Titre : Le Foyer : industrie, littérature, théâtre / propriétaire gérant : Lescuyer fils
Éditeur : Lescuyer fils (Paris)
Date d'édition : 1865-10-26
Contributeur : Lemercier de Neuville, Louis (1830-1918). Directeur de publication
Contributeur : Cochinat, Victor (1819-1886). Directeur de publication
Contributeur : Baralle, Alphonse. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32776890r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 666 Nombre total de vues : 666
Description : 26 octobre 1865 26 octobre 1865
Description : 1865/10/26 (A8,N9). 1865/10/26 (A8,N9).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5437078x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-964
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/09/2008
LE FOYER
xv
LES CARAVANES DE THÉODORE.
Après cette farce fortement épicée, dont des ours et des tigres Tenaient
d'être les dindons, le futur sociétaire ne pouvait espérer faire h la banlieue
quelque chose de plus complet.
Aussi, déposant au vestiaire son nom de Théodore et sa peau de quadru-
mane, mais n'en conservant pas moins l'agilité du chimpanzé, il descendît
la butte Montmartre en faisant la culbute, roula jusqu'à Calais, traversa le
détroit d'un seul bond et tomba, frais et dispos, à Londres, ou l'appelait
un engagement au théâtre français de l'endroit.
Perlet, qui s'y trouvait alors, fut enchanté de ses dispositions, et répéta
les mêmes paroles que Michelot.
Six mois après, Bressant signait un autre engagement, mais pour Paris,
cette fois, aux Variétés. Armand Dartois régnante.
Là, il végéta assez longtemps.
Mais Vernet vint à tomber malade, et la Prima Donna d'Achille Dartois
et Saint-Georges, que l'on jouait depuis le 26 novembre 1832, se trouva for-
cément interrompue.
Jenny Colon avait, dans cette pièce, un succès colossal, et généralement
on n'aime pas, au théâtre, à voir interrompre un ouvrage dans lequel on a
beaucoup de succès. Elle se rappela avoir vu jouer Bressant à Londres, et
elle lui fit donner le rôle de Beppo.
À compter de ce soir-là, la fortune de notre héros était faite.
Il obtint un véritable triomphe, et, séance tenante, Dartois lui signa un
second engagement.
Le prince de Galles, dans le Kean, de Dumas (31 août 1836), l'amoureux,
dans VÉpée de mon père, vaudeville de Desnoyer et Davrecourt (21 oc-
tobre 1836), le Chevalier d'Eon, de Bayard et Dumanoir (23 janvier 1837),
et quelques autres créations plus ou moins importantes, finirent par asseoir
tout à fait sa réputation.
Mais ce diable de Bressant avait du vif argent dans les jambes.
Il se souvenait évidemment de son ancien métier de saute-ruisseau, et,
un beau matin, il disparut du Théâtre des Variétés, et s'élança sans crier
gare vers l'empire moscovite.
Ceci se passait vers la fin de 1839.
En Russie, il fut littéralement adoré.
Les Boyards le trouvaient charmant, et mesdames leurs épouses étaient
. complètement de leur avis.
Pendant sept ans, Bressant resta à Saint Péterbourg ; mais son éternelle
rage de promenades lui remontant au cerveau, il fit ses malles et dit adieu
à la ville de Pierre-Ie-Grand.
Cette nouvelle fugue lui coûta la bagatelle de 16,000 francs, qu'il fut
obligé de payer à Son Excellence M. Guédéonoff, maître des cérémonies,
chambellan de Sa Majesté impériale, conseiller d'Etat, chevalier de plusieurs
ordres et directeur général des théâtres impériaux dé Saint-Pétersbourg.
Ce que voyant, l'administration des Variétés profita de l'occasion pour
réclamer a son ex-pensionnaire 20,000 francs de dommages intérêts pour
son escapade d'autrefois.
A Paris, ce fut un long cri de joie quand le fugitif fut de retour.
Bressant compte autant d'amis que de connaissances. Les poignées de main
lui pleuvaient de tous côtés, et le nombre de veaux gras qui furent occis.en
son honneur est incalculable.
C'était à qui fêterait l'acteur prodigue.
Le Gymnase, tenant à le fêter plus complètement que les autres, l'acca-
para bel et bien pour la modique somme de 25,000 livres par an, et le fit
débuter dans Georges et Marie.
Depuis, Clarisse Harloive, Manon Lescaut, Brutus, lâche César! le Fils
de Famille, le Piano de Berthe, Diviser pour régner, Diane de Lys, furent
pour Bressant autant de succès, mais de vrais succès, et non pas de ces
petits triomphes de contrebande qui ne trompent après tout que les imbé-
ciles.
La Russie revint alors à la charge et fit offrir au pensionnaire de M. Mon-
tigny 70,000 francs par an et deux mois de congé.
Bressant préféra entrer à la Comédie-Française avec le titre de sociétaire
et 18,000 francs d'appointements.
Le 6 février 1854, il y débutait dans les Femmes savantes et un petit
vaudeville de Scribe : Mon Étoile, vaudeville sans couplets bien entendu, cet
accessoire étant prohibé dans la maison de Molière.
Et c'est là un grand malheur pour Bressant, qui chanté d'une façon char-
mante.
Après çà, me direz-vous, le chant ne fait pas le bonheur. C'est aussi ce que
pense Bressant, qui ne se plaint nullement de son sort, et qui, véritable nu-
méro deux du héros de Voltaire, passe sa vie à trouver que tout est pour le
mieux dans le meilleur des mondes possibles.
Quand il joue, il est enchanté de jouer ; quand il ne joue pas, il est en-
chanté de ne pas jouer.
Si on lui distribue un rôle, il l'accepte avec joie ; si on le distribue à un
autre, il en est ravi.
Dans le commencement, il eut à subir quelque froideur de la part de ses
nouveaux camarades ; mais, quand on le connut, toute froideur disparut.
Du reste, il onbliait aisément les mauvaises humeurs des grincheux de
l'endroit, en faisant de la gymnastique comme en son enfance, non plus dans
dans les tours de Notre-Dame, toutefois, mais dans son jardin de Passy, où
il avait planté un gymnase qu'il arrosait de ses sueurs et qui poussait comme
un champignon.
Du matin au soir, il faisait le trapèze, grimpait après des perches, soule-
vait des haltères d'un poids écrasant, et se confectionnait de la sorte un biceps
de première catégorie.
Pour venir au Théâtre-Français, ne croyez pas au moins qu'il prenne la
moindre voiture ou le plus simple wagon. Son, certes, toujours à pied il fait
le trajet de Passy à Paris et de Paris à Passy.
Sur la route, s'il rencontre un ami, il lui passe la jambe avec un laisser-
aller tout à fait régence.
C'est son tic, sa manie, son hanneton.
Il faut qu'il passe la jambe à tout le monde... Le sexe n'y fait rien.
Ce n'est pas par méchanceté, non ; c'est plus fort que lui. C'est sa santé .r
Léon BEABVALLET.
Reproduction interdite.
(La mite au prochain numéro.')
CONCERTS
Audition des nouveaux instruments SkX, à 6 pistons st à
tubes indépendants.
Nous avons assisté dernièrement à une audition des nouveaux instruments SAX à
six pistons et à tubes indépendants, sur la sonorité desquels nous avons fait quel-
ques observations, dont nous présentons le résumé ci-dessous:
Ces nouveaux instruments ont principalement pour but de reproduire, surtout
dans les sons graves, les longueurs voulues selon la tonalité, et par conséquent ils
donnent une plus grande justesse de sons dans toute l'étendue de l'instrument.
En ce qui concerne les trombones, il est incontestable qu'il doit résulter de ce
nouveau système une plus grande facilité d'exécution, puisque les différentes posi-
tions de la coulisse se trouvent sous les doigts de l'exécutant, au lieu d'exiger un
mouvement du bras.
