Titre : Le Ménestrel : journal de musique
Éditeur : Heugel (Paris)
Date d'édition : 1928-12-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344939836
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 44462 Nombre total de vues : 44462
Description : 28 décembre 1928 28 décembre 1928
Description : 1928/12/28 (A90,N52)-1929/01/03. 1928/12/28 (A90,N52)-1929/01/03.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5621963x
Source : Bibliothèque nationale de France, TOL Non conservé au département des périodiques
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2010
LE • MÉNESTREL
N'oublions pas de mentionner un numéro très intéres-
sant, mais qui ne figurait pas au programme : une. fée. ave-
nante surgit soudain du milieu de l'orchestre et nous l'ut
une requête en vers annonçant une quête au profit de l'As-
sociation des anciens élèves du Conservatoire ! Décorés du
nom de « cigales » ils venaient demander secours aux
i fourmis ». Celles-ci mirent immédiatement leurs antennes
•en mouvement pour transférer de leurs poches aux bourses
des quêteuses, louis d'or, doublons etrixdales. Et nous pou-
vons croire que la recette fut fructueuse', de quoi se réjoui-
ront tous les amis de la musique et de ses vaillants repré-
sentants ! René BRANCOUR.
Dimanche 23 décembre. — Mêmes vedettes. Hsendel et
Brahms remplacés par trois Rondels honorablement écrits
et signés Grosz, plus une intéressante mélodie d'Hugo
Wolf. Voilà pour le chant. Et voici pour le violon : le
Concert d'hier somptueusement remplacé par le délicieux
Concerto russe de Lalo. Même programme, en dehors de
ces légères modifications. Même excellente exécution,
même succès. R. B.
Concerts-Pasdeïotip
Samedi 2 2 décembre. •—A côté d'oeuvres connues et dont
il ne semble pas qu'on puisse en dire quelque chose de
nouveau, telles la Sinfonia en ré de Ph.-E. Bach, le Pre-
mier Concerto de A. Tcherepnine et la Troisième Sym-
phonie de Saint-Saëns, nous eûmes la primeur, en France,
de deux chorals pour orgue, de J.-S. Bach, instrumentés par
Vittorio Gui. Ces deux chorals (O mensch bewein dein
Sunde Gross et In dir ist Freude), familiers à tous les orga-
nistes, ne semblent pas s'être enrichis d'un élément nou-
veau dans leur nouvelle parure orchestrale : ils paraissent
plutôt avoir perdu de leur caractère en revêtant un
habillement sonore qui ne leur convient pas, qui leur
enlève de leur signification. A ce concert M. Jean Clément
soutint avec une réelle autorité la partie de violoncelle dans
un Adagio et Allegro de Schumann, orchestré par Blair
Fairchild. Interprète aux sonorités séduisantes par leur
charme, M. Clément fit preuve d'une solide technique alliée
à autant de sensibilité, que de bon goût musical.
Comme à l'ordinaire, M. Rhené-Baton dirigea le concert
avec l'intelligence et l'habileté qui lui sont coutumières.
Dimanche 23 décembre. — Ce concert présentait un
intérêt tout particulier du fait que la vedette était rem-
placée, cette fois, par M. Martenot et son appareil émetteur
d'« ondes musicales ». Au programme figurait même un
Poème symphonique de Levidis, spécialement écrit pour
« ondes musicales » et orchestre. Peut-être serait-il témé-
raire d'avancer que ce dernier essai d'adjonction des ondes
musicales à l'orchestre fut entièrement concluant :■ il nous
parut néanmoins fort intéressant, et susceptible de compor-
ter des conséquences jusqu'à présent insoupçonnées.
M. P.
Orchestre Symphonique de Paris
Vendredi 21 décembre. — La direction: de ce: concert
ftt entièrement assumée par un jeune chef d'orchestre très
réputé en Allemagne, M. Otto Klemperer, dont nous
navions pas eu l'occasion d'apprécier jusqu'à présent, en
France, les qualités. M. Klemperer s'impose incontestable-
ment comme' un chef doué d'une réelle autorité, animateur
■d un ensemble sonore qu'il asservit à sa volonté, soucieux
avant tout d'une méticuleuse précision, laquelle s'appli-
quant aux plus imperceptibles nuances, fait clairement
ressortir les plans essentiels de l'oeuvre qu'il conduit.. C'est
un maître, certes, et peut-être serait-il souhaitable-, pour le
nueux apprécier encore, qu'il nous fût donné de le juger à
'a tête d'un orchestre plus accoutumé à sa direction, soumis
plus intimement à ses intentions dominatrices.
