Titre : Le Ménestrel : journal de musique
Éditeur : Heugel (Paris)
Date d'édition : 1928-12-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344939836
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 44462 Nombre total de vues : 44462
Description : 14 décembre 1928 14 décembre 1928
Description : 1928/12/14 (A90,N50)-1928/12/20. 1928/12/14 (A90,N50)-1928/12/20.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k56219613
Source : Bibliothèque nationale de France, TOL Non conservé au département des périodiques
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2010
LE • MÉNESTREL
Orchestre Symphonique de Paris
Vendredi 7 décembre. — Il y eut une révélation à ce con
cert : le Concerto en sol mineur pour clavecin et orchestre
de Karl-Phil.-Em. Bach (le Bach de Hambourg, l'un des
cinq fils de Jean-Sébastien Bach). Ce qui nous étonne dans
cette oeuvre, nous émeut et par moments nous amuse, c'est
sa jeunesse : j'aurais voulu l'écouter dans un jardin. Que
de hardiesse, de fantaisie, de liberté, de nouveauté dans ce
concerto, en dépit de sa construction régulière et du res-
pect de la forme qui s'y manifeste d'un bout à l'autre.
jjme Wanda Landowska en a interprété la partie de clave-
cin à la perfection : aucune nuance ne lui échappe, et
j'entends par nuances, celles de la sensibilité d'abord. L'art
du virtuose ne consiste pas (comme nous le feraient penser
tant de pseudo-virtuoses hélas!) à mettre les couleurs
1 indiquées » sous les lignes de la musique, il consiste
à faire vivre et vibrer ces couleurs. Mme Landowska
nous donne l'impression de créer spontanément les plus
légères intonations comme les plus graves des auteurs qu'elle
interprète : elle n'enregistre pas, elle fait naître.
Nous avons également applaudi la grande artiste dans le
Concerto en ré majeur de Mozart.
Le programme comportait en outre une exécution de la
Suite anglaise du xvie siècle qu'inspira le Marchand de
Venise à H. Rabaud. C'est une charmante tapisserie musi-
cale où des coloris discrets ont été obtenus avec des soies
brillantes ou si vous aimez mieux un bijoux de prix, to the
happy fews. L'orchestre a joué cette Suite d'une manière
un peu trop flottante. Il s'est montré beaucoup plus brillant
dans la Sarabande de Roger Ducasse, et les Trois Nocturnes
de Debussy, dont la partie chorale était confiée aux chan-
teurs de Saint-Gervais, et que dirigeait M. Louis Fourestier
avec une autorité précise et un goût très sur.
Marcel BELVIANES.
Concerts-Potilet
Dimanche g décembre. — Je ne connais nulle joie supé-
rieure à celle d'admirer sans réserve. Joie si rarement gra-
vie; car tant de fois dans nos admirations les plus vives
persiste un arrière-goût de crainte : sommes-nous tout à
fait sûrs de ne nous point tromper ? de ne point démesurer
I instant?de ne point, par préconcept, par suggestion trop
vite accueillie, trop complaisamment avoir transformé en
aventure réelle ce qui pour une grande part n'était que le
voeu de notre attente ?
Des plus hauts gradins jusqu'aux extrêmes bords de l'or-
chestre ; dans cette salle tout entière peuplée et devenue
soudain unanime, combien d'entre nous, en ce deuxième
dimanche de décembre, auront dû à Gaston Poulet l'une
de ces joies sans restriction qui n'interviennent qu'en de
trop rares heures ! Depuis le début du concert jusqu'à la
fin; depuis le premier élan de la Suite en si mineur de Bach
jusqu'aux suprêmes bondissements de la Neuvième Sym-
phonie, des oeuvres tant de fois ailleurs trahies ou scléro-
sées réapparurent en l'intégralité de leur être. Sans le sacri-
fice d'aucun détail ; mais jamais non plus sans oubli de
tout le vaste mouvement global, —de toute sa vaste pré-
sence latente au fond de chaque mouvement parcellaire.
ans désertion d'aucune pensée ; mais non plus sans que
cette pensée devînt jamais exsangue et abstraite. Au con-
traire, tout entière reliée à la vitalité sans lacune qui la
rend mélodie et rythme.
