écoutes de la voile de
perroquet, pour la laitier voltiger au gré du vent, pour
donner quelque lignai. A Marfeille on 1e nommepa-
pafique. - ■
P E R R o QJU ET, fe dit auffi d'une forte de chaife à dos
qui fe plie, ôcdont on fe fert ordinairement pouf la
table.
P E R R o Q,U ET, eft auffi le nom que quelques-uns don-
nent à la plante d'aloés.
PERRUQUE, f. f. Se difoit autrefois d'une longue
chevelure, ôc particulièrement de celle qu'on a foin
d'ajufter. La perruque d'Abfalom pefoit 20c ficles. Les
- Poètes parlant du Soleil, difent fa blonde perruque.
P E R R u QJU E ., fe dit auffi maintenant des cheveux pofii-
ches, qu'on appelloit autrefois fauffe perruque. L'ufa-
ge les a autorifez ôc rendus communs. Ce font des che-
veux frifez, bouclez, ôc attachez enfemble, qui repre-
■'Tentent la chevelure naturelle. Onfe fait rafer la tête
quand on prendla pcimpe. On fait desperruques de che-
veux vifs, de cheveux frifez qui imitent bien les naturels.
Voyez ce. Pocte.avec-fa perruque antique. Les vieillards
cachent leurs cheveux gris d'uneperrmjue blonde. On
. dit qu'un homme porte ;bien la perruque; pour dire,
qu'il a toujours de belles perruques-, Ôc qui viennent
bien à Pair de fon vifage. On fait aufli des perruques à
calote pour les Ecclefiaftiques, des perruques à plaque,
où il paroît une tonfure. Ménage croit que ce mot vient
•du Grec penibj, qui fignifie la même chofe.
On peut douter que l'ufage des perruques fût connu
des Anciens ; ils fe fervoient de cheveux poftiches,
ou empruntez. Martial & Tuvenal fc font moquez
des femmes qui fe rajeuniffoient par leurs faux che-
veux, & des hommes qui changeoient de couleurs
félon les faifons, ou des vicillars qui s'imaginoient
tromper la Parque par leur chevelure blonde. Mais
s'ils avoient des perruques elles étoient fort groflîe-
res. Elles croient tout au plus cornpofées de cheveux
peints Ôc collez enfemble, ôc rien n'eft'plus ridicule
que la defcription que fait Lampride de la perruque de
l'Empereur' Commode. Elle étoit poudrée avec de la
raclure d'or , ôc arrofée de parfums gluans aufquels
la poudre s'attachoit. Quoyqu'il en foit on peut dire
que l'année ICIQ. eft l'époque des longues perruques
en France. Pour les Ecclefiaftiques on prétend qu'ils
ne Pont, portée, que depuis l'année 16"6o. ôc que cette
coutume n'eft pas encore bien autorifée. 'Le Cardinal
. Grimaldi en 1684. ÔC'PEvêque deLavaur en-i-688.
ont fait "déftenfes à tous'Prêtres de porter la perru-
que fans difpenfe, & fans necefliré.- Mr. Thiers a fait
wi Traité exprès pour montrer que cette parure mon-
daine, eft indécente dans un Ecclcfiaftiquc, ôc qu'u-
ne perruque frifée, bouclée, Ôc poudrée,.eft dire&e-
P E R.
ment contre les décrets, Ôc les Canons des Conciles,,
La tete d'un Prêtre embellie d'une chevelure artificid-
le,. ôc ajliftée avec beaucoup aeçuriofité , lui paroît
un monftre dans TEglife, Ôc il ne trouve rien dé plus
fcandaleux qu'un Abbé avec un vifage fleuri, ôc relevé
d'une jolie perruque.