M. Klemperer dirigea superbement la Suite en ré de
Bach, de laquelle il sut dégager le pathétique Aria en lui
donnant un sens particulier et en assignant aux deux der-
niers morceaux l'allure franche d'une kermesse paysanne.
Avec la même maîtrise il communiqua une vie intense au
Concerto pour instruments à vent, de Hïndemith qu'il' fit
apparaître; sous un aspect presque humoristique, puis
apporta ensuite une très fine sensibilité à l'interprétation de
Pulcinellà, la savoureuse suite tirée du ballet de Strawinsky.
Dans un air de Cosifan tutte, qui lui valut de chaleure~ûx
applaudissements, Mme Ritter-Ciampi sut, avec un charme
pénétrant en même temps qu'avec un art très raffiné, faire
valoir ses qualités indiscutables d'incomparable cantatrice.
M. PITOY.
Dimanche 23 décembre. — Ce concert était divisé en deux
parties. Dansla première, la Suite en ré majeur de Bach,
le Concerto pour piano en la majeur de Mozart, et la Suite
de Pulcinellà de S-trawinsky, d'après Pergolesi. Dans la
seconde, la Symphonie en la, de Beethoven. Or, entre ces
deux parues, il n'y eut pas une simple différence de temps,
mais par la manière dont fut dirigé l'orchestre, — et dont
en cet orchestre s'affirmèrent la cohésion et la justesse, —
une différence de natureet presque d'essence. Parfois même
on eût dit que cette différence s'avérait jusque dans les con-
ditions d'acoustique de la salle : cette salle qui garde
encore quelque chose de capricieux et d'imprévisible; tel
un être qui ne se laisse que lentement dompter, et qui tour
à tour se refuse et se plie.
Lors de la Suite de Bach, en effet, ne sembla-t-il qu'à un
orchestre souvent hésitant M. Otto Klemperer ne parvenait
que de façon partielle à imposer sa conception de l'oeuvre?
Cette oeuvre se déployait moins comme une « suite » orga-
niquement cohérente que comme un ensemble arbitraire,
auquel manque le lien le plus secret. D'autre part la sono-
rité des instruments émergeait-elle jamais avec cette pureté
native et pour ainsi dire primordiale, faute de laquelle la
plus intime pensée de Bach se dérobe? Delà sorte, l'Aria
par- exemple, — énoncée d'ailleurs selon un mouvement
démesurément lent, — au' lieu de planer' impondérable,
demeurait une force hésitante qui s'arrache à peine à la
terre.
De même lors du Concerto de Mozart; mais n'était-ce pas
surtout parce qu'à travers le jeu de M. Nicolas Orloff, si
correct qu'il fût, transparaissait- trop peu l'élément ailé et
la vie profonde?
Et de même encore pour Pulcinellà^
Soudain, combien trébuchantes devinrent toutes réserves !
Et ce fut comme si tout d'un coup elles s'étaient enfuies
en un passé crépusculaire prompt à s'abolir: L'orchestre, plus
puissamment peut-être qu'en aucune journée antérieure,
entrait en possession de ses plus juvéniles' énergies; et
Otto Klemperer, comme traversé 1 d'une ferveur géante,
s'affirmait l'un de ces animateurs par lesquels la diversité
instrumentale^, fascinée et galvanisée* se transmue en une
passagère et d'autant plus impérieuse unité. L'oeuvre bon-
dissait de l'orchestre fourmillant et indivisible, puis rayon-
nait au-dessus de lui. Ou bien tout au contraire, par ins-
tants, et comme sous l'impulsion d'une volonté promé-
théenne, elle venait sur lui s'abattre en traits de foudre.
