Titre : Journal des débats politiques et littéraires
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1944-05-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 200316 Nombre total de vues : 200316
Description : 15 mai 1944 15 mai 1944
Description : 1944/05/15 (Numéro 1332). 1944/05/15 (Numéro 1332).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
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Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k510949t
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/01/2008
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JOmAL DES DEBATS
1. POLITIQUES ET LITTÉRA!RES/
e
Ctermont-Ferrand, le 13 mat.
CÏYSME ET ENIR'AME
Vivre d'abord, c'est. entendu.
Philosopher, c'est-à-dire être
ami de la sagesse et la recher-
cher partout, surtout au milieu
des situations critiques, n'est
point chbse accessoire. Ce n'est
pas l'amour de la contradiction'
systématique qui doit dominer
l'examen des cnoses et des gens j
et leurs rapports dans l'enchaî-
nement des événements. Les et-
forts en direction de la vérité et
leurs répercussions sur le dérou-
lement des faits doivent être
toujours considérés d'un point
de vue objectif, lequel ne doit
jamais s'écarter de la claire vi-
sion de l'intérêt du pays. Quand
la gravité des événements se
fait sentir plus particulière-
ment, il ne sert de rien de s'a-
bandonner au plus sombre pes-
simisme pas plus qu'à l'opti-
misme béat. Ces attitudes néga-
tives ne correspondent qu'à un
fatalisme qui va souvent de pair
avec la critique outrancière de
ceux qui ont perdu tout espoir
dans le relèvement de leur
pays, et qui n'ont comme opi-
nion que l'abstention.
Sans doute la critique cons-
tante et le dénigrement systé-
matique sont des défauts bien
français. Mais ces attitudes
nous ont déjà causé de grands
dommages, depuis un, demi-siè-
cle, alors que tout effort gouver-
nemental. utile et respectable,
après avoir été loué tout d'a-
bord par une importante majo-
rité de Français, perdait au
bout de peu de mois, tout son
.prestige, et arrivait même à fai-
re de son auteur un personnage
indésirable. Notre histoire par-
lementaire est remplie de ces
courbes ascendantes auxquelles
succédait, souvent injustement,
des descentes rapides.
Dans les heures sévères que
tnous vivons aujourd'hui, alors
Que toutes les opérations de
guerre scHérouient partout avec
une violence accrue, et que nous
nous trouvons .bien que désar-
ïnés, en proie à des attaques ré-
pétées qui chaque jour font
dans nos villes et nos bourgs,
des hécatombes de Français,
nos devoirs de solidarité et de
civisme, en présence de tant de
malheurs, s'accroissent incessam
Rient. Les orphelins et les veu-
ves qui survivent A toutes ces
catastrophes, doivent sentir
dans leur détresse le soutien
non seulement moral, mais le
soutien matériel de ceux qui
n'ont point été frappés.
Déjà, lors de chaque bombar-
dement, l'on voit surgir dans
les villes touchées, les dévoue-
ments sublimes non seulement
des infirmières et membres de
la Croix-Rouge, ainsi que de
ceux du Secours national, mais
encore, en dehors de ces orga-
dations officielles, toutes ces
jeunes équipes privées, qui avec
une activité admirable, dont la
rapidité est la condition essen-
tielie, s'efforcent d'arracher à la
mort, les malheureux enfouis
sous les décombres. Et cela,
sans le souci des~ diaboliques
bombes à retardement.
