Titre : La loge Henri IV et l'émir Abd-el-Kader
Éditeur : Impr. de C. Noblet (Paris)
Date d'édition : 1861
Sujet : Abd-el-Kader
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb364069286
Type : monographie imprimée monographie imprimée
Langue : français
Format : 1 p. ; in-fol. plano 1 p. ; in-fol. plano
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Description : Avec mode texte Avec mode texte
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5674865q
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, FOL-LN27-36
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 21/07/2009
f fg| LA LOGE HENRI IV ET, LlMIR ABD-EL-KADER î
ADRESSE
V
FAC-SlklLE
'-)■■
RÉPONSE
Au très-illustre Emir Abd-el-Kader, à Damas.
« Très-illustre Émir,
« Partout où la vertu.se produit avec éclat, partout où
la tolérance et rkumanité ont été sauvegardées et glori-
fiées, les Francs-maçons accourentpeur acclamer et recon-
naître celui qui, au prix des plus grands sacrifices, sait
accomplir l'oeuvre de Dieu sur la terre et prêter à l'op-
primé un appui tutélaire et désintéressé.
« C'est que la franc-maçonnerie sent que ces hommes
sont les siens, qu'ils marchent dans sa voie, et elle éprouve
le besoin de leur crier merci et courage, au nom de l'in-
fortune, au nom de la société, au nom des grands prin-
cipes sur lesquels elle repose.
« Voilà 'pourquoi,très-illustre Émir, nous, membre des
la Loge maçonnique Henri IV, à Paris, nous venons après
tant d'autres, mais avec non moins d'ardeur et de recon-
naissance, ajouter un modeste fleuron à la couronne de
bénédictions que le monde civilisé pose aujourd'hui sur
votre noble et sacrée tète. Nous venons offrir notre tribut
d'admiration à Celui qui, supérieur aux préjugés de caste
ou de religion, s'est montré homme avant tout et n'aécouté
que les inspirations de son coeur pour opposer un inex-
pugnable rempart aux fureurs de la barbarie et du fana-
tisme.
« Oui, vous êtes bien le digne représentant, le véri-
table type de cette vigoureuse nationalité arabe à laquelle
l'Europe doit en grandepartic sa civilisation et les sciences
qui l'éclairent. Vous avez prouve par vos actes et la ma-
gnanimité de votre caractère que cette race n'a pas dégé-
néré, et que si elle semble assoupie, elle peut se réveiller
pour les grandes oeuvres aux évocations d'un génie aussi
puissant que le vôtre. Après l'avoir soutenue de votre
glaive avec une gloire et une grandeur que la France,
alors votre adversaire, a su apprécier et admirer, vous la
glorifiez plus encore par la. générosité et le dévouement
dont vous venez de donner des preuves en faveur de la
civilisation. Les Omar, les Avcrroès, les Alfarabi, vous
résumez en vous seul les guerriers, les savants, les phi-
losophes dont votre nation est lière à juste titre.
« A vous donc, très-illustre Émir, à vous gloire et
merci de nouveau ! Puisse le Dieu que nous adorons tous, ce Dieu qui a son trône au fond de tous les
COÏUI'S généreux, achever son oeuvre par vos mains! Ne scmble-t-il pas en effet vous avoir amené, après
tant de vicissitudes et par un secret dessein de sa providence, au milieu de ces contrées pour y dissiper
les lénèbres do l'ignorance, éteindre les torches d'un fanatisme abruti, et faire remonter au rang de
peuple civilisé ces malheureux égarés par l'ignorance ? Aussi nous confions-nous assez en sa miséricorde
pour attendre ce résultat de votre sainte influence, de l'ascendant de vos lumières et de vos vertus.
« La Franc-maçonnerie, qui a pour principe de morale l'existence de Dieu et l'immortalité de l'âme, et
pour base de ses actes l'amour de l'humanité, la. pratique de la tolérance et la fraternité universelle, ne
pouvait assister sans émotion au grand spectacle que vous donnez au monde. Elle a reconnu, elle reven-
dique comme un de ses enfants, — par la communion d'idées, tout au moins, — l'homme qui, sans
i' ostentation et d'inspiration première, met si bien en pratique sa sublime devise : u.N roun TOUS.
