Titre : Le Patriote des Pyrénées : paraissant tous les jours excepté le dimanche
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1903-01-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32834057k
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 18 janvier 1903 18 janvier 1903
Description : 1903/01/18 (A8,N2016)-1903/01/19. 1903/01/18 (A8,N2016)-1903/01/19.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k52503909
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3195
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/03/2020
£ La Cour confirmé purement et «impie*
ment a décision des premiers juges.
— Le nommé P. T. qui avait détourné
tpe bicyclette, le 22 août dernier, au pré*
judice de M. Boeyrie, avait été coadamné
par défont à 8 mois de prison. Le 1? dé
cembre t. fit opposition de os jugement
et vit 3à peine réduite à 6 mois ; c’est de
cette condamnation qua T., h peine âgé
20 ans et 11 fois oondamnê, fait appel.
L’ar»ét à huitaine.
— L» sieur D., mécanicien à Dax, à la
suite d’un procès-verbal, en date du 22
juillet 1002. drasié par un inspecteur du
travail, tut condamné par le tribunal de
D x, pour diverses infractions à la loi sur
la travail dans l'industrie, à 15 amendes de
5 fr., à 7 amendes d> 1 fr., en lui faisant
application de la loi bérenger. La Cour
réforme le jugement du tribunal, réduit
au nombre de 12 les 15 amendes de 5 fr.
et bêrengérise seulement les 7 amendes de
i fr ' _____
Font-bmtl. — Dimanche prochain,
18 janvier, aura lieu à 2 heures, au champ
Bourda, Chemin de l’Eglise, t\ Jurançon,
un match de foot-ball entre l’invincible
Stadoccste Tarbais et la section paloisc do
la Ligue Girondine.
Le Stadoceste Tarbais aura le maillot
noir et bleu ciel, la Section Paloisc, lç
maillot rouge.
r/ioe. — Yereô h., hier nantie, uns
voiture conduite par M. T., ômployô de
commerce, a heuitê, rtn du 14 Juillet, un
tombereau. Par suite du choc, M. T. a été
projeté à terre, mais il n’a pas eu de mal;
saule la voiture a été endommagée.
Toi nudaeicNj. — Hier soir, Mils
L a porté plainte, disant que au moment
rù elle rentrait chez elle un individu lui
avait pris un réticule contenant 40 francs
qu’elle portait suspendu au poignet par
use chaînette et avait pris la faite, üae
information est ouverte.
Sf 0 $ éoin. — Sont arrivés à Pau, et
dr'icendus :
H. da la Poste: MM. DesseUn, Princesse
Sa îonotti, Cte et Ctease de Mazio, Grasse,
Pechotoau, Dautel, Dutech.
H. Beau Séjour : MM. de Montesford,
Villeneuve.
H. du Midi: MM. Bordes, François.
H. Henri IV : MM. D’Atlen, GJ-iy, Cour-
tiades, Mesp’et, Devèze, Marca, Dabo?cq,
do Lacvivies,
Naissances. - Le 17 : Maurice-Paul-R&phaël,
fils de Pierre-Jean-Maximilien Dupuy, repré
sentant de commerce a Pau, et de Marguerite
Capel. h. pr. — François Lartillalre, nég. *
Pau, et de Jtfune-Julîe Caux, s. pr.— Pierre-
Marcel, flU de Jean-Baptiste Portas, employé
S Pau, et de Mathilde Allègre, ménagère.
Mariages. — Le 14 : Jcau Faaget, débitant
S Pau, et Catherine Pellet, cuisinière à Pau.
— Thomas, terrassier à Pau, et Juaquina Los-
certalès, ménagère à Pau.
Décès. - Le 17 : Jean-Baptiste Pourtou.
37 ans, cours Bosquet.
.V-8 F. — fîisrwiijc, — Co matin,
sam?à-, à 3 h., un viol nt incendie a dé
truit en totalité l’anceane scierie Siyous,
récemment transformêo en fabrique de
toile ft san taies, et exploitée par les frères
S:y. u< de Bn.gos. L’immeuble situe envi
ron à 2 ki'oméires de la ville a élé com
plètement détruit. Les secours, vu la dis
tance qui sépare l’usino de ta ville ont
été inutiles, il ne reste plus que les murs.
L’immeuble et le matériel de l’ancienne
scierie étaient seuls assurés. Les métiers
b tisser récemment installés, ne l’étaient
pas.
Les causes du sinistre ne sont pas enco
re déterminées.
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Hégimae, Hydrothérapie, Electricité et qui,
accouvage*, désespérés, sc croient incurable»,
ee «entant s’alTaibhr, obligés de renoncer â leurs
travaux. * leurs relation*.
Il nous i est facile do leur expliquer pourquoi
le» remeaea Internes ne peuvent pas le* guérir,
e P. l?,V r /A*™°Dtrant combien il cat simple de
rétablir le* fonction» gastro-lntésUnalea et sup
primer au mémo fait lce troubles nerveux qui
en sont la conséquence.
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U cérémonie du 18 courant ;
842 fr. 83 «nt cto également votés par flo»
édiles pou>* acb^t de pumpes et secours à
leurs Servants ;
M. Joseph T >ra, capitaine de notrepagniu de sauveteur ut membre du osnaeil,
â été vivement félicité par M. lé Maire
p nr la promptitude avec laquelle il avait
éteint le fen qtli Sé déclarait, avant hier,
dan* un immeuble de la rue Pomône ;
Les habitants des ruasSaint-Gratet de la
MisUe* qui Se plaignaient du mauvais en
tretien ael dits» toieSj Voient leursdoléan-
ces prises en considération J
M, Gaston Lavigne protoste énergique-
ment contre le passage des trams Oloron-
Mauléon dans les rues Saint ûr«t et de la
Mislle, lsquel ne peut manquer de cause?
dé «ombreux aooidents;
M. Mazôrés, chasseur de palombes, est
autorisé * se construire une cabanoe;
La direction des trams refas&nt l'arrêt
Gervais, décision est aussitôt prise de laiiir
du cas la préfecture.
Prmgrnmme de la fête patrio
tique. — La Répubique Nouvelle publie le
programme suivant :
A dix beureî quinze, réception des au
torités et sooiôiés à la gare. Un cordon
d’honneur sera établi de la gare à la mai
rie, par les pompiers et gardos-muniepaux
•t placé sous les ordres de M. Cora, com
mandant d’armes. La musique militaire
do la garde-municipale prêtera son con
cours.
A dix heures et demie, présentations offi
cielles au saloa d'honneur de la mairie.
Tous les anciens combattants de 1870, ayant
à leur tête nos deux cousoillsrs généraux,
le capitaine des pompiers et le sous-lieute
nant de la même compagnie — tous quatre
médaillés pour faits d’éclats — défileront
devant le général commandant la 'f!2* bri
gade.
A onze heures, inauguration du monu
ment, dis ours, décorations, etc
A midi, dans une salle de l’hêtel Moura,
grand dîner patriotique, offert à tons
le» souscripteurs de la somme de sinq
francs.
feu de e/seminèe.— Rue Poroônc,
dans la soirée du 14 janvier, a 6 heures, s’est
déclaré un violent feu de cheminée «hez M.
Laborde-Roncal, receveur mcnioipal de
notre ville.
Grâce a de prompts secours, trop graves
n’ont été les dégâts.
Ænftts ! — Un bnn point à nos suffêtes,
qui ont. fini par se décider à charger le
f ioiritrc-vitrier Français Lamothe de réparer
es brèches faites aux vitrages de notre in
fortunée halle.
•foli eotip de fuatl. — Le sieur
Jean Pierre Mou as, de Lanne, domicilié à
Asasp. vient d’abattro dans la forêt de
Bugangue, une solitaire du poids de 100
kilos.
K. tii H K. — Wot esse d/e eiestjr .—
Jeudi matin, le sieur Jean Carrey, meu
nier a été désagréablement surpris eu re
marquant que scs deux mulets avaient dis
paru.
Rien jusqu’à ce moment n’a révélé les
traces des voleurs.
Un homme d’Ogeu se rendant à Bcdous
a dit pourtant avoir trouvé jeudi matin à
4 heures dc«x hommes conduisant deux
mulets entre Ogcu et Ilerrère. O» pense
que les voleurs pourraient être des Espa
gnols travaillait dans le village ou aux
environs. Les recherches continuent.
AR OnuiSüEiUtnT U ORi HEZ
O HT H EX
lits Memonte. — Vendredi matin, le
Comité d’achat du dépôt de romonto de
Tarbes a examiné, sur la place d’armes, un
lot do plus de ceut chevaux.
Pins de quarante ont été achetés. Les
prix extrêmes sont 710 et 1.400 fr. Ce der-
nii r prix a été acheté par M. Moncaut, de
Loudcesse, peur une belle jument, fflie d
M.ircomir. Un autre produit du même che-
cheval, appartenant â M. Lasserre, ancien
avoué à Orihez, a été payé 1.250 fr. Un
troisième, pour lequel on a offert 1.100 fr.,
n’a pas éié ’ ondu, le propriétaire n’ayant
pas acoepté le prix.
SûMJTBTBHHMS ,— Nous recevons
la lettre suivante :
Monsieur le Directeur,
Ne trouvez-vous pas que les simples ci
toyens qui voient des potentats do village
fouler aux pieds les lots et les devoirs ont
presque raison quand lia veulent les imiterl
Pariant de ce principe, no croyez-vous
pas que M. le maire de Sauveterre est mal
venu quand ii exerce le« fonctions do mi-
nisière public et qu’il fait condamner ses
administrés 1
Vous savez qu'à l’occasion dn départ d"«
conscrits, les jeunes gens ont besoin do
faire un pou de tapage, sinon la fête ne
vaudrait rien. Tous les ans il en est de
même à Sauveterre et ailleurs et personne
ne songe à s’en plaindre. On sait ce que
jeunesse veut dire et celui qui n’a pas été
conscrit le sera, pourvu que Dieu lut prête
vie.
Euit-?e piur eux que la gendarmerie
f-vait été préver ni» î N’y avut-il pas autre
■ h 89 ta-rloiROUHÎ
8i nue» ,, 6iiKeimiarQ''uts Dont e*act», c’était
plutôt un brave diab e d'aubargime qu’un
gue.tait afin de lui coller un procè>-virbal
colide et oe n'était pas certainement cet
Agrandissements considérables
A cette occasion, prix rabaissés et
_____ de réclama pour tous las vins 1900
ou 19i'8. — D«iS»nder le prospectât ■?«**••
Beau vin à 25 fr. i’heato — Léziguan» et Corbières 30 et 35 fr. — Môdocs 40 fr. franco
de tous droits — Bn luis de l’acheteur 1 fr. de rabais p»r hecto.
aubegisté qui avait averti l efl gendar
mes !..*
Toujours étl-li que le procés-verhal
trompa d’adresse et que es fat la jeunesse
qui la reçut, le sut-visé s’ôtant mis on ré
gle avec la loi et ayant fermé son établisse
ment à l’heure flsée.
Mais, puisque nous parlons de loi, de
cette loi qui M. le maire et son digne se
crétaire doivent faire respecter, me sera-
t-il permis de demander oe qu’est devenu
oertain procès-verbal où était nommé un
ouvrier de M. Majourau?
Pourrai-je savoir pourquoi M.Laharanne,
conseiller muni ipal et secrétaire de la
Mairie, peut conserver ces deux fonctions
qui sont incompatibles et pourquoi M. le
Maire toléfe c»Ue atteinte a la loi î
Voyez comme le* hommes changent I Qui
aurait cru en 1880 que ce* deux hauts per
sonnage», qui se c mbittaioot alors à < u-
trancé, seraient un jour d'aoc<,rd comme
ils le sont t
En ce temps-là, la ville était sonrdement
travaillée par les intrigues des Tartufes que
tout le inonde connatt aujourd’hui.
M Barbaste était gênant, il uo fît pas
long feu. M. Darroquea dut opter entre les
fonctions de reaevenr buraliste et celle» de
conseiller municipal. M. Rosplde. conseil
ler municipal également, bien qu’il ne fut
que secrétaire particulier dn maire dut
aller on Conseil d’Etat et donner sa dé
mission.
Et pour aboutir, savez-vous & qnoi ?
A voir M. Laharanne établi receveur bu
raliste, marchand de tabac, secrétaire delà
mairie, de l'hospice, de la bibliothèque etc.
etc., et conseiller municipal.
Voilà un homme qui, au conseil, peut être
amené à donner son avis sur son propre
traitement de secrétaire et à voter pour
qu’il soit augmenté si un de ses ami», par
exemple, vouiait faire cette proposition.
Vous m’avouerez que c’est un peu fort et
que puisque la loi interdit leoumul des fonc
tions, elle devrait être appliquée à Sauve-
terre où oa ce to!£ ra ^ P a ® autrefois 1 état
de choses qu’on par*^ acc-pter aujour
d’hui. ,
Excusez la longueur de cette leUre i 01
veuillez agréer, etc.
Davant,
Ancien maire d'Athot-Asph.
Victime du froid. — Un octogé
naire qui ne jouissait pas de ia plénitude de
ses facultés, Sylvain Lahitte, quittait sa
famille dans l’après-midi de jeudi. Comme
à la tombée de la nuit il n'avait point
reparu des recherches furent faites pou< le
retrouver, mais en vain.
Le lendemain, on journalier qui se ren
dait au lieu dit < Castéra » découvrit son
cadavre couché dan» les tuies.
Ne sachant où il allait, l’infortuné vieil
lard avait pris a travers bois où nue cor-
gestion, occasionnée par le froid, l'a frappé.
MBMTEM V. — décident. —
M. Larrieu, propriétaire, ayant voulu se
pencher hors la balustrade de l’escalier, est
tombé dans le vide ; dans sa chute, il l’eBt
fait do f rtos contusien».
RHUMATISANTS
GOUTTEUX & ARTHRITIQUES
et tous les ma'ades qui souffrent de D «•
leurs, Névralgies, Gravelle Lumbago Coli
ques hépatiques et néphrétiques, Asthme ,
Maladies du Foie et des hem*, et qui veu
lent être guéris radicalement,
ont îoieiét * lira cette lettre- une dis
nombreuses lettres de fé icAtabons qui ar
rivent journellement à M. Malavant — et
qui atteste l'efficacité du Traitement
Chartreux. Elle est écrite sjub l’influ
ence de ia reconnaissance et du désir de
faire le bien.
Fécamp (Seinr.-lnférieuro), 17 août 1902.
Monsieur Malavant,
Je suis âgé de soixante-quatorze ans— l’hi
ver dernier, j’ai couffert do rhumatismes ai
gus avec accèa de goutte. Après avoir essayé
en vain beaucoup de rmiôdea, je suis heureux
devons dire quil n’y a que le Traitement
du Chartreux qui a pu m# guérir; nu second
ffacon’ toutes m »s douleur* ont disparu.
Après avoir remercié Dieu de mon rétablis
sement, c'est à vous, Monsieur, que je dois
mn reconnaissance, etje suis content uc vous
l’exprimer.
PICARD père,
rue de Bolbec, à Fécamp.
LeTrsItomesit du Chartreux
guérit toujours , il ne peut pas avoir d’in
succès, car il s’attaque ft la racine mêm-
dumat ; il tamise le sang, détruit et expulse
l'acide urique qui est le germe de la mala
die.
Le Traitement du Chartreux
est un composé de plantes dépuratives ab
solument inoffensiv es ; il s’applique à tous
les âges et no nécejsite aucun changement
dans le régime habituel du malade.
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Pont». A Tarbes, pharmacie D intin, * Lour-
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Exiger le flacon dans une botte et le timbre
bleu del’E'.atFranqais pour éviter les con
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meuts de pur sang anglais à 100 fr. ; 4 ju
ments de pur sang arabe ou anglo arabe à
40 fr., S juments de demi-sang ou anglo-
arabe à 15 fr.
MM. les Propriétaires qui auraient des
inscriptions à faire pour cet étalon «ont
l>r>ét» de lus adresser, avant le v6 janvier
prochain. A M. e Directeur du Dépôt d'E-
>h!od 8 de Pau. P»s»é oo délai, aucune ins
cription ne sera admise,
Lea demandes d’in oription seront éta
blies sur des états spéciaux qui seront four
nis & toutes les persouncs qui en feront la
demande.
Le tirage au sort aura lieu le 31 janvier,
, ’ Dépôt d’Etalons d-i Pau, à 2 heure», et
la ntonvT c °mmenoera le 10 février,
(Voir le p;o»pa ctu«).
ilULUMN h^NCIER
Pari», I© janvier j? 03 *
La lourdeur de la Rente Française, qù. *
aujourd’hui abandonné le pair et clôture a
99 tt2, s’est représentée dans la plupart des
gtoupes, et notamment dans celui des Fonds
Etrangers. ,
L’Extérieure, qui avait brillamment débute
à 88 fr. a’eat inscrite en recul à 87.65, L'Ita
lien a fféohi de même K 102.10. Lee Fonds
ottomans ne sont assez bien défendus et la
Rente Serbe h’ eut tenue entre 70.45 et 79.70.
L«a Sociétés de'Crédit demeurent soute
nue J. Le Crédit Lyonnais reprend une petite
avances 1 o93. Le Comptoir d’Escompte et
la Société Générale se retrouveut réciproque
ment il 594 et 623 fr.
Les Chemins Lançais se présentent sans
grands écart** Bar t BI * cours précédents de
leurs actions. En obligations, les 2 /2 */•
Oueat toujours recherchées, ont gagne ie
cours de 419 fr. , . ..
Gaz parisien 817 fr. Un projet relatif au
régime futur du gaz a été présenté au préfet
de la Seine par M Bénard au nom des princi
pales Sociétés gazières. Suez moins ferme
a 3.852.
Les valeurs de traction sont mieux tenues
que précédemment. Les valeur» de cuivre
n'ont pas varié. Les mines d’or ont été dis
cutées.
Les Moteurs fc Gaz et constructions méca
niques sont soutenus à 173 fr. C’est demain
que se tiendra rassemblée extraordinaire de
cette Compagnie.
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« Revue Si iontiRque Industrielle et Agricole ».
ment a décision des premiers juges.
— Le nommé P. T. qui avait détourné
tpe bicyclette, le 22 août dernier, au pré*
judice de M. Boeyrie, avait été coadamné
par défont à 8 mois de prison. Le 1? dé
cembre t. fit opposition de os jugement
et vit 3à peine réduite à 6 mois ; c’est de
cette condamnation qua T., h peine âgé
20 ans et 11 fois oondamnê, fait appel.
L’ar»ét à huitaine.
— L» sieur D., mécanicien à Dax, à la
suite d’un procès-verbal, en date du 22
juillet 1002. drasié par un inspecteur du
travail, tut condamné par le tribunal de
D x, pour diverses infractions à la loi sur
la travail dans l'industrie, à 15 amendes de
5 fr., à 7 amendes d> 1 fr., en lui faisant
application de la loi bérenger. La Cour
réforme le jugement du tribunal, réduit
au nombre de 12 les 15 amendes de 5 fr.
et bêrengérise seulement les 7 amendes de
i fr ' _____
Font-bmtl. — Dimanche prochain,
18 janvier, aura lieu à 2 heures, au champ
Bourda, Chemin de l’Eglise, t\ Jurançon,
un match de foot-ball entre l’invincible
Stadoccste Tarbais et la section paloisc do
la Ligue Girondine.
Le Stadoceste Tarbais aura le maillot
noir et bleu ciel, la Section Paloisc, lç
maillot rouge.
r/ioe. — Yereô h., hier nantie, uns
voiture conduite par M. T., ômployô de
commerce, a heuitê, rtn du 14 Juillet, un
tombereau. Par suite du choc, M. T. a été
projeté à terre, mais il n’a pas eu de mal;
saule la voiture a été endommagée.
Toi nudaeicNj. — Hier soir, Mils
L a porté plainte, disant que au moment
rù elle rentrait chez elle un individu lui
avait pris un réticule contenant 40 francs
qu’elle portait suspendu au poignet par
use chaînette et avait pris la faite, üae
information est ouverte.
Sf 0 $ éoin. — Sont arrivés à Pau, et
dr'icendus :
H. da la Poste: MM. DesseUn, Princesse
Sa îonotti, Cte et Ctease de Mazio, Grasse,
Pechotoau, Dautel, Dutech.
H. Beau Séjour : MM. de Montesford,
Villeneuve.
H. du Midi: MM. Bordes, François.
H. Henri IV : MM. D’Atlen, GJ-iy, Cour-
tiades, Mesp’et, Devèze, Marca, Dabo?cq,
do Lacvivies,
Naissances. - Le 17 : Maurice-Paul-R&phaël,
fils de Pierre-Jean-Maximilien Dupuy, repré
sentant de commerce a Pau, et de Marguerite
Capel. h. pr. — François Lartillalre, nég. *
Pau, et de Jtfune-Julîe Caux, s. pr.— Pierre-
Marcel, flU de Jean-Baptiste Portas, employé
S Pau, et de Mathilde Allègre, ménagère.
Mariages. — Le 14 : Jcau Faaget, débitant
S Pau, et Catherine Pellet, cuisinière à Pau.
— Thomas, terrassier à Pau, et Juaquina Los-
certalès, ménagère à Pau.
Décès. - Le 17 : Jean-Baptiste Pourtou.
37 ans, cours Bosquet.
.V-8 F. — fîisrwiijc, — Co matin,
sam?à-, à 3 h., un viol nt incendie a dé
truit en totalité l’anceane scierie Siyous,
récemment transformêo en fabrique de
toile ft san taies, et exploitée par les frères
S:y. u< de Bn.gos. L’immeuble situe envi
ron à 2 ki'oméires de la ville a élé com
plètement détruit. Les secours, vu la dis
tance qui sépare l’usino de ta ville ont
été inutiles, il ne reste plus que les murs.
L’immeuble et le matériel de l’ancienne
scierie étaient seuls assurés. Les métiers
b tisser récemment installés, ne l’étaient
pas.
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re déterminées.
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Il nous i est facile do leur expliquer pourquoi
le» remeaea Internes ne peuvent pas le* guérir,
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rétablir le* fonction» gastro-lntésUnalea et sup
primer au mémo fait lce troubles nerveux qui
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842 fr. 83 «nt cto également votés par flo»
édiles pou>* acb^t de pumpes et secours à
leurs Servants ;
M. Joseph T >ra, capitaine de notre
â été vivement félicité par M. lé Maire
p nr la promptitude avec laquelle il avait
éteint le fen qtli Sé déclarait, avant hier,
dan* un immeuble de la rue Pomône ;
Les habitants des ruasSaint-Gratet de la
MisUe* qui Se plaignaient du mauvais en
tretien ael dits» toieSj Voient leursdoléan-
ces prises en considération J
M, Gaston Lavigne protoste énergique-
ment contre le passage des trams Oloron-
Mauléon dans les rues Saint ûr«t et de la
Mislle, lsquel ne peut manquer de cause?
dé «ombreux aooidents;
M. Mazôrés, chasseur de palombes, est
autorisé * se construire une cabanoe;
La direction des trams refas&nt l'arrêt
Gervais, décision est aussitôt prise de laiiir
du cas la préfecture.
Prmgrnmme de la fête patrio
tique. — La Répubique Nouvelle publie le
programme suivant :
A dix beureî quinze, réception des au
torités et sooiôiés à la gare. Un cordon
d’honneur sera établi de la gare à la mai
rie, par les pompiers et gardos-muniepaux
•t placé sous les ordres de M. Cora, com
mandant d’armes. La musique militaire
do la garde-municipale prêtera son con
cours.
A dix heures et demie, présentations offi
cielles au saloa d'honneur de la mairie.
Tous les anciens combattants de 1870, ayant
à leur tête nos deux cousoillsrs généraux,
le capitaine des pompiers et le sous-lieute
nant de la même compagnie — tous quatre
médaillés pour faits d’éclats — défileront
devant le général commandant la 'f!2* bri
gade.
A onze heures, inauguration du monu
ment, dis ours, décorations, etc
A midi, dans une salle de l’hêtel Moura,
grand dîner patriotique, offert à tons
le» souscripteurs de la somme de sinq
francs.
feu de e/seminèe.— Rue Poroônc,
dans la soirée du 14 janvier, a 6 heures, s’est
déclaré un violent feu de cheminée «hez M.
Laborde-Roncal, receveur mcnioipal de
notre ville.
Grâce a de prompts secours, trop graves
n’ont été les dégâts.
Ænftts ! — Un bnn point à nos suffêtes,
qui ont. fini par se décider à charger le
f ioiritrc-vitrier Français Lamothe de réparer
es brèches faites aux vitrages de notre in
fortunée halle.
•foli eotip de fuatl. — Le sieur
Jean Pierre Mou as, de Lanne, domicilié à
Asasp. vient d’abattro dans la forêt de
Bugangue, une solitaire du poids de 100
kilos.
K. tii H K. — Wot esse d/e eiestjr .—
Jeudi matin, le sieur Jean Carrey, meu
nier a été désagréablement surpris eu re
marquant que scs deux mulets avaient dis
paru.
Rien jusqu’à ce moment n’a révélé les
traces des voleurs.
Un homme d’Ogeu se rendant à Bcdous
a dit pourtant avoir trouvé jeudi matin à
4 heures dc«x hommes conduisant deux
mulets entre Ogcu et Ilerrère. O» pense
que les voleurs pourraient être des Espa
gnols travaillait dans le village ou aux
environs. Les recherches continuent.
AR OnuiSüEiUtnT U ORi HEZ
O HT H EX
lits Memonte. — Vendredi matin, le
Comité d’achat du dépôt de romonto de
Tarbes a examiné, sur la place d’armes, un
lot do plus de ceut chevaux.
Pins de quarante ont été achetés. Les
prix extrêmes sont 710 et 1.400 fr. Ce der-
nii r prix a été acheté par M. Moncaut, de
Loudcesse, peur une belle jument, fflie d
M.ircomir. Un autre produit du même che-
cheval, appartenant â M. Lasserre, ancien
avoué à Orihez, a été payé 1.250 fr. Un
troisième, pour lequel on a offert 1.100 fr.,
n’a pas éié ’ ondu, le propriétaire n’ayant
pas acoepté le prix.
SûMJTBTBHHMS ,— Nous recevons
la lettre suivante :
Monsieur le Directeur,
Ne trouvez-vous pas que les simples ci
toyens qui voient des potentats do village
fouler aux pieds les lots et les devoirs ont
presque raison quand lia veulent les imiterl
Pariant de ce principe, no croyez-vous
pas que M. le maire de Sauveterre est mal
venu quand ii exerce le« fonctions do mi-
nisière public et qu’il fait condamner ses
administrés 1
Vous savez qu'à l’occasion dn départ d"«
conscrits, les jeunes gens ont besoin do
faire un pou de tapage, sinon la fête ne
vaudrait rien. Tous les ans il en est de
même à Sauveterre et ailleurs et personne
ne songe à s’en plaindre. On sait ce que
jeunesse veut dire et celui qui n’a pas été
conscrit le sera, pourvu que Dieu lut prête
vie.
Euit-?e piur eux que la gendarmerie
f-vait été préver ni» î N’y avut-il pas autre
■ h 89 ta-rloiROUHÎ
8i nue» ,, 6iiKeimiarQ''uts Dont e*act», c’était
plutôt un brave diab e d'aubargime qu’un
gue.tait afin de lui coller un procè>-virbal
colide et oe n'était pas certainement cet
Agrandissements considérables
A cette occasion, prix rabaissés et
_____ de réclama pour tous las vins 1900
ou 19i'8. — D«iS»nder le prospectât ■?«**••
Beau vin à 25 fr. i’heato — Léziguan» et Corbières 30 et 35 fr. — Môdocs 40 fr. franco
de tous droits — Bn luis de l’acheteur 1 fr. de rabais p»r hecto.
aubegisté qui avait averti l efl gendar
mes !..*
Toujours étl-li que le procés-verhal
trompa d’adresse et que es fat la jeunesse
qui la reçut, le sut-visé s’ôtant mis on ré
gle avec la loi et ayant fermé son établisse
ment à l’heure flsée.
Mais, puisque nous parlons de loi, de
cette loi qui M. le maire et son digne se
crétaire doivent faire respecter, me sera-
t-il permis de demander oe qu’est devenu
oertain procès-verbal où était nommé un
ouvrier de M. Majourau?
Pourrai-je savoir pourquoi M.Laharanne,
conseiller muni ipal et secrétaire de la
Mairie, peut conserver ces deux fonctions
qui sont incompatibles et pourquoi M. le
Maire toléfe c»Ue atteinte a la loi î
Voyez comme le* hommes changent I Qui
aurait cru en 1880 que ce* deux hauts per
sonnage», qui se c mbittaioot alors à < u-
trancé, seraient un jour d'aoc<,rd comme
ils le sont t
En ce temps-là, la ville était sonrdement
travaillée par les intrigues des Tartufes que
tout le inonde connatt aujourd’hui.
M Barbaste était gênant, il uo fît pas
long feu. M. Darroquea dut opter entre les
fonctions de reaevenr buraliste et celle» de
conseiller municipal. M. Rosplde. conseil
ler municipal également, bien qu’il ne fut
que secrétaire particulier dn maire dut
aller on Conseil d’Etat et donner sa dé
mission.
Et pour aboutir, savez-vous & qnoi ?
A voir M. Laharanne établi receveur bu
raliste, marchand de tabac, secrétaire delà
mairie, de l'hospice, de la bibliothèque etc.
etc., et conseiller municipal.
Voilà un homme qui, au conseil, peut être
amené à donner son avis sur son propre
traitement de secrétaire et à voter pour
qu’il soit augmenté si un de ses ami», par
exemple, vouiait faire cette proposition.
Vous m’avouerez que c’est un peu fort et
que puisque la loi interdit leoumul des fonc
tions, elle devrait être appliquée à Sauve-
terre où oa ce to!£ ra ^ P a ® autrefois 1 état
de choses qu’on par*^ acc-pter aujour
d’hui. ,
Excusez la longueur de cette leUre i 01
veuillez agréer, etc.
Davant,
Ancien maire d'Athot-Asph.
Victime du froid. — Un octogé
naire qui ne jouissait pas de ia plénitude de
ses facultés, Sylvain Lahitte, quittait sa
famille dans l’après-midi de jeudi. Comme
à la tombée de la nuit il n'avait point
reparu des recherches furent faites pou< le
retrouver, mais en vain.
Le lendemain, on journalier qui se ren
dait au lieu dit < Castéra » découvrit son
cadavre couché dan» les tuies.
Ne sachant où il allait, l’infortuné vieil
lard avait pris a travers bois où nue cor-
gestion, occasionnée par le froid, l'a frappé.
MBMTEM V. — décident. —
M. Larrieu, propriétaire, ayant voulu se
pencher hors la balustrade de l’escalier, est
tombé dans le vide ; dans sa chute, il l’eBt
fait do f rtos contusien».
RHUMATISANTS
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et tous les ma'ades qui souffrent de D «•
leurs, Névralgies, Gravelle Lumbago Coli
ques hépatiques et néphrétiques, Asthme ,
Maladies du Foie et des hem*, et qui veu
lent être guéris radicalement,
ont îoieiét * lira cette lettre- une dis
nombreuses lettres de fé icAtabons qui ar
rivent journellement à M. Malavant — et
qui atteste l'efficacité du Traitement
Chartreux. Elle est écrite sjub l’influ
ence de ia reconnaissance et du désir de
faire le bien.
Fécamp (Seinr.-lnférieuro), 17 août 1902.
Monsieur Malavant,
Je suis âgé de soixante-quatorze ans— l’hi
ver dernier, j’ai couffert do rhumatismes ai
gus avec accèa de goutte. Après avoir essayé
en vain beaucoup de rmiôdea, je suis heureux
devons dire quil n’y a que le Traitement
du Chartreux qui a pu m# guérir; nu second
ffacon’ toutes m »s douleur* ont disparu.
Après avoir remercié Dieu de mon rétablis
sement, c'est à vous, Monsieur, que je dois
mn reconnaissance, etje suis content uc vous
l’exprimer.
PICARD père,
rue de Bolbec, à Fécamp.
LeTrsItomesit du Chartreux
guérit toujours , il ne peut pas avoir d’in
succès, car il s’attaque ft la racine mêm-
dumat ; il tamise le sang, détruit et expulse
l'acide urique qui est le germe de la mala
die.
Le Traitement du Chartreux
est un composé de plantes dépuratives ab
solument inoffensiv es ; il s’applique à tous
les âges et no nécejsite aucun changement
dans le régime habituel du malade.
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Pont». A Tarbes, pharmacie D intin, * Lour-
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arabe à 15 fr.
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inscriptions à faire pour cet étalon «ont
l>r>ét» de lus adresser, avant le v6 janvier
prochain. A M. e Directeur du Dépôt d'E-
>h!od 8 de Pau. P»s»é oo délai, aucune ins
cription ne sera admise,
Lea demandes d’in oription seront éta
blies sur des états spéciaux qui seront four
nis & toutes les persouncs qui en feront la
demande.
Le tirage au sort aura lieu le 31 janvier,
, ’ Dépôt d’Etalons d-i Pau, à 2 heure», et
la ntonvT c °mmenoera le 10 février,
(Voir le p;o»pa ctu«).
ilULUMN h^NCIER
Pari», I© janvier j? 03 *
La lourdeur de la Rente Française, qù. *
aujourd’hui abandonné le pair et clôture a
99 tt2, s’est représentée dans la plupart des
gtoupes, et notamment dans celui des Fonds
Etrangers. ,
L’Extérieure, qui avait brillamment débute
à 88 fr. a’eat inscrite en recul à 87.65, L'Ita
lien a fféohi de même K 102.10. Lee Fonds
ottomans ne sont assez bien défendus et la
Rente Serbe h’ eut tenue entre 70.45 et 79.70.
L«a Sociétés de'Crédit demeurent soute
nue J. Le Crédit Lyonnais reprend une petite
avances 1 o93. Le Comptoir d’Escompte et
la Société Générale se retrouveut réciproque
ment il 594 et 623 fr.
Les Chemins Lançais se présentent sans
grands écart** Bar t BI * cours précédents de
leurs actions. En obligations, les 2 /2 */•
Oueat toujours recherchées, ont gagne ie
cours de 419 fr. , . ..
Gaz parisien 817 fr. Un projet relatif au
régime futur du gaz a été présenté au préfet
de la Seine par M Bénard au nom des princi
pales Sociétés gazières. Suez moins ferme
a 3.852.
Les valeurs de traction sont mieux tenues
que précédemment. Les valeur» de cuivre
n'ont pas varié. Les mines d’or ont été dis
cutées.
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niques sont soutenus à 173 fr. C’est demain
que se tiendra rassemblée extraordinaire de
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