De tout son talent, — et maintes fois en sentant ce talent
se soustraire à ses propres limites; — aussi de tout son tra-
vail, et de tout ce qu'ajoute au travail l'intuition du défini-
II et de l'irréversible, en la fragile minute, tragique et
exaltante, qui ne se renouvellera point ; — chaque inter-
prète collabora à cette précision rayonnante, tour à tour
JJ'gurante et épandue. Chaque interprète ; et dès lors tout
abord l'ample orchestre, ardent et souple, soumis et
fe. Puis, émergeant de cet orchestre, tel soliste qui deve-
tQut d'un coup la voix même de son instrument ressaisie
comme au coeur des âges : avant tout je songe ici au
jeune flûtiste Pruvot, qui dans la Suite de Bach, durant le
sublime dialogue avec le violoncelle, puis durant l'écla-
tante broderie de la Badinerie finale, fut tout le soupir de
l'églogue, et la rêverie crépusculaire, et toute la dansante
impatience incluse dans le bouillonnement des sources et
le frémissement des roseaux... Et également les masses
chorales : celles des chanteurs de Saint-Gervais, que jamais
je n'entendis aussi ardemment dociles à toutes les nuances
du double texte. Puis, surgissant de ces masses, — et non
plus conventionnellement à l'écart, comme trop souvent
ailleurs on le décida, — les cantatrices et les chanteurs, de
part et d'autre exempts de toute fausse déclamation :
Moees Malnory-Marseillac et de Montaut; MM. Ernest Bauer
et Bernard Friedmann.
Qu'ai-je parlé tout à l'heure de joie personnelle? Il
s'agissait, en vérité, de quelque chose de beaucoup plus
vaste. D'un prolongement de ces cadences mêmes que sur-
prirent Schiller et Beethoven, et où participeraient des
« millions d'êtres », jusqu'en les profondeurs d'un mystère
sidéral. Et à la fin de ce concert, quand entre tant de ceux
qui ensemble avaient écouté s'échangeaient regards et
paroles (sympathies d'un instant, bientôt disparues mais non
oubliées, et où l'être individuel tout ensemble s'affirme et
s'efface), c'était bien une obéissance au mouvement même
que tout à l'heure transféraient instruments et voix. Aper-
ception du rythme même que Beethoven conçut ou devina,
— et en lequel, fût-ce illusoirement, il eut conscience de
n'être point seul. Joseph BARUZI.
CONCERTS DIVERS
Concert Muratore-Madeleine de Valmalète. — M. Mura-
tore qui avait déjà repris contact, et très brillamment, aux
concerts Pasdeloup avec le public parisien, a donné le
26 novembre un récital. L'impression qu'il a laissée n'a fait
que confirmer celle que nous avions éprouvée lors de la pre-
mière audition. M. Muratore a reconquis après une longue
maladie possession de tous ses moyens vocaux : la voix est
solide, ample et franche, la diction est parfaite et l'interpré-
tation émouvante. M.Muratore a chanté toutes les mélodies :
de Schumann, de Duparc Phidylé, le Manoir de Rosa-
monde, le Colibri de Chausson, Barberine d'Ernest Moret,
sans emphase, avec une simplicité exemplaire, et toutes ces
oeuvres n'en portèrent que mieux. Pourquoi faut-il que
grisé par le succès M. Muratore nous ait chanté, en bis,- des
airs italiens qui contrastaient singulièrement avec la tenue
du programme jusque là exécuté.
M. Maurice Faure, au piano d'accompagnement, fit mer-
veille.
Pour laisser de temps en temps reposer M. Muratore,
MUe de Valmalète interpréta diverses oeuvres de Bach, Men-
delssohn, Chopin, Ravel et Lazzari. Ce fut un régal
d'écouter cette jeune artiste au jeu si clair, si fin et si
nuancé ; son talent fait de grâce et de sensibilité plutôt que
de force convenait aux oeuvres qu'elle avait choisies.
P. DE L.
OEuvres de Léon Moreau. — Le 8 décembre, séance où
nous avons fort goûté un florilège des oeuvres de M. Léon
Moreau. Mme Mayeur y fit applaudir la pureté de son soprano
dans Esquisses et la pittoresque Ballade de Rose extraite de
Myrialde; M. Vianova interpréta éloquemment l'air d'Apol-
lon de Callishoé, Câlinerie, Pleure 6 mon âme. Dans la
Pastorale, en trois parties, où se montrent, dans leur variété,
les ressources du maître, M. Mendels se révéla violoniste
impeccable. Le grand attrait de l'audition était, avec la
présence de L. Moreau, celle de la cantatrice justement
réputée, Mme Marie-Capoy, qui traduisit avec un art infini :
Coeur solitaire. Jour d'été, Sérénade, d'une haute distinction,
ainsi qu'un délicieux duo Rêverie où elle eut en Mme Mayeur
une partenaire digne d'elle. L. Moreau est traditionaliste,
très moderne cependant par le chatoiement de sa palette
harmonique et l'imprévu de ses rythmes. Certaines de ses
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Orchestre Symphonique de Paris
Vendredi 7 décembre. — Il y eut une révélation à ce con
cert : le Concerto en sol mineur pour clavecin et orchestre
de Karl-Phil.-Em. Bach (le Bach de Hambourg, l'un des
cinq fils de Jean-Sébastien Bach). Ce qui nous étonne dans
cette oeuvre, nous émeut et par moments nous amuse, c'est
sa jeunesse : j'aurais voulu l'écouter dans un jardin. Que
de hardiesse, de fantaisie, de liberté, de nouveauté dans ce
concerto, en dépit de sa construction régulière et du res-
pect de la forme qui s'y manifeste d'un bout à l'autre.
jjme Wanda Landowska en a interprété la partie de clave-
cin à la perfection : aucune nuance ne lui échappe, et
j'entends par nuances, celles de la sensibilité d'abord. L'art
du virtuose ne consiste pas (comme nous le feraient penser
tant de pseudo-virtuoses hélas!) à mettre les couleurs
1 indiquées » sous les lignes de la musique, il consiste
à faire vivre et vibrer ces couleurs. Mme Landowska
nous donne l'impression de créer spontanément les plus
légères intonations comme les plus graves des auteurs qu'elle
interprète : elle n'enregistre pas, elle fait naître.
Nous avons également applaudi la grande artiste dans le
Concerto en ré majeur de Mozart.
Le programme comportait en outre une exécution de la
Suite anglaise du xvie siècle qu'inspira le Marchand de
Venise à H. Rabaud. C'est une charmante tapisserie musi-
cale où des coloris discrets ont été obtenus avec des soies
brillantes ou si vous aimez mieux un bijoux de prix, to the
happy fews. L'orchestre a joué cette Suite d'une manière
un peu trop flottante. Il s'est montré beaucoup plus brillant
dans la Sarabande de Roger Ducasse, et les Trois Nocturnes
de Debussy, dont la partie chorale était confiée aux chan-
teurs de Saint-Gervais, et que dirigeait M. Louis Fourestier
avec une autorité précise et un goût très sur.
Marcel BELVIANES.
Concerts-Potilet
Dimanche g décembre. — Je ne connais nulle joie supé-
rieure à celle d'admirer sans réserve. Joie si rarement gra-
vie; car tant de fois dans nos admirations les plus vives
persiste un arrière-goût de crainte : sommes-nous tout à
fait sûrs de ne nous point tromper ? de ne point démesurer
I instant?de ne point, par préconcept, par suggestion trop
vite accueillie, trop complaisamment avoir transformé en
aventure réelle ce qui pour une grande part n'était que le
voeu de notre attente ?
Des plus hauts gradins jusqu'aux extrêmes bords de l'or-
chestre ; dans cette salle tout entière peuplée et devenue
soudain unanime, combien d'entre nous, en ce deuxième
dimanche de décembre, auront dû à Gaston Poulet l'une
de ces joies sans restriction qui n'interviennent qu'en de
trop rares heures ! Depuis le début du concert jusqu'à la
fin; depuis le premier élan de la Suite en si mineur de Bach
jusqu'aux suprêmes bondissements de la Neuvième Sym-
phonie, des oeuvres tant de fois ailleurs trahies ou scléro-
sées réapparurent en l'intégralité de leur être. Sans le sacri-
fice d'aucun détail ; mais jamais non plus sans oubli de
tout le vaste mouvement global, —de toute sa vaste pré-
sence latente au fond de chaque mouvement parcellaire.
ans désertion d'aucune pensée ; mais non plus sans que
cette pensée devînt jamais exsangue et abstraite. Au con-
traire, tout entière reliée à la vitalité sans lacune qui la
rend mélodie et rythme.
De tout son talent, — et maintes fois en sentant ce talent
se soustraire à ses propres limites; — aussi de tout son tra-
vail, et de tout ce qu'ajoute au travail l'intuition du défini-
II et de l'irréversible, en la fragile minute, tragique et
exaltante, qui ne se renouvellera point ; — chaque inter-
prète collabora à cette précision rayonnante, tour à tour
JJ'gurante et épandue. Chaque interprète ; et dès lors tout
abord l'ample orchestre, ardent et souple, soumis et
fe. Puis, émergeant de cet orchestre, tel soliste qui deve-
tQut d'un coup la voix même de son instrument ressaisie
comme au coeur des âges : avant tout je songe ici au
jeune flûtiste Pruvot, qui dans la Suite de Bach, durant le
sublime dialogue avec le violoncelle, puis durant l'écla-
tante broderie de la Badinerie finale, fut tout le soupir de
l'églogue, et la rêverie crépusculaire, et toute la dansante
impatience incluse dans le bouillonnement des sources et
le frémissement des roseaux... Et également les masses
chorales : celles des chanteurs de Saint-Gervais, que jamais
je n'entendis aussi ardemment dociles à toutes les nuances
du double texte. Puis, surgissant de ces masses, — et non
plus conventionnellement à l'écart, comme trop souvent
ailleurs on le décida, — les cantatrices et les chanteurs, de
part et d'autre exempts de toute fausse déclamation :
Moees Malnory-Marseillac et de Montaut; MM. Ernest Bauer
et Bernard Friedmann.
Qu'ai-je parlé tout à l'heure de joie personnelle? Il
s'agissait, en vérité, de quelque chose de beaucoup plus
vaste. D'un prolongement de ces cadences mêmes que sur-
prirent Schiller et Beethoven, et où participeraient des
« millions d'êtres », jusqu'en les profondeurs d'un mystère
sidéral. Et à la fin de ce concert, quand entre tant de ceux
qui ensemble avaient écouté s'échangeaient regards et
paroles (sympathies d'un instant, bientôt disparues mais non
oubliées, et où l'être individuel tout ensemble s'affirme et
s'efface), c'était bien une obéissance au mouvement même
que tout à l'heure transféraient instruments et voix. Aper-
ception du rythme même que Beethoven conçut ou devina,
— et en lequel, fût-ce illusoirement, il eut conscience de
n'être point seul. Joseph BARUZI.
CONCERTS DIVERS
Concert Muratore-Madeleine de Valmalète. — M. Mura-
tore qui avait déjà repris contact, et très brillamment, aux
concerts Pasdeloup avec le public parisien, a donné le
26 novembre un récital. L'impression qu'il a laissée n'a fait
que confirmer celle que nous avions éprouvée lors de la pre-
mière audition. M. Muratore a reconquis après une longue
maladie possession de tous ses moyens vocaux : la voix est
solide, ample et franche, la diction est parfaite et l'interpré-
tation émouvante. M.Muratore a chanté toutes les mélodies :
de Schumann, de Duparc Phidylé, le Manoir de Rosa-
monde, le Colibri de Chausson, Barberine d'Ernest Moret,
sans emphase, avec une simplicité exemplaire, et toutes ces
oeuvres n'en portèrent que mieux. Pourquoi faut-il que
grisé par le succès M. Muratore nous ait chanté, en bis,- des
airs italiens qui contrastaient singulièrement avec la tenue
du programme jusque là exécuté.
M. Maurice Faure, au piano d'accompagnement, fit mer-
veille.
Pour laisser de temps en temps reposer M. Muratore,
MUe de Valmalète interpréta diverses oeuvres de Bach, Men-
delssohn, Chopin, Ravel et Lazzari. Ce fut un régal
d'écouter cette jeune artiste au jeu si clair, si fin et si
nuancé ; son talent fait de grâce et de sensibilité plutôt que
de force convenait aux oeuvres qu'elle avait choisies.
P. DE L.
OEuvres de Léon Moreau. — Le 8 décembre, séance où
nous avons fort goûté un florilège des oeuvres de M. Léon
Moreau. Mme Mayeur y fit applaudir la pureté de son soprano
dans Esquisses et la pittoresque Ballade de Rose extraite de
Myrialde; M. Vianova interpréta éloquemment l'air d'Apol-
lon de Callishoé, Câlinerie, Pleure 6 mon âme. Dans la
Pastorale, en trois parties, où se montrent, dans leur variété,
les ressources du maître, M. Mendels se révéla violoniste
impeccable. Le grand attrait de l'audition était, avec la
présence de L. Moreau, celle de la cantatrice justement
réputée, Mme Marie-Capoy, qui traduisit avec un art infini :
Coeur solitaire. Jour d'été, Sérénade, d'une haute distinction,
ainsi qu'un délicieux duo Rêverie où elle eut en Mme Mayeur
une partenaire digne d'elle. L. Moreau est traditionaliste,
très moderne cependant par le chatoiement de sa palette
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