Titre : Le Monde artiste : théâtre, musique, beaux-arts, littérature
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1905-09-24
Contributeur : Lemoine, Achille (1813-1895). Directeur de publication
Contributeur : Gourdon de Genouillac, Henri (1826-1898). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32818188p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 19764 Nombre total de vues : 19764
Description : 24 septembre 1905 24 septembre 1905
Description : 1905/09/24 (A45,N39). 1905/09/24 (A45,N39).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5459854f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-1096
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/12/2008
616
LE MONDE ARTISTE
PROVINCE
AiX-les-Bains. — Dans quelques jours la Villa
des Fleurs aura fermé ses portes. Hâtons-nous donc,
avant ea clôture annuelle, de constater les deux succès
■ de sa saison : celui d'Amica, de Mascagni, et surtout
celui des Girondins, de Fernand Le Borne qui prit des
proportions vraiment triomphales. L'oeuvre avait été
donnée une première fois en festival le 14 juillet et, à
la suite de l'effet considérable qu'elle produisit sur
le public, M. Nouzaret, l'excellent directeur général,
eut l'idée de charger son directeur artistique, M. Le-
néka, de monter l'ouvrage, comme à Lyon, avec dé-
cors et costumes. L'enthousiasme des spectateurs et les
recettes réalisées ont dû récompenser largement la di-
rection de ses efforts.
Nous ajouterons que l'interprétation fut de premier
ordre, avec les éminents artistes qui s'appellent,
Mlle Claessens, MM. Verdier, Journet, Mézy, Marié-
Leduc, etc. ; les choeurs de M. Fiori et le remarquable
orchestre de M. Flon.
A la suite de ce succès sans précédent à la Villa des
Fleurs, M. Nouzaret pria M. Fernand Le Borne de con-
duire des fragments d'Hedda, son drame Scandinave
créé à Milan, et cette audition, donnée avec le concours
de Mlle Mary Garnier et de, M. Marié-Leduc, vient de
valoir au jeune compositeur et à ses excellents inter-
prètes, des ovations sans fin. A. B.
Berck. — La soirée de gala donnée au Kursaal, au
bénéfice du directeur artistique de cet établissement, a
obtenu un très vif succès. On a applaudi l'excellent
orchestre. A citer parmi les artistes : Mlle Saraï, déli-
cieuse dans les Heures de la femme et les Agés du jour,
de MM. Guillaume Livet et Emile Bonnamy, dans les-
quels elle a montré autant de grâce que de talent.
Voilà une soirée inoubliable. B. K.
Concarneau. — La fête des " Filets bleus »,
donnée au profit des pêcheurs de sardines, a obtenu le
plus vif succès.
Les efforts de MM. Billette de Villeroche, le baron
de Cambourg, Henri Bonduelle, le comte de Marsy, qui
furent les organisateurs zélés de cette oeuvre de cha-
rité, ont abouti à un résultat merveilleux.
La représentation théâtrale fut particulièrement bril-
lante, grâce au concours de M. Bondelle, de M. Habert,
de Mme Cravoisier, de M. de Oambourg, enfin de
Mlle Dérigny, dans la Jasante, de Jehan Rictus.
C. U.
Evian. — M. Miranne, le très remarquable chef
d'orchestre du Casino, vient de clôturer la série de ses
beaux concerts symphoniques, après avoir fait tour à
tour applaudir des oeuvres de Guy Ropartz, de Georges
Sporck, un Prélude symphonique et une Circassienne, de
M. André Gresse ; une charmante suite d'orchestre, Ja-
bots et Dentelles, de M. Oharles Guvillier, sans préjudice
d'importants fragments wagnériens, dirigés toujours
avec une incontestable maîtrise. E. N.
La Mothe-Saint-Héray. — Le Théâtre popu-
laire poitevin vient de donner à La Mothe-Saint-Héray
ses représentations annuelles, sous la présidence de
M. Chérou, chef de cabinet du sous-secrétaire d'Etat
aux Beaux-Arte.