Parfois aussi, elle s'éployàit en une. de ces subites perspec-
tives de forêt — de ces vastes et ombreuses trouées de nature,
— qui, çà et là, telle une ample, prière panthéistique,
interrompent brusquement les plus vertigineux essors
b.eethovéniens. Ou, d'autres fois enfin, — au début de
f'Allegretto par exemple — ne semblait-il, pas qu'elle sur-
gissait en lueurs d'aurore, du fond d'un poudroiement de
silence? JosePh BARUZI"
Cbncerts-Poalet
Dimanche z3 décembre. — Je parlerai beaucoup trop
brièvement de celte.- séance, qui par un Festival Debussy
venait clore le premier trimestre des concerts que donne
Gaston Poulet, avec un succès toujours plus vaste, dans la
salle du théâtre Sarah-Bernhardt. Et c'est qu'ayant voulu
entendre comment, à l'Orchestre Symphonique de Pans,
Otto Klemperer conduirait cette Symphonie en la dont huit
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N'oublions pas de mentionner un numéro très intéres-
sant, mais qui ne figurait pas au programme : une. fée. ave-
nante surgit soudain du milieu de l'orchestre et nous l'ut
une requête en vers annonçant une quête au profit de l'As-
sociation des anciens élèves du Conservatoire ! Décorés du
nom de « cigales » ils venaient demander secours aux
i fourmis ». Celles-ci mirent immédiatement leurs antennes
•en mouvement pour transférer de leurs poches aux bourses
des quêteuses, louis d'or, doublons etrixdales. Et nous pou-
vons croire que la recette fut fructueuse', de quoi se réjoui-
ront tous les amis de la musique et de ses vaillants repré-
sentants ! René BRANCOUR.
Dimanche 23 décembre. — Mêmes vedettes. Hsendel et
Brahms remplacés par trois Rondels honorablement écrits
et signés Grosz, plus une intéressante mélodie d'Hugo
Wolf. Voilà pour le chant. Et voici pour le violon : le
Concert d'hier somptueusement remplacé par le délicieux
Concerto russe de Lalo. Même programme, en dehors de
ces légères modifications. Même excellente exécution,
même succès. R. B.
Concerts-Pasdeïotip
Samedi 2 2 décembre. •—A côté d'oeuvres connues et dont
il ne semble pas qu'on puisse en dire quelque chose de
nouveau, telles la Sinfonia en ré de Ph.-E. Bach, le Pre-
mier Concerto de A. Tcherepnine et la Troisième Sym-
phonie de Saint-Saëns, nous eûmes la primeur, en France,
de deux chorals pour orgue, de J.-S. Bach, instrumentés par
Vittorio Gui. Ces deux chorals (O mensch bewein dein
Sunde Gross et In dir ist Freude), familiers à tous les orga-
nistes, ne semblent pas s'être enrichis d'un élément nou-
veau dans leur nouvelle parure orchestrale : ils paraissent
plutôt avoir perdu de leur caractère en revêtant un
habillement sonore qui ne leur convient pas, qui leur
enlève de leur signification. A ce concert M. Jean Clément
soutint avec une réelle autorité la partie de violoncelle dans
un Adagio et Allegro de Schumann, orchestré par Blair
Fairchild. Interprète aux sonorités séduisantes par leur
charme, M. Clément fit preuve d'une solide technique alliée
à autant de sensibilité, que de bon goût musical.
Comme à l'ordinaire, M. Rhené-Baton dirigea le concert
avec l'intelligence et l'habileté qui lui sont coutumières.
Dimanche 23 décembre. — Ce concert présentait un
intérêt tout particulier du fait que la vedette était rem-
placée, cette fois, par M. Martenot et son appareil émetteur
d'« ondes musicales ». Au programme figurait même un
Poème symphonique de Levidis, spécialement écrit pour
« ondes musicales » et orchestre. Peut-être serait-il témé-
raire d'avancer que ce dernier essai d'adjonction des ondes
musicales à l'orchestre fut entièrement concluant :■ il nous
parut néanmoins fort intéressant, et susceptible de compor-
ter des conséquences jusqu'à présent insoupçonnées.
M. P.
Orchestre Symphonique de Paris
Vendredi 21 décembre. — La direction: de ce: concert
ftt entièrement assumée par un jeune chef d'orchestre très
réputé en Allemagne, M. Otto Klemperer, dont nous
navions pas eu l'occasion d'apprécier jusqu'à présent, en
France, les qualités. M. Klemperer s'impose incontestable-
ment comme' un chef doué d'une réelle autorité, animateur
■d un ensemble sonore qu'il asservit à sa volonté, soucieux
avant tout d'une méticuleuse précision, laquelle s'appli-
quant aux plus imperceptibles nuances, fait clairement
ressortir les plans essentiels de l'oeuvre qu'il conduit.. C'est
un maître, certes, et peut-être serait-il souhaitable-, pour le
nueux apprécier encore, qu'il nous fût donné de le juger à
'a tête d'un orchestre plus accoutumé à sa direction, soumis
plus intimement à ses intentions dominatrices.
M. Klemperer dirigea superbement la Suite en ré de
Bach, de laquelle il sut dégager le pathétique Aria en lui
donnant un sens particulier et en assignant aux deux der-
niers morceaux l'allure franche d'une kermesse paysanne.
Avec la même maîtrise il communiqua une vie intense au
Concerto pour instruments à vent, de Hïndemith qu'il' fit
apparaître; sous un aspect presque humoristique, puis
apporta ensuite une très fine sensibilité à l'interprétation de
Pulcinellà, la savoureuse suite tirée du ballet de Strawinsky.
Dans un air de Cosifan tutte, qui lui valut de chaleure~ûx
applaudissements, Mme Ritter-Ciampi sut, avec un charme
pénétrant en même temps qu'avec un art très raffiné, faire
valoir ses qualités indiscutables d'incomparable cantatrice.
M. PITOY.
Dimanche 23 décembre. — Ce concert était divisé en deux
parties. Dansla première, la Suite en ré majeur de Bach,
le Concerto pour piano en la majeur de Mozart, et la Suite
de Pulcinellà de S-trawinsky, d'après Pergolesi. Dans la
seconde, la Symphonie en la, de Beethoven. Or, entre ces
deux parues, il n'y eut pas une simple différence de temps,
mais par la manière dont fut dirigé l'orchestre, — et dont
en cet orchestre s'affirmèrent la cohésion et la justesse, —
une différence de natureet presque d'essence. Parfois même
on eût dit que cette différence s'avérait jusque dans les con-
ditions d'acoustique de la salle : cette salle qui garde
encore quelque chose de capricieux et d'imprévisible; tel
un être qui ne se laisse que lentement dompter, et qui tour
à tour se refuse et se plie.
Lors de la Suite de Bach, en effet, ne sembla-t-il qu'à un
orchestre souvent hésitant M. Otto Klemperer ne parvenait
que de façon partielle à imposer sa conception de l'oeuvre?
Cette oeuvre se déployait moins comme une « suite » orga-
niquement cohérente que comme un ensemble arbitraire,
auquel manque le lien le plus secret. D'autre part la sono-
rité des instruments émergeait-elle jamais avec cette pureté
native et pour ainsi dire primordiale, faute de laquelle la
plus intime pensée de Bach se dérobe? Delà sorte, l'Aria
par- exemple, — énoncée d'ailleurs selon un mouvement
démesurément lent, — au' lieu de planer' impondérable,
demeurait une force hésitante qui s'arrache à peine à la
terre.
De même lors du Concerto de Mozart; mais n'était-ce pas
surtout parce qu'à travers le jeu de M. Nicolas Orloff, si
correct qu'il fût, transparaissait- trop peu l'élément ailé et
la vie profonde?
Et de même encore pour Pulcinellà^
Soudain, combien trébuchantes devinrent toutes réserves !
Et ce fut comme si tout d'un coup elles s'étaient enfuies
en un passé crépusculaire prompt à s'abolir: L'orchestre, plus
puissamment peut-être qu'en aucune journée antérieure,
entrait en possession de ses plus juvéniles' énergies; et
Otto Klemperer, comme traversé 1 d'une ferveur géante,
s'affirmait l'un de ces animateurs par lesquels la diversité
instrumentale^, fascinée et galvanisée* se transmue en une
passagère et d'autant plus impérieuse unité. L'oeuvre bon-
dissait de l'orchestre fourmillant et indivisible, puis rayon-
nait au-dessus de lui. Ou bien tout au contraire, par ins-
tants, et comme sous l'impulsion d'une volonté promé-
théenne, elle venait sur lui s'abattre en traits de foudre.
Parfois aussi, elle s'éployàit en une. de ces subites perspec-
tives de forêt — de ces vastes et ombreuses trouées de nature,
— qui, çà et là, telle une ample, prière panthéistique,
interrompent brusquement les plus vertigineux essors
b.eethovéniens. Ou, d'autres fois enfin, — au début de
f'Allegretto par exemple — ne semblait-il, pas qu'elle sur-
gissait en lueurs d'aurore, du fond d'un poudroiement de
silence? JosePh BARUZI"
Cbncerts-Poalet
Dimanche z3 décembre. — Je parlerai beaucoup trop
brièvement de celte.- séance, qui par un Festival Debussy
venait clore le premier trimestre des concerts que donne
Gaston Poulet, avec un succès toujours plus vaste, dans la
salle du théâtre Sarah-Bernhardt. Et c'est qu'ayant voulu
entendre comment, à l'Orchestre Symphonique de Pans,
Otto Klemperer conduirait cette Symphonie en la dont huit
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