Titre : L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région]
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1929-02-08
Contributeur : Garet, Émile (1829-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34416250c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 08 février 1929 08 février 1929
Description : 1929/02/08 (A62,N48769). 1929/02/08 (A62,N48769).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5268244g
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3218
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/04/2020
Chez les Scolaires
£)n îloils écrit’ : - : '
$1 -y a trois ou quatre ans avait
lieu à Pau un match de rugby en-
tre les équipes scoIaif&S sélection-
nées de Côte Basque et de Paris,
match qui d’ailleurs avail remporté
ini certain succès. Malheureuse-
ment nous ri’avons jamais vu de-
puis de match es semblables. Qu’at-
tend le Comité de Côte Basque pour
mettre sur pied des matehes scolai-
res : Côte Basque-Paris ou Côte
Basque-Pyrénées, Côte Basque-Lan-
guedoc, etc... Cela serait certaine-
ment. une excellente propagande
pour le sport scolaire qui dans nô-
tre région particulièrement semble
marquer le pas. Pourtant les Jauré-
guv, Bordes, Cluchague, Sarrade,
Servolle, Laclau, Caussarieu, Sau-
tier, Théodoly, Pérus, Lanta, etc...,
vieilles et jeûnes gloires du rugby
français, n’ont-iJLs pas débuté dans
les lycées et collèges de notre ré-
gion ? Et cette année particulière-
ment les jeunes scolaires de valeur
fourmillent dans notre région : les
Olalaïnty, Gaséellut, Pée (Lescar),
Coudanne, Lousteau, Menay, Rous-
se (Pau), Figuet, Segain (Bayonne),
Teye, Lisse, Nadeau (Dax), etc...
pourraient former une excellente
équipe,. Ils ne demandent qu’à s’af-
firmer. Qu’on leur dorme donc les
moyens !
Un Sportif de Côte Basque.
A l'Olympia
En sortant du Football
ïsssz danser et vous distraire
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiifiiiiiiiiimiiiiiiiiiimiiiiiiiliimiiiiiiiiiii*
Les Agneaux devenus Loups !
Ori nous écrit :
Contrairement aux lois de la. na
ture, ne voit-on pas à quelques jour.»
d’intervalle, quinze petits agneau:
revêtus de bleu et de blanc, por-
tant le syinbôle de la douceur, deve-
nir dans un court, laps de temps di
furieux loups ?
Après avoir lu la prose des cor-
respondants locaux à la suite du
match mémorable qui eut pou;
théâtre le terrain d’Hardoy, ne
croyez-vous pas troublant le con-
traste qui existe dans les divers
compte-rendus des matehes de di-
manche dernier ?
C’est, ainsi que la Section Paloise
sur laquelle tous les bruits ont cou-
ru dans la presse bayonnaise lui
décernant le brevet de « Brutalité >
se voit gratifier d’un très élogieuv
article, signé d'un neutre, M. Du-
mail, dans le journal « La France >..
3e ne veux pas le*reproduire ici.
puisqu’il a paru hier au soir, sur c.
journal même, sous le titre « L’Op*
nion d’un neutre ». Lisez et. relise/
et vous me direz ce que vous pensez,
en mettant, en parallèle les articles
«les correspondants bayonnais sut
le match du 20 janvier. Selon Du-
mail, nos glorieux vaincus de Péri-
gueux, n’ont-ils pas accepté crâne-
ment la défaite ? Quelle belle leçon
pour certains clubs qui ne veulent
pas s’avouer battus par meilleurs
qu’eux ! N’est-ce pas M. Finis ?
N’est-ce pas M. Cluzeau ? et autres
dirigeants (Le l’Aviron qui ont crié
à l’idignité sportive.
Prenons le journal « L’Auto » de
lundi dernier et lisons le compte-
rendu du match « Grenoble-Aviron
Rayonnais ». Oh ! surprise ! Les
agneaux sont, devenus des loups, lui
passage : « Les visiteurs (il s’agit
des traient plus nerveux que leurs an-
tagonistes (Grenoble) réussirent
plusieurs knock-out, etc.., etc... »
On y parle également, toujours sur
le même journal, de certains mat-
ches très durs et on' cite celui de
Grenoble. Et ceci venant après cela,
tous ces papiers ne paraissent guère
favorables au doux jeu de l’Avinon
Bayonnais.
Maintenant prenons le tout, com-
mentons â tète reposée, tirons des
conclusions. Et je .crois que vous
serez d'accord avec moi pour con-
clure que les fameux braillards du
match do Bayonne avaient un
odieux parti-pris, et pour expliquer
la défaite de leur quinze, frappèrent
sur la Section Paloise comme sur
le baudet de la fable.
Amis Bayonnais, suivez l’exemple
de certaines grandes équipes et ac-
ceptez la défaite la tête haute ; pro-
fitez-en pour en tirer un profitai le
enseignement et corrigez les défauts
de votre quinze, mais ne cherchez
pas à calomnier et à amoindrir vo-
tre adversaire pour expliquer votre
infériorité. — F.
LU GÉNÉRALE DE PERTH
Capital social : 47,630.000
Compagnie Anonyme d’Assurances
à Primes fixes
contre les
Accidents, l’Incendie et la Mortalité
des chevaux, ânes et mulets.
R. GRIVEL
Agent général
12, Passage Solférino, Pau
^ ■ • < -
Le Guide Mécano
L’édition 1929, qui vient dè parai-
tVe, donne là liste mise à jour, des
Marques de Motocyclettes, Voitures
de Tourisme, Véhicules Industriels,
Moteurs, avec leurs Caractéristi-
ques et Prix et de nombreux rensei-
gnements utiles aux Automobilistes
et Motocyclistes : Ce que tout Auto-
mobiliste doit savoir, le Code de la
Route, la Recherche des Pannes,
etc., etc... Cet ouvrage est du plus
haut intérêt pour tous les acheteurs
qui y trouveront tous les détails de
la Construction Automobile et Mo-
tocycliste. —* Franco : 10 fr. Etran-
ger : 12 fr. (Il n’est pas fait d’envoi
contre remboursement.) Méoano, 19,
boulevard Péreire, 19, Paris (17°).
Sault-de-Navailles
Union Sportive Saul toise bat Féas-
. Olympique.par 325spoiité* (f e&saisj
2 buts) à 0.
Le premier quait d’heure de jeu
l’est marqué d’aucun avaptage apj
jréciablc acquis pal les" deux éqiii-
ies en présence. Ensuite, Saull
maintient le jeu dans le camp'ad-
verse et. marque deux essais non
transformés.
En deuxième mi-temps, la pres-
sion Saultoise s’accentue et à part
quelques rares 'échappées de Féas,
le jeu se déroulera dans les 22 mè-
tres blancs.
La fin est Sifflée spr le score de
25 points à 0
Partie correcte. Grosse supériori-
té de la mêlée Saultoise.
ÏÊTEMEHTS JOLIES
13, Joffre à Pau
COMPLETS
Saint-Palais
LJ. S. St-Palaisienne (1) et U. S. Dac-
quoise (2) font match nul (rien
de marqué).
Malgré l’état.' du terrain, et le
ballon glissant, nous avons pu as-
sister à une belle partie, rapide,
:laire et correcte des deux côtés
La première mi-temps fût nette-
ment à l’avantage des locaux, qui
naîtres en mêlée dans une propor-
ion de huit fois sur dix, ouvrirent
’.onstaminent. De multiples attaque*»
les lignes arrières qui échouèrent
m touche, tien près de la ligne
Dacquoise.
La deuxième mi-temps fût plus
équilibrée, les avants Dacquois mê-
lant au pied quelques descentes
iangereuses. Néanmoins, avec un.
temps permettant lè contrôle de la
balle, nous aurions vu la victoire
les Basques, qui attaquèrent le
plus souvent, cependant que le»
Landais, se signalèrent en défense.
Remarqut à St-Palais : Berrogain
frères, Laborde, Etchepare, Hour-
r.ade IL
Remarqué à St-Palais : Berrogain
mas, Cireze, Gayou et les deux ai-
liers.
Dax nous a envoyé une équipe
sympathique, qui procura à nos
mulpurs un excellent entraînement
in vue du Championnat de France
troisième série. ,
Arbitrage large et partial de M.
Béhéty.
• ■■■ipu^i|ii|IIIUUM(lullagmuiiaaUtuns,.
Tout
Sportif
a
, une
Peugeot
■■■■■•■■•■■■■•■■■■■•■■■«■■■■•■■■■■■■■■■■■aesesse
Nay
Match sensationnel
C'est mardi prochain, jour du
Mardi-Gras, que la Section Paloi-
se (1) Champion de France; viendra
feuler la pelouse du Stade Xavier
Tourné pour matcher contre le Sta-
de Nayais (1).
11 est inutile de mettre en relief
ies grandes qualités des Champions
de France qui est vraiment l’équipe
du jour,-et e’est unei véritable au-
baine pour ses admirateurs qui ha-
bitent la plaine de Nay, de pouvoir
venir la voir évoluer sur le terrain
du Stadë-Nayais qui, de par Sa si-
tuation est a’iin accès facile pour
lés amateurs de l'ovale des envi-
rons.
De son côté, le Stade Nayais pré-
sentera sa meilleure équipe renfor-
cée par Larquier et Fourçans qui,
pour celte occasion, endosseront le
maillot de leur ancien club.
Quoique ayant été poursuivi par
la guigne dans lé championnat ré-
gional, la' Stade ’NayaiS, ' esp&ofis-
le fera bqnne .figury, ear il ne faut
pas oublier qu!il est le seul club qui
jusqu’à présent., ait tenu en échec
Peyrehorade, l’un des deux finalis-
tes de seconde série.
Que le beau ternes soit de la par-
tie et le Stade Xavier Tourné rece-
vra la foule des grands jours mard^
prochain. : • ' ■
Etude de Me Théodore TAVORA
Huissier
48, rue Emile-Guichenné, Pau
Téléphone 9.19
Vente Volontaire
POUR CAUSE DE DEPART
Le samedi 9 février 1929, à 14 h ,
Salle des Ventes de MM. Santé, à
Pau, il sera procédé par le ministè-
re de M° TAVORA, Huisfeier, à la
vente aux enchères publiques de
UN JOLI MOBILIER
comprenant notamment : salle à
manger Hdhri • IL chambres à cous
Cher dont une Louig, XV, meubles,
de salon,, piand, faüteulsj glaces;
picliothèque, bureau, table à jeux,
BEÂUX TABLÊAÜX i
dont un tableau signé. Delpy, 22
grands tableaux Hollandais «signés i
l’un de Van Helst, l’autre Berthy,
un tableau signé Ve. Vlitory Lesur,
autres tableaux et gravures ; livres
dont la collection Labiche 'et musi-!
ques, matelas, édredons, oreillers,
couvertures, vaisselle, verrerie, cou-
verts, machine à coudre Singer, ap-
pareil photographique, pendule, Mi
rus, balances, tub, chaise pour in-
valide et quantité autres objets, et
UNE VOITURE à 2 roues
dite « Tonneau »
Expressément au comptant et frais
en sus.
Th'. TAVORA.
Visite le matin» dp>da vente.
rn CHEZ LES CHAMPIONS gi
Iç DE FRANCE ",
Pendant vingt-deux mois, la Sec-
tion Pâloïse n’avait pas conhu la
défaite 'en match officiel. Elle a été
baitüe à' Périgüeùx et ce fut le
grand résultat à surprise‘de cette
journée du 3 février. Les Cham-
pions de France se sont inclinés .très
sportivement, en beaux joueurs.
Nous dirons de suite que les Ca-
pistès Tnéritèrèlit leur victoire car
s’ils me pratiquèrént pas peut-être
j.e rugby le plus brillant, ils surent
utiliser la tactique la plus .efficace'
et leur quinze fut celui qui fournit
l'effort le plus grand pour obtenir la
décision. "
C’est à notre avis là mauvaise dé-
fense fournie par les Béarnais en
première mi-temps qui provoqua
leur échec. Aidés par un vent assez
violent, les Périgourdins partirent
à fond dès le début, demandant à
leurs avants le maximum d’action et
ils .réussirent, ainsi à surprendre les
trop flegmatiques palois..
Marquant «eux essais en premiè-
re mi-temps, ils surent exploitèr un
v;oup de chance imprévu peu après
ta reprise et se mettre hors d’attein-
le par un troisième essai qui leur,
donnait 11 points au tableau alors
que leurs adversaires' m'avaient en»
..ore rien marqué.
I,onnne let> 'Champions de France
avaient été réduits a 14 nommés vâ-
udes après dix minutes dç jeu et
q.u ds pâmaient une nouvelle unité j
»-n cours de seconde nu-temps avec ;
^omei'cq, on était en droit de suppo- I
jer que ia situation JI’allait pas se
.no durer, sf ce n’est peut-etre pour
rendre ta défaite paloise plus sevère
Encore. " ' . . ' \ I
at le match, paraissait /udenienf
mmpromis saii son intérêt dans ce
icseqintjipi'e ^Igs forces, gu- pj^eseiipe.
: Ji n’.èn tut bien et'l’on assista
alors ;'.à jï’pn dgs-ppis, puissante
.oiin-i qu'une équipé ait pu accom-
plir dans une rencontre disputée
raus ces conditions'.
me premier mouvement offensif
victorieux fut fourm par une contre-
attaque que Caussarieu déclancha
près de la ligne des buts palois poui
-.e terminer entre les poteaux adver-
ses sur un dernier sprint de Laclau.
Cet exploit qui força, l’admiration
du public méritait, d’être couronne
i un but. 11 ne le fut pas et Aguilai
manqua de peu cette transformation
.acile par un coup de pied trop puis-
sant ou plutôt parce qu’à l’entrai-,
renient on néglige trop de s’essayai
tans des transformations, faciles
pour ne s’appliquer qu’à celles qui
•sont difficiles.
Ces trois points étaient maigre
chose encore et iis le- parurent da-
vantage lorsque Périgueux sfe vit
octroyer irrégulièrement un quatriè- .
nié ‘ essai ‘mettant la . marque :à H
points à 3.
Mais les Palois, cependant, ne.
s’avouaient pas. encore battus et ils
répliquaient" immédiatement par
une attaque, lancée des 60 mètres,
àécütborfde- fiiant dafhi> un fepripi Vè4
inàrquâble en foulées rageuses inais
sans so désunir, sans qu'un trois-
qua,rt adverse laucé à sa poursuite
puisse ife rejoindre, jusqu’il ïa ligné
des buts. La transformation, cette
fois plus difficile, était manquée de
peu, comme l’autre.
Devant ce retour obstiné des Béar-
nais, les Périgourdins n’étaient pas
très rassurés, aussi employèrent-ils
dès lors la tactique classique qui
consiste à jouer la montre.
Le terrain du C. A. P. se prête
assez bien à cette combinaison, com-
me beaucoup de terrains, d’ailleurs,
et le ballon commença de fréquentes
■orties « extra-inuros » pour ne re-
venir sur le ground que le’ plus tard
possible. - f • , > •» * *
Ceci, une fois dé plus, permet de
•ignalef les h ogretftildeff-1 âcune's des
organisations qui président aux ren-
eontres -de ritL'byrtOu IbientiL faut
admettre l’emploi de plusieurs us-
tensiles de jeu ou bien,il faut que,
les mesures soient prises pour qu’un
temps parfois très appréciable ne
puisse être escpinuté sur les 80 mi-
nutes réglementaires.
A Périgueux, dimanche dernier,
les quelques minutes, une large di-
zaine environ pendant lesquelles on
ne joua pas par défaut de ballon,
elles n’étaient, d’aucun intérêt
pour les Capistes auraient-pu être
extrêmement précieuses pour les
Béarnais qui finissaient. 1res fort et
manquaient même de bien peu un
quatrième essai à la dernière mi-
nute. Qui donc aurait pù affirmer
qu'en une prolongation de dix mi-
nutes, qui aurait fourni le temps de
jeu régulier, les Champions de
France ne seraient pas parvenus à
l’églisation ou même à coiffer leurs
adversaires sur le poteau ?...
' Il est. surprenant, que des arbitres
qui doivent avoir comme premier
souci'celui de mettre les équipes en
présence sur un pied' d’égalité pour
disputer ' leurs chances, ne s’alta-
, . ». ,»■ V'. i. .. . | • V)' -J- ) :.
cneat,pqs ( ài considérai’-.ces détails-
matériels' avec toute T importance
qu’ils ont.
Enrpêctiîeî; l'équÿé, qdvérse de
■jotrer 'éri-la" jfà’IVM'u - évidemment, le- procédé d’ohstruc-
(ion le plus sûr et le moins dange-
reux. Si l’obstruction e^l pénalisée,
plie doit i-’être-sâ-ns distineflohs et il
est probable qu’un quinze qui rècol-
itérait quelques': coups francs pour
i’.envoi systématique* de là balle hors
üu: terrain pu.bien puni’ de la mau-
vaise volonté à la remettre en jeu,
n’insisterait pas beaucoup dans sa
manière .d’agir.
Trois minutes, avant larfisu, l’essai
je plus classique de la rencontre
'étairiuarqüé par les lignes arrières'
paloises. 11 fut d’une impeccable
exécution. Le but, le plus difficile de
tous, fut encore manqué de- peu
comme les précédents.
Enfin, à fa dernière minute, uln
déplacement de .Réchède sur les
avants avec Récaiborde lancé à toute
allure fut sauvé dé justesse dans les
outs et. la dernière chance des.Pa-
lôis fut perdue avec la dernière mê-
lée qui fut ordonnée à tort aux 5 mè-
tres.
, Eu résumé, si les Champions de
France flans leur retour énergique,
volontaire, et qui leur permit de
faire valoir leur classe, poduisirent
une excellente impression, on pût
oenser û'ëûx qu’il est bien de courir
inais qu’il nè' faut pqs partir trop
,ard.
Nous avons dit qu’il fallait attri-
buer la défaite'des Béarnais à leui
mauvaise défense en première mi-
:emp3. C’est bien notre conviction.
II y eut trop d’hésitations, un cer-
tain manque devolonté, de cran, de-
vant une équipe décidée à tentei
résolument, sa chance et’à imposai
sa volonté en avants. -
Le maràl, ‘ en outre, paraissait
avoir été atteint 'par la campagne
menée Contre le» Champions de
France et ce n’est que timideineiU
qu’ils s’opposèrent aux actions er,
forcé de leurs adversaires qui surent
exploiter cet état de dépression.
Des plaquages tiop hauts ne pu-
rent. endiguer parfois l’action de
avants périgourdins jouant groupée
et pouvant ainsi se débarrasser de
la halle au pvofit du partenaire pla-
cé derrière..
ILo vent surprit les Palois qui trpf
souvent se ,virent dépasser par le
balle, de trop nombreuses mala-
dresses^fqrent commises et en pre
mière mi-temps en lignes arrières
les attaques, manqué,rept.dç vitesse
iiiitiale ou bien le souci de certainer-
oombinaisoris ralentirent l’action.
Dans le jeu ouvert, on vit deux
hommes se dépenser sans compter :
t>agenay,e pt; Réçahprflq,, q l’aflut de
toutes les occasiijps. Les autres ne
Suivirent . pas suffisamment la
balle, ce qui doit être la préoccupa-
tion première d’un avant. C’est pour
cela qu’aussi bien dans le jeu à la
màin que;.dans le .jeu. jàu.pied, au-
cune tentative ne. pût prendre corps.
Voilà dç-s ft^auts...quej,nous aigpa-
lons qu’il est indispensable de corri-
ger et ainsi Ton pourra retrouver
chez les Champions de France ce!
esprit, offensif permanent du quinze
qui ne se révèle actuellement que
par intermittences.
* 1
* *
Dimanche prochain les Albigeois
seront les derniers adversaires des-
Palois pour les Poules de Cinq. Cette
fois les Champions de France rece-
vront à domicile et n’auront pas à’
subir de handicap de déplacement-
C’est, évidemment,, un avantage qui
n’est pas à dédaigner.
Albi est une de ces équipes « qui
reviennent » qui sont, toujours à re-
douter *et "l’on peut être assuré que
les partenaires de Làmazouère qui
n’ayant ‘jdüé qüe deux matehes
conservent encore des chanc-es de se.
qualiftér,' feVont un gTos 'effort pour
contrecarrer les“desseins des BéaS'-
nais. D ’ ail lpu rs. 1 h e c '«d es Palois à
Périgueux ries mettra en confiance
et- en examytant ta ligne fournie par
le.C. A. P. et Carcassonne, ils podr-
l’ont se présenten avec un certain
optimisme. î, •
.Une. victoire t fc^t-, A&ysijaixe aux
Palois'pour qu’ils causervêhf la fêté
de leur Poule et nécessaire égale-
ment pour que, devant leur public,
ils ee réhabilitent de leur insuccès
à Périgueux. On peut compter qu’ils
se prépareront très sérieusement à
ce match et qu’ils voudront se sur-
passer pour enlever la décision.
L’équipe verra enfin le retour de
T excellen t Sarrade. C’est un appoint
particulièrement appréciable. Mais
du côté des avants, il faudra peut-
être pourvoir à des remplacements
en raison des blessures de Châte-
lain et de Domercq. Souhaitons que
la solution dû problème né présente
•pas trop dé difficultés.
Ch. LAGARDE:
t , • ' , ' . ; <' i ’r\.
Lira tous las jours IINDEPENDANT
• l. , .r* •
V1** ' ' , - • , -, 1 »• J , .. •si
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tué le tirage de la tombola gratuite
d’a Sport Athlétique Mauléonajs.
Les 80 superbes lots exposés aux
Galeries Modernes nous permettent
d’augurer un succès sans précédent.
‘Jusqu’à' mardi à inrdi les billets
donnant droit à l'entrée au Stade
Municipal sont eh vente aux Gale-
ries Modernes.
Nul ne regrettera le déplacement
car. Mous pourrons Voir évoluer de ;
anciennes étoiles du rugby qui ont
eu .leur . heure de célébrité. Voici
d’ailleurs quelques notes sur le
quinze des vétérans dans lequel
nous trouvons des anciens joueurs
ayàùt instrumenté à la Section Pa-
loise, le B. E. C., l’Aviron Bayon-
nais, etc...
A l’arrière, Jean Bidegain, ma-
gnifique athlète, souple et élancé,
ieinteur émérite, adroit sur l’hom-
me, arrière de tout repos.
Trois-quarts : A. Agguer, le plus
vite du quinze, fait le 100 mètres en
moins de 20 secondes.
Pierre Bégùerie, brillant croche-
teur, d’une adresse remarquable,
aux déboulés magnifiques, lance
avec à propos un ailier de grande
classe.
S.aubidet, dont la réputation n’est
plus à faire, très clairvoyant quoi-
que légèrement myope et qui ne
tiouve son rival -que dans le second
ailier.
Pouitau, grand marqueur d’es-
sais aux foulées rapides et puissan-
tes, l’homme des moments critiques.
Demis : Jancène, joueur au passé
glorieux, le plus scientifique de
.‘équipe, très actif malgré son em-
jompoint naissant, profite avec a
propos et décision de toutes les fau-
tes de l’adversaire.
Doyhénart, grand distributeur de
:eu, s’entend très bien avec son
compère de la mêlée. Très adroit.
Avants : lre ligne : deux superbes
athlètes, champions de pelote bas-
que : Parot, ex-joueur de la Section
Paloise et Hidondo encadrant un
excellent talonneur, Lanouguère,
.rès dangereux dans le jeu ouvert
et qui certainement procurera le
jalon aux lignes arrières.
2° ligne : Bion et Lanidra, la meil-
.eure formation obtenue à Mauléon.
En 3' ligne nous retrouvons Ilha-
réguy, très bon en touches longues,
Jaurgain Dominique possède une
jointe de vitesse, marque toujours
son essai, à surveiller étroitement
après le coup de sifflet, Henri Heu-
tas est resté le superbe et correct
joueur que nous avons connu. 1
Qui l’emportera de la science ou
de la vitesse ?
Quels seront les heureux gagnants
les vélos Elvish et Fontan ?
Attendons mardi soir pour être
fixé.
Le CQUP d’envoi sera donné à 15
heures' précises.
La partie sera arbitrée par M.
Gaston Etchandy, toujours apprécié
jour son. impartialité.
La touche sera arbitrée par MM.
Tauréguy et Dumarais, les suppor-
ters bien connus., — Soigneur : J.
JLaxalt"../ v t :r > ”
En lever de rideau, à 13 Ji. 30, se
iouera la revanche du ntatlrh- Hau-
te-Ville - Basse-Ville. In première
rencontre s’est terminée par un
match nul. Inutile de dire que cette
rencontre sera passionnante.
*—r
, ■•■■ns «•«•■■•■•■■••««••■•••••s 9
| Sfib tntillewib
| Co#ib Smt, fxhtb 5
] |
tWBlBBBBBBBBBllBBBBBBBBBBBBByBBtBBBlttBBBBBB»*.
— (Z'., », ■■ VT !
Lourdes
lus Sang eljr à tarte ‘
Voilà les sang et or !
Rien qu'à parier d’eux, de leui'
blason glorieux, il s’en dégage mi
ne sait quelle atmosphère de .pana-
cha et de soleil ; on ne sait quelles
évocations d’enthousiasme, de lut-
tes ardentes et,d’exagérations char-
mantes bien faites pour entretenir
autour de l’équipe catalane, cette,
sorte d’auréole légendaire dont elle
s’epnbrgueillit par dessus tout.
Donc les fameux catalans de T U.
S. Perpignanaise seront dimanche
les hôtes du F. C. Lourdais. La
foulé des grands jpurs ceinturera’
les barrières et se tassera sur les
étagères, car partout où ils passent
le§ catalans font recette. Leur splen-
dide passé, leur grande valeur légi-
timent cet empressement.
Leur ligne d’avants avec les Say-
roux, Vails, Sarda, Çamo et surtout
Sicart, constitue la force principale
du quinze. Leurs lignes arrières
sorit aussi de grande valeur. Ramis
en est l’étoile. L’éx Albigeois Sidou
défend les buts, confine on défend
un seuil.
Devant ce beau groupement, la
tâche (ijes hommes de Bordes, s’an-'
nonce des plus ardue ; mais est-elle
au-jiessus de leurs forces ?
Nous ne le croyons pas et, nous
sommes persuadés que s’ils appor-
jt-ent dans la. lutte tout leur coeur, ils:
peuvent triojEpher de leurs rodouta-
thles adversaires.
Souhaitons en terriiinànt, que la.
partie garde un caractère de loyau-
té, ' afin que lés sportsmen de notre
chère Bicorne, emportent de cette.
mànifestpt*on de rugby une agréa-
ble impression.
P. CAZALIS. , j
1 AGENCE
AMftAEAR
[ GARAGE ÀPPRftTO PflU
• .1 S
,ÇRQSS COÜNTRY S
.LES CHAMPIONNATS.
REGIONAUX
Les vainqueurs et léb éqüipoa
qualifiées
, ALSACE
MaVtin tColAaij.'lltf 12 ”1 i
EqÛïpes. — Première catégorie :
1. S. R. Colmar, 1, 2, 3, 4, 5, 6 : 28'
points ; 2. A. S. Strasbourg, 7, 8, 9,
10, 11, 12 : 57 points. — Deuxième
1. atégorie : 1. A. S. Strasbourg, 1, 3,
6 : 10 points ; 2. S. R. Çolmar, 2, i,
5 : 11 points.
ARDENNES
Legouy (F. C. M.).
Equipes : 1. Football Club Motion-
nais ; 2. Racing Club Macérien.
JM QUE DES 3 B
André (Biarritz-Olympique).
Equipes : 1. Aviron Bayonnais
2. Biarritz-Olympique.
BASSE-NORMANDIE
Prevel (Olympique).
Equipes : Olympique de Basse-
Normandie.
BEAUCÈ-ET-MAINE
Angeard (U. S. du Mans) 38’ 15”.
Equipes : 1. U. S. du Mans ; 2.
U. S. Chartrain.
BOURGOGNE
Commerçon (S. C. Montcellien)
31’ 46”.
Equipes : 1. S. C. Montcellien ; 2.
Club Olympique Creusot.
BRETAGNE
Cornuel (Cheminots Rennais).
«■■■■■■BBMwaMBBBBBnBRàaaaiai
Equiües : 1. Stade R en ai lis ; 2.
‘Cheminots Rennais. .
‘ ' Vr T '■ CEâ^ÎRE ; - i
Laborde (.Nevers). . t
Equipes : t A: S. Morafiermhdai-
im ; 2. fU. Mfntluçonqp'isè.j ;
CHAMPAGNE
Gérault (Parc Pommc-rv») -391 #*«*,
?/5. , , 4
Equipes : 1. Société Sportive AEarJ
Pornméry : 2. Châlons. - -
COTE D’ARGENT ' - ^ *1
Boué (S. B. U. C.) 35' 30”.
Equipes : 1. C. A. Bèglais ; 2. Sta-
de Bordelais.
, * , COTE D’AZUR ‘ '■;-■■■
Guignet St. Niçois).
Equipes: 1. Stade Niçois" : -2. -»
Olympique de Nice. . ,
HAUTE-NORMANDIE. '
Auvray (F. C. RoUen). J
Equipes : :1. F. C. Rouen.
LORRAINE
Henriot (S. A. Verdun).
Equipes : 1. S. A. de Verdun.
LYONNAIS ' .»
Coiron (Cé S. V.).
Equipes : 1. A. S. E. I. ; 2. SI..4-
Oyonnax. • .
NORD
Gaillard (R. C. Arras).
Equipes : R. C. Arras.
ORLEANAIS
Meu (Montargis),
Equipes : 1. Ç. A. Orléanais ; 2. f
Montargis. .
PICARDIE
Duhamel (A. A. Club).
Equipes : 1. Amiens ; 2. Abbeville. 1
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T - fi
. ^ > I Î * -t
£)n îloils écrit’ : - : '
$1 -y a trois ou quatre ans avait
lieu à Pau un match de rugby en-
tre les équipes scoIaif&S sélection-
nées de Côte Basque et de Paris,
match qui d’ailleurs avail remporté
ini certain succès. Malheureuse-
ment nous ri’avons jamais vu de-
puis de match es semblables. Qu’at-
tend le Comité de Côte Basque pour
mettre sur pied des matehes scolai-
res : Côte Basque-Paris ou Côte
Basque-Pyrénées, Côte Basque-Lan-
guedoc, etc... Cela serait certaine-
ment. une excellente propagande
pour le sport scolaire qui dans nô-
tre région particulièrement semble
marquer le pas. Pourtant les Jauré-
guv, Bordes, Cluchague, Sarrade,
Servolle, Laclau, Caussarieu, Sau-
tier, Théodoly, Pérus, Lanta, etc...,
vieilles et jeûnes gloires du rugby
français, n’ont-iJLs pas débuté dans
les lycées et collèges de notre ré-
gion ? Et cette année particulière-
ment les jeunes scolaires de valeur
fourmillent dans notre région : les
Olalaïnty, Gaséellut, Pée (Lescar),
Coudanne, Lousteau, Menay, Rous-
se (Pau), Figuet, Segain (Bayonne),
Teye, Lisse, Nadeau (Dax), etc...
pourraient former une excellente
équipe,. Ils ne demandent qu’à s’af-
firmer. Qu’on leur dorme donc les
moyens !
Un Sportif de Côte Basque.
A l'Olympia
En sortant du Football
ïsssz danser et vous distraire
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiifiiiiiiiiimiiiiiiiiiimiiiiiiiliimiiiiiiiiiii*
Les Agneaux devenus Loups !
Ori nous écrit :
Contrairement aux lois de la. na
ture, ne voit-on pas à quelques jour.»
d’intervalle, quinze petits agneau:
revêtus de bleu et de blanc, por-
tant le syinbôle de la douceur, deve-
nir dans un court, laps de temps di
furieux loups ?
Après avoir lu la prose des cor-
respondants locaux à la suite du
match mémorable qui eut pou;
théâtre le terrain d’Hardoy, ne
croyez-vous pas troublant le con-
traste qui existe dans les divers
compte-rendus des matehes de di-
manche dernier ?
C’est, ainsi que la Section Paloise
sur laquelle tous les bruits ont cou-
ru dans la presse bayonnaise lui
décernant le brevet de « Brutalité >
se voit gratifier d’un très élogieuv
article, signé d'un neutre, M. Du-
mail, dans le journal « La France >..
3e ne veux pas le*reproduire ici.
puisqu’il a paru hier au soir, sur c.
journal même, sous le titre « L’Op*
nion d’un neutre ». Lisez et. relise/
et vous me direz ce que vous pensez,
en mettant, en parallèle les articles
«les correspondants bayonnais sut
le match du 20 janvier. Selon Du-
mail, nos glorieux vaincus de Péri-
gueux, n’ont-ils pas accepté crâne-
ment la défaite ? Quelle belle leçon
pour certains clubs qui ne veulent
pas s’avouer battus par meilleurs
qu’eux ! N’est-ce pas M. Finis ?
N’est-ce pas M. Cluzeau ? et autres
dirigeants (Le l’Aviron qui ont crié
à l’idignité sportive.
Prenons le journal « L’Auto » de
lundi dernier et lisons le compte-
rendu du match « Grenoble-Aviron
Rayonnais ». Oh ! surprise ! Les
agneaux sont, devenus des loups, lui
passage : « Les visiteurs (il s’agit
des
tagonistes (Grenoble) réussirent
plusieurs knock-out, etc.., etc... »
On y parle également, toujours sur
le même journal, de certains mat-
ches très durs et on' cite celui de
Grenoble. Et ceci venant après cela,
tous ces papiers ne paraissent guère
favorables au doux jeu de l’Avinon
Bayonnais.
Maintenant prenons le tout, com-
mentons â tète reposée, tirons des
conclusions. Et je .crois que vous
serez d'accord avec moi pour con-
clure que les fameux braillards du
match do Bayonne avaient un
odieux parti-pris, et pour expliquer
la défaite de leur quinze, frappèrent
sur la Section Paloise comme sur
le baudet de la fable.
Amis Bayonnais, suivez l’exemple
de certaines grandes équipes et ac-
ceptez la défaite la tête haute ; pro-
fitez-en pour en tirer un profitai le
enseignement et corrigez les défauts
de votre quinze, mais ne cherchez
pas à calomnier et à amoindrir vo-
tre adversaire pour expliquer votre
infériorité. — F.
LU GÉNÉRALE DE PERTH
Capital social : 47,630.000
Compagnie Anonyme d’Assurances
à Primes fixes
contre les
Accidents, l’Incendie et la Mortalité
des chevaux, ânes et mulets.
R. GRIVEL
Agent général
12, Passage Solférino, Pau
^ ■ • < -
Le Guide Mécano
L’édition 1929, qui vient dè parai-
tVe, donne là liste mise à jour, des
Marques de Motocyclettes, Voitures
de Tourisme, Véhicules Industriels,
Moteurs, avec leurs Caractéristi-
ques et Prix et de nombreux rensei-
gnements utiles aux Automobilistes
et Motocyclistes : Ce que tout Auto-
mobiliste doit savoir, le Code de la
Route, la Recherche des Pannes,
etc., etc... Cet ouvrage est du plus
haut intérêt pour tous les acheteurs
qui y trouveront tous les détails de
la Construction Automobile et Mo-
tocycliste. —* Franco : 10 fr. Etran-
ger : 12 fr. (Il n’est pas fait d’envoi
contre remboursement.) Méoano, 19,
boulevard Péreire, 19, Paris (17°).
Sault-de-Navailles
Union Sportive Saul toise bat Féas-
. Olympique.par 325spoiité* (f e&saisj
2 buts) à 0.
Le premier quait d’heure de jeu
l’est marqué d’aucun avaptage apj
jréciablc acquis pal les" deux éqiii-
ies en présence. Ensuite, Saull
maintient le jeu dans le camp'ad-
verse et. marque deux essais non
transformés.
En deuxième mi-temps, la pres-
sion Saultoise s’accentue et à part
quelques rares 'échappées de Féas,
le jeu se déroulera dans les 22 mè-
tres blancs.
La fin est Sifflée spr le score de
25 points à 0
Partie correcte. Grosse supériori-
té de la mêlée Saultoise.
ÏÊTEMEHTS JOLIES
13, Joffre à Pau
COMPLETS
Saint-Palais
LJ. S. St-Palaisienne (1) et U. S. Dac-
quoise (2) font match nul (rien
de marqué).
Malgré l’état.' du terrain, et le
ballon glissant, nous avons pu as-
sister à une belle partie, rapide,
:laire et correcte des deux côtés
La première mi-temps fût nette-
ment à l’avantage des locaux, qui
naîtres en mêlée dans une propor-
ion de huit fois sur dix, ouvrirent
’.onstaminent. De multiples attaque*»
les lignes arrières qui échouèrent
m touche, tien près de la ligne
Dacquoise.
La deuxième mi-temps fût plus
équilibrée, les avants Dacquois mê-
lant au pied quelques descentes
iangereuses. Néanmoins, avec un.
temps permettant lè contrôle de la
balle, nous aurions vu la victoire
les Basques, qui attaquèrent le
plus souvent, cependant que le»
Landais, se signalèrent en défense.
Remarqut à St-Palais : Berrogain
frères, Laborde, Etchepare, Hour-
r.ade IL
Remarqué à St-Palais : Berrogain
mas, Cireze, Gayou et les deux ai-
liers.
Dax nous a envoyé une équipe
sympathique, qui procura à nos
mulpurs un excellent entraînement
in vue du Championnat de France
troisième série. ,
Arbitrage large et partial de M.
Béhéty.
• ■■■ipu^i|ii|IIIUUM(lullagmuiiaaUtuns,.
Tout
Sportif
a
, une
Peugeot
■■■■■•■■•■■■■•■■■■■•■■■«■■■■•■■■■■■■■■■■■aesesse
Nay
Match sensationnel
C'est mardi prochain, jour du
Mardi-Gras, que la Section Paloi-
se (1) Champion de France; viendra
feuler la pelouse du Stade Xavier
Tourné pour matcher contre le Sta-
de Nayais (1).
11 est inutile de mettre en relief
ies grandes qualités des Champions
de France qui est vraiment l’équipe
du jour,-et e’est unei véritable au-
baine pour ses admirateurs qui ha-
bitent la plaine de Nay, de pouvoir
venir la voir évoluer sur le terrain
du Stadë-Nayais qui, de par Sa si-
tuation est a’iin accès facile pour
lés amateurs de l'ovale des envi-
rons.
De son côté, le Stade Nayais pré-
sentera sa meilleure équipe renfor-
cée par Larquier et Fourçans qui,
pour celte occasion, endosseront le
maillot de leur ancien club.
Quoique ayant été poursuivi par
la guigne dans lé championnat ré-
gional, la' Stade ’NayaiS, ' esp&ofis-
le fera bqnne .figury, ear il ne faut
pas oublier qu!il est le seul club qui
jusqu’à présent., ait tenu en échec
Peyrehorade, l’un des deux finalis-
tes de seconde série.
Que le beau ternes soit de la par-
tie et le Stade Xavier Tourné rece-
vra la foule des grands jours mard^
prochain. : • ' ■
Etude de Me Théodore TAVORA
Huissier
48, rue Emile-Guichenné, Pau
Téléphone 9.19
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POUR CAUSE DE DEPART
Le samedi 9 février 1929, à 14 h ,
Salle des Ventes de MM. Santé, à
Pau, il sera procédé par le ministè-
re de M° TAVORA, Huisfeier, à la
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manger Hdhri • IL chambres à cous
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dont un tableau signé. Delpy, 22
grands tableaux Hollandais «signés i
l’un de Van Helst, l’autre Berthy,
un tableau signé Ve. Vlitory Lesur,
autres tableaux et gravures ; livres
dont la collection Labiche 'et musi-!
ques, matelas, édredons, oreillers,
couvertures, vaisselle, verrerie, cou-
verts, machine à coudre Singer, ap-
pareil photographique, pendule, Mi
rus, balances, tub, chaise pour in-
valide et quantité autres objets, et
UNE VOITURE à 2 roues
dite « Tonneau »
Expressément au comptant et frais
en sus.
Th'. TAVORA.
Visite le matin» dp>da vente.
rn CHEZ LES CHAMPIONS gi
Iç DE FRANCE ",
Pendant vingt-deux mois, la Sec-
tion Pâloïse n’avait pas conhu la
défaite 'en match officiel. Elle a été
baitüe à' Périgüeùx et ce fut le
grand résultat à surprise‘de cette
journée du 3 février. Les Cham-
pions de France se sont inclinés .très
sportivement, en beaux joueurs.
Nous dirons de suite que les Ca-
pistès Tnéritèrèlit leur victoire car
s’ils me pratiquèrént pas peut-être
j.e rugby le plus brillant, ils surent
utiliser la tactique la plus .efficace'
et leur quinze fut celui qui fournit
l'effort le plus grand pour obtenir la
décision. "
C’est à notre avis là mauvaise dé-
fense fournie par les Béarnais en
première mi-temps qui provoqua
leur échec. Aidés par un vent assez
violent, les Périgourdins partirent
à fond dès le début, demandant à
leurs avants le maximum d’action et
ils .réussirent, ainsi à surprendre les
trop flegmatiques palois..
Marquant «eux essais en premiè-
re mi-temps, ils surent exploitèr un
v;oup de chance imprévu peu après
ta reprise et se mettre hors d’attein-
le par un troisième essai qui leur,
donnait 11 points au tableau alors
que leurs adversaires' m'avaient en»
..ore rien marqué.
I,onnne let> 'Champions de France
avaient été réduits a 14 nommés vâ-
udes après dix minutes dç jeu et
q.u ds pâmaient une nouvelle unité j
»-n cours de seconde nu-temps avec ;
^omei'cq, on était en droit de suppo- I
jer que ia situation JI’allait pas se
.no durer, sf ce n’est peut-etre pour
rendre ta défaite paloise plus sevère
Encore. " ' . . ' \ I
at le match, paraissait /udenienf
mmpromis saii son intérêt dans ce
icseqintjipi'e ^Igs forces, gu- pj^eseiipe.
: Ji n’.èn tut bien et'l’on assista
alors ;'.à jï’pn dgs-ppis, puissante
.oiin-i qu'une équipé ait pu accom-
plir dans une rencontre disputée
raus ces conditions'.
me premier mouvement offensif
victorieux fut fourm par une contre-
attaque que Caussarieu déclancha
près de la ligne des buts palois poui
-.e terminer entre les poteaux adver-
ses sur un dernier sprint de Laclau.
Cet exploit qui força, l’admiration
du public méritait, d’être couronne
i un but. 11 ne le fut pas et Aguilai
manqua de peu cette transformation
.acile par un coup de pied trop puis-
sant ou plutôt parce qu’à l’entrai-,
renient on néglige trop de s’essayai
tans des transformations, faciles
pour ne s’appliquer qu’à celles qui
•sont difficiles.
Ces trois points étaient maigre
chose encore et iis le- parurent da-
vantage lorsque Périgueux sfe vit
octroyer irrégulièrement un quatriè- .
nié ‘ essai ‘mettant la . marque :à H
points à 3.
Mais les Palois, cependant, ne.
s’avouaient pas. encore battus et ils
répliquaient" immédiatement par
une attaque, lancée des 60 mètres,
àécütborfde- fiiant dafhi> un fepripi Vè4
inàrquâble en foulées rageuses inais
sans so désunir, sans qu'un trois-
qua,rt adverse laucé à sa poursuite
puisse ife rejoindre, jusqu’il ïa ligné
des buts. La transformation, cette
fois plus difficile, était manquée de
peu, comme l’autre.
Devant ce retour obstiné des Béar-
nais, les Périgourdins n’étaient pas
très rassurés, aussi employèrent-ils
dès lors la tactique classique qui
consiste à jouer la montre.
Le terrain du C. A. P. se prête
assez bien à cette combinaison, com-
me beaucoup de terrains, d’ailleurs,
et le ballon commença de fréquentes
■orties « extra-inuros » pour ne re-
venir sur le ground que le’ plus tard
possible. - f • , > •» * *
Ceci, une fois dé plus, permet de
•ignalef les h ogretftildeff-1 âcune's des
organisations qui président aux ren-
eontres -de ritL'byrtOu IbientiL faut
admettre l’emploi de plusieurs us-
tensiles de jeu ou bien,il faut que,
les mesures soient prises pour qu’un
temps parfois très appréciable ne
puisse être escpinuté sur les 80 mi-
nutes réglementaires.
A Périgueux, dimanche dernier,
les quelques minutes, une large di-
zaine environ pendant lesquelles on
ne joua pas par défaut de ballon,
elles n’étaient, d’aucun intérêt
pour les Capistes auraient-pu être
extrêmement précieuses pour les
Béarnais qui finissaient. 1res fort et
manquaient même de bien peu un
quatrième essai à la dernière mi-
nute. Qui donc aurait pù affirmer
qu'en une prolongation de dix mi-
nutes, qui aurait fourni le temps de
jeu régulier, les Champions de
France ne seraient pas parvenus à
l’églisation ou même à coiffer leurs
adversaires sur le poteau ?...
' Il est. surprenant, que des arbitres
qui doivent avoir comme premier
souci'celui de mettre les équipes en
présence sur un pied' d’égalité pour
disputer ' leurs chances, ne s’alta-
, . ». ,»■ V'. i. .. . | • V)' -J- ) :.
cneat,pqs ( ài considérai’-.ces détails-
matériels' avec toute T importance
qu’ils ont.
Enrpêctiîeî; l'équÿé, qdvérse de
■jotrer 'éri-la" jfà’IVM'u -
(ion le plus sûr et le moins dange-
reux. Si l’obstruction e^l pénalisée,
plie doit i-’être-sâ-ns distineflohs et il
est probable qu’un quinze qui rècol-
itérait quelques': coups francs pour
i’.envoi systématique* de là balle hors
üu: terrain pu.bien puni’ de la mau-
vaise volonté à la remettre en jeu,
n’insisterait pas beaucoup dans sa
manière .d’agir.
Trois minutes, avant larfisu, l’essai
je plus classique de la rencontre
'étairiuarqüé par les lignes arrières'
paloises. 11 fut d’une impeccable
exécution. Le but, le plus difficile de
tous, fut encore manqué de- peu
comme les précédents.
Enfin, à fa dernière minute, uln
déplacement de .Réchède sur les
avants avec Récaiborde lancé à toute
allure fut sauvé dé justesse dans les
outs et. la dernière chance des.Pa-
lôis fut perdue avec la dernière mê-
lée qui fut ordonnée à tort aux 5 mè-
tres.
, Eu résumé, si les Champions de
France flans leur retour énergique,
volontaire, et qui leur permit de
faire valoir leur classe, poduisirent
une excellente impression, on pût
oenser û'ëûx qu’il est bien de courir
inais qu’il nè' faut pqs partir trop
,ard.
Nous avons dit qu’il fallait attri-
buer la défaite'des Béarnais à leui
mauvaise défense en première mi-
:emp3. C’est bien notre conviction.
II y eut trop d’hésitations, un cer-
tain manque devolonté, de cran, de-
vant une équipe décidée à tentei
résolument, sa chance et’à imposai
sa volonté en avants. -
Le maràl, ‘ en outre, paraissait
avoir été atteint 'par la campagne
menée Contre le» Champions de
France et ce n’est que timideineiU
qu’ils s’opposèrent aux actions er,
forcé de leurs adversaires qui surent
exploiter cet état de dépression.
Des plaquages tiop hauts ne pu-
rent. endiguer parfois l’action de
avants périgourdins jouant groupée
et pouvant ainsi se débarrasser de
la halle au pvofit du partenaire pla-
cé derrière..
ILo vent surprit les Palois qui trpf
souvent se ,virent dépasser par le
balle, de trop nombreuses mala-
dresses^fqrent commises et en pre
mière mi-temps en lignes arrières
les attaques, manqué,rept.dç vitesse
iiiitiale ou bien le souci de certainer-
oombinaisoris ralentirent l’action.
Dans le jeu ouvert, on vit deux
hommes se dépenser sans compter :
t>agenay,e pt; Réçahprflq,, q l’aflut de
toutes les occasiijps. Les autres ne
Suivirent . pas suffisamment la
balle, ce qui doit être la préoccupa-
tion première d’un avant. C’est pour
cela qu’aussi bien dans le jeu à la
màin que;.dans le .jeu. jàu.pied, au-
cune tentative ne. pût prendre corps.
Voilà dç-s ft^auts...quej,nous aigpa-
lons qu’il est indispensable de corri-
ger et ainsi Ton pourra retrouver
chez les Champions de France ce!
esprit, offensif permanent du quinze
qui ne se révèle actuellement que
par intermittences.
* 1
* *
Dimanche prochain les Albigeois
seront les derniers adversaires des-
Palois pour les Poules de Cinq. Cette
fois les Champions de France rece-
vront à domicile et n’auront pas à’
subir de handicap de déplacement-
C’est, évidemment,, un avantage qui
n’est pas à dédaigner.
Albi est une de ces équipes « qui
reviennent » qui sont, toujours à re-
douter *et "l’on peut être assuré que
les partenaires de Làmazouère qui
n’ayant ‘jdüé qüe deux matehes
conservent encore des chanc-es de se.
qualiftér,' feVont un gTos 'effort pour
contrecarrer les“desseins des BéaS'-
nais. D ’ ail lpu rs. 1 h e c '«d es Palois à
Périgueux ries mettra en confiance
et- en examytant ta ligne fournie par
le.C. A. P. et Carcassonne, ils podr-
l’ont se présenten avec un certain
optimisme. î, •
.Une. victoire t fc^t-, A&ysijaixe aux
Palois'pour qu’ils causervêhf la fêté
de leur Poule et nécessaire égale-
ment pour que, devant leur public,
ils ee réhabilitent de leur insuccès
à Périgueux. On peut compter qu’ils
se prépareront très sérieusement à
ce match et qu’ils voudront se sur-
passer pour enlever la décision.
L’équipe verra enfin le retour de
T excellen t Sarrade. C’est un appoint
particulièrement appréciable. Mais
du côté des avants, il faudra peut-
être pourvoir à des remplacements
en raison des blessures de Châte-
lain et de Domercq. Souhaitons que
la solution dû problème né présente
•pas trop dé difficultés.
Ch. LAGARDE:
t , • ' , ' . ; <' i ’r\.
Lira tous las jours IINDEPENDANT
• l. , .r* •
V1** ' ' , - • , -, 1 »• J , .. •si
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de la mi-temps du jnàtch *< Vieilles
Glotreè » - S. A.’M. (1), sera effec-
tué le tirage de la tombola gratuite
d’a Sport Athlétique Mauléonajs.
Les 80 superbes lots exposés aux
Galeries Modernes nous permettent
d’augurer un succès sans précédent.
‘Jusqu’à' mardi à inrdi les billets
donnant droit à l'entrée au Stade
Municipal sont eh vente aux Gale-
ries Modernes.
Nul ne regrettera le déplacement
car. Mous pourrons Voir évoluer de ;
anciennes étoiles du rugby qui ont
eu .leur . heure de célébrité. Voici
d’ailleurs quelques notes sur le
quinze des vétérans dans lequel
nous trouvons des anciens joueurs
ayàùt instrumenté à la Section Pa-
loise, le B. E. C., l’Aviron Bayon-
nais, etc...
A l’arrière, Jean Bidegain, ma-
gnifique athlète, souple et élancé,
ieinteur émérite, adroit sur l’hom-
me, arrière de tout repos.
Trois-quarts : A. Agguer, le plus
vite du quinze, fait le 100 mètres en
moins de 20 secondes.
Pierre Bégùerie, brillant croche-
teur, d’une adresse remarquable,
aux déboulés magnifiques, lance
avec à propos un ailier de grande
classe.
S.aubidet, dont la réputation n’est
plus à faire, très clairvoyant quoi-
que légèrement myope et qui ne
tiouve son rival -que dans le second
ailier.
Pouitau, grand marqueur d’es-
sais aux foulées rapides et puissan-
tes, l’homme des moments critiques.
Demis : Jancène, joueur au passé
glorieux, le plus scientifique de
.‘équipe, très actif malgré son em-
jompoint naissant, profite avec a
propos et décision de toutes les fau-
tes de l’adversaire.
Doyhénart, grand distributeur de
:eu, s’entend très bien avec son
compère de la mêlée. Très adroit.
Avants : lre ligne : deux superbes
athlètes, champions de pelote bas-
que : Parot, ex-joueur de la Section
Paloise et Hidondo encadrant un
excellent talonneur, Lanouguère,
.rès dangereux dans le jeu ouvert
et qui certainement procurera le
jalon aux lignes arrières.
2° ligne : Bion et Lanidra, la meil-
.eure formation obtenue à Mauléon.
En 3' ligne nous retrouvons Ilha-
réguy, très bon en touches longues,
Jaurgain Dominique possède une
jointe de vitesse, marque toujours
son essai, à surveiller étroitement
après le coup de sifflet, Henri Heu-
tas est resté le superbe et correct
joueur que nous avons connu. 1
Qui l’emportera de la science ou
de la vitesse ?
Quels seront les heureux gagnants
les vélos Elvish et Fontan ?
Attendons mardi soir pour être
fixé.
Le CQUP d’envoi sera donné à 15
heures' précises.
La partie sera arbitrée par M.
Gaston Etchandy, toujours apprécié
jour son. impartialité.
La touche sera arbitrée par MM.
Tauréguy et Dumarais, les suppor-
ters bien connus., — Soigneur : J.
JLaxalt"../ v t :r > ”
En lever de rideau, à 13 Ji. 30, se
iouera la revanche du ntatlrh- Hau-
te-Ville - Basse-Ville. In première
rencontre s’est terminée par un
match nul. Inutile de dire que cette
rencontre sera passionnante.
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— (Z'., », ■■ VT !
Lourdes
lus Sang eljr à tarte ‘
Voilà les sang et or !
Rien qu'à parier d’eux, de leui'
blason glorieux, il s’en dégage mi
ne sait quelle atmosphère de .pana-
cha et de soleil ; on ne sait quelles
évocations d’enthousiasme, de lut-
tes ardentes et,d’exagérations char-
mantes bien faites pour entretenir
autour de l’équipe catalane, cette,
sorte d’auréole légendaire dont elle
s’epnbrgueillit par dessus tout.
Donc les fameux catalans de T U.
S. Perpignanaise seront dimanche
les hôtes du F. C. Lourdais. La
foulé des grands jpurs ceinturera’
les barrières et se tassera sur les
étagères, car partout où ils passent
le§ catalans font recette. Leur splen-
dide passé, leur grande valeur légi-
timent cet empressement.
Leur ligne d’avants avec les Say-
roux, Vails, Sarda, Çamo et surtout
Sicart, constitue la force principale
du quinze. Leurs lignes arrières
sorit aussi de grande valeur. Ramis
en est l’étoile. L’éx Albigeois Sidou
défend les buts, confine on défend
un seuil.
Devant ce beau groupement, la
tâche (ijes hommes de Bordes, s’an-'
nonce des plus ardue ; mais est-elle
au-jiessus de leurs forces ?
Nous ne le croyons pas et, nous
sommes persuadés que s’ils appor-
jt-ent dans la. lutte tout leur coeur, ils:
peuvent triojEpher de leurs rodouta-
thles adversaires.
Souhaitons en terriiinànt, que la.
partie garde un caractère de loyau-
té, ' afin que lés sportsmen de notre
chère Bicorne, emportent de cette.
mànifestpt*on de rugby une agréa-
ble impression.
P. CAZALIS. , j
1 AGENCE
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[ GARAGE ÀPPRftTO PflU
• .1 S
,ÇRQSS COÜNTRY S
.LES CHAMPIONNATS.
REGIONAUX
Les vainqueurs et léb éqüipoa
qualifiées
, ALSACE
MaVtin tColAaij.'lltf 12 ”1 i
EqÛïpes. — Première catégorie :
1. S. R. Colmar, 1, 2, 3, 4, 5, 6 : 28'
points ; 2. A. S. Strasbourg, 7, 8, 9,
10, 11, 12 : 57 points. — Deuxième
1. atégorie : 1. A. S. Strasbourg, 1, 3,
6 : 10 points ; 2. S. R. Çolmar, 2, i,
5 : 11 points.
ARDENNES
Legouy (F. C. M.).
Equipes : 1. Football Club Motion-
nais ; 2. Racing Club Macérien.
JM QUE DES 3 B
André (Biarritz-Olympique).
Equipes : 1. Aviron Bayonnais
2. Biarritz-Olympique.
BASSE-NORMANDIE
Prevel (Olympique).
Equipes : Olympique de Basse-
Normandie.
BEAUCÈ-ET-MAINE
Angeard (U. S. du Mans) 38’ 15”.
Equipes : 1. U. S. du Mans ; 2.
U. S. Chartrain.
BOURGOGNE
Commerçon (S. C. Montcellien)
31’ 46”.
Equipes : 1. S. C. Montcellien ; 2.
Club Olympique Creusot.
BRETAGNE
Cornuel (Cheminots Rennais).
«■■■■■■BBMwaMBBBBBnBRàaaaiai
Equiües : 1. Stade R en ai lis ; 2.
‘Cheminots Rennais. .
‘ ' Vr T '■ CEâ^ÎRE ; - i
Laborde (.Nevers). . t
Equipes : t A: S. Morafiermhdai-
im ; 2. fU. Mfntluçonqp'isè.j ;
CHAMPAGNE
Gérault (Parc Pommc-rv») -391 #*«*,
?/5. , , 4
Equipes : 1. Société Sportive AEarJ
Pornméry : 2. Châlons. - -
COTE D’ARGENT ' - ^ *1
Boué (S. B. U. C.) 35' 30”.
Equipes : 1. C. A. Bèglais ; 2. Sta-
de Bordelais.
, * , COTE D’AZUR ‘ '■;-■■■
Guignet St. Niçois).
Equipes: 1. Stade Niçois" : -2. -»
Olympique de Nice. . ,
HAUTE-NORMANDIE. '
Auvray (F. C. RoUen). J
Equipes : :1. F. C. Rouen.
LORRAINE
Henriot (S. A. Verdun).
Equipes : 1. S. A. de Verdun.
LYONNAIS ' .»
Coiron (Cé S. V.).
Equipes : 1. A. S. E. I. ; 2. SI..4-
Oyonnax. • .
NORD
Gaillard (R. C. Arras).
Equipes : R. C. Arras.
ORLEANAIS
Meu (Montargis),
Equipes : 1. Ç. A. Orléanais ; 2. f
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