Titre : Le Ménestrel : journal de musique
Éditeur : Heugel (Paris)
Date d'édition : 1921-11-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344939836
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 44462 Nombre total de vues : 44462
Description : 11 novembre 1921 11 novembre 1921
Description : 1921/11/11 (A83,N45)-1921/11/17. 1921/11/11 (A83,N45)-1921/11/17.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k56185176
Source : Bibliothèque nationale de France, TOL Non conservé au département des périodiques
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2010
LE • MÉNESTREL
Le Mouvement musical en Province
\ngers. — Premier Concert populaire i€SOe). — En
jetant un'coup d'oeil d'ensemble sur ce premier programme,
nous devons constater cependant, avec regret, le peu de
place qu'y tient la musique française. Les noms de Beetho-
ven," Mozart. Turina. Wagner. Humperdinck encadrent
celui de Saint-Saéns qui semble submergé dans ce fiol
étràncer. Nos compositeurs ne méritent-ils pas une plus
lar^eplace ? Que cette interrogation ne nous fasse pas
accuser de chauvinisme : elle est une logique sur laquelle
nous ne désirons pas autrement insister.
C'est avec la Symphonie en ré majeur de Beethoven,
dont les quaire mouvements furent exécutés avec soin, que
nous primes contact. Venait ensuite la Procession du Rocio
de Turina, qui nous était offerte en première audition;
danses, chants, hymnes religieux, sonneries de cloches, y
entremêlent leurs rythmes dans une apothéose de joie et
de fête.
L'amour douloureux de la tendre Yseult nous fut traduite
:>vec la piété la plus émue. Hànsel et Gretel de Humper-
dinck était la brillante terminaison de ce concert pendant
lequel nous fîmes connaissance avec notre nouveau violon
solo: M. Robert Soëtens. Disons tout de suite que son
succès fut grand, spontané, et qu'il le mérita en tous points
avec le Concerto en sol de Mozart.
Mais il v eut un autre triomphateur : M. Jean Gay, l'ani-
mateur direct de ce concert. Nous ne saurions trop redire
ses mérites, son dévouement à la musique et la science
qu'il met à diriger toutes ces oeuvres. Je n'en veux pour
preuve que la façon dont ii conduisit le prélude de Tristan
et Yseult. C'est un artiste en qui nous pouvons avoir con-
fiance et que la Société des Concerts peut être fière Je
posséder.
Deuxième concert populaire (68ye). — Très intéressant
programme. Exécutée avec beaucoup de précision, la
Symphonie H° 1i, dite militaire, de Haydn, mérite peu ce
qualificatif, mais elle est dans ses trois mouvements d'une
élégance fière et distinguée qui la place parmi les meil-
leures du maître.
Le Concerto en ré de Boccherini, pour violoncelle et
orchestre, fut interprété par M. Fernand Pollain, dont
nous ne saurions trop louer le talent. Ses qualités de déli-
catesse, de sensibilité, nous furent révélées par cinq pièces
différentes avec accompagnement de piano tenu par
-M™ Becker.
^ Après la Forêt enchantée de V.d'Indy venaient, dans la
forme classique, la chacune et le rigodon d'Aline, Reine de
Golconde, de Monsigny, précédant le prélude du troisième acte
de Ninon de Lenclos.de Maingueneau, dont c'était à Angers
la première audition. Le succès le plus spontané fut réservé
a cette oeuvre d'un de nos meilleurs compositeurs aux ten-
dances modernes. Rien de heurté dans ce prélude où ia
tristesse, la passion s'expriment avec un sens raffiné de la
mélodie^ qui s'épanouit en un lyrisme douloureusement
L-xpressit. M. Maingueneau vient d'obtenir â nos concerts
une première place, qu'il mérite à tous les degrés.
Meplusto-Valse, de Liszt, fut la terminaison fantaisiste de
ce concert où se sont développées les qualités d'exécution
«e 1 orchestre que conduit avec talent M. Jean" Gay.
L.-Ch. M.
— Au Théâtre Municipal, première représentation de
ismonda, le bel opéra d'Henry Février qui a été un véri-
aoie triomphe depuis ïe commencement jusqu'à la fin de
'a représentation.
naMm"rBr"n!et et Madeleine Caron, MM. Lassaile, Hicf-
aî,U M i,anel et Sasseni ont été vivement applaudi», ainsi
M H ubini' chef d'orchestre.
été r K-6nry I7évrier' <îu' avait conduit le troisième «etc, >i
'objet d ovations enthousiastes de la part du public.
dont 1 6a"X' 7" ^a Veuve joyeuse, comme tous les ouvrages
réussite est immédiate et formidable, a connu les
éloges les plus dithyrambiques et essuyé les pires critiques.
Elle ne méritait sans doute «ni cet excès d'honneur ni cette
indignité A. Ce qu'il y a de certain c'est qu'elle a eu la faveur
constante du public, de ce bon public qui paie, et emplit
les salles sans chercher à analyser les causes de son diver-
tissement. Et le public se divertit encore à écouter la Veuve
joyeuse, nous avons pu en juger au gala du Théâtre des
Bouffes l'autre soir. Le théâtre, restauré, pimpant, confor-
table, était comble des fauteuils aux cintres. Les auditeurs
ont été enthousiastes; c'est un fait, et, depuis cette soirée,
les Bouffes ne désemplissent pas.
Il est équitable d'ajouter que la nouvelle direction a tout
fait pour rendre brillante cette représentation qui servait a
l'ouverture de sa saison d'opérettes. Les décors chatoyants,
la mise en scène somptueuse, des costumes frais et enfin
une interprétation qui comprend M"c Blanche Delimoges,
MM. Chancel, Willy Myral, Destrel, Tiluze et d'autres bons
artistes, ont largement contribué au succès authentique de
ce gala.
— Le Grand-Théâtre vient de reprendre le Roi d'Ys, ce
pur chef-d'oeuvre, avec une distribution de choix compre-
nant MM. Sullivan, Rougenet, Lasserre, MmM Montazel et:
Sabran. L'orchestre, toujours remarquable et remarquable-
ment dirigé par M. Razigade, a mis en valeur toutes les
beautés de cette partition, hélas! trop peu jouée.
Henri BOUI.ARK.
Lyon. — Après la longue somnolence de l'été où les
amateurs de musique n'eurent guère, pour se satisfaire, que
les concerts organisés par M. Servat sous la fraîcheur
agréable des maronniers de Bellecour, voici que les divers
groupements musicaux annoncent la réouverture prochaine
de leurs salles et font connaître leurs programmes.
Les grands concerts nous permettent une heureuse abon-
dance d'oeuvres inédites parmi lesquelles la plus impa-
tiemment attendue est celle du poème symphonique inti-
tulé Mon Lac, que le maître Witkowski vient d'achever
dans le recueillement de sa solitude champêtre et où il a
mis tout ce que la nature pouvait inspirer à son coeur
vibrant et généreux. On entendra en outre des oeuvres de
jeunes musiciens lyonnais, la Sarabande de M. Ferroud
et les Elfes de M. Rougier, qui ont été choisies au con-
cours.
Parmi les oeuvres qui seront jouées pour la première fois
à Lyon, il faut citer les Ballades de Debussy, la Sarabande
de Ducasse, la Symphonie en ut majeur de Dukas, le
Poème des Rivages de Vincent d'Indy, la Quatrième Sym-
phonie de Magnard, Schéhéra^ade de Ravel, le Sommeil de
Canope de Samazeuilh. La part faite aux étrangers dans
les créations est beaucoup moins large, et seul Strnvinsky
v représente la musique moderne.
II faut signaler, dans les reprises, le Poème de la Maison,
de Witkowski, que nous réentendrons avec grand plaisir,
le prélude de Parsifal cl le final du Crépuscule des Dieux.
Notons la complète absence de Beethoven.
— Le programme annoncé parles « Petits Concerts» n'est
pas moins intéressant. Il comporte huit séances de musique
de chambre, composées avec un éclectisme éclairé: 7rio
de Saint-Saëns, Sonate et mélodies de Fnuré, Sonate c\
mélodies de Debussy, Trio de Ravel; oeuvres a deux pia-
nos de Couperin, Mozart, Saint-Saëns, musique de chambre
de Wagner; oeuvres anciennes pour clavecin et violes;
oeuvres modernes étrangères dû Hnncggcr, Prokofiel, Stra-
vinsky, etc.; quatuors" ù cordes de Beethoven, d Indy,
Debussv, quatuors à voix de Schumann, Cnplei, Stcpan;
Quatuor a cordes de Schumann; duos et trios a corde-,
modernes; oeuvres de Vincent d'Indy et de Oeod.it d.,
Sévernc; enfin, Vincent d'Indy consnerern, le r2 mars, une
cfiiticrie et un concert aux élèves de César bnuiek. ^
. L'excellent Ountuor Crinière reprend ';« «million'. <■<
annonce, pour cet hiver, qurttre r.énncus.
-- Le» «bonnes de* « Heures» fuiront bicluinc.'. dVnn-tid. >:
,l..,iv onln-i Uhlc.r, l'un cônuicré h Beethoven, I »>«tic si
Chopin et h Selimminn; un yM'< Mr.uiic<; Kavel, le I no
-, Ar- ■>
Le Mouvement musical en Province
\ngers. — Premier Concert populaire i€SOe). — En
jetant un'coup d'oeil d'ensemble sur ce premier programme,
nous devons constater cependant, avec regret, le peu de
place qu'y tient la musique française. Les noms de Beetho-
ven," Mozart. Turina. Wagner. Humperdinck encadrent
celui de Saint-Saéns qui semble submergé dans ce fiol
étràncer. Nos compositeurs ne méritent-ils pas une plus
lar^eplace ? Que cette interrogation ne nous fasse pas
accuser de chauvinisme : elle est une logique sur laquelle
nous ne désirons pas autrement insister.
C'est avec la Symphonie en ré majeur de Beethoven,
dont les quaire mouvements furent exécutés avec soin, que
nous primes contact. Venait ensuite la Procession du Rocio
de Turina, qui nous était offerte en première audition;
danses, chants, hymnes religieux, sonneries de cloches, y
entremêlent leurs rythmes dans une apothéose de joie et
de fête.
L'amour douloureux de la tendre Yseult nous fut traduite
:>vec la piété la plus émue. Hànsel et Gretel de Humper-
dinck était la brillante terminaison de ce concert pendant
lequel nous fîmes connaissance avec notre nouveau violon
solo: M. Robert Soëtens. Disons tout de suite que son
succès fut grand, spontané, et qu'il le mérita en tous points
avec le Concerto en sol de Mozart.
Mais il v eut un autre triomphateur : M. Jean Gay, l'ani-
mateur direct de ce concert. Nous ne saurions trop redire
ses mérites, son dévouement à la musique et la science
qu'il met à diriger toutes ces oeuvres. Je n'en veux pour
preuve que la façon dont ii conduisit le prélude de Tristan
et Yseult. C'est un artiste en qui nous pouvons avoir con-
fiance et que la Société des Concerts peut être fière Je
posséder.
Deuxième concert populaire (68ye). — Très intéressant
programme. Exécutée avec beaucoup de précision, la
Symphonie H° 1i, dite militaire, de Haydn, mérite peu ce
qualificatif, mais elle est dans ses trois mouvements d'une
élégance fière et distinguée qui la place parmi les meil-
leures du maître.
Le Concerto en ré de Boccherini, pour violoncelle et
orchestre, fut interprété par M. Fernand Pollain, dont
nous ne saurions trop louer le talent. Ses qualités de déli-
catesse, de sensibilité, nous furent révélées par cinq pièces
différentes avec accompagnement de piano tenu par
-M™ Becker.
^ Après la Forêt enchantée de V.d'Indy venaient, dans la
forme classique, la chacune et le rigodon d'Aline, Reine de
Golconde, de Monsigny, précédant le prélude du troisième acte
de Ninon de Lenclos.de Maingueneau, dont c'était à Angers
la première audition. Le succès le plus spontané fut réservé
a cette oeuvre d'un de nos meilleurs compositeurs aux ten-
dances modernes. Rien de heurté dans ce prélude où ia
tristesse, la passion s'expriment avec un sens raffiné de la
mélodie^ qui s'épanouit en un lyrisme douloureusement
L-xpressit. M. Maingueneau vient d'obtenir â nos concerts
une première place, qu'il mérite à tous les degrés.
Meplusto-Valse, de Liszt, fut la terminaison fantaisiste de
ce concert où se sont développées les qualités d'exécution
«e 1 orchestre que conduit avec talent M. Jean" Gay.
L.-Ch. M.
— Au Théâtre Municipal, première représentation de
ismonda, le bel opéra d'Henry Février qui a été un véri-
aoie triomphe depuis ïe commencement jusqu'à la fin de
'a représentation.
naMm"rBr"n!et et Madeleine Caron, MM. Lassaile, Hicf-
aî,U M i,anel et Sasseni ont été vivement applaudi», ainsi
M H ubini' chef d'orchestre.
été r K-6nry I7évrier' <îu' avait conduit le troisième «etc, >i
'objet d ovations enthousiastes de la part du public.
dont 1 6a"X' 7" ^a Veuve joyeuse, comme tous les ouvrages
réussite est immédiate et formidable, a connu les
éloges les plus dithyrambiques et essuyé les pires critiques.
