Titre : L'Avenir d'Arcachon : organe des intérêts politiques, industriels et maritimes de la contrée ["puis" Journal des intérêts balnéaires, industriels et maritimes de la contrée. Organe spécial d'ostréiculture]
Éditeur : [s.n.] (Arcachon)
Date d'édition : 1912-09-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327080521
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 9681 Nombre total de vues : 9681
Description : 29 septembre 1912 29 septembre 1912
Description : 1912/09/29 (A56,N3122). 1912/09/29 (A56,N3122).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5431726r
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-11512
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/12/2008
\o\v à la 4m,page la Mate des Btran- *
* Sers en résidence. c
Cette liste est tenue à jour aussi exac- f
tement que possible. Nous prions nos ^
lecteurs de nous signaler les omissions
ou les erreurs- c
LA VIE CHÈRE \
(
Le problème de la Vie Chère est 1
toujours à l'état aigu.
La '• Ligue de Dôfeuse des Consomma- (
leurs", dont le siège est 71, cours de la j
Martinique, à Bordeaux, qui compte j
3.000 adhérents, qui a réuni GO.000 si- '
gnatures protestant contre 1RS Bmende- ' (
ments Berry et Néron, el 30 sections x
dans le Sud-Ouest, a tenu le 12 sepleru- ; |
bre 1912, sous la présidence de M Vi-
gneau, ancien conseiller municipal de
Bordeaux, une réunion dout on doit J ,
retenir l'ordre du jour. j
Alon» que partout en Frauce les Cham- j
bres de Commerce, les Associalions in- j
dustrielleB et commerciales s'occupent i
de mettre un terme au renchérissement :
de la rie, que le gouvernement s'occupe j
de cette question d'impérieux intérêt j
national, il s'est trouvé deux députés, j
MM. Georges Berry et Néron, qui ont i
cru trouver une solution en déclarant |
la guerre aux Grands Magasins et en j
proposant l'augmentation do leur pa- ;
tente.
Une augmentation des patentes, pro-
cédé grossier qui consiste à offrir un
aliment de plus à l'appétit insatiable du
fisc et à la boulimie du budget, est un
leurre pour le consommateur, comme
l'eut été, pour la classe ouvrière, l'im-
pôt sur 1* revenu. !
Grossir l'impôt, n'est pas le moyen de
rôdnire là cherté de la vie, mais la cer- \
Utude de l'accroître.
L'Etat, la Commune, qui ont des be- •
soins illimités, demandent inlassable- ;
menl l'augmentation de l'impôt; mais
le public qui est consommateur, a inlé- :
rôt à leur faire une implacable opposi- ;
tion de résistance. \
Voici l'ordre du jour voté par la " Li- j
gue de Défense des Consommateurs" : j
« Considérant que les produits de pre- j
mière nécessité tels que sucre, café, ;
pétrole, blé, etc., sont grevés de droits ':
de douane exorbitants ; i
» Considérant que les droits d'octroi j
augmentent encore dans les villes le !
coût des denrées de p> einière nécessité : !
» Considérant que les patentes qui j
surchargent les commerçants sont, en \
réalité, supportées par les consomma- j
teurs ; |
» Considérant que les amendements a
la loi de finance du budget de 1913 dé-
posés par MM. Berry et Néron sont 3ans
avantage po..r li rôtit commerce, tout
en frappant 1rs maisons d'une certaine
importance, sociétés coopératives, or-
ganisations ouvrières de consommation;
» Considérant que ces amendements
auraient pour etïet immédiat d'aggraver
la situation si difficile des ouvriers, des
employés, des petits fonctionnaires,
c'est-à-dire de la partie vraiment inté-
ressante des consommateurs :
» Emettent les voeux suivants ;
» 1° Que le Parlement mette à l'étude
et réalise a bref délai la réforme des
tarifs douaniers dans un sens plus favo-
rable à la masse des consommateurs ;
«2° Que les taxes d'octroi ahVrenles
avx produits de première nécessité
«oient abolies ou tout au moins dimi-
nuées ;
» 3° Que lo crédit à court el long
terme, pour le petit el moyen commor-
ce,|soit organisé par les législateurs ;
» 4° Qu'aucune charge fiscale supplé-
îenlaire ne soit imposée au commerce
u à l'industrie, et notamment que les
mendemenls Berry et Néron au budget
913, concernant les patentas, soient
éfinilivement rejelôs. »
— Nous ajoutons, en ce qui nous
oncerne :
« Cousidôrant que les maires de tou-
es les municipalités importantes ne
herchent qu'à accroître indéfiniment
as recettes du budget municipal ; j
» Considérant que les municipalités
ni recours aux emprunts el à un crédit
iresque illimité, grâce aux autorisations
iréfectora'.es ;
» Considérant qu'un des moyens de
jrossir le budget communal consiste a
lUgmenlei'les taxes d'octroi, les patèn-
es, les droits de placage el de marché ;
» Emettons le voeu :
« Que lojte nouvelle taxe d'oclroi, de ]
)»tentes, ou emprunt nouveau votés
jar un Conseil municipal ; toute décision \
idministralive locale touchant à la libre j
concurrence commerciale, soient de
ilus, et annuellement, soumis à un re- :
'erendum. »
E. G.
g-Bpi i
!