On a joué une comédie en quatre actes, en prose, de
M. Corneille, intitulée les Yeux jaunes; une tragédie,
en trois actes, en vers, Par la clémence, également de
M. Corneille, avec une importante partie musicale de
M. Louis Giraudias, et un acte, en prose, de M. H.
Martin, Maître Chabiron.
Le succès a été extrêmement vif.
Ces pièces, de genres tout à fait différents avaient
attiré dans la jolie cité poitevine un public énorme,
parmi lequel se trouvaient de nombreux Parisiens.
La comédie les Yeux jaunes, représentée dimanche
soir, dans un décor exquis, brossé par M. André Girau-
dias, et très heureusement planté dans le cadre déli
cieux de rochers et de verdure que l'illustration a popu-
larisé, met en scène une anecdote simple et touchante :
Une jeune fille fait un héritage; tous les coureurs de
dot du pays se ruent à l'assaut de cette fortune ; seul
l'homme qu'elle aime et qui allait se déclarer, hésite au
contraire à le faire, parce qu'il craint d'être soupçonné
de bas calcul.
La jeune fille voit cette hésitation, et apprend en
même temps que cette fortune a une origine suspecte ;
elle n'hésite pas à se dépouiller et à redevenir pauvre,
pour faire cesser les scrupules de son amoureux.
Admirablement jouée par la troupe ordinaire du
Théâtre populaire .poitevin, la pièce a beaucoup plu.
Le lever de rideau, Maître Chabiron, met aux prises
un malin paysan et un avoué peu scrupuleux, qui
donne ses conseils successivement aux deux parties
adverses dans une même cause. Bien entendu, la ruse
du paysan réduit à néant les combinaisons de l'homme
d'affaires.
L'interprétation de cette scène fort amusante, bien
conduite et écrite en grande partie en patois du pays, a
été excellente. .
La tragédie Par la clémence, donnée le lundi, est une
reprise ; elle a déjà été jouée à La Mothe il y a six ans,
et tout récemment à Royan, au cours des représenta-
tions données aux arènes de Vallières, par le Théâtre
poitevin.
Un public aussi nombreux que la veille a chaude-
ment applaudi les beaux vers de M. Corneille et la
musique si intéressante de M. Louis Giraudias.
Il y a, entre autres choses, dans la partition, un
cantique dans le style ancien, des versets d'un psaume
avec faux-bourdons et une chanson des fileuses, qui
sont absolument remarquables d'inspiration et de fac-
ture.
Ces représentations clôturent dignement la série des
spectacles en plein air qui furent si nombreux cet été,
mais dont aucun peut-être n'est aussi original que ceux
organisés depuis dix ans, en Poitou, avec un succès
toujours croissant, par M. Corneille et ses collabora-
teurs. X.
Lyon. — M. Broussan, directeur du Grand-Théâtre
municipal, vient de composer sa troupe, pour la saison
1905-1906, d'une façon fort brillante : il s'est assuré le
concours de Mmes Félia Litvinne, Janssen et Merey, en
représentations, de MM. Jérôme, Verdier, Geyre, Sarpe
(ténors), Dangès, Moor, Delpret (barytons), Galinier,
Lafont (basses) ; de Mmes A. Baron, Pierrick, Nimidoff,
Bernard, Rigaud, Helken (soprani), Doria, Eobis,
Bambaud (mezzo-soprani).
Le répertoire comprendra Gwendoline, du regretté.
Ohabrier, Tristan et Isolde, Siegfried, Siberia, La Tosca.
Enfin, trois opéras nouveaux seront créés à Lyon :
Armor de M. Silvio Lazzari, Tiphaine de M. Neuville
et le Bonheur des Vieux, de notre excellent collabora-
teur Marcel Samuel-Rousseau. X,
Nancy. — En présence de l'affluence énorme qui
se produit à Nancy pour les représentations de la Pas-
sion, une séance supplémentaire du soir a été décidée.
Elle aura lieu le mardi 26 septembre, de 4 h. 1/2 à
10 h. 1/2 du soir.
Il n'y aura donc plus irrévocablement que trois
séances de la Passion avant l'année 1915 : dimanche
prochain 24 septembre, mardi 26 septembre et diman-
che 1er octobre.
Il sera prudent de se hâter pour retenir ses places en
LE MONDE ARTISTE
PROVINCE
AiX-les-Bains. — Dans quelques jours la Villa
des Fleurs aura fermé ses portes. Hâtons-nous donc,
avant ea clôture annuelle, de constater les deux succès
■ de sa saison : celui d'Amica, de Mascagni, et surtout
celui des Girondins, de Fernand Le Borne qui prit des
proportions vraiment triomphales. L'oeuvre avait été
donnée une première fois en festival le 14 juillet et, à
la suite de l'effet considérable qu'elle produisit sur
le public, M. Nouzaret, l'excellent directeur général,
eut l'idée de charger son directeur artistique, M. Le-
néka, de monter l'ouvrage, comme à Lyon, avec dé-
cors et costumes. L'enthousiasme des spectateurs et les
recettes réalisées ont dû récompenser largement la di-
rection de ses efforts.
Nous ajouterons que l'interprétation fut de premier
ordre, avec les éminents artistes qui s'appellent,
Mlle Claessens, MM. Verdier, Journet, Mézy, Marié-
Leduc, etc. ; les choeurs de M. Fiori et le remarquable
orchestre de M. Flon.
A la suite de ce succès sans précédent à la Villa des
Fleurs, M. Nouzaret pria M. Fernand Le Borne de con-
duire des fragments d'Hedda, son drame Scandinave
créé à Milan, et cette audition, donnée avec le concours
de Mlle Mary Garnier et de, M. Marié-Leduc, vient de
valoir au jeune compositeur et à ses excellents inter-
prètes, des ovations sans fin. A. B.
Berck. — La soirée de gala donnée au Kursaal, au
bénéfice du directeur artistique de cet établissement, a
obtenu un très vif succès. On a applaudi l'excellent
orchestre. A citer parmi les artistes : Mlle Saraï, déli-
cieuse dans les Heures de la femme et les Agés du jour,
de MM. Guillaume Livet et Emile Bonnamy, dans les-
quels elle a montré autant de grâce que de talent.
Voilà une soirée inoubliable. B. K.
Concarneau. — La fête des " Filets bleus »,
donnée au profit des pêcheurs de sardines, a obtenu le
plus vif succès.
Les efforts de MM. Billette de Villeroche, le baron
de Cambourg, Henri Bonduelle, le comte de Marsy, qui
furent les organisateurs zélés de cette oeuvre de cha-
rité, ont abouti à un résultat merveilleux.
La représentation théâtrale fut particulièrement bril-
lante, grâce au concours de M. Bondelle, de M. Habert,
de Mme Cravoisier, de M. de Oambourg, enfin de
Mlle Dérigny, dans la Jasante, de Jehan Rictus.
C. U.
Evian. — M. Miranne, le très remarquable chef
d'orchestre du Casino, vient de clôturer la série de ses
beaux concerts symphoniques, après avoir fait tour à
tour applaudir des oeuvres de Guy Ropartz, de Georges
Sporck, un Prélude symphonique et une Circassienne, de
M. André Gresse ; une charmante suite d'orchestre, Ja-
bots et Dentelles, de M. Oharles Guvillier, sans préjudice
d'importants fragments wagnériens, dirigés toujours
avec une incontestable maîtrise. E. N.
La Mothe-Saint-Héray. — Le Théâtre popu-
laire poitevin vient de donner à La Mothe-Saint-Héray
ses représentations annuelles, sous la présidence de
M. Chérou, chef de cabinet du sous-secrétaire d'Etat
aux Beaux-Arte.
