Titre : L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région]
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1915-12-05
Contributeur : Garet, Émile (1829-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34416250c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 05 décembre 1915 05 décembre 1915
Description : 1915/12/05 (A49,N41)-1915/12/06. 1915/12/05 (A49,N41)-1915/12/06.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5274639k
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3218
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/05/2020
passer inaperçu et devait être cité comme
«exemple aux nombreuses bénéficiaires
«de l’allocation militaire susceptibles die
vivre et de faire vivre les leurs sans
l’aide de l’Etat
Nous félicitons d’autant plus chaude- i
ment oetto mère de famille qu’elle est la ]
Première, croyons-nous, à avoir fait ’
preuve d’une pareille abnégation nui
«levrait figurer sur un Livre d’or à ins-
tituer à cet effet.
"**“*
AU PROFIT DU CONVOI
AUTOMOf*IJ.E BÉARNAIS ET BASQUE
Une Matinée au profit du Convoi 1
a Amhuiances Béarnais et Basque sera
donnée par des amateurs, dans lés S.a-
lons de l’Hôtel de France, le vendredi 1Q
Décembre, a J heures et demie
Au programme : ’ t
^Ouverture ; „ U Guerr, «,„ panUm. I
intei mode musical par M TVvrfïa
« 1915 », revue àa itfp lorfa
5 £ prix des V1*»* e5 fixé à 10 fr. et
FrmceeTî^ M^fSrrf 8 S l’H6tel ,ll!
‘'OEuvre, becrétaire de (
—'{Vy
PRESTATION DE SERMENT
dSïïntn 10 Tribunal civil, trois
t^it én : MM,', Daras> M.-O., préposé d’oc-
tfin tAiPrHge 11 l0'T p::M-> surnuméraire des
Contributions Indirectes et Hourcade,
;;:L-’TPr6i)0ff ,de3 Contributions Indirec-
tes, ont prêté le serment d’usage.
——.
ASSISTANCE JUDICIAIRE
i k?huieaud Assistance judiciaire près
Jo 1 ribunal Civil est ainsi composé pour
i année 1915-16 :
Président : M. Itives ; Membres : MM.
i erner et Crouau, avocats ; Migndt,
avoue et Lebon, receveur de l'Enregistre.
greffier, becrétairo : M- Arcau> commis-
—-A®/—s
POUR LES BLES8ÉS
ETL.ES MUTILÉS SE LA GUERRE
Préfet* ,!o M 0, 1} 1 Patronnage de M. le
ral anrîn/L ° Maire et de M- ^ Géné-
rai, auront lieu, sous peu de jours, deux
1 naiôisM "£*,Uqn 83 uu f’rotit «les oeuvres
1S d|Ta gue^rrS aUX Wessés et ,na,i-
Il faut songer aux uns et aux autres
-ÿ^ter par f°ds les moyens possibles
üHiIeSoS,0Urce«* d.une réalisation plus dif-
Vr« ini profit. de C0S héroïques victimes
iau ,9hamp d’honneur, faciliter
i* .” ^éducation professionnelle, assurer
|eur bien-être dans les hôpitaux où cos
braves sont hospitalisés et soignés.
« i fauti aussi rongée aux nombreuses
cigales du monde dos artistes, aux ou-
1S vdvaicn^ do l’Art et, ne trouvent
p 1 1-S °n trouvent, d’occupations ré-
munéraires en dehors de celles qui les !
faisaient vivre. 4 ;
tes ‘hmnic°hiÏÏotaCtGU ?’ rnusiciens> choris- .
! C i‘ ., f>s ont aussi quelque droit
toiît ÏErsodlcltude> d’autant qu’ils sont
InnL >r'osés' (luand l’occasion s’en pré-
tem& ? second0r !es efforts de ceux qui
vroT } .au P^lic l’escarcelle de nos oeu- ;
r > ,U 1 °ffrant une saine distraction, i
lT« e3t le cas aujourd’hui. I
.^Première séance dont il s’agit aura 1
ilfü e •i’! d/‘ccnibre sous forme de con- J
cert au .Théâtre de la rue St-Louis.
Bien des précieux concours sont déjà
assurés. Figureront, entre autres artistes
au programme: Mlle Louise Balthy, l’ori-
ginale diseuse bien connue h Pau, Mlles .
Bailac, Nordi, de l’Opéra-ComiqUe ; Mlle 1
St-Gerrmer, MM. Fournets, Cazenave, do
i Opéra ; Chevalier, Villaret, de l’Opéra-
Comique ; Dubois, dont les habitués du
1 niais d Hiver Qnt gardé le meilleur sou-
venir comme artiste et comme metteur
en scène.
Voilà certes bien des éléments qui per-
met t#nt d’assurer le succès dès la pre-
îmère séance. Le public aura en effet une
iielJe occasion do faire le bien en profitant
d un dérivatif, sain et artistique, à do
bien légitimes préoccupations
——
AU CIMETIÈRE MUSULMAN
La cérémonie d’inauguration dui monu-
ment élevé au Cimetière Musulman du
Hameau aura lieu le jeudi .9 décembre,
a o heures avec le concours des Autori-
tés militaires et Civiles.
Un poème sera lu par Mlle Arma de
J>aume, qui s’est consacrée à cette belle
oeuvre et ne perd aucune occasion de
provoquer les témoignages d’admiration
et de reconnaissance que nous devons à i
toais les braves défenseurs de la Patrie. *
« MANON » AU THÉÂTRE MUNICIPAL î
r>st demain di- ?
manche, a $ h. 1/2, au Théâtre Muni- ‘ ,
de*^ ALanon613^ doajl^e ^ représentation r
(P^iqué les précédents ,
«communiqués, 1 interprétation sera de 1
tout premier ordre avec : Mlles St -Ger- )
eTBaJterOT" 11 1 Chevalier' v‘“aret |
Les moindres petits rôles auront d’ex-
celients protagonistes, et tout contribuera
a donner (le l’éclat à cette représenta-
tion de gala.
AflmiSni? 80119 ,!e P^istyle du Théâtre
Municipal samedi et dimanche de 10 h.
à midi et de 2 h. à 5 h.
*
xfii 1 xr St-Germier étapt souffrante, c’est
Mlle Valogne, l’artiste goûtée de l’Opéra-
Lomique, qui chantera le rôle de Manon
ce soir dimanche.
——
CRISE DE FOLIE
Le jeune M..., 15 ans, garçon char-
« dan.s un magasin de la Place die
la République, a été atteint subitement
«u une crise de folie furieu-ae, hier après-
midi. Aucun homme ne se trouvant dans
« riu0"’ dAEUX agents ont dû garder
malheureux jusqu’à l’arrivée du« pèfie
{irévenu télégraphiquement, est
A’enu prendre son fils.
—'©Z
CHEVAL EFFRAYE
Hier soir, vers 4 heures 1/2, un cheval
attële, appartenant à M. (iaillat, qiudii-
cailler à la Croix-du-Prince et conduit
par le nommé Trille Joseph, s’est effrayé
rue Nouvelle-Halle, à l'approche du
tramway électrique. Avant que le con-
ducteur ait pu le maîtriser, ranimai
s’est jeté sur 1’«automobile de M. René
Sedaud, demeurant à Aire-sur-l’Adour.
La voiture de ce dernier a été abîmée.
Devant le Café de l’Europe, place de
la Halle, le cheval a endommagé le
garage à bicyclette de l’établissement.
Pas d'accident de personne à signaler.
—'§*/—
NÉOROLOGIE
T... novembre 1915.
Ch or Monsieur Aubert,
Je vous terais bien obligé d'avoir la*
bonté (l’insérer dans le plus prochain nu- *
méro de votre journal le discours ci joint
qui a été prononcé sur la tombe d’un de
n°§ cqiparades et compatrjpte mort au
champ d honneur. Je désirerais égaie- ^
i
! îie'!î^ Passible que vous accompagniez
t discours d un petit article à vous per-
I rrldé"ï?mr“\t que quoique 0,AE-
i !,a ,r de cnlKtuer lo service dM G. V. C.
1 snmrnaV°?S do,s lds.9u«^ sü'itout nous qui
' °ïï! 3 Au? 5 îa fiüi^’des armées,
j la 5e9tio« ü a été fait une
> C„Z^ ‘i 01 a produit la somme de 150 fr.
lVhqfUi' avons envoyé à la veuve* plus
l achat d une couronne;
Los honneurs rnilitMi^ès lui ont été ren.
dus par ses campes. iU 1 eté ren*
nommé Hôo, de La-
“uûf’f 3 Monein, est mort par
d'unti' tamponnement d’une machine
servi-n V1 en marche de Vitesse dans son <
e’et iTt b leU,r ’ î’ai compris que
. était le. tué do la sorte et malheu- (
reusement il y en aura encore d’autres.
veuillez agréer, cher Monsieur, avec I
mes plus vifs remerciements, l’hommàâe
de mes salutations les plus empressées.
J. E.
Mesdames, Messieurs, mes Amis,
Comme délégué du Commandant de la
Section A, retenu à T... par les nécessi-
tés du service, j ai le pénible devoir
d «adresser un dernier «adieu au camarade
HHA U (.: îF l9xercic« dü scs fonctions.
HOo était originaire du département
deSc?S‘P/!’éliéf 0t disait partie du
, iégnnent territorial. Depuis le mois
ce Mai il était affecté au service de la
Se de° 8 V°iCS ܰ cornmunicatb)n, 6 au
Avant-hier, vers 6 h. 1/2 du mMln n
suivait la voie ferrée entre U *
j lard nui’ rS!u’Jf°mpé paT brrniil-
* ‘ Jyu rognait en ce moment 11 s’e^t
i fait hapPer Par une locomotive.’ 1
| La mort a été instantanée *
j rotoll déjà S^Sî.4..«but» au marty.
porte iospace notre pensée su
t la fanal le de ce malheureux
toUte? !es nôt|,é8» elle attendait
impatiemment lp. fin dé cette horrible
guerre pour revoir l’être cher.
Hélas ! sa femme, ses trois enfants ne
tê verront plus !
Sa femme ne pourra plus presser sur
son coeur le compagnon aimé de sa vie,
■ses chers enfants ne pourront plus em-
brasser leur papa. Ils n’auront môme
pas la triste consolation de l’avoir con-
| du il a sa dernière demeure.
Mais, pour les suppléer il y a id la
« grande famille militaire : sês camarades
j qui éprouvaient pour lui une vive svm-
: p.athie, ses Chefs qui l’estimaient car
; c était un soldat modèle,
j t yuant à nous, mes «amis, continuons k
. taire tout notre devoir, soyons flêr de
‘ servir notre Patrie ; ayons confiance, le
jour do Gloire que célèbre notre chant !
I national illuminera bientôt l’horizon. i
j A la famille du disp«aru nous envoyons j
1 1 expression de nos condoléances émues. !
Camarade Hôo dors en paix dans les
larges plis du drapeau do la Franco, car
tu es mort à son service.
! ,„Au !?om,de tous» jo t’adrease le suprê- 1
l me «adieu ! 1
Et maintenant, soldat Hôo, vos cama-
rades vont vous rendre les derniers hon-
neurs militaires : Caporal, commandez :
le « Garde-à-vous ».
25 Octobre 19:15. |
Adjudant NESPEZE. i
-—|
MA TANTE D’HONFLEUR \
Io0ation pour la représentation de
« Ma 1 ante d’Honfleur » sera Ouverte
lundi matin de 10 heures ii midi et de
LhtXlu4ThétoerMdUSOir’sousl.epé-,
CONVOI AUTOMOBILE
Béarnais et Basque
D’AMBULANGES SUR LE FRONT
Sommes versées à la Préfecture :
Mmo Berteaux, à Pau, 400 fr. ; Sous-
^ iptions rocuedlies dans les communes
de . Bourgarber, 12 fr. ; Diusse, 50 fr. >
Ossas-Su pare 47 fr 25 ; Malàussanne
-1 fr, , Bidart, 198 fr, 50 ; Laeq, 46 fr.
Bayonne (3« versement), 200 fr. ; Labatut
U ff_r’. ^onségur, 55 fr. ’ 15 ; Aren,
Norn ’ f Oétfr q’ r 23 fr,; Ossocrain- 35 fr• ~5;
hem rrfr; ’ .Lac.arre, 3 fr. ; Lasseu-
beutat 55 fr 50 ; Barcus. 177 fr. 55 >
ka6 °f’2i!r: irArudy-' 36 ;r‘ ^5.{ Domezak
il i5f’rMnG'0r’ > Arbouet-Sus-
saute 53 fr ; Orion, 1B0 fr. 40 ; Bricous,
lS3ffrvA’. f-oubieng, 18 fr. ; Orsanco
nnnfô u\ SFrrajlce> 41 fr- ! Tabaille-Us- !
quam, 111 fr. ; Dognen, 10 fr. ; Portet,
AJJ À- Loscun> 29 fr. .50 ; Buzy, 80 fr I
Amendieux, 75 fr. ; Gabat, 50 il ; -
t! 1 {<
SMiscrintions recueillies e.n qualité dte i l
déléguée de l’oeuvre : j i
1° Aüne Combemale, Directrice de l’hô- ‘ '
pilai de Lescar, 100 fr. i
AT Lef inscriptions recueillies \ ]
devront être adressées à M. Carrère, Tré- i <
f01Jfr de 1 oeuvre, Préfecture- Pau avant S 1
le 10 Décembre courant, dernier déhai. j
—^ 1
EGLISE RUSSE i
Il y aura Messe Divine à l’Eglise Or- : f
-hoxe Russe de Pau, 18, rue Jean-Réveil 1 (
3e Dimanche 5 Décembre 1915 à 10 heures }
ît demio du matin. ■ 1
Matines à 10 heures.
Confession avant la Messe.
Il y aura un Service Religieux à l’Egli-
se Orthodoxe Russe Saint-AJexanure
Niewsky de Pau, 18, rue Je«nn-Révèil, ce
Lundi 6 Décembre 1915, à l’occasion de la
Fête Patronale de l’Eglise.
Matines à 10 heures du matin.
Messe Divine à 10 heures et demie.
Aussitôt après la Messe un Te-Deum.
Confession avant 10 heures du matin.
•—'Q/—
FOOT-BALL RUGBY
La Section Palolee
contre
l'Union Sportive Jurançonnalse
Aujourd'hui dimanche, à 2 heures 3/4
, M. Bergez, le brillant trois-quart centre!
j sifflera le coup d’envoi de la rencontre
| qui mettra en présence les quinze pre-
miers de la Section Paloise et de l’Union
j Sportive Jurançonnalse.
I>e Comité de la Section Paloise en met-
tant son terrain à la disposition de nos
jeunes gens fait oeuvre utile et patrioti-
que. Nos enfants pourront ainsi «acquérir
des qualités d’endurance de décision et
d’initiative Çfui feront d’eux d’excellents
soldats.
. ke sport est à l’ordre du jour et le
football se pratique sur tout le front. Nos
cher équipiers de la Section Paloise pro-
fitent de chaque journée de repos pour
s adonner à leur jeu favori. Récemment,
au. Vf.’ nn quinze sous le commandement
de) 1 international Domercq battait de
justesse par 3 essais à 2 essais une équipe
n-ant no«ur capitaine Espelette, l’excel-
lent demi d’ouverture.
Ta jenreese paloise n compris son de- .
\°'r . r! »‘iifvc courageusement à ;
; ouvrog-«. . e public ne lui ménagera pas ’
■ -t i:"on".g>-ti!cni.s. Aussi souhaitons- •
qu il vienne nombreux applaudir las
p.procurées Par le match qui se
lo'ienynr le magnifique grourid de la
Croi x -du- P n nce.
Voici la oomposition de l’équipe é* la
Section- Paloise : J
j. •
(Arrière : Mailter i ,
Trohynarîs : André, Duipouy, Porche-
ron, Bellocq (cap.) ;
Demis : Piteu (m.), Chigé (o.) ;
T ^.van}s '• Mestressat, Fourrau, Prat,
Labat Lauga, Mur, Peuvrel, Toulou.
Prix des places : Tribuhéà, 0 îh 55 ;
Pelotée : 0 fr. 25. ' ’
Avis. — ETI cas de mauvais temps, le
•match sera renvoyé à une date ulté-
rieure.
W*W
Nous rappelons que c’est demain Di-
manche que le Foot-Ball-Club Béarn se
rencontrera avec l’Union Sportive Pa-
loise sur le terrain de la Ligue a Juran-
çon.
Coup d’envoi 4 2 h. 3/4.
Pritc des places : Tribunes, 0 fr. 25 ;
Pelouse, 0 fr. 15.
Sur le même terrain, à 1 h. 1/2 aura
lieu une autre rencontre entre les équipes
.secondes de l’Union Sportive Paloise et
de l’Union Sportive «TuranÇofinaisè.
•—-
LES OONGERTS
du Pavillon des Arts (Plàce Royale).
Dihiancbe 5 Décembre 1915,
à 3. de l’après-midi s
GRAND CONCERT SYMPHONIQUE
Sous la Direction de M. Albert TORFS.
PnORRAMME :
Première Partie.
1. Les Masques (ouverture). Pedrotti
2. Berceuse L. Laporte
,3. Scène Champêtre B. Godard
4. La Férla Lacome
(suite d’onchetre).
Deuxième Partie.
5. Le Pré aux Clercs Hérold
(Ouverture. )
6. a) La Veillée de l’Ange
Gardien Piernê
b) La Pluie David
7. Menuet de la Cour des
Miracles A. Gauwin
8. Sélection sur « Sigurd ».. Reyer
Prix d’Entrée : 0 fr. 75.
Mardi 7 Décembre 1915,
à 3 h. de l’après-midi :
GRAND CONCERT SYMPHONIQUE
• ——
) BIZAN08. ,—■» Le Mali’ë de Bizainos in-
TbrriiÔ ses administrés que les souscrip-
; U°fis pour le Convoi automobile Béair-
; nais et Basqiue sur le Front sont reçues
« au Secrétariat de la Mairie jusqu’à jeudi
, 9 courant.
JURANÇON. — La, pbpüiation jurah-
çonnaiso, reinplie de la plus pénible émo-
tion, s’est fait un pieux devoir d’accom-
pagner, au lieu suprême du repos, Ber-
nard Lamayre, âgé de 90 ans, qui con-
serva, jusqu’à ses derniers moments, une
rernarquabl»3 lucidité d’esprit.
Nqus n’apprendroiis ïiéh à personné,
t u disant que le cher disparu était un
honnête homme dans toute l'acception du
mot ; c est pourquoi il emporte l’estime,
1 affection même de ceux qui l’ont connu.
Il sut prêter un concours empressé aux
oeuvres philanthropiques et patriotiques,
n jn£ternPs d resta maire de Jurançon
Pendant cotte période ses administrés
reconnurent, en lui, l’homme dévoué à
la chose publique et, surtout, l’homme
particulièrement droit dans les affaires
communales ; il fut sage, prudent et vi-1
gilant. j
Jusqu’à sa mort il garda la présidence ;
cl une Société locale pour i’odrhinistra-
tion de laquelle, 16 gouvernement de la
République lui décerna la médaillé d’ar- ;
gent. ;
Puissent les regrets, exprimés par tous,
être un adoucissement à l«a grande dou-
leur des siens, à qui nous présentons du !
fond du coeur, ën cetie péniblo cii'cons- i
lance, l’expression do notre bien compa-
tissante sympathie.
■J. E, P.
BETHARRAM, — Séance réoréative. —
Dimanche dernier* 28 novembre, les
Convalescents étaient, invités A une séiim I
Les amis et les bienfaiteurs
uc ] hôpital s’étaient donné rendez-vous !
pour porter aux officiers et aux soldats 1
une preuve nouvelle de leur haute sym- î
patine et pour passer avec eux une soirée l
charmante, toute remplie de beaux spec- !
tacles et d artistiques émdtioftô.
Des hiorëeaux de piano à qimtre mains l
ouvraient chacune des deux parties du I
-oncert. Doux maîtres du clavier, assez i
grands pour que leur nom fut dans cette (
séance l’ornement le plus précieux et i
I aubaine la plus rare, trop ftiodêsteis j
pour votildir y être nommés, nous ont î
9rarcuré un plaisir de choix dans la
< Marche héroïque » et la « Danse Maca-
bre » de Saint-Saëns. La précision du
eu, 1 intime fusion des parties, la grâce ; i
les traits mélodiques finement soulignés, t -
fi peut-être surtout l’énergie avec laquelle î
la ont rendu les harmonies puissantes j i
le cas deux pages magistrales, leur ont « i
ibténu de la part des vrais Connaisseurs, ; !
nombreux dans la salle, ’es hommages i \
es plus flatteurs. I 1
Le tirailleur Salah ben Balgacem a
fait applaudir une Chanson franco-arabe
u une étrangeté savoureuse, rehaussée
pâr un accompagnement de mandoline et
«pntare délicatement joué par MM. Gra-
not et Giyardin. Dans 1’ « Amoroso » de
Ghnmihade ét la tt Sérénade i> de Holmôs,
aille Alice Vaguet a déployé toutes les
ressources de sa belle voix aux sonorités
éemtantes. La gracieuse Mlle Souyeux a
traduit avec bonheur, d’une voix déli-
cieusement légère, limpide ot fraîche
comme un gazouillement, 1’ « Ecrin » de
Ghaminade et la « Romance du Tribut de
Zamora »« Après des fantaisies béarnai-
ses pittoresques et cocasses dites avec in-
1^ d’€SPI’it. Par l’auteur lui-même,
Mlle Dury a fait applaudir plusieurs
chansonnettes détaillées «avec un ch«arme
exqui3. Le beau chant populaire « Regar-
dez passer la Patrie », énergiquement
scandé par elle et repris en choeur par
les Convalescents, «a obtenu un vif suc-
cès. Elle a développé la richesse de son
timbre dans un grand morceau lyrique
« Le Nil » de X Leroux, dont elle faisait
ressortir la poésie évocatrice et la nos-
talgique langueur. La portie de violon
concertant était faite dans ce morceau
par Mlle Canton. Il faut admirer chez
cette jeune artiste un grand talent d’exé-
cution, une impeccable sûreté dans ia
touche, une intelligence subtile de l’oeu-
vre à interpréter, et, par dessus tout, ce
don unique, cette vibration profonde,
cette passion qui suspend des coeurs au j
moindre frémissement de l’archet. L’in-
comparable cantatrice qu’est Mme Chré-
tien-Vaguet se devait de venir orner de
sa voix généreuse cette fête de bienfai-
sance. Dans « Le Curé de Vareddes », et
plus encore dans » Le Rêve » elle a mon- \
tré ce rare tempérament, dramatique \
qu’admirent tous ceux qui ont eu la for- .5
tune de l’entendre. Elle est plus qu’une '
«artiste, rendant avec puissance les émo-
fums d’un autre ; elle est une âme ori-
iT 1 ni u le et fougueuse nul s'impose à l’au-
ditoire avec, une véritable éloquence i.
exprimer la force communicative, le nd- 1
! î)ie enthousiasme qui se dégage de soii
1 2m!' M’ Va^uet> toujours égal à lui-
meme, avec cette délicieuse bonhomie
HhiJi Va^°ir encore son beau talent de
nous à donné l'a joie de con-
% maturité de l’art,
inAEn la ieuhe.sse dd toeur ai do là
voix. Dans une simple « Romance » aussi
bien que dans le « grand Air de Dimitri
de Joncïères », il a déployé cet art sé-
auisiuit, cette heureuse facilité qui passe
ert ^ jouant d’üfi extrême k l’autre, de
la « tenue » éclatante au murmuré lë
plus subtilement filé. Le « Madrigal de
Roméo et Juliette », ce marivaudage mu-
sical si aimable dans sa grâce frivole et
preêiease, chanté par M. et Mme Vaguet,
a été vrâimëiit pour tüiis uii régal
Deux pièces de Courteiine, jouées pdT
des Convalescents, coupaient heureuse-
ment la succession des morceaux de mu-
sique. « Lidoire » est une farce militaire,
qne pochade irrésistible, d’une observa-
tion très vraie sdus là truculence dos
termes et la grosse bouffonnerie des si-
tuations. MM. Laforet, Stuckert, Ëi-
geault, Coutet et Deltour ont fort bien
tenu les rôles de. la pièce. La silhouette
rlu Permissionnaire de dix heures a été
admirablement croquée par M. dü Sâtilt
ivec les gestes mous qui conviennent et
une langue pâteuse à souhait. « La paix
fiiez soi », une fine comécîié d’hné psy-
fiiologie minutieuse et d’une malice ai-
guisée, avec ces mots inattendus, comi-
'ipea et profonds ,qui révèlent la touche
d lin iriàüfd; a été le grand südcès de la
séance. M. L«aforet a renau âVfiô iiuê vé-
rité parfaite le caractère de Trielle. Là
distinction naturelle de ce jeune acteur,
l’aisance de ses «attitudes, son flegme im-
payable faisaient Uii digne pendant à la
grâce espiègle, un peu évaporée, de Va-
lcntine Petite perruche bavarde et vo-
lontaire, bon coeur et cervelle d’oiseau,
ce rôle difficile a été tenu avec un naturel
inimitable par M118 Arthânde Vaguet.
Elle parle, s’agite, se fâche, nt êt San-
glote avec une justesse d’accent mer-
veilleuse. Elle s’est révélée, en toute vé-
rité comme une comédienne accomplie.
MO N El N, — Caisse d*Epargne. — Afin
de faciliter les opérations relatives à
l’emprunt national, le Conseil d’Adminis-
tration vient de décider que la Caisse
sera ouverte tous les jours, de 9 heures à
midi, jusqu'à la clôture de l’emprunt.
Le C«aissier se tiendra à la disposition
du public, donnera tous renseignements
utiles et recevra toutes les souscriptions,
qilëla que soient les modes de paiement.
Or échangé. — Lés trois Caisses publi-
ques de Monein qui échangent l’or, ont
reçu 17.940 fr. depuis le 17 octobre. Cela
porte à 150.358 fr. la somme totale échan-
gée à ce jour.
OLORON, Ravitaillement de l’Ar*
mée. — Lès achats de bovins sont mo-
miemtanétment suspendus et seuls seront
admis à présenter des animaux les pro-
priétaires qnue leur ordre d’inscription a
permis d’appeler pour la réception du
7 décembre courant.
Lès achats de moutons continueront,
; mais avec une forte réduction des con-
; tingents jusqu’à nouvel oordre. Les in-
, téressés seront 'appelés suivant leur or-
dre d'inscription.
——
OHEOMIOÜ1STTI
M. Glémencëaü, qui n’esfe mobilisé
que comme journaliste et qui est en-
: core mobilisable comme ministre, ôfiU
il est bien moins vieux que M. de
Freycinet et beaucoup plus alerte que
M. Combes ou M* Méline, écrit que
l’on pourrait mobiliser beaucoup de
malingres à l’oeil de feii et â î’âroe
d’acier, On récupérerait ainsi pas mal
de combattants.
J’en suis persuadé. De mémo on
{joürriiit prendre des.quantités d’hom-
mes de cinquante à cinquânie-huit atis
qui rendraient les mômes services qiié
les II. A. T. Comment la chose n’est-
elle pas justement évidente puisqu’on
choisit des ministre de 87 ans ?
Des borgnes alertes, des bossus
allègres, des boiteux, dés hommes trop
maigres et des hommes trop gros
seraient parfaitement utilisables. Pas :
tous dans les tranchées, mais la plu-
part à l’arrière où incontestablement
ils remplaceraient, sans déperdition
nationale, des impies ou pieux infir-
miers, des gratte-papiers, des chauf-
feur et des ordonnances qui pourraient
s’illustrer au front. 1
Mais je me permets — quoique leur {
puissance en impose — de dénoncer 1
une catégorie d’individus qui ne sont
pas embusqués et qui ne sont mémo j
pas mobilisés, justement parce qu’ils .
sont trop puissants: je déclare la guerre
au cent kilos. c
C’est une chose abracadabrante et i
imbécile que les hommes qui repré-
sentent un quintal métrique soient
systématiquement tenus en dehors de 3
l’armée alors que dans le civil ils ter- f
rorisent tout le monde par leur valeur i
corpulente.
Dansjes gros, il y a certes quelques -
ratés, *des mastodoutes poussifs et «
courts, mais les Halles et les ports des
grandes villes sont pleins de Torts, de d
coltineurs et de déchargeurs de taille 8
énorme et de superbe prestance capa- m
blés de tuer un bteuf ou ùn boche -
d’un coup de poing ; or les gendar-
mes du conseil de révision les répu-
dient avec mépris, sans môme les ad-
mettre à la comparution solennelle,
soiis prétexte qu’ils pèsent trop.
J’estime que la règle est idiote et que
le médecin devrait considérer si l’hom-
me puissant par le poids et le muscle
peut utilement servir. Cette garde de
barrière, cette garde des cent kilos est
peut-être bonne pour la reproduction.
J’estifne pourtant qti’à l’heure où l’on
ramasse les malingres dès qu’on en
trouve, on pourrait bien faire appel
aux forts. La superstition de cent kilos m
n’est pas de notre temps. Est-ce qu’on **
renverrait Joffre s’il passait de 99 kilos
à 101 ? ?
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toughi née GaiVpt et ses enfants (de Ma-
la.ga, Espagne) ; Ml le Marguerite Ga.llot,
font part à leurs arius et connaissances
de la perte douloureuse qu’ils viennent
d’éprouver en la personne de
Mademoiselle Jeanne BALLOT
décédée à M.alaga (Espagne), Je 27 No-
vembre 1915.
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Mmo Veuve Lajoie ; Mme Veuve Tou yoga
(de Gelos) ; M. et M“B Eugène Lajoie "et
leurs enfants ; Les familles Touya^a
(d’Oloron, de Pau, de Gelos et de
Jurançon), Touzet (de Pau), Lajoie (de
Gelos et de Lourdes), remercient les per-
sonnes qui leur ont fait l’honneur d’as-
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LA GRÈCE ET LES ALLIÉS
ATHENES. — Les milieux grecs conti-
tient à temporiser. L’Etat-Major fait de
ouvellM objections, néanmoins les né-
Délations continuent. Les mesures prises
ar les alliés, selon lesquelles l’embargo
été mis sur de nombreuses marchan-
des à destination de la Grèce, a causé
ne vive émotion, notamment dans les
ihères commerciales .
Les Empires du Centre tentent un su-
rême effort pour empêcher la Grèce de
idor aux Alliés et pour amener les Alliés
abandonner la campagne balkanique.
TRANSPORT GREC COULÉ
ATHENES. — Un transport grec a été
HC!Ô près de Malte par »n BOU?marin
llomand. L'équipaga, a été sauvé.
LE GÉNÉRAL PORRO EN FRANCS
PARIS. - Le général Porro est arrivé
Paris, ce matin, à 9 heures.
EN ROUMANIE
ZURICH. — Suivant la « Gazette de
Q9B » rien encore n’èst décidé concer-
ïnt les exportations roumaines. Lee
, pourparlers continuent. L’agitatian en
fayeur de l’intervention roumaine aug
mente journellement.
LES AMÉRICAINS ET LA SITUATION
FINANCIÈRE ALLEMANDE
NEW-YORK. — Les experts financiers
affirment que les banques de New-York,
voyant la gravité da la situation finan-
cière de l’Allemagne, ont retiré Ie3 som-
mes dont ils disposaient à Berlin.
LA DÉMISSION DE BISSING
AMSTERDAM. — On as3ure que Von
Bisssng démissionnerait le premier jan-
vier. Sa détermination est dictée peur des
raisons de santé.
ATTITUDE- SIGNIFICATIVE
DE LA GRÈGE
ATHENES. Les « Daily Ne vs » ap-
prennent qus vendn di, at» s ia chute de
Monastsr, ce nombreux soldats serbes se
retirèrent sur le territoire grec. Non seu-
lement ils ne furent pas désarmés ; mais,
au contraire, on les entoure des meil-
fture «oins.
«exemple aux nombreuses bénéficiaires
«de l’allocation militaire susceptibles die
vivre et de faire vivre les leurs sans
l’aide de l’Etat
Nous félicitons d’autant plus chaude- i
ment oetto mère de famille qu’elle est la ]
Première, croyons-nous, à avoir fait ’
preuve d’une pareille abnégation nui
«levrait figurer sur un Livre d’or à ins-
tituer à cet effet.
"**“*
AU PROFIT DU CONVOI
AUTOMOf*IJ.E BÉARNAIS ET BASQUE
Une Matinée au profit du Convoi 1
a Amhuiances Béarnais et Basque sera
donnée par des amateurs, dans lés S.a-
lons de l’Hôtel de France, le vendredi 1Q
Décembre, a J heures et demie
Au programme : ’ t
^Ouverture ; „ U Guerr, «,„ panUm. I
intei mode musical par M TVvrfïa
« 1915 », revue àa itfp lorfa
5 £ prix des V1*»* e5 fixé à 10 fr. et
FrmceeTî^ M^fSrrf 8 S l’H6tel ,ll!
‘'OEuvre, becrétaire de (
—'{Vy
PRESTATION DE SERMENT
dSïïntn 10 Tribunal civil, trois
t^it én : MM,', Daras> M.-O., préposé d’oc-
tfin tAiPrHge 11 l0'T p::M-> surnuméraire des
Contributions Indirectes et Hourcade,
;;:L-’TPr6i)0ff ,de3 Contributions Indirec-
tes, ont prêté le serment d’usage.
——.
ASSISTANCE JUDICIAIRE
i k?huieaud Assistance judiciaire près
Jo 1 ribunal Civil est ainsi composé pour
i année 1915-16 :
Président : M. Itives ; Membres : MM.
i erner et Crouau, avocats ; Migndt,
avoue et Lebon, receveur de l'Enregistre.
greffier, becrétairo : M- Arcau> commis-
—-A®/—s
POUR LES BLES8ÉS
ETL.ES MUTILÉS SE LA GUERRE
Préfet* ,!o M 0, 1} 1 Patronnage de M. le
ral anrîn/L ° Maire et de M- ^ Géné-
rai, auront lieu, sous peu de jours, deux
1 naiôisM "£*,Uqn 83 uu f’rotit «les oeuvres
1S d|Ta gue^rrS aUX Wessés et ,na,i-
Il faut songer aux uns et aux autres
-ÿ^ter par f°ds les moyens possibles
üHiIeSoS,0Urce«* d.une réalisation plus dif-
Vr« ini profit. de C0S héroïques victimes
iau ,9hamp d’honneur, faciliter
i* .” ^éducation professionnelle, assurer
|eur bien-être dans les hôpitaux où cos
braves sont hospitalisés et soignés.
« i fauti aussi rongée aux nombreuses
cigales du monde dos artistes, aux ou-
1S vdvaicn^ do l’Art et, ne trouvent
p 1 1-S °n trouvent, d’occupations ré-
munéraires en dehors de celles qui les !
faisaient vivre. 4 ;
tes ‘hmnic°hiÏÏotaCtGU ?’ rnusiciens> choris- .
! C i‘ ., f>s ont aussi quelque droit
toiît ÏErsodlcltude> d’autant qu’ils sont
InnL >r'osés' (luand l’occasion s’en pré-
tem& ? second0r !es efforts de ceux qui
vroT } .au P^lic l’escarcelle de nos oeu- ;
r > ,U 1 °ffrant une saine distraction, i
lT« e3t le cas aujourd’hui. I
.^Première séance dont il s’agit aura 1
ilfü e •i’! d/‘ccnibre sous forme de con- J
cert au .Théâtre de la rue St-Louis.
Bien des précieux concours sont déjà
assurés. Figureront, entre autres artistes
au programme: Mlle Louise Balthy, l’ori-
ginale diseuse bien connue h Pau, Mlles .
Bailac, Nordi, de l’Opéra-ComiqUe ; Mlle 1
St-Gerrmer, MM. Fournets, Cazenave, do
i Opéra ; Chevalier, Villaret, de l’Opéra-
Comique ; Dubois, dont les habitués du
1 niais d Hiver Qnt gardé le meilleur sou-
venir comme artiste et comme metteur
en scène.
Voilà certes bien des éléments qui per-
met t#nt d’assurer le succès dès la pre-
îmère séance. Le public aura en effet une
iielJe occasion do faire le bien en profitant
d un dérivatif, sain et artistique, à do
bien légitimes préoccupations
——
AU CIMETIÈRE MUSULMAN
La cérémonie d’inauguration dui monu-
ment élevé au Cimetière Musulman du
Hameau aura lieu le jeudi .9 décembre,
a o heures avec le concours des Autori-
tés militaires et Civiles.
Un poème sera lu par Mlle Arma de
J>aume, qui s’est consacrée à cette belle
oeuvre et ne perd aucune occasion de
provoquer les témoignages d’admiration
et de reconnaissance que nous devons à i
toais les braves défenseurs de la Patrie. *
« MANON » AU THÉÂTRE MUNICIPAL î
r>st demain di- ?
manche, a $ h. 1/2, au Théâtre Muni- ‘ ,
de*^ ALanon613^ doajl^e ^ représentation r
(P^iqué les précédents ,
«communiqués, 1 interprétation sera de 1
tout premier ordre avec : Mlles St -Ger- )
eTBaJterOT" 11 1 Chevalier' v‘“aret |
Les moindres petits rôles auront d’ex-
celients protagonistes, et tout contribuera
a donner (le l’éclat à cette représenta-
tion de gala.
AflmiSni? 80119 ,!e P^istyle du Théâtre
Municipal samedi et dimanche de 10 h.
à midi et de 2 h. à 5 h.
*
xfii 1 xr St-Germier étapt souffrante, c’est
Mlle Valogne, l’artiste goûtée de l’Opéra-
Lomique, qui chantera le rôle de Manon
ce soir dimanche.
——
CRISE DE FOLIE
Le jeune M..., 15 ans, garçon char-
« dan.s un magasin de la Place die
la République, a été atteint subitement
«u une crise de folie furieu-ae, hier après-
midi. Aucun homme ne se trouvant dans
« riu0"’ dAEUX agents ont dû garder
malheureux jusqu’à l’arrivée du« pèfie
{irévenu télégraphiquement, est
A’enu prendre son fils.
—'©Z
CHEVAL EFFRAYE
Hier soir, vers 4 heures 1/2, un cheval
attële, appartenant à M. (iaillat, qiudii-
cailler à la Croix-du-Prince et conduit
par le nommé Trille Joseph, s’est effrayé
rue Nouvelle-Halle, à l'approche du
tramway électrique. Avant que le con-
ducteur ait pu le maîtriser, ranimai
s’est jeté sur 1’«automobile de M. René
Sedaud, demeurant à Aire-sur-l’Adour.
La voiture de ce dernier a été abîmée.
Devant le Café de l’Europe, place de
la Halle, le cheval a endommagé le
garage à bicyclette de l’établissement.
Pas d'accident de personne à signaler.
—'§*/—
NÉOROLOGIE
T... novembre 1915.
Ch or Monsieur Aubert,
Je vous terais bien obligé d'avoir la*
bonté (l’insérer dans le plus prochain nu- *
méro de votre journal le discours ci joint
qui a été prononcé sur la tombe d’un de
n°§ cqiparades et compatrjpte mort au
champ d honneur. Je désirerais égaie- ^
i
! îie'!î^ Passible que vous accompagniez
t discours d un petit article à vous per-
I rrldé"ï?mr“\t que quoique 0,AE-
i !,a ,r de cnlKtuer lo service dM G. V. C.
1 snmrnaV°?S do,s lds.9u«^ sü'itout nous qui
' °ïï! 3 Au? 5 îa fiüi^’des armées,
j la 5e9tio« ü a été fait une
> C„Z^ ‘i 01 a produit la somme de 150 fr.
lVhqfUi' avons envoyé à la veuve* plus
l achat d une couronne;
Los honneurs rnilitMi^ès lui ont été ren.
dus par ses campes. iU 1 eté ren*
nommé Hôo, de La-
“uûf’f 3 Monein, est mort par
d'unti' tamponnement d’une machine
servi-n V1 en marche de Vitesse dans son <
e’et iTt b leU,r ’ î’ai compris que
. était le. tué do la sorte et malheu- (
reusement il y en aura encore d’autres.
veuillez agréer, cher Monsieur, avec I
mes plus vifs remerciements, l’hommàâe
de mes salutations les plus empressées.
J. E.
Mesdames, Messieurs, mes Amis,
Comme délégué du Commandant de la
Section A, retenu à T... par les nécessi-
tés du service, j ai le pénible devoir
d «adresser un dernier «adieu au camarade
HHA U (.: îF l9xercic« dü scs fonctions.
HOo était originaire du département
deSc?S‘P/!’éliéf 0t disait partie du
, iégnnent territorial. Depuis le mois
ce Mai il était affecté au service de la
Se de° 8 V°iCS ܰ cornmunicatb)n, 6 au
Avant-hier, vers 6 h. 1/2 du mMln n
suivait la voie ferrée entre U *
j lard nui’ rS!u’Jf°mpé paT brrniil-
* ‘ Jyu rognait en ce moment 11 s’e^t
i fait hapPer Par une locomotive.’ 1
| La mort a été instantanée *
j rotoll déjà S^Sî.4..«but» au marty.
porte iospace notre pensée su
t la fanal le de ce malheureux
toUte? !es nôt|,é8» elle attendait
impatiemment lp. fin dé cette horrible
guerre pour revoir l’être cher.
Hélas ! sa femme, ses trois enfants ne
tê verront plus !
Sa femme ne pourra plus presser sur
son coeur le compagnon aimé de sa vie,
■ses chers enfants ne pourront plus em-
brasser leur papa. Ils n’auront môme
pas la triste consolation de l’avoir con-
| du il a sa dernière demeure.
Mais, pour les suppléer il y a id la
« grande famille militaire : sês camarades
j qui éprouvaient pour lui une vive svm-
: p.athie, ses Chefs qui l’estimaient car
; c était un soldat modèle,
j t yuant à nous, mes «amis, continuons k
. taire tout notre devoir, soyons flêr de
‘ servir notre Patrie ; ayons confiance, le
jour do Gloire que célèbre notre chant !
I national illuminera bientôt l’horizon. i
j A la famille du disp«aru nous envoyons j
1 1 expression de nos condoléances émues. !
Camarade Hôo dors en paix dans les
larges plis du drapeau do la Franco, car
tu es mort à son service.
! ,„Au !?om,de tous» jo t’adrease le suprê- 1
l me «adieu ! 1
Et maintenant, soldat Hôo, vos cama-
rades vont vous rendre les derniers hon-
neurs militaires : Caporal, commandez :
le « Garde-à-vous ».
25 Octobre 19:15. |
Adjudant NESPEZE. i
-—|
MA TANTE D’HONFLEUR \
Io0ation pour la représentation de
« Ma 1 ante d’Honfleur » sera Ouverte
lundi matin de 10 heures ii midi et de
LhtXlu4ThétoerMdUSOir’sousl.epé-,
CONVOI AUTOMOBILE
Béarnais et Basque
D’AMBULANGES SUR LE FRONT
Sommes versées à la Préfecture :
Mmo Berteaux, à Pau, 400 fr. ; Sous-
^ iptions rocuedlies dans les communes
de . Bourgarber, 12 fr. ; Diusse, 50 fr. >
Ossas-Su pare 47 fr 25 ; Malàussanne
-1 fr, , Bidart, 198 fr, 50 ; Laeq, 46 fr.
Bayonne (3« versement), 200 fr. ; Labatut
U ff_r’. ^onségur, 55 fr. ’ 15 ; Aren,
Norn ’ f Oétfr q’ r 23 fr,; Ossocrain- 35 fr• ~5;
hem rrfr; ’ .Lac.arre, 3 fr. ; Lasseu-
beutat 55 fr 50 ; Barcus. 177 fr. 55 >
ka6 °f’2i!r: irArudy-' 36 ;r‘ ^5.{ Domezak
il i5f’rMnG'0r’ > Arbouet-Sus-
saute 53 fr ; Orion, 1B0 fr. 40 ; Bricous,
lS3ffrvA’. f-oubieng, 18 fr. ; Orsanco
nnnfô u\ SFrrajlce> 41 fr- ! Tabaille-Us- !
quam, 111 fr. ; Dognen, 10 fr. ; Portet,
AJJ À- Loscun> 29 fr. .50 ; Buzy, 80 fr I
Amendieux, 75 fr. ; Gabat, 50 il ; -
t! 1 {<
SMiscrintions recueillies e.n qualité dte i l
déléguée de l’oeuvre : j i
1° Aüne Combemale, Directrice de l’hô- ‘ '
pilai de Lescar, 100 fr. i
AT Lef inscriptions recueillies \ ]
devront être adressées à M. Carrère, Tré- i <
f01Jfr de 1 oeuvre, Préfecture- Pau avant S 1
le 10 Décembre courant, dernier déhai. j
—^ 1
EGLISE RUSSE i
Il y aura Messe Divine à l’Eglise Or- : f
-hoxe Russe de Pau, 18, rue Jean-Réveil 1 (
3e Dimanche 5 Décembre 1915 à 10 heures }
ît demio du matin. ■ 1
Matines à 10 heures.
Confession avant la Messe.
Il y aura un Service Religieux à l’Egli-
se Orthodoxe Russe Saint-AJexanure
Niewsky de Pau, 18, rue Je«nn-Révèil, ce
Lundi 6 Décembre 1915, à l’occasion de la
Fête Patronale de l’Eglise.
Matines à 10 heures du matin.
Messe Divine à 10 heures et demie.
Aussitôt après la Messe un Te-Deum.
Confession avant 10 heures du matin.
•—'Q/—
FOOT-BALL RUGBY
La Section Palolee
contre
l'Union Sportive Jurançonnalse
Aujourd'hui dimanche, à 2 heures 3/4
, M. Bergez, le brillant trois-quart centre!
j sifflera le coup d’envoi de la rencontre
| qui mettra en présence les quinze pre-
miers de la Section Paloise et de l’Union
j Sportive Jurançonnalse.
I>e Comité de la Section Paloise en met-
tant son terrain à la disposition de nos
jeunes gens fait oeuvre utile et patrioti-
que. Nos enfants pourront ainsi «acquérir
des qualités d’endurance de décision et
d’initiative Çfui feront d’eux d’excellents
soldats.
. ke sport est à l’ordre du jour et le
football se pratique sur tout le front. Nos
cher équipiers de la Section Paloise pro-
fitent de chaque journée de repos pour
s adonner à leur jeu favori. Récemment,
au. Vf.’ nn quinze sous le commandement
de) 1 international Domercq battait de
justesse par 3 essais à 2 essais une équipe
n-ant no«ur capitaine Espelette, l’excel-
lent demi d’ouverture.
Ta jenreese paloise n compris son de- .
\°'r . r! »‘iifvc courageusement à ;
; ouvrog-«. . e public ne lui ménagera pas ’
■ -t i:"on".g>-ti!cni.s. Aussi souhaitons- •
qu il vienne nombreux applaudir las
p.procurées Par le match qui se
lo'ienynr le magnifique grourid de la
Croi x -du- P n nce.
Voici la oomposition de l’équipe é* la
Section- Paloise : J
j. •
(Arrière : Mailter i ,
Trohynarîs : André, Duipouy, Porche-
ron, Bellocq (cap.) ;
Demis : Piteu (m.), Chigé (o.) ;
T ^.van}s '• Mestressat, Fourrau, Prat,
Labat Lauga, Mur, Peuvrel, Toulou.
Prix des places : Tribuhéà, 0 îh 55 ;
Pelotée : 0 fr. 25. ' ’
Avis. — ETI cas de mauvais temps, le
•match sera renvoyé à une date ulté-
rieure.
W*W
Nous rappelons que c’est demain Di-
manche que le Foot-Ball-Club Béarn se
rencontrera avec l’Union Sportive Pa-
loise sur le terrain de la Ligue a Juran-
çon.
Coup d’envoi 4 2 h. 3/4.
Pritc des places : Tribunes, 0 fr. 25 ;
Pelouse, 0 fr. 15.
Sur le même terrain, à 1 h. 1/2 aura
lieu une autre rencontre entre les équipes
.secondes de l’Union Sportive Paloise et
de l’Union Sportive «TuranÇofinaisè.
•—-
LES OONGERTS
du Pavillon des Arts (Plàce Royale).
Dihiancbe 5 Décembre 1915,
à 3. de l’après-midi s
GRAND CONCERT SYMPHONIQUE
Sous la Direction de M. Albert TORFS.
PnORRAMME :
Première Partie.
1. Les Masques (ouverture). Pedrotti
2. Berceuse L. Laporte
,3. Scène Champêtre B. Godard
4. La Férla Lacome
(suite d’onchetre).
Deuxième Partie.
5. Le Pré aux Clercs Hérold
(Ouverture. )
6. a) La Veillée de l’Ange
Gardien Piernê
b) La Pluie David
7. Menuet de la Cour des
Miracles A. Gauwin
8. Sélection sur « Sigurd ».. Reyer
Prix d’Entrée : 0 fr. 75.
Mardi 7 Décembre 1915,
à 3 h. de l’après-midi :
GRAND CONCERT SYMPHONIQUE
• ——
) BIZAN08. ,—■» Le Mali’ë de Bizainos in-
TbrriiÔ ses administrés que les souscrip-
; U°fis pour le Convoi automobile Béair-
; nais et Basqiue sur le Front sont reçues
« au Secrétariat de la Mairie jusqu’à jeudi
, 9 courant.
JURANÇON. — La, pbpüiation jurah-
çonnaiso, reinplie de la plus pénible émo-
tion, s’est fait un pieux devoir d’accom-
pagner, au lieu suprême du repos, Ber-
nard Lamayre, âgé de 90 ans, qui con-
serva, jusqu’à ses derniers moments, une
rernarquabl»3 lucidité d’esprit.
Nqus n’apprendroiis ïiéh à personné,
t u disant que le cher disparu était un
honnête homme dans toute l'acception du
mot ; c est pourquoi il emporte l’estime,
1 affection même de ceux qui l’ont connu.
Il sut prêter un concours empressé aux
oeuvres philanthropiques et patriotiques,
n jn£ternPs d resta maire de Jurançon
Pendant cotte période ses administrés
reconnurent, en lui, l’homme dévoué à
la chose publique et, surtout, l’homme
particulièrement droit dans les affaires
communales ; il fut sage, prudent et vi-1
gilant. j
Jusqu’à sa mort il garda la présidence ;
cl une Société locale pour i’odrhinistra-
tion de laquelle, 16 gouvernement de la
République lui décerna la médaillé d’ar- ;
gent. ;
Puissent les regrets, exprimés par tous,
être un adoucissement à l«a grande dou-
leur des siens, à qui nous présentons du !
fond du coeur, ën cetie péniblo cii'cons- i
lance, l’expression do notre bien compa-
tissante sympathie.
■J. E, P.
BETHARRAM, — Séance réoréative. —
Dimanche dernier* 28 novembre, les
Convalescents étaient, invités A une séiim I
Les amis et les bienfaiteurs
uc ] hôpital s’étaient donné rendez-vous !
pour porter aux officiers et aux soldats 1
une preuve nouvelle de leur haute sym- î
patine et pour passer avec eux une soirée l
charmante, toute remplie de beaux spec- !
tacles et d artistiques émdtioftô.
Des hiorëeaux de piano à qimtre mains l
ouvraient chacune des deux parties du I
-oncert. Doux maîtres du clavier, assez i
grands pour que leur nom fut dans cette (
séance l’ornement le plus précieux et i
I aubaine la plus rare, trop ftiodêsteis j
pour votildir y être nommés, nous ont î
9rarcuré un plaisir de choix dans la
< Marche héroïque » et la « Danse Maca-
bre » de Saint-Saëns. La précision du
eu, 1 intime fusion des parties, la grâce ; i
les traits mélodiques finement soulignés, t -
fi peut-être surtout l’énergie avec laquelle î
la ont rendu les harmonies puissantes j i
le cas deux pages magistrales, leur ont « i
ibténu de la part des vrais Connaisseurs, ; !
nombreux dans la salle, ’es hommages i \
es plus flatteurs. I 1
Le tirailleur Salah ben Balgacem a
fait applaudir une Chanson franco-arabe
u une étrangeté savoureuse, rehaussée
pâr un accompagnement de mandoline et
«pntare délicatement joué par MM. Gra-
not et Giyardin. Dans 1’ « Amoroso » de
Ghnmihade ét la tt Sérénade i> de Holmôs,
aille Alice Vaguet a déployé toutes les
ressources de sa belle voix aux sonorités
éemtantes. La gracieuse Mlle Souyeux a
traduit avec bonheur, d’une voix déli-
cieusement légère, limpide ot fraîche
comme un gazouillement, 1’ « Ecrin » de
Ghaminade et la « Romance du Tribut de
Zamora »« Après des fantaisies béarnai-
ses pittoresques et cocasses dites avec in-
1^ d’€SPI’it. Par l’auteur lui-même,
Mlle Dury a fait applaudir plusieurs
chansonnettes détaillées «avec un ch«arme
exqui3. Le beau chant populaire « Regar-
dez passer la Patrie », énergiquement
scandé par elle et repris en choeur par
les Convalescents, «a obtenu un vif suc-
cès. Elle a développé la richesse de son
timbre dans un grand morceau lyrique
« Le Nil » de X Leroux, dont elle faisait
ressortir la poésie évocatrice et la nos-
talgique langueur. La portie de violon
concertant était faite dans ce morceau
par Mlle Canton. Il faut admirer chez
cette jeune artiste un grand talent d’exé-
cution, une impeccable sûreté dans ia
touche, une intelligence subtile de l’oeu-
vre à interpréter, et, par dessus tout, ce
don unique, cette vibration profonde,
cette passion qui suspend des coeurs au j
moindre frémissement de l’archet. L’in-
comparable cantatrice qu’est Mme Chré-
tien-Vaguet se devait de venir orner de
sa voix généreuse cette fête de bienfai-
sance. Dans « Le Curé de Vareddes », et
plus encore dans » Le Rêve » elle a mon- \
tré ce rare tempérament, dramatique \
qu’admirent tous ceux qui ont eu la for- .5
tune de l’entendre. Elle est plus qu’une '
«artiste, rendant avec puissance les émo-
fums d’un autre ; elle est une âme ori-
iT 1 ni u le et fougueuse nul s'impose à l’au-
ditoire avec, une véritable éloquence i.
! î)ie enthousiasme qui se dégage de soii
1 2m!' M’ Va^uet> toujours égal à lui-
meme, avec cette délicieuse bonhomie
HhiJi Va^°ir encore son beau talent de
nous à donné l'a joie de con-
% maturité de l’art,
inAEn la ieuhe.sse dd toeur ai do là
voix. Dans une simple « Romance » aussi
bien que dans le « grand Air de Dimitri
de Joncïères », il a déployé cet art sé-
auisiuit, cette heureuse facilité qui passe
ert ^ jouant d’üfi extrême k l’autre, de
la « tenue » éclatante au murmuré lë
plus subtilement filé. Le « Madrigal de
Roméo et Juliette », ce marivaudage mu-
sical si aimable dans sa grâce frivole et
preêiease, chanté par M. et Mme Vaguet,
a été vrâimëiit pour tüiis uii régal
Deux pièces de Courteiine, jouées pdT
des Convalescents, coupaient heureuse-
ment la succession des morceaux de mu-
sique. « Lidoire » est une farce militaire,
qne pochade irrésistible, d’une observa-
tion très vraie sdus là truculence dos
termes et la grosse bouffonnerie des si-
tuations. MM. Laforet, Stuckert, Ëi-
geault, Coutet et Deltour ont fort bien
tenu les rôles de. la pièce. La silhouette
rlu Permissionnaire de dix heures a été
admirablement croquée par M. dü Sâtilt
ivec les gestes mous qui conviennent et
une langue pâteuse à souhait. « La paix
fiiez soi », une fine comécîié d’hné psy-
fiiologie minutieuse et d’une malice ai-
guisée, avec ces mots inattendus, comi-
'ipea et profonds ,qui révèlent la touche
d lin iriàüfd; a été le grand südcès de la
séance. M. L«aforet a renau âVfiô iiuê vé-
rité parfaite le caractère de Trielle. Là
distinction naturelle de ce jeune acteur,
l’aisance de ses «attitudes, son flegme im-
payable faisaient Uii digne pendant à la
grâce espiègle, un peu évaporée, de Va-
lcntine Petite perruche bavarde et vo-
lontaire, bon coeur et cervelle d’oiseau,
ce rôle difficile a été tenu avec un naturel
inimitable par M118 Arthânde Vaguet.
Elle parle, s’agite, se fâche, nt êt San-
glote avec une justesse d’accent mer-
veilleuse. Elle s’est révélée, en toute vé-
rité comme une comédienne accomplie.
MO N El N, — Caisse d*Epargne. — Afin
de faciliter les opérations relatives à
l’emprunt national, le Conseil d’Adminis-
tration vient de décider que la Caisse
sera ouverte tous les jours, de 9 heures à
midi, jusqu'à la clôture de l’emprunt.
Le C«aissier se tiendra à la disposition
du public, donnera tous renseignements
utiles et recevra toutes les souscriptions,
qilëla que soient les modes de paiement.
Or échangé. — Lés trois Caisses publi-
ques de Monein qui échangent l’or, ont
reçu 17.940 fr. depuis le 17 octobre. Cela
porte à 150.358 fr. la somme totale échan-
gée à ce jour.
OLORON, Ravitaillement de l’Ar*
mée. — Lès achats de bovins sont mo-
miemtanétment suspendus et seuls seront
admis à présenter des animaux les pro-
priétaires qnue leur ordre d’inscription a
permis d’appeler pour la réception du
7 décembre courant.
Lès achats de moutons continueront,
; mais avec une forte réduction des con-
; tingents jusqu’à nouvel oordre. Les in-
, téressés seront 'appelés suivant leur or-
dre d'inscription.
——
OHEOMIOÜ1STTI
M. Glémencëaü, qui n’esfe mobilisé
que comme journaliste et qui est en-
: core mobilisable comme ministre, ôfiU
il est bien moins vieux que M. de
Freycinet et beaucoup plus alerte que
M. Combes ou M* Méline, écrit que
l’on pourrait mobiliser beaucoup de
malingres à l’oeil de feii et â î’âroe
d’acier, On récupérerait ainsi pas mal
de combattants.
J’en suis persuadé. De mémo on
{joürriiit prendre des.quantités d’hom-
mes de cinquante à cinquânie-huit atis
qui rendraient les mômes services qiié
les II. A. T. Comment la chose n’est-
elle pas justement évidente puisqu’on
choisit des ministre de 87 ans ?
Des borgnes alertes, des bossus
allègres, des boiteux, dés hommes trop
maigres et des hommes trop gros
seraient parfaitement utilisables. Pas :
tous dans les tranchées, mais la plu-
part à l’arrière où incontestablement
ils remplaceraient, sans déperdition
nationale, des impies ou pieux infir-
miers, des gratte-papiers, des chauf-
feur et des ordonnances qui pourraient
s’illustrer au front. 1
Mais je me permets — quoique leur {
puissance en impose — de dénoncer 1
une catégorie d’individus qui ne sont
pas embusqués et qui ne sont mémo j
pas mobilisés, justement parce qu’ils .
sont trop puissants: je déclare la guerre
au cent kilos. c
C’est une chose abracadabrante et i
imbécile que les hommes qui repré-
sentent un quintal métrique soient
systématiquement tenus en dehors de 3
l’armée alors que dans le civil ils ter- f
rorisent tout le monde par leur valeur i
corpulente.
Dansjes gros, il y a certes quelques -
ratés, *des mastodoutes poussifs et «
courts, mais les Halles et les ports des
grandes villes sont pleins de Torts, de d
coltineurs et de déchargeurs de taille 8
énorme et de superbe prestance capa- m
blés de tuer un bteuf ou ùn boche -
d’un coup de poing ; or les gendar-
mes du conseil de révision les répu-
dient avec mépris, sans môme les ad-
mettre à la comparution solennelle,
soiis prétexte qu’ils pèsent trop.
J’estime que la règle est idiote et que
le médecin devrait considérer si l’hom-
me puissant par le poids et le muscle
peut utilement servir. Cette garde de
barrière, cette garde des cent kilos est
peut-être bonne pour la reproduction.
J’estifne pourtant qti’à l’heure où l’on
ramasse les malingres dès qu’on en
trouve, on pourrait bien faire appel
aux forts. La superstition de cent kilos m
n’est pas de notre temps. Est-ce qu’on **
renverrait Joffre s’il passait de 99 kilos
à 101 ? ?
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vembre 1915.
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M. et Mme Denis Lajoie et leurs enfants'
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LA GRÈCE ET LES ALLIÉS
ATHENES. — Les milieux grecs conti-
tient à temporiser. L’Etat-Major fait de
ouvellM objections, néanmoins les né-
Délations continuent. Les mesures prises
ar les alliés, selon lesquelles l’embargo
été mis sur de nombreuses marchan-
des à destination de la Grèce, a causé
ne vive émotion, notamment dans les
ihères commerciales .
Les Empires du Centre tentent un su-
rême effort pour empêcher la Grèce de
idor aux Alliés et pour amener les Alliés
abandonner la campagne balkanique.
TRANSPORT GREC COULÉ
ATHENES. — Un transport grec a été
HC!Ô près de Malte par »n BOU?marin
llomand. L'équipaga, a été sauvé.
LE GÉNÉRAL PORRO EN FRANCS
PARIS. - Le général Porro est arrivé
Paris, ce matin, à 9 heures.
EN ROUMANIE
ZURICH. — Suivant la « Gazette de
Q9B » rien encore n’èst décidé concer-
ïnt les exportations roumaines. Lee
, pourparlers continuent. L’agitatian en
fayeur de l’intervention roumaine aug
mente journellement.
LES AMÉRICAINS ET LA SITUATION
FINANCIÈRE ALLEMANDE
NEW-YORK. — Les experts financiers
affirment que les banques de New-York,
voyant la gravité da la situation finan-
cière de l’Allemagne, ont retiré Ie3 som-
mes dont ils disposaient à Berlin.
LA DÉMISSION DE BISSING
AMSTERDAM. — On as3ure que Von
Bisssng démissionnerait le premier jan-
vier. Sa détermination est dictée peur des
raisons de santé.
ATTITUDE- SIGNIFICATIVE
DE LA GRÈGE
ATHENES. Les « Daily Ne vs » ap-
prennent qus vendn di, at» s ia chute de
Monastsr, ce nombreux soldats serbes se
retirèrent sur le territoire grec. Non seu-
lement ils ne furent pas désarmés ; mais,
au contraire, on les entoure des meil-
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