Titre : La Presse
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1856-01-19
Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication
Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication
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Langue : français
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Description : 19 janvier 1856 19 janvier 1856
Description : 1856/01/19. 1856/01/19.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/11/2007
Ïa départ n'a pu &voir'Heu que Me? matin 16 janvier
M56.
–Les porteurs d'annulés de l'emprunt co-atracté
e~ 1825 par Is~ouverueTnent d'Haïti sont prévenus
q-da le paiemp.nt des intérêts du 1" semestre 18ù5
aura lieu, partir du 28 janvier courant, a. la Caisse
.des dépôts et consignations, rue 'de Lille, 2, de 9 à
2 heures,– sur le dépôt prÉalable des tlircs, accom-
pagne du bordereau indicatif des coupons.
Cp dépôt pourra être fait a ladite caisse dater'du
21 dudit mrj~ st il sera donné un reçu des titres In-
diquant le jour où le paiement pourra avoir lieu, à
piu'tir du 28. janvier.'
Des bordereaux imprimés sont mis & la. disposition
des porteurs partir de ce jour.
Deux journaux anglais, le ~r~t'M~ Po~ et le
~o)-H Lbuys a donné sa démission de ,sénateur et de vice-
président du Sénat. Ls dernier ajoute que cette dé-
mission été acceptée.
Une lettre écrite denie-Dieu, le 13, donne les
détails suivans sur les ea'ets d'un ouragan qui s'y
faisait alors sentir
« n est huit heures du soir, la tempête est aSreuse.
Depuis une heure-de l'après-midi, foule de navires lou-
voyaient devant le port, la mer n'étant pas assez haute
pour qu'ils pussent se loger convenablement. Ennn, sur.
les cinq heures, une trentaine de bâtimens ont essayé
entrer.
') Ç'était un magnifique spectacle; mais quelle tristesse
répandue sur tous les visages t Ceux qui n'avaient-pas
le temps de carguer leurs voiles arrivaient se briser sur
ceux qui étaient déjà entres. Une quantité de navires
oat stc jctës sur les roches a l'entrée du port, ~et là, à
force de talonner, ont eu les Bancs ouverts. Maintenant,
ils sont échoues.
B Tout le monde est au sauvetage. On cempte 43 na-
virt's dans le port et autant au large qui ne peuvent at-
t~rir. Dieu sait ce qui leur est réserve. Heureusement
qu'il fait. clair de lune et que nous allons pouvoir sauver
une partie des marchandises.
a Quand le vent mollira-t-il? je ne sais, mais, si cela
continue, beaucoup de malheurs arriveront sur nos côtes.
? La poste- ne pourra peut-être pas encore partir de-
main. Depuis le 9-elle n'a pu mettre a la veile. a
On écrit de Paris à. l-ntMpeMo'cMM 6ë~f)
t On parla beaucoup, au .faubourg-Saint-Germain, de
deux mariages des plus bizarres l'un est celui d'une
demoiseUe de haute noblesse qui épouse Un artiste d'un
petit théâtre l'autre, celui d'une de ses amies, de grau
6e famille également, qui épouse un simple gendarme, a
On a saisi chez le libraire Canapé, dit une cor-
respondance adressée de Hambourg' le 14 janvier au
JoMrKN< aH<'jusqu'à concurrence de la valeur de l'amende qui a
été décretéa contre lui. par le Sénat pour avoir refusé
de déclarer la personne dont.le docteur Vhese tenait
les faits relatif:, au duc Guillaume de Mecklembourg-.
Ou parle d'un g-entilhomme appartenant h la haute
noblesse de Mecklembourg qui est mort dernière-
meut, et qui, dit-on, s'est suicidé parce qu'il était
compromis dans cette aSaire.
Un des principaux notaires de Paris procède en
cs'moraent, dit le Stcc~ l'Inventaire des biens dé-
pendant de la succession de~M. le comte. Mole. On es-
.tims que la fortune laissée ~par cet homme d'Etat a
sanlle et asa petite-aile est de 5 à 6 millions de
franca.
–JMM.Lerault efRo~erat, domicilléa a Pans, reçu-
reEt hier par la poste chacun, une "lettre timbrée .de
.noi! et -venant de Saint-Denla. Cette lettre était écri-
te parleur oncle et leur tante, les époux Biloret, ren-
tiers, demeurant à Saint-Denis, rue Brise-Echalas,22.
Les époux Biloret annonçaient à leurs BOT~ux que,
par saite du chagrin que leur causaient des pertes de
fortune qu'ils avaient fartes récemment, lis avaient
pris la résolution de se suicider, et que, lorsqu'on re-
cevrait leurs lettres, ils auraient cessé de vivre.
~.A]a réception da cette lettre, dit ieDro!'<, chacun
des neveux 'partit immédiatement pou.r Saint-Denis,
et avertit le commissaire de police. Ce magistrat ût
ouvrir la. porte de l'appartement, laquelle on avait
en vain sonné et frappé, et l'on trouva les époux Bi-
laret sans vie dans leur lit. lia s'étaient asphyxiés a
l'aide du~g-az acide carbonique. Us se tenaient par la
main avec tant de force, qu'on eut beaucoup de peiné
à les séparer. Lé sieur Biloret était âgé de.60 ans, et sa
femme de 61.
Avant-hier, Baeheler ûls, âgé de 35 ans, com-
missionnaire à Lyon, sur la place de la Fromagerie,
8'est présenté chez :on père, ouvrier cordonnier, rue
du Plat-d'Argent, 56, au 4e étage. Après avoir barri-
cadé la. porte en dedans, il s'est rué sur le malheu-
reux vieillard, -lui a porté plusieurs conpsdetNn-
chet &t lui a fracassé la lête~eoups de marteau. H l'a
ensuite enveloppé de couvertures et l'a poussé sous
uniit.
Ce misérable, ajoute le CoM~Mr ZyoK, est ensuite
monté, au moyen d'une échelle, sur la lucarne de la
Eaai?on et s'est précipité dans la rue, où il s'est tué.
La police, accourue aussitôt, a requis un serrurier
pour ouvrir la porte, qui n'a cédé qu'à de -violens ef-
forta. La victime donnait encore quelques signes de
vie, mais elle était dMisùnétat désespéré. On J'a
transportée M'Hôtel-Dieu.
Çuant aux motifs qui ont poussé Bacheler à com-
mettre ce crime, on les attribue à quelques propos
Saas entrer dans lés mêmes détails pour la dis-
Irjbutioades matières contenues dans chacune des
antres parties de l'ouvrage de M. Foissac, nous
Bous bornerons à dire que la seconde partie traite
des J~aMa;, la troisième de l'~Mo~et~, la quatriè-
me de la ~!K~~a~M~oHS du gM~ et des C/tan~emens de cHma~. Par
ce que nous avons d~ja expliqué, on se fera facile-
ment une idée de tout ce que l'auteur fait entrer
~s3s ces vastes cadres et de la multiplicité des
connaissances qu'exige ua pareil travail.
Ainsi comprise, la météorologie n'est pas seu-
tement use des branches les plus importantes de
!s physique géacpa!e elle prend un tel caractère
d'universalité qu~il est peu de sciences sur les-
quelles elle n'empiète et dont le concours ne lui
deYienne nécessaire.
CMnbiea d'erreurs et de préjugés répandus
dans le public, et souvent même accrédités parmi
{es gens instruits/qui doivent, leur origine soit a
des observations imparfaites, soit à une absence
totale d'observations. Et ces erreurs, ces préjugés
régnent pourtant et peuvent se perpétuer au grand
préjudice du progrès des saines notioas scleatin~
ques et philosophiques.
N'est-il pas admis presque généiaIemeBt, par
exemple~ que,:depuis les temps les plus anciens,
léë climats des diverses parties du globe auraient
eubi de grands changemens, et qu'ils se seraient
adoucis presque partoat. Celte questieB à été trai-
te dans l'ouvrage de M. Foissacavec ua talent
remarquable.
Les écrivains qui ont Défendu la thèse de la
ccRstaace des climats se sont trouvée en présence
~Me grande difficulté. Les aEciens. de j~me qne
désavantageux qae son përs autaH tenus sur son
compte. Bacheler était, au reste, un homme violent.
Il avait subi une année d'emprisonnement pourvoies
de Mt sur sa femme, que le désespoir avait portée, il
y a quelque temps, a. mettre volontairement fin à ses
jours.
Le <'o!le courrier de Paris n'est arriva a. Valence qu'à deux
heures de l'après-midi, par suite d'un retard qui lui
a fait manquer le c.nvoi de Lyoa..
Le retard survenu entre Lyon et Paris serait le ré-
sultat d'UR,dp.raniefHent du train, qui n'a pas eu d'ail-
leurs de suites fanâtes.
Pendanti'annéa T.855, l'autorité judiciaire des
départemens a été appelée a constater la découverte
des cadavres de treize individus dont l'identité est
reatée jusqu'à présent ignorée, malgré toutes les re-
cherches faites à ce sujet. Qaatre'avaient été victimes
d'assassinats ils ont été trouvés, l'un dans la plaine
Saint-Denis le second à Mons (Var) le troisième~ur
le territoire de la commune de Colombier.
La quatrième victime était une jeune femme qui a
'été assassinée dans le bois de" Montaverne. Deux ont
été retirés de la Loire, au Pellerin .et Choussy un
du Rhône, à Mornas un de l'Aisne, Chlignecourt
un du canal d'Aire un du canal de l'Aisne, a Chau-
ny un rejeté par la mer, a Saint-Viand un a été
trouvé pendu près de Nontron, et ennn une femme a
été trouvée morte, par suite d'apoplexie, sur le terri-
toire de d'Alrance (Aveyrou).
Ces cadavres ont été inhumés dans les cimetières
des localités où ils ont été découverts, et l'autorité a
pris les mesures nécessaires à la conservation des ob-
jets'leur ayant appartenu, et qui pourront aider a la
constatation de leur individualité.
Une terrible explosion, écrit-on d'Angleterre, a
eu lieu lundi matin dans les ateliers de MM.Hick-
man, cfe Lea Brook. Quatre hommes ont été tuéa et
quinze plus ou. moins grièvement blessés. C'est la
chaudière à vapeur qui a sauté au moment où l'on
tirait le premier morceau de fer de la fournaise pour
commencer le travail. La toiture et une partie de la
machine ont été lancées plus de cent pieds en l'air,
et, en retombant, elles ont fait des ruines nombreuses.
–Un grand nombre d'ouvriers employés da.ns.l'ar-
sonal de Wooiwich ont reçu des invitations à payer
la taxe du revenu. Le JMor~tt:~ a~er~Mer dit qu'une
grande eServe.ïcence règne parmi ces hommes, qui
ont. tenu un Mee~K~ pour protester contre ee paie-
ment, par la raison que leur supplément de salaire
tient a ce qu'i!s sont tous les jours en travail extraor-
dinaire, à la demande des autorités et par .suite des
exigences de la guerre.
Un soldat, s'étant absenté illégalement de son
Tcorps, résidait depuis quelques jours chez un de ses
parens,ala Maison-Blanche, près Paris. Avant-hier
matin, on l'a trouvé mort d&ns son lit. D~un écrit
qu'il a laissée:, dés constatations faites par le com-
missaire de policd assisté d'un médecin, il est résulté
que, craignant les suites de son infraction a.ux régle-
mens militaires, X. s'était empoisonné avec de la
belladone.
La veille, un autre soldat du même régiment avait
tenté de se tuer, a Montrouge, en se.plongeant dans
la poitrine-une alêne de cordonnier. Il s'est griève-
ment blessé et a été transporté a l'hospice.
–Unmarêchal-ferrant de Croisic (Pas-de Calais)
a voulu tuer son père en lui portant un coup de cou-
teau au bas-ventre. La blessure na paraît offrir au-
cune chance de guérison. Le Courrier de L~/e annon-
ce que le coupable a été arrêté et déposé à Arras, dans
"la maison~ d'arrêt..
Dans une étude publiée par M. Lay, sous le titr&
de la T'K KapMMge suivant, traduit par l'~AsHG'Mm /raMMM
'.La polygamie n'est pas mise en pratique par tous les
Chinois eHe n'a guère lieu que quaEd le mari deYient
vieux. Il paraît que la très g-rande majorité des riches et
deo pauvres moissonnent les consolations du mariage
sans laisser e"tte ivraie pousser dans leur blé. De ceux
qui se laissent aUer a cette pratique, les uns le font'par
«uite d'un surcroît de richesse et de prospérité, les au-
tres tout simplement pour a.YOir.un héritier ou augmen-
ter. le nombre de leurs enfans.
D'un autre côté, la poiygMaie est favorisée par l'am-
ttition qu'ont les parens devoir ieurs nlles installées
dans la maison des grands personnages et par le désir
de tirer un avantage personnel d'alliances BoMes. Pour le
travaU, ]a. gaîte. la ndëlitë à leurs maris et le soin de
leurs enf.ms, les'femmes de l!i clause pauvre n'ont pas
leuMpsu-eiUes. Quiconque visite la Chine trouve partout
ëes prf.u.ves de ce fait, et le voyageur n'a qu'à caresser
la tête d'un enfant pour se gagner la sympathie de toute
d'assistance, a
Dans l'une des dernières séances de l'Académie
.de Médecine, M. Duméril a fait un rapport verbal,
sur une communication d'un médecin-das environs
da PAris, relative à un insecte, dont la morsure au-
rait occasionné des accidena 'chez plusieurs person-
Bes, et qui n'est autre que le )':e:K les prétendues
<'«!CM Dum~ril, les eëufj de cet msecte.
MNTES VIAGÈRES.– A 55 ans, 9 0/0; a.60 ans, 18
1/3 0/0; a. '70 ans, 15 0/0.–Administration centrale des
Compagnies anglaises 6!MMt' EMaeC~e~, GRESHAMetTRAVELLER, 15, rue Drouot, S
P
les moderaes, parlent souvent du froid et du
chaud, mais ils n'ont pu indiquer,; faute d'instru-
oïens d'observation, les degrés de la température
qui régnait~oit eliez eux, soit dans les contrées où
Us avaient pénétré. Des données aussi vagues que
celles renfermées dans leurs écrits M fournissent
pas-une mesure d'après laqnelle il soit possible
d'établir une comparaison tbermométrique entre
leur époque et la nôtre. Réduite à des termes si
incertains, la question ne devrait donc pas même
être discutée, SI on ne pouvait l'aborder avec le
secours d'autres seiences. Mais, selon son usage,
la météorolagie a résolu ce problème par des
emprunts heur@ux faits a d'autres sciences.
Quelques savans, entre astres Rothman, sefon-
dant sur .ce que de temps immémorial l'olivier
était cultivé dansIe.Latium, et sur ce que le hêtre,
qui manqua toujours dans la campagne de Rome,
existe aujourd'hui comme anciennement sur les
Apennins~ à nnë hantéur de 880 à i,200 mètres,
avaient déjà cru pouvoir inférerde ces remar-
ques !a permanence du climat dans la pënîn-
sole italique. Une lecture attentive des écrits
dé Catoa, de Varron~ de Columelle,. de Florus,
da Pline et de Palladius a permis à un ~utre
savant, M. Dureaa de !a Mal!e, d'amener cette
opinioa de Rbthman presque à l'état de démons-
tration Dans les auteurs compulsés par M. Dureau
de la MaUe, cent quarante plantes se trouvent dési-
gnées avec les dates et les limites de Ïenr-germina-
.phénomènes ont servi d'indices a, M. Dureau de la
Maile et lui ont permis de composer une sorte de
thermomètre végétal, pour suppléer a~Tinstru-
mentq~e necoanaissaientpasies Romains. Ce sa-
S SËRvMES &lMTM~3 bË9 MESSAGEMÉS !MPÉMlï.Ë.
PAQUEBOTS-POSTE FRANÇAIS. TfaK~O~ dM TOya-
~MM et des wtsrc/KMdtSM. Départs
ITALIE. B~Ma: par MmaiMC le lundi, 11 h. du ma-
tin, pour Gènes, Livourne, Civita-Vecchia, Naplea,
Messine et Malte; le jeudi, 10 h. du soir, pour Ci-
vita-Vecchia et Naples [traversée en 4S h.).
GRÈCE, TURQUIE et la MER NOIRE.–DeM;E par MMCK'Ke
le lundi, 3 h. du soir, pour Messine, le Pires, Consta.nti-
nople et Kamiesch;le jeudi, 10 h. du matin, pour M<e,
Syra;Smyrne, Gonatantinople,Yarna et Kamiescb.
EGYPTE.–CAa~ue ~gM~' ~emat'Ke< le jeudi (à dater du
S nov.), 9 h. du matin, pour Malte et Alexandrie.
SYRIE.–GalUpoli, Dardanelles, Mételin, Smyrne,
Rhodes, Mersina, Alexandrette, Lattaquié, Tripoli,
Beyrouth, Jan'a.–C~a~MS <'eM~ .!eHtaMtM, le jeudi [ro:e
de ~myrMe OM oof d'ra~drM), à dater du 8 noT..
ALGÉRIE.–D~ar~ pour ALGER, les 5,10,15, 20,25
et 30, à midi pour pRAN, les 3,13 et 23, a midi;–
pour STORA, BO~E et TUNis, les 8,18 et 28, a midi.
MM. les voyageurs trouveront unjMMS~Mrde~t~M
à PARIS, rue N.-D.-tles-Victoires, 28; àMARSE-iLLE, Place-
Roya.te, no 1 a LYON, place des Terreaux. B
M. Sébastien. Mercier, facteur de pianos de LL.
MM. la reine d'Angleterre et le roi de Su~de,
BoM~usf~ BoHKe-yoMue~6, M" 31,
récompense par diverses médailles d'argent a.ux dif-
férentes Expositions natiOB~les qui ont eu lieu .depuis
1834, vient d'obtenir, à l'Exposition universelle de
1855, sur la proposition de son jury, une Médaille de
l''s classe, pour ses pianos a cordes obliques, doat il
fait une spécialité depuis 29 ans.
M. Debain, facteur de pianos et d'harmoniums
de S. M. l'empereur, vient d'être nommé fournisseur
de S. M. la reina d'Angleterre..
–CORBEILLES BE MARIAGES, Mt'gWM MC~MtrM des
.Lt~M et ~eK~M.
Par suite de leur traité avec M. PeerBukhsh, fabri-
cant et:importateur de Lahore, les propriétaires de
la MtŒMOK .D~M~, 12, rue de Choiseul, et 13, rue de
Grammont, viennent de recevoir un assortiment aussi
considérable que variéde châles longs et carrés, des-
sins nouveaux, qu'ils peuvent onrir à des prix d'au-
tant plus avantageux que, fabriquant ehx-mêaies et
recevant directement, leurs cachemires se trouvent
exempta des frais énormes que leur font générale-
ment subir de nombreux intermédiaires.
Pour tous les faits divers non signes
LesecrétairedéIarÉdactioB.P.YINCAM.
AUmentattem poM!qae.
Balle aux farines de Paris, 18 janvier Y 855
Cours moyen du jour, 64 95; la. veille, 65 23; le
.cours moyen a perdu 28 c.
Prix du pain d'après la mercuriale
1"' qualité, 55 c. le kilog.; 2e qualité, 48 c. le kilog.
Prix du pain d'après la taxe
I"- qualité, 50 c. le kilog- 3" Qualité, 42 c. le kilog.
0~ lit dans le NoKt~Mf « FAMKE9. 7jourd'hui de la panique causée hier par les nouvelles
politiques.
» H ne se fait rien, il est vrai, mais aussi on ne parle
plus de marches désavantageux pour les vendeurs.
x A défaut d'affaires commerciales bien authentiques,
nous nous contentons d'indiquer les affaires par fac-
teurs.
K On a reçu des svis télégraphiques du marche de Lon-
dres tenu aujourd'hui; une baisse de 5 sh. par quarter
(2 fr. 20 c. par hee.) aurait été obtenue sur les blés.
» Cette nouvelle, que nous' donnons sous toute réser-
ve,n'a pas rëchau5ë les transactions.
a La boulangerie re~te en dehors de taut achat et ne
veut prendre de farine a. aucun prix. »
M. Valënciennes vient de~présenter a l'Académie
quelques spécimens d'oeufs à plusieurs jaunes, pro-
venant d'oiseaux divers et surtout du canard commun
et du cygne. L'honorable nïembj:e accompagne cette
communication d'une note d'où nous tirons le docu-
ment statistique que voici il entre a Paris, .toutes les
années, Gn-moyenne-, 142 millions d'eeufs de poules;
sur ce nombre, il s'en trouve 200 à 300 qui portent
deux jaunes, et 5 ou 6 au plus qui en ont trois.
La circulaire-suivante, relative a la police de la
boulangerie, vient d'être adressée par le préfet do la
Seine-Inférieure "aux maires et aux commissaires de
.'polies:
w Messieurs, je suis informe que,, journellement, on
constate des contraventions à l'arrête préfectoral du 15
décembre 18.53.sur la police de la boulangerie; non seu-
lement cet arrëK} a cessé d'être afSchë dans la boutique
de quelques boulangers, mais souvent ceux-ci s'abstien-
nent da peser le pain qu'ils livrent au consommateur.
a Vous-ne devez rien nëglig-er pour assurer la com-
~pléi.e exécution des dispositions dudit arrête. Je ne doute
pas, du reste, qu'un nouvel avertissement de 'votre part
aux boulangers ne les .détermine à prévenir des mesures
plus~évéres, que l'autorité n'hésiterait; pas à. prendre,
s'ils ne se conformaient pas à Celles qui leur ont été
prescrites. e
v Hygiène pnM:q!te.
Dans la séance du.15 janvier de l'Académie de mé-
decine, M. Belpech a lu un travail intitulé ~Vo st
vaut a pu constater ainsi que, non seulement
ces planter vivent encore là où elles vivaient au-
trefois, mais que pour elles rien n'a changé, et
que, dans les mêmes lieux et à des hauteurs éga-
les, les époques des semis, des floraisons, des
moissons et des vendanges, sont toujours les
mèmesenItaIiequ'ilyadeuxrniHeacs.
Cet argument en faveur de la permanence des
climats ne constitue, sans doute, qu'une preuve
d'induction, mais ne serait-elle pas déjà sufËsante
contre l'opinion contraire, isolée de faute obser-
vation physique, simple hypothèse l'aide delà-
quelle on a prétendu expliquer la grandeur et !a
décadence de certains peuples, et quelques autres
faits de l'ordre politique?
Hâtons-nous de dire que !a science moderne
est en mesure d'établir physiquement la preuve
deTinvariàbiiité des climats, en invoquant dés ob-
servations faites dans l'Amérique du Nord pen-
dant une période de temps sufûsamment longue et
postérieure à l'invention des tbermomëtfcs.
L'Amérique est un pays qui semble donne tout
exprès pour trancher la question de la variabi-
lité dès climats. D'immenses forets abattues et dé-
racinées; de vastes étendues de terres défrichées à
et mises en culture; et, sur ce sol si fraîchement
bouleversé et révolutionné, pour ainsi dire, ~!ës
hameaux, des viUages, des vitles s'élevant sou-
dain pour les besoins et par l'industrie de popu-
lations énergiques, qui se multiplient avec une
rapidité et dans des proportions fabuleuses; on.
trouvé la réunies, au plus haut degré dé leur inten-
sité, toutes les causes auxquelles en attribue prin-
opaIementIamodiËcation des climats. voici ce
~ui rësulte de dqcamens authentiqHM ~fde Ma: :,1
C
'~M
Cette noté se résume par les conclusions suivantes:
1°Leg ouvri&rsencaoutcho.uc sont soumis a de
graves accidens qui consistent:
< D:ms des troubles divers de la digestion, ano-
rexie, nausées, vomissemens, dia.rrh~e, constipation
&.Da.na une modification'profonde de l'intelligen-
ce, hébétude, perte de la mémoire, mobilité extrême,
violences inexpliquées;
e. Dans une altération des plua sérieuses dos fonc-
tions du système nerveux, céphalalgie, vestige,
troubles de la vue, de l'ou'ia, impuissance, paralysies
variées, surtout du mouvement.
2" L'observation des fonctions dévolues à ceux des
ouvriers qui deviennent malades et. les expériences
faites sur les animaux, qui subissent, comma l'homme,
cette influence, suivie chez eux des mêmes accidëns.
permettent de les attribuer a l'inhalation du sulfure
de carbone en vapeur.
3? Il y a lieu de rechercher les moyens les plus
propres en préserver* les ouvriers et. de provoquer
sur ce point la publication de réglemens d'hygiène
publique.
N
Viennent de mourir "M. le decteur Ernest d'Esser,
ancien premier président de la cour de cassation de la
province rhénane, l'un" des criminalistes les plus dis-
tingués; M. l'abbé R. F. Rohrbacher, docteur eh
théologie de l'Université de Louvain, auteur de_
l'N~ot'rB M~t<:er.–M.. A. Mallet, supérieur de Saint-Acheul;
-M. de Santarem ancien premier ministre 'de Portu-
gal, un des hommes qui ont fait faire les'plus grands
progrès aux sciences géographiques et historiques, à
l'âge de 65 ans;– Mme la comtesse douairière d'Eroll,
fille du feu roi Guillaume IV et de mistress Jordan;–
M. le comte Robert de Saluées.
Les obsèques d3 M. le vicomte de Santarem au-
ront lieu demain dimanche, a. Il heures, en l'église
de la Sainte-Trinité, 'sa paroisse. Ses amis qui n'au-
raient pas reçu de lettre de faire part sont priés de
considérer le présent avis comme une invitation. On
se réunira à la maison mortuaire, rue Blanche, 47.
Les obsèques de'l'illustre poète polonais Adam
Mickiewiez seront célébrées à l'église de la Madeleine,
lundi 21 janvier, à 'dix heures et demie du matin.
Après le service religieux, le corps~'d'Adam Mickie-
wiez sera transporté a Montmorency, où il reposera a
côté de ses amis, le' général Kmiaziewicz et le poète
Niemcowicz.–
L'un des gêrans,B.BM
La 2e partie de r.S~o:t'ë ~M~ree de ~J~cpoMnott
KMt'~rM~, par Ch. Robin, vient de paraître chez
Fume, éditeur. Prix.3fr.60c.
~PÉCIAUTÈ.
CORBEILLES DE MARIAGE.
CACHEMmES ET DENTELLES.
~o!ertM et Cot/~c~tOK~.
La malle des Indes apporte régulièrement deux
fois par mois à la maison Frainais et Gramagnac, ~2,
fMs RtcAe/MM, les cachemires des Indes les plus nou-
veaux, qui lui sont .expédiés a mesure qu'ils parais-
sent, avec de très grands avantages de prix, par son
agent spécial qui réside & ~acAmyt'même, lieu de
production des plus beaux chàies..
~fe~N! de pretMï'ere e~Me a ~'JE~po~t~tON MKM~rM~e.
Les chevaux de la vénerie impériale venuus
pour cause de diminution d'électif, et dont la vente
avait été annoncée par erreur, rue de Ponthieu, pour
le 18, seront mis aux enchères au Tattersall français,
le samedi 26 janvier, à 2 heures.
L'EXONÉRATION [34e année), Compagnie d'a~M-
)'<ïKCM co;! Henry CoHADE.–Bureaux, rue de Rivoli, 31. < «
-PERLES B'ÉTHER D'n D'' CLERTAN, centre les migrai-
nes, les affections nerveuses.. Seul dépôt, rue Cau-
martin, 45, à Paris, et dans toutes les vHIes.
Thëâtres.– Spectacles du djmancite soir 20 janvier.
FRANÇAIS. L'fU'a.re,– Je JKe~OK ma~e h< les
~tfSM .~S j)~o!f')'
orÉRt-.CoMtQUE. Reprise des T'orLefebvre)..
ODÉoN. Les DeMjc yr~M; ~jFoH~e en/'an<, TtU'~M/e
(Tisserant).
THEATRE LYRIQUE. Le SOUt-d.
VA~DEVtn.E.tMonrose, Mlles Farguei', Arène), le. ~'OM (Lafont),
E5 'FfaKc~ de t'0!
VAMÉTES. Le J!oMauM~ (AmaU, les JFtHes ffM C/iamps
(Ch. Potier), le ~!a6!e (Arnal), le ?/te~euat.'es (Lassa~Ee).
GYMNASi. Je dtHe c~e~ met m~re (Lafohta.inë, Dupuis,
MlleI.aureHune),–le,~ai de~ p~Mf (Lesueur, Fer-
ville),– ]e Camp dM .Bo~rg~Mes (.Geoffroy), le ï'cmF~
permit (Berton).
pALAts-KoïAL. jiua« Fft's F~m?/t< !e str~ Franc-
Bo!S!
POHTE-ST-MARTM. –.La. Po!S~ar~e (Luguet, Mme'Marie
Laurent),
SAtTE. –Le ~e't!ec Mënier.'Mia.e Certes).
AMntGU. La Servante (Castellano, Orner, Mlles Lagiçr,
Isabelle Coa-.tant).
cm~uE tMpBMtA!~ ~7c[r~Ktte ou !a Yivandiéra de la
92e demi-brigade (Samt-ErRest, Dupuis, Mmes Lacres-
sonniére.Person).
BOUFFt.s rARtStE~ Fa-(a-c!aH, ~!od!OMtM~.
cm~uEitAroLEOK. Tous les soirs. Exercicss ëques-
tres, HeRBes cemiqueh, etc Dëb-uta des deux Më-
phans de l'île de Ceyian. la Table humame.
recueillis pendant plus de soixante ans dans h
vallée des Etats-Unis, tantpar le decteur Drakè
que par Samuel Forry et d'autres savans qui a-
vaient étudié avantlui, au point de vue météorolo-
gique, cette immense région. En comparant les ob-
servations faites aux deux limites extrêmes de cette
période de soixantaans, on trouve que, dans les
endroits où les défricheoiens les plus considéTa-
Mes ont été opères et où la population s'est le plus
condensée, la température moyenne ne s'est pas
élevée de plus d'un huitième de degré, différence
insignifiante, qui peut bien être due a la plus gran-
de perfection des instrumeas modernes, et qu'on
peut encore, selon M. Foissae, attribuer a la cha-
leur artiëcielle engendrée par les soeiëtés et par
les. feux à l'intérieur des maisons.
En général, M. Foissae, croit à l'in.variabilité
des phénomènes météorologiques, comme à celle
des lois physiques. Cette doctrine peut sembler
douteuse à quelques savans; mais en dehors de sa
valeur scientiSque, elle contient un enseignement
moral, aous dirions presque un enseignemeat po-
litique, dont fes nations déchues peuvent tirer
quelque espoir et quelque encouragement. Elle
leur ôte Fexçuse d'imputer leur décadence ou leur
chute à de prétendus caprices de la nature, a
.d'impossibles perturbations de ses lois. EUe leur
apprend qu~il n'y a eu contre elles d'autres élé-
menscenjurés que leurs propres vices, leur in-
dolence et les mauvaises institutions, qui en .ont
été la suite, pi', toutes ces causes n'ont rien de
fatal; il .est donné a la volonté humaine d8 pou-
voir en triompher. A cttte condition, -toute re-
naissance sociale ~est possible; eïïë e~t. prédite,
eRë.e&t:.àfËïm8ë'SyIa~sciehce.
RaSsnt Hbt~M, boulevard dés Italie, 8. 's. prestMi-
gitation, Magie. Tous les soirs, à huit hettres.
paRTE-SABdrame populaire en' cinq aetes. Mme Marie Lawent
jouera Madelehie Pailleux. MM. Boutin, Lugaet, Yalnay
tiendront les autres principaux rôles.
ROBBM HecDm.–Demain dimanche, séance e~traor~
dinaire à deux heures, sans préjudice de celle du soir.
FsdUMes.–Paris, 18JanYierl8S8.
Lanetat, marchand de vins à La ViUette, rue d@
Meaux, H.– J. c-, M. Gaillard; s. p.M. Beaufour, rue
Bergère,9.
Blancon (Louis), marchand de rubans et pasëementa-
rie, rue Montmartre, 64. J. c., M. Gaillard, s. p M
HenrioBnet, rue Cadet, 13.
Veuve Osmont, marchande de lingerie, rue du Bac' T?
–J.c.,M.Pellou; s.p.,M.PascaI,pIaeedelaBours6 4*
Rames, charbonnier à Clichy, rue de la Révolte 144
J. c., M. Trelon; s. p., M. Sonmaire, rue du Château~
d'Eau, 52.
~MdM et Faunes.–Paris, n janvier 18M. °
fEn quint. mëtr. de MOkiI.) l~marq E4 95 66 35 .68 80
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Restant. So.6~ 85 4-' -'[538740~
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Du jonr. 6Sfr.S3c. Relevé.. M ))N .B DB BB M
De la quinzaine, ~s Ka 'Ventes ci livrer,
TS< qualité 48- ÂIivr.243310 63.C3 6880
~eKGruau. xanN MM M M Rivent. MM MBa ax~
Harchaadtses.–paris, 17 janvier 1856.
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id, tous fflts, 130 na jr can nn,
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mois ~sua: Betterave, and à aaa.
q~9~
qual:, 96 ~rn à aDD.
sccRE.- Exotique, boirne quaMéme, M~. &
BdigeDe,id.,BMB*&tae)tB..
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MMenKand ingénieur conseit, 6,Ft;tM-tM-
BANBA6!STES.
ChMboMtier, t~e ~Mf-BoH~e, 347. (M. H. 1849.~
~iehham et BaM, maison fondée en 1814, <
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0tampeaaX) p!. de
SOtEMES.
PeU~e,13,rnisseur breveté de S. M. l'impëratriee. Hantes noit-
Teautes, châles de l'Inde, dentelles et confection. ,¡
TOILES.
t. Casse, 18, nM V~tMMte. Dépôt de sa imbrique de I~bi
Grand choix de Damasses pour taMe.
S'adrcaBer. pour les iBserMons. piMedûlaBMrse IN,
M. Foissac est loin, d'ailleurs, de mëconaattrs
les rapports intimes qui existent eatr~ les peuples
étales centrées qu'ils habitent, ainsi; que j les in<
Suencgs considérables que les' elîmats exercent
sur eux. Mais H veut que ces.inQueaces soient
persistantes comme leurs causes. Scelles, ne l'étaient
pas, en effet, elles ne pourraient produire que,.
des modiucations fugitives et insignifiantes, et
alors comment la science de l'homme devrait-ella
quelque chose A l'étude de la météorologie?!! ne
fautpasonMierque, d'apresie titre deson ouvrage,'
Fauteur étend jusqu'à cette limite l'objet ~t la por~
tëe des études de la météorologie. Ce n'p&t pas
seulement, en effet, l'homme physique, mais aas<
si l'homme moral, qu'il fait dépendre, au moin~
pour certaines qualités accidentelles, du concours-
dés diverses influences atmosphériques auxquelles
il est soumis. Personne n'ignore qu'ilyasBreette
voie, qui est demeurée suspecte, quelques écueils
et plus d'un mauvais souvenir; ce n'est pas la voie'
directe du spiritualisme. Mais M. Foissac l'a semëa~
de bëHes pensées et de bsl!es pages, qu'une sa:na,
philosopha et la banae imératuM avoueront é~
gaiement. Cependa~ Fauteur est plus sùr.seioa
Boas; d'obtenir l'approbation unanime de tous sea
Jeeteurs, lorsque, généralisant moins soa sujet, it
le considère au point de vue de la médecine et .de,
l'hygiène publique. L~ est le côte utile de soa~.
livreet son véritable prix.
.MMSrFIGUÎE~~
M56.
–Les porteurs d'annulés de l'emprunt co-atracté
e~ 1825 par Is~ouverueTnent d'Haïti sont prévenus
q-da le paiemp.nt des intérêts du 1" semestre 18ù5
aura lieu, partir du 28 janvier courant, a. la Caisse
.des dépôts et consignations, rue 'de Lille, 2, de 9 à
2 heures,– sur le dépôt prÉalable des tlircs, accom-
pagne du bordereau indicatif des coupons.
Cp dépôt pourra être fait a ladite caisse dater'du
21 dudit mrj~ st il sera donné un reçu des titres In-
diquant le jour où le paiement pourra avoir lieu, à
piu'tir du 28. janvier.'
Des bordereaux imprimés sont mis & la. disposition
des porteurs partir de ce jour.
Deux journaux anglais, le ~r~t'M~ Po~ et le
~o)-H
président du Sénat. Ls dernier ajoute que cette dé-
mission été acceptée.
Une lettre écrite denie-Dieu, le 13, donne les
détails suivans sur les ea'ets d'un ouragan qui s'y
faisait alors sentir
« n est huit heures du soir, la tempête est aSreuse.
Depuis une heure-de l'après-midi, foule de navires lou-
voyaient devant le port, la mer n'étant pas assez haute
pour qu'ils pussent se loger convenablement. Ennn, sur.
les cinq heures, une trentaine de bâtimens ont essayé
entrer.
') Ç'était un magnifique spectacle; mais quelle tristesse
répandue sur tous les visages t Ceux qui n'avaient-pas
le temps de carguer leurs voiles arrivaient se briser sur
ceux qui étaient déjà entres. Une quantité de navires
oat stc jctës sur les roches a l'entrée du port, ~et là, à
force de talonner, ont eu les Bancs ouverts. Maintenant,
ils sont échoues.
B Tout le monde est au sauvetage. On cempte 43 na-
virt's dans le port et autant au large qui ne peuvent at-
t~rir. Dieu sait ce qui leur est réserve. Heureusement
qu'il fait. clair de lune et que nous allons pouvoir sauver
une partie des marchandises.
a Quand le vent mollira-t-il? je ne sais, mais, si cela
continue, beaucoup de malheurs arriveront sur nos côtes.
? La poste- ne pourra peut-être pas encore partir de-
main. Depuis le 9-elle n'a pu mettre a la veile. a
On écrit de Paris à. l-ntMpeMo'cMM 6ë~f)
t On parla beaucoup, au .faubourg-Saint-Germain, de
deux mariages des plus bizarres l'un est celui d'une
demoiseUe de haute noblesse qui épouse Un artiste d'un
petit théâtre l'autre, celui d'une de ses amies, de grau
6e famille également, qui épouse un simple gendarme, a
On a saisi chez le libraire Canapé, dit une cor-
respondance adressée de Hambourg' le 14 janvier au
JoMrKN< aH<'
été décretéa contre lui. par le Sénat pour avoir refusé
de déclarer la personne dont.le docteur Vhese tenait
les faits relatif:, au duc Guillaume de Mecklembourg-.
Ou parle d'un g-entilhomme appartenant h la haute
noblesse de Mecklembourg qui est mort dernière-
meut, et qui, dit-on, s'est suicidé parce qu'il était
compromis dans cette aSaire.
Un des principaux notaires de Paris procède en
cs'moraent, dit le Stcc~ l'Inventaire des biens dé-
pendant de la succession de~M. le comte. Mole. On es-
.tims que la fortune laissée ~par cet homme d'Etat a
sanlle et asa petite-aile est de 5 à 6 millions de
franca.
–JMM.Lerault efRo~erat, domicilléa a Pans, reçu-
reEt hier par la poste chacun, une "lettre timbrée .de
.noi! et -venant de Saint-Denla. Cette lettre était écri-
te parleur oncle et leur tante, les époux Biloret, ren-
tiers, demeurant à Saint-Denis, rue Brise-Echalas,22.
Les époux Biloret annonçaient à leurs BOT~ux que,
par saite du chagrin que leur causaient des pertes de
fortune qu'ils avaient fartes récemment, lis avaient
pris la résolution de se suicider, et que, lorsqu'on re-
cevrait leurs lettres, ils auraient cessé de vivre.
~.A]a réception da cette lettre, dit ieDro!'<, chacun
des neveux 'partit immédiatement pou.r Saint-Denis,
et avertit le commissaire de police. Ce magistrat ût
ouvrir la. porte de l'appartement, laquelle on avait
en vain sonné et frappé, et l'on trouva les époux Bi-
laret sans vie dans leur lit. lia s'étaient asphyxiés a
l'aide du~g-az acide carbonique. Us se tenaient par la
main avec tant de force, qu'on eut beaucoup de peiné
à les séparer. Lé sieur Biloret était âgé de.60 ans, et sa
femme de 61.
Avant-hier, Baeheler ûls, âgé de 35 ans, com-
missionnaire à Lyon, sur la place de la Fromagerie,
8'est présenté chez :on père, ouvrier cordonnier, rue
du Plat-d'Argent, 56, au 4e étage. Après avoir barri-
cadé la. porte en dedans, il s'est rué sur le malheu-
reux vieillard, -lui a porté plusieurs conpsdetNn-
chet &t lui a fracassé la lête~eoups de marteau. H l'a
ensuite enveloppé de couvertures et l'a poussé sous
uniit.
Ce misérable, ajoute le CoM~Mr ZyoK, est ensuite
monté, au moyen d'une échelle, sur la lucarne de la
Eaai?on et s'est précipité dans la rue, où il s'est tué.
La police, accourue aussitôt, a requis un serrurier
pour ouvrir la porte, qui n'a cédé qu'à de -violens ef-
forta. La victime donnait encore quelques signes de
vie, mais elle était dMisùnétat désespéré. On J'a
transportée M'Hôtel-Dieu.
Çuant aux motifs qui ont poussé Bacheler à com-
mettre ce crime, on les attribue à quelques propos
Saas entrer dans lés mêmes détails pour la dis-
Irjbutioades matières contenues dans chacune des
antres parties de l'ouvrage de M. Foissac, nous
Bous bornerons à dire que la seconde partie traite
des J~aMa;, la troisième de l'~Mo~et~, la quatriè-
me de la ~!K~~a
ce que nous avons d~ja expliqué, on se fera facile-
ment une idée de tout ce que l'auteur fait entrer
~s3s ces vastes cadres et de la multiplicité des
connaissances qu'exige ua pareil travail.
Ainsi comprise, la météorologie n'est pas seu-
tement use des branches les plus importantes de
!s physique géacpa!e elle prend un tel caractère
d'universalité qu~il est peu de sciences sur les-
quelles elle n'empiète et dont le concours ne lui
deYienne nécessaire.
CMnbiea d'erreurs et de préjugés répandus
dans le public, et souvent même accrédités parmi
{es gens instruits/qui doivent, leur origine soit a
des observations imparfaites, soit à une absence
totale d'observations. Et ces erreurs, ces préjugés
régnent pourtant et peuvent se perpétuer au grand
préjudice du progrès des saines notioas scleatin~
ques et philosophiques.
N'est-il pas admis presque généiaIemeBt, par
exemple~ que,:depuis les temps les plus anciens,
léë climats des diverses parties du globe auraient
eubi de grands changemens, et qu'ils se seraient
adoucis presque partoat. Celte questieB à été trai-
te dans l'ouvrage de M. Foissacavec ua talent
remarquable.
Les écrivains qui ont Défendu la thèse de la
ccRstaace des climats se sont trouvée en présence
~Me grande difficulté. Les aEciens. de j~me qne
désavantageux qae son përs autaH tenus sur son
compte. Bacheler était, au reste, un homme violent.
Il avait subi une année d'emprisonnement pourvoies
de Mt sur sa femme, que le désespoir avait portée, il
y a quelque temps, a. mettre volontairement fin à ses
jours.
Le <'o!
heures de l'après-midi, par suite d'un retard qui lui
a fait manquer le c.nvoi de Lyoa..
Le retard survenu entre Lyon et Paris serait le ré-
sultat d'UR,dp.raniefHent du train, qui n'a pas eu d'ail-
leurs de suites fanâtes.
Pendanti'annéa T.855, l'autorité judiciaire des
départemens a été appelée a constater la découverte
des cadavres de treize individus dont l'identité est
reatée jusqu'à présent ignorée, malgré toutes les re-
cherches faites à ce sujet. Qaatre'avaient été victimes
d'assassinats ils ont été trouvés, l'un dans la plaine
Saint-Denis le second à Mons (Var) le troisième~ur
le territoire de la commune de Colombier.
La quatrième victime était une jeune femme qui a
'été assassinée dans le bois de" Montaverne. Deux ont
été retirés de la Loire, au Pellerin .et Choussy un
du Rhône, à Mornas un de l'Aisne, Chlignecourt
un du canal d'Aire un du canal de l'Aisne, a Chau-
ny un rejeté par la mer, a Saint-Viand un a été
trouvé pendu près de Nontron, et ennn une femme a
été trouvée morte, par suite d'apoplexie, sur le terri-
toire de d'Alrance (Aveyrou).
Ces cadavres ont été inhumés dans les cimetières
des localités où ils ont été découverts, et l'autorité a
pris les mesures nécessaires à la conservation des ob-
jets'leur ayant appartenu, et qui pourront aider a la
constatation de leur individualité.
Une terrible explosion, écrit-on d'Angleterre, a
eu lieu lundi matin dans les ateliers de MM.Hick-
man, cfe Lea Brook. Quatre hommes ont été tuéa et
quinze plus ou. moins grièvement blessés. C'est la
chaudière à vapeur qui a sauté au moment où l'on
tirait le premier morceau de fer de la fournaise pour
commencer le travail. La toiture et une partie de la
machine ont été lancées plus de cent pieds en l'air,
et, en retombant, elles ont fait des ruines nombreuses.
–Un grand nombre d'ouvriers employés da.ns.l'ar-
sonal de Wooiwich ont reçu des invitations à payer
la taxe du revenu. Le JMor~tt:~ a~er~Mer dit qu'une
grande eServe.ïcence règne parmi ces hommes, qui
ont. tenu un Mee~K~ pour protester contre ee paie-
ment, par la raison que leur supplément de salaire
tient a ce qu'i!s sont tous les jours en travail extraor-
dinaire, à la demande des autorités et par .suite des
exigences de la guerre.
Un soldat, s'étant absenté illégalement de son
Tcorps, résidait depuis quelques jours chez un de ses
parens,ala Maison-Blanche, près Paris. Avant-hier
matin, on l'a trouvé mort d&ns son lit. D~un écrit
qu'il a laissée:, dés constatations faites par le com-
missaire de policd assisté d'un médecin, il est résulté
que, craignant les suites de son infraction a.ux régle-
mens militaires, X. s'était empoisonné avec de la
belladone.
La veille, un autre soldat du même régiment avait
tenté de se tuer, a Montrouge, en se.plongeant dans
la poitrine-une alêne de cordonnier. Il s'est griève-
ment blessé et a été transporté a l'hospice.
–Unmarêchal-ferrant de Croisic (Pas-de Calais)
a voulu tuer son père en lui portant un coup de cou-
teau au bas-ventre. La blessure na paraît offrir au-
cune chance de guérison. Le Courrier de L~/e annon-
ce que le coupable a été arrêté et déposé à Arras, dans
"la maison~ d'arrêt..
Dans une étude publiée par M. Lay, sous le titr&
de la T'K Ka
'.La polygamie n'est pas mise en pratique par tous les
Chinois eHe n'a guère lieu que quaEd le mari deYient
vieux. Il paraît que la très g-rande majorité des riches et
deo pauvres moissonnent les consolations du mariage
sans laisser e"tte ivraie pousser dans leur blé. De ceux
qui se laissent aUer a cette pratique, les uns le font'par
«uite d'un surcroît de richesse et de prospérité, les au-
tres tout simplement pour a.YOir.un héritier ou augmen-
ter. le nombre de leurs enfans.
D'un autre côté, la poiygMaie est favorisée par l'am-
ttition qu'ont les parens devoir ieurs nlles installées
dans la maison des grands personnages et par le désir
de tirer un avantage personnel d'alliances BoMes. Pour le
travaU, ]a. gaîte. la ndëlitë à leurs maris et le soin de
leurs enf.ms, les'femmes de l!i clause pauvre n'ont pas
leuMpsu-eiUes. Quiconque visite la Chine trouve partout
ëes prf.u.ves de ce fait, et le voyageur n'a qu'à caresser
la tête d'un enfant pour se gagner la sympathie de toute
d'assistance, a
Dans l'une des dernières séances de l'Académie
.de Médecine, M. Duméril a fait un rapport verbal,
sur une communication d'un médecin-das environs
da PAris, relative à un insecte, dont la morsure au-
rait occasionné des accidena 'chez plusieurs person-
Bes, et qui n'est autre que le )':e:K les prétendues
<'«!CM
MNTES VIAGÈRES.– A 55 ans, 9 0/0; a.60 ans, 18
1/3 0/0; a. '70 ans, 15 0/0.–Administration centrale des
Compagnies anglaises 6!MMt'
P
les moderaes, parlent souvent du froid et du
chaud, mais ils n'ont pu indiquer,; faute d'instru-
oïens d'observation, les degrés de la température
qui régnait~oit eliez eux, soit dans les contrées où
Us avaient pénétré. Des données aussi vagues que
celles renfermées dans leurs écrits M fournissent
pas-une mesure d'après laqnelle il soit possible
d'établir une comparaison tbermométrique entre
leur époque et la nôtre. Réduite à des termes si
incertains, la question ne devrait donc pas même
être discutée, SI on ne pouvait l'aborder avec le
secours d'autres seiences. Mais, selon son usage,
la météorolagie a résolu ce problème par des
emprunts heur@ux faits a d'autres sciences.
Quelques savans, entre astres Rothman, sefon-
dant sur .ce que de temps immémorial l'olivier
était cultivé dansIe.Latium, et sur ce que le hêtre,
qui manqua toujours dans la campagne de Rome,
existe aujourd'hui comme anciennement sur les
Apennins~ à nnë hantéur de 880 à i,200 mètres,
avaient déjà cru pouvoir inférerde ces remar-
ques !a permanence du climat dans la pënîn-
sole italique. Une lecture attentive des écrits
dé Catoa, de Varron~ de Columelle,. de Florus,
da Pline et de Palladius a permis à un ~utre
savant, M. Dureaa de !a Mal!e, d'amener cette
opinioa de Rbthman presque à l'état de démons-
tration Dans les auteurs compulsés par M. Dureau
de la MaUe, cent quarante plantes se trouvent dési-
gnées avec les dates et les limites de Ïenr-germina-
.
Maile et lui ont permis de composer une sorte de
thermomètre végétal, pour suppléer a~Tinstru-
mentq~e necoanaissaientpasies Romains. Ce sa-
S SËRvMES &lMTM~3 bË9 MESSAGEMÉS !MPÉMlï.Ë.
PAQUEBOTS-POSTE FRANÇAIS. TfaK~O~ dM TOya-
~MM et des wtsrc/KMdtSM. Départs
ITALIE. B~Ma: par MmaiMC le lundi, 11 h. du ma-
tin, pour Gènes, Livourne, Civita-Vecchia, Naplea,
Messine et Malte; le jeudi, 10 h. du soir, pour Ci-
vita-Vecchia et Naples [traversée en 4S h.).
GRÈCE, TURQUIE et la MER NOIRE.–DeM;E par MMCK'Ke
le lundi, 3 h. du soir, pour Messine, le Pires, Consta.nti-
nople et Kamiesch;le jeudi, 10 h. du matin, pour M<e,
Syra;Smyrne, Gonatantinople,Yarna et Kamiescb.
EGYPTE.–CAa~ue ~gM~' ~emat'Ke< le jeudi (à dater du
S nov.), 9 h. du matin, pour Malte et Alexandrie.
SYRIE.–GalUpoli, Dardanelles, Mételin, Smyrne,
Rhodes, Mersina, Alexandrette, Lattaquié, Tripoli,
Beyrouth, Jan'a.–C~a~MS <'eM~ .!eHtaMtM, le jeudi [ro:e
de ~myrMe OM oof d'ra~drM), à dater du 8 noT..
ALGÉRIE.–D~ar~ pour ALGER, les 5,10,15, 20,25
et 30, à midi pour pRAN, les 3,13 et 23, a midi;–
pour STORA, BO~E et TUNis, les 8,18 et 28, a midi.
MM. les voyageurs trouveront unjMMS~Mrde~t~M
à PARIS, rue N.-D.-tles-Victoires, 28; àMARSE-iLLE, Place-
Roya.te, no 1 a LYON, place des Terreaux. B
M. Sébastien. Mercier, facteur de pianos de LL.
MM. la reine d'Angleterre et le roi de Su~de,
BoM~usf~ BoHKe-yoMue~6, M" 31,
récompense par diverses médailles d'argent a.ux dif-
férentes Expositions natiOB~les qui ont eu lieu .depuis
1834, vient d'obtenir, à l'Exposition universelle de
1855, sur la proposition de son jury, une Médaille de
l''s classe, pour ses pianos a cordes obliques, doat il
fait une spécialité depuis 29 ans.
M. Debain, facteur de pianos et d'harmoniums
de S. M. l'empereur, vient d'être nommé fournisseur
de S. M. la reina d'Angleterre..
–CORBEILLES BE MARIAGES, Mt'gWM MC~MtrM des
.Lt~M et ~eK~M.
Par suite de leur traité avec M. PeerBukhsh, fabri-
cant et:importateur de Lahore, les propriétaires de
la MtŒMOK .D~M~, 12, rue de Choiseul, et 13, rue de
Grammont, viennent de recevoir un assortiment aussi
considérable que variéde châles longs et carrés, des-
sins nouveaux, qu'ils peuvent onrir à des prix d'au-
tant plus avantageux que, fabriquant ehx-mêaies et
recevant directement, leurs cachemires se trouvent
exempta des frais énormes que leur font générale-
ment subir de nombreux intermédiaires.
Pour tous les faits divers non signes
LesecrétairedéIarÉdactioB.P.YINCAM.
AUmentattem poM!qae.
Balle aux farines de Paris, 18 janvier Y 855
Cours moyen du jour, 64 95; la. veille, 65 23; le
.cours moyen a perdu 28 c.
Prix du pain d'après la mercuriale
1"' qualité, 55 c. le kilog.; 2e qualité, 48 c. le kilog.
Prix du pain d'après la taxe
I"- qualité, 50 c. le kilog- 3" Qualité, 42 c. le kilog.
0~ lit dans le NoKt~Mf
politiques.
» H ne se fait rien, il est vrai, mais aussi on ne parle
plus de marches désavantageux pour les vendeurs.
x A défaut d'affaires commerciales bien authentiques,
nous nous contentons d'indiquer les affaires par fac-
teurs.
K On a reçu des svis télégraphiques du marche de Lon-
dres tenu aujourd'hui; une baisse de 5 sh. par quarter
(2 fr. 20 c. par hee.) aurait été obtenue sur les blés.
» Cette nouvelle, que nous' donnons sous toute réser-
ve,n'a pas rëchau5ë les transactions.
a La boulangerie re~te en dehors de taut achat et ne
veut prendre de farine a. aucun prix. »
M. Valënciennes vient de~présenter a l'Académie
quelques spécimens d'oeufs à plusieurs jaunes, pro-
venant d'oiseaux divers et surtout du canard commun
et du cygne. L'honorable nïembj:e accompagne cette
communication d'une note d'où nous tirons le docu-
ment statistique que voici il entre a Paris, .toutes les
années, Gn-moyenne-, 142 millions d'eeufs de poules;
sur ce nombre, il s'en trouve 200 à 300 qui portent
deux jaunes, et 5 ou 6 au plus qui en ont trois.
La circulaire-suivante, relative a la police de la
boulangerie, vient d'être adressée par le préfet do la
Seine-Inférieure "aux maires et aux commissaires de
.'polies:
w Messieurs, je suis informe que,, journellement, on
constate des contraventions à l'arrête préfectoral du 15
décembre 18.53.sur la police de la boulangerie; non seu-
lement cet arrëK} a cessé d'être afSchë dans la boutique
de quelques boulangers, mais souvent ceux-ci s'abstien-
nent da peser le pain qu'ils livrent au consommateur.
a Vous-ne devez rien nëglig-er pour assurer la com-
~pléi.e exécution des dispositions dudit arrête. Je ne doute
pas, du reste, qu'un nouvel avertissement de 'votre part
aux boulangers ne les .détermine à prévenir des mesures
plus~évéres, que l'autorité n'hésiterait; pas à. prendre,
s'ils ne se conformaient pas à Celles qui leur ont été
prescrites. e
v Hygiène pnM:q!te.
Dans la séance du.15 janvier de l'Académie de mé-
decine, M. Belpech a lu un travail intitulé ~Vo
vaut a pu constater ainsi que, non seulement
ces planter vivent encore là où elles vivaient au-
trefois, mais que pour elles rien n'a changé, et
que, dans les mêmes lieux et à des hauteurs éga-
les, les époques des semis, des floraisons, des
moissons et des vendanges, sont toujours les
mèmesenItaIiequ'ilyadeuxrniHeacs.
Cet argument en faveur de la permanence des
climats ne constitue, sans doute, qu'une preuve
d'induction, mais ne serait-elle pas déjà sufËsante
contre l'opinion contraire, isolée de faute obser-
vation physique, simple hypothèse l'aide delà-
quelle on a prétendu expliquer la grandeur et !a
décadence de certains peuples, et quelques autres
faits de l'ordre politique?
Hâtons-nous de dire que !a science moderne
est en mesure d'établir physiquement la preuve
deTinvariàbiiité des climats, en invoquant dés ob-
servations faites dans l'Amérique du Nord pen-
dant une période de temps sufûsamment longue et
postérieure à l'invention des tbermomëtfcs.
L'Amérique est un pays qui semble donne tout
exprès pour trancher la question de la variabi-
lité dès climats. D'immenses forets abattues et dé-
racinées; de vastes étendues de terres défrichées à
et mises en culture; et, sur ce sol si fraîchement
bouleversé et révolutionné, pour ainsi dire, ~!ës
hameaux, des viUages, des vitles s'élevant sou-
dain pour les besoins et par l'industrie de popu-
lations énergiques, qui se multiplient avec une
rapidité et dans des proportions fabuleuses; on.
trouvé la réunies, au plus haut degré dé leur inten-
sité, toutes les causes auxquelles en attribue prin-
opaIementIamodiËcation des climats. voici ce
~ui rësulte de dqcamens authentiqHM ~fde Ma: :,1
C
'~M
Cette noté se résume par les conclusions suivantes:
1°Leg ouvri&rsencaoutcho.uc sont soumis a de
graves accidens qui consistent:
< D:ms des troubles divers de la digestion, ano-
rexie, nausées, vomissemens, dia.rrh~e, constipation
&.Da.na une modification'profonde de l'intelligen-
ce, hébétude, perte de la mémoire, mobilité extrême,
violences inexpliquées;
e. Dans une altération des plua sérieuses dos fonc-
tions du système nerveux, céphalalgie, vestige,
troubles de la vue, de l'ou'ia, impuissance, paralysies
variées, surtout du mouvement.
2" L'observation des fonctions dévolues à ceux des
ouvriers qui deviennent malades et. les expériences
faites sur les animaux, qui subissent, comma l'homme,
cette influence, suivie chez eux des mêmes accidëns.
permettent de les attribuer a l'inhalation du sulfure
de carbone en vapeur.
3? Il y a lieu de rechercher les moyens les plus
propres en préserver* les ouvriers et. de provoquer
sur ce point la publication de réglemens d'hygiène
publique.
N
Viennent de mourir "M. le decteur Ernest d'Esser,
ancien premier président de la cour de cassation de la
province rhénane, l'un" des criminalistes les plus dis-
tingués; M. l'abbé R. F. Rohrbacher, docteur eh
théologie de l'Université de Louvain, auteur de_
l'N~ot'rB M~t<:er.
-M. de Santarem ancien premier ministre 'de Portu-
gal, un des hommes qui ont fait faire les'plus grands
progrès aux sciences géographiques et historiques, à
l'âge de 65 ans;– Mme la comtesse douairière d'Eroll,
fille du feu roi Guillaume IV et de mistress Jordan;–
M. le comte Robert de Saluées.
Les obsèques d3 M. le vicomte de Santarem au-
ront lieu demain dimanche, a. Il heures, en l'église
de la Sainte-Trinité, 'sa paroisse. Ses amis qui n'au-
raient pas reçu de lettre de faire part sont priés de
considérer le présent avis comme une invitation. On
se réunira à la maison mortuaire, rue Blanche, 47.
Les obsèques de'l'illustre poète polonais Adam
Mickiewiez seront célébrées à l'église de la Madeleine,
lundi 21 janvier, à 'dix heures et demie du matin.
Après le service religieux, le corps~'d'Adam Mickie-
wiez sera transporté a Montmorency, où il reposera a
côté de ses amis, le' général Kmiaziewicz et le poète
Niemcowicz.–
L'un des gêrans,B.BM
La 2e partie de r.S~o:t'ë ~M~ree de ~J~cpoMnott
KMt'~rM~, par Ch. Robin, vient de paraître chez
Fume, éditeur. Prix.3fr.60c.
~PÉCIAUTÈ.
CORBEILLES DE MARIAGE.
CACHEMmES ET DENTELLES.
~o!ertM et Cot/~c~tOK~.
La malle des Indes apporte régulièrement deux
fois par mois à la maison Frainais et Gramagnac, ~2,
fMs RtcAe/MM, les cachemires des Indes les plus nou-
veaux, qui lui sont .expédiés a mesure qu'ils parais-
sent, avec de très grands avantages de prix, par son
agent spécial qui réside & ~acAmyt'même, lieu de
production des plus beaux chàies..
~fe~N! de pretMï'ere e~Me a ~'JE~po~t~tON MKM~rM~e.
Les chevaux de la vénerie impériale venuus
pour cause de diminution d'électif, et dont la vente
avait été annoncée par erreur, rue de Ponthieu, pour
le 18, seront mis aux enchères au Tattersall français,
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L'EXONÉRATION [34e année), Compagnie d'a~M-
)'<ïKCM co;!
-PERLES B'ÉTHER D'n D'' CLERTAN, centre les migrai-
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FRANÇAIS. L'fU'a.re,– Je JKe~OK ma~e h< les
~tfSM .~S j)~o!f')'
orÉRt-.CoMtQUE. Reprise des T'or
ODÉoN. Les DeMjc yr~M; ~jFoH~e en/'an<, TtU'~M/e
(Tisserant).
THEATRE LYRIQUE. Le SOUt-d.
VA~DEVtn.E.t
E5 'FfaKc~ de t'0!
VAMÉTES. Le J!oMauM~ (AmaU, les JFtHes ffM C/iamps
(Ch. Potier), le ~!a6!e (Arnal), le ?/te~euat.'es (Lassa~Ee).
GYMNASi. Je dtHe c~e~ met m~re (Lafohta.inë, Dupuis,
MlleI.aureHune),–le,~ai de~ p~Mf (Lesueur, Fer-
ville),– ]e Camp dM .Bo~rg~Mes (.Geoffroy), le ï'cmF~
permit (Berton).
pALAts-KoïAL. jiua« Fft's F~m?/t< !e str~ Franc-
Bo!S!
POHTE-ST-MARTM. –.La. Po!S~ar~e (Luguet, Mme'Marie
Laurent),
SAtTE. –Le ~e't!ec
AMntGU. La Servante (Castellano, Orner, Mlles Lagiçr,
Isabelle Coa-.tant).
cm~uE tMpBMtA!~ ~7c[r~Ktte ou !a Yivandiéra de la
92e demi-brigade (Samt-ErRest, Dupuis, Mmes Lacres-
sonniére.Person).
BOUFFt.s rARtStE~ Fa-(a-c!aH, ~!od
cm~uEitAroLEOK. Tous les soirs. Exercicss ëques-
tres, HeRBes cemiqueh, etc Dëb-uta des deux Më-
phans de l'île de Ceyian. la Table humame.
recueillis pendant plus de soixante ans dans h
vallée des Etats-Unis, tantpar le decteur Drakè
que par Samuel Forry et d'autres savans qui a-
vaient étudié avantlui, au point de vue météorolo-
gique, cette immense région. En comparant les ob-
servations faites aux deux limites extrêmes de cette
période de soixantaans, on trouve que, dans les
endroits où les défricheoiens les plus considéTa-
Mes ont été opères et où la population s'est le plus
condensée, la température moyenne ne s'est pas
élevée de plus d'un huitième de degré, différence
insignifiante, qui peut bien être due a la plus gran-
de perfection des instrumeas modernes, et qu'on
peut encore, selon M. Foissae, attribuer a la cha-
leur artiëcielle engendrée par les soeiëtés et par
les. feux à l'intérieur des maisons.
En général, M. Foissae, croit à l'in.variabilité
des phénomènes météorologiques, comme à celle
des lois physiques. Cette doctrine peut sembler
douteuse à quelques savans; mais en dehors de sa
valeur scientiSque, elle contient un enseignement
moral, aous dirions presque un enseignemeat po-
litique, dont fes nations déchues peuvent tirer
quelque espoir et quelque encouragement. Elle
leur ôte Fexçuse d'imputer leur décadence ou leur
chute à de prétendus caprices de la nature, a
.d'impossibles perturbations de ses lois. EUe leur
apprend qu~il n'y a eu contre elles d'autres élé-
menscenjurés que leurs propres vices, leur in-
dolence et les mauvaises institutions, qui en .ont
été la suite, pi', toutes ces causes n'ont rien de
fatal; il .est donné a la volonté humaine d8 pou-
voir en triompher. A cttte condition, -toute re-
naissance sociale ~est possible; eïïë e~t. prédite,
eRë.e&t:.àfËïm8ë'SyIa~sciehce.
RaSsnt Hbt~M, boulevard dés Italie, 8. 's. prestMi-
gitation, Magie. Tous les soirs, à huit hettres.
paRTE-SAB
jouera Madelehie Pailleux. MM. Boutin, Lugaet, Yalnay
tiendront les autres principaux rôles.
ROBBM HecDm.–Demain dimanche, séance e~traor~
dinaire à deux heures, sans préjudice de celle du soir.
FsdUMes.–Paris, 18JanYierl8S8.
Lanetat, marchand de vins à La ViUette, rue d@
Meaux, H.– J. c-, M. Gaillard; s. p.M. Beaufour, rue
Bergère,9.
Blancon (Louis), marchand de rubans et pasëementa-
rie, rue Montmartre, 64. J. c., M. Gaillard, s. p M
HenrioBnet, rue Cadet, 13.
Veuve Osmont, marchande de lingerie, rue du Bac' T?
–J.c.,M.Pellou; s.p.,M.PascaI,pIaeedelaBours6 4*
Rames, charbonnier à Clichy, rue de la Révolte 144
J. c., M. Trelon; s. p., M. Sonmaire, rue du Château~
d'Eau, 52.
~MdM et Faunes.–Paris, n janvier 18M. °
fEn quint. mëtr. de MOkiI.) l~marq E4 95 66 35 .68 80
Arrivages. 3,S4'7q.43k.2a 9i)64 6435 64
Ventes. 3,3-)5"48 ? 6280~~61~
Restant. So.6~ 85 4-' -'[538740~
Coxr~ MO~!t. Cuisson. xN ?? Da Bx DM BB
Du jonr. 6Sfr.S3c. Relevé.. M ))N .B DB BB M
De la quinzaine, ~s Ka 'Ventes ci livrer,
T
~eK
Harchaadtses.–paris, 17 janvier 1856.
id~ous-tut~X ¡¡
id, tous fflts, 130 na jr can nn,
mo~; B-~erS~h~ durant d.
mois ~sua: Betterave, and à aaa.
q~9~
qual:, 96 ~rn à aDD.
sccRE.- Exotique, boirne quaMéme, M~. &
BdigeDe,id.,BMB*&tae)tB..
i
Beàsetsne~ekaaMe!
à< ~S D'tNVEKtï6K.
MMenKand ingénieur conseit, 6,Ft;tM-tM-
BANBA6!STES.
ChMboMtier, t~e ~Mf-BoH~e, 347. (M. H. 1849.~
~iehham et BaM, maison fondée en 1814, <
BKO~ZES.
Chatpemtter, 8, n
Cerf et BHcheÏ, 14,6ott!c))ar<< JHot)
CAOtJTCHOUC.
RtUttep ~et Ce, FoMes-~OKimartre, 4. Vêt.. impërmëaMea;
Coussins et CoHiers à air, Ceintures de natation et sau;
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lingerie etcoBfeot.,cause de la vog-nsde eette spëcialitë.
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Naisom Cotas, 4' )'r't'eKnc; DeHteHcs,.Bj'oderies coaf~
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blique à la fabrique, impasse ~&ëbasuen, 8 et 10.
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An pamvfe J~cqKc' boulevard du Temple, S3.
~mPettt-SaiMt-Thomas, ruM dttBac,S5et PM!'MfS!<~S5,
HAUTES KOMYEAtJTËS.
a.iaFUënse, 84,r.(tuBoMtF~~<-NMtM-e, 30. Rubans, etc.
MtFÈVBE.
Bnpenche! !&, nte JVeMce-Sa:tt<-jl«g'«!tt. 4'7. Orfèvrerie.
bijouterie, joaillerie. (Médailles d'or 1844-49.)
PARFtJMEME.
Be!ab)'ierre-V!Hfeat, ttte dH ~ac, 55. î
Baerta!n, Pa~, 15.– A Londres, S3, Old-Bond-street.
PLAQUE ET COUVERTS ABCE~TËS.
C. BattHme et ms,31,pt. de !(tJ?oi
0tampeaaX) p!. de
SOtEMES.
PeU~e,13,r
Teautes, châles de l'Inde, dentelles et confection. ,¡
TOILES.
t. Casse, 18, nM V~tMMte. Dépôt de sa imbrique de I~bi
Grand choix de Damasses pour taMe.
S'adrcaBer. pour les iBserMons. piMedûlaBMrse IN,
M. Foissac est loin, d'ailleurs, de mëconaattrs
les rapports intimes qui existent eatr~ les peuples
étales centrées qu'ils habitent, ainsi; que j les in<
Suencgs considérables que les' elîmats exercent
sur eux. Mais H veut que ces.inQueaces soient
persistantes comme leurs causes. Scelles, ne l'étaient
pas, en effet, elles ne pourraient produire que,.
des modiucations fugitives et insignifiantes, et
alors comment la science de l'homme devrait-ella
quelque chose A l'étude de la météorologie?!! ne
fautpasonMierque, d'apresie titre deson ouvrage,'
Fauteur étend jusqu'à cette limite l'objet ~t la por~
tëe des études de la météorologie. Ce n'p&t pas
seulement, en effet, l'homme physique, mais aas<
si l'homme moral, qu'il fait dépendre, au moin~
pour certaines qualités accidentelles, du concours-
dés diverses influences atmosphériques auxquelles
il est soumis. Personne n'ignore qu'ilyasBreette
voie, qui est demeurée suspecte, quelques écueils
et plus d'un mauvais souvenir; ce n'est pas la voie'
directe du spiritualisme. Mais M. Foissac l'a semëa~
de bëHes pensées et de bsl!es pages, qu'une sa:na,
philosopha et la banae imératuM avoueront é~
gaiement. Cependa~ Fauteur est plus sùr.seioa
Boas; d'obtenir l'approbation unanime de tous sea
Jeeteurs, lorsque, généralisant moins soa sujet, it
le considère au point de vue de la médecine et .de,
l'hygiène publique. L~ est le côte utile de soa~.
livreet son véritable prix.
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