Titre : L'Immeuble et la construction dans l'Est : revue de la propriété et des travaux publics et particuliers : organe des intérêts régionaux, des professions, industries et commerces qui concourent au bâtiment / directeur Emile Jacquemin, architecte
Éditeur : [s.n.] (Nancy)
Date d'édition : 1910-02-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327888072
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 38953 Nombre total de vues : 38953
Description : 13 février 1910 13 février 1910
Description : 1910/02/13 (A27,N42). 1910/02/13 (A27,N42).
Description : Collection numérique : Fonds régional : Alsace Collection numérique : Fonds régional : Alsace
Description : Collection numérique : Fonds régional : Lorraine Collection numérique : Fonds régional : Lorraine
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5650459t
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, FOL-V-2890
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
L'IMMEUBLE ET LA CONSTRUCTION DANS L'EST , ôgt
à l'abri d'une folie de la rivière. On pour-
rait également créer une digue sur ses
bords et cette dernière solution semble
singulièrement facilitée par l'ouverture
du boulevard d'Austrasie, qu'il suffirait
d'élever suffisamment et de prolonger
jusqu'à la digue séparant le canal de la
Meurthe. Cette dernière solution n'est
cependant que partielle, puisqu'elle ne
mettrait à l'abri de l'inondation qu'une
partie seulement de Nancy.
Toute rivière comporte deux lits, le lit
majeur et le lit mineur. Le lit mineur
est celui qui est occupé en temps normal
par la rivière. Lorsque l'abondance des
eaux devient considérable, la rivière
vient occuper le lit majeur et il est extrê-
mement rare qu'elle dépasse les limites
decedernier.il semble donc facile d'é-
viter une inondation, puisqu'il suffit de
se placer hors du lit majeur. Cette solu-
tion trop simple est la seule rationnelle,
toute autre peut mettre à l'abri des inon-
dations, mais elle laisse toujours une
incertitude pour ceux qui se placent dans
la zone dangereuse. L'exemple de la
Seine régularisée en est, à cet égard, par-
ticulièrement frappant, puisque, malgré
les frais énormes qu'elle a coûtés, elle ne
met nullement les riverains à l'abri.
Il reste donc à déterminer le lit majeur
de la Meurthe à Nancy et dans ses envi-
rons. Or. ce lit est d'autant plus visible
qu'on se rapproche davantage de la
source de la rivière où celle-ci, plus sau-
vage, n'en est encore qu'aux premières
périodes de sa vie. Il est, dans ce cas,
marqué par du sable, au milieu duquel
un chenal est creusé, qui constitue le lit
mineur.
A Nancy, où la pente de la Meurthe
est faible, les limons ont pu se déposer et
s'accumuler par suite de la faible vitesse
du courant, ils ont recouvert le sable et
transformé en prairie tout le lit majeur.
Il suffit donc de considérer la prairie oc-
cupant la vallée de la Meurthe pour être
fixé sur son lit majeur, c'est-à-dire la
zone dangereuse en cas d'inondation.
La sagesse eut voulu qu'il fut interdit
de construire dans cette zone, mais les
décisions de l'homme ne s'inspirent pas
toujours de cette sagesse.
Si, calculant le débit approximatif de
la rivière lors d'une crue, on creuse le lit
de cette rivière, et si sur ses bords on
élève des quais élevés qui laisseront un
volume suffisant pour permettre l'écou-
lement d'une crue, on aura réalisé artifi-
ciellementles conditions nécessaires pour ■
éviter une inondation.
Et c'est là une solution qui a tenté bien
des fois l'esprit des bons Nancéiens, qui
auraient voulu voir leur ville pourvue
d'un port. La presse locale se faisait
même, ces derniers temps, l'écho d'un
beau projet élaboré par l'un d'eux : faire
passer le canal dans la Meurthe. Mais
hélas, ce projet est une grande impossi-
bilité, puisqu'il nécessiterait le creuse-
ment profond de la Meurthe et aussi un
système d'ascenseur à bateau du genre de
celui des Fonl.enettes (daiis le Nord), par
suite' de la différence trop grande des
niveaux du canal et de la Meurthe.
La solution qui nous semble la plus
simple consistera donc à remblayer toute
la prairie et à l'élever suffisamment, à
créer aussi sur ses bords un boulevard
d'Austrasie surélevé, à élever enfin une
digue qui protégerait toute la portion de
la ville située entre les Grands-Moulins
et la Pépinière. Ce n'est là qu'une demi-
solution susceptible de protéger seule-
ment des faibles rues et non des rues
exceptionnelles. La protection efficace et
complète ne s'obtiendra qu'en y joignant
un approfondissement sérieux du lit de
la rivière.
H. C.
NANCY
Autour de ia Gare.
Une des conséquences immédiates de
l'Exposition de Nancy, et non des moin-
dres, c'est la transformation de nom-
breux immeubles et magasins de notre
Ville et l'accaparement des points prin-
cipaux du centre pour l'établissement
d'hôtels, de restaurants, de brasseries,
voire de grandes succursales de Maisons
parisiennes.
Tout le centre de Nancy va ainsi se
modifier... et le commerce déjà trop à
l'étroit dans, les rues Saint-Jean, Saint-
Georges, des Dominicains et Point-Cen-
tral, va s'étendre des deux côtés de la rue
Saint-Dizier, jusqu'à la rue d'Amerval
d'une part et jusqu'à la rue Charles III
d'autre part.
Dès aujourd'hui, la place Thiers et ses
alentours immédiats s'apprêtent à rece-
voir de profondes transformations, en ce
qui concerne les immeubles en bordure.
Déjà, l'on a appris que la fameuse villa
Saint-Jean, qui se dresse au-dessus de la
gare, villa qui avait été achetée pour en
faire un hôtel géant, avait été revendue à
bon compte par son heureux acquéreur
à la Compagnie des chemins de fer de
l'Est.
Voici maintenant la brasserie Hanus
de Charmes, qui exploitait déjà et avec
beaucoup de succès la brasserie Thiers,
qui vient d'acquérir l'emplacement même
de la brasserie et la haute maison voisine,
pour près de 200,000 francs.
Il y a là de quoi bâtir une superbe
brasserie-hôtel-restaurant et café lu-
xueux, d'autant plus que le Café Conti-
nental, en face, va disparaître à brève
échéance, acheté par les Magasins Réu-
nis pour y installer une vaste épicerie.
Il restera de ce côté l'Hôtel Terminus
et le Café des Deux-Hémisphères. .
Le long de la rue Crevaux, la brasserie
Tartarel va se modifier en changeant de
maître le icl mars. Le fond de commerce
seul, si bien achalandé grâce à l'activité
dévorante de M. Auguste Tartarel, a été
vendu plusieurs centaines de mille francs
à la brasserie Greff, qui saura développer
encore cet établissement si connu dans
toute la région.
Enfin, à l'angle du faubourg Saint-
Jean, M. Chapelier va jeter bas le petit
« coin » de rien du tout, où pourtant se
font de brillantes affaires, pour cons-
truire dans ce cougnat une maison en fer
de cinq étages. Sera-ce très esthétique?
Nous en jugerons dans quelques mois.
D'ores et déjà les travaux sont com-
mencés à cet angle, pendant qu'ils vien-
nent de se terminer au ■coin de la rue
Mazagran où s'est- établi un nouveau
bar, succédant à l'ancien café-concert.
Il ne semble pas — du moins pour
l'instant — que la Maison des Magasins
Réunis veuille en finir avec ses construc-
tions colossales (sur la rue du faubourg
Saint-Jean), d'après le plan d'ensemble
qui prévoit l'emploi de tout le carré et
quatre tourelles d'angle.
Ces travaux se feront en leur temps,
surtout du côté de.la rue Victor-Poirel,
où les services de la librairie et de la
papeterie n'ont guère actuellement que
des installations de fortune.
On pourra dire alors que toute la
place Thiers et ses environs, jusqu'à la
place Saint-Jean et la Bourse du Com-
merce, sera devenue le quartier des hô-
tels, des cafés, des restaurants et du
grand commerce nancéien.
X_JO Liège
Le liège est léger; il ne conduit ni la
chaleur, ni le son, ni l'électricité ; il est
insensible aux influences thermologi-
ques ; il ne se détériore pas sous les
alternatives d'humidité et de sécheresse.
Il peut être employé en planches bru-
tes, en planches rabotées et tirées d'é-
paisseur ; enfin il peut être aggloméré et
livré à la consommation en feuilles de
toute épaisseur.