On a joué une comédie en quatre actes, en prose, de
M. Corneille, intitulée les Yeux jaunes; une tragédie,
en trois actes, en vers, Par la clémence, également de
M. Corneille, avec une importante partie musicale de
M. Louis Giraudias, et un acte, en prose, de M. H.
Martin, Maître Chabiron.
Le succès a été extrêmement vif.
Ces pièces, de genres tout à fait différents avaient
attiré dans la jolie cité poitevine un public énorme,
parmi lequel se trouvaient de nombreux Parisiens.
La comédie les Yeux jaunes, représentée dimanche
soir, dans un décor exquis, brossé par M. André Girau-
dias, et très heureusement planté dans le cadre déli
cieux de rochers et de verdure que l'illustration a popu-
larisé, met en scène une anecdote simple et touchante :
Une jeune fille fait un héritage; tous les coureurs de
dot du pays se ruent à l'assaut de cette fortune ; seul
l'homme qu'elle aime et qui allait se déclarer, hésite au
contraire à le faire, parce qu'il craint d'être soupçonné
de bas calcul.
La jeune fille voit cette hésitation, et apprend en
même temps que cette fortune a une origine suspecte ;
elle n'hésite pas à se dépouiller et à redevenir pauvre,
pour faire cesser les scrupules de son amoureux.
Admirablement jouée par la troupe ordinaire du
Théâtre populaire .poitevin, la pièce a beaucoup plu.
Le lever de rideau, Maître Chabiron, met aux prises
un malin paysan et un avoué peu scrupuleux, qui
donne ses conseils successivement aux deux parties
adverses dans une même cause. Bien entendu, la ruse
du paysan réduit à néant les combinaisons de l'homme
d'affaires.
L'interprétation de cette scène fort amusante, bien
conduite et écrite en grande partie en patois du pays, a
été excellente. .
La tragédie Par la clémence, donnée le lundi, est une
reprise ; elle a déjà été jouée à La Mothe il y a six ans,
et tout récemment à Royan, au cours des représenta-
tions données aux arènes de Vallières, par le Théâtre
poitevin.
Un public aussi nombreux que la veille a chaude-
ment applaudi les beaux vers de M. Corneille et la
musique si intéressante de M. Louis Giraudias.
Il y a, entre autres choses, dans la partition, un
cantique dans le style ancien, des versets d'un psaume
avec faux-bourdons et une chanson des fileuses, qui
sont absolument remarquables d'inspiration et de fac-
ture.
Ces représentations clôturent dignement la série des
spectacles en plein air qui furent si nombreux cet été,
mais dont aucun peut-être n'est aussi original que ceux
organisés depuis dix ans, en Poitou, avec un succès
toujours croissant, par M. Corneille et ses collabora-
teurs. X.
Lyon. — M. Broussan, directeur du Grand-Théâtre
municipal, vient de composer sa troupe, pour la saison
1905-1906, d'une façon fort brillante : il s'est assuré le
concours de Mmes Félia Litvinne, Janssen et Merey, en
représentations, de MM. Jérôme, Verdier, Geyre, Sarpe
(ténors), Dangès, Moor, Delpret (barytons), Galinier,
Lafont (basses) ; de Mmes A. Baron, Pierrick, Nimidoff,
Bernard, Rigaud, Helken (soprani), Doria, Eobis,
Bambaud (mezzo-soprani).
Le répertoire comprendra Gwendoline, du regretté.
Ohabrier, Tristan et Isolde, Siegfried, Siberia, La Tosca.
Enfin, trois opéras nouveaux seront créés à Lyon :
Armor de M. Silvio Lazzari, Tiphaine de M. Neuville
et le Bonheur des Vieux, de notre excellent collabora-
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Nancy. — En présence de l'affluence énorme qui
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