; «C'est sous cette impression, très-illustre Émir, que la Loge Henri 1V, petit groupe de la grande
] famille maçonnique, a cru devoir vous adresser cette faible mais bien sincère expression de ses ardentes
j sympathies, et vous offrir comme hommage son bijou symbolique. Ce modeste bijou n'a de valeur que
! par ses emblèmes : Équerrc, Niveau, Compas, — Justice, Égalité, Fraternité. — Mais il brille sur des poi-
; trincs dévouées à l'humanité et dévorées de l'amour de leurs semblables. A ce titre nous vous l'offrons,
< et, si vous daignez l'agréer, lorsque vos regards viendront à le rencontrer, vous vous direz que là-bas,
; bien loin dans l'Occident, il y a des coeurs qui battent à l'unisson du vôtre, des hommes qui ont votre
! nom en vénération, des frères qui vous aiment, déjà comme un des leurs, et qui seraient fiers si des liens
; plus étroits leur permettaient; de vous compter au nombre des adeptes de notre grande institution. »
Louange à Dieu seul !
Honorables et respectables Messieurs, Chefs et Digni-
taires de l'immense société Franc-maçonnique. Que Dieu
Très-Haut les protège !
Après vous avoir fait parvenir nos souhaits les meil-
leurs et notre considération qui provient de la sincérité
de notre coeur, je dois vous dire que pendant que je con-
sidérais vos nobles discours.-antérieurs, et que'je pensais
que le grand Créateur du monde n'accorde pas à ses ser-
viteurs tous ses bienfaits en une seule fois, mais peu à
lieu, pour qu'ils puissent■ eii savourer constamment le
goût et avoir envers lui une continuité de reconnaissance
non interrompue, j'ai reçu la lettre bienveillante de Vos
Seigneuries, lettre que je dois à votre bonne amitié dont
je ne doute aucunement; ainsi que la belle fleur dont
■l'excellence allégorique surpasse l'odeur de la rose pré-
cieuse et parfaite ; et qui, par l'indication de la justice,
des nivellements et de la fraternité qu'elle représente, sur-
passe la sagesse d'Àristote et comprend les excellentes
qualités et le désir de les posséder. Cela est parvenu à
votre fidèle et l'a comblé d'une indicible joie,
1° A cause de la chose elle-même, puisque je me con-
sidère commme ayant découvert là les vrais trésors du
monde;
2° A cause de la bonne rencontre de son arrivée sur
laquelle je ne comptais pas de la part du Créateur, qu'il
soit loué et exalté ; car je considère ce que vous désirez
de la communauté de mes pensées avec les vôtres comme
une faveur d'entre les faveurs de Dieu dont j'avais été
privé jusqu'ici, don particulier sans qu'il in'ait cpùtô âUrT".
cune peine.
Louange à Dieu ! et à moi félicité et bonheur parfait
de ce que vous m'accordez cette faveur, car je corrobore
et approuve la pensée que vos intentions sont bonnes et
vos idée-justes. 11 n'y a pas de meilleur témoignage que
votre inclination vers moi, parce que vous avez appris
que j'ai secouru mes frères par humanité et que je leur
ai été en aide lors de la barbare animosité qui a eu lieu.
Quelle est l'excellence qui surpasse l'amour des hommes?
la philanthropie ! si cet amour ne se trouvait pas en moi
aurais-ic une religion sincère? A Dieu ne plaise! Certes,
l'amour est le fondement de la religion, Dieu est le Dieu de tous et il nous aime tous.
