Titre : La Vigie marocaine
Auteur : Vigie marocaine. Auteur du texte
Éditeur : Vigie marocaine (Casablanca)
Date d'édition : 1951-03-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344718653
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 21 mars 1951 21 mars 1951
Description : 1951/03/21 (A43,N14313). 1951/03/21 (A43,N14313).
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k51498034
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-96234
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2022
LA VIGIE MAROCAINE
21 mars 1951
lin nouveau centre est né
à Dar-Bou-Azza
au cœur de la zone primeuriste et maraîchère
ri'iOUS ceux qui ont suivi l’essor des cultures primeuristes et maraîchères qui jadis se li-
; mitaient à une bande relativement étroit e située'entre Ain-Sebaa et Fédala Jusqu’au
x Pont-Blondin, ont pu constater que cette zone s’est progressivement étendue vers le
Sud pour se prolonger ensuite jusqu’aux environs de Oualidia. Cette extension fut motivée
certes par le fait que cette partie de la zone côtière présentait les mêmes caractéristiques
de sol et de climat que la zone précédente, mais aussi par le fait que, sur cette dernière, la
densité des exploitations était telle que la nappe phréatique s'épuisait et que la salure de
l’eau s’y accroissait sans cesse, sur de nombreux points.
Primeuristes et maraîchers re- _
cherchèrent donc de nouveaux
terrains et c’est à la faveur de
cette migration que la région rom-
prise entre Sidi-Abderrhamane et
Dar-Bou-Azza devint à son tour
le siège de nombreuses exploita
tions, créées pour la plupart par
des primeuristes et maraîchers
des Zénatas, qui trouvent là des
conditions particulièrement favo
rables de sol et de climat. L’an
cienne piste de Mazagan. trans
formée an route secondaire, ja
lonne la plupart de ces exploita
tions le long de laquelle on relève
une grande densité de population.
Ces eonditions devaient amener
inévitablement la création d'un
centre rural sur le point le plus
favorable. C'est chose faite désor
mais et l’implantation de ce cen
tre se dessine au kilomètre 22 de
l'ancienne piste de Mazagan. au
lieu dit Dar-Bou-Azza, non loin
de la ferme du même nom, créée
jadis par le regretté docteur Vey-
re. un des pionniers du Maroc.
Une ferme « historique »
Cette ferme a son histoire. Elle
a été aménagée dans l’ancienne
casbah, sur un domaine qui fut
dopné au docteur Vevre par le
Sultan Abd-El-Aziz en recon- Maurice Jacquier créa un souk, la salle de visite ayant été classée,
voici quatre ans, au moment où c’est le Service de Santé qui four-
la distribution des denrées con- nit les médicaments et vaccins
tingentées justifiait cette créa- aux quelque trois mille consultants
tion. Les exploitations s’étant qui ont fréquenté la salle de visi-
« Ça pourrait se passer comme ça...
»
UN SENSATIONNEL RÉCIT
'"Mémoires" d'un agent secret
FEUILLETON N" 65
D'ANTICIPATION
de la 11 prochaine dernière "
par Philip REYNOLDS
DE LA “VIGIE MAROCAINE"
En effet, non seulement les
permissions pour ces soldats
avaient été interrompues,
mais encore l’échange de cor-
Voici le modeste chalet où M. Maurice Jacquier o installe la pre
mière salle de visite de Dar bou Axza. Depuis le 1er juin 1950, plus
de trois mille consultants ont défilé dans cette salle, laquelle va
faire place, l’an prochain, à une infirmerie du Service de Santé.
naissance dçs services rendus par
ce pionnier français qui fut ingé
nieur de Sa Majesté pendent sept
ans. avant l’établissement du
Protectorat de la France au Ma- multipliées dans le voisinage, par te depuis le 1er juin 1950, date
roc. C’est sur ce domaine que le
docteur Veyre lança l’élevage du
mouton
agneaux
suite des conditions remarquables de la prise en charge de la salle
de culture des primeurs, et leur par le Service de Santé.
d'Astrakan, dont les personnel s’étant accru considéra- Ainsi, de l’initiative généreuse
nouveau-nés donnent blement en nombre, une installa- de M. Jacquier est née une insti-
tine magnifique toison bouclée tion de mouture indigène devint tution qui rend les plus grands
très recherchée dans l’industrie bientôt nécessaire et fut aussitôt services aux populations marocai
ne la fourrure. On y procéda à fort fréquentée. Puis ce fut au nés de cette zone jusqu’alors dé-
des essais de culture de la lavan- tour d’un atelier de réparation favorisées sous ce rapport. Nous
de qui connut son heure de suc- d’autos et de matériel agricole de aurions mauvaise grâce à ne pas
cès. C’est là que le premier trac- venir grossir l’agglomération, tan- reconnaître que le promoteur de
teùr Pordson fut expérimenté et dis qu'un entrepôt d'engrais et cette œuvre fut grandement aidé
une pompe à essence s’installaient par Mme la doctoresse Duvezin,
immédiatement à côté
que la première Ford fit son ap
parition.
Ce domaine est devenu la pro
priété du gendre du docteur Vey
re, M. Maurice Jacquier-Veyre
Une école foraine fut crée par
M. Maurice Jacquier, qui par la
suite fut transformée en école ru-
qui assura la direction de la salle
de visite et se dépensa sans comp
ter pour en assurer le bon fonc
tionnement à l’unanime satisfac
tion ^es consultants. Elle fut ai
dée dans sa tâche par Mlle Ma-
. t i*. SUltC lUt tlttllSlUllllcc cil ctuio i t*
qui en a fait une e\p . ra i e dotée d’une institutrice fran
prospéré de polyculture et d eie\ a- instituteur marocain. «« «•““ H “ 1V1 "'
ge. C’est sur une partie de ce do- v direction de l’Ins- thieu - û ui > a P rès avoir fondé avec
maine bordant la route que M. publique . Le centre est M. Jacquier l’école foraine de
en train de s’enrichir d’une sta- Dar-Bou-Azza, apporta son pre-
tion d’emballage pour les primeurs cieux concours au fonctionne-
dans laquelle M. Maurice Jac
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quier est associé à une importante * ant P as . f”, outre à se ôénlarer
firme spécialisée dans cette in- dan « te bled pour porter secours
dustrie. En attendant l’achève- ou donner des soins aux malades,
ment de la station, l’emballage se Enfin, signalons que M. Santonja.
fait dans la ferme même de Dar-
Bou-Azza.
Une initiative bien française
en faveur de nos protégés
fussent connus les dorama- plusieurs mois, nous étions exigé un armistice immédiat,
ges causés par l’attaque soumis à un tel « bourrage de c’est parce qu’ils savaient que
américaine et que, pour que crâne » de la part des propa- les dirigeants soviétiques, en-
ces dommages soient tenus gandes des deux camps que core tout puissants dans
respondance entre eux et ainsi secrets, ils avaient du nous avions fini par être sur- leur pgys, auraient préféré
leurs familles se faisait dé- atteindre l’ampleur d’une vé- saturés et par douter auto- laisser ruiner entièrement
sormais uniquement par l’in- ritable catastrophe. matiquement de tout ce que leurs territoires et massacrer
termédiaire d’une simple for- Pendant les premiers jours nous racontaient amis com- la population plutôt que
mule imprimée portant, sui- qui suivirent la fin subite de me ennemis. d’accepter de se rendre,
vant le cas, des souhaits pour la guerre brutale, la popula- Mais nous nous rendions à Dans un tel cas les Russes
une fête, pour un mariage ou tion parisienne, apeurée, s’é- l’évidence avec plus de fer- auraient pu continuer a at-
pour une naissance, formule tait tenue le plus possible veur de jour en jour ; la pro- taquer pendant un certain
sur laquelle les intéressés hors de la vue et de la por- pagande alliée, cette fois-ci temps encore les villes alliées
n'avaient le droit d’écrire que
leur nom et adresse, et cel
le de leur destinataire, avec,
tee des « Pépés * et des disait vrai et tout concourait avec des super-bombes, en-
agents de la M.V.D. à le prouver. traînant ainsi, en même
Mais, au fur et à mesure « Mais alors » disaient cer- temps que leur propre des-
au bas de la lettre, leur pro- que baissait le moral des oc- tains « si les armes des Al- truction, celle de leurs ad-
pre signature.
Au bout de quelques se
elle ces manifestations fort
peu appréciées par les Rus
ses.
Cependant 0?s derniers,
dans de tels cas, n’osaient
pas intervenir brutalement
et avaient simplement exi
gé au bout de quelques jours,
que les officiers suédois ne
sortissent qu'habillés en ci
vil.
La présence de ces Sué-
rois était pour nous tous qui
avions souffert et qui souf
frions de cette odieuse occu
pation, comme l’apparition
de la colombe revenant à
l’arche avec un rameau d’o-
cupants et qu’augmentait liés étaient aussi puissantes versaires.
l’inquiétude des militaires de pourquoi les Américains Les dirigeants soviétiques livier.
maines, néanmoins, tant de tous rangs dans l'armée rou- n'ont-ils pas continué l’of- jusque là n’avaient considé- En perdant le droit d’utl-
lettres de soldats à leur fa- ge, l’espoir revenait au cœur frnsive en envoyant en même ré qu’un seul code de Thon- liser ses super-bombe s,
mille étaient restées sans ré- de chacun de nous. temps aux Soviets un ultima- neur : celui qui consistait à l’U.R.S.S. perdait une carte
ponse que le moral de la On voyait briller dans les tum d’avoir à signer une red- tout subordonner aux inté- maitresse de son jeu. Désor-
troupe se détériorait avec yeux des Parisiens un regard dition Immédiate et sans con- rêts ou simplement aux or- mais la défaite des Soviets
une rapidité alarmante.
de défi auquel nul n’était ditions ?
dres du gouvernement sovié-
Parallèlement, les ordres accoutumé, et, aux plaisante- Les réponses à cette ques- tique, et ils avaient tenu pour
de mission pour se rendre en ries des « titis » on sentait tion étaient d’ordre divers, seuls valables les engage- de temps.
ne faisait plus de doute et
n’était plus qu’une question
Russie, avaient été réduits à
un nombre infime et n é
taient délivrés que dans les
que « quelque chose était D’aucuns disaient que les ments que prenaient les au-
changé ». Américains ne possédaient très pays à l’égard de
Le grand sujet de discus- sans doute pas un nombre l’U.R.S.S., sans jamais appli-
cas tout à fait indispensables, sion, lorsque les Parisiens se suffisant de ces super-armes quer la réciproque. Mais cet-
De plus, alors qu’aupara- trouvaient réunis ensemble et que c’était par un coup te fois ils allaient avoir a se
vant des renforts arrivaient loin des oreilles des occu- d’audace qu’ils avaient déci- soumettre,
régulièrement des camps pants ou de leurs collabora- dé d’utiliser en une seule at- Quelques jours apres l’ul-
d’entraînement de l’armée teurs, restait évidemment taque la plus grande partie timatum lancé par le com-
rouge en U.R.S.S., sitôt après l’effet qu’avait pu causer en ou même la totalité de leur mandant en chef des armées
la contre-offensive fou- Russie les nouvelles super- stock de ces nouvelles bom- alliées, et l’arrêt de la « su-
Américains, armes américaines. bes. per-guerre », étaient arrivés
Les postes de radio alliés D’autres prétendaient que à Paris les premiers officiers
rivé venant de la mère-pa- ne se faisaient pas faute de les Alliés eux-mêmes igno- suédois chargés d’organiser le
trie. Les troupes se rendaient décrire avec de grandes pre- raient l’importance de l’effet recensement et la destruc-
compte que le territoire de cisions et des chiffres à l'ap- qu’aurait leur attaque sur la tion du stock de super-bom-
i’U.R.S.S. était maintenant pui la puissance extraordi- Russie et que, sinon, au lieu bes que possédaient les Rus-
complètement isolé du reste naire des coups qui avaient de demander seulement aux ses.
de l’Europe, et les commissai- été portés à la Russie. Russes l’arrêt immédiat de L’accueil que la population
res chargés de la projpagan- Au début, tout le monde leur offensive avec des super- parisienne faisait à ces of-
de avaient beau inventer les avait mis l’énormité des chif- bombes, ils auraient exigé ficiers, chaque fois qu’ils
mensonges les plus subtils, il fres cités sur le compte des une reddition complète. étaient reconnus, était pres-
devenait évident pour tous exagérations de la propagan- D’autres enfin soutenaient que délirant malgré le dan-
que l’on voulait éviter que ne de. Il est vrai que, depuis que si les Alliés n’avaient pas ger que représentaient pour
la
droyante des
plus un seul soldat n’était ar-
CHAPITRE XIV
Une grande joie
Trois semaines après
cessation de la super-guer
re. sur les instructions ve
nues de Washington, nous
avions recommencé à appli
quer les consignes de sécuri
té dans les réseaux.
(à suivre)
Ce récit d'anticipation est une
simple fiction Les nom* des
personnes et organisme* rtgu-
rant dans ce récit sont imagi
naires et toute similitude avec
des personnes et organismes
existant réellement ne pourrait
être qu’une coïncidence pure
ment fortuite
Copyright 1951
by Philip Reynolds
Joute reproduction, meme par
tielle. rigoureusement interdite .
an par Ql|£
an vrai u n E
anis d'Alger
infirmier-major, apporta aussi
une collaboration très dévouée à
cette œuvre.
Grâce à cette si vaillante équi
pe, la direction de la Santé a te
nu à fournir une importante con-
Bntre temps, M. Maurice Jac- tribution à tant d'efforts, en clas-
quier qui, en dépit de préoccupa- gant tout d’abord la salle de visite
tions nombreuses, sut toujours et en promettant de construire
garder un sens aigu du social, l’an prochain une grande infir-
avait installé au voisinage immé- merie dotée de tout le matériel
diat du souk un petit chalet à et du personnel nécessaires pour
usage de salle de visite, où une en assurer le fonctionnement ra-
doctoresse donnait des soins mul- tionnel. Cette infirmerie fera par-
tiples aux Marocains des douars tie de la première ceinture sani-
environnants. Pansements, soins, taire de Casablanca en cas d’épi-
piqûres,, étaient dispensés aux Ma- démie.
rocains toujours plus nombreux Telle est l’œuvre qui s’échafau-
qui fréquentaient la salle de visi- de dans ce coin du bled à la suite
te les jours de souk, et, lorsque de l’initiative prise par M. Jac-
des maladies graves étaient dé- quier et de l’intérêt constant qu'il
pistées, les malades étaient diri- porte au centre de Bar-Bou-Azza,
gés vers une formation sanitaire dont il entend faire une agglomé-
urbaine plus importante. Des ration bien vivante,
quelque cinquante consultations N’a-t-il pas en outre créé à deux
quotidiennes qui étaient données pas de ^ un e station balnéaire
au début, le chiffre est passé à don t on parlera avant peu et
plus de cent cinquante. Bien en- dans les meilleurs termes ?
tendu, tous les soins sont gratuits. Mais ceci est une autre histoi-
Au début, M. Jacquier en assura re q U ’u nous sera agréable de con-
la charge et, à l’heure actuelle, ter ^ nos lecteurs à l’approche de
la belle saison.
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chanteront, il vous rappellera les
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LE MORTEL BAISER
i L y a quelques décades, une pièce
I audacieuse, exposant un péril so
cial et portant ce titre, avait fait
sensation.
Mais il apparaît aujourd’hui, sf
l’on en croit un certain docteur
Strovg, de Boston, que le plus sim
ple baiser présente des périls qui
abrègent l’existence de celui qui les
donne... ou les reçoit.
Ce docte savant explique en effet
qu’un baiser « normal » abrège no
tre vie de trois fours et un baiser
« passionné » de cinq jours, étant
donné qu'un baiser « normal » aug
mente les battements du cœur de
72 à 97 par minute.
Entendrons-nous bientôt de nou
veaux itialogues amoureux ? :
Lui : « Encore un baiser, chérie... »
Elle : « Ah ! non, c’est suffisant.
Tu as défit raccourci ma vie de 15
fours I »,
Si vous voulez vivre centenaire,
vous voilà prévenus. Ne faites pas
d’imprudences !
Lcrufr U& dtudik.
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bien connu à Vichy par nos conci
toyens, est de passage à Casablanca.
Devant le succès remporté par ses
portraits, TONY LA FOGLIA a dé
cidé de prolonger son séiour en notre
ville jusqu’au 31 mars.
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Campagne du Timbre antituberculeux
Le repos, agent de guérison
par le docteur Courcoux, de l’Académie de Médecine
A notre époque où la vie trépldan- régler dans leur vie un repos sulfi
te que nous menons cherche cha- sant : de longues nuits, un repos au
que jour à reculer les limites de milieu de la journée, sont les garan
la vitesse, époque où même le bon tles de la persistance d une guérison
moment des vacances est trop sou- solide et durable,
vent transformé en une activité et D'ailleurs, les méthodes médicales
un e fébrilité épuisantes : il est bon et chirurgicales qui nous donnent de
de venir rappeler la valeur indéniable si brillants résultats ne sont-elles pas
du repos, du vrais repos, surtout basées sur la mise au repos d'un ou
lorsqu'il s’agit de malades. des deux poumons malades ?
C'est la raison qui a dicté au Co- Ce serait une erreur désastreuse que
mité National de Défense contre la de penser que les nouveaux médica-
Tuberculose. pour cett e année, la de- ments, dits antibiotiques, tels que la
vise du Timbre Antituberculeux : streptomycine et le P.A.S. peuvent
« Sans repos, pas de guérison ». guérir sans repos. Disons et redisons
.. , . ^ que l'expérience Journalière nous
Nul ne peut contester les Innom- prouve qu'ils n'ont vraiment d’effet
brables guérisons obtenues par le re- q ue s'ils sont appliqués à un orga-
pos intégral et prolongé dans les tu- nisme au repos.
berculoses osseuses. Gardons une Juste mesure. Le re-
Quand il s'agit de tuberculose pul- P os cs ^ une médication qui doit être
monaire le repos a une Influence r éRlée par le médecin — faisons lui
aussi salutaire. La mise en pratique con fi an ce —■ Mais gardons de cet ar-
est évidemment soumise à des règles riri® la formule qui en a été le dé
plus ou moins strictes. Pour certains t5U * " ® ans re POs pas de guérison !
Cours commerciaux
Cotations du 20 mars 1951 a la
Bourse de Commerce de Casablanca,
communiquées par la Compagnie des
Courtiers Assermentés (marchandises
vrac magasin vendeur Casablanca ou
Port-Lyautey) ;
Orges : 19,25 ; maïs : 28 ; féverol-
les : 26,50 ; graine de Un : 7.600 ;
alplstes Port-Lyautey : 54,50 traité :
millet Port-Lyautey : 25,50 ; corian
dre : 130 ; fenugrec : 32,50 , cu
min : 270 ; sorgho Port-Lyautey :
25 ; pois chiches dessous de 29 :
30 ; tout venant : 31,50 ; 28/30 .
34.50 ; 31/32 : 37 ; haricots lin
gots Mayorque : 63 ; lentilles 70 %
au-dessus de 24 : 68 ; lentilles 5
mm. : 71 ; lentilles Chaouia . 43 ;
pois ronds verts : 27 ; amandes dou
ces standard OCE : 280 ; amandes
douce3 tout venant : 270 ; amandes
amères décortiquées standard :
167.50 : œufs le cent T. V. non mi
rés : 700 à 800.
Caressons un rêve
Mais tâchons de réaliser notre
rêve le plus important qui e.-t
d’avoir une robuste santé, sans la
quelle ne sont possibles ni tra
vail, ni distractions. Un bon état
général éloigne la maladie et as
sure le bonheur: aussi, fournis
sez à votre organisme tous les élé
ments vitaux dont il a besoin en
faisant usage de la Quintonine.
En versant un flacon de ce pro
duit concentré dans un litre dt
vin de table, vous obtenez le for
tifiant le plus complet, le plus ra
pide et le plus agréable au goût.
N’acceptez que la véritable Quin
tonine, qui vaut seulement 81 frc.
Toutes pharmacies.
•ce sera le repos au lit, quasi absolu,
pour d'autres le repos sera un peu
mitigé, mais il reste le traitement de
base auquel de très nombreux mala
des doivent leur guérison.
Le repos Imposé est non seulement
physique, mais 11 faut obtenir aussi
qu'il soit intellectuel et moral. Repos
te d'abandon de tout l’effort ? C'est
l’idéal.
Pourquoi cette inactivité, cette sor
te d’abandon de tout 1 effort. C'est
qu'on a bien remarqué que la dimi
nution aussi réduite que possible de
l’activité physique, de l'activité pul
monaire et de toute perturbation ner
veuse limite les dépences de l’orga
nisme et économise les forces Indis
pensables pour lutter contre la ma
ladie.
De même qu’une entreprise Indus
trielle bien dirigée surveille et écono
mise ses frais généraux et de gestion
faute de voir ses bénéfices et bientôt
son capital de réserve s'émietter et
disparaitre, de même un tuberculeux
au repos diminue au maximum ses
frais généraux et augmente son capi
tal de santé. Comme le disait si Jus
tement le docteur Sabourln. éminent
médecin qui organisa le premier sa
natorium français : « Le Tubercu
leux doit toujours être en excédent
de recettes.
Beaucoup de ceux qui ont guéri sa
vent parfaitement par expérience que
leur avenir est réellement subordon
né à deux principes essentiels : Evi
ter autant qu’il se peut la fatigue,
♦ ♦ ♦ LA RADIO ♦ ♦ ♦
NOTRE SÉLECTION
SOIREE DU MERCREDI 21 MARS
19 h. 30. — Echanges internationaux
France-Belgique. Programme français •
« Mouret, musicien des grâces ». Pro
gramme belge : « Roland de Cassus,
(R. Strauss) ; 2) « Valse du chevalier
à la Rose » (R. Strauss)
18 h. 5 : Apprenons à connaître •
économie, transports, agriculture.
18 h. 30 : Micro pour dames.
19 h. : Emission des amateurs de
disques : une émission d’Ariane Mou-
ten : le grand prix du disque : « Pre-
prince des musiciens de la Renalssan- ni jère symphonie » de Schumann. Or-
ch ». (Chaîne Nationale) cnestre philharmonique de Londres -ous
19 h. 45. — « L'Académie Joyeuse », ]a direction de Ernest Ansermet.
émission d'Henry Kubnick. avec Yvet.- 19 h 40 : Quelques Instants aveo
te Dinvllle, Roméo Cariés, Jean Ray- Gj na Manès.
mond, etc... .20 h. — Transmission partielle dif- an i m ée par Catherine Léger et Ray-
férée du spectacle donné au ThéJtr* ipond Rolland.
de la Porte Saint-Martin. » Drôle d* 2 1 h. 30 : * La parole est à votre
Monde », revue de Max Régnier, aveo cœU r », une émission de Luc Bérlmont.
l'auteur. Félix Oudart, Marie Dubas, 22 h. : Les mots croisés sonores, de
René Baumann.
JEUDI 22 MARS 1951
6 h. 45 : Réveil musical.
7 h. 10 : Culture physique.
7 h. 25 : Les disques que vous aimez.
7 h. 55 : Le compositeur du jour :
J.-S. Bach.
12 h. 20 : Le compositeur du jour :
apprendront à se laver les
dents au DENTIFRICE
CHEWING-GUM. seule
f>o rm-U'l-e so»e n tfi fiq ue a-u
'•glycéro - laurate atomisé".
19 composants assurent au
DENTIFRICE CHEWING
GUM ses qualités super
moussantes (30 fois son
volume) et super-nettoÇ’an»
tes.
La vie politique au Maroc
Rassemblement des gauches républicaines et indépendants
On nous communique avec prière et précisa la position prise par cha-
d’insérer que parti et, en particulier, par le
Ce Rasfemblement National, com- 5'9' R ; et P ar ®° n P résl dent Edouard
posé de républicains allant du socia- DaIa( f le f-
liste Indépendant au républicain de il termina en Informant que pro
gauche, a tenu son assemblée gé- chalnement aurait lieu le renouvel-
néralc à Meknès, le 8 mars. lement de la moitié des conseiller»
Après que le président d'honneur. 3me Collège du Conseil du gou-
M. Pagnon, eut ouvert la séance, le vern ement. dont deux de la région de
secrétaire administratif Toullleux fit Meknès. Il forme le vœu qu’à cette
le compte-rendu moral de l'année occasion.^ les libéraux se feront un
écoulée, au cours duquel 11 souligna devoir d éviter l'abstentionnisme,
qu'il était Indispensable que la Fran- Après échange de vues sur des pro-
ce vole disparaitre tous ces petits blêmes en cours, 11 fut procédé à la
partis politiques dont les program- désignation du bureau pour 1951.
mes ne différent pas de ceux des
grands qui se trouvent à côté. Président d’honneur : M. Pagnon,
„ . agriculteur.
Notre programme mène le combat .
afin de réaliser un barrage à la « Dlc- Président : M. Beaujean, lnspec-
tature rouge » ; mais, 11 faudrait teur honoraire du T.F.
qu’lcl, par solidarité avec la Métro- Vice-présidents : Général Françol»,
pôle, les libéraux retrouvent leur ancien chef de la Région de Meknès ;
courage civique et qu’ils viennent par M dP Montauzan, Industriel,
leurs adhésions et leur présence, ap-
porter l e réconfort moral à ceux qui Secrétaire administratif : M. Toul-
ne ménagent pas leur peine. lieux, ingénieur honoraire.
Après que le trésorier Guilloux eut “■ ®“‘ U0UX ’ °° mm,a -
falt le compte-rendu financier ,1e salre de P° llce honoraire,
délégué au 3me Collège, Beaujean fit Assesseurs : MM. Brlvat, commer-
une causerie. Tout d’abord, 11 rap- çant ; Djemerl. pharmacien ; Gar-
pela qu'U y a quelque temps, 11 fut dlnl, vérificateur des Poids et Mesu-
reçu par M. J.P. David : puis 11 re- res : Martin, contrôleur des P.T.T.
lata les derniers Incidents marocains honoraire.
Congrès de la Fédération du Maroc du M.R.P.
On nous communique avec prière des efforts complémentaires du Pay-
d’insérer : sanat et de 1’ Agriculture, ainsi peu-
La Fédération du Maroc du MR P. v ’ e nt se résumer les différentes mo-
b tenu les 17 et 18 mars son Congrès Lions adoptées en conclusion de ses
annuel. travaux par le Congrès.
Venant des diverses réglons du Ma- TT _
du* Mouvemlnt^ en nlmbTZvoT congre^ dan. une atm^hèra
du Mouvement, en nom o re lmpor* et i m 10 rriry ,. „ ^ i _
♦ cvv* uix. pnw , atant, se sont rasoemoles samedi et ji» c- 1 ... *
dimanche à Casablanca Cette rAu- Un re8taurant d **11 Sebaa. A 1 Issue
dimancnc a uasanianca. uette reu- de ce d ^j euner le président de la
nlon était l achèvement d une série
de séances ri'étliriez rie travaux de Fédération, au cours d une allocution,
H L, rappelant sa récente rencontre aveo
I 4 e rerH lps responsables nationaux du Mou-
Innr ^ a SU ^mii?fe Cr Afrancrère rC, rie d |a vempn t et l'accueil particulièrement
E>anee La in P nrnHÎ.^-M W tté °iet r «an.ires a réconfortant pour les Français du
S? aflocaflons°famlllales, îa Mulatlon Maroc du a ~ntea Bidault
des retraités et vieux travailleurs, l’ha- h
rac R en"™ rale aU Ma ' mieux connaître, malgré et contre les
En séance panière, après l’audition volo^rra^H^'r^du ^ncl^an?
, 4 volontaires. Il a rendu, en concluant,
T,eî ^nlemer riu un chaleureux hommage à la clalr-
Jtign t, conseiller du G u ernement voyance du j u i n , représen
tant de la République Française au
Fn rot ex Maroc, hommage salué par des ap-
r.n cev ex- pi alI( jj ssemen t 8 unanimes.
et président de la Fédération
large débat s'est Instauré sur la poil
tique franco-marocaine
posé et dans les diverses lnterven
tions des congressistes s'est affirmé Avant de Se séparer, les congressis-
l’espolr profond de voir le dénoue- tes ont donné au Comité directeur
ment heureux des récents événements de la Fédération, mandat pour eon-
ouvrlr une ère féconde pour l’amltlé tlnuer l'effort entrepris pour obtenir
et la collaboration de la France et une représentation effective des
du Maroc, à condition que soient re- Français du Maroc au Parlement. Ils
Jetés les égoïsmes stérilisants, les am- ont ensuite confirmé la position du
bltlons Injustifiables comme les ln- M.R.P. en ce qui concerne les élec-
compétencos nuisibles. tions au Conseil du Gouvernement :
Efforts Incessants pour la construc- représentation plus équitable des dlf-
tlon de l'Europe et vigilance de la férents éléments de la population,
France en Méditerranée, amélioration appartenance obligatoire des éllgl-
des méthodes de production et per- blés à leur collège électoral, éllgibl-
fectionnement de la formation pro- Uté des fonctionnaires,
fesslonnelle au Maroc, relèvement
des salaires et réajustement des trat- ^ Congrès a enfin procédé au re-
tements des fonctionnaires en rap- nouvellement du Bureau de la Fédé-
port avec révolution du coût de la r ®tlon. Le docteur Jugnet a été con-
vl . effort, pour l’unification des al- flnné à l'unanimité des mandats
locations familiales et. recherches de dans ses fonctions de président. M.
ressources nouvelles pour l'Office de Bayle, conseiller du Gouvernement et
la Famille, accélération de la péré- Plzzanl, dans celles de vice-président,
quation des retraites et versements
d’accomptes, prévoyance et aide aux
vieux travailleurs, appui efficace aux
coopératives de construction et im
pôts progressifs sur les terrains non
hâtls, développement de la moder
nisation rurale par une coordination
etc... (Paris-Inter)
21 h. — Transmission partielle au
spectacle donné au Théâtre Agnès Ca-
prl : « Les Pélicans », avec Agnès Ca-
prl. Renée Passeur, Michelle Lahaye,
etc... (Parls-Inter>
21 h. 30. — «En attendant la chan
ce », avec Edward Chekler, son orches
tre et son trio vocal, et le tirage d* j.-s. Bach.
la Loterie Nationale.
(Chaîne Parisienne)
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MERCREDI 21 MARS 19M
14 h. : Musique symphonique 1)
< Les équipées de Till Eulenspiegel »
12 h. 20 : Déjeuner concert.
13 h. 15 : Concert symphonique ;
1) Danses allemandes lW. A. Mo
zart): 2) Huitième symphonie (Beetho
ven) ; 3) Extraits des Scènes Cauca
siennes (Ippolltov-Ivanov).
14 h. : * La Chanson du Bon Vin »,
fantaisie musicale.
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50 MILLIONS de f.
21 mars 1951
lin nouveau centre est né
à Dar-Bou-Azza
au cœur de la zone primeuriste et maraîchère
ri'iOUS ceux qui ont suivi l’essor des cultures primeuristes et maraîchères qui jadis se li-
; mitaient à une bande relativement étroit e située'entre Ain-Sebaa et Fédala Jusqu’au
x Pont-Blondin, ont pu constater que cette zone s’est progressivement étendue vers le
Sud pour se prolonger ensuite jusqu’aux environs de Oualidia. Cette extension fut motivée
certes par le fait que cette partie de la zone côtière présentait les mêmes caractéristiques
de sol et de climat que la zone précédente, mais aussi par le fait que, sur cette dernière, la
densité des exploitations était telle que la nappe phréatique s'épuisait et que la salure de
l’eau s’y accroissait sans cesse, sur de nombreux points.
Primeuristes et maraîchers re- _
cherchèrent donc de nouveaux
terrains et c’est à la faveur de
cette migration que la région rom-
prise entre Sidi-Abderrhamane et
Dar-Bou-Azza devint à son tour
le siège de nombreuses exploita
tions, créées pour la plupart par
des primeuristes et maraîchers
des Zénatas, qui trouvent là des
conditions particulièrement favo
rables de sol et de climat. L’an
cienne piste de Mazagan. trans
formée an route secondaire, ja
lonne la plupart de ces exploita
tions le long de laquelle on relève
une grande densité de population.
Ces eonditions devaient amener
inévitablement la création d'un
centre rural sur le point le plus
favorable. C'est chose faite désor
mais et l’implantation de ce cen
tre se dessine au kilomètre 22 de
l'ancienne piste de Mazagan. au
lieu dit Dar-Bou-Azza, non loin
de la ferme du même nom, créée
jadis par le regretté docteur Vey-
re. un des pionniers du Maroc.
Une ferme « historique »
Cette ferme a son histoire. Elle
a été aménagée dans l’ancienne
casbah, sur un domaine qui fut
dopné au docteur Vevre par le
Sultan Abd-El-Aziz en recon- Maurice Jacquier créa un souk, la salle de visite ayant été classée,
voici quatre ans, au moment où c’est le Service de Santé qui four-
la distribution des denrées con- nit les médicaments et vaccins
tingentées justifiait cette créa- aux quelque trois mille consultants
tion. Les exploitations s’étant qui ont fréquenté la salle de visi-
« Ça pourrait se passer comme ça...
»
UN SENSATIONNEL RÉCIT
'"Mémoires" d'un agent secret
FEUILLETON N" 65
D'ANTICIPATION
de la 11 prochaine dernière "
par Philip REYNOLDS
DE LA “VIGIE MAROCAINE"
En effet, non seulement les
permissions pour ces soldats
avaient été interrompues,
mais encore l’échange de cor-
Voici le modeste chalet où M. Maurice Jacquier o installe la pre
mière salle de visite de Dar bou Axza. Depuis le 1er juin 1950, plus
de trois mille consultants ont défilé dans cette salle, laquelle va
faire place, l’an prochain, à une infirmerie du Service de Santé.
naissance dçs services rendus par
ce pionnier français qui fut ingé
nieur de Sa Majesté pendent sept
ans. avant l’établissement du
Protectorat de la France au Ma- multipliées dans le voisinage, par te depuis le 1er juin 1950, date
roc. C’est sur ce domaine que le
docteur Veyre lança l’élevage du
mouton
agneaux
suite des conditions remarquables de la prise en charge de la salle
de culture des primeurs, et leur par le Service de Santé.
d'Astrakan, dont les personnel s’étant accru considéra- Ainsi, de l’initiative généreuse
nouveau-nés donnent blement en nombre, une installa- de M. Jacquier est née une insti-
tine magnifique toison bouclée tion de mouture indigène devint tution qui rend les plus grands
très recherchée dans l’industrie bientôt nécessaire et fut aussitôt services aux populations marocai
ne la fourrure. On y procéda à fort fréquentée. Puis ce fut au nés de cette zone jusqu’alors dé-
des essais de culture de la lavan- tour d’un atelier de réparation favorisées sous ce rapport. Nous
de qui connut son heure de suc- d’autos et de matériel agricole de aurions mauvaise grâce à ne pas
cès. C’est là que le premier trac- venir grossir l’agglomération, tan- reconnaître que le promoteur de
teùr Pordson fut expérimenté et dis qu'un entrepôt d'engrais et cette œuvre fut grandement aidé
une pompe à essence s’installaient par Mme la doctoresse Duvezin,
immédiatement à côté
que la première Ford fit son ap
parition.
Ce domaine est devenu la pro
priété du gendre du docteur Vey
re, M. Maurice Jacquier-Veyre
Une école foraine fut crée par
M. Maurice Jacquier, qui par la
suite fut transformée en école ru-
qui assura la direction de la salle
de visite et se dépensa sans comp
ter pour en assurer le bon fonc
tionnement à l’unanime satisfac
tion ^es consultants. Elle fut ai
dée dans sa tâche par Mlle Ma-
. t i*. SUltC lUt tlttllSlUllllcc cil ctuio i t*
qui en a fait une e\p . ra i e dotée d’une institutrice fran
prospéré de polyculture et d eie\ a- instituteur marocain. «« «•““ H “ 1V1 "'
ge. C’est sur une partie de ce do- v direction de l’Ins- thieu - û ui > a P rès avoir fondé avec
maine bordant la route que M. publique . Le centre est M. Jacquier l’école foraine de
en train de s’enrichir d’une sta- Dar-Bou-Azza, apporta son pre-
tion d’emballage pour les primeurs cieux concours au fonctionne-
dans laquelle M. Maurice Jac
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quier est associé à une importante * ant P as . f”, outre à se ôénlarer
firme spécialisée dans cette in- dan « te bled pour porter secours
dustrie. En attendant l’achève- ou donner des soins aux malades,
ment de la station, l’emballage se Enfin, signalons que M. Santonja.
fait dans la ferme même de Dar-
Bou-Azza.
Une initiative bien française
en faveur de nos protégés
fussent connus les dorama- plusieurs mois, nous étions exigé un armistice immédiat,
ges causés par l’attaque soumis à un tel « bourrage de c’est parce qu’ils savaient que
américaine et que, pour que crâne » de la part des propa- les dirigeants soviétiques, en-
ces dommages soient tenus gandes des deux camps que core tout puissants dans
respondance entre eux et ainsi secrets, ils avaient du nous avions fini par être sur- leur pgys, auraient préféré
leurs familles se faisait dé- atteindre l’ampleur d’une vé- saturés et par douter auto- laisser ruiner entièrement
sormais uniquement par l’in- ritable catastrophe. matiquement de tout ce que leurs territoires et massacrer
termédiaire d’une simple for- Pendant les premiers jours nous racontaient amis com- la population plutôt que
mule imprimée portant, sui- qui suivirent la fin subite de me ennemis. d’accepter de se rendre,
vant le cas, des souhaits pour la guerre brutale, la popula- Mais nous nous rendions à Dans un tel cas les Russes
une fête, pour un mariage ou tion parisienne, apeurée, s’é- l’évidence avec plus de fer- auraient pu continuer a at-
pour une naissance, formule tait tenue le plus possible veur de jour en jour ; la pro- taquer pendant un certain
sur laquelle les intéressés hors de la vue et de la por- pagande alliée, cette fois-ci temps encore les villes alliées
n'avaient le droit d’écrire que
leur nom et adresse, et cel
le de leur destinataire, avec,
tee des « Pépés * et des disait vrai et tout concourait avec des super-bombes, en-
agents de la M.V.D. à le prouver. traînant ainsi, en même
Mais, au fur et à mesure « Mais alors » disaient cer- temps que leur propre des-
au bas de la lettre, leur pro- que baissait le moral des oc- tains « si les armes des Al- truction, celle de leurs ad-
pre signature.
Au bout de quelques se
elle ces manifestations fort
peu appréciées par les Rus
ses.
Cependant 0?s derniers,
dans de tels cas, n’osaient
pas intervenir brutalement
et avaient simplement exi
gé au bout de quelques jours,
que les officiers suédois ne
sortissent qu'habillés en ci
vil.
La présence de ces Sué-
rois était pour nous tous qui
avions souffert et qui souf
frions de cette odieuse occu
pation, comme l’apparition
de la colombe revenant à
l’arche avec un rameau d’o-
cupants et qu’augmentait liés étaient aussi puissantes versaires.
l’inquiétude des militaires de pourquoi les Américains Les dirigeants soviétiques livier.
maines, néanmoins, tant de tous rangs dans l'armée rou- n'ont-ils pas continué l’of- jusque là n’avaient considé- En perdant le droit d’utl-
lettres de soldats à leur fa- ge, l’espoir revenait au cœur frnsive en envoyant en même ré qu’un seul code de Thon- liser ses super-bombe s,
mille étaient restées sans ré- de chacun de nous. temps aux Soviets un ultima- neur : celui qui consistait à l’U.R.S.S. perdait une carte
ponse que le moral de la On voyait briller dans les tum d’avoir à signer une red- tout subordonner aux inté- maitresse de son jeu. Désor-
troupe se détériorait avec yeux des Parisiens un regard dition Immédiate et sans con- rêts ou simplement aux or- mais la défaite des Soviets
une rapidité alarmante.
de défi auquel nul n’était ditions ?
dres du gouvernement sovié-
Parallèlement, les ordres accoutumé, et, aux plaisante- Les réponses à cette ques- tique, et ils avaient tenu pour
de mission pour se rendre en ries des « titis » on sentait tion étaient d’ordre divers, seuls valables les engage- de temps.
ne faisait plus de doute et
n’était plus qu’une question
Russie, avaient été réduits à
un nombre infime et n é
taient délivrés que dans les
que « quelque chose était D’aucuns disaient que les ments que prenaient les au-
changé ». Américains ne possédaient très pays à l’égard de
Le grand sujet de discus- sans doute pas un nombre l’U.R.S.S., sans jamais appli-
cas tout à fait indispensables, sion, lorsque les Parisiens se suffisant de ces super-armes quer la réciproque. Mais cet-
De plus, alors qu’aupara- trouvaient réunis ensemble et que c’était par un coup te fois ils allaient avoir a se
vant des renforts arrivaient loin des oreilles des occu- d’audace qu’ils avaient déci- soumettre,
régulièrement des camps pants ou de leurs collabora- dé d’utiliser en une seule at- Quelques jours apres l’ul-
d’entraînement de l’armée teurs, restait évidemment taque la plus grande partie timatum lancé par le com-
rouge en U.R.S.S., sitôt après l’effet qu’avait pu causer en ou même la totalité de leur mandant en chef des armées
la contre-offensive fou- Russie les nouvelles super- stock de ces nouvelles bom- alliées, et l’arrêt de la « su-
Américains, armes américaines. bes. per-guerre », étaient arrivés
Les postes de radio alliés D’autres prétendaient que à Paris les premiers officiers
rivé venant de la mère-pa- ne se faisaient pas faute de les Alliés eux-mêmes igno- suédois chargés d’organiser le
trie. Les troupes se rendaient décrire avec de grandes pre- raient l’importance de l’effet recensement et la destruc-
compte que le territoire de cisions et des chiffres à l'ap- qu’aurait leur attaque sur la tion du stock de super-bom-
i’U.R.S.S. était maintenant pui la puissance extraordi- Russie et que, sinon, au lieu bes que possédaient les Rus-
complètement isolé du reste naire des coups qui avaient de demander seulement aux ses.
de l’Europe, et les commissai- été portés à la Russie. Russes l’arrêt immédiat de L’accueil que la population
res chargés de la projpagan- Au début, tout le monde leur offensive avec des super- parisienne faisait à ces of-
de avaient beau inventer les avait mis l’énormité des chif- bombes, ils auraient exigé ficiers, chaque fois qu’ils
mensonges les plus subtils, il fres cités sur le compte des une reddition complète. étaient reconnus, était pres-
devenait évident pour tous exagérations de la propagan- D’autres enfin soutenaient que délirant malgré le dan-
que l’on voulait éviter que ne de. Il est vrai que, depuis que si les Alliés n’avaient pas ger que représentaient pour
la
droyante des
plus un seul soldat n’était ar-
CHAPITRE XIV
Une grande joie
Trois semaines après
cessation de la super-guer
re. sur les instructions ve
nues de Washington, nous
avions recommencé à appli
quer les consignes de sécuri
té dans les réseaux.
(à suivre)
Ce récit d'anticipation est une
simple fiction Les nom* des
personnes et organisme* rtgu-
rant dans ce récit sont imagi
naires et toute similitude avec
des personnes et organismes
existant réellement ne pourrait
être qu’une coïncidence pure
ment fortuite
Copyright 1951
by Philip Reynolds
Joute reproduction, meme par
tielle. rigoureusement interdite .
an par Ql|£
an vrai u n E
anis d'Alger
infirmier-major, apporta aussi
une collaboration très dévouée à
cette œuvre.
Grâce à cette si vaillante équi
pe, la direction de la Santé a te
nu à fournir une importante con-
Bntre temps, M. Maurice Jac- tribution à tant d'efforts, en clas-
quier qui, en dépit de préoccupa- gant tout d’abord la salle de visite
tions nombreuses, sut toujours et en promettant de construire
garder un sens aigu du social, l’an prochain une grande infir-
avait installé au voisinage immé- merie dotée de tout le matériel
diat du souk un petit chalet à et du personnel nécessaires pour
usage de salle de visite, où une en assurer le fonctionnement ra-
doctoresse donnait des soins mul- tionnel. Cette infirmerie fera par-
tiples aux Marocains des douars tie de la première ceinture sani-
environnants. Pansements, soins, taire de Casablanca en cas d’épi-
piqûres,, étaient dispensés aux Ma- démie.
rocains toujours plus nombreux Telle est l’œuvre qui s’échafau-
qui fréquentaient la salle de visi- de dans ce coin du bled à la suite
te les jours de souk, et, lorsque de l’initiative prise par M. Jac-
des maladies graves étaient dé- quier et de l’intérêt constant qu'il
pistées, les malades étaient diri- porte au centre de Bar-Bou-Azza,
gés vers une formation sanitaire dont il entend faire une agglomé-
urbaine plus importante. Des ration bien vivante,
quelque cinquante consultations N’a-t-il pas en outre créé à deux
quotidiennes qui étaient données pas de ^ un e station balnéaire
au début, le chiffre est passé à don t on parlera avant peu et
plus de cent cinquante. Bien en- dans les meilleurs termes ?
tendu, tous les soins sont gratuits. Mais ceci est une autre histoi-
Au début, M. Jacquier en assura re q U ’u nous sera agréable de con-
la charge et, à l’heure actuelle, ter ^ nos lecteurs à l’approche de
la belle saison.
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LE BAL DES INGENIEURS
ARTS ET METIERS
Nous rappelons que ce bal aura
lieu le 7 avril prochain dans les sa
lons des Services municipaux. Dans
l’ambiance joyeuse d’une brillante
soirée mondaine, dans un décor et
avec des attractions qui vous en
chanteront, il vous rappellera les
grand h succès d’avant-guerre des
bals organisés par les ingénieurs A.
et M. Procurez-vous de$ cartes d’en
trée auprès des ingénieurs A. et M.
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CHANGEMENT DE PROPRIETAIRES
LE MORTEL BAISER
i L y a quelques décades, une pièce
I audacieuse, exposant un péril so
cial et portant ce titre, avait fait
sensation.
Mais il apparaît aujourd’hui, sf
l’on en croit un certain docteur
Strovg, de Boston, que le plus sim
ple baiser présente des périls qui
abrègent l’existence de celui qui les
donne... ou les reçoit.
Ce docte savant explique en effet
qu’un baiser « normal » abrège no
tre vie de trois fours et un baiser
« passionné » de cinq jours, étant
donné qu'un baiser « normal » aug
mente les battements du cœur de
72 à 97 par minute.
Entendrons-nous bientôt de nou
veaux itialogues amoureux ? :
Lui : « Encore un baiser, chérie... »
Elle : « Ah ! non, c’est suffisant.
Tu as défit raccourci ma vie de 15
fours I »,
Si vous voulez vivre centenaire,
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bien connu à Vichy par nos conci
toyens, est de passage à Casablanca.
Devant le succès remporté par ses
portraits, TONY LA FOGLIA a dé
cidé de prolonger son séiour en notre
ville jusqu’au 31 mars.
TONY LA FOGLIA est descendu
au Grand Hôtel où il se tient à la
disposition de ses amis et clients.
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Campagne du Timbre antituberculeux
Le repos, agent de guérison
par le docteur Courcoux, de l’Académie de Médecine
A notre époque où la vie trépldan- régler dans leur vie un repos sulfi
te que nous menons cherche cha- sant : de longues nuits, un repos au
que jour à reculer les limites de milieu de la journée, sont les garan
la vitesse, époque où même le bon tles de la persistance d une guérison
moment des vacances est trop sou- solide et durable,
vent transformé en une activité et D'ailleurs, les méthodes médicales
un e fébrilité épuisantes : il est bon et chirurgicales qui nous donnent de
de venir rappeler la valeur indéniable si brillants résultats ne sont-elles pas
du repos, du vrais repos, surtout basées sur la mise au repos d'un ou
lorsqu'il s’agit de malades. des deux poumons malades ?
C'est la raison qui a dicté au Co- Ce serait une erreur désastreuse que
mité National de Défense contre la de penser que les nouveaux médica-
Tuberculose. pour cett e année, la de- ments, dits antibiotiques, tels que la
vise du Timbre Antituberculeux : streptomycine et le P.A.S. peuvent
« Sans repos, pas de guérison ». guérir sans repos. Disons et redisons
.. , . ^ que l'expérience Journalière nous
Nul ne peut contester les Innom- prouve qu'ils n'ont vraiment d’effet
brables guérisons obtenues par le re- q ue s'ils sont appliqués à un orga-
pos intégral et prolongé dans les tu- nisme au repos.
berculoses osseuses. Gardons une Juste mesure. Le re-
Quand il s'agit de tuberculose pul- P os cs ^ une médication qui doit être
monaire le repos a une Influence r éRlée par le médecin — faisons lui
aussi salutaire. La mise en pratique con fi an ce —■ Mais gardons de cet ar-
est évidemment soumise à des règles riri® la formule qui en a été le dé
plus ou moins strictes. Pour certains t5U * " ® ans re POs pas de guérison !
Cours commerciaux
Cotations du 20 mars 1951 a la
Bourse de Commerce de Casablanca,
communiquées par la Compagnie des
Courtiers Assermentés (marchandises
vrac magasin vendeur Casablanca ou
Port-Lyautey) ;
Orges : 19,25 ; maïs : 28 ; féverol-
les : 26,50 ; graine de Un : 7.600 ;
alplstes Port-Lyautey : 54,50 traité :
millet Port-Lyautey : 25,50 ; corian
dre : 130 ; fenugrec : 32,50 , cu
min : 270 ; sorgho Port-Lyautey :
25 ; pois chiches dessous de 29 :
30 ; tout venant : 31,50 ; 28/30 .
34.50 ; 31/32 : 37 ; haricots lin
gots Mayorque : 63 ; lentilles 70 %
au-dessus de 24 : 68 ; lentilles 5
mm. : 71 ; lentilles Chaouia . 43 ;
pois ronds verts : 27 ; amandes dou
ces standard OCE : 280 ; amandes
douce3 tout venant : 270 ; amandes
amères décortiquées standard :
167.50 : œufs le cent T. V. non mi
rés : 700 à 800.
Caressons un rêve
Mais tâchons de réaliser notre
rêve le plus important qui e.-t
d’avoir une robuste santé, sans la
quelle ne sont possibles ni tra
vail, ni distractions. Un bon état
général éloigne la maladie et as
sure le bonheur: aussi, fournis
sez à votre organisme tous les élé
ments vitaux dont il a besoin en
faisant usage de la Quintonine.
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vin de table, vous obtenez le for
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N’acceptez que la véritable Quin
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Toutes pharmacies.
•ce sera le repos au lit, quasi absolu,
pour d'autres le repos sera un peu
mitigé, mais il reste le traitement de
base auquel de très nombreux mala
des doivent leur guérison.
Le repos Imposé est non seulement
physique, mais 11 faut obtenir aussi
qu'il soit intellectuel et moral. Repos
te d'abandon de tout l’effort ? C'est
l’idéal.
Pourquoi cette inactivité, cette sor
te d’abandon de tout 1 effort. C'est
qu'on a bien remarqué que la dimi
nution aussi réduite que possible de
l’activité physique, de l'activité pul
monaire et de toute perturbation ner
veuse limite les dépences de l’orga
nisme et économise les forces Indis
pensables pour lutter contre la ma
ladie.
De même qu’une entreprise Indus
trielle bien dirigée surveille et écono
mise ses frais généraux et de gestion
faute de voir ses bénéfices et bientôt
son capital de réserve s'émietter et
disparaitre, de même un tuberculeux
au repos diminue au maximum ses
frais généraux et augmente son capi
tal de santé. Comme le disait si Jus
tement le docteur Sabourln. éminent
médecin qui organisa le premier sa
natorium français : « Le Tubercu
leux doit toujours être en excédent
de recettes.
Beaucoup de ceux qui ont guéri sa
vent parfaitement par expérience que
leur avenir est réellement subordon
né à deux principes essentiels : Evi
ter autant qu’il se peut la fatigue,
♦ ♦ ♦ LA RADIO ♦ ♦ ♦
NOTRE SÉLECTION
SOIREE DU MERCREDI 21 MARS
19 h. 30. — Echanges internationaux
France-Belgique. Programme français •
« Mouret, musicien des grâces ». Pro
gramme belge : « Roland de Cassus,
(R. Strauss) ; 2) « Valse du chevalier
à la Rose » (R. Strauss)
18 h. 5 : Apprenons à connaître •
économie, transports, agriculture.
18 h. 30 : Micro pour dames.
19 h. : Emission des amateurs de
disques : une émission d’Ariane Mou-
ten : le grand prix du disque : « Pre-
prince des musiciens de la Renalssan- ni jère symphonie » de Schumann. Or-
ch ». (Chaîne Nationale) cnestre philharmonique de Londres -ous
19 h. 45. — « L'Académie Joyeuse », ]a direction de Ernest Ansermet.
émission d'Henry Kubnick. avec Yvet.- 19 h 40 : Quelques Instants aveo
te Dinvllle, Roméo Cariés, Jean Ray- Gj na Manès.
mond, etc... .
férée du spectacle donné au ThéJtr* ipond Rolland.
de la Porte Saint-Martin. » Drôle d* 2 1 h. 30 : * La parole est à votre
Monde », revue de Max Régnier, aveo cœU r », une émission de Luc Bérlmont.
l'auteur. Félix Oudart, Marie Dubas, 22 h. : Les mots croisés sonores, de
René Baumann.
JEUDI 22 MARS 1951
6 h. 45 : Réveil musical.
7 h. 10 : Culture physique.
7 h. 25 : Les disques que vous aimez.
7 h. 55 : Le compositeur du jour :
J.-S. Bach.
12 h. 20 : Le compositeur du jour :
apprendront à se laver les
dents au DENTIFRICE
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moussantes (30 fois son
volume) et super-nettoÇ’an»
tes.
La vie politique au Maroc
Rassemblement des gauches républicaines et indépendants
On nous communique avec prière et précisa la position prise par cha-
d’insérer que parti et, en particulier, par le
Ce Rasfemblement National, com- 5'9' R ; et P ar ®° n P résl dent Edouard
posé de républicains allant du socia- DaIa( f le f-
liste Indépendant au républicain de il termina en Informant que pro
gauche, a tenu son assemblée gé- chalnement aurait lieu le renouvel-
néralc à Meknès, le 8 mars. lement de la moitié des conseiller»
Après que le président d'honneur. 3me Collège du Conseil du gou-
M. Pagnon, eut ouvert la séance, le vern ement. dont deux de la région de
secrétaire administratif Toullleux fit Meknès. Il forme le vœu qu’à cette
le compte-rendu moral de l'année occasion.^ les libéraux se feront un
écoulée, au cours duquel 11 souligna devoir d éviter l'abstentionnisme,
qu'il était Indispensable que la Fran- Après échange de vues sur des pro-
ce vole disparaitre tous ces petits blêmes en cours, 11 fut procédé à la
partis politiques dont les program- désignation du bureau pour 1951.
mes ne différent pas de ceux des
grands qui se trouvent à côté. Président d’honneur : M. Pagnon,
„ . agriculteur.
Notre programme mène le combat .
afin de réaliser un barrage à la « Dlc- Président : M. Beaujean, lnspec-
tature rouge » ; mais, 11 faudrait teur honoraire du T.F.
qu’lcl, par solidarité avec la Métro- Vice-présidents : Général Françol»,
pôle, les libéraux retrouvent leur ancien chef de la Région de Meknès ;
courage civique et qu’ils viennent par M dP Montauzan, Industriel,
leurs adhésions et leur présence, ap-
porter l e réconfort moral à ceux qui Secrétaire administratif : M. Toul-
ne ménagent pas leur peine. lieux, ingénieur honoraire.
Après que le trésorier Guilloux eut “■ ®“‘ U0UX ’ °° mm,a -
falt le compte-rendu financier ,1e salre de P° llce honoraire,
délégué au 3me Collège, Beaujean fit Assesseurs : MM. Brlvat, commer-
une causerie. Tout d’abord, 11 rap- çant ; Djemerl. pharmacien ; Gar-
pela qu'U y a quelque temps, 11 fut dlnl, vérificateur des Poids et Mesu-
reçu par M. J.P. David : puis 11 re- res : Martin, contrôleur des P.T.T.
lata les derniers Incidents marocains honoraire.
Congrès de la Fédération du Maroc du M.R.P.
On nous communique avec prière des efforts complémentaires du Pay-
d’insérer : sanat et de 1’ Agriculture, ainsi peu-
La Fédération du Maroc du MR P. v ’ e nt se résumer les différentes mo-
b tenu les 17 et 18 mars son Congrès Lions adoptées en conclusion de ses
annuel. travaux par le Congrès.
Venant des diverses réglons du Ma- TT _
du* Mouvemlnt^ en nlmbTZvoT congre^ dan. une atm^hèra
du Mouvement, en nom o re lmpor* et i m 10 rriry ,. „ ^ i _
♦ cvv* uix. pnw , a
dimanche à Casablanca Cette rAu- Un re8taurant d **11 Sebaa. A 1 Issue
dimancnc a uasanianca. uette reu- de ce d ^j euner le président de la
nlon était l achèvement d une série
de séances ri'étliriez rie travaux de Fédération, au cours d une allocution,
H L, rappelant sa récente rencontre aveo
I 4 e rerH lps responsables nationaux du Mou-
Innr ^ a SU ^mii?fe Cr Afrancrère rC, rie d |a vempn t et l'accueil particulièrement
E>anee La in P nrnHÎ.^-M W tté °iet r «an.ires a réconfortant pour les Français du
S? aflocaflons°famlllales, îa Mulatlon Maroc du a ~ntea Bidault
des retraités et vieux travailleurs, l’ha- h
rac R en"™ rale aU Ma ' mieux connaître, malgré et contre les
En séance panière, après l’audition volo^rra^H^'r^du ^ncl^an?
, 4 volontaires. Il a rendu, en concluant,
T,eî ^nlemer riu un chaleureux hommage à la clalr-
Jtign t, conseiller du G u ernement voyance du j u i n , représen
tant de la République Française au
Fn rot ex Maroc, hommage salué par des ap-
r.n cev ex- pi alI( jj ssemen t 8 unanimes.
et président de la Fédération
large débat s'est Instauré sur la poil
tique franco-marocaine
posé et dans les diverses lnterven
tions des congressistes s'est affirmé Avant de Se séparer, les congressis-
l’espolr profond de voir le dénoue- tes ont donné au Comité directeur
ment heureux des récents événements de la Fédération, mandat pour eon-
ouvrlr une ère féconde pour l’amltlé tlnuer l'effort entrepris pour obtenir
et la collaboration de la France et une représentation effective des
du Maroc, à condition que soient re- Français du Maroc au Parlement. Ils
Jetés les égoïsmes stérilisants, les am- ont ensuite confirmé la position du
bltlons Injustifiables comme les ln- M.R.P. en ce qui concerne les élec-
compétencos nuisibles. tions au Conseil du Gouvernement :
Efforts Incessants pour la construc- représentation plus équitable des dlf-
tlon de l'Europe et vigilance de la férents éléments de la population,
France en Méditerranée, amélioration appartenance obligatoire des éllgl-
des méthodes de production et per- blés à leur collège électoral, éllgibl-
fectionnement de la formation pro- Uté des fonctionnaires,
fesslonnelle au Maroc, relèvement
des salaires et réajustement des trat- ^ Congrès a enfin procédé au re-
tements des fonctionnaires en rap- nouvellement du Bureau de la Fédé-
port avec révolution du coût de la r ®tlon. Le docteur Jugnet a été con-
vl . effort, pour l’unification des al- flnné à l'unanimité des mandats
locations familiales et. recherches de dans ses fonctions de président. M.
ressources nouvelles pour l'Office de Bayle, conseiller du Gouvernement et
la Famille, accélération de la péré- Plzzanl, dans celles de vice-président,
quation des retraites et versements
d’accomptes, prévoyance et aide aux
vieux travailleurs, appui efficace aux
coopératives de construction et im
pôts progressifs sur les terrains non
hâtls, développement de la moder
nisation rurale par une coordination
etc... (Paris-Inter)
21 h. — Transmission partielle au
spectacle donné au Théâtre Agnès Ca-
prl : « Les Pélicans », avec Agnès Ca-
prl. Renée Passeur, Michelle Lahaye,
etc... (Parls-Inter>
21 h. 30. — «En attendant la chan
ce », avec Edward Chekler, son orches
tre et son trio vocal, et le tirage d* j.-s. Bach.
la Loterie Nationale.
(Chaîne Parisienne)
RADIO-MAROC
MERCREDI 21 MARS 19M
14 h. : Musique symphonique 1)
< Les équipées de Till Eulenspiegel »
12 h. 20 : Déjeuner concert.
13 h. 15 : Concert symphonique ;
1) Danses allemandes lW. A. Mo
zart): 2) Huitième symphonie (Beetho
ven) ; 3) Extraits des Scènes Cauca
siennes (Ippolltov-Ivanov).
14 h. : * La Chanson du Bon Vin »,
fantaisie musicale.
GALERIES
i\ïX
LA PLUS GRANDE PARTIE DE BELOTE DU MONDE
Présentée par
au cûuïJ df "CARTES surTABLE
Réalisée par Georges BRIQUET
«
• À RADIO MONT E-CARLO tous Us JEUDIS A 19 1
ȈR7AFR!CA-TANGeR tous Us VENDREDIS a 20 i
• «RADIO A N DORR E tous tes DIMANCHES 6 20 h
du 11 au 21 Cillai
FOIRE DE FÈS
CE SOIR
Tirage de la
tranche spéciale de
PAQUES
de la
LOTERIE
NATIONALE
2 GROS LOTS de
50 MILLIONS de f.
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