Titre : La Chanson : revue mensuelle : archives de la chanson : écho des sociétés lyriques / rédacteur en chef : L.-Henry Lecomte ; directeur-gérant : A. Patay
Éditeur : Librairie ancienne et moderne A. Patay (Paris)
Date d'édition : 1880-04-16
Contributeur : Lecomte, Louis-Henry (1844-1914). Éditeur scientifique
Contributeur : Patay, Adolphe (1825-1923). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32739946f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 675 Nombre total de vues : 675
Description : 16 avril 1880 16 avril 1880
Description : 1880/04/16 (A3,N42). 1880/04/16 (A3,N42).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5668319q
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, YE-2235
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
186
LA CHANSON
un souffle au-dessus des tombeaux, pénétraient mon
âme d'une tristesse aimée. Bienheureux souvenirs du
passé, à vous seront mes dernières pensées; je veux
jusqu'à la fin aimer et souffrir; car ni les transports
de l'amour^ ni l'ivresse du plaisir, ni l'épanouisse-
ment de la joie n'ont égalé pour moi lés délices de
vos douleurs.
Je n'ai jamais su lé nom de la belle visiteuse, j'ai
entrevu seulement ses traits sous un rayon rouge du
soleil couchant. Son costume blanc la faisait paraître
très-pâle ; ses cheveux, tombant sur son corsage, y
marquaient à peine une teinte plus foncée et ses
joues décolorées faisaient ressortir l'éclat de ses
yeux où toute sa vie paraissait concentrée.. A l'en-
droit qu'elle venait de quitter, aucuii indicé lie
trahissait sa pensée secrète ; des fleurs effeuillées
sur l'herbe, puis une dalle à peine visible qui sem-
blait dire : « C'est là. »
... Le 13 décembre suivant, je retournai sur la
tombe de Berlioz espérant renouer l'histoire inter-
rompue. Hélas ! le gazon desséche laissait voir deux
marbres, deux marbres sans inscription. Je pensai
qu'une mère peut mourir de la mort de son enfant.
A. ÉDÉMAtf
SOCIÉTÉ LYRIQUE ET LITTÉRAIRE DU CAVEAU
BANQUET DU 2 AVRIL
Je soutiens, ou plutôt je déclare sans le soutenir, que
l'intérêt d'un compte rendu est en raison inverse de celui
qu'à présenté la séance dont il est rendu compte. Cela va
passer pour un paradoxe, je le crains. Mais comment
voulez-vous, à moins de disposer d'un espace presque sans
limité, citer, examiner de nombreuses chansons qui toutes
ou à peu près méritent une mention particulière ? Quand,
au contraire, il y a pénurie, le chroniqueur a le loisir, sans
excéder des bornes raisonnables et nécessaires, de s'a'ppe-.
santir sur quelques morceaux, d'en peser les qualités et les
défauts, et de soumettre ainsi aux lecteurs une appréciation
motivée.
Ces réflexions me sont suggérées par la soirée d'hier. Le
nombre et la qualité s'y étant trouvés réunis, le choix est
difficile des productions à mentionner, très peu pouvant être
passées sous silence.
Toste et couplets de réception (trois réceptions en un
seul jour, s'il vous plaît : on ne dira pas que le Caveau
périclite. Ajoutons toutefois que je n'ai vu jusqu'ici dans les
trois heureux élus qu'un seul chansonnier, Burani; des
deux autres, l'un promet de le devenir, et le troisième ne
se soucie guère de le devenir jamais), toste et couplets de
réception, disais-je, ont ouvert la séance. L'esprit de
Grange a fait applaudir l'un, comme de coutume, et la
camaraderie a accueilli les autres.
Partageons, pour nous reconnaître, les chansons nouvelles
entendues hier en quatre catégories : Philosophie, gaieté,
grivoiserie, naturisme. L'hiver n'a pu échapper au triste
privilège d'inspirer de nombreux couplets, qui sont autant
de'malédictions. Jullien s'est distingué dans la peinture dès
dégâts occasionnés par cette cruelle saison. Grange a pris
l'hiver au moral, et sa chanson qui a pour refrain :
Chaque printemps est un hiver de plus,
est' pleine d'une fine mélancolie. Il se' hâte, il est 'vrai,' se
rappelant son rôle de président, de retourner au dernier
couplet ce refrain désenchanté, et déclare qu'au milieu de'
tant de bons amis, pour lui :
• a .Chaque hiver est un printemps de plus.