Sa légèreté lui permet d'être utilisé,
sans qu'on ait à craindre une surcharge
de poids, et même d'être un allégement
s'il est appelé à remplacer un produit
quelconque.
Comme isolant, le liège peut servir
à. garantir les étages supérieurs d'un
immeuble contre les ardeurs du soleil
aussi bien que contre les grands froids
à l'abri d'une folie de la rivière. On pour-
rait également créer une digue sur ses
bords et cette dernière solution semble
singulièrement facilitée par l'ouverture
du boulevard d'Austrasie, qu'il suffirait
d'élever suffisamment et de prolonger
jusqu'à la digue séparant le canal de la
Meurthe. Cette dernière solution n'est
cependant que partielle, puisqu'elle ne
mettrait à l'abri de l'inondation qu'une
partie seulement de Nancy.
Toute rivière comporte deux lits, le lit
majeur et le lit mineur. Le lit mineur
est celui qui est occupé en temps normal
par la rivière. Lorsque l'abondance des
eaux devient considérable, la rivière
vient occuper le lit majeur et il est extrê-
mement rare qu'elle dépasse les limites
decedernier.il semble donc facile d'é-
viter une inondation, puisqu'il suffit de
se placer hors du lit majeur. Cette solu-
tion trop simple est la seule rationnelle,
toute autre peut mettre à l'abri des inon-
dations, mais elle laisse toujours une
incertitude pour ceux qui se placent dans
la zone dangereuse. L'exemple de la
Seine régularisée en est, à cet égard, par-
ticulièrement frappant, puisque, malgré
les frais énormes qu'elle a coûtés, elle ne
met nullement les riverains à l'abri.
Il reste donc à déterminer le lit majeur
de la Meurthe à Nancy et dans ses envi-
rons. Or. ce lit est d'autant plus visible
qu'on se rapproche davantage de la
source de la rivière où celle-ci, plus sau-
vage, n'en est encore qu'aux premières
périodes de sa vie. Il est, dans ce cas,
marqué par du sable, au milieu duquel
un chenal est creusé, qui constitue le lit
mineur.
A Nancy, où la pente de la Meurthe
est faible, les limons ont pu se déposer et
s'accumuler par suite de la faible vitesse
du courant, ils ont recouvert le sable et
transformé en prairie tout le lit majeur.
Il suffit donc de considérer la prairie oc-
cupant la vallée de la Meurthe pour être
fixé sur son lit majeur, c'est-à-dire la
zone dangereuse en cas d'inondation.
La sagesse eut voulu qu'il fut interdit
de construire dans cette zone, mais les
décisions de l'homme ne s'inspirent pas
toujours de cette sagesse.
Si, calculant le débit approximatif de
la rivière lors d'une crue, on creuse le lit
de cette rivière, et si sur ses bords on
élève des quais élevés qui laisseront un
volume suffisant pour permettre l'écou-
lement d'une crue, on aura réalisé artifi-
ciellementles conditions nécessaires pour ■
éviter une inondation.
Et c'est là une solution qui a tenté bien
des fois l'esprit des bons Nancéiens, qui
auraient voulu voir leur ville pourvue
d'un port. La presse locale se faisait
même, ces derniers temps, l'écho d'un
beau projet élaboré par l'un d'eux : faire
passer le canal dans la Meurthe. Mais
hélas, ce projet est une grande impossi-
bilité, puisqu'il nécessiterait le creuse-
ment profond de la Meurthe et aussi un
système d'ascenseur à bateau du genre de
celui des Fonl.enettes (daiis le Nord), par
suite' de la différence trop grande des
niveaux du canal et de la Meurthe.
La solution qui nous semble la plus
simple consistera donc à remblayer toute
la prairie et à l'élever suffisamment, à
créer aussi sur ses bords un boulevard
d'Austrasie surélevé, à élever enfin une
digue qui protégerait toute la portion de
la ville située entre les Grands-Moulins
et la Pépinière. Ce n'est là qu'une demi-
solution susceptible de protéger seule-
ment des faibles rues et non des rues
exceptionnelles. La protection efficace et
complète ne s'obtiendra qu'en y joignant
un approfondissement sérieux du lit de
la rivière.
H. C.
NANCY
Autour de ia Gare.
Une des conséquences immédiates de
l'Exposition de Nancy, et non des moin-
dres, c'est la transformation de nom-
breux immeubles et magasins de notre
Ville et l'accaparement des points prin-
cipaux du centre pour l'établissement
d'hôtels, de restaurants, de brasseries,
voire de grandes succursales de Maisons
parisiennes.
Tout le centre de Nancy va ainsi se
modifier... et le commerce déjà trop à
l'étroit dans, les rues Saint-Jean, Saint-
Georges, des Dominicains et Point-Cen-
tral, va s'étendre des deux côtés de la rue
Saint-Dizier, jusqu'à la rue d'Amerval
d'une part et jusqu'à la rue Charles III
d'autre part.
Dès aujourd'hui, la place Thiers et ses
alentours immédiats s'apprêtent à rece-
voir de profondes transformations, en ce
qui concerne les immeubles en bordure.
Déjà, l'on a appris que la fameuse villa
Saint-Jean, qui se dresse au-dessus de la
gare, villa qui avait été achetée pour en
faire un hôtel géant, avait été revendue à
bon compte par son heureux acquéreur
à la Compagnie des chemins de fer de
l'Est.
Voici maintenant la brasserie Hanus
de Charmes, qui exploitait déjà et avec
beaucoup de succès la brasserie Thiers,
qui vient d'acquérir l'emplacement même
de la brasserie et la haute maison voisine,
pour près de 200,000 francs.
Il y a là de quoi bâtir une superbe
brasserie-hôtel-restaurant et café lu-
xueux, d'autant plus que le Café Conti-
nental, en face, va disparaître à brève
échéance, acheté par les Magasins Réu-
nis pour y installer une vaste épicerie.
Il restera de ce côté l'Hôtel Terminus
et le Café des Deux-Hémisphères. .
Le long de la rue Crevaux, la brasserie
Tartarel va se modifier en changeant de
maître le icl mars. Le fond de commerce
seul, si bien achalandé grâce à l'activité
dévorante de M. Auguste Tartarel, a été
vendu plusieurs centaines de mille francs
à la brasserie Greff, qui saura développer
encore cet établissement si connu dans
toute la région.
Enfin, à l'angle du faubourg Saint-
Jean, M. Chapelier va jeter bas le petit
« coin » de rien du tout, où pourtant se
font de brillantes affaires, pour cons-
truire dans ce cougnat une maison en fer
de cinq étages. Sera-ce très esthétique?
Nous en jugerons dans quelques mois.
D'ores et déjà les travaux sont com-
mencés à cet angle, pendant qu'ils vien-
nent de se terminer au ■coin de la rue
Mazagran où s'est- établi un nouveau
bar, succédant à l'ancien café-concert.
Il ne semble pas — du moins pour
l'instant — que la Maison des Magasins
Réunis veuille en finir avec ses construc-
tions colossales (sur la rue du faubourg
Saint-Jean), d'après le plan d'ensemble
qui prévoit l'emploi de tout le carré et
quatre tourelles d'angle.
Ces travaux se feront en leur temps,
surtout du côté de.la rue Victor-Poirel,
où les services de la librairie et de la
papeterie n'ont guère actuellement que
des installations de fortune.
On pourra dire alors que toute la
place Thiers et ses environs, jusqu'à la
place Saint-Jean et la Bourse du Com-
merce, sera devenue le quartier des hô-
tels, des cafés, des restaurants et du
grand commerce nancéien.
X_JO Liège
Le liège est léger; il ne conduit ni la
chaleur, ni le son, ni l'électricité ; il est
insensible aux influences thermologi-
ques ; il ne se détériore pas sous les
alternatives d'humidité et de sécheresse.
Il peut être employé en planches bru-
tes, en planches rabotées et tirées d'é-
paisseur ; enfin il peut être aggloméré et
livré à la consommation en feuilles de
toute épaisseur.
Sa légèreté lui permet d'être utilisé,
sans qu'on ait à craindre une surcharge
de poids, et même d'être un allégement
s'il est appelé à remplacer un produit
quelconque.
Comme isolant, le liège peut servir
à. garantir les étages supérieurs d'un
immeuble contre les ardeurs du soleil
aussi bien que contre les grands froids
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96.39%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96.39%.
- Collections numériques similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")Gournay Gournay /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Gournay" or dc.contributor adj "Gournay")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 11/28
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k5650459t/f11.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k5650459t/f11.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k5650459t/f11.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k5650459t/f11.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k5650459t
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k5650459t
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k5650459t/f11.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest