Titre : Le Ménestrel : journal de musique
Éditeur : Heugel (Paris)
Date d'édition : 1908-03-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344939836
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 44462 Nombre total de vues : 44462
Description : 07 mars 1908 07 mars 1908
Description : 1908/03/07 (A74,N10)-1908/03/13. 1908/03/07 (A74,N10)-1908/03/13.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5617121d
Source : Bibliothèque nationale de France, TOL Non conservé au département des périodiques
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2010
80 LE MÉNESTREL
quents et unanimes. L'assistance se devait d'ailleurs à elle-même de manifester,
aussi sincèrement qu'elle l'éprouvait, son admiration pour ces mélodies d'un
rythme piquant, pour ces choeurs au chant noble et large, pour cette Notre-
Dame de la Mer si intensément colorée, si invinciblement impressionnante,
pour toute cette musique d'une composition impeccable, claire, limpide, élé-
gante, bien française. »
— Du Courrier de Versailles : « Marie-Magdeleine ne fut pas un succès, ce fut
un triomphe : exécution parfaite, salle pleine,' enthousiasme de l'assistance,
rappel des artistes et surtout admirable beauté'de l'oeuvre, interprétée, tout
fera de cette soirée une soirée mémorable dans les annales de la jeune salle
Notre-Dame. S'il fallait distribuer tous les éloges mérités, nous prendrions
trop de place; nous.tenons cependant à féliciter d'une manière spéciale le
jeune chef d'orchestre qui a vraiment révélé, sa maîtrise au milieu de ses
120 exécutants. »
— On écrit de Colmar : « Notre théâtre prend, sous la direction très artis-
tique et très éclairée de son directeur, M. Goldberg, un brillant essor et nous
' avons eu d'admirables représentations du Bal masqué de Verdi et de la Flûte
enchantée. Comme nouveauté toute prochaine et de tout premier rang, nous
allons avoir Manon de Massenet, avec une mise en scène entièrement belle et
pleine de vie, réglée par le directeur lui-même. L'orchestre sera conduit par
M. Schilling-Ziemsen, dont un opéra nouveau en trois actes, Sonnenwendglut,
sera joué pour la première fois le 28 mars prochain. »
— .Sonovus HT CO.NCKIITS. — Intéressante séance donnée par le violoniste brésilien
Francisco Gliiuflitelli, tt la Salle Pleyel. Après le trio en mi majeur de Mozart, joué
avec un ensemble remarquable par MM. L. Deluno, Ghialïitelli et M" 10 Delune,
M. Gliiiilïilelli a remporté un très vif succès dans la Ciaccona, pour violon seul, de
Biicli. Nous l'avons encore beaucoup apprécié pour sa belle sonorité, son mécanisme
pur ot son interprétation toute personnelle dans différentes pièces classiques et
modernes. — Très belle audition, dans les salons do M. et M" 1" Jacques Rouché, des
élèves de M. Jules Gliovallier. Kilo était surtout consacrée à des oeuvres de Bach et
de M. Gabriel Grovlez. Toutefois, le succès paraît avoir été pour deux mélodies
d'Henry Février, chantées en intermède : Elle avait trois couronnes et VIntruse. — A
la matinée d'élèves de M. Georges Cuignacbe, on a fort goûté la « Grande valse de
concert » do Louis Diômer, interprétée par M 11" RachelGaisenbaud, et« l'Étude n°l »
de Théodore Dubois, exécutée par M"° Suzanne Ëndrès. — Au Théâtre des Arts,
tout ii fait charmante audition des oeuvres de Charles Levadé. La jolie voix de
M"" Bureau-Borthclot fait merveille dans les Cloches du pays du charmant composi-
teur.
NÉCROLOGIE
La cantatrice Pauline Lucca est morte à Vienne le 28 février dernier.
Elle souffrait depuis huit années d'un cancer intestinal. La dernière opération
avait ou lieu en novembre 1907 et n'avait laissé que bien peu d'éspêràhce.
Depuis cinq semaines la malade ne supportait plus aucune nourriture. Née le
25 avril 1841, à Vionno, Pauline Lucca montra dès l'âge de trois ans qu'elle
avilit une voix juste et de belle sonorité. A dix ans, elle attirait déjà l'atten-
tion par son chant. En 1818, son père perdait toute sa fortune pendant une
crise financière ; dès lors, on compta sur l'enfant pour apporter plus tard un
soulagement à la famillo. Elle trouva en effet à utiliser sa voix dans les
églisos et so lit admettre, en 1850, parmi les choristes de l'Opéra de Vienne.
Sa gnico ot sa gentillesse l'ayant fait remarquer peu à peu, on lui confia trois
ans plus tard un tout petit rôle dans la Flûte enchantée, et, presque aussitôt
après, elle fut ongagéo comme prima donna à Olmûtz, y obtint un grand
succès dans Valentine des Huguenots et se rendit ensuite à Prague, où elle
joua lo répertoire. C'est là que, pendant une représentation de la Vestale de
Spontini, donnée à son bénéfice, M. de Hulsen, qui était dans une loge, appré-
cia tellement son talent qu'il lui offrit un brillant engagement à l'Opéra-Royal de
Berlin. Elle y débuta le 1er avril 1861 et y chanta des rôles de caractères très difl'é.
. rents, depuis Fra Diavalo jusqu'à Don Juan, depuis le Freischùtz- jusqu'à l'Africaine
qu'elle y interprétala première. Plus tard, Mignon et Carmen devinrent ses rôleâ
de prédilection. A l'Opéra-Royal, son nom suffisait à remplir la salle. A partir de
1872, époque à laquelle un conflit avec sa rivale Mathilde Màlb'nger -l'obligea j
quitter Berlin, elle chanta en Angleterre, en Amérique, en Russie, en Italie et i
Vienne." « Elle passait pour un phénomène, a écrit d'elle un critique,' et elle
l'était en réalité. Son originalité exclut toute comparaison avec d'autres can-
tatrices; on ne saurait mieux définir sa personnalité qu'en lui. appliquant
l'expression française : elle a le diable au corps ». Son organe était d'une puis-
sance exceptionnelle à l'aigu et d'une sonorité particulièrement belle. Le son
vibrait avec force et frappait l'oieille même de très loin, toujours avec frai-
cheur et netteté. On en était saisi parfois, a-t-on dit, avec la soudaineté d'une
secousse électrique. L'engouement que l'on éprouva pour l'artiste fut tel que
l'on voulut Voir en elle toutes les qualités, et que l'on n'hésita point à la com-
parer à Rachel pour la puissance dramatique. Pauline Lucca épousa en 1865
le lieutenant, baron Adolphe de Rhaden, et se remaria en 1874, après divorce,
au major de Wallhofen, qui mourut en 1879. Elle se retira définitivement de
la scène au commencement de 1890. Elle a vécu depuis à Vienne avec le titre
de chanteuse de la Chambre impériale et royale d'Autriche et de Prusse el
cantatrice honoraire de l'Opéra de Vienne.
— Les funérailles provisoires de Pauline Lucca ont eu lieu à Vienne lundi
dernier. Le corps, placé dans un cercueil.de plomb a été transporté de la mai-
son mortuaire à l'église dite Dorotheerkirche, où les élèves des classes de chant
du Conservatoire s'étaient réunis pour le recevoir. La cérémonie, était dès
lors achevée, car les restes de la cantatrice doivent, dit-on, être conduits à
Gotha pour y être incinérés, après quoi, ils seront ramenés à Baden, près de
Vienne, pour y recevoir la sépulture définitive. La fille de Pauline Lucca, k
baronne Marie de Rhaden, a reçu de l'Intendance générale des théâtres
royaux de Berlin le télégramme suivant : « Du plus profond de mon coeur je
vous plains sincèrement de la perte que vous avez éprouvée, et je pense aux
relations d'art et d'amitié qui, pendant de longue années, ont existé entre
madame votre mère et mon père et moi. Mais avant tout, je prends part à ce
deuil au nom de l'Opéra-Royal qui fut le berceau de la gloire de cette artiste
unique dans son genre quefut Pauline Lucca et qui lui doit une des plus
brillantes époques de son histoire. Pénétré de.ces sentiments, je fais déposersur
le cercueil de la cantatrice qui ne sera jamais oubliée, une couronne de lauriers
comme témoignage de fidélité dans l'affection et la reconnaissance. Georges de
Hulsen. »,
• — Le'17 fé-wrei'-est mort à Londres,* à l'âge de'93 ans, ledoyen-des facteurs
de piano d'Angleterre, John Brinsmead, qui était né à Wear-Gifford (North
Devon) le 19 octobre 1814. Il avait fondé en 1835 sa fabrique de pianos, qui
prit rapidement une importance considérable et atteignit une très grande
renommée. Il avait, au mois de juin 1907, fêté le 70e anniversaire de son
mariage; mais dès la Noël suivante il perdit toute sa connaissance, qu'il ne
recouvra pas depuis lors, si bien qu'il ne connut pas la mort de sa femme,
qui s'éteignait il y a quelques semaines. De ses deux fils, Thomas et Edgard,
qui étaient ses deux associés depuis 1863, le second,. Edgard, a publié en
1868 une Histoire du Piano, dont une seconde édition, complétée, parut ea
1879.