Grand succès, et'bien mérité.
Grand succès aussi pour Duprez, qui, comme un débutant,
a balayé les planches. Sa Mélancolie, c'est son titre, est
remplie de sentiment et même de poésie ; en voici le refrain
qui est toujours heureusement amené :
Plus se restreint le cercle d'espérance,
Plus s'élargit celui du souvenir. ,. ,. ..
Mais la gaieté réclame la parole. La Vieille .Faridondaine
de Poullain, Une Confession, de Garraud, lé beau diseur'
les. Lapins, de. Petit, Insouciance et gaieté, de Mouton-
D'ufrais'se, les "Bosses, de Lesueur;(je crois bien que cette
dernière chanson, toute, bonne qu'elle est,-n'est pas nouvelle
mais il n'importe) : voilà de ces sujets qui font toujours
florès au Caveau et partout où la bonne humeur et l'esprit
sont en honneur. Montariol, qui est loin de déparer ce
groupe, a voulu, à son tour, traiter un refrain latin.. C'est
un mal qui court. Quantum muiàiiïs ab illo I s'écrïe-t-il.
Suit une série de dégommages tout à ,faituréjpuissante :
Hector, et -Virgile n'en ont jamais rêvés de pareils. Les
couplets à boire, de Piesse, rentrent dans la.même caté-
gorie : ils sont d'une excellente facture, qui rachète ce que
le fond a de peu neuf.
La grivoiserie a fourni deux productions différentes, mais
également réussies : L'homme - a, l'horreur du vide, de
Vacher, qui s'élève à des hauteurs... épiques, et Mes
Amours, de Fénée, qui, sur l'air de la valse des Roses,
chante le de Profundis le plus cocasse sur ses anciennes
victimes.
La chanson de Ripault, Le long de la.Rivière, me servira
de transition : elle touche à la fois au genre léger et au
genre descriptif : chacun des sites qu'il rencontre, des
groupes qu'il surprend, des-fee-udes que suit la marche
aventureuse de sa rivière, est un tableau à part finement
décrit. .... .
Charles Vincent, qui aime et connaît la nature, et .lâ-
chante souvent et bien, célèbre le Printemps, vieux sujet
toujours neuf, surtout quand il est rajeuni par des élans
d'espoir. Murât, son élève en peinture, nous a donné ce
qu'il intitule modestement Un Croquis de printemps. C'est
jeune et gracieux.
Et puis... voilà tout, je crois. M. Sylvain Saint-Etienne,
un poète émérite, n'a rien dit. Liorat, lé paresseux, n'a rien
fait. Quant à moi... Au fait, j'ai chanté sept couplets
nouveaux ayant pour refrain :
Ça n' se voit pas sur la figure.
Et je vous assure qu'il y en a bigrement, des choses qui
ne se voient pas sur la figure. Aussi n'ai-je pas essayé de les
énumérer toutes.
Ai-je bien entendu, ou me suis-je trompé ? Est-il vrai que
deux, vers destinés par leur place à rimer ensemble se
terminent, l'un par trouve et; l'autre par s'entrouvre" 1. Je
n'ose l'affirmer. Avis à l'auteur.
EUG. IMBERT.
LIGE CHANSONNIÈRE
BANQUET DU 7 AVRIL
Ryon a trouvé un moyen très-ingénieux de satisfaire en
même temps les partisans et les ennemis du toast ; il s'est
abstenu de paraître au banquet d'avril. — « Quelle chance,
ont dit les uns, nous n'aurons point de toast aujourd'hui.» —
— a. Quel bonheur, se sont écrié les autres, nous en aurons
deux le mois prochain! » — Touchante harmonie!
Chebroux a présidé avec urbanité et verve la séance des
chants, au total intéressante.