Actuellement j'adresse à votre compagnie très-excellente ma lettre à trois fins, conformément à
mon désir :
1° De manifester ma gratitude à Vos Seigneuries sur les insignes bénis que vous voulez me faire ac-
cepter, lesquels me sont parvenus, bien que je n'en sois pas digne (si ce n'est; à cause de ma grande affec-
tion pour vous tous et de ma propension particulière pour votre belle association) ; car leur prix est à
mes yeux plus grand que celui de la couronne qui ornait Alexandre, fils de Philippe le Grec. C'est
pourquoi je les ai reçus avec joie et grande vénération;
2° Pour que Vos Seigneuries sachent bien que j'ai le désir très-réel de m'associcr à votre fraternité
d'amour et à participer à vos vues dans la généralité de vos excellentes règles, car je suis disposé à y
déployer mon zèle.
Et lorsque vous m'aurez fait connaître les conditions et les obligations qui me sont imposées, je les
observerai fidèlement, conformément à ce que Vos Seigneuries m'indiqueront. Et je me trouverai extrê-
mement heureux quand je rencontrerai quelqu'un des membres les plus considérables et les plus distin-
gués de votre société,'à cause de l'idée avantageuse que vous avez eue de moi.
3° Afin que dorénavant une correspondance amicale ait lieu entre nous sans interruption, car je suis
prêt à faire tout ce que vous croirez devoir me marquer en exécutant avec joie ce que les statuts de votre
société exigeront de moi, quand je saurai à quoi je suis tenu pour l'accomplissement de mes obligations.
.le finis en renouvelant l'expression de ma reconnaissance envers vous tous, en tout temps et en tout
lieu ; et en adressant l'assurance de ma considération respectueuse à toute la société dans les quatre points
cardinaux.
I Paris, le 12 novembre -186-1.
'{ Le Vénér.-.
I WANNEZ.
}| Le -1 " snrv.■. Le 2e sari:.-.
\ ACARHY. POULLAIN.
i L'Oral..-.
( DUDOC.
| Le Garde des Se. •. et T. ■. Le Secret. •.
i. SCHNE1TZ. BERTIN.
| v.-.
X'./■ Celte pièce est revêtue du sceau cl de l'approbation du grand maître.
t. '/ifth \
Que Dieu Très-Haut vous rende contents et satisfaits !
Amen.
L'ami fidèle,
le Seïyid ABD-EL-KADEH,
fils de MUHI UDDIN 15 Réjib 1277 [février 18GI].
NOTA- I.c cachet contient les mêmes mois.
Traduit par M. GARCIN DE TASSY,
Membre dcl'Institi't, professeur de langues orientales au Collège de France.
ADRESSE
V
FAC-SlklLE
'-)■■
RÉPONSE
Au très-illustre Emir Abd-el-Kader, à Damas.
« Très-illustre Émir,
« Partout où la vertu.se produit avec éclat, partout où
la tolérance et rkumanité ont été sauvegardées et glori-
fiées, les Francs-maçons accourentpeur acclamer et recon-
naître celui qui, au prix des plus grands sacrifices, sait
accomplir l'oeuvre de Dieu sur la terre et prêter à l'op-
primé un appui tutélaire et désintéressé.
« C'est que la franc-maçonnerie sent que ces hommes
sont les siens, qu'ils marchent dans sa voie, et elle éprouve
le besoin de leur crier merci et courage, au nom de l'in-
fortune, au nom de la société, au nom des grands prin-
cipes sur lesquels elle repose.
« Voilà 'pourquoi,très-illustre Émir, nous, membre des
la Loge maçonnique Henri IV, à Paris, nous venons après
tant d'autres, mais avec non moins d'ardeur et de recon-
naissance, ajouter un modeste fleuron à la couronne de
bénédictions que le monde civilisé pose aujourd'hui sur
votre noble et sacrée tète. Nous venons offrir notre tribut
d'admiration à Celui qui, supérieur aux préjugés de caste
ou de religion, s'est montré homme avant tout et n'aécouté
que les inspirations de son coeur pour opposer un inex-
pugnable rempart aux fureurs de la barbarie et du fana-
tisme.
« Oui, vous êtes bien le digne représentant, le véri-
table type de cette vigoureuse nationalité arabe à laquelle
l'Europe doit en grandepartic sa civilisation et les sciences
qui l'éclairent. Vous avez prouve par vos actes et la ma-
gnanimité de votre caractère que cette race n'a pas dégé-
néré, et que si elle semble assoupie, elle peut se réveiller
pour les grandes oeuvres aux évocations d'un génie aussi
puissant que le vôtre. Après l'avoir soutenue de votre
glaive avec une gloire et une grandeur que la France,
alors votre adversaire, a su apprécier et admirer, vous la
glorifiez plus encore par la. générosité et le dévouement
dont vous venez de donner des preuves en faveur de la
civilisation. Les Omar, les Avcrroès, les Alfarabi, vous
résumez en vous seul les guerriers, les savants, les phi-
losophes dont votre nation est lière à juste titre.
« A vous donc, très-illustre Émir, à vous gloire et
merci de nouveau ! Puisse le Dieu que nous adorons tous, ce Dieu qui a son trône au fond de tous les
COÏUI'S généreux, achever son oeuvre par vos mains! Ne scmble-t-il pas en effet vous avoir amené, après
tant de vicissitudes et par un secret dessein de sa providence, au milieu de ces contrées pour y dissiper
les lénèbres do l'ignorance, éteindre les torches d'un fanatisme abruti, et faire remonter au rang de
peuple civilisé ces malheureux égarés par l'ignorance ? Aussi nous confions-nous assez en sa miséricorde
pour attendre ce résultat de votre sainte influence, de l'ascendant de vos lumières et de vos vertus.
« La Franc-maçonnerie, qui a pour principe de morale l'existence de Dieu et l'immortalité de l'âme, et
pour base de ses actes l'amour de l'humanité, la. pratique de la tolérance et la fraternité universelle, ne
pouvait assister sans émotion au grand spectacle que vous donnez au monde. Elle a reconnu, elle reven-
dique comme un de ses enfants, — par la communion d'idées, tout au moins, — l'homme qui, sans
i' ostentation et d'inspiration première, met si bien en pratique sa sublime devise : u.N roun TOUS.
; «C'est sous cette impression, très-illustre Émir, que la Loge Henri 1V, petit groupe de la grande
] famille maçonnique, a cru devoir vous adresser cette faible mais bien sincère expression de ses ardentes
j sympathies, et vous offrir comme hommage son bijou symbolique. Ce modeste bijou n'a de valeur que
! par ses emblèmes : Équerrc, Niveau, Compas, — Justice, Égalité, Fraternité. — Mais il brille sur des poi-
; trincs dévouées à l'humanité et dévorées de l'amour de leurs semblables. A ce titre nous vous l'offrons,
< et, si vous daignez l'agréer, lorsque vos regards viendront à le rencontrer, vous vous direz que là-bas,
; bien loin dans l'Occident, il y a des coeurs qui battent à l'unisson du vôtre, des hommes qui ont votre
! nom en vénération, des frères qui vous aiment, déjà comme un des leurs, et qui seraient fiers si des liens
; plus étroits leur permettaient; de vous compter au nombre des adeptes de notre grande institution. »
Louange à Dieu seul !
Honorables et respectables Messieurs, Chefs et Digni-
taires de l'immense société Franc-maçonnique. Que Dieu
Très-Haut les protège !
Après vous avoir fait parvenir nos souhaits les meil-
leurs et notre considération qui provient de la sincérité
de notre coeur, je dois vous dire que pendant que je con-
sidérais vos nobles discours.-antérieurs, et que'je pensais
que le grand Créateur du monde n'accorde pas à ses ser-
viteurs tous ses bienfaits en une seule fois, mais peu à
lieu, pour qu'ils puissent■ eii savourer constamment le
goût et avoir envers lui une continuité de reconnaissance
non interrompue, j'ai reçu la lettre bienveillante de Vos
Seigneuries, lettre que je dois à votre bonne amitié dont
je ne doute aucunement; ainsi que la belle fleur dont
■l'excellence allégorique surpasse l'odeur de la rose pré-
cieuse et parfaite ; et qui, par l'indication de la justice,
des nivellements et de la fraternité qu'elle représente, sur-
passe la sagesse d'Àristote et comprend les excellentes
qualités et le désir de les posséder. Cela est parvenu à
votre fidèle et l'a comblé d'une indicible joie,
1° A cause de la chose elle-même, puisque je me con-
sidère commme ayant découvert là les vrais trésors du
monde;
2° A cause de la bonne rencontre de son arrivée sur
laquelle je ne comptais pas de la part du Créateur, qu'il
soit loué et exalté ; car je considère ce que vous désirez
de la communauté de mes pensées avec les vôtres comme
une faveur d'entre les faveurs de Dieu dont j'avais été
privé jusqu'ici, don particulier sans qu'il in'ait cpùtô âUrT".
cune peine.
Louange à Dieu ! et à moi félicité et bonheur parfait
de ce que vous m'accordez cette faveur, car je corrobore
et approuve la pensée que vos intentions sont bonnes et
vos idée-justes. 11 n'y a pas de meilleur témoignage que
votre inclination vers moi, parce que vous avez appris
que j'ai secouru mes frères par humanité et que je leur
ai été en aide lors de la barbare animosité qui a eu lieu.
Quelle est l'excellence qui surpasse l'amour des hommes?
la philanthropie ! si cet amour ne se trouvait pas en moi
aurais-ic une religion sincère? A Dieu ne plaise! Certes,
l'amour est le fondement de la religion, Dieu est le Dieu de tous et il nous aime tous.
Actuellement j'adresse à votre compagnie très-excellente ma lettre à trois fins, conformément à
mon désir :
1° De manifester ma gratitude à Vos Seigneuries sur les insignes bénis que vous voulez me faire ac-
cepter, lesquels me sont parvenus, bien que je n'en sois pas digne (si ce n'est; à cause de ma grande affec-
tion pour vous tous et de ma propension particulière pour votre belle association) ; car leur prix est à
mes yeux plus grand que celui de la couronne qui ornait Alexandre, fils de Philippe le Grec. C'est
pourquoi je les ai reçus avec joie et grande vénération;
2° Pour que Vos Seigneuries sachent bien que j'ai le désir très-réel de m'associcr à votre fraternité
d'amour et à participer à vos vues dans la généralité de vos excellentes règles, car je suis disposé à y
déployer mon zèle.
Et lorsque vous m'aurez fait connaître les conditions et les obligations qui me sont imposées, je les
observerai fidèlement, conformément à ce que Vos Seigneuries m'indiqueront. Et je me trouverai extrê-
mement heureux quand je rencontrerai quelqu'un des membres les plus considérables et les plus distin-
gués de votre société,'à cause de l'idée avantageuse que vous avez eue de moi.
3° Afin que dorénavant une correspondance amicale ait lieu entre nous sans interruption, car je suis
prêt à faire tout ce que vous croirez devoir me marquer en exécutant avec joie ce que les statuts de votre
société exigeront de moi, quand je saurai à quoi je suis tenu pour l'accomplissement de mes obligations.
.le finis en renouvelant l'expression de ma reconnaissance envers vous tous, en tout temps et en tout
lieu ; et en adressant l'assurance de ma considération respectueuse à toute la société dans les quatre points
cardinaux.
I Paris, le 12 novembre -186-1.
'{ Le Vénér.-.
I WANNEZ.
}| Le -1 " snrv.■. Le 2e sari:.-.
\ ACARHY. POULLAIN.
i L'Oral..-.
( DUDOC.
| Le Garde des Se. •. et T. ■. Le Secret. •.
i. SCHNE1TZ. BERTIN.
| v.-.
X'./■ Celte pièce est revêtue du sceau cl de l'approbation du grand maître.
t. '/ifth \
Que Dieu Très-Haut vous rende contents et satisfaits !
Amen.
L'ami fidèle,
le Seïyid ABD-EL-KADEH,
fils de MUHI UDDIN 15 Réjib 1277 [février 18GI].
NOTA- I.c cachet contient les mêmes mois.
Traduit par M. GARCIN DE TASSY,
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