I
— i
Gabiiele d'Annunzio, le " Dante" mo- '
ierne, dans sa villa d'Arcachon-Moul-
oau, aux meubles de bon goût, aux
;enluros d'un verl leudre, travaille sa
JocoJide el un roman sur Arcachon.
L'an dernier, lors du recensement de
la population, sou secrétaire lui pré- \
senta la feuillu à remplir.
— Si je ne me donnais que 46 aust
fil le poète. j
— Mais il faut que votre date de nais- ;
sauce concorde avec l'âge que vous :
donnerez I
— Ah mon dieu, reprit d'Annunzio, !
que de complications dans la vie 1 i
Ces temps derniers son médecin, j
après avoir sigué une ordonnance ba-
nale, lui demanda -.
— Puis-je emporter ce porte-plume
qui a écrit vos sublimes chants patrioti- '
ques? j
— C'est inutile, répondit le doux Ga-
briele, c'est lo porte-plume de la cuisi-
nière et de la blanchisseuse ; quant aux ,
porte-plumes qui écrivent mes chefs- \
d'oeuvres, je les garde avec uu soin ja- ;
loux. |
Bon cavalier, d'Annunzio suit les j
chasses à courre d'hiver, et est un assi- |
du des couverts ola^siques; il aime les j
lévriers comme Alphonse de Lamartine, j
Par une belle nuit d'été, quand les \
éioiles scintillent dans un ciel pur, le j
poète, étudiant sans doute une mise eu ]
scène, a fait placer une embarcation j
sur les allées sableuses de son jardin, j
A la poupe, flambe uu feu de résine de j
pins dont les lueurs rougeâtres écla-
boussent les ténèbres, tandis qu'au mi-
lieu de la barque, armé d'une fouenne
de poche qui semble le trident de Nep-
tune, lo dramatique auteur varie des
poses sculpturales, inspiratrices de quel-
que intrigue émouvante el passionnée,
qu'inspire son imagination de génie.
Nous remercions la Gazttle des
Eaux, 66, rue de Vaugirard, à Paris,
d'avoir reproduit in-extenso notre arti-
cle sur la Société Scientifique d'Arca-
chon.
— M. Girardot, propriétaire de la villa
" Les Algues ", nous a quille ces jours-
ci et est retourné en sa villa " Royale"
à Nice.
— A lire la Revue des. Français,
>6, rue de l'Université, Paris; 1 franc |
e numéro. i
Parmi les articles A citer : " L'In- |
lueuce des idées de Tolstoï ", par Ju- i
iette Adam, et "L'Achèvement du
jaual de Panama", par des Chaumes.
Parmi les gravures : le grand duc
Wcôls-wileh, le Tennis do Versailles, !
Houlaïd Hafid en vacances, le général j
îooth, un Caïd au Maroc, la Mine de \
jlarens. I
■-• Mercredi 25, a été célébré, en l'é- j
jlise cathédrale St-Louis de Versailles, {
e mariage du baron Jacques de Leusse !
le Syon, (ils du baron el de la baronne \
le Leusso de Syon. demeurant au châ- i
.eau des Côle-^-d'Arey (Isère), avec Mlle
Camille Feray, fille de la b>:onneFe- ■
ray, née Mallel, et nièce de la comtesse j
le Fayé, née de Boisguilb°rl. La béné- ;
diction nupliale a été donnée par Mgr i
ie la Porte, évoque élu du Mans, ancieu ;
supérieur du grand séminaire à Ver-
sailles.
— Ou sait que le Touriug-'Jlub fait des ]
Conférences pour la mise eu lumière .
des merveilles do notre pays.
Le T. C F. prend a sa charge les frais
de transport des clichés, aller ol re-
tour; les demandes de prêt doivent
être adressées au siège.. 65, avenue de
la Grande-Armée.
Eu 1911-1912 il a été fait 500 confé-
rences avec les séries du T. C. F. en
France, Angleterre, Autriche, Egypte.
A quand la série sur les lacs français
(girondins el landais), le bassin d'Arca-
chon et le littoral de Gascogne?
«» ,
CASINOI_DEU PL AGE '
Samedi 28 :
9 heures, Royal Cinéma.
Dimanche 29 :
Matinée el Soirée f.u Royal Cinéma.
Au programme :
Comiques : Oxford contre Martigues,
Zigoto el la locomotive, Bébé, s'habille
tout seul.
Comédie: Démon de la Vanité. ;
Panorama : Zara.
Drames: Bonho ir el argent; Wa-
nine, femme d'artiste (film d>, 690 mè-
tres).
(itiumoiit-Acttialttéa.
Jeudi 3 octobre :
3 h. 1/2 et 8 h. 3/4, Représentations
du lloytil CiiMMU».
Programme entièrement renouvelé.
Tous les joui*; à 4 h. et à 9 heures,
Concerl-Skating.
Petits chevaux, salons de jeux, grand
cercle, café-glacier.
Grand Cirque RANCY
Nous rappelons aux arcachonnais que
lo grand cirque Rane.y est arrivé en
train spécial de 30 wagons dans notre
ville, précédé d'une réputation univer-
selle et surtout si impatiemment attendu
parmi nous.
L'installation se fait sur la place Dé-
garnie pour 3 jours seulement, el les
débuts ont lieu ce soir môme à 8 h. 1/2.
M. Alphonse Rancy, directeur-pro-
priétaire du vrai cirque Rancy, nous
amène pour la première fois à Arcachon
sa superbe cavlerio composée de 40
chevaux, sa nouvelle troupe hors ligne,
ses artistes sans précédent, son pro-
gramme do l"r ordre, ses numéros d'élite
et ses attractions uniques et sensation-
nelles dont nous avons déjà parlé el qui
feront courir tout Arcachon el ses envi-
'. rons.
i . .. ,
Avec un programme pareil, le succès
sera certainement triomphal, et il est <
prudent de louer ses places au bureau ;
de location ouvert au cirque de 10 heu
res à midi et de 2 à 5 heures 1/2, sans ,
augmentation de prix premières el se- i
condes. I
Donc, ce soir 28, première reprô- <
sentation ; dimanche 29, matinée de gala i
à 3 heures avec le programme complet, i
el soirée à 8 heures 1/2 avec toutes les i
attractions sensationnelles. Lundi 30, 1
à 8 heures 1/2, clôture définitive.
Mardi l«r octobre, débuts à Libourne. i
i
Oourôeô de Kobogan
On connaît le tobogan, ce traineau .
sans roues qui, en glissant, lutte de
vitesse sur la neige au versant des mon- ,
lagnes ; ou connaît le ski, ce long patin
qui descend les vallons neigeux et four-
nil même des sauts prodigieux que re-
produ^ent tous les illustrés.
A Arcachou il u'y a jamais de neige
ni de glace, aussi les patins el les sports
do l'hiver rigoureux ne sont pas de
mise. Mais nous avons les dunes de
sable el môme les plus hautes d'Europe, j
C'est donc au revers des dunes qu'on '
peut appliquer des épreuves sportives :
do vitesse dout le charme sera augmenté i
par la douceur du climat. \
L'innovation en est tentée aujourd'hui .
28 septembre, dans l'après-midi, sur la
grande dune do la Ville d'Hiver, située
à l'extrémité do l'allée Corrigan.
Vingt-deux amateurs (ces messieurs
sont ;V.;és de 8 à 15 ans), feront des
courses do tobogan du haut en bas de ;
la Grande Dune. Toute une série d'é- î
preuves aura lieu, ol des prix seront j
décernés aux vainqueurs par la Maison !
de photographie Léo Neveu dont on n'a ;
pas oublié les récents succès dans l'or-
ganisation des deux concours de forts
do sable, créant ainsi les amusements
d'été sur la plage et les sports d'hiver i
en foi él.
Voici la liste des lobogans engagés \
el le nom des pilotes : ;
■1. La France, E. Lacoste; 2. La Flèche., R
Lacoste ; 3. République, G. Ducourt; 4. Ris-
que-Tout, A. Dubrousso ; 5. L'Emir, Mau-
pomé ; n. L'Eclair, G. Ruau ; T. Lat/iam, Sor-
dia; 8. B/ér/o!, Duphil; '.). Tobogan, Beaupuy ;
10. Fidélia, Auschit/.ky ; 11. Pau/iian, Aus-
ohitzky ; 12. Ouis'iti, Valleau ; 13. Morane,
Melendes ; 14. Lézard, Reicheld ; 15. La
Comèto, F. Ferras; 10. Vèdrines, Cazeati ;
17. L'Inconnu, Georgeon ; 18. Gumna, G.
Beaupuy ; 19. Sirène, F. Ducourt; 20. Excel-
j s/or, Busson ; 21. Zéphyi, Binuau ; 22. André,
• A. Lacoste.
i t
■ i
lies Mboasiers
INous recevons la lettre suivante ;
Arcachon, 25 septembre.
Monsieur le Rédacteur,
Sous ce litre : " l'Esprit destructeur",
le Petit. Journal publiait à la date du
24 courant un article plein de bon sens
el do judicieuses réflexions.
« Que no détruit on pas aujourd'hui
» en France, dit Jean Lecoq, et parfois
» sans même l'espoir d'un profit, sans
» l'ombre d'une raison ! On détruit
» tout ce qui faisait lo charme du pays,
» la beauté des paysages, la splendeur
i) des forêts, etc., elc. »
Ces lignes sont d'actualité absolue en
ce qui concerne noire forêt d'Arcachon,
Jo no veux pas parlor dos coupes effec-
tuées depuis quelques années ol des
largos trouées pratiquées à torl ou à
raison; non, mon sujet est plus modeste
car il vise tout simplement les arbou-
siers.
Si des mesures de protection ne sont
pas prises et sévèrement appliquées,
nous ue tarderons guère à voir disparaî-
tre ce3 jolis arbustes. Voici le moment
où le vert de ses feuilles s'égaie Jes
mille grelots blancs de ses fleurs de cire
et du rouge éclalant de ses fruits , cha-
que rameau semble uu bouquet fait par
la nature pour le plaisir des yeux !
Eh bien, depuis une quinzaine, il ne
se passe pas de jour que les pauvres ar-
bousiers de notre forêt ne soient sotte-
ment mutilés par les promeneurs.
Dimanche dernier, vers 4 heures du
soir, les nombreuses personnes qui sui-
vaient la nouvelle route du Moulleau
pouvaient voir uu groupe de jeunes
garçons de 10 à 14 ans qui traînaient
chacun une grosse branche chargée de
fleurs et de fruits.
De quelles mutilations ont dû être
l'objet les arbustes auxquels ces bran-
ches furent arrachées ! !
Hier soir, à la même heure, une fa-
mille défilait devant le Parc Péreire,
ayant saccagé pour le moins trois ou
] quatre arbousiers, tant était riche et
j lourde la moissou de rameaux fleuris
■ qui chargeait les bras des parents et dea
| enfants ! !
| Qui donc, Monsieur le Rédacteur, au-
I rail qualité pour s'opposer à ces déprô-
. dations et, s'il y avait lieu dresser pro-
, cès-vorbal ? Lee gardes-forestiers
pour ce qui est de l'Etat, el les gardes-
champêtres pour ce qui appartient à la
Ville ? î Je ne sais... Eu attendant, la
. forêt est bêtement dépouillée de sa pa-
j îure et c'est grand dommage.
j Votre fidèle abonné,
i SA1NT-SYLVK.
P.-S. — Veuillez noter que je ne m'é-
lève pas contre la récolle des arbouses
mais bien contre le bris inutile des
branches.
^ —
; Qu&rtierjjayorgne
I Dans une des dernières excursions du
vapeur de promenade " Ville-de-Roche-
fort", capitaine Mouilleron, nous som-
mes allé rendre visite à notre vieil ami
M. Lavergne, qui nous oflranl gracieu-
sement uu petit lunch, à la mo le écos-
saise, nous a rappelé qu'après avoir
habité Arcachon 20 ans, il avait fondé
au Cap Ferret un hôlei-restaurant en
18S4, c'est-à dire il y a 28 ans.
Le quartier Lavergne compte aujour-
d'hui de nombreux chalets, et parmi les
; hôtes :1e cette saison estivale nous cile-
! ron» : MM. de Gaulne à Océans, Flo-
:. rencie à Esmeralda, Jauberly à J'y suis
• j'y reste, Jude à Sl-Jude, Bassibey à Bas-
sibey, Esteili à Jeanne-Henri, Grav'aux
; à Marcel, IsoUo à Petit-Jean, docteur
< de Nazaris à Sans-Souci, Doris à Les
• Tesluls, Goubô a Alègeoise, Chauvin h
Isabelle, Dr Dupral à Raymond*, Mme
l Dussouchel à Les Courlis, abbé Fejer à
Marina, Fedel a La Lyre, Joft'ro à Mar-
ge!, Giberl à N'icéa, Rouchariol à Yvon-
ne-André, Monligau a Lili, docteur Pel-
lotier à Bagatelle, Alaux à Les Lherous,
Lé.vy à Paradou, Duvachô à Sans-Gêne,
Mme Dignac à Mario-Jeanne, illleBriau-
ne a Le Gourbi.
Citons encore les chalets deMM.Et-
cheverria, Gassian, Argilas ; les rendez-
vous (!■' chasse, de MM. Auschitzky, Dos-
pujols, Lesca, Duparl, Luchési.
La pointe du Cap Ferret est uu dos
postes l.-s plus giboyoux pour les oiseaux
de passage.
Le passage des lourlorfelles est lermi-
1 né; celui des ramiers et palombes com-
i mence et durera jusqu'à un octobre,
* Sers en résidence. c
Cette liste est tenue à jour aussi exac- f
tement que possible. Nous prions nos ^
lecteurs de nous signaler les omissions
ou les erreurs- c
LA VIE CHÈRE \
(
Le problème de la Vie Chère est 1
toujours à l'état aigu.
La '• Ligue de Dôfeuse des Consomma- (
leurs", dont le siège est 71, cours de la j
Martinique, à Bordeaux, qui compte j
3.000 adhérents, qui a réuni GO.000 si- '
gnatures protestant contre 1RS Bmende- ' (
ments Berry et Néron, el 30 sections x
dans le Sud-Ouest, a tenu le 12 sepleru- ; |
bre 1912, sous la présidence de M Vi-
gneau, ancien conseiller municipal de
Bordeaux, une réunion dout on doit J ,
retenir l'ordre du jour. j
Alon» que partout en Frauce les Cham- j
bres de Commerce, les Associalions in- j
dustrielleB et commerciales s'occupent i
de mettre un terme au renchérissement :
de la rie, que le gouvernement s'occupe j
de cette question d'impérieux intérêt j
national, il s'est trouvé deux députés, j
MM. Georges Berry et Néron, qui ont i
cru trouver une solution en déclarant |
la guerre aux Grands Magasins et en j
proposant l'augmentation do leur pa- ;
tente.
Une augmentation des patentes, pro-
cédé grossier qui consiste à offrir un
aliment de plus à l'appétit insatiable du
fisc et à la boulimie du budget, est un
leurre pour le consommateur, comme
l'eut été, pour la classe ouvrière, l'im-
pôt sur 1* revenu. !
Grossir l'impôt, n'est pas le moyen de
rôdnire là cherté de la vie, mais la cer- \
Utude de l'accroître.
L'Etat, la Commune, qui ont des be- •
soins illimités, demandent inlassable- ;
menl l'augmentation de l'impôt; mais
le public qui est consommateur, a inlé- :
rôt à leur faire une implacable opposi- ;
tion de résistance. \
Voici l'ordre du jour voté par la " Li- j
gue de Défense des Consommateurs" : j
« Considérant que les produits de pre- j
mière nécessité tels que sucre, café, ;
pétrole, blé, etc., sont grevés de droits ':
de douane exorbitants ; i
» Considérant que les droits d'octroi j
augmentent encore dans les villes le !
coût des denrées de p> einière nécessité : !
» Considérant que les patentes qui j
surchargent les commerçants sont, en \
réalité, supportées par les consomma- j
teurs ; |
» Considérant que les amendements a
la loi de finance du budget de 1913 dé-
posés par MM. Berry et Néron sont 3ans
avantage po..r li rôtit commerce, tout
en frappant 1rs maisons d'une certaine
importance, sociétés coopératives, or-
ganisations ouvrières de consommation;
» Considérant que ces amendements
auraient pour etïet immédiat d'aggraver
la situation si difficile des ouvriers, des
employés, des petits fonctionnaires,
c'est-à-dire de la partie vraiment inté-
ressante des consommateurs :
» Emettent les voeux suivants ;
» 1° Que le Parlement mette à l'étude
et réalise a bref délai la réforme des
tarifs douaniers dans un sens plus favo-
rable à la masse des consommateurs ;
«2° Que les taxes d'octroi ahVrenles
avx produits de première nécessité
«oient abolies ou tout au moins dimi-
nuées ;
» 3° Que lo crédit à court el long
terme, pour le petit el moyen commor-
ce,|soit organisé par les législateurs ;
» 4° Qu'aucune charge fiscale supplé-
îenlaire ne soit imposée au commerce
u à l'industrie, et notamment que les
mendemenls Berry et Néron au budget
913, concernant les patentas, soient
éfinilivement rejelôs. »
— Nous ajoutons, en ce qui nous
oncerne :
« Cousidôrant que les maires de tou-
es les municipalités importantes ne
herchent qu'à accroître indéfiniment
as recettes du budget municipal ; j
» Considérant que les municipalités
ni recours aux emprunts el à un crédit
iresque illimité, grâce aux autorisations
iréfectora'.es ;
» Considérant qu'un des moyens de
jrossir le budget communal consiste a
lUgmenlei'les taxes d'octroi, les patèn-
es, les droits de placage el de marché ;
» Emettons le voeu :
« Que lojte nouvelle taxe d'oclroi, de ]
)»tentes, ou emprunt nouveau votés
jar un Conseil municipal ; toute décision \
idministralive locale touchant à la libre j
concurrence commerciale, soient de
ilus, et annuellement, soumis à un re- :
'erendum. »
E. G.
g-Bpi i
!
I
— i
Gabiiele d'Annunzio, le " Dante" mo- '
ierne, dans sa villa d'Arcachon-Moul-
oau, aux meubles de bon goût, aux
;enluros d'un verl leudre, travaille sa
JocoJide el un roman sur Arcachon.
L'an dernier, lors du recensement de
la population, sou secrétaire lui pré- \
senta la feuillu à remplir.
— Si je ne me donnais que 46 aust
fil le poète. j
— Mais il faut que votre date de nais- ;
sauce concorde avec l'âge que vous :
donnerez I
— Ah mon dieu, reprit d'Annunzio, !
que de complications dans la vie 1 i
Ces temps derniers son médecin, j
après avoir sigué une ordonnance ba-
nale, lui demanda -.
— Puis-je emporter ce porte-plume
qui a écrit vos sublimes chants patrioti- '
ques? j
— C'est inutile, répondit le doux Ga-
briele, c'est lo porte-plume de la cuisi-
nière et de la blanchisseuse ; quant aux ,
porte-plumes qui écrivent mes chefs- \
d'oeuvres, je les garde avec uu soin ja- ;
loux. |
Bon cavalier, d'Annunzio suit les j
chasses à courre d'hiver, et est un assi- |
du des couverts ola^siques; il aime les j
lévriers comme Alphonse de Lamartine, j
Par une belle nuit d'été, quand les \
éioiles scintillent dans un ciel pur, le j
poète, étudiant sans doute une mise eu ]
scène, a fait placer une embarcation j
sur les allées sableuses de son jardin, j
A la poupe, flambe uu feu de résine de j
pins dont les lueurs rougeâtres écla-
boussent les ténèbres, tandis qu'au mi-
lieu de la barque, armé d'une fouenne
de poche qui semble le trident de Nep-
tune, lo dramatique auteur varie des
poses sculpturales, inspiratrices de quel-
que intrigue émouvante el passionnée,
qu'inspire son imagination de génie.
Nous remercions la Gazttle des
Eaux, 66, rue de Vaugirard, à Paris,
d'avoir reproduit in-extenso notre arti-
cle sur la Société Scientifique d'Arca-
chon.
— M. Girardot, propriétaire de la villa
" Les Algues ", nous a quille ces jours-
ci et est retourné en sa villa " Royale"
à Nice.
— A lire la Revue des. Français,
>6, rue de l'Université, Paris; 1 franc |
e numéro. i
Parmi les articles A citer : " L'In- |
lueuce des idées de Tolstoï ", par Ju- i
iette Adam, et "L'Achèvement du
jaual de Panama", par des Chaumes.
Parmi les gravures : le grand duc
Wcôls-wileh, le Tennis do Versailles, !
Houlaïd Hafid en vacances, le général j
îooth, un Caïd au Maroc, la Mine de \
jlarens. I
■-• Mercredi 25, a été célébré, en l'é- j
jlise cathédrale St-Louis de Versailles, {
e mariage du baron Jacques de Leusse !
le Syon, (ils du baron el de la baronne \
le Leusso de Syon. demeurant au châ- i
.eau des Côle-^-d'Arey (Isère), avec Mlle
Camille Feray, fille de la b>:onneFe- ■
ray, née Mallel, et nièce de la comtesse j
le Fayé, née de Boisguilb°rl. La béné- ;
diction nupliale a été donnée par Mgr i
ie la Porte, évoque élu du Mans, ancieu ;
supérieur du grand séminaire à Ver-
sailles.
— Ou sait que le Touriug-'Jlub fait des ]
Conférences pour la mise eu lumière .
des merveilles do notre pays.
Le T. C F. prend a sa charge les frais
de transport des clichés, aller ol re-
tour; les demandes de prêt doivent
être adressées au siège.. 65, avenue de
la Grande-Armée.
Eu 1911-1912 il a été fait 500 confé-
rences avec les séries du T. C. F. en
France, Angleterre, Autriche, Egypte.
A quand la série sur les lacs français
(girondins el landais), le bassin d'Arca-
chon et le littoral de Gascogne?
«» ,
CASINOI_DEU PL AGE '
Samedi 28 :
9 heures, Royal Cinéma.
Dimanche 29 :
Matinée el Soirée f.u Royal Cinéma.
Au programme :
Comiques : Oxford contre Martigues,
Zigoto el la locomotive, Bébé, s'habille
tout seul.
Comédie: Démon de la Vanité. ;
Panorama : Zara.
Drames: Bonho ir el argent; Wa-
nine, femme d'artiste (film d>, 690 mè-
tres).
(itiumoiit-Acttialttéa.
Jeudi 3 octobre :
3 h. 1/2 et 8 h. 3/4, Représentations
du lloytil CiiMMU».
Programme entièrement renouvelé.
Tous les joui*; à 4 h. et à 9 heures,
Concerl-Skating.
Petits chevaux, salons de jeux, grand
cercle, café-glacier.
Grand Cirque RANCY
Nous rappelons aux arcachonnais que
lo grand cirque Rane.y est arrivé en
train spécial de 30 wagons dans notre
ville, précédé d'une réputation univer-
selle et surtout si impatiemment attendu
parmi nous.
L'installation se fait sur la place Dé-
garnie pour 3 jours seulement, el les
débuts ont lieu ce soir môme à 8 h. 1/2.
M. Alphonse Rancy, directeur-pro-
priétaire du vrai cirque Rancy, nous
amène pour la première fois à Arcachon
sa superbe cavlerio composée de 40
chevaux, sa nouvelle troupe hors ligne,
ses artistes sans précédent, son pro-
gramme do l"r ordre, ses numéros d'élite
et ses attractions uniques et sensation-
nelles dont nous avons déjà parlé el qui
feront courir tout Arcachon el ses envi-
'. rons.
i . .. ,
Avec un programme pareil, le succès
sera certainement triomphal, et il est <
prudent de louer ses places au bureau ;
de location ouvert au cirque de 10 heu
res à midi et de 2 à 5 heures 1/2, sans ,
augmentation de prix premières el se- i
condes. I
Donc, ce soir 28, première reprô- <
sentation ; dimanche 29, matinée de gala i
à 3 heures avec le programme complet, i
el soirée à 8 heures 1/2 avec toutes les i
attractions sensationnelles. Lundi 30, 1
à 8 heures 1/2, clôture définitive.
Mardi l«r octobre, débuts à Libourne. i
i
Oourôeô de Kobogan
On connaît le tobogan, ce traineau .
sans roues qui, en glissant, lutte de
vitesse sur la neige au versant des mon- ,
lagnes ; ou connaît le ski, ce long patin
qui descend les vallons neigeux et four-
nil même des sauts prodigieux que re-
produ^ent tous les illustrés.
A Arcachou il u'y a jamais de neige
ni de glace, aussi les patins el les sports
do l'hiver rigoureux ne sont pas de
mise. Mais nous avons les dunes de
sable el môme les plus hautes d'Europe, j
C'est donc au revers des dunes qu'on '
peut appliquer des épreuves sportives :
do vitesse dout le charme sera augmenté i
par la douceur du climat. \
L'innovation en est tentée aujourd'hui .
28 septembre, dans l'après-midi, sur la
grande dune do la Ville d'Hiver, située
à l'extrémité do l'allée Corrigan.
Vingt-deux amateurs (ces messieurs
sont ;V.;és de 8 à 15 ans), feront des
courses do tobogan du haut en bas de ;
la Grande Dune. Toute une série d'é- î
preuves aura lieu, ol des prix seront j
décernés aux vainqueurs par la Maison !
de photographie Léo Neveu dont on n'a ;
pas oublié les récents succès dans l'or-
ganisation des deux concours de forts
do sable, créant ainsi les amusements
d'été sur la plage et les sports d'hiver i
en foi él.
Voici la liste des lobogans engagés \
el le nom des pilotes : ;
■1. La France, E. Lacoste; 2. La Flèche., R
Lacoste ; 3. République, G. Ducourt; 4. Ris-
que-Tout, A. Dubrousso ; 5. L'Emir, Mau-
pomé ; n. L'Eclair, G. Ruau ; T. Lat/iam, Sor-
dia; 8. B/ér/o!, Duphil; '.). Tobogan, Beaupuy ;
10. Fidélia, Auschit/.ky ; 11. Pau/iian, Aus-
ohitzky ; 12. Ouis'iti, Valleau ; 13. Morane,
Melendes ; 14. Lézard, Reicheld ; 15. La
Comèto, F. Ferras; 10. Vèdrines, Cazeati ;
17. L'Inconnu, Georgeon ; 18. Gumna, G.
Beaupuy ; 19. Sirène, F. Ducourt; 20. Excel-
j s/or, Busson ; 21. Zéphyi, Binuau ; 22. André,
• A. Lacoste.
i t
■ i
lies Mboasiers
INous recevons la lettre suivante ;
Arcachon, 25 septembre.
Monsieur le Rédacteur,
Sous ce litre : " l'Esprit destructeur",
le Petit. Journal publiait à la date du
24 courant un article plein de bon sens
el do judicieuses réflexions.
« Que no détruit on pas aujourd'hui
» en France, dit Jean Lecoq, et parfois
» sans même l'espoir d'un profit, sans
» l'ombre d'une raison ! On détruit
» tout ce qui faisait lo charme du pays,
» la beauté des paysages, la splendeur
i) des forêts, etc., elc. »
Ces lignes sont d'actualité absolue en
ce qui concerne noire forêt d'Arcachon,
Jo no veux pas parlor dos coupes effec-
tuées depuis quelques années ol des
largos trouées pratiquées à torl ou à
raison; non, mon sujet est plus modeste
car il vise tout simplement les arbou-
siers.
Si des mesures de protection ne sont
pas prises et sévèrement appliquées,
nous ue tarderons guère à voir disparaî-
tre ce3 jolis arbustes. Voici le moment
où le vert de ses feuilles s'égaie Jes
mille grelots blancs de ses fleurs de cire
et du rouge éclalant de ses fruits , cha-
que rameau semble uu bouquet fait par
la nature pour le plaisir des yeux !
Eh bien, depuis une quinzaine, il ne
se passe pas de jour que les pauvres ar-
bousiers de notre forêt ne soient sotte-
ment mutilés par les promeneurs.
Dimanche dernier, vers 4 heures du
soir, les nombreuses personnes qui sui-
vaient la nouvelle route du Moulleau
pouvaient voir uu groupe de jeunes
garçons de 10 à 14 ans qui traînaient
chacun une grosse branche chargée de
fleurs et de fruits.
De quelles mutilations ont dû être
l'objet les arbustes auxquels ces bran-
ches furent arrachées ! !
Hier soir, à la même heure, une fa-
mille défilait devant le Parc Péreire,
ayant saccagé pour le moins trois ou
] quatre arbousiers, tant était riche et
j lourde la moissou de rameaux fleuris
■ qui chargeait les bras des parents et dea
| enfants ! !
| Qui donc, Monsieur le Rédacteur, au-
I rail qualité pour s'opposer à ces déprô-
. dations et, s'il y avait lieu dresser pro-
, cès-vorbal ? Lee gardes-forestiers
pour ce qui est de l'Etat, el les gardes-
champêtres pour ce qui appartient à la
Ville ? î Je ne sais... Eu attendant, la
. forêt est bêtement dépouillée de sa pa-
j îure et c'est grand dommage.
j Votre fidèle abonné,
i SA1NT-SYLVK.
P.-S. — Veuillez noter que je ne m'é-
lève pas contre la récolle des arbouses
mais bien contre le bris inutile des
branches.
^ —
; Qu&rtierjjayorgne
I Dans une des dernières excursions du
vapeur de promenade " Ville-de-Roche-
fort", capitaine Mouilleron, nous som-
mes allé rendre visite à notre vieil ami
M. Lavergne, qui nous oflranl gracieu-
sement uu petit lunch, à la mo le écos-
saise, nous a rappelé qu'après avoir
habité Arcachon 20 ans, il avait fondé
au Cap Ferret un hôlei-restaurant en
18S4, c'est-à dire il y a 28 ans.
Le quartier Lavergne compte aujour-
d'hui de nombreux chalets, et parmi les
; hôtes :1e cette saison estivale nous cile-
! ron» : MM. de Gaulne à Océans, Flo-
:. rencie à Esmeralda, Jauberly à J'y suis
• j'y reste, Jude à Sl-Jude, Bassibey à Bas-
sibey, Esteili à Jeanne-Henri, Grav'aux
; à Marcel, IsoUo à Petit-Jean, docteur
< de Nazaris à Sans-Souci, Doris à Les
• Tesluls, Goubô a Alègeoise, Chauvin h
Isabelle, Dr Dupral à Raymond*, Mme
l Dussouchel à Les Courlis, abbé Fejer à
Marina, Fedel a La Lyre, Joft'ro à Mar-
ge!, Giberl à N'icéa, Rouchariol à Yvon-
ne-André, Monligau a Lili, docteur Pel-
lotier à Bagatelle, Alaux à Les Lherous,
Lé.vy à Paradou, Duvachô à Sans-Gêne,
Mme Dignac à Mario-Jeanne, illleBriau-
ne a Le Gourbi.
Citons encore les chalets deMM.Et-
cheverria, Gassian, Argilas ; les rendez-
vous (!■' chasse, de MM. Auschitzky, Dos-
pujols, Lesca, Duparl, Luchési.
La pointe du Cap Ferret est uu dos
postes l.-s plus giboyoux pour les oiseaux
de passage.
Le passage des lourlorfelles est lermi-
1 né; celui des ramiers et palombes com-
i mence et durera jusqu'à un octobre,
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85.94%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85.94%.
- Collections numériques similaires Fonds régional : Franche-Comté Fonds régional : Franche-Comté /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "FrancComt1"Les Divertissemens de Versailles donnez par le Roy au retour de la conqueste de la Franche-Comté en l'année M. DC. LXXIV. /ark:/12148/bd6t57513788.highres Le Galatée , premierement composé en italien par J. de la Case, & depuis mis en françois, latin, allemand, & espagnol. Traicté très utile et très nécessaire pour bien dresser une jeunesse en toutes manières et façons de faire louables... /ark:/12148/bpt6k8718710v.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/4
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k5431726r/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k5431726r/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k5431726r/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k5431726r/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k5431726r
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k5431726r
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k5431726r/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest