Presse et revues
2 pages
Titre : L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région]
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1942-04-21
Contributeur : Garet, Émile (1829-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34416250c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 21 avril 1942 21 avril 1942
Description : 1942/04/21 (A75,ED2,N54598). 1942/04/21 (A75,ED2,N54598).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5273680f
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3218
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/04/2020
CHRONIQUE
DEPARTEMENTALE
" —
Achats directs à la propriété
de vin de Jurançon
à appellation contrôlée
Un arrêté préfectoral réglemente
les achats directs à la propriété de
vins de Jurançon à appellation
contrôlée.
Préalablement à ces achats, la-
vheteur. le vendeur et. s'il y a
lieu, le courtier doivent signer une
déclaration de- sincérité indiquant
tous les détails de la vente, c’est-à-
dire la quantité, la qualité pré-
cise et le prix du vin. Cette décla-
ration devra spécifier qui le prix
au vin indiqué est bien celui sur
la base duquel sera effectué le pai-
raenr, de la somme totale perçue
par le vendeur et qu’il est exclusif
de toute soulte. Ces déclarations
de sincérité seront adressées à la
Préfecture <3e divsion >
Un bon d'enlèvement sera en-
suite délivré à l’acheteur pur la
commission de répartition d^s vins
Les déclarations susvisées ne
s’appliquent pas aux achats di-
rects à la propriété de vins d’ap-
pellation contrôlée Jurançon effec-
tues par Quantités égales ou infé-
rieure à 20 litres ou bouteilles.
Quelle infusion
choisirez-vous ?
Vous la voulez aeréable. mais
pourquoi pas active et bienfai-
sante ? C'est Ce que vous obtien
cirez avec la tisane Vichvflore dé-
licieuse au goût et quj exerce un-
action des plus heureuses sur le
foie, les reins, '"intestin.‘Compo.
sée d»_ plantes do icetnent laxati-
ves nepatiaues stomachique* as-
sociée; au Sel Vichy Etat la ti
sane Vichvflore favor'cè la diges-
tion et d»sin;oxioue l'organism»
Vichvflore. 10 fr. 20 la boite. Tte-
Phies.
La défense contre le mildiou
Li défense vignoble contre le
mildiou vient cî’ètre renaue obli-
gatoire dans les parties non occu-
pées des Basses-Pyrénées et des
Landes.
Les mesures suivantes devront
être prises par tous les exploitants:
1. Labourd des vignes: 2 entre-
tien des fessés et évacuation de^
eaux superficeîles: 3 enlèvement
des rejets avant le départ de la
végétation;^ 4 re'oonrçeonnage so;-
«né et répété: 5. recherche et trai-
tement des foyers primaires: 6.
destruction de la végétation de vi-
gnes abandonnées
Les syndicats d* 3 défense contre
les ennuis des cultures devront en
outre 1. Organiser la prospection
et l’extinction des foyers primai-
res: 2 assurer la diffusion immé-
diate des indications fournies par
la station d’avertissement: 3. en-
voyer à celle-ci tous Tes renseigne-
ments sur l’évolution du mildiou:
4 faciliter par l'entr’aide les di-
verses opérations prescriptes et les
traitements conseillés aux exploi-
tants en difficulté: 5. prendre ‘tou-
tes les mesures utiles suivant ICJ:
circonstances.
Chaque syndicat recevra im° ai-
locati-m spéciale de sulfate de cui-
vre nécessaire au traitement d'ur-
gence des foyers primaires.
^ NOURRIS, logés, éclairés 1
pour 20 francs par jour
GAIN : 60 à 80 francs
(Suivant professions»
ON EMBAUCHE
Manoeuvres. Terrassiers,
Cimentiers, Coffreurs.
Mineurs a l’air libre
et de souterrain
(Voyage payé après délai
de présence»
Inutile d’écrire. Se présenter
. M. BECAMPS
| Gare Drignac-Ally 'Cantal» |
Faites-vous
tout ce que vous devez
pour les prisonniers ?
Bien des personnes, ayant en-
voyé des colis de vivres, s’esti-
ment quittes de tout autre devoir
envers un prisonnier.
Il ne faut pas oublier que l'es-
prit réclame sa nourriture avec au-
tant d’insistance que le corps De
même que la privation d’aliments
est une cause de débilité physique,
l’absence de distraction littéraire
ou de travail intellectuel provo-
que l'anémie morale. I
La Croix-Rouge Française est
chargée de faire parvenir dans les
camps les envois aussi bien maté-
riels qu’intellectuels : livres, ins-
truments et partitions de musi-
que. jeux. articles de sport.
Remettez - les dans les Eccies
aux sièges de la Légion, ou à la
Croix-Rouge de votre ville ou col.
laborez a cette initiative par des
dons envoyés au Service d’Aide
Intellectuelle de la Corix-Rouge
2. rue de la Grande-Grille. Vichv
'Compte chèques pestaux Clef
mont-335). .. „
BACH
« en chair et en os »
Comme il était à prévoir, l’an-
nonce que Bach vient etrçsrsoane
jotler Ons « ïvlon Curé chez les
Riches ». Ta pièce tellement po-
pulaire. a provoqué un immense
intérêt Ù Pau. On oeuî prévoit
pour ce nouveau spectacle, mardi
21 avril, â 20 h. 45, une salie ar-
cht-comôle.
Bach est entouré dès meilleurs
artistes de Paris.
î^l P A tfl=
Ut COURSES du PONT LONG
Quoique moins favorisée que» la
p ’tmière sous le rapport du
temps, la deuxième jcurr.ee de
printemps avaii rassemblé au
Pont-Long une nombreuse assis-
te nce. Des lois bien composés et
suffisamment fournis donnèrent
d< l'attrait au spectacle.
Câlin a fait oes débuts victo-
ri .yx sur les haies, dans le Prix
d’Albret, où îi paraissait d’une
meilleure classe que ses concur-
rents; le cheval de M. J. Lignel a
suivi Endeavour jusqu’entre les
tournants; puis, à l’appel de son
jeekey. il est passé en tête et a
gagné aisément. Endeavour con-
s» rvait la seconde place devant
C.ibanella, gagnante il y a huit
jours.
Le Prix du Tremblay a été me-
né très vite par Juliana. qui. en
face, avait une grande avance;
;r.tre les tournants, le lot se re-
groupait et, a l’entrée de la ligne
droite. Bourou. Castel du Rov.
Ari et Juliana galopaient de
fi ont. Sur la fin. Bourou se déta-
chait en pleine piste et atteignait
le poteau devant Casel du Rov.
qui fera mieux sur une distance
Plus longue; Juliana conservait
do peu la troisième place sur Ari.
Le grand favori Révérend a
causé une grosse déception dans
le Prix du Béarn, où il s’est fait
battre non seulement par d’U-
cliacquois. mats encore par Rayon
d’Or. Parti vivement dès le si-
gna!. le poulain du Comte A. de
Custelbajac était rejoint entre ies
tournants par d’Uchacquois. qui
le dominait tout de suite: sur la
fin. Rayon d’O’. venu à la corde,
lui enleait la secande place.
Le Prix c»e Gramont, steeple-
chase-cross-country. a donne lieu
a une très belle course, qui s’est
: minet- par le. double victoire
irs représentants du Baron Jean
d Ariste. Fleur de Bohême a me-
né jusqu’au bots, où ele est tom-
bée; elle a cte remplacée au com-
mandement par Comorin. qui a
couru en grands progrès sur sa
course de Tarbes. Sur la fin, les
chevaux de tète n’avançaient plus
et. dans la ligne droite, la débu-
tante Carabine passait en tête et
aurati pu atteindre le poteau avec
une dizaine de longueurs d’avan-
ce: mais soit cavalier, voyant que
camarade d'écurie Trévise II la
suivait immédiatement, s'est ef-
facé pour se conformer aux ordres
reçus: en l'occurrence, il a opère
très régulièrement et la petite
manifestation de mécontentement
qui s'est produite, a paru hors de
propos aux liabi ués des courses.
Plusieurs candidats à la Poule
d'Essai. qui sere courue diman-
che. se sont mesuré dans le Prix
de Loncnamp La course a permis
Alzonne de remporter la victoi-
re la plus probante de sa carriè-
re; des deux favoris. Siradan n’a
pas existé, et Mifrillo IV. après
avoir mené jusqu’entre les tour-
nants. a cédé brusquement aès
Pat laque d’Aizonne et n'a meme
pas pu empêcher Nibelle II de lui
prendre la seconde place. Le pou-
lain de M. A. Boîngnères peut
avoir l’excuse du déplacement et
sera certainement en meilleure
condition, après, avoir passé la
semaine à Pau.
Trois trotteurs seulement dans
le Prix du Pin. Marabout n’a pas
eu à s’employer pour avoir raison
de la coalition Déjeanne
H. C.
Résultats techniques
Prix d Albret (course de haies'
14.500 fr„ 2.900 m. — 1 Câlin IA'
de Garcia» a M. L. Lignel: 2. En-
deavour (A. I ar.gham) ; 3 Caba-
nela (M. Noé». — N. pi. : Elisè-
ne. Rose d’Or II, Raméous —
2 long.. 2 long. — Mutuel : G
13.50.: PI. : 9. 10
Prix du Tremblay. 18.850 ïr..
l."»00 m. — 1. Bourou (A. de Gara
cia» à M. J. Lignel; 2. Castel du
Roy 'G. Estebenet); 3 Juliana
'E. Pédono». — N. pi. : Cache-
Cache. Coryphée. Ari. Compolize.
— 3 long.. 2 long — Mutuel : G.
14.50: Fl. : 8.50. 12.50.
Prix de Gramont Isteeple-cha-
ee-cross-country». 14.500 fr . 4.500
nètres .— 1. Trevise II (M. E.
Bridous'. à M le Baron Jean
TArisij?: 2. Carabine (M. Peil-
Ioni; 3. Comoatif 'M. Massiet». —
N. pi. : Fleur de Bohème (tom-
bée», Bichac. Quinette (arrêtée).
Commandeur II (tombé). Como-
■in — 12 le ne.. 2 long. — Mu-
uel : Ecurie «i’Ariste G : 42 50:
PI. : 20. 23.50. 23.50.
Prix du Béarn ianglo-arabe à
15 >. 9.900 fr.. 1.800 m. — 1.
D’Uchaquois (M. Coustets* à M.
y. Daugreilh: 2. Rayon d’Or 'G.
Sstebenet': 3. Révérend (J. Bian-
cone». N. pl. : Galam'bet. —
3 long.. 2 long. — Mutuel : G
14.50: PI., 8.50. 12.50.
Prix de Longchamp. 18.850 fr..
1.800 m. — 1. Alzonne ‘F Avns'
■’< M. A. Arnal: 2 Nibelle il (J.
Biancone»; 3 Murillo IV 'J EHs-
ectche). — N. pl. : Componac. Le
Pinard, Siradan. — 2 long. 1 2
1 long. 1 2 — Mutuel : G 23 50:
P'-.. 10,50. 22.
Prix du Fin 'trot attelé». 14.000
francs. 2.500 m. — 1. Marabout
•L. Maumy. â M. Léo Rouleau:
2 Licteur (P. Déréanne).— N. pl.:
Fodas. — Mutuel : 7.
L'ANNIVERSAIRE
DE LA VISITE
DU MARECHAL PETAIN
Messe commémorative
au Château de Pau
Sur l’initiative de M. Molle-Ri-
ves conservateur du Château de
Pau. une messe a été célébrée lun-
di matin dans la chanel'.e du ohà-
; eau par M. I'abbé Sorel. conseil-
ler national et ami personnel du
maréchal Pétain, en commémora-
tion de la visite triomphale
un an auparavant, jour pour jour-
le Chef de l'Etat faisait à Pau. !
A l'Evangile. M. l’abbé Sorel a
prononcé une courte nJlocution
dans laquelle il a précisé le devoir
'les bons Français dans les graves
conjonctures actuelles.
\ cette cérémonie assistaient
entre autres personnalités : M Du
commun, préfet des Basses-Pyré-
nées. les représentants de l’armée.
MM. Malmenéde chef de lu section
cle Pau de la Légion: Pierre Verde-
nal. mairp de Pau: .TouitouT. nre
mier président delà Cour d Appel:
'ncelv. procureur général: Le
Grand, délégué du Secours Natio-
nal. Ca van ilia s consul d ’Esoagne
S^upiouet. Anribure. Challe et
adioints au maire de Pau: Terré
président du « Essi »: Curet. in-
génieur en chef d**s Ponts
Haussées: vénérai Sallenaveh. pré-
sident de la Croix-Rouse. chanoi-
ne Daauzan. vicaire zénéral: cha-
noine Roques, curé de Saint-Mar-
tin. etc
>■+ m+-
Nécrologie
Une vieille figure paloise. chère
f»g;#^-nent rmix Juranconnais vient
de disparaitre. M Adrien ^rontére
organiste de l'église Sain’-Mar*in
ancien répétiteur de la Lyre Pa-
loise et directeur honomire de la
Chorrl ' Jurenronnis? vient de dé-
céder à l’âgé de 77 ans. après une
courte maladie.
. Inlassable dans son travail, mal-
gré une infirmité qui aurait rebuté
les meilleures volontés, patient et
appliqué dans son oeuvre, il cré<*
une génération de chanteurs qui
ont. doté Pau et Jurançon des plus
belles manifestations artistiques
A ses obsèques qui ont eu lieu
au milieu d’une grande affluence,
scs anciens élèves lui ont rendu
ua dernier hommage. Interprète de
tous les amis du regretté Adrien
Frontère. nous prions sa famille
d'accepter nos eondolérme^s èimtes.
THEATRE MUNICIPAL
j Manii 21 (soirée)
H A C H
dans
MON CURE
-L CHEZ LES.RICHES .
Robert Fabre-Luce à Pau
Robert Fau.'e-Lucc. le président
•es « Groupes de Construire ».
St depuis hier à Pau.
On connaît Cï-.ja par la presse
but de cet»e association dui
Test autre que « réaliser du COR-
ret évoquant le spirituel » ?t par
t « retrouver l’âme de nos pro-
inces ».
« Les Groupes de Construire »
-*nt pour but d? contribuer â la
"novation *i»*s traditions archi-
ecrurales françaises en reunis-
ant dans une même association
’es hommes désireux de réaliser
titre d'exemples, des construc-
ions de differents types réeio-
laux e: d’arrivei par le dévelop-
pement de leur section x Artistes
t Artisans ci'Ar. » à une orga-
nisation pratiqu • de l’Artisanat,
ls servirent ainsi le prestige de
t France en faisafa connaître
'es réalisations par une série de
flims.
Robert Fabre-Luce recevra ses
mis et lt*s rtisonnes intéressées
* l’Hôtel d Al'oret. de 10 à 11 h.
Obéissez-vous à vos nerfs
ou vous obéissent-ils ?
Les nerveux qui dorment si mal
ies gens qui s'irritent pour un
rien, dont les gestes sont mala
droits et les réflexes oeu surs do-
minent leurs nerfs et retrouvent
teur calme lorsqu’ils se fortifient
avec la Qumtonine. Depuis plus de
20 ans. on a volontiers recourt,
dans les familles â cette prépara
tion tris conro été qui donne det
forces aux petits comme aux
erands et améliore si fortement^
l'état général. Qumtonine 6 fr. 70
Ttes Phies et Phie Magendie à
Pau.
Les Bernadette! à St-Joseph
A l’occasion de la solennité de
Saint Joseph. les t Bernadettes »
prêteront leur concours à la céré-
monie de mercredi prochain, à 3
heures, à l’église Saint-Joseph.
Le chapelet de saint Joseph pour
les prisonniers sera suivi de la bé-
nédiction du T. S. Sacrement et
de la vénération de la relique de
saint Joseph.
j CINÉMA S'-LOUIS I
; •
; A 15 heures et 21 heures ; •
: •
« „ :
• Melvyn Douglas :
Virginia Bruce
et Warren William I
: :
! dans :
j LE RETOUR !
I fAnne Lypiol
: LA PLUS PASSIONNANTE •
: DE SES AVENTURES :
Tous les soirs à 21 heures
JEUDI à 15 h. et 21 heures
RAIMU, MICHEL SIMON, BETTY ST0CKFELD
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Garage de vélos dans L’Etablissement
ii M. «. .-
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'TStturt LA BANDERA | LÈS RAPÀÈÈS 1
■■■S*®*******®*»™
LES SPORTS I
DANS LE DÉPARTEMENT
~ BIZANOS
BONS DE CHAUBSCBE8. —
L’administration n’ayant pas attri-
bué de bons de chaussures les de-
mandes devant être reçues le 21
» avril sont reportées au 12 mai.
MORLAAS
Ordre des Médecins
Le Conseil départemental des
Basses-Pyrénées de l'Ordre des
Médecins, annonce que M. Char-
les BLANC, interne en Médecine
à l'Hôpital Psychiatrique de Pau.
est autorisé â exercer la médecine
â Morlaas. en remplacement du
Docteur Depierris. à dater du 20
mars 1942. Tel. 5. Morlaas. Jours
de consultation : lundi, mercredi
vendredi de 2 h. à 4 h. Tous les
jours à partir du 1er mai-
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Ecrire indiquant références, pré-
tentions : HAVAS. LYON. n° 6^0
CONVOI FUNEBRE
Mme Pierre Laburthe; M. et
Mme Jean Laburthe et leurs en-
fants: M. et Mène François Laba-
dot et leurs enfants: Mlle Adèle
Laburthe: Mme Pierre Lalanne.
sas enfants et petits-enfants 'de
Bizanos> : les familles Laburthe
(Diussse». Paquia »deConchez-de-
Béarn», Cayty idc Tarbes», pa-
rents et alliés, ont la douleur de
faire part ù leurs amis et con-
naissances de la perte cruelle
qu’ils viennent d'éprouver en la
Personne de
Monsieur Pierre LABURTHE
leur époux, père, grand-père
frère, beau-frère et oncle
et les prient d'assister à ses obsè-
ques aul auront lieu le mardi 21
avril â 9 heures, en l'église Saint-
Joseph.
On se réunira à la maison mor-
uairc. avenue de l'abbé Bremond
villa Beth Sou. 8 h. 30.
pndè
Les dames sont priées de se
rendre dir~ctemeni à l’église.
La famille remerciera à l'issue
de la cérémonie religieuse.
L’inhumai ion aura lieu à Pau,
dans le caveau de famille.
Le présent avij tiendra lieu de
Mire-part.;
^BvBTFÜNi’BR^ 11
Mme Joseph Maubecq: Mile
Marcelle Maubecq: les familles
Maubecq. Lagarde. Daugarou.
Potxchan. Lassansàa. Cabailh.
cosnefroy. parents et alliés, on;
la douleur de faire part à leurs
amis et connaissances de la perte
cruelle qu’ils viennent d'éprouver
, en la personne de
Monsieur Joseph MAUBECQ
pie tsomen; dédécé
à l’âge de 66 ans
leur époux, pèl-. frère oncle
et les prient d'assister à ses ob-
sèques qui auront lieu le mercredi
22 avril, à 10 h. 20. en l'église
Saint-Martin.
On se réunira à la maison mor-
tuaire. 6. rue Laîapie. à 10 h.
Les dames sont priées de se
rendre directement Î l’église.
L'inhumation aura lieu à Pau.
dans le caveau de famille.
Le présent r-vis tiendra lieu de
fai^e itart. ■ v ■- . - f
CONVOI FUNEBRE
Mme Ulysst Legav et sa famille
(de Paris" ont la douleur de faire
part â leurs amis et connaissan-
ces de la perte cruelle qu’ils vien-
nent d’éprouver en la personne de
Monsieur Ulysse LEGAY
décédé muni des Sacrements
de l’Eglise
leur époux et parents
et les prient d'assister â ses ob-
sèques qui auront lieu le mardi 21
avril, à 10 h. 30. en l'église Saint-
Joseph.
On sa réunira à la maison mor-
tuaire. 74. boulevard d’Alsace-
Lorraine. à 10 heures.
La famille remerciera à l'issue
de la cérémonie religieuse.
Le présent amis tiendra lieu de
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Saint-Jacques. 8 h. 30 : M.
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AVIS DE DECES
Les familles Arassus. «as'érot.
: Tucha Allaire. Berneaux. Char-
' tiei et Gorrec on; la douleur de
• vous faire part du décès de
Madame G. ARASSUS
né» Marguerite Castérot
décédée à Paris le V avril 1942
à ràen de 51 .ans
L’OUVERTURE
DE LA SAISON . !
D’ATHLETISME
L’ouvertui’e officielle de la saN j
son d'athlétisme aura lieu le di- »
manche 3 mai.
Cette journée de propagande t
sera ouverte aux licenciés et non |
licenciés.
Le épreuves sont les suivantes : i
Cadets : 50 m.. 200 m.. hauteur, j
longueur, poids. j
Junlors : 60 m.. 250 m.. 600 m 1
hauteur, longueur, poids, disque j
javelot. )
Seniors : 80 m.. 300 m.. 600 mè- j
très. 1.200 mètres, hauteur Ion- j
gueur. poids, disque, javelot. j
•• IIMM.aVl.ll.l.M.fl.i 4 |
SECTION PALOISE" 1
Athlétisme
Les réunions d’entrainement au |
Stade de la Croix-du-Prince au- ,
ront lieu dorénavant les mardi et
jeudi, à 1* h. 30.
V— N - *
Le raghy dominical
A TOULON. — Toulon bat Gre-
noble 8 à 5.
A LYON. — Lyon bat Bourg
16 è 8.
A BRIVE. — Brive bat Stade
AurtHacols 14 â 5.
ALOURDfES. — Lourdes bat
R A C Toulousain 8 à 6.
A TARBES. — Stadocesle Tar-
bais et A. S. Tarbaise 3 â 3
A VIENNE. — Lyon bat vien-
ne 16 à 14.
Littoral-Provence modifié
pour la finale de Coupe nationale
Pour la final, interzones de ia
Coupe Nationale de rugby qui.
espérons-lr. se disputera le 26
avril à Paris. T'équipe du Littoral-
Provence opposée à la Côte d’Ar-
gêr.t se présentera avec une légère
modification. Le deuxième ligne
toulonnais Ssneey, indisponble.
séra- remplae*’ par le sélectonné
Prin-darv. du R.C. Toulonnais.
récemment rapatrié d’Allemagne.
La victoire de Ui .j.A.B.
sur Bourbaki
Un miblic assez nombreux se-
rait rendu au Srade Bourbaki
pour assister à ce match do
championnat qui causa une légère
surprise. Bourbaki qui partait fa-
vori s’étam fait éliminer par l'ex-
cellente équipé de la J.A.B. (4-2».
Défaite très régulière d’aflUurs
car Bourbaki ne sut pas s'acco-
moder d'un terrain très lourd. La
J.A.B. eut le mérité d'attaquer lt
plus souvent et il faut le dire,
fut mieux servie par la chance
que les kroumirs. 1
Janini. Pal'i "2" et Larquié mar- :
quèrent pour la J.A.B.: Bomet et
Raxach pour Bourbaki.
Voici ia composition du onze
jabiste : _ „ !
Goa! : Wcill: arriérés : Pelle- i
•ier Larquié: demis : Condom.
Gracia Durits: avants : Pallas. i
Larquié Jean. Janini. Brouchin. t
Palu.
Après la Coapc.
le Championnat
SETE A JUSTEMENT
BATTU TOULOUSE 1 A0
Ce match qui constituait une
virtuelle inale du championna. .
de France d? football avait attire (
20.000 psrsonnes au terrain des -
PonTî-Jumeagix. .
La rencontre fut apr men; dis-
putée comme peut l'être un -,
match de cette importance. En
première mi-temps. Toulouse do- ,
mina territorialement, mais Sete ■
avec Koranyi et Novichv fut plus
dangereux dans ses attaques: si-
gnalons cependant que Toulouse
avait marqué par Fascineck et
Zatelli deux buts que l'arbitre re- ;
fusa avec raison. ]
A la reprise. Toulouse sembla
souvent débordé par le dvnamis- .
me et la vitesse des Dauphins,
mais Daho se prodiguait avec
bonheur. Cependant, a la suit?
d'un coup franc bien tiré. iCora-
nvî marquera de la tête le but :
victorieux. Toulouse tentera di:
vives réactions, mais ne pourra j
combler son retard.
Ce succès venant après beau-
coup d’autres confirme la grande
valeur de Sète. équipe numéro 1 ,
de la zon? libre et peut-être in-
terzone... mais n’anticipons pas..
Voici le onze des Dauphins :
Erevanian. Mathieu. Franques,
Thomazover. Pvuss. Laurent. Ro- £
bisco. Leduc. Koranyi. Novichv. .
Danzelle. »
Le footbalhinterrégional -
Montpellier bat Nimes par 1 à 0 a
Saint-Etienne et Alès font match B
nul par 1 à 1.
Red star et Racing 1 à 1- ü
Reims et Rouen tt â.O. .. . L
une fuiu* cjâciHÏ...
PÀÜ bât ÀtBt : 10 à
[deux essois tronsformés à un essai)
En première mi-temps, Pan pratiqua des offensives rapi-
des et claires qui lai valurent de mener au repos par deux
beaux essais transformés. Son jeu se ressentit fort en
deuxième mi-temps de son in suffisance en mêlée aggravée
par le départ du t alonneur Lassalle.
Albi prit l’avantage territor ial en seconde mi-temps et ac-
tionnant alternativement ses avants et lignes arrière, pro-
gressa souvent dangereusement. Son équipe, moins gênée
par l’état du terrain que celle de Pau, fournit un jeu ro-
buste et volontaire qui confi rma sa réputation et ses per-
formances de la saison, la plaçant au rang des équipes les
plus difficiles à battre.
!» conditions de terrain dans lesquelles eût lieu ee match j
]Albi-Pau. ne permirent pas de lui donner tout le relief uu'on en
pouvait attendre. H |
] Après avoir manqué dè§ le début de la première mi-ternus
et sur un en-avant, .un essai fort bien amené. Baladié aussitôt
apres, perforait la défense dans un excellent style puis Pau
ayant degagre tres loin de sa ligne des 22 m. par Camilon? un
deuxieme essai compliqué d'un deuxième but par Sabin nan-
tissait les Patois de la marque confortable de 10 points à 0.
Mais Lassalle jouant malgré une blessure et devant se reti-
rer à la mi-temps. les Palois ne devaient guère revoir ta balle en
melee que dans la proportion de deux fois sur dix.
Pratiquant un jeu actif et vigoureux, utilisant de boiis coups
de pied, alternant l'attaque des avants au pied et celle des lignes
arriéré. Ies Albigeois en seconde mi-temps, dominaient territo-
. r:alement et prenaient même un certain ascendant Ils se mon-
traient a diverses reprises dangereux et il fallut une fojs la
grande habileté de Sabin a relever une balle à terre, pour cm- »
‘ pocher un essai en excellente position.
Pratiquant une défense serrée et s'y portant rapidement. •
Aibi exploitait un dégagement à la main des Palois pour, par
une interception du centre Ramade. aller à l’essai.
Ainsi donc Pau prit l’avantage et de façon d ailleurs nette
en première mi-temps. Aibi en seconde. Mais la supériorité des !
Palois s’etanf manifestée pins clairement en première mi-tempe
.a victoire leur revint justement.
' 1* est. dommage que Ce match correct et bien arbitre par
• I international David Agnilar. n’ait pu se disputer dans de meil-
leures conditions, car il aurait été certainement au niveau des
J plus brillantes manifestations de la saison.
Ch. LAGARDE.
LE MATCH
En lever de riecau. les juniors (
Oe la Section Paloise on; rem-
porté leur quinzième victoire de la i
saison aux dépens d’Arthez par
16 a 3.
L’équipe première de la Section
s? présente ainsi : Momies. Ca-
mion?. Baladie. Sabin. Barincou: I
Serbes '°.». Julienne »m.». Cam- I
pet. Dax. Matheu. Henrv Du-
rand, Larrat. Lassalle. p Las-
•erre.
Aibi : Morel, Lasian. Faure
Ramade. IJauner. Grimai Scu-'
lié. Desossidats. Combes. ’Andrieu.
Rocoule. Mounié. Roland Fort uni'
Gasquet.
Des "ié ‘début do maich on sent
combien 'es joueurs sont gênés
ian£ leurs meuvemen! s offensifs
par l’état marécageux du sol. ren-
iant le balion glissant. Le jeu se
iéroule au centre du terrain puis
Borbos part à fond avec sa de-ci-
sion habituelle: Julienne à son
tour aritfque sans résultat. Un
nouvemem qui donnerait aux pa-
lais un essai sans opposition
tchotie sur un en-avant de P
Lasserre.
Une belle feinte.,
et Baladié ouvre le score
Aussitôt après. Baiadié en pos-
session de la balle, après deux
eintes remarquables, va marquer
ntre ies poteaux un essai trans-
ormé par Sabir..
Pau : 5.
Sur un judicieux coup de pied
L (déplacement. Camilong suit
nais le mouvement échoue Bor-
»es tente la touche. Sans succès.
Fulienne pousse en touche un ail-
ligeois.
Matheu marque
le deuxième essai
Sur un départ de Camilong qui
ionne à suivre. Matheu reprend
a balle, perce le rideau défensif ,
t marque. Sabin transformera.
Pau : 10.
Pau procède maintenant par à-
:oups. Matheu e- Henry se not-
ent en évidence chez les avants.
L la suite de maladresses paloi- '
es — bien excusables d’ailleurs
- Aibi menace. Mais une belle
ction de Mounej poursuivie par ;
aladié permet â Pau de se déga- J
er: il attaque â nouveau en drib- ,
lings par P. Lasserre et Larrat. ;
i a -nouveau driôùUng par Borbes. v
*TiUU UtHJgU'ItUA pUUI Al-
bi Borbes amorce un joli dépla-
cement. de .leu qui n'aboutit pas.
-Vbi. qui a souvent la balle en
mêlée ne profite pas de eet
avantage, le déploiement de sa di-
vision offensive étant trop étri-
qué. Baladié et Sabin attaquent
;n force. Mais la réception des
passes esi tellement difficile...
Campet et Durand se prodi-
guent c la touche où Pau domine.
Bampet tente un nouveau départ:
i! échoue tout comme une combi-
îaison Borbes-Mounes. Le jeune
ailier Barincou s: prodigue en dé-
pensé avec beaucoup d’ardeur.
Le jeu est saccadé, confus mê-
me. Sabin sauve en touche sur un
départ, albigeois au pied. Sur une
maque du capitaine palois. Ca-
■ m long sprinte, donne à suivre
mais son vis-à-vis joue l'obstruc-
tion. Un départ Dax. Durand
Campet, échouera avant le repos'
La deuxième mi-temps
A la repiise, Mounes trouve une
belle touche puis Baladié et Ju-
lienne exécutent de beaux mouve-
ments. Le tenrain devenu au bord
nés touches un véritable bourbier,
empêché les attaques de se déve-
lopper.
A:bi obtient un coup franc
mais Pau . grâce à la précision de
Sabin. regagne du terrain. Mou-
nes se multiplie avec bonheur en
rontre-attaques. Sur un départ
au pied d’Aibi. Pau doit toucher
dans ses buts.
La mêlée est toujours favorable
a Aibi; à Pau c’est P. Lasserre
;ui talonne cependant, que Mon-
iot joue pilier. Aibi accentue sa
supériorité et Combes et Grimai
;e distinguent par de belles
rouées. Mais les départs devien-
îent de plus en plus difficiles.
David Aguilar qu», comme à son
tabiiude arbitre impeccablement
loit distribue’ dt part et d’autre
le nombreux coups francs: le jeu
;e déplace de !’ail= droite à l'aile
gatiche où Baladié trouv: une
ouche avantageuse. Mais Alb»
ente à nouveau des départs à la
nain puis au pied, à ia suite de
’un d’eux, particulièrement mor-
iant, Sabin sauve son camp
l’est un départ Baladié-Durand’.
oué lui aussi à l'échec.
L Albigeois Ramade Intercepte
et marque
Pau est domine mais contre-
attaque par Sabin : la passe du
capitaine pajoij à Baladié est in-
terceptée dans les 30 patois pav
Ramade qui va marquer sans op-
position.
Pau : 18; Alb: : 3
Baladié sert Sabin qui déplacé
sur Barincou. Puis Baladié lance
Camilong mais notre rapide ailier
passe en touche. Et toujours Aibi
domine mais Mounes part magni-
tiquement au centre : cette belle
attaque échouers par excès d'in-
personnalitë du brillant arrière
palois. la passe j son centre ai-
lier ayant été interceptée. Le ieu
S'anime, devient même agréable :
une belle trouée de Borbes qui
passe à Baladié ne donne pas de
résultats. Les trois-quarts albi-
geois pourtant servis abondam-
ment ne peuvent concrétiser leur
supériorité territoriale qui s’exer-
ce durant les deux tiers de la
deuxième mi-temps. — F.
» •■••••a
PONTS ET CHAUSSEES
CONTRE PREFECTURE
Le match annuel Ponts et
Chaussées contre Préfecture se
jouera samedi prochain. 25 avril,
au Stade de la Croix-du-Princ .
-le record de ia recette
battu à Toulouse
Tous les records de recette ont»
?té battu au Stade des Pon’s-
Jumeaux. hier, à l'occasion du
natch Toulouse-Sète. même celui
les Ali Black, avec le chiffre de
>62.000 francs.
POUR LA COUPE DBS OUINZE
BIARRITZ-OLYMPIQUE
BAT AVIRON BÀYONNAIS
(9 A 6)
Le terrain de Saint-Jean d'An-
glet a été une nouvelle fois le té-
moin de la rencontre tradition-
nelle Biarritz-Bayonne. Ce match
fut âprement disputé par deux
équipes ardentes et bien en souf-
fle. Débutant à vive allure, le jeu
devient parfois rude et Rizanta
tente un COUD franc sans succès.
L'AéTron ouvrira le score par un
essai de Dauger sur interception.
Biarritz part à fond par ses avants
qui à la suite de rapides drib-
blings. progressent jusque devait!
les buts bayonnais. Bayonne con-
tre-attaque par Dubalen. Larre et
Hirigoyen. mais Dauger manque
le ballon. Bien que supérieur en
mêlée. Bayoynne domine territo-
rialement. Bizarta convertit un
coup franc. Bayonne mène .par
C points à zéro.
A la reprise l'Aviron contrôle
toujours le ballon en mêlée, mais
Biarritz progresse par ses coups
de pieAE^TOugëfa nouveau man-
que une occasion. Biarritz réduira
son retard, en réussissant un drop
goal botté par Bizanta. La fin ap-
proche. Bayonne domine toujours
cependant que Biarritz parvient à
marquer l'essai victorieux, rem-
portant ce match par 9 à 6.
A LYON,’ÏDEË’ BAT
LE PHENOMENE AIMAR
EN POURSUITE
La rencontre capitale opposai'
poursuite Louis Aimer à Emile
Idée en qui l'on voit un champion
de classé exceptionnelle.
Durant ie preirjer kilomètre la
lutte fut. acharnée mais les deux
coureurs sont à égalité. Et sou-
sain. Idée donne a fond et prend
10 mètres à Aimar. A l’issue des
4 kilomètres. Aimar doit s'avouef
battu par la puissance du mt'il-
leur routier français.
Poursuite limitée à 4 kilomè-
tres : 1. Emile Idée en 5 m. 14 s.’
2. Aimar. à 10 mètres.
Gianello bat Vietto
au Mont-Chauve
La course du Mont-Chauve, dis-
putée sur 16 kilomètres, permr
d'assister à une lutte magnifique
entre les remarquables grim-
peurs que sont Dante Gianello.
René Vietto. Benoit Faure. Ruq/-
zi, etc.
Gianello a gagné avec une 'ex-
trême aisance cependant que Vici-
to. en grande forme, parvenait i:
battre l’américain Fricker.
Voici le classement :
ProteSsionvc1s.—• 1. Dante Gia-
nello. les 16 kilomèues en 41 m.
58 s.: 2. Rene Vietto. en 42 m.
20 s.: 3, Fricier. en 42 m. 28 s.
4. Magnani. en 42 m. 51 s. : 5.
Benoit Faure, en 43 m.: G. Ruozzj:
7. Camellini: 8 Amédée Rolland:
9. Proletii: 10. Martino.
Amat-urs. — 1. Emile Teissi re
(Nice», 4 3m. 55 s.: 2. CanavcS’
(Alxl. 44 m. 8 s.' 3. Fossat.
LA ■« SQÏÏADRA AZÜRRA »,
SURCLASSE L’ESPAGNE
(4 A 0)
Au Stade San-S:ro. à Milan, l'é-
quipe italienne de football a con
firme sa suprématie eurcpêenn»
en dominant tout au long d’un
grand match le onze espagnol qui
fut pris de vitesse constamment
par les attaquants transalpin?,
dont la fougue, la précision et la
rapidité firent meivcille.
Le centre avant italien Piola
fournit une partie éblouissante.
Les buts furent marqués par Maz-
zoia. F-rrans. Piola et îToich.
Une nette victoire
de Perpignan
sur le Stade Français : 25 à 8
Les Catalans sont montés à
Paris et y ont fait une excel-
lente exhibition qui leur valut u,ie
belle victoire oar 25 à 8.
A NIORT. — Métro bat Ptadc
Niortais : 13 à 9.
A LANGON. — B.E.C. bat Lan-
gor. : 28 à 27.
A LA TESTE. — Girondins bat
La Teste : 11 à 9.
A ANGOULEME. — Entente
Bordelais bat S. C. Aneoumois :
19 à 3.
A POITIERS. — Stade Poite-
vin bat U. S. Tours : 18-3.
LA COUPE DE FRANCE
DE PELOTE BASQUE
A Saint-Jcan-de-Luz. Dnrruly-
Damestov battant Garmandia -
Edouard Arrayet s*’ qualifient
pour la Finale
C’est par 50 à 37. très nette-
ment donc, que Durruty-Damcs-
toy ont enlevé leur qualification
pour la Finale de la Coupe de
France de Pelote Basque.
La partie, toutefois, fut assez
disputée au début où Garmendia-
Arravet manquèrent de peu l'éga-
lisai ion au 16” point.
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U Gérant : J. WALL».
FEUILLETON NUMERO 59
I**HB c-ûi-oonnsT
«
C'était une nuit toute de sua-
vité où des brises impalpables
comme des ondes vous apportaient
sans cesse leurs parfums. Les lu-
mières étagées trouaient la nuit:
l’eau clapotait, zébrée à peine par
des rayons de lune. Il faisait bon.
il faisait clair : une indulgence
sans limites vous assaillait. On
ne devinait vraiment, à lancer
leur menace dans les chaudes té-
nèbres, que les flèches haut dar-
dées
plus près, dans le jardin de l’hô-
tel.' près de la pièce d'eau, une
rainette lançait aux étoiles son
cri monotone et désolé.
Alors. France, courageusement ,
s'avança vers celui qu’elle aimait- |
La dureté des choses, la coudai- j
neté des événements venaient de ,
déclenche.’ en elle une pitié <
agissante et vivace; elle se sen- j
tait une mission, un rôle, un be- (
soin immense et soudain dé se »
montrer compatissante pour ;
deux. EU» savait combien cet t
homme souffrait. Du coup elle en t
oubliait toutes ses rancunes, tou- j
tes ses rancoeurs. Divin rôle dp la s
charité ! Sa tendresse, à cette a
minute représentait surtout un
réconfort.
Morvillars ne semblait pas
s'apercevoir de sa présence : il
était perdu dans ses pensées. Au
loin luisaient les feux d'un pa-
quebot faisant route vers i’Italie.
Les suivait-il des yeux ? On ne
l'eut pu dire. Appuyé fortement
par les coudes à la rampe du bal-
con il restait plus immobile
qu’une statue. Seule, la blancheur
de son plastron éclatait dans lo
noir.
Enfin, sans préambule d’une
voix sourde ii lança :
— Ainsi France, en ce moment,
dans cet avion qui avait apporté
leurs parures. Youenn et Fuh-
Sieng voguent vers le Thibet. Iis
ont fait cela. Ils ont fui. Fui en-
semble. Je ne « la »> reverrai
plus.
— Soyez juste, docteur, répon-
dit-elle. Ces deux êtres re sont
sauvés, d’accord. Mais Que pou-
vaient-ils d’autre ? Vous vous op-
posiez absolument à « la » lais-
ser partir: et Fuh-Sieng ne pou-
vait s’éloigner sans elle. Il est
naturel que l'idée de fuite ait ger-
mé dans leurs esprit.
Puis songez-y. ilâ eussent très
bien, pu s’en aller une heure plus 1
tôt. dès le début du banquet,
tous infligeant un rude affront i
?t suscitant un scandale dont vo- i
:re mission ne se fut point re- 1
mise. Ils ont été plus corrects que J
tela. Ils on: attendu cette minute ,
jour eux et pour vous capitale. (
ie la présentation dernière. Puis. I
tne fois bien vus. bien interro- \
;és quand-leur existence n'a plus \
■té un mythe pour personne, ils ,
mt dispani à leur manière jaune.
;ans bruit, sans éclat... On ne
aurait parler de trahison, ,
tvouez-le,
gggggggggggggggggggggg K 11
Il eut un geste de rage et de
colère, poing dresse vers le ciel.
— Possible ! Et puis après ?
Penseï que,là-haut, quelque part
soit» cette voûte brûlante un
avion l’emporte, elle ! Avec ce
prêtre de malheur ! Et que je
suis la, moi, inutile, ridicule, te-
nant à deux mains mon coeur dé-
chiré. Sans rien pouvoir tenter..
O Fiance, restez près de moi, je
vous en supplie ! J’accueiilerais
n’importe quelle folie, tel que
vous me voyez présentement. Ja-
mais voire appui ne m'a paru si
précieux. Restez !
— Je comprends voire désarroi,
fit-elie. J'ai assisté peu à peu à la
naissance de ce malheureux
amour: j'en avais deviné la for-
ce; j'en sais ie chagrin. Mon
âme est avec la vôtre, frater-
nelle; mais je ne puis m’empê-
cher de penser, malgré tout, que
cela vaut mieux ainsi.
— Demain, reprenait-il, tout à
son idée fixe, demain je pour-
rais gagner Marseille, m’y em-
barquer. Aller droit à Chigatsé,
demandé!’ Youenn à sa famille,
ou même au Dalaï-Lama en son
« dzong ». Ils ont beau vouloir
â tout prix voir en lui un dieu,
c’est d’abord un homme. Il par-
donnera. il me la rendra. z
(A suivre.)
ACTUELLEMENT »
« L’INDEPENDANT î
DES PYRENEES »
ne peut être en vente !
partout. Pour être certain
4e le rçcevoir
ABONNEZ-VOUS
C.c.- 128.85 Toulouse i ,
IWWMMMUHUyi » i
DEPARTEMENTALE
" —
Achats directs à la propriété
de vin de Jurançon
à appellation contrôlée
Un arrêté préfectoral réglemente
les achats directs à la propriété de
vins de Jurançon à appellation
contrôlée.
Préalablement à ces achats, la-
vheteur. le vendeur et. s'il y a
lieu, le courtier doivent signer une
déclaration de- sincérité indiquant
tous les détails de la vente, c’est-à-
dire la quantité, la qualité pré-
cise et le prix du vin. Cette décla-
ration devra spécifier qui le prix
au vin indiqué est bien celui sur
la base duquel sera effectué le pai-
raenr, de la somme totale perçue
par le vendeur et qu’il est exclusif
de toute soulte. Ces déclarations
de sincérité seront adressées à la
Préfecture <3e divsion >
Un bon d'enlèvement sera en-
suite délivré à l’acheteur pur la
commission de répartition d^s vins
Les déclarations susvisées ne
s’appliquent pas aux achats di-
rects à la propriété de vins d’ap-
pellation contrôlée Jurançon effec-
tues par Quantités égales ou infé-
rieure à 20 litres ou bouteilles.
Quelle infusion
choisirez-vous ?
Vous la voulez aeréable. mais
pourquoi pas active et bienfai-
sante ? C'est Ce que vous obtien
cirez avec la tisane Vichvflore dé-
licieuse au goût et quj exerce un-
action des plus heureuses sur le
foie, les reins, '"intestin.‘Compo.
sée d»_ plantes do icetnent laxati-
ves nepatiaues stomachique* as-
sociée; au Sel Vichy Etat la ti
sane Vichvflore favor'cè la diges-
tion et d»sin;oxioue l'organism»
Vichvflore. 10 fr. 20 la boite. Tte-
Phies.
La défense contre le mildiou
Li défense vignoble contre le
mildiou vient cî’ètre renaue obli-
gatoire dans les parties non occu-
pées des Basses-Pyrénées et des
Landes.
Les mesures suivantes devront
être prises par tous les exploitants:
1. Labourd des vignes: 2 entre-
tien des fessés et évacuation de^
eaux superficeîles: 3 enlèvement
des rejets avant le départ de la
végétation;^ 4 re'oonrçeonnage so;-
«né et répété: 5. recherche et trai-
tement des foyers primaires: 6.
destruction de la végétation de vi-
gnes abandonnées
Les syndicats d* 3 défense contre
les ennuis des cultures devront en
outre 1. Organiser la prospection
et l’extinction des foyers primai-
res: 2 assurer la diffusion immé-
diate des indications fournies par
la station d’avertissement: 3. en-
voyer à celle-ci tous Tes renseigne-
ments sur l’évolution du mildiou:
4 faciliter par l'entr’aide les di-
verses opérations prescriptes et les
traitements conseillés aux exploi-
tants en difficulté: 5. prendre ‘tou-
tes les mesures utiles suivant ICJ:
circonstances.
Chaque syndicat recevra im° ai-
locati-m spéciale de sulfate de cui-
vre nécessaire au traitement d'ur-
gence des foyers primaires.
^ NOURRIS, logés, éclairés 1
pour 20 francs par jour
GAIN : 60 à 80 francs
(Suivant professions»
ON EMBAUCHE
Manoeuvres. Terrassiers,
Cimentiers, Coffreurs.
Mineurs a l’air libre
et de souterrain
(Voyage payé après délai
de présence»
Inutile d’écrire. Se présenter
. M. BECAMPS
| Gare Drignac-Ally 'Cantal» |
Faites-vous
tout ce que vous devez
pour les prisonniers ?
Bien des personnes, ayant en-
voyé des colis de vivres, s’esti-
ment quittes de tout autre devoir
envers un prisonnier.
Il ne faut pas oublier que l'es-
prit réclame sa nourriture avec au-
tant d’insistance que le corps De
même que la privation d’aliments
est une cause de débilité physique,
l’absence de distraction littéraire
ou de travail intellectuel provo-
que l'anémie morale. I
La Croix-Rouge Française est
chargée de faire parvenir dans les
camps les envois aussi bien maté-
riels qu’intellectuels : livres, ins-
truments et partitions de musi-
que. jeux. articles de sport.
Remettez - les dans les Eccies
aux sièges de la Légion, ou à la
Croix-Rouge de votre ville ou col.
laborez a cette initiative par des
dons envoyés au Service d’Aide
Intellectuelle de la Corix-Rouge
2. rue de la Grande-Grille. Vichv
'Compte chèques pestaux Clef
mont-335). .. „
BACH
« en chair et en os »
Comme il était à prévoir, l’an-
nonce que Bach vient etrçsrsoane
jotler Ons « ïvlon Curé chez les
Riches ». Ta pièce tellement po-
pulaire. a provoqué un immense
intérêt Ù Pau. On oeuî prévoit
pour ce nouveau spectacle, mardi
21 avril, â 20 h. 45, une salie ar-
cht-comôle.
Bach est entouré dès meilleurs
artistes de Paris.
î^l P A tfl=
Ut COURSES du PONT LONG
Quoique moins favorisée que» la
p ’tmière sous le rapport du
temps, la deuxième jcurr.ee de
printemps avaii rassemblé au
Pont-Long une nombreuse assis-
te nce. Des lois bien composés et
suffisamment fournis donnèrent
d< l'attrait au spectacle.
Câlin a fait oes débuts victo-
ri .yx sur les haies, dans le Prix
d’Albret, où îi paraissait d’une
meilleure classe que ses concur-
rents; le cheval de M. J. Lignel a
suivi Endeavour jusqu’entre les
tournants; puis, à l’appel de son
jeekey. il est passé en tête et a
gagné aisément. Endeavour con-
s» rvait la seconde place devant
C.ibanella, gagnante il y a huit
jours.
Le Prix du Tremblay a été me-
né très vite par Juliana. qui. en
face, avait une grande avance;
;r.tre les tournants, le lot se re-
groupait et, a l’entrée de la ligne
droite. Bourou. Castel du Rov.
Ari et Juliana galopaient de
fi ont. Sur la fin. Bourou se déta-
chait en pleine piste et atteignait
le poteau devant Casel du Rov.
qui fera mieux sur une distance
Plus longue; Juliana conservait
do peu la troisième place sur Ari.
Le grand favori Révérend a
causé une grosse déception dans
le Prix du Béarn, où il s’est fait
battre non seulement par d’U-
cliacquois. mats encore par Rayon
d’Or. Parti vivement dès le si-
gna!. le poulain du Comte A. de
Custelbajac était rejoint entre ies
tournants par d’Uchacquois. qui
le dominait tout de suite: sur la
fin. Rayon d’O’. venu à la corde,
lui enleait la secande place.
Le Prix c»e Gramont, steeple-
chase-cross-country. a donne lieu
a une très belle course, qui s’est
: minet- par le. double victoire
irs représentants du Baron Jean
d Ariste. Fleur de Bohême a me-
né jusqu’au bots, où ele est tom-
bée; elle a cte remplacée au com-
mandement par Comorin. qui a
couru en grands progrès sur sa
course de Tarbes. Sur la fin, les
chevaux de tète n’avançaient plus
et. dans la ligne droite, la débu-
tante Carabine passait en tête et
aurati pu atteindre le poteau avec
une dizaine de longueurs d’avan-
ce: mais soit cavalier, voyant que
camarade d'écurie Trévise II la
suivait immédiatement, s'est ef-
facé pour se conformer aux ordres
reçus: en l'occurrence, il a opère
très régulièrement et la petite
manifestation de mécontentement
qui s'est produite, a paru hors de
propos aux liabi ués des courses.
Plusieurs candidats à la Poule
d'Essai. qui sere courue diman-
che. se sont mesuré dans le Prix
de Loncnamp La course a permis
Alzonne de remporter la victoi-
re la plus probante de sa carriè-
re; des deux favoris. Siradan n’a
pas existé, et Mifrillo IV. après
avoir mené jusqu’entre les tour-
nants. a cédé brusquement aès
Pat laque d’Aizonne et n'a meme
pas pu empêcher Nibelle II de lui
prendre la seconde place. Le pou-
lain de M. A. Boîngnères peut
avoir l’excuse du déplacement et
sera certainement en meilleure
condition, après, avoir passé la
semaine à Pau.
Trois trotteurs seulement dans
le Prix du Pin. Marabout n’a pas
eu à s’employer pour avoir raison
de la coalition Déjeanne
H. C.
Résultats techniques
Prix d Albret (course de haies'
14.500 fr„ 2.900 m. — 1 Câlin IA'
de Garcia» a M. L. Lignel: 2. En-
deavour (A. I ar.gham) ; 3 Caba-
nela (M. Noé». — N. pi. : Elisè-
ne. Rose d’Or II, Raméous —
2 long.. 2 long. — Mutuel : G
13.50.: PI. : 9. 10
Prix du Tremblay. 18.850 ïr..
l."»00 m. — 1. Bourou (A. de Gara
cia» à M. J. Lignel; 2. Castel du
Roy 'G. Estebenet); 3 Juliana
'E. Pédono». — N. pi. : Cache-
Cache. Coryphée. Ari. Compolize.
— 3 long.. 2 long — Mutuel : G.
14.50: Fl. : 8.50. 12.50.
Prix de Gramont Isteeple-cha-
ee-cross-country». 14.500 fr . 4.500
nètres .— 1. Trevise II (M. E.
Bridous'. à M le Baron Jean
TArisij?: 2. Carabine (M. Peil-
Ioni; 3. Comoatif 'M. Massiet». —
N. pi. : Fleur de Bohème (tom-
bée», Bichac. Quinette (arrêtée).
Commandeur II (tombé). Como-
■in — 12 le ne.. 2 long. — Mu-
uel : Ecurie «i’Ariste G : 42 50:
PI. : 20. 23.50. 23.50.
Prix du Béarn ianglo-arabe à
15 >. 9.900 fr.. 1.800 m. — 1.
D’Uchaquois (M. Coustets* à M.
y. Daugreilh: 2. Rayon d’Or 'G.
Sstebenet': 3. Révérend (J. Bian-
cone». N. pl. : Galam'bet. —
3 long.. 2 long. — Mutuel : G
14.50: PI., 8.50. 12.50.
Prix de Longchamp. 18.850 fr..
1.800 m. — 1. Alzonne ‘F Avns'
■’< M. A. Arnal: 2 Nibelle il (J.
Biancone»; 3 Murillo IV 'J EHs-
ectche). — N. pl. : Componac. Le
Pinard, Siradan. — 2 long. 1 2
1 long. 1 2 — Mutuel : G 23 50:
P'-.. 10,50. 22.
Prix du Fin 'trot attelé». 14.000
francs. 2.500 m. — 1. Marabout
•L. Maumy. â M. Léo Rouleau:
2 Licteur (P. Déréanne).— N. pl.:
Fodas. — Mutuel : 7.
L'ANNIVERSAIRE
DE LA VISITE
DU MARECHAL PETAIN
Messe commémorative
au Château de Pau
Sur l’initiative de M. Molle-Ri-
ves conservateur du Château de
Pau. une messe a été célébrée lun-
di matin dans la chanel'.e du ohà-
; eau par M. I'abbé Sorel. conseil-
ler national et ami personnel du
maréchal Pétain, en commémora-
tion de la visite triomphale
un an auparavant, jour pour jour-
le Chef de l'Etat faisait à Pau. !
A l'Evangile. M. l’abbé Sorel a
prononcé une courte nJlocution
dans laquelle il a précisé le devoir
'les bons Français dans les graves
conjonctures actuelles.
\ cette cérémonie assistaient
entre autres personnalités : M Du
commun, préfet des Basses-Pyré-
nées. les représentants de l’armée.
MM. Malmenéde chef de lu section
cle Pau de la Légion: Pierre Verde-
nal. mairp de Pau: .TouitouT. nre
mier président delà Cour d Appel:
'ncelv. procureur général: Le
Grand, délégué du Secours Natio-
nal. Ca van ilia s consul d ’Esoagne
S^upiouet. Anribure. Challe et
adioints au maire de Pau: Terré
président du « Essi »: Curet. in-
génieur en chef d**s Ponts
Haussées: vénérai Sallenaveh. pré-
sident de la Croix-Rouse. chanoi-
ne Daauzan. vicaire zénéral: cha-
noine Roques, curé de Saint-Mar-
tin. etc
>■+ m+-
Nécrologie
Une vieille figure paloise. chère
f»g;#^-nent rmix Juranconnais vient
de disparaitre. M Adrien ^rontére
organiste de l'église Sain’-Mar*in
ancien répétiteur de la Lyre Pa-
loise et directeur honomire de la
Chorrl ' Jurenronnis? vient de dé-
céder à l’âgé de 77 ans. après une
courte maladie.
. Inlassable dans son travail, mal-
gré une infirmité qui aurait rebuté
les meilleures volontés, patient et
appliqué dans son oeuvre, il cré<*
une génération de chanteurs qui
ont. doté Pau et Jurançon des plus
belles manifestations artistiques
A ses obsèques qui ont eu lieu
au milieu d’une grande affluence,
scs anciens élèves lui ont rendu
ua dernier hommage. Interprète de
tous les amis du regretté Adrien
Frontère. nous prions sa famille
d'accepter nos eondolérme^s èimtes.
THEATRE MUNICIPAL
j Manii 21 (soirée)
H A C H
dans
MON CURE
-L CHEZ LES.RICHES .
Robert Fabre-Luce à Pau
Robert Fau.'e-Lucc. le président
•es « Groupes de Construire ».
St depuis hier à Pau.
On connaît Cï-.ja par la presse
but de cet»e association dui
Test autre que « réaliser du COR-
ret évoquant le spirituel » ?t par
t « retrouver l’âme de nos pro-
inces ».
« Les Groupes de Construire »
-*nt pour but d? contribuer â la
"novation *i»*s traditions archi-
ecrurales françaises en reunis-
ant dans une même association
’es hommes désireux de réaliser
titre d'exemples, des construc-
ions de differents types réeio-
laux e: d’arrivei par le dévelop-
pement de leur section x Artistes
t Artisans ci'Ar. » à une orga-
nisation pratiqu • de l’Artisanat,
ls servirent ainsi le prestige de
t France en faisafa connaître
'es réalisations par une série de
flims.
Robert Fabre-Luce recevra ses
mis et lt*s rtisonnes intéressées
* l’Hôtel d Al'oret. de 10 à 11 h.
Obéissez-vous à vos nerfs
ou vous obéissent-ils ?
Les nerveux qui dorment si mal
ies gens qui s'irritent pour un
rien, dont les gestes sont mala
droits et les réflexes oeu surs do-
minent leurs nerfs et retrouvent
teur calme lorsqu’ils se fortifient
avec la Qumtonine. Depuis plus de
20 ans. on a volontiers recourt,
dans les familles â cette prépara
tion tris conro été qui donne det
forces aux petits comme aux
erands et améliore si fortement^
l'état général. Qumtonine 6 fr. 70
Ttes Phies et Phie Magendie à
Pau.
Les Bernadette! à St-Joseph
A l’occasion de la solennité de
Saint Joseph. les t Bernadettes »
prêteront leur concours à la céré-
monie de mercredi prochain, à 3
heures, à l’église Saint-Joseph.
Le chapelet de saint Joseph pour
les prisonniers sera suivi de la bé-
nédiction du T. S. Sacrement et
de la vénération de la relique de
saint Joseph.
j CINÉMA S'-LOUIS I
; •
; A 15 heures et 21 heures ; •
: •
« „ :
• Melvyn Douglas :
Virginia Bruce
et Warren William I
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! dans :
j LE RETOUR !
I fAnne Lypiol
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Tous les soirs à 21 heures
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LES SPORTS I
DANS LE DÉPARTEMENT
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BONS DE CHAUBSCBE8. —
L’administration n’ayant pas attri-
bué de bons de chaussures les de-
mandes devant être reçues le 21
» avril sont reportées au 12 mai.
MORLAAS
Ordre des Médecins
Le Conseil départemental des
Basses-Pyrénées de l'Ordre des
Médecins, annonce que M. Char-
les BLANC, interne en Médecine
à l'Hôpital Psychiatrique de Pau.
est autorisé â exercer la médecine
â Morlaas. en remplacement du
Docteur Depierris. à dater du 20
mars 1942. Tel. 5. Morlaas. Jours
de consultation : lundi, mercredi
vendredi de 2 h. à 4 h. Tous les
jours à partir du 1er mai-
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CONVOI FUNEBRE
Mme Pierre Laburthe; M. et
Mme Jean Laburthe et leurs en-
fants: M. et Mène François Laba-
dot et leurs enfants: Mlle Adèle
Laburthe: Mme Pierre Lalanne.
sas enfants et petits-enfants 'de
Bizanos> : les familles Laburthe
(Diussse». Paquia »deConchez-de-
Béarn», Cayty idc Tarbes», pa-
rents et alliés, ont la douleur de
faire part ù leurs amis et con-
naissances de la perte cruelle
qu’ils viennent d'éprouver en la
Personne de
Monsieur Pierre LABURTHE
leur époux, père, grand-père
frère, beau-frère et oncle
et les prient d'assister à ses obsè-
ques aul auront lieu le mardi 21
avril â 9 heures, en l'église Saint-
Joseph.
On se réunira à la maison mor-
uairc. avenue de l'abbé Bremond
villa Beth Sou. 8 h. 30.
pndè
Les dames sont priées de se
rendre dir~ctemeni à l’église.
La famille remerciera à l'issue
de la cérémonie religieuse.
L’inhumai ion aura lieu à Pau,
dans le caveau de famille.
Le présent avij tiendra lieu de
Mire-part.;
^BvBTFÜNi’BR^ 11
Mme Joseph Maubecq: Mile
Marcelle Maubecq: les familles
Maubecq. Lagarde. Daugarou.
Potxchan. Lassansàa. Cabailh.
cosnefroy. parents et alliés, on;
la douleur de faire part à leurs
amis et connaissances de la perte
cruelle qu’ils viennent d'éprouver
, en la personne de
Monsieur Joseph MAUBECQ
pie tsomen; dédécé
à l’âge de 66 ans
leur époux, pèl-. frère oncle
et les prient d'assister à ses ob-
sèques qui auront lieu le mercredi
22 avril, à 10 h. 20. en l'église
Saint-Martin.
On se réunira à la maison mor-
tuaire. 6. rue Laîapie. à 10 h.
Les dames sont priées de se
rendre directement Î l’église.
L'inhumation aura lieu à Pau.
dans le caveau de famille.
Le présent r-vis tiendra lieu de
fai^e itart. ■ v ■- . - f
CONVOI FUNEBRE
Mme Ulysst Legav et sa famille
(de Paris" ont la douleur de faire
part â leurs amis et connaissan-
ces de la perte cruelle qu’ils vien-
nent d’éprouver en la personne de
Monsieur Ulysse LEGAY
décédé muni des Sacrements
de l’Eglise
leur époux et parents
et les prient d'assister â ses ob-
sèques qui auront lieu le mardi 21
avril, à 10 h. 30. en l'église Saint-
Joseph.
On sa réunira à la maison mor-
tuaire. 74. boulevard d’Alsace-
Lorraine. à 10 heures.
La famille remerciera à l'issue
de la cérémonie religieuse.
Le présent amis tiendra lieu de
SERVICE FUNEBRE
DU 21 AVRIL
Saint-Jacques. 8 h. 30 : M.
Lar.giois 4. rue Raymond-Plante.
Saint-Joseph. 9 h. M. l.a-
burthe. rue Abbé-Brémond.
— 10 h. 30 : M. Legay. 74.
boulevard d’Alsace-Lorraine.
Saint-Jacques. 10 h. 30 M.
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AVIS DE DECES
Les familles Arassus. «as'érot.
: Tucha Allaire. Berneaux. Char-
' tiei et Gorrec on; la douleur de
• vous faire part du décès de
Madame G. ARASSUS
né» Marguerite Castérot
décédée à Paris le V avril 1942
à ràen de 51 .ans
L’OUVERTURE
DE LA SAISON . !
D’ATHLETISME
L’ouvertui’e officielle de la saN j
son d'athlétisme aura lieu le di- »
manche 3 mai.
Cette journée de propagande t
sera ouverte aux licenciés et non |
licenciés.
Le épreuves sont les suivantes : i
Cadets : 50 m.. 200 m.. hauteur, j
longueur, poids. j
Junlors : 60 m.. 250 m.. 600 m 1
hauteur, longueur, poids, disque j
javelot. )
Seniors : 80 m.. 300 m.. 600 mè- j
très. 1.200 mètres, hauteur Ion- j
gueur. poids, disque, javelot. j
•• IIMM.aVl.ll.l.M.fl.i 4 |
SECTION PALOISE" 1
Athlétisme
Les réunions d’entrainement au |
Stade de la Croix-du-Prince au- ,
ront lieu dorénavant les mardi et
jeudi, à 1* h. 30.
V— N - *
Le raghy dominical
A TOULON. — Toulon bat Gre-
noble 8 à 5.
A LYON. — Lyon bat Bourg
16 è 8.
A BRIVE. — Brive bat Stade
AurtHacols 14 â 5.
ALOURDfES. — Lourdes bat
R A C Toulousain 8 à 6.
A TARBES. — Stadocesle Tar-
bais et A. S. Tarbaise 3 â 3
A VIENNE. — Lyon bat vien-
ne 16 à 14.
Littoral-Provence modifié
pour la finale de Coupe nationale
Pour la final, interzones de ia
Coupe Nationale de rugby qui.
espérons-lr. se disputera le 26
avril à Paris. T'équipe du Littoral-
Provence opposée à la Côte d’Ar-
gêr.t se présentera avec une légère
modification. Le deuxième ligne
toulonnais Ssneey, indisponble.
séra- remplae*’ par le sélectonné
Prin-darv. du R.C. Toulonnais.
récemment rapatrié d’Allemagne.
La victoire de Ui .j.A.B.
sur Bourbaki
Un miblic assez nombreux se-
rait rendu au Srade Bourbaki
pour assister à ce match do
championnat qui causa une légère
surprise. Bourbaki qui partait fa-
vori s’étam fait éliminer par l'ex-
cellente équipé de la J.A.B. (4-2».
Défaite très régulière d’aflUurs
car Bourbaki ne sut pas s'acco-
moder d'un terrain très lourd. La
J.A.B. eut le mérité d'attaquer lt
plus souvent et il faut le dire,
fut mieux servie par la chance
que les kroumirs. 1
Janini. Pal'i "2" et Larquié mar- :
quèrent pour la J.A.B.: Bomet et
Raxach pour Bourbaki.
Voici ia composition du onze
jabiste : _ „ !
Goa! : Wcill: arriérés : Pelle- i
•ier Larquié: demis : Condom.
Gracia Durits: avants : Pallas. i
Larquié Jean. Janini. Brouchin. t
Palu.
Après la Coapc.
le Championnat
SETE A JUSTEMENT
BATTU TOULOUSE 1 A0
Ce match qui constituait une
virtuelle inale du championna. .
de France d? football avait attire (
20.000 psrsonnes au terrain des -
PonTî-Jumeagix. .
La rencontre fut apr men; dis-
putée comme peut l'être un -,
match de cette importance. En
première mi-temps. Toulouse do- ,
mina territorialement, mais Sete ■
avec Koranyi et Novichv fut plus
dangereux dans ses attaques: si-
gnalons cependant que Toulouse
avait marqué par Fascineck et
Zatelli deux buts que l'arbitre re- ;
fusa avec raison. ]
A la reprise. Toulouse sembla
souvent débordé par le dvnamis- .
me et la vitesse des Dauphins,
mais Daho se prodiguait avec
bonheur. Cependant, a la suit?
d'un coup franc bien tiré. iCora-
nvî marquera de la tête le but :
victorieux. Toulouse tentera di:
vives réactions, mais ne pourra j
combler son retard.
Ce succès venant après beau-
coup d’autres confirme la grande
valeur de Sète. équipe numéro 1 ,
de la zon? libre et peut-être in-
terzone... mais n’anticipons pas..
Voici le onze des Dauphins :
Erevanian. Mathieu. Franques,
Thomazover. Pvuss. Laurent. Ro- £
bisco. Leduc. Koranyi. Novichv. .
Danzelle. »
Le footbalhinterrégional -
Montpellier bat Nimes par 1 à 0 a
Saint-Etienne et Alès font match B
nul par 1 à 1.
Red star et Racing 1 à 1- ü
Reims et Rouen tt â.O. .. . L
une fuiu* cjâciHÏ...
PÀÜ bât ÀtBt : 10 à
[deux essois tronsformés à un essai)
En première mi-temps, Pan pratiqua des offensives rapi-
des et claires qui lai valurent de mener au repos par deux
beaux essais transformés. Son jeu se ressentit fort en
deuxième mi-temps de son in suffisance en mêlée aggravée
par le départ du t alonneur Lassalle.
Albi prit l’avantage territor ial en seconde mi-temps et ac-
tionnant alternativement ses avants et lignes arrière, pro-
gressa souvent dangereusement. Son équipe, moins gênée
par l’état du terrain que celle de Pau, fournit un jeu ro-
buste et volontaire qui confi rma sa réputation et ses per-
formances de la saison, la plaçant au rang des équipes les
plus difficiles à battre.
!» conditions de terrain dans lesquelles eût lieu ee match j
]Albi-Pau. ne permirent pas de lui donner tout le relief uu'on en
pouvait attendre. H |
] Après avoir manqué dè§ le début de la première mi-ternus
et sur un en-avant, .un essai fort bien amené. Baladié aussitôt
apres, perforait la défense dans un excellent style puis Pau
ayant degagre tres loin de sa ligne des 22 m. par Camilon? un
deuxieme essai compliqué d'un deuxième but par Sabin nan-
tissait les Patois de la marque confortable de 10 points à 0.
Mais Lassalle jouant malgré une blessure et devant se reti-
rer à la mi-temps. les Palois ne devaient guère revoir ta balle en
melee que dans la proportion de deux fois sur dix.
Pratiquant un jeu actif et vigoureux, utilisant de boiis coups
de pied, alternant l'attaque des avants au pied et celle des lignes
arriéré. Ies Albigeois en seconde mi-temps, dominaient territo-
. r:alement et prenaient même un certain ascendant Ils se mon-
traient a diverses reprises dangereux et il fallut une fojs la
grande habileté de Sabin a relever une balle à terre, pour cm- »
‘ pocher un essai en excellente position.
Pratiquant une défense serrée et s'y portant rapidement. •
Aibi exploitait un dégagement à la main des Palois pour, par
une interception du centre Ramade. aller à l’essai.
Ainsi donc Pau prit l’avantage et de façon d ailleurs nette
en première mi-temps. Aibi en seconde. Mais la supériorité des !
Palois s’etanf manifestée pins clairement en première mi-tempe
.a victoire leur revint justement.
' 1* est. dommage que Ce match correct et bien arbitre par
• I international David Agnilar. n’ait pu se disputer dans de meil-
leures conditions, car il aurait été certainement au niveau des
J plus brillantes manifestations de la saison.
Ch. LAGARDE.
LE MATCH
En lever de riecau. les juniors (
Oe la Section Paloise on; rem-
porté leur quinzième victoire de la i
saison aux dépens d’Arthez par
16 a 3.
L’équipe première de la Section
s? présente ainsi : Momies. Ca-
mion?. Baladie. Sabin. Barincou: I
Serbes '°.». Julienne »m.». Cam- I
pet. Dax. Matheu. Henrv Du-
rand, Larrat. Lassalle. p Las-
•erre.
Aibi : Morel, Lasian. Faure
Ramade. IJauner. Grimai Scu-'
lié. Desossidats. Combes. ’Andrieu.
Rocoule. Mounié. Roland Fort uni'
Gasquet.
Des "ié ‘début do maich on sent
combien 'es joueurs sont gênés
ian£ leurs meuvemen! s offensifs
par l’état marécageux du sol. ren-
iant le balion glissant. Le jeu se
iéroule au centre du terrain puis
Borbos part à fond avec sa de-ci-
sion habituelle: Julienne à son
tour aritfque sans résultat. Un
nouvemem qui donnerait aux pa-
lais un essai sans opposition
tchotie sur un en-avant de P
Lasserre.
Une belle feinte.,
et Baladié ouvre le score
Aussitôt après. Baiadié en pos-
session de la balle, après deux
eintes remarquables, va marquer
ntre ies poteaux un essai trans-
ormé par Sabir..
Pau : 5.
Sur un judicieux coup de pied
L (déplacement. Camilong suit
nais le mouvement échoue Bor-
»es tente la touche. Sans succès.
Fulienne pousse en touche un ail-
ligeois.
Matheu marque
le deuxième essai
Sur un départ de Camilong qui
ionne à suivre. Matheu reprend
a balle, perce le rideau défensif ,
t marque. Sabin transformera.
Pau : 10.
Pau procède maintenant par à-
:oups. Matheu e- Henry se not-
ent en évidence chez les avants.
L la suite de maladresses paloi- '
es — bien excusables d’ailleurs
- Aibi menace. Mais une belle
ction de Mounej poursuivie par ;
aladié permet â Pau de se déga- J
er: il attaque â nouveau en drib- ,
lings par P. Lasserre et Larrat. ;
i a -nouveau driôùUng par Borbes. v
*TiUU UtHJgU'ItUA pUUI Al-
bi Borbes amorce un joli dépla-
cement. de .leu qui n'aboutit pas.
-Vbi. qui a souvent la balle en
mêlée ne profite pas de eet
avantage, le déploiement de sa di-
vision offensive étant trop étri-
qué. Baladié et Sabin attaquent
;n force. Mais la réception des
passes esi tellement difficile...
Campet et Durand se prodi-
guent c la touche où Pau domine.
Bampet tente un nouveau départ:
i! échoue tout comme une combi-
îaison Borbes-Mounes. Le jeune
ailier Barincou s: prodigue en dé-
pensé avec beaucoup d’ardeur.
Le jeu est saccadé, confus mê-
me. Sabin sauve en touche sur un
départ, albigeois au pied. Sur une
maque du capitaine palois. Ca-
■ m long sprinte, donne à suivre
mais son vis-à-vis joue l'obstruc-
tion. Un départ Dax. Durand
Campet, échouera avant le repos'
La deuxième mi-temps
A la repiise, Mounes trouve une
belle touche puis Baladié et Ju-
lienne exécutent de beaux mouve-
ments. Le tenrain devenu au bord
nés touches un véritable bourbier,
empêché les attaques de se déve-
lopper.
A:bi obtient un coup franc
mais Pau . grâce à la précision de
Sabin. regagne du terrain. Mou-
nes se multiplie avec bonheur en
rontre-attaques. Sur un départ
au pied d’Aibi. Pau doit toucher
dans ses buts.
La mêlée est toujours favorable
a Aibi; à Pau c’est P. Lasserre
;ui talonne cependant, que Mon-
iot joue pilier. Aibi accentue sa
supériorité et Combes et Grimai
;e distinguent par de belles
rouées. Mais les départs devien-
îent de plus en plus difficiles.
David Aguilar qu», comme à son
tabiiude arbitre impeccablement
loit distribue’ dt part et d’autre
le nombreux coups francs: le jeu
;e déplace de !’ail= droite à l'aile
gatiche où Baladié trouv: une
ouche avantageuse. Mais Alb»
ente à nouveau des départs à la
nain puis au pied, à ia suite de
’un d’eux, particulièrement mor-
iant, Sabin sauve son camp
l’est un départ Baladié-Durand’.
oué lui aussi à l'échec.
L Albigeois Ramade Intercepte
et marque
Pau est domine mais contre-
attaque par Sabin : la passe du
capitaine pajoij à Baladié est in-
terceptée dans les 30 patois pav
Ramade qui va marquer sans op-
position.
Pau : 18; Alb: : 3
Baladié sert Sabin qui déplacé
sur Barincou. Puis Baladié lance
Camilong mais notre rapide ailier
passe en touche. Et toujours Aibi
domine mais Mounes part magni-
tiquement au centre : cette belle
attaque échouers par excès d'in-
personnalitë du brillant arrière
palois. la passe j son centre ai-
lier ayant été interceptée. Le ieu
S'anime, devient même agréable :
une belle trouée de Borbes qui
passe à Baladié ne donne pas de
résultats. Les trois-quarts albi-
geois pourtant servis abondam-
ment ne peuvent concrétiser leur
supériorité territoriale qui s’exer-
ce durant les deux tiers de la
deuxième mi-temps. — F.
» •■••••a
PONTS ET CHAUSSEES
CONTRE PREFECTURE
Le match annuel Ponts et
Chaussées contre Préfecture se
jouera samedi prochain. 25 avril,
au Stade de la Croix-du-Princ .
-le record de ia recette
battu à Toulouse
Tous les records de recette ont»
?té battu au Stade des Pon’s-
Jumeaux. hier, à l'occasion du
natch Toulouse-Sète. même celui
les Ali Black, avec le chiffre de
>62.000 francs.
POUR LA COUPE DBS OUINZE
BIARRITZ-OLYMPIQUE
BAT AVIRON BÀYONNAIS
(9 A 6)
Le terrain de Saint-Jean d'An-
glet a été une nouvelle fois le té-
moin de la rencontre tradition-
nelle Biarritz-Bayonne. Ce match
fut âprement disputé par deux
équipes ardentes et bien en souf-
fle. Débutant à vive allure, le jeu
devient parfois rude et Rizanta
tente un COUD franc sans succès.
L'AéTron ouvrira le score par un
essai de Dauger sur interception.
Biarritz part à fond par ses avants
qui à la suite de rapides drib-
blings. progressent jusque devait!
les buts bayonnais. Bayonne con-
tre-attaque par Dubalen. Larre et
Hirigoyen. mais Dauger manque
le ballon. Bien que supérieur en
mêlée. Bayoynne domine territo-
rialement. Bizarta convertit un
coup franc. Bayonne mène .par
C points à zéro.
A la reprise l'Aviron contrôle
toujours le ballon en mêlée, mais
Biarritz progresse par ses coups
de pieAE^TOugëfa nouveau man-
que une occasion. Biarritz réduira
son retard, en réussissant un drop
goal botté par Bizanta. La fin ap-
proche. Bayonne domine toujours
cependant que Biarritz parvient à
marquer l'essai victorieux, rem-
portant ce match par 9 à 6.
A LYON,’ÏDEË’ BAT
LE PHENOMENE AIMAR
EN POURSUITE
La rencontre capitale opposai'
poursuite Louis Aimer à Emile
Idée en qui l'on voit un champion
de classé exceptionnelle.
Durant ie preirjer kilomètre la
lutte fut. acharnée mais les deux
coureurs sont à égalité. Et sou-
sain. Idée donne a fond et prend
10 mètres à Aimar. A l’issue des
4 kilomètres. Aimar doit s'avouef
battu par la puissance du mt'il-
leur routier français.
Poursuite limitée à 4 kilomè-
tres : 1. Emile Idée en 5 m. 14 s.’
2. Aimar. à 10 mètres.
Gianello bat Vietto
au Mont-Chauve
La course du Mont-Chauve, dis-
putée sur 16 kilomètres, permr
d'assister à une lutte magnifique
entre les remarquables grim-
peurs que sont Dante Gianello.
René Vietto. Benoit Faure. Ruq/-
zi, etc.
Gianello a gagné avec une 'ex-
trême aisance cependant que Vici-
to. en grande forme, parvenait i:
battre l’américain Fricker.
Voici le classement :
ProteSsionvc1s.—• 1. Dante Gia-
nello. les 16 kilomèues en 41 m.
58 s.: 2. Rene Vietto. en 42 m.
20 s.: 3, Fricier. en 42 m. 28 s.
4. Magnani. en 42 m. 51 s. : 5.
Benoit Faure, en 43 m.: G. Ruozzj:
7. Camellini: 8 Amédée Rolland:
9. Proletii: 10. Martino.
Amat-urs. — 1. Emile Teissi re
(Nice», 4 3m. 55 s.: 2. CanavcS’
(Alxl. 44 m. 8 s.' 3. Fossat.
LA ■« SQÏÏADRA AZÜRRA »,
SURCLASSE L’ESPAGNE
(4 A 0)
Au Stade San-S:ro. à Milan, l'é-
quipe italienne de football a con
firme sa suprématie eurcpêenn»
en dominant tout au long d’un
grand match le onze espagnol qui
fut pris de vitesse constamment
par les attaquants transalpin?,
dont la fougue, la précision et la
rapidité firent meivcille.
Le centre avant italien Piola
fournit une partie éblouissante.
Les buts furent marqués par Maz-
zoia. F-rrans. Piola et îToich.
Une nette victoire
de Perpignan
sur le Stade Français : 25 à 8
Les Catalans sont montés à
Paris et y ont fait une excel-
lente exhibition qui leur valut u,ie
belle victoire oar 25 à 8.
A NIORT. — Métro bat Ptadc
Niortais : 13 à 9.
A LANGON. — B.E.C. bat Lan-
gor. : 28 à 27.
A LA TESTE. — Girondins bat
La Teste : 11 à 9.
A ANGOULEME. — Entente
Bordelais bat S. C. Aneoumois :
19 à 3.
A POITIERS. — Stade Poite-
vin bat U. S. Tours : 18-3.
LA COUPE DE FRANCE
DE PELOTE BASQUE
A Saint-Jcan-de-Luz. Dnrruly-
Damestov battant Garmandia -
Edouard Arrayet s*’ qualifient
pour la Finale
C’est par 50 à 37. très nette-
ment donc, que Durruty-Damcs-
toy ont enlevé leur qualification
pour la Finale de la Coupe de
France de Pelote Basque.
La partie, toutefois, fut assez
disputée au début où Garmendia-
Arravet manquèrent de peu l'éga-
lisai ion au 16” point.
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FEUILLETON NUMERO 59
I**HB c-ûi-oonnsT
«
C'était une nuit toute de sua-
vité où des brises impalpables
comme des ondes vous apportaient
sans cesse leurs parfums. Les lu-
mières étagées trouaient la nuit:
l’eau clapotait, zébrée à peine par
des rayons de lune. Il faisait bon.
il faisait clair : une indulgence
sans limites vous assaillait. On
ne devinait vraiment, à lancer
leur menace dans les chaudes té-
nèbres, que les flèches haut dar-
dées
plus près, dans le jardin de l’hô-
tel.' près de la pièce d'eau, une
rainette lançait aux étoiles son
cri monotone et désolé.
Alors. France, courageusement ,
s'avança vers celui qu’elle aimait- |
La dureté des choses, la coudai- j
neté des événements venaient de ,
déclenche.’ en elle une pitié <
agissante et vivace; elle se sen- j
tait une mission, un rôle, un be- (
soin immense et soudain dé se »
montrer compatissante pour ;
deux. EU» savait combien cet t
homme souffrait. Du coup elle en t
oubliait toutes ses rancunes, tou- j
tes ses rancoeurs. Divin rôle dp la s
charité ! Sa tendresse, à cette a
minute représentait surtout un
réconfort.
Morvillars ne semblait pas
s'apercevoir de sa présence : il
était perdu dans ses pensées. Au
loin luisaient les feux d'un pa-
quebot faisant route vers i’Italie.
Les suivait-il des yeux ? On ne
l'eut pu dire. Appuyé fortement
par les coudes à la rampe du bal-
con il restait plus immobile
qu’une statue. Seule, la blancheur
de son plastron éclatait dans lo
noir.
Enfin, sans préambule d’une
voix sourde ii lança :
— Ainsi France, en ce moment,
dans cet avion qui avait apporté
leurs parures. Youenn et Fuh-
Sieng voguent vers le Thibet. Iis
ont fait cela. Ils ont fui. Fui en-
semble. Je ne « la »> reverrai
plus.
— Soyez juste, docteur, répon-
dit-elle. Ces deux êtres re sont
sauvés, d’accord. Mais Que pou-
vaient-ils d’autre ? Vous vous op-
posiez absolument à « la » lais-
ser partir: et Fuh-Sieng ne pou-
vait s’éloigner sans elle. Il est
naturel que l'idée de fuite ait ger-
mé dans leurs esprit.
Puis songez-y. ilâ eussent très
bien, pu s’en aller une heure plus 1
tôt. dès le début du banquet,
tous infligeant un rude affront i
?t suscitant un scandale dont vo- i
:re mission ne se fut point re- 1
mise. Ils ont été plus corrects que J
tela. Ils on: attendu cette minute ,
jour eux et pour vous capitale. (
ie la présentation dernière. Puis. I
tne fois bien vus. bien interro- \
;és quand-leur existence n'a plus \
■té un mythe pour personne, ils ,
mt dispani à leur manière jaune.
;ans bruit, sans éclat... On ne
aurait parler de trahison, ,
tvouez-le,
gggggggggggggggggggggg K 11
Il eut un geste de rage et de
colère, poing dresse vers le ciel.
— Possible ! Et puis après ?
Penseï que,là-haut, quelque part
soit» cette voûte brûlante un
avion l’emporte, elle ! Avec ce
prêtre de malheur ! Et que je
suis la, moi, inutile, ridicule, te-
nant à deux mains mon coeur dé-
chiré. Sans rien pouvoir tenter..
O Fiance, restez près de moi, je
vous en supplie ! J’accueiilerais
n’importe quelle folie, tel que
vous me voyez présentement. Ja-
mais voire appui ne m'a paru si
précieux. Restez !
— Je comprends voire désarroi,
fit-elie. J'ai assisté peu à peu à la
naissance de ce malheureux
amour: j'en avais deviné la for-
ce; j'en sais ie chagrin. Mon
âme est avec la vôtre, frater-
nelle; mais je ne puis m’empê-
cher de penser, malgré tout, que
cela vaut mieux ainsi.
— Demain, reprenait-il, tout à
son idée fixe, demain je pour-
rais gagner Marseille, m’y em-
barquer. Aller droit à Chigatsé,
demandé!’ Youenn à sa famille,
ou même au Dalaï-Lama en son
« dzong ». Ils ont beau vouloir
â tout prix voir en lui un dieu,
c’est d’abord un homme. Il par-
donnera. il me la rendra. z
(A suivre.)
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