Les refrains à boire sonnent toujours bien dans les .réunions.
chantantes. Buvons du vin, dit joyeusement M. Armand,
Mordr'et;M. Bernard Môreau "voit aussi le bonheur dans le
jus de la treille ; M. Auguste Luth refait avec originalité le
portrait aimé du Docteur Grégoire ; enfin' M. Flachat « verse à
boire à Pierre Gringoire » avec une rondeur qui n'exclut pas
le sentiment. -,
La chanson de genre a fourni un contingent non moins
brillant et' plus nombreux" encore. Le Joueur de flageolet,
de Hachin; le Jeu n'en vaut pas la chandelle, de M. Càron;
Châtelaine et Paysan, de M. Robinot; les Déboires de la
LA CHANSON
un souffle au-dessus des tombeaux, pénétraient mon
âme d'une tristesse aimée. Bienheureux souvenirs du
passé, à vous seront mes dernières pensées; je veux
jusqu'à la fin aimer et souffrir; car ni les transports
de l'amour^ ni l'ivresse du plaisir, ni l'épanouisse-
ment de la joie n'ont égalé pour moi lés délices de
vos douleurs.
Je n'ai jamais su lé nom de la belle visiteuse, j'ai
entrevu seulement ses traits sous un rayon rouge du
soleil couchant. Son costume blanc la faisait paraître
très-pâle ; ses cheveux, tombant sur son corsage, y
marquaient à peine une teinte plus foncée et ses
joues décolorées faisaient ressortir l'éclat de ses
yeux où toute sa vie paraissait concentrée.. A l'en-
droit qu'elle venait de quitter, aucuii indicé lie
trahissait sa pensée secrète ; des fleurs effeuillées
sur l'herbe, puis une dalle à peine visible qui sem-
blait dire : « C'est là. »
... Le 13 décembre suivant, je retournai sur la
tombe de Berlioz espérant renouer l'histoire inter-
rompue. Hélas ! le gazon desséche laissait voir deux
marbres, deux marbres sans inscription. Je pensai
qu'une mère peut mourir de la mort de son enfant.
A. ÉDÉMAtf
SOCIÉTÉ LYRIQUE ET LITTÉRAIRE DU CAVEAU
BANQUET DU 2 AVRIL
Je soutiens, ou plutôt je déclare sans le soutenir, que
l'intérêt d'un compte rendu est en raison inverse de celui
qu'à présenté la séance dont il est rendu compte. Cela va
passer pour un paradoxe, je le crains. Mais comment
voulez-vous, à moins de disposer d'un espace presque sans
limité, citer, examiner de nombreuses chansons qui toutes
ou à peu près méritent une mention particulière ? Quand,
au contraire, il y a pénurie, le chroniqueur a le loisir, sans
excéder des bornes raisonnables et nécessaires, de s'a'ppe-.
santir sur quelques morceaux, d'en peser les qualités et les
défauts, et de soumettre ainsi aux lecteurs une appréciation
motivée.
Ces réflexions me sont suggérées par la soirée d'hier. Le
nombre et la qualité s'y étant trouvés réunis, le choix est
difficile des productions à mentionner, très peu pouvant être
passées sous silence.
Toste et couplets de réception (trois réceptions en un
seul jour, s'il vous plaît : on ne dira pas que le Caveau
périclite. Ajoutons toutefois que je n'ai vu jusqu'ici dans les
trois heureux élus qu'un seul chansonnier, Burani; des
deux autres, l'un promet de le devenir, et le troisième ne
se soucie guère de le devenir jamais), toste et couplets de
réception, disais-je, ont ouvert la séance. L'esprit de
Grange a fait applaudir l'un, comme de coutume, et la
camaraderie a accueilli les autres.
Partageons, pour nous reconnaître, les chansons nouvelles
entendues hier en quatre catégories : Philosophie, gaieté,
grivoiserie, naturisme. L'hiver n'a pu échapper au triste
privilège d'inspirer de nombreux couplets, qui sont autant
de'malédictions. Jullien s'est distingué dans la peinture dès
dégâts occasionnés par cette cruelle saison. Grange a pris
l'hiver au moral, et sa chanson qui a pour refrain :
Chaque printemps est un hiver de plus,
est' pleine d'une fine mélancolie. Il se' hâte, il est 'vrai,' se
rappelant son rôle de président, de retourner au dernier
couplet ce refrain désenchanté, et déclare qu'au milieu de'
tant de bons amis, pour lui :
• a .Chaque hiver est un printemps de plus.
Grand succès, et'bien mérité.
Grand succès aussi pour Duprez, qui, comme un débutant,
a balayé les planches. Sa Mélancolie, c'est son titre, est
remplie de sentiment et même de poésie ; en voici le refrain
qui est toujours heureusement amené :
Plus se restreint le cercle d'espérance,
Plus s'élargit celui du souvenir. ,. ,. ..
Mais la gaieté réclame la parole. La Vieille .Faridondaine
de Poullain, Une Confession, de Garraud, lé beau diseur'
les. Lapins, de. Petit, Insouciance et gaieté, de Mouton-
D'ufrais'se, les "Bosses, de Lesueur;(je crois bien que cette
dernière chanson, toute, bonne qu'elle est,-n'est pas nouvelle
mais il n'importe) : voilà de ces sujets qui font toujours
florès au Caveau et partout où la bonne humeur et l'esprit
sont en honneur. Montariol, qui est loin de déparer ce
groupe, a voulu, à son tour, traiter un refrain latin.. C'est
un mal qui court. Quantum muiàiiïs ab illo I s'écrïe-t-il.
Suit une série de dégommages tout à ,faituréjpuissante :
Hector, et -Virgile n'en ont jamais rêvés de pareils. Les
couplets à boire, de Piesse, rentrent dans la.même caté-
gorie : ils sont d'une excellente facture, qui rachète ce que
le fond a de peu neuf.
La grivoiserie a fourni deux productions différentes, mais
également réussies : L'homme - a, l'horreur du vide, de
Vacher, qui s'élève à des hauteurs... épiques, et Mes
Amours, de Fénée, qui, sur l'air de la valse des Roses,
chante le de Profundis le plus cocasse sur ses anciennes
victimes.
La chanson de Ripault, Le long de la.Rivière, me servira
de transition : elle touche à la fois au genre léger et au
genre descriptif : chacun des sites qu'il rencontre, des
groupes qu'il surprend, des-fee-udes que suit la marche
aventureuse de sa rivière, est un tableau à part finement
décrit. .... .
Charles Vincent, qui aime et connaît la nature, et .lâ-
chante souvent et bien, célèbre le Printemps, vieux sujet
toujours neuf, surtout quand il est rajeuni par des élans
d'espoir. Murât, son élève en peinture, nous a donné ce
qu'il intitule modestement Un Croquis de printemps. C'est
jeune et gracieux.
Et puis... voilà tout, je crois. M. Sylvain Saint-Etienne,
un poète émérite, n'a rien dit. Liorat, lé paresseux, n'a rien
fait. Quant à moi... Au fait, j'ai chanté sept couplets
nouveaux ayant pour refrain :
Ça n' se voit pas sur la figure.
Et je vous assure qu'il y en a bigrement, des choses qui
ne se voient pas sur la figure. Aussi n'ai-je pas essayé de les
énumérer toutes.
Ai-je bien entendu, ou me suis-je trompé ? Est-il vrai que
deux, vers destinés par leur place à rimer ensemble se
terminent, l'un par trouve et; l'autre par s'entrouvre" 1. Je
n'ose l'affirmer. Avis à l'auteur.
EUG. IMBERT.
LIGE CHANSONNIÈRE
BANQUET DU 7 AVRIL
Ryon a trouvé un moyen très-ingénieux de satisfaire en
même temps les partisans et les ennemis du toast ; il s'est
abstenu de paraître au banquet d'avril. — « Quelle chance,
ont dit les uns, nous n'aurons point de toast aujourd'hui.» —
— a. Quel bonheur, se sont écrié les autres, nous en aurons
deux le mois prochain! » — Touchante harmonie!
Chebroux a présidé avec urbanité et verve la séance des
chants, au total intéressante.
Les refrains à boire sonnent toujours bien dans les .réunions.
chantantes. Buvons du vin, dit joyeusement M. Armand,
Mordr'et;M. Bernard Môreau "voit aussi le bonheur dans le
jus de la treille ; M. Auguste Luth refait avec originalité le
portrait aimé du Docteur Grégoire ; enfin' M. Flachat « verse à
boire à Pierre Gringoire » avec une rondeur qui n'exclut pas
le sentiment. -,
La chanson de genre a fourni un contingent non moins
brillant et' plus nombreux" encore. Le Joueur de flageolet,
de Hachin; le Jeu n'en vaut pas la chandelle, de M. Càron;
Châtelaine et Paysan, de M. Robinot; les Déboires de la
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