Dans toutes les régions, onf j
accueille les sans-logis, tes sinis-
très des pays bombardés, et tous ¡
ces malheureux~ enfants .aul
n'ont connu chez eux que des
jours et des nuits de cauche-
mar.'On les reçoit et on les en-
toure avec~ cette chaleur et cette 1
cordialité, qui sont la marque
touchante de la vraie solidarité. 1
Chaque Français peut ainsi <
comprendre qu'il y a des Fran- <
cals beaucoup p!us éprouvés J
que lui-même. H ne peut s'isoler <
de la communauté nationale. ~11 (
n'a pas à se replier dans l'indi-
'vidualisme et l'égoïsme de ses t
seules affaires, de ses seuls sou- i
cis. Et c'est pourquoi, plus s'ag- <
graveront les circonstances de <
notre vie nationale, et plus de- [
vra se développer l'esprit de cl-
Yisme et d'entr'aide. c
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LE CONSEÏL NATIONAL CORPORATÏF AGMCOLE
A CLOTURÉ SES TRAVAUX
Paris. 13 tn&i. Le Conseil nMion~t
~eerpora.tif t~ricote a tenu hier M j5"aa-
ce de clôture, à iaqueUa itMtst&tent MM.
Cathatia. ministre. seerettire d'Zttt &
il'Agricutture et tu ~vittiUement. Biche-
tonne. ministre, tsoret~tt's d'Etat 4 ta.
Production industrietta et ' ;tat.iom, Mt'A~rie~tm'e. et Gu:Uen, comm~Mairc (Ht
gouY!-ra*ment auprès te it eorporttioc
~~rico~.
Après qu? M. Pointier. syndic nftttaatt,
eut expose i~ votante des atheuttcurt tie
faire fac< & it t&che aut !eM- e:t confier,
en Muti~MM toutefoi: la. céceMtté de
certaines rtformM pour teur jM-rmettre
de ramener a bien. M. Cath~ a pris
!et p~roic.
Le mintstre. qui connott bien tM d)fft-
ctittës )mxqu:Hes te het~te t'ttien: a Mtder ]e contMt te ptiM ~vac ecrpotttion p~'s~nne, qut doit jouer un rô): de t)rco!!er pt~n daM
retenir du pays.
M. Bichetonne t répondu ensuite tM
qucsttOM techniques see~ p~r te syndtc.
Avant de se séparer, ]e ConjKt! Mt'on~I
corporattf abricot: a vot~ un~ resoimtoa
volonté de poursuivre Ja miaston qm Jut
est contt't: rMiiser l'unité pityMane,
tout en McomptiSMnt s* douMe t&che
servir ses membrt.! et Mftir ie pays.
Apres &voir rappsK lM! tr~ttu:: entre-
pris par corporttion ptysanne et ex-
primé ia M)tderiM du t)M l'e~Md de ceux de ses membres et ctt~ftin.s qu, sont te pin.! taucMo p~r tN:
circonstances presentM, te Conseit a!su-
La eréttïom.d'ttme nouveHe
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e:t emvMtgee à ta conférence
impermk de Londres
Londres. 13 mai. L'aeccee Reut annonce que ! )'Empire ont 'diMuM etM MM, ChurchUt
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Cette d'une eonMrecce qui réunira prochaine-
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deux MrtetefM essentiet: tfs s'n;iM
putstanee: donneront ton < et reu-
niront dans teurs mttnt tout te pouteir.
Le tysteme d'tUiancM ftctuet tefa m~tn-
tcnu d'âne tnaoiere permanente au eetn
de l'assemblée.
LA COMFEREMCË PREMOBAtT r t.6 M MA)
Londres 13 mai. On croit Myoir
que Ja eoufcrcnce des premier* m[nistres-
se .terminerait au début de ia semaine
prochaine. On attend pour ie 16 mai la
séance de clôture.
Les Angb-Américams et les Soviets adressent
un uMmattEB àax aMies de rABemagne
Berlin. 13 mat. L'AngtMefre,
ce t'Agence Reutef, ont ad~eMé
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Journée des Mères
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1. POLITIQUES ET LITTÉRA!RES/
e
Ctermont-Ferrand, le 13 mat.
CÏYSME ET ENIR'AME
Vivre d'abord, c'est. entendu.
Philosopher, c'est-à-dire être
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cher partout, surtout au milieu
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bout de peu de mois, tout son
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encore, en dehors de ces orga-
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