PERRUQUIER, IERE. f. m. ôc f. Celui ou
celle qui fait des perruques , des coins dé cheveux, ôc
autres ehofes qui fervent à coiffer les hommes ôc les
femmes. On a établi depuis peu en Corps de mé-
tier les Perruquiers fous le titre de Maîtres Barbiers Per-
ruquiers & Etuviftes, qui font diftingupz des autres
Barbiers , parceque leurs enfeignes font des baffins de
fer blanc.
P E R S , ERSE. adj. Vieux mot qui fignifie, Qui eft
de couleur bleue , ou tirant fur le bleu. Homère
appelle fouvent Minerve aux yeux pers. La couleur
perfe eft agréable à la vue. Le fil pers eft celui qu'on
appelle vulgairement fil à marquer, qui eft teint avec
de l'indigo. C'eft un azur couvert Ôc obfcur qu'on
prétend être venu de Perfe,. pu d'une couleur de pêche
Perfienne. .
Ménage tient quece mot yient du Grec perkos ouperkjios,
fignifiant- fubniger ; ou de prafinus.
PERSAN. Nom que fes Architectes donnent,à tpur
tes les ftatuës d'iiommes quiporterit des .entablenvens.
P E R S E A. f. -m. Arbre qui eft femblable à ,un poi-
rier, grand ôc toujours vert. Ses rameaux font d'un
vert-pâle. Ses feuilles reffemblent à celles du laurier à
larges feuilles, vertes par deffus, de couleus cendrée
par deflous , fermes, ayant quelques nerfs qui traver-
fent obliquement, d'une odeur ôç d'un goût agréa-
bles , piquant la langue avec affliction. Ses fleurs font
en grand nombre, prefque femb.labl.es à celles du lau-
rier , ramaffees en grappe, pâles, cornpofées de fix
petites feuilles. Son fruit reffemble au commencement
à une prune, puis il devient Longcomme uneppire,
noir ôc de bon goût ; il cpntientiun noyau qui a la figu-
re du coeur, ôclcsoût covrimccelui des.ehâteieviés ou
des aniandes.douces: En Latinip^rfea, G. B A UH.
P E R S E C U T A.N.T , A N T E. adj. Importun ,
■incommode, qui fait delà peine aux autres. Cet
homme a.des.creanciersfort pcrftçutans, qui Iepreffent
trop. Les emprunteurs , les écornifîeurs , les faifeurs
de cjucftions., les Poètes qui .recitent leurs vers.,-, les
plaideurs qui content-leurs procès., font des gens fort
importuns ôc perfecutans.
PERSECUTER, y. act.. Tourmenter, affliger
les gens. Les anciens Tyrans,ont inhumainement per-
fe cillé les Chrétiens; ils ont fait beaucoup de Martyrs.
Les Chrétiens du. quatrième fiecle trouvèrent bon de
perfecuter dès qu'ils.curent le^lagiftrat de-leur côté,
BEN. Un bonMagiftrat ne doit perfecuter que le vice,
ôc les perfonnes de mauvaifes moeurs. On.ne doit
perfecuter perfonne .pour la .Religion.; elle doit être
libre.
P E R s E c U TE R , ' fignifie auffi, .Importuner, incom-
moder quelcun ; le pourfuivre. Un chicaneurperfecute
fes voifins en- leur faifant des. proc es. iUri ufurier. per/e-
cute fes débiteurs pour être payé à jour précis. Ce mé-
chant Poète me perfecute, m'aflaflîne de fes vers. -Un
Juge eft perfecute de prières , de follicitatipns-.
P E R s E c u TER , ;fe dit: figurement .cri Morale. Le re-
mords de confidence perfecute les meçhans jufqu'au
tombeau. Il y a des gens qui nous perfecutent par leur
amitié , comme .d'autres, par-leur-haine. .Quand la
Fortune fe met àperfecuter les gens, il n'y .a point de
fermeté dont elle ne vienne à bput.H.-S.priM. H
faut que la: Fortune vous ait bien perfecute pour vpus Fat—
. re tant haïr le monde. M. Se.
PERSECUTEUR, f m. Celui qui..tourmente,
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