Trompette-Sax. — Nous avons entendu la nouvelle trompette-Sax dans une fan-
taisie sur Boberl le Diable. — Dans ce morceau le trompette à tubes indépen-
dants parcourt avec une égale facilité toutes les tonalités de la gamme, en conser-
vant le timbre guerrier de l'ancienne trompette qui ne peut produire que quelques
notes de la gamme dans un ton toujours le môme. *
Trombone ténor et nouveau Saxhorn-basse. — Nous avons aussi entendu ces
deux instruments dans le ch oeur de moines des Robert le Diable, dont la mélodie
se trouve doublée à l'octave grave par le nouveau Saxhorn contre-basse en s» bé-
mol qui maintient aux timbres toutes leur justesse et toute leur homogénéité.
Saxophone-alto. — Cet instrument est adopté en double quatuor dans nos mu-
siques militaires.
Trompettes, Trombones, Saxhorn-basse et Saxhorn-Conlre-basse. — Dans la
marche que nous avons entendu exécuter, ces instruments mettent bien en relief
la rondeur, la profondeur et la puissance de sonorité de leurs organes.
Trompettes, Trombones, Saxhorn-basse et Saxhom-Conlre-basse. — Ces ins-
truments démontrent que les traits chromatiques les plus agiles et jusqu'au trémolo
sont désormais du domaine des instruments de cuivre. Tous ces perfectionnements
toutes ces découvertes, font nécessairement faire un pas à l'art musicai, et permet-
tent aux compositeurs d'écrire plus largement et de produire des effets nouveaux.
Ferdinand SQHIOSSER.
GRAND THEATRE PARISIEN
La saison d'automne en rafraîchissant la température et racourcissant les jours"
contraint nos citadins à ne plus aller demander à la compagnie l'emploi de leur
dimanche.
C'est dans l'enceinte de Paris même que le plus grand nombre devra chercher
désormais ses distractions dominicales. Au nombre de celles qui peuvent charmer le
public pendant le long hiver dans lequel nous allons entrer, nous sommes heureux
xv
LES CARAVANES DE THÉODORE.
Après cette farce fortement épicée, dont des ours et des tigres Tenaient
d'être les dindons, le futur sociétaire ne pouvait espérer faire h la banlieue
quelque chose de plus complet.
Aussi, déposant au vestiaire son nom de Théodore et sa peau de quadru-
mane, mais n'en conservant pas moins l'agilité du chimpanzé, il descendît
la butte Montmartre en faisant la culbute, roula jusqu'à Calais, traversa le
détroit d'un seul bond et tomba, frais et dispos, à Londres, ou l'appelait
un engagement au théâtre français de l'endroit.
Perlet, qui s'y trouvait alors, fut enchanté de ses dispositions, et répéta
les mêmes paroles que Michelot.
Six mois après, Bressant signait un autre engagement, mais pour Paris,
cette fois, aux Variétés. Armand Dartois régnante.
Là, il végéta assez longtemps.
Mais Vernet vint à tomber malade, et la Prima Donna d'Achille Dartois
et Saint-Georges, que l'on jouait depuis le 26 novembre 1832, se trouva for-
cément interrompue.
Jenny Colon avait, dans cette pièce, un succès colossal, et généralement
on n'aime pas, au théâtre, à voir interrompre un ouvrage dans lequel on a
beaucoup de succès. Elle se rappela avoir vu jouer Bressant à Londres, et
elle lui fit donner le rôle de Beppo.
À compter de ce soir-là, la fortune de notre héros était faite.
Il obtint un véritable triomphe, et, séance tenante, Dartois lui signa un
second engagement.
Le prince de Galles, dans le Kean, de Dumas (31 août 1836), l'amoureux,
dans VÉpée de mon père, vaudeville de Desnoyer et Davrecourt (21 oc-
tobre 1836), le Chevalier d'Eon, de Bayard et Dumanoir (23 janvier 1837),
et quelques autres créations plus ou moins importantes, finirent par asseoir
tout à fait sa réputation.
Mais ce diable de Bressant avait du vif argent dans les jambes.
Il se souvenait évidemment de son ancien métier de saute-ruisseau, et,
un beau matin, il disparut du Théâtre des Variétés, et s'élança sans crier
gare vers l'empire moscovite.
Ceci se passait vers la fin de 1839.
En Russie, il fut littéralement adoré.
Les Boyards le trouvaient charmant, et mesdames leurs épouses étaient
. complètement de leur avis.
Pendant sept ans, Bressant resta à Saint Péterbourg ; mais son éternelle
rage de promenades lui remontant au cerveau, il fit ses malles et dit adieu
à la ville de Pierre-Ie-Grand.
Cette nouvelle fugue lui coûta la bagatelle de 16,000 francs, qu'il fut
obligé de payer à Son Excellence M. Guédéonoff, maître des cérémonies,
chambellan de Sa Majesté impériale, conseiller d'Etat, chevalier de plusieurs
ordres et directeur général des théâtres impériaux dé Saint-Pétersbourg.
Ce que voyant, l'administration des Variétés profita de l'occasion pour
réclamer a son ex-pensionnaire 20,000 francs de dommages intérêts pour
son escapade d'autrefois.
A Paris, ce fut un long cri de joie quand le fugitif fut de retour.
Bressant compte autant d'amis que de connaissances. Les poignées de main
lui pleuvaient de tous côtés, et le nombre de veaux gras qui furent occis.en
son honneur est incalculable.
C'était à qui fêterait l'acteur prodigue.
Le Gymnase, tenant à le fêter plus complètement que les autres, l'acca-
para bel et bien pour la modique somme de 25,000 livres par an, et le fit
débuter dans Georges et Marie.
Depuis, Clarisse Harloive, Manon Lescaut, Brutus, lâche César! le Fils
de Famille, le Piano de Berthe, Diviser pour régner, Diane de Lys, furent
pour Bressant autant de succès, mais de vrais succès, et non pas de ces
petits triomphes de contrebande qui ne trompent après tout que les imbé-
ciles.
La Russie revint alors à la charge et fit offrir au pensionnaire de M. Mon-
tigny 70,000 francs par an et deux mois de congé.
Bressant préféra entrer à la Comédie-Française avec le titre de sociétaire
et 18,000 francs d'appointements.
Le 6 février 1854, il y débutait dans les Femmes savantes et un petit
vaudeville de Scribe : Mon Étoile, vaudeville sans couplets bien entendu, cet
accessoire étant prohibé dans la maison de Molière.
Et c'est là un grand malheur pour Bressant, qui chanté d'une façon char-
mante.
Après çà, me direz-vous, le chant ne fait pas le bonheur. C'est aussi ce que
pense Bressant, qui ne se plaint nullement de son sort, et qui, véritable nu-
méro deux du héros de Voltaire, passe sa vie à trouver que tout est pour le
mieux dans le meilleur des mondes possibles.
Quand il joue, il est enchanté de jouer ; quand il ne joue pas, il est en-
chanté de ne pas jouer.
Si on lui distribue un rôle, il l'accepte avec joie ; si on le distribue à un
autre, il en est ravi.
Dans le commencement, il eut à subir quelque froideur de la part de ses
nouveaux camarades ; mais, quand on le connut, toute froideur disparut.
Du reste, il onbliait aisément les mauvaises humeurs des grincheux de
l'endroit, en faisant de la gymnastique comme en son enfance, non plus dans
dans les tours de Notre-Dame, toutefois, mais dans son jardin de Passy, où
il avait planté un gymnase qu'il arrosait de ses sueurs et qui poussait comme
un champignon.
Du matin au soir, il faisait le trapèze, grimpait après des perches, soule-
vait des haltères d'un poids écrasant, et se confectionnait de la sorte un biceps
de première catégorie.
Pour venir au Théâtre-Français, ne croyez pas au moins qu'il prenne la
moindre voiture ou le plus simple wagon. Son, certes, toujours à pied il fait
le trajet de Passy à Paris et de Paris à Passy.
Sur la route, s'il rencontre un ami, il lui passe la jambe avec un laisser-
aller tout à fait régence.
C'est son tic, sa manie, son hanneton.
Il faut qu'il passe la jambe à tout le monde... Le sexe n'y fait rien.
Ce n'est pas par méchanceté, non ; c'est plus fort que lui. C'est sa santé .r
Léon BEABVALLET.
Reproduction interdite.
(La mite au prochain numéro.')
CONCERTS
Audition des nouveaux instruments SkX, à 6 pistons st à
tubes indépendants.
Nous avons assisté dernièrement à une audition des nouveaux instruments SAX à
six pistons et à tubes indépendants, sur la sonorité desquels nous avons fait quel-
ques observations, dont nous présentons le résumé ci-dessous:
Ces nouveaux instruments ont principalement pour but de reproduire, surtout
dans les sons graves, les longueurs voulues selon la tonalité, et par conséquent ils
donnent une plus grande justesse de sons dans toute l'étendue de l'instrument.
En ce qui concerne les trombones, il est incontestable qu'il doit résulter de ce
nouveau système une plus grande facilité d'exécution, puisque les différentes posi-
tions de la coulisse se trouvent sous les doigts de l'exécutant, au lieu d'exiger un
mouvement du bras.
Trompette-Sax. — Nous avons entendu la nouvelle trompette-Sax dans une fan-
taisie sur Boberl le Diable. — Dans ce morceau le trompette à tubes indépen-
dants parcourt avec une égale facilité toutes les tonalités de la gamme, en conser-
vant le timbre guerrier de l'ancienne trompette qui ne peut produire que quelques
notes de la gamme dans un ton toujours le môme. *
Trombone ténor et nouveau Saxhorn-basse. — Nous avons aussi entendu ces
deux instruments dans le ch oeur de moines des Robert le Diable, dont la mélodie
se trouve doublée à l'octave grave par le nouveau Saxhorn contre-basse en s» bé-
mol qui maintient aux timbres toutes leur justesse et toute leur homogénéité.
Saxophone-alto. — Cet instrument est adopté en double quatuor dans nos mu-
siques militaires.
Trompettes, Trombones, Saxhorn-basse et Saxhorn-Conlre-basse. — Dans la
marche que nous avons entendu exécuter, ces instruments mettent bien en relief
la rondeur, la profondeur et la puissance de sonorité de leurs organes.
Trompettes, Trombones, Saxhorn-basse et Saxhom-Conlre-basse. — Ces ins-
truments démontrent que les traits chromatiques les plus agiles et jusqu'au trémolo
sont désormais du domaine des instruments de cuivre. Tous ces perfectionnements
toutes ces découvertes, font nécessairement faire un pas à l'art musicai, et permet-
tent aux compositeurs d'écrire plus largement et de produire des effets nouveaux.
Ferdinand SQHIOSSER.
GRAND THEATRE PARISIEN
La saison d'automne en rafraîchissant la température et racourcissant les jours"
contraint nos citadins à ne plus aller demander à la compagnie l'emploi de leur
dimanche.
C'est dans l'enceinte de Paris même que le plus grand nombre devra chercher
désormais ses distractions dominicales. Au nombre de celles qui peuvent charmer le
public pendant le long hiver dans lequel nous allons entrer, nous sommes heureux
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96.89%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96.89%.
- Auteurs similaires Bibliographie de la presse française politique et d'information générale Bibliographie de la presse française politique et d'information générale /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BIPFPIG00"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 5/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k5437078x/f5.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k5437078x/f5.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k5437078x/f5.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k5437078x/f5.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k5437078x
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k5437078x
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k5437078x/f5.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest