Titre : L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région]
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1936-10-31
Contributeur : Garet, Émile (1829-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34416250c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 31 octobre 1936 31 octobre 1936
Description : 1936/10/31 (A69,ED2,N51594). 1936/10/31 (A69,ED2,N51594).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5269235t
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3218
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/04/2020
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• Cette année, encore, le salon av-.
tomebile a permis de set rendre
compte des progrès constant de la
construction française.
La voiture de série conquiert de
plus en plus d’importance, c'est
forcé. Les nouvelles conditions de
vie, ne favorisent pas la construc-
tion spéciale. Nous entendons pur
voitures de série, les voitures cons-
truites en très grand nombre et j
sur le même modèle, telles qu'en
fabriquent les constructeurs les plus
connus qui produisent 80 p. 100 des
automobiles françaises. I
Ce qui caractérise la voiture de
série, c’est, avant tout, son bas prix. I
Il semble, par conséquent, qu’elle
doive avo’r une qualité nettement,
inférieure à celle de la voi'-yre dite
de luxe, ou, si vous voulez, de petite .
série. Or, il est bien loin d’en être |
toujours ainsi et quand le construc-
teur veut se donner la peine de soi- !
gner sa fabrication, son montage et
sa mise un point, la voiture de série,
peut rivaliser avec des voilures de
grand luxe.
Toutes les voiures de série sont
maintenant, au point, de vue méca-
nique, de même valeur que les voi-
tures construites spécialement.
Ainsi, iont le monde veut profiter
des progrès de la construction fran-
çaise.
A la « 4C2 » Peugeot, qui fut une des
grandes nouveautés du Salon dernier,
! s'ajoute cette année, la ;< 302 », sa soeur
i cadette.
La « 302 » est. en quelque sorte- une
« 402 » moins importante, mise à la
portée des budgets plus modestes. La
recherche de l'économie maintes fois si-
gnalées. se manifeste à nouveau. On en
a d'ailleurs une preuve supplémentaire •
dans le fait que tout a été recherché '
pour obtenir avec la :< 302 » une con-.
sommation aussi faible que possible. A 1
cet effet, une manette placée sur la ta-
ble de bord agit sur le carburateur en
permettant d'atteindre la vitesse maxi-
mum ou bien de réduire la consomma-
tion aux allures normales de route et
de ville, sans rien changer à la vigueur
des reprises et aux aptitudes en cote.
La « 302 » comporte un châssis « b'.cc
tube » à deux caissons superposés. Elle
est équipée avec un moteur 4 cylindres
à culbuteurs, d'une cylindrée de 17G0
eme, à susppnsion self-amortic : le
vilebrequin est supporte par trois pa-
liers; l'arbre à cames, logé dans le car-
ter est commandé par une chaîne si-
lencieuse: !e graissage des différents
organes du moteur : vilebrequin, bielles,
arbres à cames et culbuteurs, se fait
sous pression: le carburateur Solcx in-
versé, à starter, est du type à régula-
teur de consommation et commandé par
une manette située sur la planche de a
bord, suivant la disposition mentionnée
plus haut.
La suspension de la « 302 » est à roues
avant indépendantes, avec ressort trans-
versal à l'avant et ressorts cantilever
à l'arriére: elle est complétée par qua-
tre amortisseurs hydrauliques; le grais-
sage interne des lames s'effectue sous
pression.
La boîte de vitesses est à trois com-
binaisons. avec 2- et 3" silencieuses et
synchronisées. Les frcins sont du type
Bendyx auto-serreur sur les quatvp
roues. L'équipement électrique fonc-
tionne sous J2 volts, an moyen de deux
batteries de 45 ampères-heure, montées
en série sous 'la calandre du. radiateur.
En ce qui concerne les carrosseries de
la « 302 ». mentionnons un, cabriolet
qui peut recevoir quatre personnes abri-
tées sous la capote, les sièges sont amo-
vibles et peuvent être placés dans le
spider.
Bien entendu, PEUGEOT poursuit
toujours la construction de sa « 402 »
dont les caractéristiques essentielles
sont bien connues. Signalons en fait
de carrosseries, montées sur la ;< 402 »,
une nouvelle transformable à toit mé-
tallique escamotable, qui peut recevoir
six personnes abritées. Le couvercle du
spider pivote autour d'un axe placé à
barrière de la carrosserie cl. compor-
tant des ressorts de rappel, n reste
unsi ouvert et permet la manoeuvre
B
-aisé du toit métallique équilibré, au
moyen d'un système d'articulations
équipé d'amortisseurs; la manoeuvre se
fait à la main sans aucun effort pour
placer le toit sur la carrosserie ou pour
l'escamoter dans le coffre où so trou-
vent deux grasses valises et la roue d*
secours; celle-ci peut être aisément dé-
gagée vers l’extérieur, pour son démon-
tage, au moyen d'un support pivotant.
La nouvelle transformable Peugeot réa-
lise une véritable conduite intérieure
combinée avec un torpédo.
Par ailleurs, un dispositif intéressai'!,
la sécurité a été mis au point. Les
« 402 » cl les « 302 » sont dotées d'un
nouveau dispositif manoeuvrable par le
conducteur et permettant d'orienter :e
faisceau lumineux des phares selon qui
le chargement des passagers les fait
baisser ou lever. On obtient ainsi cons-
tamment un excellent éclairage de
route.
Mentionnons enfin la ;< 201 M ».
L'apparition de la nouvelle « 302 » po-
sait à Peugeot ce dilemne : « Fallait-
il abandonner la « 301 » et agrandir la
« 2C1 », ou. au contraire, abandonner ia
« 201 » et réduire la •:< 301 » ?
Le constructeur a choisi une troisiè-
me solution en créant la nouvelle ;
« 2C1 M » qui présente à la fois jlris
avantages de confort, d'encombrement
et. de puissance de la « 301 » et le bud-
get réduit de la « 201 ».
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La journée de dimanche où nos na
tionaux auront à s'expliquer centre le:
Allemands à Hanovre, ne comporte
ra gucic eue des rencontres amicale:
dont les équipes profileront pour fair«
une mire au point sérieuse en vue d7:
autres épreuves du Challenge du Ma
noir ou des p remiers matches du Chain
pi nnat de France.
L'une des plus intéressantes de res
ren< outres amicales, sera certainement
celle qui opposera au Stade de la Croix-
du-Frince les Tarbais du Stadocrstc aux
Béarnais de la Section Paloisc.
Les Palois pas plus quc les Tarbais
ne seront diminués par le match de
Hanovre, mais si l'équipe Tarbaise sc
présente vraisemblablement dans sa
meilleure formation, du côté paiois i:
faudra pourvoir à l'absence de quelques
éclopés du match contre Bordeaux.
Rencontre ouverte et faite de jeu
agréable cn perspective qui attirera eer-
tainement une belle affluence autour
des barrières de la Croix-du-Frinc*
Coup d'envoi à 14 li. 30.
—; ,
LA COURSE PARIS-SAIGON-PASIS
TERMINEE FAUTE DE CONCURRENTS
Ainsi qu'on pouvait le craindre en
raison du nombre vraiment trop peu
élevé de partar s .pour une épreuve
dont on nouvalt présumer un déchet
proportionné à sa longueur, Paris-Saï-
gor:-Paris r.'aura donné lieu qu'à un
départ, aucun appareil n’ayant pu bou-
cler l'épreuve.
Il faudra, si l'on veut recommencer
l'expérience, prendre tout le temps
nécessaire et non pas improviser, ainsi
qu'on l’a fait, vraiment trop à la légère.
CARNET DELA T. S. F
Quelques programmes
du samedi 31 octobre
7 h. — Radic-Paris : « Ninon, voici
les roses » iDarieu); Heure exacte; In-
formations; Revue de la presse; Cultu-
re physique; « Mosaïque » (Faune!!);
« Pastiure'.le béarnaise » (Zimmer-
mann). p
3 h. — Radio-TcUleuse : Musique lé-
gère; Informations; Enregistrements.
11 h. — Radio-Paris : Concert slave
et Musique variée. « Menuet » (Pade-
rewsvy) ; « La cinquantaine » (Gabriel
Marie); Coq et poules » (Lesnard);
12 h. — Radio-Toulouse : Mélodies;
Orchestre de salon: Extraits de films;
Musique tzigane; Opérettes (chant) ;
Orchestre symphonlqûe. « Marche tar-
tare » (Ganne); « Marche militaire r.
(Schubert).
16 h. — Radio-Pans : Concert de
Musique légère. « Pas des cymbales »
(Chamlnade); « Monte-Cristo »lar); « Patrouille des pantins » (Au-
vmy) : « Chanson d'arhour » (Nou-
guès); Airs tziganes.
16 h. 30. — Postes d’Etat (Concert
Pasdelotip.
19 h. 55. — Bcrdcaux-Lafayette : Re-
transmission diu spectacle du Théâtre
LE CYCLISME
. .* «
; Charles Pélissier a couvert
Mortagne-Paris
à plus de 66 de moyenne
Charles FéÜssier, derrière l'entraincui
; Sauge, qui pilotait une mo.o munie d'un
' coupe-vent, a réalisé, ce matin, sur li
: parcours Mortagne-Paris, soit 160 kilo-
- métro-, environ, une très belle perfor-
mance, puisqu’il a abattu cette distance
’ a ria moyenne de 6û fcitt. 669.
Charles Pélissier, qui s'était propos:
i de battre le train sur cette ligne, l'a
, devancé d'une heure environ. C'est une
• performance qui n'a aucune por.ét
sportive proprement dite, mais qui de-
mande de la part de celui qui i'a acccm
, Plie un certain cran, car il a fallu, f
divers moments, rouler à plus de 86 ki
lamètres de moyenne, sur des routes
qui n'étalent .pas gardées.
Dommage que Charles Pélissier n,
puisse réaliser une telle moyenne, d;
Bordeaux à Paris, derrière Jes petite
motos...
- i«i o - -«»■—
L’Italie réclame un Tour individue
et des vélos italiens
« Les Italiens ne part ciperont pa:
au Tour de 'France si M. Desgrange*
revient pas au Tcur individuel- x
Telles sont les (paroles prononcées pai
diverses, personnalités italiennes di
monde cycliste. Le président de l’Union
;yci!iste .italienne n'a pas été aussi aflir
matif, mais ia question sera posée ofli-
■..tellement. « Le3 marques oui emploient
n paient des coureurs ne veulent pim
-les prêter pour le Tour. D'être privée*
do leurs champions en pleine saisov
ne les Intéresse pas. Les constructeur:
proposent que les cycl'stes qui seraient
sélectionnés soient à notre charge e
que nous payions leurs salaires. Il fau'
donc quo le Tour soit disputé indivi-
duellement et que nos hommes puissent
avoir .leurs vélos italiens. »
Telles tor.t les paroles prononcées caj
M. Momo à notre confrère Baker d’Isy
à Milan.
♦»»
Un succès de Richard à Milan
Au cours de la réunion organisée poui
l'arrivée du Tour du Milanais. Maurlc*
Richard a battu Bini, remportant le
ooursuitc, la vitesse et l'épreuve der-
rière moto.
m
Le tour du Milanais
Voici le classement du Tour du Mila-
nais, disputé sur 118 kilcmèîres par
équipes de deux coureurs ,:
L Guerra-Bartalia, 2 h. 52’ 20"; 2
Bergamashl-Cazzulani, 2 h. 58' 12"; 3
C’mo-Fit montési, 3 h. 0' 53"; 4. Batte-
sini-FaveUi, 3 h. 1' 20".
Di Paco, arrivé seul cn 3 h. 1' 4" et
. Magne-, arrivé seul également en 3 h. 8'
1"", ne sont pas classés,
* .
I ---I JL11-.- 1 ■' —' '
National de l’Opéra. « Faust » (Gou
nod).
19 h. 55. — Rennes-Bretagne : « Wer-
ther », opéra-comique (Masser!et), de
puis l'Opéra-Gomique.
20 h. 30. Paris-P.T.T. : Soirée de
Cabaret.
20 h. 45. — Radio-Paris : « Les noce?
Corinthiennes » (Evaser).
21 h. 15. , Luxembourg :. « Synipho-( ,
nie Jupiter » (Mozart).
V
APPEL AUX OFFICIERS ET SOUS-OFFICIERS
DE RÉSERVE
• . Au moment ou ■ commence.,,l'ami:e
d Instruction 1936-37. un pressant appel
est adresse aux Officiers et Sous-Offi-
cicrs de réserve pour qu'ils s'inscrivent
nientreUX aUX ^C0'C 3 dc perfectionne-
CTcst leur devoir, c'est leur intérêt.
D est leur devoir de Français de ré-
oondrr à l'appel du ministre. « La situa-
tion extérieure présente impose d'une
maniéré impérieuse, de réaliser, dan;
le pais bref délai, une augmentation im-
portante de la qualité de l'armée » Or
la cualüé de l'armée dépend avant tcut
de la valeur de ses cadres. Ceux-ci ont
imper.eux devoir de maintenir et per-
fectionner sans cesse leur instruction
te se tenir au courant de toutes les mo-
dulations de l'armement et de la tacti-
que qu actuellement évoluent sans ce -
se. Seule la fréquentation des écoles de
nrrfcctionnement leur cn procure le mo-
yen.
t G'est leur intérêt. Il est légitime pour
,cu!. officier ou sous-officier de réserva
i o'p rer à l'avancement et aux diffe-
rentes distinctions honorifiques. Or de
récentes lois ou inslructio”.; ministériel-
'e:: c ■* étreitement subordonné les pro-
positions à la fréquentation des cccles
ia perfectionnement.
En ce qui concerne l'avancement, le
ministre vient de décider que seuls pour-
•aic:v, tire,inscrits au tableau d'avanee-
meiv les Ofï.'ciers de réserve ayant
fa i>i-euve de deux ans d'assiduité aux
icclec dans les cinq années précédant
’a proposition (Instruction du 22 juin
1236 insérée dans le bullcUo d'informa-
tion d’octobre 1936 .page 24).
Par D. M. du 19 septembre 1936 il a
prescrit que l'avancement des sous-offi- 1
riers devait être réservé, sauf circons- 1
ances exceptionnelles, aux candidats
vrs'dus aux Ê P. Cette prescription s'ap-,
niique aux caporaux et caporaux-chefs. I ]
Elle s'applique bien entendu aussi aux j !
propositions pour le grade de sous-lieu-
tenant de réserve et peur le grade d'as-
-/rant de réserve créé par la loi du 5
août 1936 (Le texte cn sera inséré dans |
e B- I. de novembre i. !La fréquentation j
les E. P. est d’ailleurs le seul moyen !
’e plus pratiaue pour les sous-officiers ide
sc préparer à l'examen d'admission au
brevet de Chef (de Section nécessaire ,
pou.- l'accessicn à ces grades. I ‘
Les diverses récompenses pouvant être
obtenues par les O- IR. et S- O. R. atsi-,(
lus aux écoles de perfectionnement sont: J
’er. suivantes : Témoignages de satis- *
faction avec mise à l'ordre du régiment 1
de la division, de la région; Témoignage s
io satisfaction du minstre; Lettre de '
'élicltations du ministre; (Mention du, 1
Bulle!in Officiel: Lettre de félicitations
ivre mention au Bulletin Officiel. i ï
Ces récompenses ont non seulement |
me valeur par elles-mêmes, mais elles ]
mnt transformées en points qui s'ajou- !
‘'.en', aux peints accordés pour l’assiduité |
lux écoles et se transforment en annui- i
tés Or on rait que te nombre d'annui-
és joue un tôle prépondérant pour
.'inscription au tableau pour la Légion î
l’Honneur et la Médaille Militaire. E
Ces récompenses et l’assiduité aux éco- ■
'es de perfectionnement constituent aus-
-i les éléments d’appréciation prépondé- e
:ant-s pour l'cbtention de la Croix des '
services militaires volontaire.fi'(Ire, 2ème,
3ème classes) créée par 5e Décret du 13
mai 1934.
Les avantages matérieli aeqtiis par les
assidus ne sont, pas sans importance.
Tout, officier ayant réalisé le minimum
■^assiduité .pendant une année d'instruc-
ticn a droit à une carte *de surclasse-
•nenl lui permettant de voyager en ehe-
mf n d? lier sur tous les réseaux pendant
;oute Vannée suivante, en Ire classe av3c t
ur. tdllet de 3ème classe- Tout sous-offi- *
lier ou cacoral-chef ayant réalisé le :
ninimum d'assiduité dant une année d’instruction, a droit j
au cours de l'année suivante à un bon j
de réduction de tarif de 75% pour un
voyage à sôn choix. S'il a assisté à 15 .
séances il a droit à deux bons, s'il a
assisté à 18 séances. 01 a droit à 3 bons. _
Len sous-offiCiers et caporâux-chjfs
assidus peuvent recevoir gratultemelit. B!
sur leur demande, une tenue militaire. I
Le*; caporaux el soldats de réserve _
candidats gradés peuvent être admis à
fréquenter des E. ï». Us lie bénéficient 11
» 4
pas des avantages,, qui viennent d'être
éiiumerés, 'niais ceux Qui se distinguent
par teur zéie et la qualité de leur tra-
vai'. pendant une ahnêe d'acsiduite sort
s .g a lues au commandant de leur orga-
ne mobilisa tcur en Vue de fétu- nomlnu-1
lion au grade de caporal-chef. L’année I
suivante fis bénéficient de tous les avau-1
tages.
Le.: O. R.. .S- O- R. et caporaux-che!:; I
sc rendant aux séances des E. F. ayant I
heu hors de leur résidence reçoivent un I
■litra leur permettant Ide voyager au tu-
i.: ini.naire en 1ère classe pour jes O. R , I
en zemo v.asït- peur Iles Inspirants adju-1
dants-uhefs et adjudants, en 3èmc ci a s-1
sc fxtur les autres sous-officiers et les
caporaux-chefs. Le pnx du transport I
leur es,, remboursé, par le paiement I
d'une .indemnité équivalente dite : tr.-1
demnité. kilométrique.
Ils reçoivent en outre d'après ia du-|
i efl'ect'.ve de leur absence une indem-\
nilé de déplacement do 12. 24, 44 fr- 50 I
1-our îcs ofnciers, 11 fr. 50, 23. cl 32 fr. 50 I
rtur les sous-cfliciers et caporaux-chefs, I
suivant, que i'absençe a été de 7 a 121
lieures. de 12 à 18 heures, de 18 a 31 11
heures. I;
Les jours et heures des séances d'ins-1 -
traction sont ehoi: .; de façon à BÔIMTII
le moins possible les O- R. et S. O. R- ,
dans l'exercice de leuns occupations lia-1 <
bituelles- Dans chaque école on- organ .-l .
M un nombre de séances suffisant polir I
permettre à tous les intéressés de rem-1 1
pur sans duficulté excessive les con-|
di.ions d'assiduité exigées pour l'obtcn-l 1
tion do la .xarle cie.-suxclas&emont et des I £
bo’is de réduction. " j
Four l.es jeunes sous-liciUejumts: de ré-11
serve nommés à ce grade au cours de K
leur service actif, l’assis.ance aux séan- I
ces dune E. P. constitue une obligation!,
morale puisqu’à leur libération ils ont *
reçu la carte dn surclassemeni à litre I e
conditionnel cn s'engageant à comple-ln
ter le nombre des séances auxquelles ils I
ont asssté pendant leur service ac i-f- n
•Le ministre a d'ailleurs fait connaître 11
C. M. 4862 du 5 a vril 1931 et 2033 du 14
nar;; 34) qu'il envisageait la convocation I .
ii des périodes supplémentaires annuel-1 “
es de six jours des lieutenants ou sous-1(;
lieutenants de réserve récemment nom-| M
nés el ne suivant pas les cours des Eco-1 n
es de perfectionnement. I vi
I es écoles de perfectionnement d'O-K. I p
:t S C-.R. sont des centres d’é udrs-et de I
iratique militaires. S’inscrire à une éco-l
e de perfectionnement signifie unique- ''
nent qu’on a le désir de s’inslrulre pour I
;e préparer uax responsabilités qui psu-| te
rent d'un moment à l’autre incomberI p<
iu>. cheis cle tous grades. I vt
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lniiiiiiiinii«iiiiiiniimiiiiiiniiïïi
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de celle des personnages
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C'est un© qve;..ilen que se posent «cu-
vent les nemoreux admirateurs des c. -
iébrtt?s du cinéma.
Certains, en les voyant incarner d,-ï
personnages aux réactions compî'.quces,
pensent que leurs idoles continuer..., hor
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qu i vies o:n 1 habitude d'interpréter, leur
impose t’éeraù. ,
11 est cer.aiii'que Facteur ou l'aeln-
ce qui use de. .es réflexes naturels, u.
sa sensibilité, jjour faire vivre v.n per-
sonnaye factice, a tendance, torèqu'U s*,
retrouve dans son aa:l:i3.v.ce normale,
être influencé pal’ ce personnage. E.
('■o - pourquoi La vie privée de beaucoup
de vide tes est seêtUWIement la mèm’é
pie cc.ie des personnages qu'eëlcs inter-
prètent.
Ainsi, Gary Cooper, qu'Holiyv/éod
■ange dans la catégorie des ermites, a.
îouvent timide à l'écran, un peu gaüéht
îarfais mais toujours sympathique., «st-
.'Xactement comme 1rs rcies qu’il a’iha-
ùtude d’interpréter.
Paul Muni dont le « dynami me » es:
égendaire, est un é.re aussi plein cle vie
do tempérament qu'à l'écran. De mè-
ne, en ce qui concerne Jack Oakie, dont
a réputation de « rigolo » est net©
nent établie* par une série de plaisan-
cricr. dont lui seul a le secret.
A l’écran, Rc :coe Karns es: un corné-
lien. Se, vie privée est également pleine
I humour et de gaité. Le cas de W.l-
iam Collier Sr. est exactement le nvV
ao. Martha Raye, la dernière déebu-
ertc de Paramount, est une comcdieiine
ileino d'esprit, elle aime scu intérieur
l sa personnalité très attachante, )>é-
ile de malice.
Edmund Lowe, toujours bien habillé,
mjours gentleman avec tuie légère
ointe de desinvedture, quelque peu cpn-
;ntioimel parfois, a créé à l’écran un
typo » oui est le reflet de sa propre
ïrsonnalllé.
Carclé Lombard qui interprète des ,
tc-les un ÎJCU osés avec un naturel par-
fait, et un allant merveilleux doit a ,*,.i
nature remuante et capricieuse do pou-
voir le fiJiro avec autant do fac lité. E'I ■
lut. toujours un garçon manqué Etant
entât:., clin n'aimait rien plus que 'do
se battre avec les garçons et fai. ail,
preuve d'une grande autorité sur ses
P© 1 it.es camarades.
Blng Crosby, Mary- Roland, W. c:.
îïelds. Frod Mac Murray et, Ida Lupino
sont également parmi ceux qui mcnrrt
■}- l’écran un* vs *”ii n'tst. que le reflet
de celle qffïls vivent tous les jours.
Quant à Marlène -Dicti ch, c le <•:
peuttéfect: l’ac ries qui offre la plus *tran-
-lc djf,CcirJ.;'a.:ci: «jtn* ce qu'i lle é\(xpf
>. l'éçran et ce qu'elle cgf eh réalité',
.tendons hommage à son talent quiju:
permet do créer des personnages si dil-
ESIè, quc’aeefan nous montre adulé*
’enant sous sOn'clxsinne. toute une troupe
d’adcvatéaiK a-borm«* de la fouté- Q:';:
eetéoîîùt.u stij^p où à.i;i vêle, elle préfè-
.-c- Se ^u’ir sçp'e. F"o aime se rctrou-
•er chez elle dans une ambiance qui lui
■est bien personnelle et n'epparatt ja
nais au studio, à, moins que sa présenc
°.oi* absolument néeessaùx*.
ECU* ne. si; montre en public qu'en ‘d-
ré: rares occasions, car elle a un pr. ,
oeur^de la fpule. Hollywood ne lient
cmprchdfe celte préférence'de la gran
le vedette pour son « home » et selon 1
w de »e pas l'a,percevoir aux grande
< premières »•
/G’ifl'üdette Colbert, bien qu'elle parais (
'e un peu plus souvent cn publ c, es' .
aussi’une femme dlb trieur, aimant b .
calme et la tranquillité- 'c
■La conclusion de tout ceci est qu’à
part de très rares exceptions, les hs ni 1
rf~. T sensationnelles » qui courent su P
telle ou telle vedette ne sont mie !> P
fruit de l'imagination de journaliste s
ou d'admirateurs un peu trop en! hou- o
slastes.
1
ON TOURNE « L’ASSAUT „ ;
D’HENRY BERNSTEIN
— « Messieurs, la Cour ! »
Le publie, qui se presse, nombreux,
ns la salle de La Cour d’Assiscs, se
re. Lés Magistrats, en robes rouges,
nt leur entrée, s’installent.
L’audience' est ouverte.
Au banc des prévenus, l'accusé, un
mme d'une soixantaine d'années, n'a
s l'air autrement ému il*examine
ssistance d'un oeil narquois, pul3
)Ute la lecture de l'acte d’acusation.
D'est un procès de presse qui nous
léne en cette grave enceinte de la
ur d’Assisss : Un homme politique
vue, diffamé dans une série d’arti-.
s, a voulu ep finir avec ces calcnï-
:s imprimées chaque matin dans un
«ur quotidien ressuscité pour la
constance. Il a traîné son diffama-
ir devant la Justice... L’autre'fera-
is preuve de ses accusations ' ? |
rei est lé début du film dont Pierre
cis vient de commencer la.réalisa-
i aux Studios Paramounl pour les
>ductions Henri UUmann, ' 1
. . ..
La Cour d'Assises où le publie
I s'éei-ase, n’tst qu'un décor — mais quel
I décor impressionnant ! Les magistrats
en robes, les jurés, tout comme les h
avocats et avocates qui ont envahi h
prétoire, ce sont des artistes de cir.é T>-
ma. L’homme politique qui défend sor 1
honneur, c’est Charles V.ansl ; son ac- T
cusateur, c'est l'excellent ccmédicn T’
Joifre. *i
rc
On tourné A L'Assaut », adaptation n)
à l'écran de l'oeuvre vigoureuse d'Henry n<
Bernstein que créa jadis au Gymnase a
le grand Lucien Guitry dont Charles pi
Varie! - reprend aujourd hui le rc’e.
L'oeuvre d'Henry Bernstein, adaptée nr
î»r Léopold Marchand, a trouvé 1rs __
Interprètes capables d'en traduire la —
puissance sobre, condensée. Voici Char- Al
les Vanel. Alerme, Jofîre, Vergr.e, Jan- fai
vfer.' Paul Marcel, Dérives. Monl.gny. jet
Cliarles Lemontier, qui en sfcront les qu
r.rotagdnlsteS. Aux côtés de ces ard.s- « 1
tes, deux rôles féminins importants car
essentiels même. Us sont confiés à ; me
V
Akim Tamiroff,
l’homme
aux 1.000 visages
Beaucoup de vedettes connaissent cet
homme qui leur a appris un des se-
crets de leur art; et sans doute, vous-
memo l'avez-voua vu dos cênlaines de
fois, sans le reconnaître,
C’est Akim Tamiroff, l'homir.” eux
I 090 visages, le maître du niaeuilLge.
un acteur fameux qui vient du théâ-
tre -des Arts de Moscou. Beaucoup
d'hommes A>ni. classés comme des ex-
perts en maquillage à Hollywood. Ka-
therine Hepburn, Jean Muir, Je:en Ca-
hagan et Jean Dixot’s vous dlron que
Tannrotf. acteur rie. eomp-ositiop. est
ùh'K savant au point de-vue maqu.ilcg?
que nbmporle quel spécialisée tic Holly-
wood. .
Elles sont à même-de Je savoir p*f s-
qu'e’-les so sont rendue^ tout exprès à
son studio de New-York Citv afin d'; 0-
prendro les secrets des jeux d’ombre 'et
de lumière sur la- figure humaine.
Me.is ce génie du mnouilbur n'es‘ eus
lo seul talent de ée petit; et sombre
moscovite. Il est. ayant août, un ac-
teur. et le maquillage ne Vinttresse
ôù’cn ce qui concerne les caractères
des personnages qu'il doit interpréter
et qui vont du rôle sympathique, ou
traître, au comique, pour revenir au
personnage horrifiant.
Dans « Désir ». Akim Tamiroff Jouait
le rôle comique du policier espagnol;
dans « Le général est mort à l'aube »,
d joue le rôle d’un général chinois, cy-
nique et dépravé, et qui meurt après
me longue agonie.
II n'a aucun rôle favori. II ne deman-
de que la variété. Mais cola ne l'rra-
lêche pas d'avoir toujours un mot élo-
tieux pour les acteurs qui sc sont, «-pé-
nalisés.
— « Ils sont devenus des « 'p*v;a-
istes », explique-t-il. Es en savent donc
>lns au sujet du caractère ou'ils imer-
irètcnt que quiconque. Mais je ne pen-
,e pas qu'ils puissent avoir autant, de
ilaisir et de distraction que moi. »
Tamiroff vous est déjà apparu dans
dus de 45 films depuis çcn arrivée à
lollywood il y a quelques années. Il
Les*, jamais sans emploi, et c'est vrai-
aenl une bonne note pour un acteur.
<’ UN MAUVAIS GARÇON ..
C'est Henry Çarat. Il faudra l avoir
u dans ce film dont il est le héros, un
iéros bien équivoque, aux épaules trop
nrrées, aux pantalons trop larges, aux
ropos argotiques et. mystérieux d’un
affranchi » de la plus belle eau. Com-
ie nous voilà loin du Garat du « Con-
tés, s’amuse » et — pour parler d'un
lni bien plus récent — des « Gais Lu-
sns » ! C’est donc en somme, un tout
ouvel aspect de son talent qu'il va
ous révéler prochainement dans ce
Mauvais Garçon ». Une raison de
ns pour qu’on ait hâte, de voir ce
Im. Ce qui ne saurait tarder maintc-
mt.
...VT-i’V.i .II " ~1
ice Field, dont l'éloge n'est plus ’i
ire, et à Madeleine Robinson, une
me actrice, élève de Charles Dullin.
i vient d'être très remarquée dans
Le Mioche ». et- dont'le jeu simple,
îouvant. la parfaite dietidh feront
irveilîe.
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• Cette année, encore, le salon av-.
tomebile a permis de set rendre
compte des progrès constant de la
construction française.
La voiture de série conquiert de
plus en plus d’importance, c'est
forcé. Les nouvelles conditions de
vie, ne favorisent pas la construc-
tion spéciale. Nous entendons pur
voitures de série, les voitures cons-
truites en très grand nombre et j
sur le même modèle, telles qu'en
fabriquent les constructeurs les plus
connus qui produisent 80 p. 100 des
automobiles françaises. I
Ce qui caractérise la voiture de
série, c’est, avant tout, son bas prix. I
Il semble, par conséquent, qu’elle
doive avo’r une qualité nettement,
inférieure à celle de la voi'-yre dite
de luxe, ou, si vous voulez, de petite .
série. Or, il est bien loin d’en être |
toujours ainsi et quand le construc-
teur veut se donner la peine de soi- !
gner sa fabrication, son montage et
sa mise un point, la voiture de série,
peut rivaliser avec des voilures de
grand luxe.
Toutes les voiures de série sont
maintenant, au point, de vue méca-
nique, de même valeur que les voi-
tures construites spécialement.
Ainsi, iont le monde veut profiter
des progrès de la construction fran-
çaise.
A la « 4C2 » Peugeot, qui fut une des
grandes nouveautés du Salon dernier,
! s'ajoute cette année, la ;< 302 », sa soeur
i cadette.
La « 302 » est. en quelque sorte- une
« 402 » moins importante, mise à la
portée des budgets plus modestes. La
recherche de l'économie maintes fois si-
gnalées. se manifeste à nouveau. On en
a d'ailleurs une preuve supplémentaire •
dans le fait que tout a été recherché '
pour obtenir avec la :< 302 » une con-.
sommation aussi faible que possible. A 1
cet effet, une manette placée sur la ta-
ble de bord agit sur le carburateur en
permettant d'atteindre la vitesse maxi-
mum ou bien de réduire la consomma-
tion aux allures normales de route et
de ville, sans rien changer à la vigueur
des reprises et aux aptitudes en cote.
La « 302 » comporte un châssis « b'.cc
tube » à deux caissons superposés. Elle
est équipée avec un moteur 4 cylindres
à culbuteurs, d'une cylindrée de 17G0
eme, à susppnsion self-amortic : le
vilebrequin est supporte par trois pa-
liers; l'arbre à cames, logé dans le car-
ter est commandé par une chaîne si-
lencieuse: !e graissage des différents
organes du moteur : vilebrequin, bielles,
arbres à cames et culbuteurs, se fait
sous pression: le carburateur Solcx in-
versé, à starter, est du type à régula-
teur de consommation et commandé par
une manette située sur la planche de a
bord, suivant la disposition mentionnée
plus haut.
La suspension de la « 302 » est à roues
avant indépendantes, avec ressort trans-
versal à l'avant et ressorts cantilever
à l'arriére: elle est complétée par qua-
tre amortisseurs hydrauliques; le grais-
sage interne des lames s'effectue sous
pression.
La boîte de vitesses est à trois com-
binaisons. avec 2- et 3" silencieuses et
synchronisées. Les frcins sont du type
Bendyx auto-serreur sur les quatvp
roues. L'équipement électrique fonc-
tionne sous J2 volts, an moyen de deux
batteries de 45 ampères-heure, montées
en série sous 'la calandre du. radiateur.
En ce qui concerne les carrosseries de
la « 302 ». mentionnons un, cabriolet
qui peut recevoir quatre personnes abri-
tées sous la capote, les sièges sont amo-
vibles et peuvent être placés dans le
spider.
Bien entendu, PEUGEOT poursuit
toujours la construction de sa « 402 »
dont les caractéristiques essentielles
sont bien connues. Signalons en fait
de carrosseries, montées sur la ;< 402 »,
une nouvelle transformable à toit mé-
tallique escamotable, qui peut recevoir
six personnes abritées. Le couvercle du
spider pivote autour d'un axe placé à
barrière de la carrosserie cl. compor-
tant des ressorts de rappel, n reste
unsi ouvert et permet la manoeuvre
B
-aisé du toit métallique équilibré, au
moyen d'un système d'articulations
équipé d'amortisseurs; la manoeuvre se
fait à la main sans aucun effort pour
placer le toit sur la carrosserie ou pour
l'escamoter dans le coffre où so trou-
vent deux grasses valises et la roue d*
secours; celle-ci peut être aisément dé-
gagée vers l’extérieur, pour son démon-
tage, au moyen d'un support pivotant.
La nouvelle transformable Peugeot réa-
lise une véritable conduite intérieure
combinée avec un torpédo.
Par ailleurs, un dispositif intéressai'!,
la sécurité a été mis au point. Les
« 402 » cl les « 302 » sont dotées d'un
nouveau dispositif manoeuvrable par le
conducteur et permettant d'orienter :e
faisceau lumineux des phares selon qui
le chargement des passagers les fait
baisser ou lever. On obtient ainsi cons-
tamment un excellent éclairage de
route.
Mentionnons enfin la ;< 201 M ».
L'apparition de la nouvelle « 302 » po-
sait à Peugeot ce dilemne : « Fallait-
il abandonner la « 301 » et agrandir la
« 2C1 », ou. au contraire, abandonner ia
« 201 » et réduire la •:< 301 » ?
Le constructeur a choisi une troisiè-
me solution en créant la nouvelle ;
« 2C1 M » qui présente à la fois jlris
avantages de confort, d'encombrement
et. de puissance de la « 301 » et le bud-
get réduit de la « 201 ».
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« A VIE SPOKTIVF
A LA CROIX-DU-PRINCE
TARBES-PAU '
La journée de dimanche où nos na
tionaux auront à s'expliquer centre le:
Allemands à Hanovre, ne comporte
ra gucic eue des rencontres amicale:
dont les équipes profileront pour fair«
une mire au point sérieuse en vue d7:
autres épreuves du Challenge du Ma
noir ou des p remiers matches du Chain
pi nnat de France.
L'une des plus intéressantes de res
ren< outres amicales, sera certainement
celle qui opposera au Stade de la Croix-
du-Frince les Tarbais du Stadocrstc aux
Béarnais de la Section Paloisc.
Les Palois pas plus quc les Tarbais
ne seront diminués par le match de
Hanovre, mais si l'équipe Tarbaise sc
présente vraisemblablement dans sa
meilleure formation, du côté paiois i:
faudra pourvoir à l'absence de quelques
éclopés du match contre Bordeaux.
Rencontre ouverte et faite de jeu
agréable cn perspective qui attirera eer-
tainement une belle affluence autour
des barrières de la Croix-du-Frinc*
Coup d'envoi à 14 li. 30.
—; ,
LA COURSE PARIS-SAIGON-PASIS
TERMINEE FAUTE DE CONCURRENTS
Ainsi qu'on pouvait le craindre en
raison du nombre vraiment trop peu
élevé de partar s .pour une épreuve
dont on nouvalt présumer un déchet
proportionné à sa longueur, Paris-Saï-
gor:-Paris r.'aura donné lieu qu'à un
départ, aucun appareil n’ayant pu bou-
cler l'épreuve.
Il faudra, si l'on veut recommencer
l'expérience, prendre tout le temps
nécessaire et non pas improviser, ainsi
qu'on l’a fait, vraiment trop à la légère.
CARNET DELA T. S. F
Quelques programmes
du samedi 31 octobre
7 h. — Radic-Paris : « Ninon, voici
les roses » iDarieu); Heure exacte; In-
formations; Revue de la presse; Cultu-
re physique; « Mosaïque » (Faune!!);
« Pastiure'.le béarnaise » (Zimmer-
mann). p
3 h. — Radio-TcUleuse : Musique lé-
gère; Informations; Enregistrements.
11 h. — Radio-Paris : Concert slave
et Musique variée. « Menuet » (Pade-
rewsvy) ; « La cinquantaine » (Gabriel
Marie); Coq et poules » (Lesnard);
12 h. — Radio-Toulouse : Mélodies;
Orchestre de salon: Extraits de films;
Musique tzigane; Opérettes (chant) ;
Orchestre symphonlqûe. « Marche tar-
tare » (Ganne); « Marche militaire r.
(Schubert).
16 h. — Radio-Pans : Concert de
Musique légère. « Pas des cymbales »
(Chamlnade); « Monte-Cristo »
vmy) : « Chanson d'arhour » (Nou-
guès); Airs tziganes.
16 h. 30. — Postes d’Etat (Concert
Pasdelotip.
19 h. 55. — Bcrdcaux-Lafayette : Re-
transmission diu spectacle du Théâtre
LE CYCLISME
. .* «
; Charles Pélissier a couvert
Mortagne-Paris
à plus de 66 de moyenne
Charles FéÜssier, derrière l'entraincui
; Sauge, qui pilotait une mo.o munie d'un
' coupe-vent, a réalisé, ce matin, sur li
: parcours Mortagne-Paris, soit 160 kilo-
- métro-, environ, une très belle perfor-
mance, puisqu’il a abattu cette distance
’ a ria moyenne de 6û fcitt. 669.
Charles Pélissier, qui s'était propos:
i de battre le train sur cette ligne, l'a
, devancé d'une heure environ. C'est une
• performance qui n'a aucune por.ét
sportive proprement dite, mais qui de-
mande de la part de celui qui i'a acccm
, Plie un certain cran, car il a fallu, f
divers moments, rouler à plus de 86 ki
lamètres de moyenne, sur des routes
qui n'étalent .pas gardées.
Dommage que Charles Pélissier n,
puisse réaliser une telle moyenne, d;
Bordeaux à Paris, derrière Jes petite
motos...
- i«i o - -«»■—
L’Italie réclame un Tour individue
et des vélos italiens
« Les Italiens ne part ciperont pa:
au Tour de 'France si M. Desgrange*
revient pas au Tcur individuel- x
Telles sont les (paroles prononcées pai
diverses, personnalités italiennes di
monde cycliste. Le président de l’Union
;yci!iste .italienne n'a pas été aussi aflir
matif, mais ia question sera posée ofli-
■..tellement. « Le3 marques oui emploient
n paient des coureurs ne veulent pim
-les prêter pour le Tour. D'être privée*
do leurs champions en pleine saisov
ne les Intéresse pas. Les constructeur:
proposent que les cycl'stes qui seraient
sélectionnés soient à notre charge e
que nous payions leurs salaires. Il fau'
donc quo le Tour soit disputé indivi-
duellement et que nos hommes puissent
avoir .leurs vélos italiens. »
Telles tor.t les paroles prononcées caj
M. Momo à notre confrère Baker d’Isy
à Milan.
♦»»
Un succès de Richard à Milan
Au cours de la réunion organisée poui
l'arrivée du Tour du Milanais. Maurlc*
Richard a battu Bini, remportant le
ooursuitc, la vitesse et l'épreuve der-
rière moto.
m
Le tour du Milanais
Voici le classement du Tour du Mila-
nais, disputé sur 118 kilcmèîres par
équipes de deux coureurs ,:
L Guerra-Bartalia, 2 h. 52’ 20"; 2
Bergamashl-Cazzulani, 2 h. 58' 12"; 3
C’mo-Fit montési, 3 h. 0' 53"; 4. Batte-
sini-FaveUi, 3 h. 1' 20".
Di Paco, arrivé seul cn 3 h. 1' 4" et
. Magne-, arrivé seul également en 3 h. 8'
1"", ne sont pas classés,
* .
I ---I JL11-.- 1 ■' —' '
National de l’Opéra. « Faust » (Gou
nod).
19 h. 55. — Rennes-Bretagne : « Wer-
ther », opéra-comique (Masser!et), de
puis l'Opéra-Gomique.
20 h. 30. Paris-P.T.T. : Soirée de
Cabaret.
20 h. 45. — Radio-Paris : « Les noce?
Corinthiennes » (Evaser).
21 h. 15. , Luxembourg :. « Synipho-( ,
nie Jupiter » (Mozart).
V
APPEL AUX OFFICIERS ET SOUS-OFFICIERS
DE RÉSERVE
• . Au moment ou ■ commence.,,l'ami:e
d Instruction 1936-37. un pressant appel
est adresse aux Officiers et Sous-Offi-
cicrs de réserve pour qu'ils s'inscrivent
nientreUX aUX ^C0'C 3 dc perfectionne-
CTcst leur devoir, c'est leur intérêt.
D est leur devoir de Français de ré-
oondrr à l'appel du ministre. « La situa-
tion extérieure présente impose d'une
maniéré impérieuse, de réaliser, dan;
le pais bref délai, une augmentation im-
portante de la qualité de l'armée » Or
la cualüé de l'armée dépend avant tcut
de la valeur de ses cadres. Ceux-ci ont
imper.eux devoir de maintenir et per-
fectionner sans cesse leur instruction
te se tenir au courant de toutes les mo-
dulations de l'armement et de la tacti-
que qu actuellement évoluent sans ce -
se. Seule la fréquentation des écoles de
nrrfcctionnement leur cn procure le mo-
yen.
t G'est leur intérêt. Il est légitime pour
,cu!. officier ou sous-officier de réserva
i o'p rer à l'avancement et aux diffe-
rentes distinctions honorifiques. Or de
récentes lois ou inslructio”.; ministériel-
'e:: c ■* étreitement subordonné les pro-
positions à la fréquentation des cccles
ia perfectionnement.
En ce qui concerne l'avancement, le
ministre vient de décider que seuls pour-
•aic:v, tire,inscrits au tableau d'avanee-
meiv les Ofï.'ciers de réserve ayant
fa i>i-euve de deux ans d'assiduité aux
icclec dans les cinq années précédant
’a proposition (Instruction du 22 juin
1236 insérée dans le bullcUo d'informa-
tion d’octobre 1936 .page 24).
Par D. M. du 19 septembre 1936 il a
prescrit que l'avancement des sous-offi- 1
riers devait être réservé, sauf circons- 1
ances exceptionnelles, aux candidats
vrs'dus aux Ê P. Cette prescription s'ap-,
niique aux caporaux et caporaux-chefs. I ]
Elle s'applique bien entendu aussi aux j !
propositions pour le grade de sous-lieu-
tenant de réserve et peur le grade d'as-
-/rant de réserve créé par la loi du 5
août 1936 (Le texte cn sera inséré dans |
e B- I. de novembre i. !La fréquentation j
les E. P. est d’ailleurs le seul moyen !
’e plus pratiaue pour les sous-officiers ide
sc préparer à l'examen d'admission au
brevet de Chef (de Section nécessaire ,
pou.- l'accessicn à ces grades. I ‘
Les diverses récompenses pouvant être
obtenues par les O- IR. et S- O. R. atsi-,(
lus aux écoles de perfectionnement sont: J
’er. suivantes : Témoignages de satis- *
faction avec mise à l'ordre du régiment 1
de la division, de la région; Témoignage s
io satisfaction du minstre; Lettre de '
'élicltations du ministre; (Mention du, 1
Bulle!in Officiel: Lettre de félicitations
ivre mention au Bulletin Officiel. i ï
Ces récompenses ont non seulement |
me valeur par elles-mêmes, mais elles ]
mnt transformées en points qui s'ajou- !
‘'.en', aux peints accordés pour l’assiduité |
lux écoles et se transforment en annui- i
tés Or on rait que te nombre d'annui-
és joue un tôle prépondérant pour
.'inscription au tableau pour la Légion î
l’Honneur et la Médaille Militaire. E
Ces récompenses et l’assiduité aux éco- ■
'es de perfectionnement constituent aus-
-i les éléments d’appréciation prépondé- e
:ant-s pour l'cbtention de la Croix des '
services militaires volontaire.fi'(Ire, 2ème,
3ème classes) créée par 5e Décret du 13
mai 1934.
Les avantages matérieli aeqtiis par les
assidus ne sont, pas sans importance.
Tout, officier ayant réalisé le minimum
■^assiduité .pendant une année d'instruc-
ticn a droit à une carte *de surclasse-
•nenl lui permettant de voyager en ehe-
mf n d? lier sur tous les réseaux pendant
;oute Vannée suivante, en Ire classe av3c t
ur. tdllet de 3ème classe- Tout sous-offi- *
lier ou cacoral-chef ayant réalisé le :
ninimum d'assiduité dant une année d’instruction, a droit j
au cours de l'année suivante à un bon j
de réduction de tarif de 75% pour un
voyage à sôn choix. S'il a assisté à 15 .
séances il a droit à deux bons, s'il a
assisté à 18 séances. 01 a droit à 3 bons. _
Len sous-offiCiers et caporâux-chjfs
assidus peuvent recevoir gratultemelit. B!
sur leur demande, une tenue militaire. I
Le*; caporaux el soldats de réserve _
candidats gradés peuvent être admis à
fréquenter des E. ï». Us lie bénéficient 11
» 4
pas des avantages,, qui viennent d'être
éiiumerés, 'niais ceux Qui se distinguent
par teur zéie et la qualité de leur tra-
vai'. pendant une ahnêe d'acsiduite sort
s .g a lues au commandant de leur orga-
ne mobilisa tcur en Vue de fétu- nomlnu-1
lion au grade de caporal-chef. L’année I
suivante fis bénéficient de tous les avau-1
tages.
Le.: O. R.. .S- O- R. et caporaux-che!:; I
sc rendant aux séances des E. F. ayant I
heu hors de leur résidence reçoivent un I
■litra leur permettant Ide voyager au tu-
i.: ini.naire en 1ère classe pour jes O. R , I
en zemo v.asït- peur Iles Inspirants adju-1
dants-uhefs et adjudants, en 3èmc ci a s-1
sc fxtur les autres sous-officiers et les
caporaux-chefs. Le pnx du transport I
leur es,, remboursé, par le paiement I
d'une .indemnité équivalente dite : tr.-1
demnité. kilométrique.
Ils reçoivent en outre d'après ia du-|
i efl'ect'.ve de leur absence une indem-\
nilé de déplacement do 12. 24, 44 fr- 50 I
1-our îcs ofnciers, 11 fr. 50, 23. cl 32 fr. 50 I
rtur les sous-cfliciers et caporaux-chefs, I
suivant, que i'absençe a été de 7 a 121
lieures. de 12 à 18 heures, de 18 a 31 11
heures. I;
Les jours et heures des séances d'ins-1 -
traction sont ehoi: .; de façon à BÔIMTII
le moins possible les O- R. et S. O. R- ,
dans l'exercice de leuns occupations lia-1 <
bituelles- Dans chaque école on- organ .-l .
M un nombre de séances suffisant polir I
permettre à tous les intéressés de rem-1 1
pur sans duficulté excessive les con-|
di.ions d'assiduité exigées pour l'obtcn-l 1
tion do la .xarle cie.-suxclas&emont et des I £
bo’is de réduction. " j
Four l.es jeunes sous-liciUejumts: de ré-11
serve nommés à ce grade au cours de K
leur service actif, l’assis.ance aux séan- I
ces dune E. P. constitue une obligation!,
morale puisqu’à leur libération ils ont *
reçu la carte dn surclassemeni à litre I e
conditionnel cn s'engageant à comple-ln
ter le nombre des séances auxquelles ils I
ont asssté pendant leur service ac i-f- n
•Le ministre a d'ailleurs fait connaître 11
C. M. 4862 du 5 a vril 1931 et 2033 du 14
nar;; 34) qu'il envisageait la convocation I .
ii des périodes supplémentaires annuel-1 “
es de six jours des lieutenants ou sous-1(;
lieutenants de réserve récemment nom-| M
nés el ne suivant pas les cours des Eco-1 n
es de perfectionnement. I vi
I es écoles de perfectionnement d'O-K. I p
:t S C-.R. sont des centres d’é udrs-et de I
iratique militaires. S’inscrire à une éco-l
e de perfectionnement signifie unique- ''
nent qu’on a le désir de s’inslrulre pour I
;e préparer uax responsabilités qui psu-| te
rent d'un moment à l’autre incomberI p<
iu>. cheis cle tous grades. I vt
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Le Gérant :;J. 'WALLEZ Du
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lniiiiiiiinii«iiiiiiniimiiiiiiniiïïi
La vie privée «ies vedettes est-elle différente
de celle des personnages
qu’elles interprètent à Pécran
C'est un© qve;..ilen que se posent «cu-
vent les nemoreux admirateurs des c. -
iébrtt?s du cinéma.
Certains, en les voyant incarner d,-ï
personnages aux réactions compî'.quces,
pensent que leurs idoles continuer..., hor
au studio, ta vie orageuse, .passi&iinée ou
tragique que îc genre du personnage
qu i vies o:n 1 habitude d'interpréter, leur
impose t’éeraù. ,
11 est cer.aiii'que Facteur ou l'aeln-
ce qui use de. .es réflexes naturels, u.
sa sensibilité, jjour faire vivre v.n per-
sonnaye factice, a tendance, torèqu'U s*,
retrouve dans son aa:l:i3.v.ce normale,
être influencé pal’ ce personnage. E.
('■o - pourquoi La vie privée de beaucoup
de vide tes est seêtUWIement la mèm’é
pie cc.ie des personnages qu'eëlcs inter-
prètent.
Ainsi, Gary Cooper, qu'Holiyv/éod
■ange dans la catégorie des ermites, a.
îouvent timide à l'écran, un peu gaüéht
îarfais mais toujours sympathique., «st-
.'Xactement comme 1rs rcies qu’il a’iha-
ùtude d’interpréter.
Paul Muni dont le « dynami me » es:
égendaire, est un é.re aussi plein cle vie
do tempérament qu'à l'écran. De mè-
ne, en ce qui concerne Jack Oakie, dont
a réputation de « rigolo » est net©
nent établie* par une série de plaisan-
cricr. dont lui seul a le secret.
A l’écran, Rc :coe Karns es: un corné-
lien. Se, vie privée est également pleine
I humour et de gaité. Le cas de W.l-
iam Collier Sr. est exactement le nvV
ao. Martha Raye, la dernière déebu-
ertc de Paramount, est une comcdieiine
ileino d'esprit, elle aime scu intérieur
l sa personnalité très attachante, )>é-
ile de malice.
Edmund Lowe, toujours bien habillé,
mjours gentleman avec tuie légère
ointe de desinvedture, quelque peu cpn-
;ntioimel parfois, a créé à l’écran un
typo » oui est le reflet de sa propre
ïrsonnalllé.
Carclé Lombard qui interprète des ,
tc-les un ÎJCU osés avec un naturel par-
fait, et un allant merveilleux doit a ,*,.i
nature remuante et capricieuse do pou-
voir le fiJiro avec autant do fac lité. E'I ■
lut. toujours un garçon manqué Etant
entât:., clin n'aimait rien plus que 'do
se battre avec les garçons et fai. ail,
preuve d'une grande autorité sur ses
P© 1 it.es camarades.
Blng Crosby, Mary- Roland, W. c:.
îïelds. Frod Mac Murray et, Ida Lupino
sont également parmi ceux qui mcnrrt
■}- l’écran un* vs *”ii n'tst. que le reflet
de celle qffïls vivent tous les jours.
Quant à Marlène -Dicti ch, c le <•:
peuttéfect: l’ac ries qui offre la plus *tran-
-lc djf,CcirJ.;'a.:ci: «jtn* ce qu'i lle é\(xpf
>. l'éçran et ce qu'elle cgf eh réalité',
.tendons hommage à son talent quiju:
permet do créer des personnages si dil-
ESIè, quc’aeefan nous montre adulé*
’enant sous sOn'clxsinne. toute une troupe
d’adcvatéaiK a-borm«* de la fouté- Q:';:
eetéoîîùt.u stij^p où à.i;i vêle, elle préfè-
.-c- Se ^u’ir sçp'e. F"o aime se rctrou-
•er chez elle dans une ambiance qui lui
■est bien personnelle et n'epparatt ja
nais au studio, à, moins que sa présenc
°.oi* absolument néeessaùx*.
ECU* ne. si; montre en public qu'en ‘d-
ré: rares occasions, car elle a un pr. ,
oeur^de la fpule. Hollywood ne lient
cmprchdfe celte préférence'de la gran
le vedette pour son « home » et selon 1
w de »e pas l'a,percevoir aux grande
< premières »•
/G’ifl'üdette Colbert, bien qu'elle parais (
'e un peu plus souvent cn publ c, es' .
aussi’une femme dlb trieur, aimant b .
calme et la tranquillité- 'c
■La conclusion de tout ceci est qu’à
part de très rares exceptions, les hs ni 1
rf~. T sensationnelles » qui courent su P
telle ou telle vedette ne sont mie !> P
fruit de l'imagination de journaliste s
ou d'admirateurs un peu trop en! hou- o
slastes.
1
ON TOURNE « L’ASSAUT „ ;
D’HENRY BERNSTEIN
— « Messieurs, la Cour ! »
Le publie, qui se presse, nombreux,
ns la salle de La Cour d’Assiscs, se
re. Lés Magistrats, en robes rouges,
nt leur entrée, s’installent.
L’audience' est ouverte.
Au banc des prévenus, l'accusé, un
mme d'une soixantaine d'années, n'a
s l'air autrement ému il*examine
ssistance d'un oeil narquois, pul3
)Ute la lecture de l'acte d’acusation.
D'est un procès de presse qui nous
léne en cette grave enceinte de la
ur d’Assisss : Un homme politique
vue, diffamé dans une série d’arti-.
s, a voulu ep finir avec ces calcnï-
:s imprimées chaque matin dans un
«ur quotidien ressuscité pour la
constance. Il a traîné son diffama-
ir devant la Justice... L’autre'fera-
is preuve de ses accusations ' ? |
rei est lé début du film dont Pierre
cis vient de commencer la.réalisa-
i aux Studios Paramounl pour les
>ductions Henri UUmann, ' 1
. . ..
La Cour d'Assises où le publie
I s'éei-ase, n’tst qu'un décor — mais quel
I décor impressionnant ! Les magistrats
en robes, les jurés, tout comme les h
avocats et avocates qui ont envahi h
prétoire, ce sont des artistes de cir.é T>-
ma. L’homme politique qui défend sor 1
honneur, c’est Charles V.ansl ; son ac- T
cusateur, c'est l'excellent ccmédicn T’
Joifre. *i
rc
On tourné A L'Assaut », adaptation n)
à l'écran de l'oeuvre vigoureuse d'Henry n<
Bernstein que créa jadis au Gymnase a
le grand Lucien Guitry dont Charles pi
Varie! - reprend aujourd hui le rc’e.
L'oeuvre d'Henry Bernstein, adaptée nr
î»r Léopold Marchand, a trouvé 1rs __
Interprètes capables d'en traduire la —
puissance sobre, condensée. Voici Char- Al
les Vanel. Alerme, Jofîre, Vergr.e, Jan- fai
vfer.' Paul Marcel, Dérives. Monl.gny. jet
Cliarles Lemontier, qui en sfcront les qu
r.rotagdnlsteS. Aux côtés de ces ard.s- « 1
tes, deux rôles féminins importants car
essentiels même. Us sont confiés à ; me
V
Akim Tamiroff,
l’homme
aux 1.000 visages
Beaucoup de vedettes connaissent cet
homme qui leur a appris un des se-
crets de leur art; et sans doute, vous-
memo l'avez-voua vu dos cênlaines de
fois, sans le reconnaître,
C’est Akim Tamiroff, l'homir.” eux
I 090 visages, le maître du niaeuilLge.
un acteur fameux qui vient du théâ-
tre -des Arts de Moscou. Beaucoup
d'hommes A>ni. classés comme des ex-
perts en maquillage à Hollywood. Ka-
therine Hepburn, Jean Muir, Je:en Ca-
hagan et Jean Dixot’s vous dlron que
Tannrotf. acteur rie. eomp-ositiop. est
ùh'K savant au point de-vue maqu.ilcg?
que nbmporle quel spécialisée tic Holly-
wood. .
Elles sont à même-de Je savoir p*f s-
qu'e’-les so sont rendue^ tout exprès à
son studio de New-York Citv afin d'; 0-
prendro les secrets des jeux d’ombre 'et
de lumière sur la- figure humaine.
Me.is ce génie du mnouilbur n'es‘ eus
lo seul talent de ée petit; et sombre
moscovite. Il est. ayant août, un ac-
teur. et le maquillage ne Vinttresse
ôù’cn ce qui concerne les caractères
des personnages qu'il doit interpréter
et qui vont du rôle sympathique, ou
traître, au comique, pour revenir au
personnage horrifiant.
Dans « Désir ». Akim Tamiroff Jouait
le rôle comique du policier espagnol;
dans « Le général est mort à l'aube »,
d joue le rôle d’un général chinois, cy-
nique et dépravé, et qui meurt après
me longue agonie.
II n'a aucun rôle favori. II ne deman-
de que la variété. Mais cola ne l'rra-
lêche pas d'avoir toujours un mot élo-
tieux pour les acteurs qui sc sont, «-pé-
nalisés.
— « Ils sont devenus des « 'p*v;a-
istes », explique-t-il. Es en savent donc
>lns au sujet du caractère ou'ils imer-
irètcnt que quiconque. Mais je ne pen-
,e pas qu'ils puissent avoir autant, de
ilaisir et de distraction que moi. »
Tamiroff vous est déjà apparu dans
dus de 45 films depuis çcn arrivée à
lollywood il y a quelques années. Il
Les*, jamais sans emploi, et c'est vrai-
aenl une bonne note pour un acteur.
<’ UN MAUVAIS GARÇON ..
C'est Henry Çarat. Il faudra l avoir
u dans ce film dont il est le héros, un
iéros bien équivoque, aux épaules trop
nrrées, aux pantalons trop larges, aux
ropos argotiques et. mystérieux d’un
affranchi » de la plus belle eau. Com-
ie nous voilà loin du Garat du « Con-
tés, s’amuse » et — pour parler d'un
lni bien plus récent — des « Gais Lu-
sns » ! C’est donc en somme, un tout
ouvel aspect de son talent qu'il va
ous révéler prochainement dans ce
Mauvais Garçon ». Une raison de
ns pour qu’on ait hâte, de voir ce
Im. Ce qui ne saurait tarder maintc-
mt.
...VT-i’V.i .II " ~1
ice Field, dont l'éloge n'est plus ’i
ire, et à Madeleine Robinson, une
me actrice, élève de Charles Dullin.
i vient d'être très remarquée dans
Le Mioche ». et- dont'le jeu simple,
îouvant. la parfaite dietidh feront
irveilîe.
> l
: Jtc _ , - • A.
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