HENRI HEUGEL, directeur-gérant.
IMPRIMERIE CENTRALE DES CHEMINS DE FER. - IMPRIMERIE CBAIX, RUE BERGÈRE, 20, PARIS. - (ben LcpSKo).
quents et unanimes. L'assistance se devait d'ailleurs à elle-même de manifester,
aussi sincèrement qu'elle l'éprouvait, son admiration pour ces mélodies d'un
rythme piquant, pour ces choeurs au chant noble et large, pour cette Notre-
Dame de la Mer si intensément colorée, si invinciblement impressionnante,
pour toute cette musique d'une composition impeccable, claire, limpide, élé-
gante, bien française. »
— Du Courrier de Versailles : « Marie-Magdeleine ne fut pas un succès, ce fut
un triomphe : exécution parfaite, salle pleine,' enthousiasme de l'assistance,
rappel des artistes et surtout admirable beauté'de l'oeuvre, interprétée, tout
fera de cette soirée une soirée mémorable dans les annales de la jeune salle
Notre-Dame. S'il fallait distribuer tous les éloges mérités, nous prendrions
trop de place; nous.tenons cependant à féliciter d'une manière spéciale le
jeune chef d'orchestre qui a vraiment révélé, sa maîtrise au milieu de ses
120 exécutants. »
— On écrit de Colmar : « Notre théâtre prend, sous la direction très artis-
tique et très éclairée de son directeur, M. Goldberg, un brillant essor et nous
' avons eu d'admirables représentations du Bal masqué de Verdi et de la Flûte
enchantée. Comme nouveauté toute prochaine et de tout premier rang, nous
allons avoir Manon de Massenet, avec une mise en scène entièrement belle et
pleine de vie, réglée par le directeur lui-même. L'orchestre sera conduit par
M. Schilling-Ziemsen, dont un opéra nouveau en trois actes, Sonnenwendglut,
sera joué pour la première fois le 28 mars prochain. »
— .Sonovus HT CO.NCKIITS. — Intéressante séance donnée par le violoniste brésilien
Francisco Gliiuflitelli, tt la Salle Pleyel. Après le trio en mi majeur de Mozart, joué
avec un ensemble remarquable par MM. L. Deluno, Ghialïitelli et M" 10 Delune,
M. Gliiiilïilelli a remporté un très vif succès dans la Ciaccona, pour violon seul, de
Biicli. Nous l'avons encore beaucoup apprécié pour sa belle sonorité, son mécanisme
pur ot son interprétation toute personnelle dans différentes pièces classiques et
modernes. — Très belle audition, dans les salons do M. et M" 1" Jacques Rouché, des
élèves de M. Jules Gliovallier. Kilo était surtout consacrée à des oeuvres de Bach et
de M. Gabriel Grovlez. Toutefois, le succès paraît avoir été pour deux mélodies
d'Henry Février, chantées en intermède : Elle avait trois couronnes et VIntruse. — A
la matinée d'élèves de M. Georges Cuignacbe, on a fort goûté la « Grande valse de
concert » do Louis Diômer, interprétée par M 11" RachelGaisenbaud, et« l'Étude n°l »
de Théodore Dubois, exécutée par M"° Suzanne Ëndrès. — Au Théâtre des Arts,
tout ii fait charmante audition des oeuvres de Charles Levadé. La jolie voix de
M"" Bureau-Borthclot fait merveille dans les Cloches du pays du charmant composi-
teur.
NÉCROLOGIE
La cantatrice Pauline Lucca est morte à Vienne le 28 février dernier.
Elle souffrait depuis huit années d'un cancer intestinal. La dernière opération
avait ou lieu en novembre 1907 et n'avait laissé que bien peu d'éspêràhce.
Depuis cinq semaines la malade ne supportait plus aucune nourriture. Née le
25 avril 1841, à Vionno, Pauline Lucca montra dès l'âge de trois ans qu'elle
avilit une voix juste et de belle sonorité. A dix ans, elle attirait déjà l'atten-
tion par son chant. En 1818, son père perdait toute sa fortune pendant une
crise financière ; dès lors, on compta sur l'enfant pour apporter plus tard un
soulagement à la famillo. Elle trouva en effet à utiliser sa voix dans les
églisos et so lit admettre, en 1850, parmi les choristes de l'Opéra de Vienne.