Elle ne méritait sans doute «ni cet excès d'honneur ni cette
indignité A. Ce qu'il y a de certain c'est qu'elle a eu la faveur
constante du public, de ce bon public qui paie, et emplit
les salles sans chercher à analyser les causes de son diver-
tissement. Et le public se divertit encore à écouter la Veuve
joyeuse, nous avons pu en juger au gala du Théâtre des
Bouffes l'autre soir. Le théâtre, restauré, pimpant, confor-
table, était comble des fauteuils aux cintres. Les auditeurs
ont été enthousiastes; c'est un fait, et, depuis cette soirée,
les Bouffes ne désemplissent pas.
Il est équitable d'ajouter que la nouvelle direction a tout
fait pour rendre brillante cette représentation qui servait a
l'ouverture de sa saison d'opérettes. Les décors chatoyants,
la mise en scène somptueuse, des costumes frais et enfin
une interprétation qui comprend M"c Blanche Delimoges,
MM. Chancel, Willy Myral, Destrel, Tiluze et d'autres bons
artistes, ont largement contribué au succès authentique de
ce gala.
— Le Grand-Théâtre vient de reprendre le Roi d'Ys, ce
pur chef-d'oeuvre, avec une distribution de choix compre-
nant MM. Sullivan, Rougenet, Lasserre, MmM Montazel et:
Sabran. L'orchestre, toujours remarquable et remarquable-
ment dirigé par M. Razigade, a mis en valeur toutes les
beautés de cette partition, hélas! trop peu jouée.
Henri BOUI.ARK.
Lyon. — Après la longue somnolence de l'été où les
amateurs de musique n'eurent guère, pour se satisfaire, que
les concerts organisés par M. Servat sous la fraîcheur
agréable des maronniers de Bellecour, voici que les divers
groupements musicaux annoncent la réouverture prochaine
de leurs salles et font connaître leurs programmes.
Les grands concerts nous permettent une heureuse abon-
dance d'oeuvres inédites parmi lesquelles la plus impa-
tiemment attendue est celle du poème symphonique inti-
tulé Mon Lac, que le maître Witkowski vient d'achever
dans le recueillement de sa solitude champêtre et où il a
mis tout ce que la nature pouvait inspirer à son coeur
vibrant et généreux. On entendra en outre des oeuvres de
jeunes musiciens lyonnais, la Sarabande de M. Ferroud
et les Elfes de M. Rougier, qui ont été choisies au con-
cours.
Parmi les oeuvres qui seront jouées pour la première fois
à Lyon, il faut citer les Ballades de Debussy, la Sarabande
de Ducasse, la Symphonie en ut majeur de Dukas, le
Poème des Rivages de Vincent d'Indy, la Quatrième Sym-
phonie de Magnard, Schéhéra^ade de Ravel, le Sommeil de
Canope de Samazeuilh. La part faite aux étrangers dans
les créations est beaucoup moins large, et seul Strnvinsky
v représente la musique moderne.
II faut signaler, dans les reprises, le Poème de la Maison,
de Witkowski, que nous réentendrons avec grand plaisir,
le prélude de Parsifal cl le final du Crépuscule des Dieux.
Notons la complète absence de Beethoven.
— Le programme annoncé parles « Petits Concerts» n'est
pas moins intéressant. Il comporte huit séances de musique
de chambre, composées avec un éclectisme éclairé: 7rio
de Saint-Saëns, Sonate et mélodies de Fnuré, Sonate c\
mélodies de Debussy, Trio de Ravel; oeuvres a deux pia-
nos de Couperin, Mozart, Saint-Saëns, musique de chambre
de Wagner; oeuvres anciennes pour clavecin et violes;
oeuvres modernes étrangères dû Hnncggcr, Prokofiel, Stra-
vinsky, etc.; quatuors" ù cordes de Beethoven, d Indy,
Debussv, quatuors à voix de Schumann, Cnplei, Stcpan;
Quatuor a cordes de Schumann; duos et trios a corde-,
modernes; oeuvres de Vincent d'Indy et de Oeod.it d.,
Sévernc; enfin, Vincent d'Indy consnerern, le r2 mars, une
cfiiticrie et un concert aux élèves de César bnuiek. ^
. L'excellent Ountuor Crinière reprend ';« «million'. <■<
annonce, pour cet hiver, qurttre r.énncus.
-- Le» «bonnes de* « Heures» fuiront bicluinc.'. dVnn-tid. >:
,l..,iv onln-i Uhlc.r, l'un cônuicré h Beethoven, I »>«tic si
Chopin et h Selimminn; un yM'< Mr.uiic<; Kavel, le I no
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