Regnabit : revue universelle du Sacré-Coeur

1925
1926
1927
1928

Jan.
Fev.
Mars
Avr.
Mai
Juin
Juil.
Août
Sept.
Oct.
Nov.
Dec.

Presse et revues

96 pages

Titre : Regnabit : revue universelle du Sacré-Coeur

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1926-04-01

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32850416j

Type : texte texte

Type : publication en série imprimée publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 8483 Nombre total de vues : 8483

Description : 01 avril 1926 01 avril 1926

Description : 1926/04/01 (A5,T10,N11)-1926/04/30. 1926/04/01 (A5,T10,N11)-1926/04/30.

Droits : Consultable en ligne

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5476623t

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, D-91018

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/01/2011

Le Sacré-Coeur
dans les Armoiries prélatices.

Comme Jnous l'avons dit dans notre Armoriai des Prélats
Français du XIXe siècle (1) les armoiries sont une réunion
d'emblèmes composés et groupés suivant des règles fixes, dites
héraldiques, pour servir de signe distinctif aussi bien d'une
famille que d'une personnalité civile ou ecclésiastique, ou bien
titulaire d'une dignité. De ce qu'elles sont un signe de convention,
servant le plus souvent à désigner la noblesse, il ne faut certes
pas en conclure qu'elles en soient l'indice exclusif. De tout
temps des bourgeois.fdes prêtres, des magistrats, sans parler
des Chapitres, communautés, villes, etc. ont porté des armoiries.
Dans l'ordre^ecclésiastique elles indiquent une dignité, une
charge. (2)

Quand un prélat prend un écusson, il le compose comme
bon lui semble et comme devant être l'expression personnelle
de son choix. Cette expression est-elle toujours heureuse ?
Hélas non ! disons-le franchement. Il est des évêques qui se
laissent vraiment trop aller à la fantaisie et prennent des armoiries
représentant des paysages, des rébus, des cartes de géo-
graphie, des scènes bibliques, que sais-je ! Ne doit-on pas leur
conseiller respectueusement d'essayer de se conformer aux
usages spéciaux en la matière—l'héraldisme — et, au bon
goût, qui demeure l'apanage des Français ? Pie X dit un jour
au cardinal Respighi et au président du Collège Héraldique
Romain son regret de voir fréquemment dans des écussons
prélatices des figures religieuses et des emblèmes fantaisistes,
sans rapport aucun avec l'art héraldique ; il exprima le désir

(1 - 2) Voir notre ouvrage : Armoriai des Prélats Français du XIX* sièclt,
n-4° illustré de 1.100 écussons. Paris, Daragon, rue Fromentin.

Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96.3%.
En savoir plus sur l'OCR

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96.3%.

Page

chiffre de pagination vue 28/96