Sa gnico ot sa gentillesse l'ayant fait remarquer peu à peu, on lui confia trois
ans plus tard un tout petit rôle dans la Flûte enchantée, et, presque aussitôt
après, elle fut ongagéo comme prima donna à Olmûtz, y obtint un grand
succès dans Valentine des Huguenots et se rendit ensuite à Prague, où elle
joua lo répertoire. C'est là que, pendant une représentation de la Vestale de
Spontini, donnée à son bénéfice, M. de Hulsen, qui était dans une loge, appré-
cia tellement son talent qu'il lui offrit un brillant engagement à l'Opéra-Royal de
Berlin. Elle y débuta le 1er avril 1861 et y chanta des rôles de caractères très difl'é.
. rents, depuis Fra Diavalo jusqu'à Don Juan, depuis le Freischùtz- jusqu'à l'Africaine
qu'elle y interprétala première. Plus tard, Mignon et Carmen devinrent ses rôleâ
de prédilection. A l'Opéra-Royal, son nom suffisait à remplir la salle. A partir de
1872, époque à laquelle un conflit avec sa rivale Mathilde Màlb'nger -l'obligea j
quitter Berlin, elle chanta en Angleterre, en Amérique, en Russie, en Italie et i
Vienne." « Elle passait pour un phénomène, a écrit d'elle un critique,' et elle
l'était en réalité. Son originalité exclut toute comparaison avec d'autres can-
tatrices; on ne saurait mieux définir sa personnalité qu'en lui. appliquant
l'expression française : elle a le diable au corps ». Son organe était d'une puis-
sance exceptionnelle à l'aigu et d'une sonorité particulièrement belle. Le son
vibrait avec force et frappait l'oieille même de très loin, toujours avec frai-
cheur et netteté. On en était saisi parfois, a-t-on dit, avec la soudaineté d'une
secousse électrique. L'engouement que l'on éprouva pour l'artiste fut tel que
l'on voulut Voir en elle toutes les qualités, et que l'on n'hésita point à la com-
parer à Rachel pour la puissance dramatique. Pauline Lucca épousa en 1865
le lieutenant, baron Adolphe de Rhaden, et se remaria en 1874, après divorce,
au major de Wallhofen, qui mourut en 1879. Elle se retira définitivement de
la scène au commencement de 1890. Elle a vécu depuis à Vienne avec le titre
de chanteuse de la Chambre impériale et royale d'Autriche et de Prusse el
cantatrice honoraire de l'Opéra de Vienne.
— Les funérailles provisoires de Pauline Lucca ont eu lieu à Vienne lundi
dernier. Le corps, placé dans un cercueil.de plomb a été transporté de la mai-
son mortuaire à l'église dite Dorotheerkirche, où les élèves des classes de chant
du Conservatoire s'étaient réunis pour le recevoir. La cérémonie, était dès
lors achevée, car les restes de la cantatrice doivent, dit-on, être conduits à
Gotha pour y être incinérés, après quoi, ils seront ramenés à Baden, près de
Vienne, pour y recevoir la sépulture définitive. La fille de Pauline Lucca, k
baronne Marie de Rhaden, a reçu de l'Intendance générale des théâtres
royaux de Berlin le télégramme suivant : « Du plus profond de mon coeur je
vous plains sincèrement de la perte que vous avez éprouvée, et je pense aux
relations d'art et d'amitié qui, pendant de longue années, ont existé entre
madame votre mère et mon père et moi. Mais avant tout, je prends part à ce
deuil au nom de l'Opéra-Royal qui fut le berceau de la gloire de cette artiste
unique dans son genre quefut Pauline Lucca et qui lui doit une des plus
brillantes époques de son histoire. Pénétré de.ces sentiments, je fais déposersur
le cercueil de la cantatrice qui ne sera jamais oubliée, une couronne de lauriers
comme témoignage de fidélité dans l'affection et la reconnaissance. Georges de
Hulsen. »,
• — Le'17 fé-wrei'-est mort à Londres,* à l'âge de'93 ans, ledoyen-des facteurs
de piano d'Angleterre, John Brinsmead, qui était né à Wear-Gifford (North
Devon) le 19 octobre 1814. Il avait fondé en 1835 sa fabrique de pianos, qui
prit rapidement une importance considérable et atteignit une très grande
renommée. Il avait, au mois de juin 1907, fêté le 70e anniversaire de son
mariage; mais dès la Noël suivante il perdit toute sa connaissance, qu'il ne
recouvra pas depuis lors, si bien qu'il ne connut pas la mort de sa femme,
qui s'éteignait il y a quelques semaines. De ses deux fils, Thomas et Edgard,
qui étaient ses deux associés depuis 1863, le second,. Edgard, a publié en
1868 une Histoire du Piano, dont une seconde édition, complétée, parut ea
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