Titre : Jean Diable
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1863-01-03
Contributeur : Féval, Paul (1816-1887). Collaborateur
Contributeur : Banville, Théodore de (1823-1891). Collaborateur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32795571t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 1168 Nombre total de vues : 1168
Description : 03 janvier 1863 03 janvier 1863
Description : 1863/01/03 (A1,N6). 1863/01/03 (A1,N6).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5443839m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-1097
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2008
92
JEAN DIABLE
satisfactions plus nobles dans le mariage? Quand, pour une
somme modique, vous pouvez vous procurer une nourriture
abondante et saine chez les divers fournisseurs du quartier,
quelle fringale vous pousse à débiter vos conjoints comme
un vil bétail, destiné à cet usage?
Nous espérous que la révélation de pareils faits suffira
pour y mettre un terme. Si les excès auxquels nous fai-
sons allusion se reproduisaient, notre devoir serait de li-
vrer les cannibalesses au mépris éclairé de leurs contem-
porains.
L'envie, chez les dames qui ont germé, se produit, du reste,
sous des formes encore plus bizarres, quoique moins blâ-
mables au point de vue social. M. P.-J. Proudhon, célèbre
publiciste, a été poursuivi longtemps par une jeune mère
qui voulait le dorer. Elle n'était pas folle. Dans l'intervalle
de ses grossesses, elle préférait d'autres objets d'art; mais,
dés que la bénédiction était tombée sur ses entrailles, elle
étudiait le procédé Ruolz et menaçait l'illustre auteur des
antinomies d'une violente galvanisation.
Madame Gha...., de Versailles, s'habillait en poule et couvait
avec un entêtement qui mit plusieurs fois ses jours en dan-
ger. Elle gloussait tendrement dès qu'elle entendait un coq.
Nous avons, à Paris, la femme d'un employé de l'octroi, qui
mange des culottes de préposés. Dans un louable but d'expé-
rimentation, le docteur Cockerill, Anglais de naissance, mais
Auvergnat par le coeur, crut devoir, un jour, favoriser cette
fantaisie. Elle absorba, sans être incommodée, cinq panta-
lons qui avaient beaucoup servi.
0 nature! tes mystères sont faits pour étonner les pen-
seurs !
J. D.
CHRONIQUE ÉTRANGÈRE
Charles Fechter, le comédien aimé qui a laissé de si beaux
souvenirs dans le public de nos théâtres parisiens, est main-
tenant directeur d'une scène fashionniable, à Londres. Il va
faire lui-même l'ouverture de sa salle {Le Lycoewm) en créant
le rôle de Lagardère, dans le Bossu, adapté aux goûts de la
scène anglaise.
Son fils, Paul Fechter, filleul de Paul Féval et adonné de
bonne heure à la carrière des lettres, s'est engagé vis-à-vis de
Jean Diable à ne jamais le laisser manquer de nouvelles an-
glaises. Nous publions dès aujourd'hui quelques extraits de sa
correspondance.
Londres, Marlborough place, 24 décembre 1862.
« Pas mal et vous, mon parrain ? C'est demain, pour le Chrislmas,
que papa prend possession de son théâtre; nous ouvrons le 10 janvier.
Les loges sont louées d'avance jusqu'à Pâques, el Melingue aura le temps
de venir nous voir, car les bonnes pièces, ici, ont deux mille et trois
cents représentations. Nous avons mis un peu du (ils de Giboym- dans le
Bossu, et le récit de Théramène. Ça va joliment bien ! C'est Cocardasse
Junior qui tue Hippolyte. Phèdre ne parait pas, parce que les dames
d'ici ne plaisantent jamais quand on les regarde. Phèdre est shoking.
Moi, ça m'est égal.
» On joue Dumolard à côté de chez nous. Ce n'est pas shoking parce
que, après avoir fait la cour aux servantes, il les tue; comme ça on voit
bien que ce n'est pas pour la gaudriole. Il y a du beau monde. Au
commencement, Dumolard ne tuait que trois servantes en scène, mais,
à la demande générale, on a porté le nombre à quatre douzaines. Alors,
la pièce a fait courir. On y dit à chaque instant que Dumolard égorge
ainsi les servantes parce que c'est un français, et ça fait joliment rire !
» Vous aurez sans doute entendu parler des garrotteurs, mon par-
rain. On n'ose plus sortir le soir et les hommes de police font tous sem-
blant d'avoir le rhume de cerveau pour rester chez eux. On dit que les
garrotteurs sont commandés par cent Thugs indiens, arrivés tout exprès
du Mysore pour se livrer à ce commerce. Ils sont excessivement adroits,
et les gens qu'ils accostent n'ont pas même le temps de crier : à l'Ir-
landais I
» Aussi, M. Blount que vous avez vu chez nous, va faire fortune. 11 a
inventé une armure pour aller se promener le soir et un pistolet revolver
qui jette du tabac dans les yeux des garrotteurs. Pour 1,500 francs, on
en est quitte. Seulement, le soir où M. Blount a fait l'essai de son ar-
mure et de son revolver, on l'a couché sur le dos dans Park-Lane et on
lui a pris sa bourse. Il est au lit bien malade, mais son armure et son
pistolet se portent bien. Quand papa rentre de son théâtre, il se fait ac-
compagner par vingt-quatre gardes du régent, en costumes. Les Irlan-
dais n'ont pas encore osé l'étrangler.
» Car ce sont bien des Irlandais, allez! Ah! les coquins! comme ils
se montrent ingrats envers cette bonne Angleterre! Toutes les pelures
de pommes de terre, tout le poisson gâté, toutes les viandes malsaines
sont pour eux, les goinfres, et vous ne les voyez jamais contents ! Ils ne
savent que se plaindre ! Ils voudraient qu'on leur rendit leur pays,
possédé par les Anglais. Qu'ils l'achètent, alors, n'est-ce pas, mon par-
rain?
» Depuis qu'ils ont rossé les Garibaldiens dans Hyde-Park, leur inso-
lence ne connaît plus de bornes Sous prétexte qu'ils sont Irlandais,
ils disent que l'Irlande est à eux. Mais voyez si l'Inde est aux Indiens,
l'île de France aux Français, Naples aux Napolitains, la Pologne aux
Polonais, la Hongrie aux Hongrois. Ils disent encore qu'ils ne garrottent
personne et que les Anglais veulent faire payer l'amende aux battus,
mais allez donc les croire ! Menteur comme un Irlandais ! Voilà le pro-
verbe anglais.
» Vous ne sauriez vous imaginer jusqu'où va leur malice. Sa grâce le
duc de D .... s'est cassé la jambe l'autre soir en remontant son esca-
lier. Il n'avait pourtant bu que cinq bouteilles de Porto-Wine. Mais
qu'avaient-ils mis dans le porto ?
» Avant-hier, sa seigneurie, le marquis de Cl a failli mourir
d'apoplexie après avoir mangé vingt-sept douzaines d'huîtres vertes.
Assurément, il fallait qu'ils eussent empoisonné les. huîtres.
» Dickens n'a fait ni une ni deux; il a été s'établira Paris pour éviter
ces malfaiteurs. Pas bête. Je vous prie, mon parrain, de lui faire les
compliments de papa, sans oublier les miens. Quant à vous, croyez aux
sentiments, etc.
PAUL FECHTER, ESQ.
P.-S. Dix heures du soir. — Dans notre propre rue, on vient de re-
lever au milieu d'un tas de boue l'illustre orateur et M. P. (1), sir J. F.
Qui l'avait mis là?les Irlandais! Us lui avaient entonné du sherry de
force, car ce respectable gentleman ressemblait à un homme ivre. C'est
le cinquième depuis huit jours qu'on trouve dans ce même tas de boue
et dans ce même état d'intoxication par le Xérès, savoir : deux rédac-
teurs du Times, un honorable alderman et le vice-président de la société
royale de tempérance. Les peuples de l'Europe devraient se croiser pour
soustraire l'Angleterre à l'oppression des Irlandais !
Notre correspondant Paul Fechter n'a que sept ans. Les lec-
teurs sont priés de ne pas abuser de ces renseignements, four-
nis à l'insu de son père. (Note de la rédaction).
LES QUINZE ARRÊTS DE MINOS
(Suite et fin.)
11
Sans compassion pour ses plaintes déchirantes, il fut — en consé-
quence, — incarcéré au chenil.
Cette injustifiable cruauté nous porta malheur.
La journée fut mauvaise: Ravageot se blessa à une patte; Domino
prétendit avoir la colique; Taboulo se déclara fatigué, et Marteau allé-
gua un rhume de cerveau pour ne point faire son service.
Pour comble, un daguet s'amusa à nous narguer jusque sous les yeux,
mais la feuillée m'empêcha de le tirer.
— Je l'aurais parié, me dit X... en branlant désolément la tête, tan-
dis que nous regagnions— harassés et d'assez méchante humeur — notre
gîte ; je l'aurais parié! on ne peut rien faire sans Minos.
(I) M. P. membre du parlement.
JEAN DIABLE
satisfactions plus nobles dans le mariage? Quand, pour une
somme modique, vous pouvez vous procurer une nourriture
abondante et saine chez les divers fournisseurs du quartier,
quelle fringale vous pousse à débiter vos conjoints comme
un vil bétail, destiné à cet usage?
Nous espérous que la révélation de pareils faits suffira
pour y mettre un terme. Si les excès auxquels nous fai-
sons allusion se reproduisaient, notre devoir serait de li-
vrer les cannibalesses au mépris éclairé de leurs contem-
porains.
L'envie, chez les dames qui ont germé, se produit, du reste,
sous des formes encore plus bizarres, quoique moins blâ-
mables au point de vue social. M. P.-J. Proudhon, célèbre
publiciste, a été poursuivi longtemps par une jeune mère
qui voulait le dorer. Elle n'était pas folle. Dans l'intervalle
de ses grossesses, elle préférait d'autres objets d'art; mais,
dés que la bénédiction était tombée sur ses entrailles, elle
étudiait le procédé Ruolz et menaçait l'illustre auteur des
antinomies d'une violente galvanisation.
Madame Gha...., de Versailles, s'habillait en poule et couvait
avec un entêtement qui mit plusieurs fois ses jours en dan-
ger. Elle gloussait tendrement dès qu'elle entendait un coq.
Nous avons, à Paris, la femme d'un employé de l'octroi, qui
mange des culottes de préposés. Dans un louable but d'expé-
rimentation, le docteur Cockerill, Anglais de naissance, mais
Auvergnat par le coeur, crut devoir, un jour, favoriser cette
fantaisie. Elle absorba, sans être incommodée, cinq panta-
lons qui avaient beaucoup servi.
0 nature! tes mystères sont faits pour étonner les pen-
seurs !
J. D.
CHRONIQUE ÉTRANGÈRE
Charles Fechter, le comédien aimé qui a laissé de si beaux
souvenirs dans le public de nos théâtres parisiens, est main-
tenant directeur d'une scène fashionniable, à Londres. Il va
faire lui-même l'ouverture de sa salle {Le Lycoewm) en créant
le rôle de Lagardère, dans le Bossu, adapté aux goûts de la
scène anglaise.
Son fils, Paul Fechter, filleul de Paul Féval et adonné de
bonne heure à la carrière des lettres, s'est engagé vis-à-vis de
Jean Diable à ne jamais le laisser manquer de nouvelles an-
glaises. Nous publions dès aujourd'hui quelques extraits de sa
correspondance.
Londres, Marlborough place, 24 décembre 1862.
« Pas mal et vous, mon parrain ? C'est demain, pour le Chrislmas,
que papa prend possession de son théâtre; nous ouvrons le 10 janvier.
Les loges sont louées d'avance jusqu'à Pâques, el Melingue aura le temps
de venir nous voir, car les bonnes pièces, ici, ont deux mille et trois
cents représentations. Nous avons mis un peu du (ils de Giboym- dans le
Bossu, et le récit de Théramène. Ça va joliment bien ! C'est Cocardasse
Junior qui tue Hippolyte. Phèdre ne parait pas, parce que les dames
d'ici ne plaisantent jamais quand on les regarde. Phèdre est shoking.
Moi, ça m'est égal.
» On joue Dumolard à côté de chez nous. Ce n'est pas shoking parce
que, après avoir fait la cour aux servantes, il les tue; comme ça on voit
bien que ce n'est pas pour la gaudriole. Il y a du beau monde. Au
commencement, Dumolard ne tuait que trois servantes en scène, mais,
à la demande générale, on a porté le nombre à quatre douzaines. Alors,
la pièce a fait courir. On y dit à chaque instant que Dumolard égorge
ainsi les servantes parce que c'est un français, et ça fait joliment rire !
» Vous aurez sans doute entendu parler des garrotteurs, mon par-
rain. On n'ose plus sortir le soir et les hommes de police font tous sem-
blant d'avoir le rhume de cerveau pour rester chez eux. On dit que les
garrotteurs sont commandés par cent Thugs indiens, arrivés tout exprès
du Mysore pour se livrer à ce commerce. Ils sont excessivement adroits,
et les gens qu'ils accostent n'ont pas même le temps de crier : à l'Ir-
landais I
» Aussi, M. Blount que vous avez vu chez nous, va faire fortune. 11 a
inventé une armure pour aller se promener le soir et un pistolet revolver
qui jette du tabac dans les yeux des garrotteurs. Pour 1,500 francs, on
en est quitte. Seulement, le soir où M. Blount a fait l'essai de son ar-
mure et de son revolver, on l'a couché sur le dos dans Park-Lane et on
lui a pris sa bourse. Il est au lit bien malade, mais son armure et son
pistolet se portent bien. Quand papa rentre de son théâtre, il se fait ac-
compagner par vingt-quatre gardes du régent, en costumes. Les Irlan-
dais n'ont pas encore osé l'étrangler.
» Car ce sont bien des Irlandais, allez! Ah! les coquins! comme ils
se montrent ingrats envers cette bonne Angleterre! Toutes les pelures
de pommes de terre, tout le poisson gâté, toutes les viandes malsaines
sont pour eux, les goinfres, et vous ne les voyez jamais contents ! Ils ne
savent que se plaindre ! Ils voudraient qu'on leur rendit leur pays,
possédé par les Anglais. Qu'ils l'achètent, alors, n'est-ce pas, mon par-
rain?
» Depuis qu'ils ont rossé les Garibaldiens dans Hyde-Park, leur inso-
lence ne connaît plus de bornes Sous prétexte qu'ils sont Irlandais,
ils disent que l'Irlande est à eux. Mais voyez si l'Inde est aux Indiens,
l'île de France aux Français, Naples aux Napolitains, la Pologne aux
Polonais, la Hongrie aux Hongrois. Ils disent encore qu'ils ne garrottent
personne et que les Anglais veulent faire payer l'amende aux battus,
mais allez donc les croire ! Menteur comme un Irlandais ! Voilà le pro-
verbe anglais.
» Vous ne sauriez vous imaginer jusqu'où va leur malice. Sa grâce le
duc de D .... s'est cassé la jambe l'autre soir en remontant son esca-
lier. Il n'avait pourtant bu que cinq bouteilles de Porto-Wine. Mais
qu'avaient-ils mis dans le porto ?
» Avant-hier, sa seigneurie, le marquis de Cl a failli mourir
d'apoplexie après avoir mangé vingt-sept douzaines d'huîtres vertes.
Assurément, il fallait qu'ils eussent empoisonné les. huîtres.
» Dickens n'a fait ni une ni deux; il a été s'établira Paris pour éviter
ces malfaiteurs. Pas bête. Je vous prie, mon parrain, de lui faire les
compliments de papa, sans oublier les miens. Quant à vous, croyez aux
sentiments, etc.
PAUL FECHTER, ESQ.
P.-S. Dix heures du soir. — Dans notre propre rue, on vient de re-
lever au milieu d'un tas de boue l'illustre orateur et M. P. (1), sir J. F.
Qui l'avait mis là?les Irlandais! Us lui avaient entonné du sherry de
force, car ce respectable gentleman ressemblait à un homme ivre. C'est
le cinquième depuis huit jours qu'on trouve dans ce même tas de boue
et dans ce même état d'intoxication par le Xérès, savoir : deux rédac-
teurs du Times, un honorable alderman et le vice-président de la société
royale de tempérance. Les peuples de l'Europe devraient se croiser pour
soustraire l'Angleterre à l'oppression des Irlandais !
Notre correspondant Paul Fechter n'a que sept ans. Les lec-
teurs sont priés de ne pas abuser de ces renseignements, four-
nis à l'insu de son père. (Note de la rédaction).
LES QUINZE ARRÊTS DE MINOS
(Suite et fin.)
11
Sans compassion pour ses plaintes déchirantes, il fut — en consé-
quence, — incarcéré au chenil.
Cette injustifiable cruauté nous porta malheur.
La journée fut mauvaise: Ravageot se blessa à une patte; Domino
prétendit avoir la colique; Taboulo se déclara fatigué, et Marteau allé-
gua un rhume de cerveau pour ne point faire son service.
Pour comble, un daguet s'amusa à nous narguer jusque sous les yeux,
mais la feuillée m'empêcha de le tirer.
— Je l'aurais parié, me dit X... en branlant désolément la tête, tan-
dis que nous regagnions— harassés et d'assez méchante humeur — notre
gîte ; je l'aurais parié! on ne peut rien faire sans Minos.
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